Baudelaire et le présent perpétuel… « Nouvel exemple et nouvelles victimes des inexorables lois morales, nous périrons par où nous avons cru vivre. La mécanique nous aura tellement américanisés, le progrès aura si bien atrophié en nous toute la partie spirituelle, que rien parmi les rêveries sanguinaires, sacrilèges, ou antinaturelles des utopistes ne pourra être comparé à ses résultats positifs. »
Lire la suiteAuteur/autrice : Nicolas Bonnal
Recul du wokisme
Finies les guerres culturelles ? Les entreprises américaines se rendent enfin compte que le fait d’être « woke » est mauvais pour les affaires.
Les grandes marques et les studios hollywoodiens semblent remettre en question les avantages de la messagerie sociale, alors que des investisseurs comme BlackRock font marche arrière.
Lire la suiteLe rétroviseur
« Mais pourquoi l’Europe est-elle devenue folle ? Que s’est-il passé ? Ce n’est plus d’une boule de cristal que nous avons besoin, mais d’un rétroviseur géant. »
Lire la suiteLa guerre contre les blancs dans la publicité
(Vidéo 16 min)
Lire la suiteLe féminisme US par-delà le rien et le mâle
Les médias expliquent qu’on demande, qu’on exige une présidente féministe en Amérique… Ah, ces élues du congrès en blanc, comme elles les auront émus, ces médias…
Lire la suiteAllemagne : 25 ans d’État hippie
Il y a 25 ans aujourd’hui, le rouge et le vert prenaient le pouvoir en Allemagne. Les conséquences sont connues.
Le 27 octobre 1998, Gerhard Schröder a été élu chancelier. Avec Joschka Fischer comme vice-chancelier, c’était la première fois que les rouges et les verts prenaient le pouvoir ensemble en Allemagne. À bien des égards, Schröder et Fischer ont jeté les bases d’une transformation totale de l’État fédéral sur le plan social, politique, ethnique et, de plus en plus, économique. Angela Merkel, qui s’est complètement mise au vert au fil de sa carrière, n’a pas seulement poursuivi cette politique révolutionnaire sans interruption, elle a également mené cette transformation totale avec une radicalité que l’on n’aurait jamais crue possible auparavant. Notre gouvernement jaune-rouge-vert actuel continue à suivre cette ligne extrême qui date de l’époque Merkel. Depuis 25 ans, l’Allemagne poursuit donc sans interruption une politique idéologique radicale rouge-verte. Il n’est donc pas surprenant que les résultats de ce radicalisme politique soient de plus en plus évidents dans la vie quotidienne des gens.
Lire la suiteLa déconstruction de la civilisation occidentale
En 1986 Allan Bloom publiait un livre retentissant, The closing of american mind dont le titre fut absurdement traduit en français. Cet auguste platonicien plagié peu après par Alain Finkielkraut dressait l’état des lieux de la barbarie universitaire américaine qui depuis lors a gagné la France et l’Europe, et ne s’arrêtera que lorsqu’elle aura tout dévoré. Minorités sexuelles et raciales en bisbille, relativisme moral, délire de société ouverte, interdiction d’interdire, chasse aux préjugés, abrutissement sonore et consumériste, réglementation orwellienne du droit et du langage, tout était fin prêt. Le professeur Bloom écrivait pour une minorité éclairée, reliquat de temps plus cultivés, chassée depuis par le business et les archontes du politiquement correct.
L’ouvrage est essentiel, car depuis le délire a débordé des campus et gagné la société occidentale toute entière.
Lire la suiteDéclin aristocratique et corvée démocratique
On peut s’adonner à l’adoration de la démocratie en ces temps d’État profond et d’Europe de Bruxelles, il reste que le mot plèbe, dont elle marque le triomphe, a été balayé de tout temps par les génies de l’humanité, à commencer par Platon ou Juvénal, jusqu’à Nietzsche ou Tocqueville. On a évoqué les transformations sociétales (les chiens et les gosses qui parlent aux maîtres et aux parents, etc.) du livre VIII de la République, mais on va revenir ici à la démocratie à la grecque et à sa gestion compliquée…
Lire la suiteDémosthène et la débandade démocratique athénienne
La démocratie est pour nous ce qu’il y a de plus beau, de plus pur, de meilleur ; surtout la démocratie athénienne, qui pour Thucydide ne passe pas pour un régime de paix, mais d’oppression thalassocratique…
Démosthène passe pour « l’orateur de la démocratie athénienne ». Car il est à la fois l’homme du merveilleux démocratique et de la décadence démocratique.
Mais pour Démosthène la démocratie est aussi ce qu’il a de plus décadent, de plus lâche, de plus déclinant. Alors, pourquoi la défendre, alors qu’elle abaisse le citoyen et que devant elle s’élève un bel invincible empire qui permettra grâce à Philippe et Alexandre à la civilisation hellénique de se répandre aux quatre coins de l’Asie ?
Lire la suiteSans foi ni loi contre Gaza
Alors que les politiciens occidentaux s’apprêtent à encourager Israël à affamer les civils de Gaza et à les plonger dans l’obscurité pour les amadouer avant la prochaine invasion terrestre israélienne, il est important de comprendre comment nous en sommes arrivés là — et ce que cela présage pour l’avenir.
Lire la suiteIsraël et la normalisation de la rhétorique nazie : n’aurait-on pas enfanté d’un monstre ?
L’accélération du conflit entre Israël et Gaza s’accompagne d’un retournement du paradigme nazi : bien que les hauts responsables israéliens traitent les autres peuples d’animaux ou de sous-hommes, qu’il s’agisse des Palestiniens ou des Bouriates (en Russie), bien qu’ils considèrent normal de les écraser physiquement, ils continuent à utiliser la victimisation nazie, payée très cher par les aïeux de leurs familles (mais non par eux-mêmes) pour justifier leurs crimes. Et quand on leur rappelle, à l’ONU, qu’ils ne sont pas au-dessus du droit international, l’enfant-roi se révolte : comment ça, il n’y aurait plus d’impunité totale, nous n’aurions plus le monopole de l’humanité ? Il semblerait que la communauté internationale, en faisant d’Israël une victime éternelle et intouchable sous peine d’antisémitisme, ait enfanté d’un monstre. Qui est entré en guerre et se croit au-dessus de tout… et de tous.
Lire la suiteLa tragédie palestinienne : à qui profite le crime ?
À l’heure actuelle, on sait parfaitement qui profite de l’horrible tragédie palestinienne.
Dans l’état actuel des choses, nous avons trois victoires pour l’hégémon et une pour sa nation porte-avions en Asie occidentale.
Le premier gagnant est le parti de la guerre, une vaste escroquerie bilatérale.
Lire la suiteComment le colonialisme britannique a tué 100 millions d’Indiens en 40 ans
Entre 1880 et 1920, les politiques coloniales britanniques en Inde ont fait plus de victimes que toutes les famines de l’Union soviétique, de la Chine maoïste et de la Corée du Nord réunies.
Lire la suiteCatalyse totalitaire
Il y a une économie générale de la violence. Ex nihilo nihil : rien ne sort de rien. Il y a toujours des antécédents. Cette économie, hélas, ne connaît qu’un principe : la réciprocité — négative. Lorsque l’injustice a été portée à son comble, lorsque le groupe a connu le meurtre de masse et, pire peut-être, l’invisibilisation du meurtre de masse, comment pourrait-il ne pas en sortir une haine vengeresse ? Les rationalités stratégiques — faire dérailler la normalisation israélo-arabe, réinstaller le conflit israélo-palestinien sur la scène internationale —, si elles sont réelles, n’en ont pas moins trouvé parmi leurs ressources le carburant de la vengeance meurtrière.
Lire la suitePenser le néant de l’époque
Un entretien avec Pierre Le Vigan.
« Notre société s’est gadgétisée. Le Capital (les forces économiques qui dominent notre société et lui donnent sa forme) a besoin d’hommes interchangeables et jetables, et non de travailleurs fidélisés, comme c’était en partie le cas dans les années 50 — ce qui ne gommait pas les conflits sociaux, mais les structurait. Le Capital a besoin d’une société plus atomisée, fluide, liquide. »
Lire la suiteLes nouveaux chiens de garde et la tyrannie sanitaire
La France est depuis toujours un pays conditionné. On le voit bien en relisant sans les œillères scolaires Molière ou La Bruyère. Le bourgeois, le dévot, le malade imaginaire, la femme savante, le sot savant, l’escroc médecin, le pédant-expert, l’hypocrite, la précieuse, sont des mines pour qui sait voir ; et la crise du Covid marquée par la dictature et la tartuferie sanitaire revêt un caractère très français. Taine et Tocqueville avaient tout dit. Centralisation, pouvoir royal, révolution, empire, radical-socialisme ont pavé la voie de la soumission jacobine de la masse et l’esprit libre souvent ne comprend pas sa solitude.
Lire la suiteLe narcissisme occidental face à la protestation véhémente de la réalité (Freud)
Freud :
« Et voici ce que j’ajoute : depuis des temps immémoriaux, l’humanité subit le phénomène du développement de la culture (d’aucuns préfèrent, je le sais, user ici du terme de civilisation.) C’est à ce phénomène que nous devons le meilleur de ce dont nous sommes faits et une bonne part de ce dont nous souffrons. Ses causes et ses origines sont obscures, son aboutissement est incertain, et quelques-uns de ses caractères sont aisément discernables. »
Courir à la catastrophe
Le régime Biden refuse de défendre les frontières des États-Unis, mais n’hésite pas à envoyer des forces spéciales de porte-avions et la 101e division aéroportée américaine pour défendre les frontières d’Israël. « Nous soutenons Israël », proclame sans cesse le secrétaire d’État juif américain. « L’Amérique peut se permettre deux guerres », proclame le secrétaire juif au Trésor. Mais oublions la protection de nos propres frontières et les charges qui pèsent sur les contribuables américains.
Lire la suiteLe dressage des hommes aux temps modernes
Plus personne ne conteste que nous vivons dans des sociétés de vigilance et de surveillance. Le pouvoir bienveillant, tutélaire et doux peut désormais tout contrôler avec les progrès de la technologie et le déclin de la réactivité des populations. Le terrorisme, la dette ou la Russie serviront de croquemitaine.
Lire la suiteZygmunt Bauman et le bon usage du terrorisme
Il est important de contrôler les masses rétives et de les faire plier. Les attentats sont de bons outils à cette fin.
Lire la suiteLa fin du Karabakh
Ce qui se passe actuellement est l’un des épisodes les plus honteux d’une longue et souvent douloureuse histoire arménienne : le larbin et traître occidental Nikol Pashinyan, ainsi que ses collègues traîtres du gouvernement arménien, ont complètement vendu 120 000 de leurs compatriotes arméniens du Karabakh, mettant fin à des milliers d’années d’histoire arménienne dans cette région. Un tiers de la population a fui vers l’Arménie au cours des derniers jours.
Lire la suiteLes Blancs ont-ils assez d’intelligence pour survivre ?
Les Blancs ont-ils assez d’intelligence pour survivre ? C’est une question valide.
Les ethnies blanches avaient autrefois la confiance et l’assurance nécessaires pour coloniser les Amériques, l’Afrique et certaines parties de l’Asie. Aujourd’hui, elles acceptent d’être colonisées par leurs anciens sujets coloniaux.
Lire la suiteLes États-Unis s’exposent à une défaite dans la guerre géopolitique autour de Gaza
Cent ans après la révolte arabe (1916-1918) contre les Turcs ottomans au pouvoir, dans le contexte de la défaite imminente de l’Allemagne et de la Triple Alliance lors de la Première Guerre mondiale, un nouveau soulèvement armé des Arabes éclate — cette fois contre l’occupation israélienne, dans le contexte de la défaite imminente des États-Unis et de l’OTAN lors de la guerre d’Ukraine — offrant le spectacle palpitant d’une histoire qui se répète inlassablement.
L’Empire ottoman s’est désintégré à la suite de la révolte arabe. Israël devra lui aussi quitter les territoires qu’il occupe et faire place à un État palestinien, ce qui, bien entendu, constituera une défaite cuisante pour les États-Unis et marquera la fin de leur domination mondiale, rappelant la bataille de Cambrai, dans le nord de la France (1918), où les Allemands, encerclés, épuisés et au moral en chute libre, dans un contexte de détérioration de la situation intérieure, ont dû faire face à la certitude que la guerre était perdue, et se sont rendus.
Le flot torrentiel d’événements de la semaine dernière est à couper le souffle, à commencer par un appel téléphonique du président iranien Sayyid Ebrahim Raisi au prince héritier saoudien Mohammed bin Salman mercredi pour discuter d’une stratégie commune face à la situation consécutive à l’attaque dévastatrice du Mouvement de résistance islamique, le Hamas, contre Israël le 7 octobre.
Lire la suiteQui a détruit la civilisation occidentale ?
Paul Craig Roberts :
« Je pense que ce sont les libéraux blancs qui ont déraciné les ethnies blanches et détruit la civilisation occidentale. Je pense que la civilisation a été détruite parce que les libéraux ont fondé leurs demandes de réformes sur la dénonciation de la société existante. Des décennies de dénonciation ont sapé la confiance. »
Pourquoi le Grand Reset se termine…
et ne commence pas…
Nicolas Bonnal :
« Il y a ceux, presque mignons et amusants, comme les journalistes du NYT, qui prétendent que le Grand Reset est une théorie du complot, alors que Davos s’en vante sur son site, et puis il y a ceux qui redoutent le Grand Reset à venir, comme s’il n’était déjà là. Un petit rappel pour les distraits alors. Je suis assez vieux pour avoir vu le Grand Reset commencer au début des années 70 : c’était les années de la crise du pétrole, du club de Rome, de Soleil vert et de Roller ball, tout ce qu’il fallait pour rassurer les enfants et préparer un Grand Reset : vous allez obtempérer sinon voilà ce qui va se passer… Et comme cela ne s’est pas passé, on va le provoquer, l’ordinateur bien nommé rendant facile la gestion totalitaire de la société. Tous les films hollywoodiens dénonçaient il y a peu encore les « control freaks » dans leurs scénarios mais comme on ne les croit jamais… »
Les signaux de vertu occidentaux deviennent hypersoniques à propos d’Israël
Avec toute la rhétorique et le bellicisme de l’UE et des États-Unis, il est clair que la paix n’est pas leur priorité.
« Israël a le droit de se défendre, aujourd’hui et dans les jours à venir. L’Union européenne est aux côtés d’Israël », a tweeté dimanche la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen. Elle a ainsi donné carte blanche aux dirigeants israéliens, connus pour leur sens de la mesure et leur retenue, dans leur réponse aux attaques du Hamas.
« Pour qui vous prenez-vous ? Vous n’êtes pas élue et n’avez aucune autorité pour déterminer la politique étrangère de l’UE, qui est définie par le @Conseil de l’UE », a répondu l’eurodéputée irlandaise Clare Daly.
Lire la suiteComment les médias ont menti sur les bébés décapités pour « justifier » les crimes de guerre israéliens
La Maison-Blanche a été forcée d’admettre que Joe Biden n’avait pas vu de « photos confirmées ».
Pratiquement tous les journaux britanniques ont rapporté cette semaine que les combattants du Hamas auraient décapité 40 bébés lors de l’assaut du week-end dernier. La plupart d’entre eux l’ont mis en première page.
Cela a été utilisé comme une preuve claire de la soi-disant sauvagerie odieuse du Hamas, prétendue justification du massacre de Gaza et du meurtre des Palestiniens.
Mais quelques jours plus tard, aucune preuve ne vient étayer cette affirmation et les journalistes et les hommes politiques la fuient.
Lire la suiteLa déchéance de l’art en Europe occidentale
L’écroulement artistique de l’art occidental frappe tous les bons esprits (ne parlons pas du wokisme), mais il est ancien. Dans son magnifique Essai sur l’Art, le comte Tolstoï recense ces catastrophes culturelles du dix-neuvième siècle dont les Français sont souvent responsables (ô festival de Cannes, ô exception culturelle, ô théâtre de soixante-huitard ou de boulevard, ô musique sérielle…) et il les réduit la cause à la décadence religieuse venue avec la Renaissance. C’est Huysmans qui dit que nous chutons depuis le XIIIe siècle.
Lire la suiteTintin, les picaros et la fin des Temps
On avait beaucoup attendu l’album, après l’étrange et drolatique Vol 714 pour Sydney qui recyclait le Matin des magiciens de Pauwels et Bergier : et l’on fut servi.
Les picaros furent insultés ou incompris. On voyait bien qu’Hergé avait renoncé à sa mythologie ; comme si l’on pouvait encore pratiquer le voyage absolu dans les années 70 marquées par le tourisme de masse, les vols à bon marché, les tropiques à l’encan et l’abominable Guide du routard. Le vacancier est le yéti des plages.
Lire la suiteLe nouvel ordre mondial et ses bourreaux volontaires
La notion « d’élites hostiles » de Kevin Macdonald s’adapte aux temps apocalyptiques que nous vivons. Elle représente quelques milliers de personnes par pays, un million tout au plus dans le monde ; et ces « élites » (fric plus convictions hérétiques, au sens de Chesterton) détraquées pour tout un tas de raisons nous veulent vraiment du mal, fonctionnaires internationaux, experts, ONG, milliardaires… Et rappelons-nous que les politiques d’extermination totalitaire ne se mettent jamais tout de suite en place : on attend en général quinze ans (Hitler, Mao, Staline) pour les mettre en place, car on a formé les bourreaux volontaires et les victimes. Nous sommes en l’an I de coronavirus. Attendez l’an quinze pour voir ce qui restera de vous.
Lire la suiteL’apathie politique en 11 temps
Dans un article antérieur, nous avions tenté d’expliquer la difficulté que nous éprouvions à réveiller notre entourage. Nous avions alors conclu que la capacité à douter était primordiale pour se détacher du narratif officiel et regarder en face une vérité pourtant éclatante.
Aujourd’hui, non seulement des millions de concitoyens ont subi les effets délétères des campagnes vaccinales (sans en tirer les conclusions nécessaires), ils sont aujourd’hui partisans indéfectibles de l’Ukraine, disposés à entrer volontairement dans un modèle de contrôle social à la chinoise, et favorables à la ré-élection des pires dirigeants de la planète.
Dans ces conditions il convient de creuser plus profondément les causes multiples de cette passivité sans bornes qui pourrait prochainement mener les Français, et la plupart des peuples du monde, vers une techno-tyrannie inqualifiable. Quelles sont en effet les raisons de cette situation analogue à la grenouille dans une marmite portée lentement à ébullition ?
Lire la suiteAutour de Gaza
Tenter d’analyser une situation n’est pas se désintéresser des souffrances des victimes. Mais comme nous n’y pouvons rien, nous devons surtout réfléchir pour chercher quelle voie la diplomatie devrait suivre, et en parler autour de nous dans l’espoir ténu de susciter une réflexion collective.
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