Comment mettre fin au problème des banlieues ?

[Source : Boulevard Voltaire]

Docteur en géopolitique à Paris Sorbonne, criminologue, spécialiste de la violence sociale et politique, du terrorisme et du crime organisé, Xavier Raufer a dirigé le département de recherche sur les menaces criminelles contemporaines de l’Université Paris II Assas.

Alors qu’Emmanuel Macron s’est rendu cette semaine à Marseille pour soutenir l’opération Place Nette XXL contre la drogue, avec 4000 policiers et gendarmes mobilisés, Xavier Raufer fait le bilan de cette opération et de la politique française de lutte contre le trafic de drogue. « Une opération révélatrice du monde fictif et factice dans lequel le gouvernement vit depuis que Monsieur Macron est président de la République », critique Xavier Raufer dans le studio de BV.

Pour lui, avec 49 morts à Marseille et 123 blessés graves, la France obtient les pires résultats dans ce domaine depuis la Libération. Comment reprendre le contrôle d’une situation qui semble échapper aux dirigeants ? Pour lui, la question centrale n’est pas celle des moyens ni même de la volonté politique, mais de la décision politique. Il maintient que les quartiers et les trafiquants se plieraient à une décision politique ferme.

« Nos dirigeants ont peur de tout, ils ne devraient pas avoir peur », estime Xavier Raufer qui ne croit pas au risque d’embrasement des banlieues. Il faut « sévir, dit-il, et pour ceux qui ne sont pas français les renvoyer chez eux, ce qui libérerait des places de prison ». Entretien.




« Est-ce qu’on se rend compte de ce que ce serait une guerre nucléaire ? »

Asselineau dénonce le comportement irresponsable des médias et des politiciens qui poussent à l’aggravation du conflit en Ukraine.

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La vérité sur la guerre en Ukraine




Ex-agent de la DGSE, il a été otage des islamistes

[Source : Les Bâtisseurs]

Pierre Martinet est un ancien agent du Service action de la DGSE et du 3e RPIMa. Pierre partage son expérience unique, de son temps passé dans les rangs de l’élite militaire française à son rôle crucial dans le renseignement. Il nous emmène dans les coulisses du renseignement français, révélant les défis et les triomphes de son travail au sein de la DGSE. Mais c’est son récit de survie en tant qu’otage en Libye qui vous tiendra en haleine. Il raconte comment il a utilisé sa formation et son expérience pour survivre à cette épreuve, un témoignage rare et précieux sur la réalité du terrain.

[En relation avec un des sujets traités dans la vidéo, voir aussi :
Le projet des Frères musulmans]

Son livre

https://www.babelio.com/livres/Martinet-Pris-en-otage-un-agent-du-service-action-raconte/1464789

« J’ai été un otage, j’ai vécu des heures sombres enfermé dans les geôles d’une Katiba islamiste. Je m’étais fait une promesse : si je survis, je témoignerai de ce que j’ai vécu. Une telle perspective m’a aidé à ne pas sombrer dans le désespoir ou la folie. Je suis un militaire, un homme de terrain, un ancien membre du Service Action de la DGSE. Toute ma vie, j’ai choisi le danger, les missions périlleuses, le combat. J’ai survécu mais cette épreuve m’a changé à jamais. Quand on a envisagé chaque jour comme le dernier, peut-on s’estimer sauvé d’avoir retrouvé la liberté ? »

Dans ce récit d’une grande force, Pierre Martinet revient pour la première fois sur les jours terribles de détention qu’il a vécus en Libye lors du printemps arabe. Il raconte comment il a réussi à tenir en s’évadant mentalement grâce à son passé d’instructeur commando et à la formation particulière qu’il a suivie au Service Action. Un livre qui nous plonge, comme aucun autre, dans la psychologie d’un soldat d’élite.




60 ans après l’assassinat de John F. Kennedy – Les instigateurs de l’attentat dévoilés

[Source : Etresouverain.com]






Le projet des Frères musulmans

Par Jacques Amiot

[Article écrit vers fin 2019]

La stratégie de conquête et d’infiltration des Frères musulmans en France et dans le monde

Les Frères musulmans représentent un très grave danger pour le monde et surtout pour la France, en raison principalement, de la naïveté et de la complaisance d’élus dans un premier temps, puis de la connivence jusqu’au plus haut niveau de l’État.

Les auteurs du livre cité dans le titre (Éditions l’Artilleur) affirment que, s’il n’y a pas une réaction rapide et ferme de nos dirigeants, les générations à venir vivront dans la soumission à L’Islam.

Ces deux auteurs, Alexandre Del Valle et Emmanuel Razavi, spécialistes du monde arabo-musulman, ont enquêté pendant 15 ans pour écrire ce livre de plus de 500 pages et arriver à leur conclusion.

Comme nous savons, compte tenu du volume de l’ouvrage, qu’il risque d’être peu lu, nous avons décidé d’en extraire l’essentiel en quelques pages, afin d’éclairer, nos correspondants, nos concitoyens et si possible les élus. Cependant ceux qui liront le livre ne seront pas déçus. En effet, ce court document ne peut pas exprimer toute la richesse de son contenu.

Objectif

L’objectif des Frères musulmans est le règne de la Charia et du Califat sur toute la terre, par la guerre si nécessaire, mais surtout par le prosélytisme et l’entrisme (pénétration d’une structure de manière à en modifier les objectifs et la finalité), Il s’agit d’islamiser le monde par étapes en commençant par l’individu musulman, puis le foyer, le peuple, le gouvernement islamique, le califat pour aboutir à la domination planétaire (Tamkine). Ils sont patients et estiment que le temps travaille pour eux.

La stratégie des Frères musulmans n’est plus secrète, mais son efficacité pour instaurer l’Islam en Occident est très largement sous-estimée.

Historique

Cette stratégie a été initiée en 1928 par Hassan Al-Banna. Son manifeste en cinquante points rédigés en 1936 éclaire sur la nature totalitaire du mouvement. Saîd Ramadan, père de Tarik Ramadan et gendre d’Al Banna, a établi plus tard en Allemagne et en Suisse les premières bases des Frères avec le soutien du banquier suisse François Genoud, héritier du trésor du 3e Reich et sponsor des organisations terroristes pro-palestiniennes.

Plus récemment, on peut citer Youssef-al-Qardaoui, fondateur, président de la plupart des structures des Frères musulmans en Europe, auteur de fatwas justifiant des attentats kamikazes.

Puis les protagonistes de la matrice frériste du jihadisme : Saiyyd Qutb responsable de la Mission des Frères qui a inspiré Oussama Ben Laden, Abduullah Azzam inspirateur d’Al-Qaïda, le Hamas, l’Ayatollah Khomeini et même Mohamed Merah ou les Frères Kouachi.

Organisation islamiste pro-nazie

Hassan Al Banna écrivait « Hitler et Mussolini ont conduit leur pays vers l’unité, la discipline, le progrès et le pouvoir. Ils ont imposé des réformes intérieures et contribué à donner à leurs pays un grand prestige ». Amin al Husseini, le grand Mufti de Jérusalem, missionné par Al Banna, supervisa le recrutement des divisions SS musulmanes, puis conseilla Hitler. Après la défaite Al Banna dira : « L’Allemagne et Hitler ne sont plus, mais Amin al Husseini poursuivra le combat. »

Youssef al-Qardaoui a déclaré sur Al-Jazeera en 2009 : « tout au long de l’histoire, Allah a imposé aux Juifs des personnes qui les puniraient de leur corruption. Le dernier châtiment a été administré par Hitler… et bien qu’ils aient exagéré les faits, il a réussi à les remettre à leur place. C’était un châtiment divin. Si Allah veut, la prochaine fois ce sera par la main des musulmans. »

Mode opératoire

Il est erroné d’opposer les islamistes salafistes (extrémistes) aux islamistes réformistes (modérés) que seraient les Ikwans (Frères musulmans en arabe) qui en fait sont recouverts d’un vernis réformiste. En effet seul la méthode change ; le but est le même : aboutir au califat mondial. Les Ikwans agissent par pénétration progressive (soft power).

Longtemps demeuré secret ce projet a été décrypté par la police égyptienne en 1992 lorsqu’elle a mis la main sur le « document de Tamkine », un texte de 13 pages dont le programme consistait, à travers un réseau d’institutions, à faire accéder par étapes les Ikwans au pouvoir local, régional, national et mondial.

Ils manient constamment le mensonge et la dissimulation (taqiya), licitent dans le coran. Comme par exemple le fait de ne citer que des versets pacifiques du coran de la période mecquoise tout en sachant qu’ils ont été abrogés par des versets belliqueux médinois post-hégire, il y a donc 14 siècles !

Ils sont experts pour se faire passer pour des victimes de la soi-disant islamophobie et du racisme des Européens et notamment de Français, alors qu’il n’y pas pires intolérants qu’eux puisque, tous ceux qui ne sont pas musulmans sont pour eux des mécréants qui, au final, doivent être soumis ou exterminés.

Ils s’instruisent et s’adaptent à notre mode de vie de manière à pouvoir s’insérer dans la société et occuper des postes élevés. Ils maîtrisent parfaitement Internet et les réseaux sociaux ; ils déclarent eux-mêmes qu’ils sont capables de faire la guerre sans arme.

La politique intérieure

Les auteurs se posent des questions légitimes et vitales pour les démocraties : pourquoi nos politiques laissent-ils prospérer pratiquement sans entrave les organisations islamiques le plus souvent sous forme d’associations culturelles ?

Nos sociétés ne doivent pas confondre ouverture et naïveté, car le fait d’encourager ou tolérer un islamisme totalitaire importé de l’étranger n’est pas une marque de tolérance, mais le symptôme d’une pathologie collective qui confine à l’autodestruction.

La progression du salafisme islamique et l’appel des fréro-salafistes aux musulmans à se « désassimiler » ont été banalisés dans nos sociétés, alors que dans le même temps on empêche des maires d’installer des crèches dans les mairies, on stigmatise l’identité majoritairement judéo-chrétienne de la France et on renie ses racines.

En somme, pendant que la bien-pensance disqualifie tout patriote ou défenseur de l’identité occidentale en le stigmatisant comme « dangereux identitaire », les adeptes d’une idéologie qui a pourtant flirté avec le nazisme et qui demeure foncièrement anti-occidentale progressent tranquillement avec l’appui des forces dites « progressistes », des collectivités publiques, des vigiles antifascistes et de nos dirigeants.

Pourtant on devrait être prévenu. Ahmed Jaballah, cofondateur de l’ex-Union des organisations islamiques de France avait déclaré dans les années 1990 que « cette structure est une fusée à deux étages. Le premier est démocratique, le second mettra sur orbite une société islamique » !

Aspects financiers

Une banque a joué depuis des décennies un rôle déterminant : Al-Taqwa Bank (en fait un système bancaire disposant de bureaux dans plusieurs pays : Suisse, Bahamas, Italie, Liechtenstein…). Elle a été fondée en 1988 par de hauts dignitaires des Frères musulmans et elle a prospéré pendant des années en récoltant des fonds en provenance de pays du Golfe pour les redistribuer ensuite à de très nombreuses organisations fréristes européennes.

En 2001 les US ont classé cette banque comme organisation terroriste en raison de son soutien financier à Al-Quaïda.

Lors d’une perquisition au siège d’Al-Taqwa Bank, la police suisse a trouvé un texte détaillant les structures financières créées par les dirigeants des Frères et notamment l’existence d’une autre place forte en Europe, le Luxembourg, où une autre entité islamique, l’ARINCO, gère des investissements à long terme.

Le Qatar, petit pays, mais géant économique, joue un très grand rôle dans le financement de l’Islam et en particulier des Frères musulmans. Il investit des sommes très importantes en Europe et notamment en France, mais en contrepartie de ces investissements généreux il finance des dizaines de mosquées et de centres culturels islamiques notamment par la QCO (Qatar Charity Organization) dont le but est de garantir la propagation de l’identité islamique en Europe et dans le monde.

La Turquie d’Erdogan apporte également un soutien inconditionnel aux Frères. Bien que faisant partie de l’OTAN elle est un ennemi acharné de l’occident !

Aux fonds provenant du Golfe, il faut bien sûr ajouter beaucoup d’autres sources de financement comme par exemple les revenus provenant de l’abattement rituel Halal.

Implantations

L’Institut Européen des Sciences Humaines (IESH) basé à Château-Chinon, ouvert en 1990, avec l’assentiment et même l’aide de Mitterrand, en dit long sur la galaxie frériste. Il forme annuellement une dizaine d’Imans et 250 étudiants. Il dispose d’un site Internet très actif et d’une banque à Dijon. Deux antennes à Paris et Strasbourg ont été ouvertes respectivement en 1999 et 2008.

Un ancien cadre de la DST (maintenant DGSI) a expliqué aux auteurs que des notes ont été établies, mais qu’il était impossible de se faire entendre de la hiérarchie ; il y avait un blocus total.

Cet agent a déclaré « Il ne faut pas être grand clerc pour comprendre ce qui se passe. D’une part, il y a le Qatar qui protège les Frères musulmans et fait du chantage aux contrats commerciaux. Cela implique que si la France ferme ou interdit ces associations, ils arrêteront de commander des avions ou d’ouvrir leurs chantiers de construction aux sociétés françaises. D’autre part, il y a le cynisme sans limites de certains élus, maires ou députés, qui font de l’électoralisme en se montrant complaisants avec les associations liées aux Frères… »

Beaucoup d’autres pays notamment européens sont largement infiltrés par les Frères musulmans.

La Suède est la plus perméable au projet d’islamisation des Frères. L’Allemagne comme la Suisse est depuis les années 50 une terre de refuge des Ikhwans et de la famille Ramadan. En Espagne les Frères musulmans « d’Al-Andalous » sont sous influence syrienne et marocaine.

Les Frères sont partis à la conquête de l’Amérique du Nord aidés en cela par l’administration démocrate. Ils ont très largement financé la campagne d’Hillary Clinton.

Par contre les Frères musulmans sont officiellement interdits en Russie ! Ses dirigeants seraient-ils moins stupides que les nôtres ?

L’avis des services de renseignements

Les auteurs expliquent qu’ils ont eu, pendant les 15 années de leur enquête, de nombreux contacts avec des responsables des services de renseignements qui font un constat sévère.

Dans de nombreux rapports, ils ont mis en exergue le double discours des Frères musulmans et la mise en place d’un vaste réseau d’associations, de centres culturels… sans que la vérité soit regardée en face par nos « élites ».

Ils savent que le projet de conquête passe par la déconstruction de note identité et la réduction à néant de notre pensée, mais se heurtent souvent à la naïveté. Mais il n’y a pas que les naïfs qui aident la doctrine des Frères ; il y a tous ceux qui servent l’Islam politique, consciemment, par intérêt financier ou personnel.

Selon eux, en 30 ans, la France est devenue la cible d’une stratégie de destruction préalable au projet de conquête de la république. La France a fini par perdre la plupart de ses repères, désacralisé ses propres institutions, remisé ses mythes fondateurs au profit d’autres importés depuis les rives orientales de la Méditerranée.

La cohésion nationale, l’histoire et l’identité de la France sont ainsi remises en question au profit d’un discours communautariste dont l’un des objectifs immédiats est de laisser la place à une souveraineté indigéniste–séparatiste préalable au califat.

Il y a un certain « ras le bol » d’agents des services de renseignements qui ne comprennent pas le laxisme et l’inaction de nos dirigeants devant ce grave danger.

Méthodologie des auteurs

Alexandre Del Valle et Emmanuel Razavi sont des hommes d’une grande culture et d’une grande expérience du monde arabo-musulman.

Comme il a été dit précédemment, leur enquête s’est étalée sur quinze années ; ils sont allés à la rencontre d’un grand nombre de hauts responsables, de cadres, de militants, dans des pays musulmans et non musulmans. Ils ont compulsé des centaines de documents originaux…

Leur objectif a été de réaliser un ouvrage le plus fiable possible en s’appuyant sur un grand nombre de sources afin d’étayer leur propos par des faits indiscutables ; ils ont confronté, recoupé leurs analyses…

En résumé ils ont procédé à une étude très approfondie, que les dirigeants occidentaux, notamment français devraient prendre très au sérieux.

Conclusion

Pour conclure, reprenons une partie du dernier paragraphe du livre :

« C’est donc un ensemble de postures qu’il faut adopter pour en finir avec un totalitarisme théocratique qui risque de nous mener à la confrontation entre Français. La première d’entre elles est de faire face à la vérité, de nommer les choses, comme nous l’avons fait tout au long de ce livre, et d’en finir avec les organisations fréristes et salafistes en les fermant, au même titre que sont fermées les associations qui prônent le néonazisme ; la seconde est de renouer avec notre roman national, et de nous réconcilier avec notre histoire. En ce sens l’éducation nationale et les enseignants jouent un rôle déterminant. Le reste est affaire de courage politique est de fermeté.

Si l’on n’agit pas de la sorte, alors les Frères musulmans et les autres pôles de l’islamisme conquérant, actifs dans nos sociétés ouvertes à tous les vents totalitaires, auront gagné ; d’autant, qu’en raison de l’immigration massive et de l’importante différence de natalité, les musulmans seront majoritaires en France dans 2 ou 3 décennies.

La France n’aura alors plus qu’un seul choix : celui de la soumission ».

Les nombreux avertissements contenus dans ce livre, qui s’ajoutent à ceux des services de renseignements, ne laissent à nos dirigeants aucune possibilité de dire qu’ils ne savaient pas.

S’ils n’agissent pas rapidement et avec une grande fermeté, ils auront fait le choix délibéré de la soumission pour les futures générations.


Mise à jour :

Résumé très succinct d’un livre très important : Le Projet

LE PROJET : La stratégie de conquête et d’infiltration des Frères musulmans en France et dans le monde (Éditions l’Artilleur)

Les 2 auteurs, Alexandre Del Valle et Emmanuel Razavi, spécialistes du monde arabo-musulman ont enquêté pendant 15 ans pour écrire ce livre. Leur conclusion est claire : s’il n’y a pas une réaction rapide et ferme de nos dirigeants, les générations à venir vivront dans la soumission à l’Islam.

La stratégie des Frères musulmans a été initiée en 1928 par Hassan d’Al Banna ; c’est une organisation totalitaire qui a été pro-nazie, elle a soutenu Hitler et Mussolini. Amin al Husseini, le grand Mufti de Jérusalem, missionné par Al Banna, supervisa le recrutement des divisions SS musulmanes.

L’objectif des Frères musulmans est le règne de la Charia et du Califat sur toute la terre. C’est le même que celui des autres structures islamiques, mais ils procèdent différemment, par étapes en se faisant passer pour des réformateurs. Leur mode opératoire est beaucoup plus insidieux.

Longtemps demeuré secret ce projet a été décrypté par la police égyptienne en 1992 lorsqu’elle a mis la main sur un texte de 13 pages dont le programme consistait, à travers un réseau d’institutions, à faire accéder les Ikwans (Frères musulmans en arabe) au pouvoir local, régional, national et mondial.

Ils sont experts pour se faire passer pour victimes de la soi-disant islamophobie et du racisme. Ils manient constamment le mensonge et la dissimulation (taqiya).

Ils s’instruisent et s’adaptent à notre mode de vie de manière à pouvoir s’insérer dans la société, occuper des postes élevés, pénétrer nos structures (associations, administrations…). Ils maîtrisent parfaitement Internet et les réseaux sociaux et se déclarent eux-mêmes capables de faire la guerre sans arme.

Les Frères musulmans sont largement financés par les pays arabes, notamment la Turquie et surtout le Qatar qui finance des dizaines de mosquées, centres « culturels »…

Une banque (en fait un système bancaire) joue un rôle déterminant : Al-Taqwa Bank. Elle dispose de bureaux dans de nombreux pays notamment la Suisse. Lors d’une perquisition au siège de la banque, la police suisse a trouvé un texte détaillant les structures financières des Frères musulmans et l’existence d’une autre place forte, le Luxembourg, où une autre entité islamique, l’ARINCO, gère des investissements à long terme.

Les auteurs s’étonnent que nos politiques laissent prospérer sans entrave cette organisation islamique totalitaire. Ils considèrent que ce n’est pas une marque de tolérance, mais le symptôme d’une pathologie qui confine à l’autodestruction. Pourtant ils devraient être prévenus ; Ahmed Jaballah avait déclaré dans les années 1990 que la structure des Frères musulmans est une fusée à 2 étages. Le premier est démocratique, le second mettra sur orbite une société islamique.

Les auteurs ont eu de nombreux contacts avec les services de renseignements qui font un constat sévère. Dans de nombreux rapports, ils ont mis en exergue le double discours des Frères musulmans. Ils savent que le projet de conquête passe par la déconstruction de notre identité et la réduction à néant de notre pensée. Ils en informent régulièrement leur hiérarchie sans que cela influe sur le laxisme et l’inaction de nos dirigeants.

Aux intérêts financiers s’ajoute le cynisme sans limites de certains élus, maires, députés… jusqu’au sommet de l’État, qui font de l’électoralisme en se montrant complaisant avec les associations liées aux Frères.

L’Institut Européen des Sciences Humaines (IESH) basé à Château-Chinon s’est ouvert en 1990 avec l’aide de Mitterrand. Il forme annuellement une dizaine d’Imans et 250 étudiants. Il dispose d’un site Internet très actif, d’une banque à Dijon et de deux antennes à Paris et Strasbourg.

Beaucoup d’autres pays européens sont infiltrés par les Frères musulmans notamment la Suisse terre de refuge de la famille Ramadan. Les États-Unis sont également concernés ; les Frères ont largement financé la campagne d’Hillary Clinton. Par contre ils sont interdits en Russie !

Pour conclure, on peut reprendre une partie du dernier paragraphe du livre : « C’est donc un ensemble de postures qu’il faut adopter pour en finir avec un totalitarisme théocratique qui risque de nous mener à la confrontation entre Français. Il faut faire face à la vérité, nommer les choses… Il faut en finir avec les organisations des Frères et salafistes en les fermant, au même titre que sont fermées les associations qui prônent le néonazisme… Il faut renouer avec notre roman national et nous réconcilier avec notre histoire…

Dans le cas contraire, la France n’aura plus qu’un seul choix : celui de la soumission.

S’ajoutant à ceux des services de renseignements les avertissements de ce livre ne laissent aucune possibilité à nos dirigeants de dire qu’ils ne savaient pas.




Etatsunafrique vs Françafrique. La France ne peut être une puissance indépendante que si elle apprend à repousser les États-Unis

Ce n’est pas d’aujourd’hui que les US font tout pour éliminer la France et prendre sa place.

Comme je suis un « ancien », je me souviens bien de la guerre d’Indochine et de la défaite finale de la France à Diên Biên Phu en mai 1954.

Les US ne nous avaient pas aidés, et ils ont tout fait, déjà à l’époque, pour prendre notre place. Mais en 1975, ils se sont fait éjecter à leur tour.

C’est une constante, les US veulent dominer le monde. Depuis les accords de Bretton Woods en juillet 1944, ils se sont imaginé, en raison de leur puissance économique, militaire, et de la suprématie du dollar, qu’ils sont les « maîtres du monde ».

Il y a une quinzaine d’années, avec mon épouse, nous avons fait un voyage d’agrément au Vietnam. Nous avons pu constater que, malgré la longue guerre d’Indochine, les Français étaient bien accueillis, ce qui n’était pas le cas des Américains.

Il n’est pas impossible que dans l’avenir, si nous avons des dirigeants moins « cons » et plus diplomates, qu’il en soit de même en Afrique.

Dans l’immédiat, sur ce continent africain, les US vont se trouver confrontés aux BRICS ; ce n’est pas gagné pour « les maîtres du monde ». À suivre…

Jacques Amiot

[Source : le-blog-sam-la-touch]

La France ne peut être une puissance indépendante que si elle apprend à repousser

Article originel : France Can Only Be An Independent Power If It Learns To Push Back
Moon of Alabama, 2.09.23

Note de SLT : Le mieux serait que les Africains soient indépendants et ne soient plus (néo) colonisés et pillés. Un vieux rêve panafricain !

L’accord AUKUS était une proposition stratégique illogique de l’Australie, car elle va ruiner le pays en achetant des sous-marins nucléaires étatsuniens. Ils ne sont que nominalement pour la sécurité de l’Australie, mais resteront au moins officieusement sous commandement étatsunien.

Un point majeur de l’accord était qu’il a baisé la France qui avait un gros contrat avec l’Australie pour construire des sous-marins conventionnels pour elle. Le ministre français des Affaires étrangères a dit que c’était « un coup [de poignard] dans le dos ». La France n’a même pas été informée de l’accord, mais l’a appris par la presse.

Le fait que les États-Unis baisent la France, un grand allié européen de l’OTAN, pour ses propres fins politiques et économiques n’est pas nécessairement sans précédent, mais le faire aussi publiquement et ouvertement que l’a fait l’accord AUKUS aurait dû être un grand signal d’alarme.

Malheureusement, le président français Macron et son gouvernement se sont rendormis et ont donné aux États-Unis l’occasion de baiser à nouveau la France.

Ils l’ont fait avec l’AFRICOM, l’instrument des États-Unis pour saper les pays africains par la coopération militaire.

La France a un grand intérêt pour l’Afrique où certaines de ses anciennes colonies, la Françafrique, y sont liées en utilisant une monnaie, le franc CFA, qui est uniquement sous le contrôle du gouvernement français.

Etatsunafrique vs Françafrique. La France ne peut être une puissance indépendante que si elle apprend à repousser les Etats-Unis (MoA)

Les États-Unis ont utilisé leur formation pour officiers africains pour trouver et former subtilement des gens avec qui ils pourraient travailler. Un nombre étonnant de ces officiers ont ensuite été impliqués dans des coups d’État qui se sont souvent avérés être anti-français et pro-étatsuniens :

Depuis 2008, des officiers formés par les États-Unis ont tenté au moins neuf coups d’État et ont réussi au moins huit dans cinq pays d’Afrique de l’Ouest seulement : trois fois au Burkina Faso, trois fois au Mali et une fois en Guinée, en Mauritanie et en Gambie.

La formation et le soutien des États-Unis à la région passent par le département d’État et le Commandement de l’Afrique, une branche du département de la Défense, en charge des opérations militaires sur le continent.

Depuis que ce qui précède a été écrit, le Niger a suivi :

Le général Moussa Barmou, commandant des forces d’opérations spéciales nigériennes formé par les États-Unis, s’est propulsé alors qu’il embrassait un général étatsunien de haut rang qui visitait la base de drones financée par Washington en juin.

Six semaines plus tard, Barmou a aidé à évincer le président démocratiquement élu du Niger.

Pour les officiers militaires et les diplomates des États-Unis, c’est devenu une histoire trop familière et profondément frustrante.

Le Niger est l’un des nombreux pays d’Afrique de l’Ouest où des officiers formés par l’armée étatsunienne ont pris le contrôle depuis 2021, notamment le Burkina Faso, la Guinée et le Mali.

Certains putschistes ont eu des relations étroites avec leurs formateurs étatsuniens, dont le mentorat comprenait des leçons sur la sauvegarde de la démocratie et des droits de l’homme ainsi que des tactiques militaires.

Ohh — s’il vous plaît, épargnez-moi les larmes de crocodile de la « sauvegarde de la démocratie ». Elles sont vraiment exagérées. Les États-Unis ont une grande base militaire au Niger, et c’est tout ce qui compte, et l’influence qu’elle apporte.

Après le coup d’État, le contingent militaire français au Niger et son ambassadeur se sont fait dire de partir alors que la grande base de drones étatsunienne est susceptible de rester.

Est-ce un mauvais résultat pour les États-Unis ou le résultat d’un plan ?

Les États-Unis ont des intérêts stratégiques en Afrique et, comme l’a écrit Michael Shurkin, ancien analyste de la RAND et de la CIA et membre senior du Conseil de l’Atlantique, ils veulent que la France se retire :

J’ai encouragé les efforts de la France pour aider les pays du Sahel, notamment le Burkina Faso, le Mali et le Niger, à se défendre contre les insurgés djihadistes affiliés à Al Qa’eda ou à l’État islamique.

Et pourtant, la seule conclusion raisonnable à tirer maintenant est que la France devrait fermer ses bases et partir.

Le problème, comme l’ont montré les événements récents au Niger, est que tout ce que fait la France, bon ou mauvais, provoque une réaction allergique de populations longtemps conditionnées à se méfier des motivations françaises et à assumer le pire.

Que ce sentiment anti-français soit juste ou non n’est pas la question. Les liens avec la France sont devenus un baiser de mort pour les gouvernements africains — un phénomène démontré par le sort du président nigérien Mohamed Bazoum.

Eh bien, qui a créé Al Qa’eda et l’État islamique ? Qui les a déplacés de l’Asie occidentale vers l’Afrique ?

Oui, la France a gardé certaines de ses mauvaises habitudes et influences coloniales et certaines personnes le détestent vraiment pour cela. Mais qui les a poussées dans cette direction ?

Le plan est évident. La France doit être expulsée pour que les États-Unis puissent intervenir :

Pendant ce temps, la menace que la Russie comble le vide est exagérée et ne devrait pas justifier [la France] de s’impliquer davantage. En effet, une partie de l’attrait de la Russie est que beaucoup d’Africains la voient comme une sorte d’anti-France. Et moins la France vivra « sans loyer » dans l’imagination populaire, moins la Russie aura un quelconque attrait symbolique.

Une autre partie de l’attrait de la Russie est que certains gouvernements africains, dont le Mali, sont frustrés par la réticence de la France à les aider dans une stratégie qui implique trop souvent de cibler certaines communautés ethniques — surtout les Peuls, mais aussi les Arabes et les Touaregs. Et si c’est pour cela qu’ils veulent de l’aide, alors la France et les autres puissances occidentales ont raison de refuser.

Le fait que les États-Unis et d’autres partenaires européens comme l’Allemagne ne provoquent pas la même réaction leur donne une ouverture, un moyen d’aider à combler le vide pour empêcher la Russie d’entrer et aider les États africains à se défendre. Mais cela leur demandera de prendre soin d’eux et d’exercer un plus grand degré de créativité qu’ils n’en ont montré jusqu’à présent.

Cela signifie aussi que la France devra leur faire confiance dans son ancien Empire. C’était une pierre d’achoppement jusque dans les années 1990, mais à ce stade, Paris est prêt.

Et, vraiment, il n’a pas le choix.

Pauvre France. On lui dit de partir et de laisser les États-Unis s’emparer de ses anciennes colonies. Elle n’a pas le choix.

Il a fallu beaucoup de temps pour que les Français se rendent compte de ce plan. Mais il s’annonce enfin. Le principal magazine géopolitique français, Conflits, discute de l’article de Shurkin et demande :

Pourquoi l’Amérique veut-elle chasser la France d’Afrique ?

Il conclut correctement :

Les Étatsuniens veulent sacrifier la présence française pour les remplacer et les soutenir.

Depuis que la France a rejeté l’invasion étatsunienne de l’Irak, les États-Unis ont fait de leur mieux pour refuser à la France tout rôle international indépendant. Le magazine discute de divers lieux et plans mondiaux, où et comment la France peut raisonnablement empêcher cela. Il conclut :

Ce qui est en jeu n’est donc pas simplement la présence de la France au Sahel ou en Afrique. C’est son maintien en tant que puissance globale souveraine ou sa réduction à une puissance périphérique « betteravisée » en Europe. Par extension, la nature même des relations entre les grandes démocraties en dépend : formeront-elles un bloc rigide, impérial, derrière les États-Unis ou seront-elles capables de constituer une alliance souple dans un cadre multilatéral, bien plus à même de défendre leurs intérêts et leurs valeurs ?

Sans aucun doute, les États-Unis et les Européens ont besoin d’une voix pour leur rappeler les dangers de l’orgueil respectif ou de leur faiblesse. Sans aucun doute, le monde a besoin de puissances autonomes moyennes et de la France pour trouver un nouvel équilibre, aider les nations émergentes, les soutenir sans étouffer les États fragiles et éviter la logique des confrontations directes entre les blocs.

Je suis d’accord. Une France multilatérale indépendante avec une influence mondiale sera bonne pour équilibrer le monde.

Mais pour atteindre cet endroit et y rester, la France doit contrecarrer d’autres plans des États-Unis pour l’éloigner de là où les États-Unis veulent être.

La France va-t-elle enfin apprendre à le faire ?

Traduction SLT




J’ai la Haine

Par Jacques Amiot

Le précepte du pardon m’a été enseigné dès ma jeunesse : éducation familiale, religieuse et même scolaire ; car à l’époque, il y avait à l’école primaire laïque des cours de morale et d’instruction civique, alors que maintenant on enseigne la sexualité, la théorie du genre !…

Dans ma vie professionnelle et extra-professionnelle, j’ai eu des conflits, des querelles qui, au fil des années, se sont estompées, puis ont disparu. À l’occasion de mes activités bénévoles au sein d’associations, j’ai même collaboré avec des personnes avec lesquelles j’avais eu de sérieux différends.

J’en ai beaucoup voulu à plusieurs de nos dirigeants en raison de leur politique, de leurs décisions… Et puis, le temps faisant son œuvre, ma colère et mon irritation ont été progressivement oubliées.

Tout a changé ces dernières années, quand j’ai compris que les erreurs, les mauvaises décisions… de notre actuel président, étaient volontaires. Le personnage m’avait déjà fortement indisposé quand, avant son élection, il avait déclaré en février 2017 en Algérie, que la colonisation était un crime contre l’humanité.

Les circonstances de son élection ont également renforcé ma méfiance à son égard. Elle a été très largement soutenue par les médias et truquée par la justice, qui a éliminé bien opportunément monsieur Fillon et refusé, bien qu’alertée, de s’intéresser aux déclarations de revenus de monsieur Macron et au financement de sa campagne.

C’est à cette époque que j’ai vraiment commencé à m’intéresser aux dangers des mondialistes et compris que, le principal obstacle à l’instauration d’une gouvernance mondiale, était les nations souveraines qu’ils devaient donc tenter d’éliminer. Dans ce domaine, j’ai beaucoup appris par des messages reçus d’internautes, et surtout par des lectures comme La super classe mondiale contre les peuples de Michel Geoffroy.

J’ai rapidement acquis la conviction que monsieur Macron a été propulsé à la tête de la France, avec pour mission de la détruire.

Je ne vais pas revenir sur tout ce que j’ai écrit sur le mondialisme, mais simplement faire un petit rappel sur la pseudo pandémie Covid-19 montée de toutes pièces, afin de faire peur aux populations pour les soumettre et leur faire accepter un « vaccin » dangereux.

La France a été en première ligne dans cette démarche. Dès le mois de janvier 2020, madame Buzin a classé l’Hydroxychloroquine comme produit dangereux ; à ma grande surprise. Deux mois après monsieur Véran a interdit aux médecins généralistes l’utilisation des soins précoces ; j’ai alors compris qu’il se tramait quelque chose.

La suite, on la connaît, c’était l’obligation vaccinale qui était recherchée, par l’inoculation de produits très dangereux qui vont créer une forte chute de la natalité. Cela s’inscrit dans le projet mondialiste de réduire drastiquement la population mondiale. Malgré leurs efforts, le gouvernement, les médias aux ordres, de trop nombreux médecins, ne pourront plus cacher encore longtemps le désastre sanitaire en cours.

Il m’étonnerait beaucoup que monsieur Macron soit vacciné, car je pense qu’il était au courant du danger de la vaccination.

On sait que cette « pandémie » a été peu létale. Le pourcentage de décès au plan mondial est de l’ordre d’une grippe. Il aurait été encore plus faible si des pays, comme la France, n’avaient pas interdit l’utilisation des soins précoces.

Certaines populations, comme celle de notre pays, ont vécu un cauchemar pendant plus de deux ans : confinements, couvre-feux, port du masque… Beaucoup de jeunes ont perdu les meilleurs moments de leur vie (sorties entre copains…).

Un climat de morosité, d’angoisse s’est instauré et la situation actuelle ne permet pas de s’en libérer ; bien au contraire.

On sait par ailleurs que dans toute cette période, les grandes sociétés, notamment pharmaceutiques, se sont considérablement enrichies. Il en est de même des oligarques, et de certains politiques augmentant ainsi leur capacité de corruption, déjà considérable.

Il serait surprenant que monsieur Macron n’en ait pas profité, par l’intermédiaire de sociétés comme Mac Kinsey. Cet enrichissement s’est fait au détriment des particuliers, des petites et moyennes entreprises, des commerces…

Il est incontestable, personne ne peut le nier, même si le déclin date de plusieurs décennies, que la situation de la France s’est considérablement dégradée dans tous les domaines depuis 2017 (sécurité, immigration, justice, économie, pouvoir d’achat des Français, dette, industrie, énergie notamment nucléaire, santé, éducation, diplomatie, crédibilité)… La liste est trop longue pour que je puisse l’énumérer dans sa totalité. Le responsable est forcément le chef de l’État.

Il n’y a que deux solutions : soit le chef de l’État est totalement incompétent et s’est entouré de collaborateurs tout aussi incompétents, soit cette décomposition de la France est voulue.

Je suis certain que monsieur Macron n’est pas incompétent. Au contraire, il a fait preuve de grandes capacités pour berner une grande partie des Français, il ment avec habilité et un incroyable aplomb… Je ne retiens donc pas la première hypothèse. C’est à l’évidence la deuxième qui explique les graves problèmes de notre pays, au point de se poser des questions sur son avenir.

Il n’y a pas que la France qui soit visée par les mondialistes ; toutes les nations souveraines le sont. Mais, comme on peut le constater, le mondialisme n’a de prise que sur l’occident, et c’est surtout les nations européennes qui risquent de perdre leur souveraineté avec de graves ennuis pour leur population.

Jean-Michel Jacquemin-Raffestin a écrit un livre particulièrement documenté sur la pandémie Covid-19. Il l’a intitulé : Ne leur pardonnez pas ! ils savent très bien ce qu’ils font.

Pour moi, il est clair qu’ils savent très bien ce qu’ils font et, de ce fait, je ne peux pas leur pardonner. Ce n’est pourtant pas dans mon caractère, mais, j’éprouve de la haine pour les mondialistes et notamment pour monsieur Macron. J’espère qu’ils seront sévèrement sanctionnés par la justice ; quand elle ne sera plus corrompue.

Jacques Amiot — août 2023




Pour aider les Verts à mesurer leurs Certitudes !

Voilà ce que l’on pouvait lire dans un journal anglais, le Ampshire Advertiser from Southampton, le 17 juillet… 1852 !

[NDLR En réalité, l’origine de l’article, recopié par plusieurs journaux de l’époque, comme l’indique
https://skeptics.stackexchange.com/questions/44011/did-the-the-hampshire-advertiser-publish-an-article-about-many-droughts-in-eur semble être un article antérieur du Galignani’s Messenger sauvegardé ici.

Voir aussi :

https://www.climato-realistes.fr/emmanuel-garnier-500-annees-de-secheresses-et-de-canicules-en-ile-de-france/

]

En 1132 en Alsace, les sources se tarirent et les ruisseaux s’asséchèrent. Le Rhin pouvait être traversé à pied.

En 1152, la chaleur était si intense que l’on pouvait faire cuire des œufs dans le sable.

En 1160, à la bataille de Bela (en Hongrie), un grand nombre de soldats moururent en raison de la chaleur excessive.

En 1276 et 1277, en France, la récolte d’avoine et de seigle fut totalement détruite par la chaleur.

En 1303 et 1304, la Seine, la Loire, le Rhin et le Danube pouvaient être traversés à pied.

En 1393 et 1394 un grand nombre d’animaux tombèrent morts et les récoltes anéanties en raison de la chaleur.

En 1440, la chaleur fut excessive.

En 1538, 1539, 1540 et 1541, les rivières européennes étaient littéralement asséchées.

En 1556, il y eut une sécheresse généralisée dans toute l’Europe.

En 1615 et 1616, la canicule s’abattit sur la France, l’Italie et les Pays-Bas.

En 1646, il y eut en Europe 56 jours consécutifs de grandes chaleurs.

En 1676 des canicules à nouveau.

Les mêmes événements se reproduisirent au XVIIIe siècle.

En 1718, il n’y eut aucune pluie entre les mois d’avril et octobre. Les récoltes furent brûlées, les rivières asséchées et les théâtres fermés à Paris par ordre du Préfet de police en raison des températures excessives. Le thermomètre enregistra 36 degrés Réaumur (45 degrés C) à Paris. Dans les jardins de la banlieue arrosés les arbres fruitiers fleurirent deux fois pendant la saison.

En 1723 et 1724, les températures étaient extrêmes.

En 1746 l’été fut particulièrement chaud et sec et les récoltes furent littéralement calcinées. Pendant plusieurs mois il n’y eut aucune pluie.

En 1748, 1754, 1760, 1767, 1778 et 1788, les chaleurs estivales furent excessives.

En 1811, l’année de la comète, l’été fut très chaud et le vin très bon y compris à Suresnes.

En 1818, les théâtres parisiens restèrent fermés pendant un mois en raison des chaleurs excessives, la chaleur avait atteint 35 degrés C.

En 1830, alors que des combats avaient lieu, le thermomètre afficha des températures de 36 degrés C les 27, 28 et 29 juillet.

En 1832, lors de l’insurrection du 6 juin, le thermomètre releva une température de 35 degrés.

En 1835, la Seine était presque à sec.

En 1850, au mois de juin, au cours de la seconde épidémie de choléra de l’année le thermomètre afficha 34 degrés ».


Il s’agit bien là d’un extrait de journal de 1852 et non pas de je ne sais quel site complotiste.

Ceux qui font remarquer qu’à une époque où il n’y avait pas encore le moindre soupçon de début de révolution industrielle (avec son CO2, gaz vital, que l’on nous présente pourtant comme un polluant), il y avait déjà eu de très nombreuses vagues de chaleurs extrêmes ainsi que des sécheresses catastrophiques, entraînant des centaines de milliers de morts…

Je ne comprends plus rien au sujet de la relation CO2/températures qu’on nous assène pourtant comme étant un dogme indiscutable, et vous ?

C’est vrai que nous vivons une très forte et inhabituelle canicule, mais à l’évidence il n’y a rien de nouveau sous le soleil !

PS Amusez-vous à taper « sécheresse 1718 » sur Google [ou sur Bing qui censure moins] et vous en saurez beaucoup plus.

À moins que vous ne vouliez rester sur la certitude que la canicule actuelle est un phénomène exceptionnel qui n’a encore jamais eu d’antécédents, car provoqué par l’activité humaine.




Police contre justice : derrière le psychodrame, la crise

Très bonne analyse de mon point de vue.
Je partage totalement les trois derniers paragraphes

Jacques Amiot

[Source illustration : vududroit.com]

Les propos du directeur général de la police nationale Frédéric Veaux, à l’occasion de l’incarcération d’un policier de la BAC de Marseille, ont déclenché un ouragan médiatique de réactions indignées.
Police d’un côté, justice de l’autre, exécutif entre deux feux…
Pour Régis de Castelnau, l’affaire peine à masquer la déliquescence totale du régime macronien.


Par Régis de CASTELNAU

Les faits, d’abord.

Festival d’hypocrisie autour des déclarations intempestives et juridiquement stupides du DGPN (Directeur général de la Police nationale) Frédéric Veaux, approuvé par le préfet de police de Paris, déclarant à propos de l’incarcération d’un policier à Marseille. « Je considère qu’avant un éventuel procès, un policier n’a pas sa place en prison même s’il a pu commettre des fautes ou des erreurs graves dans le cadre de son travail ».

Dans chaque camp, la main sur le cœur, l’indignation en bandoulière, on prend la pose, brandit les grands principes, et traite les autres d’apprentis fascistes.

Mention spéciale à Jean-Luc Mélenchon qui n’a pas pu se retenir et nous a gratifiés sans surprise d’une de ses incantations vitupérantes, en sommant « les policiers entrés en sécession factieuse de respecter les institutions républicaines ».

Le tout dans la confusion juridique et judiciaire, hélas habituelle dans notre pays.

Alors, avant de formuler quelques observations sur la pantomime et le jeu de rôles déclenché par cette affaire, il faut revenir sur la dimension juridique du problème et sur les principes qui le gouvernent.

Retour aux principes

Premier principe dont il est toujours bon de rappeler l’existence : la présomption d’innocence.

L’État dispose, selon l’expression consacrée par Max Weber, du « monopole de la violence légitime » et peut punir ceux qui ont transgressé la règle sociale après une procédure où un juge indépendant et impartial prend la décision. Celle-ci doit être définitive, toutes les voies de recours étant épuisées. Jusqu’à ce moment-là, la personne poursuivie dispose de toutes les prérogatives d’un citoyen de plein exercice.

Deuxième principe : si la liberté est la règle et l’incarcération l’exception, l’intérêt de la procédure destinée à établir une « vérité judiciaire » utilisable par le juge peut justifier des mesures de restriction de la liberté. Mesures qui peuvent aller jusqu’à la privation de cette liberté et l’incarcération. C’est l’article 144 du code de procédure pénale qui prévoit et définit les critères d’une telle décision provisoire, qui ne peut être ordonnée que si elle constitue l’unique moyen :

  • – De conserver les preuves ou les indices matériels qui sont nécessaires à la manifestation de la vérité ;
  • – D’empêcher une pression sur les témoins, les victimes ainsi que sur leur famille ;
  • – D’empêcher une concertation frauduleuse entre la personne mise en examen et ses coauteurs ou complices ;
  • – De protéger la personne mise en examen ;
  • – De garantir le maintien de la personne mise en examen à la disposition de la justice ;
  • – De mettre fin à l’infraction ou de prévenir son renouvellement ;
  • – De mettre fin au trouble exceptionnel et persistant à l’ordre public provoqué par la gravité de l’infraction, les circonstances de sa commission ou l’importance du préjudice qu’elle a causé. Ce trouble ne peut résulter du seul retentissement médiatique de l’affaire. Toutefois, le présent alinéa n’est pas applicable en matière correctionnelle.

Bien évidemment, la décision d’incarcération est donc fonction de critères objectifs et pas de la qualité de la personne poursuivie, qu’il soit policier ou simple citoyen. Cependant, s’agissant des six premiers alinéas de l’article 144, on voit bien que la qualité de policier permet de prendre les mesures de contrôle judiciaire qui mettront l’instruction à l’abri. À cet égard, la déclaration du DGPN aurait pu être recevable, à condition de ne pas revendiquer l’application d’une règle générale. Toute décision de privation de liberté doit être prise en fonction de l’analyse des circonstances par le juge des libertés.

Un psychodrame politique, comme d’habitude

Ces précisions étant apportées, voyons ce que nous raconte cette affaire, dont le retentissement médiatique lui donne tous les airs d’un nouveau psychodrame. Avec le rappel préalable que l’auteur de ces lignes ne connaît pas le fond des dossiers en cause, mais que son analyse repose sur la connaissance qu’il a du fonctionnement de la machine judiciaire.

Comme d’habitude, les magistrats sont montés au créneau, par l’intermédiaire de leurs organisations syndicales dont chacun sait qu’elles n’agissent que comme des officines politiques.

Alors comme à l’habitude, on entend toujours les mêmes glapissements, les mêmes accusations sur les atteintes à leur indépendance (c’est-à-dire l’absence d’influence extérieure dans leur jugement).

En oubliant encore une fois que cette indépendance n’est pas mise en cause, mais que c’est leur partialité (c’est-à-dire, en vocabulaire juridique, l’existence de partis pris) qui interroge. Partialité politique dont souvent ils ne se gardent même plus.

Un exemple frappant tiré de l’histoire récente : leur extrême discrétion quant au précédent déshonorant de la répression judiciaire massive du mouvement des Gilets jaunes. Une répression directe, généralisée, avec des milliers de peines de prison ferme pour des primo-délinquants ; mais également une répression indirecte, qui a vu la couverture d’une violence policière débridée. Et ce malgré les nombreux éborgnés et amputés, qui n’ont guère occasionné de poursuites, et bien sûr aucun mandat de dépôt.

La décision d’incarcération du policier auteur du tir mortel sur Nahel était judiciairement injustifiée au regard des six premiers alinéas de l’article 144, mais reposait probablement sur le 7e. Il s’agissait de prendre une décision spectaculaire et médiatisée, destinée à tenter de désamorcer la colère. Il est donc difficile de contester l’utilisation du critère du « trouble à l’ordre public ». Et ce d’autant que la mise en examen pour « homicide volontaire », qualification criminelle, le permettait. Mais cela établit une chose qu’il est difficile de contester : nous sommes là en présence d’une décision politique. Une décision réclamée par le parquet et donc voulue par le pouvoir.

L’incarcération dans l’affaire de Marseille obéit quant à elle aux mêmes considérations. L’infraction a été qualifiée en application de l’article 222-8 du Code pénal qui considère comme criminels « les coups et blessures volontaires en réunion » commis par des agents publics. Juridiquement possible, le mandat de dépôt d’un des protagonistes poursuit lui aussi des objectifs politiques. Mais des objectifs politiques qui ne sont pas les mêmes, cette affaire n’ayant pas eu les mêmes conséquences que celle de Nanterre en matière de trouble à l’ordre public. Il s’agit probablement d’envoyer un message à la police sous la forme d’un rappel à l’ordre après la « licence » dont elle aurait bénéficié pour juguler émeutes et autres pillages après l’affaire de Nanterre. En clair, on confirme à la police que frapper les couches populaires qui constituaient le gros des Gilets jaunes, ça passe, mais que le lumpenprolétariat, présenté par les belles âmes comme une jeunesse en révolte, pas touche.

C’est pourtant condamnable dans les deux cas, la loi étant la même pour tous.

Et tout le poulailler politique de s’offusquer et de caqueter en prenant la pose pour affirmer ses exigences républicaines et son saint respect des grands principes.

Emmanuel Macron est bien embêté, car en adepte proverbial du « en même temps », il sait l’importance décisive de la complaisance judiciaire apportée à son système, mais également le nécessaire soutien policier à son régime vermoulu. Alors il a quand même fini par prendre la parole en ménageant une fois encore la chèvre et le chou, c’est-à-dire les deux institutions qui lui sont indispensables pour tenir. Pour finir par conclure par cette solennelle sentence : « Nul en République n’est au-dessus de la loi ».

Eh bien si, M. le Président, il y a plein de gens dans votre système qui sont au-dessus de la loi.

À commencer par vous-même, ce qui est fort normal en raison de votre immunité constitutionnelle.

Mais également par l’indulgence judiciaire dont vous bénéficiez pour vos activités antérieures à votre entrée à l’Élysée, indulgence étendue à vos amis. Jusqu’à présent François Bayrou, Richard Ferrand, Alexis Kholer, Thierry Solère, Olivier Dussopt, François de Rugy, Jean-Paul Delevoye, Muriel Pénicaud, Agnès Buzyn, Bruno Le Maire, les dirigeants de McKinsey France, les protagonistes de l’affaire Alstom, ceux de l’affaire du fonds Marianne, de l’affaire Bpifrance, etc. Tous ceux-là et bien d’autres encore sont au-dessus de la loi.

Il paraît qu’Emmanuel Macron, lors d’un dîner du 18 juillet dernier, aurait félicité ses ministres avec ces mots : « on peut collectivement être très fier de ce qui a été fait ces derniers mois ». Au vu des évènements de cette année 2023 qui a suivi sa réélection, c’est à croire que l’effondrement de l’État français est bien son projet. Ou bien que sa perception du réel est lourdement obérée.

Parce qu’au fond, le spectacle de cet affrontement police-justice ne raconte rien d’autre que la crise d’un régime corrompu, qui ne maîtrise plus rien et s’en remet à aggraver sa dérive autoritaire.




Meurtres de masse en EHPAD : l’état meurtrier

[Source : Jean-Dominique Michel]




OMS : vers un putsch mondial ?!

[Source : Jean-Dominique Michel]

Un futur pédocriminel et totalitaire vous tente-t-il ?! Si oui, faites confiance à l’OMS ! Sinon, il est urgent de bloquer cette organisation sur le point, semble-t-il, de commettre un putsch planétaire…

[Note de Joseph : Jean-Dominique Michel évoque « la disparition tout à fait étonnante de la grippe » lors de la plandémie Covid, mais il n’y a rien d’étonnant à cela lorsque l’on abandonne la théorie virale fallacieuse (voir le dossier Vaccins et virus, y compris pour ce qui concerne les « virus » — en fait les « exosomes » et autre déchets génétiques — trafiqués en labo P4 : C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !). En se basant sur divers témoignages et constats de personnels soignants, il apparaît que la grippe a été rebaptisée le plus souvent Covid-19 en 2020, sauf par quelques médecins qui ont simplement reconnu la grippe chez leurs patients grippés. Peut-être ne regardaient-il pas la télévision pendant cette période.
Existe-t-il par ailleurs un moyen de bloquer une institution internationale privée, l’OMS, qui est financée et soutenue par les mêmes oligarques qui contrôlent la finance, les médias mainstream, les politiciens corrompus, l’enseignement universitaire subventionné et les multinationales, dont celles de la pharmacie ?
L’édifice du Nouvel Ordre Mondial repose cependant sur la théorie virale pour imposer les mesures prétendument « sanitaires » et cette pierre angulaire en est le point faible. Si on la retire, l’édifice s’écroule.]

[Voir aussi :
OMS : Un pass de plus vers le Nouvel Ordre Mondial. Le « passe sanitaire » de l’UE est adopté à l’échelle internationale
Les propositions de l’OMS menacent la relation médecin-patient et l’autonomie personnelle
OMS : le nouvel ordre mondial par la santé
Une journaliste vedette de Fox News dévoile ce que des sites « complotistes » avaient révélé depuis des mois : le document Rockefeller sur un scénario pandémie publié en 2010
La crise de la covid-19 prévue en 2010 par la fondation Rockefeller ?]




Une bataille perdue n’est pas une défaite, c’est un épisode…

[Source : place-armes.fr]

Par Éric VIENNE

La Marche de la Fierté Française 2023 aura lieu !

Le gouvernement a sournoisement œuvré pour nous empêcher de marcher le 13 mai dernier à Paris.

[Voir :
La Marche de la Fierté Française a été interdite]

Il a gagné cette bataille contre la liberté d’expression, mais n’a pas entamé notre détermination patriote et légaliste : il l’a décuplée !

Nous marcherons donc le 11 novembre 2023 en un lieu que nous vous préciserons en temps utile (et dans le délai légal) puisque notre « manifestation » sera déclarée.

Comme pour la MFF 2022, nous défilerons dans le calme, la sérénité et la fierté d’être de ceux qui défendent notre beau pays contre les destructeurs d’histoire, de culture et d’avenir dont vous êtes complice.

Nous, anciens militaires, avons appris l’opiniâtreté, la fierté, l’esprit de cohésion dans la difficulté. Tout ce que la majorité des membres du gouvernement, n’ayant même pas connu le service militaire, n’ont pas appris sur les bancs de Sciences Po ni de l’ENA.

Nous ne lâchons rien !

Car notre cause est juste et désintéressée. Le 11 novembre 2023, nous serons là avec nos membres, nos soutiens civils, nos sympathisants et toutes les formations patriotes que nous accueillerons sous la bannière de « l’union sacrée » ! A vos agendas, à vos drapeaux !

Éric VIENNE
Secrétaire général




Marche de la Fierté Française

[Source : place-armes.fr]

Il y a quelque temps, j’ai diffusé un mail intitulé « mise au point » ; j’ai reçu de très nombreuses réponses en accord avec mon écrit, en dehors de la personne dont j’avais joint les récriminations.

Cela prouve que les Français comprennent que l’armée d’active n’a pas actuellement la possibilité d’agir. D’autant, comme je l’ai déjà évoqué, que les hauts gradés sont désignés par le pouvoir politique, qui fait ses choix en fonction de la « docilité » des officiers supérieurs susceptibles d’atteindre ces grades.

Par ailleurs, on ne peut pas compter sur les élus, incapables de s’entendre pour voter une motion de censure.

C’est donc le peuple qui doit mener le combat.

Dans ce cadre, je joins l’invitation du président de « place d’Armes » qui appelle à la participation, à la Marche de Fierté Francaise du 13 mai à Paris, de toutes les associations, personnalités… qui s’opposent à la dictature actuelle (voir la courte vidéo ci-dessous).

Cette initiative s’inscrit dans un projet fédérateur : la création d’un « collectif » qui regrouperait un grand nombre d’associations, groupements…, hostiles au pouvoir macronien ; chaque association gardant bien sûr son autonomie.

En effet, je reçois de nombreux mails émanant de structures diverses opposées au gouvernement, qui, à mon avis, gagneraient à travailler ensemble.

Reste à définir les modalités pratiques.

Jacques Amiot

[Voir aussi :
APPEL AU PEUPLE DE FRANCE]

LE SITE ENGAGÉ DE LA COMMUNAUTÉ MILITAIRE

Unis le 13 mai pour sauver la France

Notre pauvre France va mal.

Des idéologies mortifères l’attaquent et la confusion y règne.

Moralement, socialement, économiquement, sécuritairement, démographiquement, elle s’effondre et a perdu sa souveraineté par la mauvaise gouvernance et l’irresponsabilité d’une partie corrompue de ses élus. De plus notre nation est inféodée aux institutions d’une Union Européenne gangrénée par une oligarchie financière et marchande dont la finalité est la dissolution de l’âme des peuples libres.

Peuple de France, lève-toi ! Reprends ta liberté !

C’est en ton nom que Place d’Armes organise la Marche de la Fierté Française, à Paris, le 13 mai prochain. C’est en ton nom que nous demandons aux amoureux de la France, à tous ceux qui sont fiers de leur pays, à tous les mouvements et associations patriotiques de se joindre à ce rassemblement sous un florilège de drapeaux tricolores, symboles exclusifs de notre patrie et de la liberté.

La Patrie est en danger !

Ensemble, le 13 mai,

   Pour la fidélité à nos ancêtres !

   Pour nos familles !

   Pour nos villages et nos villes !

   Pour lutter contre la précarité où nous plonge l’Etat macronien !

Levons nous et sauvons la France et les Français !

Jean-Pierre Fabre-Bernadac Président de Place d’Armes

L’appel en vidéo de Jean-Pierre FABRE-BERNADAC Président de Place d’armes

Pour des raisons de logistique et d’organisation, il est nécessaire de vous inscrire si vous souhaitez participer à la 2ème Marche de la Fierté Française.

L’itinéraire précis vous sera communiqué ultérieurement.

https://www.place-armes.fr/





Suite de l’Appel au peuple de France, chez Bercoff

Certains de mes correspondants estiment que c’est bien que des militaires de réserve mènent ce type d’action, mais déplorent « l’inaction » de l’armée d’active.

Je crois l’avoir déjà écrit, mais je rappelle qu’à mon avis, il ne faut rien espérer dans l’immédiat, car les hauts gradés des armées (généraux 5,4, voire 3 étoiles) sont choisis et désignés par le pouvoir politique, qui bien entendu fait les choix qui lui conviennent.

Les officiers et sous-officiers d’un grade inférieur, certainement en très grande majorité hostiles au pouvoir actuel, sont en fait coincés et doivent obéir ou démissionner.

Les fautifs sont en fait les politiques d’opposition incapables de s’entendre pour voter une motion de censure, ou mieux, destituer le président (article 68 de la constitution), et éliminer tout ce qui gravite autour.

Je reviens sur un point qui me paraît essentiel en commençant par une petite citation d’Étienne Chouard :

« Les politiques ne sont pas incompétents, ils sont intelligents et corrompus. Ils font leur job parfaitement contre l’intérêt général et pour les plus riches qui les ont portés au pouvoir pour ça. Dire qu’ils sont incompétents empêche de diagnostiquer la trahison ».

Contrairement à ce que j’entends souvent, Macron n’est pas incompétent. Il n’aime pas la France et s’applique à détruire notre pays en appliquant les directives de ses maîtres mondialistes, par l’intermédiaire de l’UE, dirigée par la garce Von der Leyen.

Bonne fin de week-end de Pâques.

Jacques Amiot

[Source : Place d’armes]






APPEL AU PEUPLE DE FRANCE

​[Source : place-armes.fr]

Il y a environ 2 ans, la lettre, dite des généraux, avait été largement diffusée et signée par de très nombreux militaires et civils. J’avais bien entendu fait partie des signataires.

En résumé cette lettre avait pour but d’alerter le pouvoir, les élus, et le peuple sur le déclin de la France.

Aujourd’hui ce déclin s’est malheureusement beaucoup accentué, et l’association « place d’Armes » diffuse une autre lettre que j’ai signée et que je vous transmets, pour information et éventuellement pour signature et participation à sa diffusion.

Colonel AMIOT Jacques

P.S.

Sur votre agenda, notez la date du 13 mai, date de la marche de la fierté française.


Par Jean-Pierre Fabre-Bernadac

Il y a deux ans, je terminais la lettre aux gouvernants, dite « Lettre des Généraux », par ces mots : « Si rien n’est entrepris, le laxisme continuera à se répandre inexorablement dans la société… et demain, la guerre civile mettra un terme à ce chaos croissant… ».

Aujourd’hui, la situation de notre cher pays se résume en un mot : DESASTREUSE

Nous avions le meilleur système de santé du monde, le meilleur modèle d’énergie, la meilleure école, une armée admirée à l’international, une industrie compétitive et une agriculture performante… Mais tout ce qui touchait à l’excellence n’est plus que décombre. Notre pays s’est transformé en une zone mondialisée qui s’appauvrit chaque jour davantage. Alors, la question se pose : comment a-t-on pu tomber aussi bas aussi vite ? Qui est responsable et pourquoi rien n’a été entrepris pour redresser ce pays et protéger sa population ? Seule réponse : l’État.

Françaises, Français, il est temps de demander des comptes aux gouvernants qui depuis plus de trente ans, n’ont pas respecté leurs mandats. Ils n’ont endigué ni l’insécurité, ni l’immigration incontrôlée, et ont aggravé la précarité des plus démunis. MM Sarkozy, Hollande et surtout Macron sont les exemples de Présidents ayant déprécié la fonction politique suprême :

  • Nicolas Sarkozy bafoue la victoire du NON au référendum sur la constitution européenne de 2005 en faisant adopter le traité de Lisbonne grâce à la tenue du congrès du Parlement.
  • François Hollande restreint notre énergie nucléaire pour complaire aux lubies écologistes posant les bases des problèmes énergétiques actuels.
  • Emmanuel Macron sans hésiter fait tirer à balles de défense sur les « gilets jaunes » venus manifester pour le maintien de leur niveau de vie et l’élaboration d’initiatives citoyennes. Au Qatar et en Afrique il a un comportement indigne de la fonction présidentielle. Enfin en s’acharnant à faire passer un projet de loi inique, contre le monde du travail, il prend le risque de susciter un climat de violences sociales incontrôlées. 

En conséquence de tous ces échecs, de ces trahisons et de ces mensonges, la France n’est plus considérée comme une grande Nation. Notre pays, subordonné aux institutions européennes s’efface devant l’impérialisme américain, l‘irrédentisme russe et la puissance économique allemande. Il peut, demain avec le conflit Ukrainien courir vers la guerre sans l’accord de notre peuple.

Nous, anciens militaires, ne pouvons cautionner, comme la majorité de nos compatriotes, une telle dérive contraire à notre éthique.

NON, la France des clochers et des cités séculaires n’a pas dit son dernier mot ! Rien n’est inéluctable, tout n’est pas perdu.

C’est pourquoi, nous, les Aînés, affirmons et écrivons ce que d’autres, dans leurs milieux respectifs : militaires, salariés, enseignants, exploitants agricoles, artisans, industriels magistrats, fonctionnaires… ne peuvent ou n’osent pas exprimer.

Français cessez de croire les mensonges des gouvernants et des médias qui leur sont inféodés. Soutenez en actes ceux qui ne transigent pas, qui ne mentent pas et qui ne se parjurent pas.

Aujourd’hui, face à la contestation légitime, l’Etat Macronien jette en pâture les forces de l’ordre et ce dans un seul but : se repositionner en sauveur d’une situation de pourrissement dont il est l’instigateur.

Ne vous laissez pas berner ! … La France a besoin de vous : Réagissez ! Rejoignez la résistance !

Gens de cette terre, le sang de nos Pères n’a pas été versé pour le profit d’une caste oligarchique.

Levons nous ! Renouons sans apriori avec l’Union Sacrée !

SAUVONS LA FRANCE et LES FRANÇAIS car, comme l’écrivait Georges ORWEL :

« Un peuple qui élit des corrompus, des renégats, des imposteurs et des traîtres n’est pas victime ! Il est complice ».

Jean-Pierre Fabre-Bernadac
Président de Place d’Armes

Personnalités cosignataires (par ordre alphabétique)

  • • SAR le prince Charles de Bourbon-Parme
  • • Henri Bec, magistrat en retraite
  • • André Coustou, général (2S)
  • • Tony Cursio, figure historique des Gilets Jaunes
  • • Dominique Delawarde, général (2S)
  • • Mohamed Djaffour, adjudant (ER), ancien combattant et président de l’Association « Générations Harkis »
  • • Claude Dupont, commissaire divisionnaire honoraire de la Police nationale
  • • Charles Gave, chef d’entreprise
  • • Roland Hureaux, haut fonctionnaire
  • • Dominique de Lorgeril, contre-Amiral (2S)
  • • Dominique Matagrin, magistrat honoraire et ancien président de l’AMP (Association professionnelle des Magistrats)
  • • Daniel Péré, colonel (ER) et président des OPEX de France
  • • Emmanuel de Richoufftz, général de Division (2S)
  • • Olivier Tournafond, professeur des Universités
  • • Philippe de Veuille, avocat au barreau de Paris

JE SIGNE






C’est à mon tour de dire la vérité — par Laetitia Moreau

Lettre de Mme Laëtitia MOREAU, épouse du Capitaine MOREAU de la Gendarmerie de Merceuil en BOURGOGNE

Si certains de nos politiciens sont corrompus et maintenant nos militaires étoilés où va-t-on ? L’intimidation a toujours existé, mais chez les truands !!!! Pas par les représentants de notre pays… LA FRANCE.


C’est à mon tour de dire la vérité

Par Laetitia Moreau

Pour la première fois (et peut-être la dernière, car je préfère l’ombre à la lumière), j’ai décidé de prendre la parole et de vous faire savoir la vérité de ce que mon époux et moi vivons actuellement.

Quand mon époux, capitaine si atypique, a publié « Vérités d’un capitaine de gendarmerie » en octobre 2020, devenu aujourd’hui best-seller avec plus de 18 000 exemplaires vendus, nous étions tous les deux conscients de la portée de cet acte et des sanctions qu’il encourait. Nous les avons d’ailleurs assumées, sans dévier ni céder, lorsque la ministre des armées Florence Parly l’a blâmé ou lorsqu’on lui a signifié ses 40 jours d’arrêt le dernier jour d’active.

La rupture du devoir de réserve est un acte qui n’est pas anodin. C’est en pleine conscience qu’il l’a fait, et avec mon plein accord et soutien. Pourquoi ?

Parce qu’en tant que citoyenne française engagée, qui travaille depuis l’âge de 19 ans, qui acquitte ses impôts, qui respecte la loi, qui élève ses enfants avec des valeurs de vertu, de courage, de travail et de respect, qui ne demande jamais rien à l’État, j’ai considéré que le devoir de vérité était préférable au devoir de réserve. Parce que j’en ai assez de l’hypocrisie, du « pas de vague » et surtout de voir la France devenir un pays où le droit est bafoué, où la justice n’est plus, où l’harmonie a cédé la place à la violence.

Que l’on apprécie ou pas la personnalité atypique du Capitaine Hervé Moreau, ce qu’on ne peut pas nier c’est que c’est un homme courageux, qui fait passer ses convictions et l’amour de son pays par-dessus tout.

Depuis la sortie de son second livre « Candidat Libre : révélations d’un homme d’honneur en politique » mi-novembre, je tiens à révéler aujourd’hui que nous subissons des actes d’intimidation et de discrimination incessants de la part des Hautes Instances de la Gendarmerie Nationale.

Je dis « nous », car en visant mon époux, la hiérarchie Gendarmerie a fait de moi une victime collatérale de ses agissements sournois.

Le Capitaine Hervé Moreau a toujours soutenu et le fera encore et encore, les gendarmes remarquables qui sont sur le terrain au contact des victimes, des malfrats et de la population française. Il n’attaque pas cette gendarmerie qu’il aime tant.

Dans ses livres, il dénonce et il met à jour le comportement inadmissible de certains membres de la hiérarchie étoilée de cette belle institution, celle qui vit confortablement dans les états-majors très loin de la réalité du terrain et qui est devenue hors-sol (comme nos gouvernants), incapable de regarder la vérité en face, incapable de mener les actions nécessaires pour faire cesser l’hémorragie des départs des meilleurs gendarmes bien avant la limite d’âge, la plupart du temps par écœurement, incapable d’enrayer la détresse de ces gendarmes soumis à la violence des malfrats et à cette justice laxiste qui rend leur action inutile, et qui parfois préfèrent se donner la mort en retournant leur arme de service contre eux, laissant des familles seules et éplorées.

Depuis quelques jours, cette même hiérarchie étoilée mène de manière répétée, abusant de son pouvoir, des actions d’intimidation, de discrimination à l’encontre de mon époux tentant de l’humilier par tous les moyens possibles. Nous recevons de nombreux témoignages qui révèlent que des consignes orales (pour ne laisser aucune preuve) ont été données afin de lui interdire l’accès à tous les sites relevant de l’autorité de la Gendarmerie Nationale, interdire sa participation à toute cérémonie, tout repas de tradition, ou tout événement organisé(e) par l’institution.

Des consignes orales ont aussi été données afin qu’aucun gendarme d’active ne s’affiche en tenue auprès du Capitaine.

Il semblerait aussi qu’un général de division (dont nous avons le nom) se soit permis d’appeler le Président de l’Association Nationale du Personnel en Retraite de la Gendarmerie, dont Hervé Moreau fait partie et est un membre actif à jour de ses cotisations, afin qu’il fasse lui-même pression et demande au Président de la section de Beaune de ne plus inviter mon époux aux AG, aux événements et réunions organisés par l’association. Le Président de cette section locale a d’ailleurs eu le courage de soutenir mon époux et de leur signifier une fin de non-recevoir. Nous l’en remercions !

Ces actes minables d’intimidation et de tentatives d’humiliation démontrent la sournoiserie de leurs auteurs, ces militaires sans valeurs ni courage, qui ont oublié de servir les Français que nous sommes et surtout les victimes.

Ils ont oublié qu’ils sont payés par nos impôts et notamment ceux que j’acquitte depuis plus de 32 ans de vie active.

Les adversaires politiques de mon époux doivent s’en réjouir. Ils font partie du même club des hypocrites et « sans vertu ».

Ce que je veux vous dire aujourd’hui, c’est que mon époux ne se taira jamais, qu’il ne cédera pas à ces actes odieux et médiocres, qu’il continuera à soutenir la gendarmerie de terrain, celle qui mérite que l’on prenne des coups pour elle. C’est là qu’il puise son honneur d’officier.

Je demande solennellement à tous les citoyens français qui désirent soutenir mon époux et cette vérité qu’il clame haut et fort, qui veulent que les choses changent, que la vertu reprenne la première place, de diffuser et partager en masse mon message partout, et par tous les moyens.

La France est un État de Droit où les lanceurs d’alerte ne doivent pas être intimidés et humiliés. Ils doivent être écoutés et entendus.

Monsieur le Ministre Gerald Darmanin, entendez-vous ? NOUS NE CESSERONS JAMAIS…

NOUS RÉCLAMERONS TOUJOURS PLUS LA VÉRITÉ !

Plutôt que de nous ignorer, ayez le courage de nous faire face et entamez le dialogue constructif que nous réclamons ! Cela changerait pour une fois.

Laëtitia Moreau

Une épouse de gendarme excédée

Une citoyenne française écœurée, mais plus déterminée que jamais.




Tête à Tête entre le Professeur Perronne et Maître Carlo Brusa

[Source : videos.reaction19.fr]

Excellente interview du professeur Péronne sur la pseudo pandémie Covid 19, sur la manipulation des gouvernements (notamment celui de la France), sur le rôle très néfaste des grands groupes pharmaceutiques…
Note optimiste en fin d’interview ; il pense que tout ce système mafieux va s’effondrer.

Durée 1 h 17, mais ça vaut le coup d’écouter.

Jacques Amiot.

[À partir de 2:50]






Macron déshonore la France en donnant la légion d’honneur à Zelensky

[Source : donbass-insider.com]

Par Christelle Néant

Le 8 février 2023, lors d’une visite éclair du Président ukrainien à Paris, Emmanuel Macron a décerné la légion d’honneur à Volodymyr Zelensky, déshonorant ainsi définitivement la France.

[Voir aussi :
Macron à attribué la Légion d’Honneur à Zélensky]

Après n’avoir rien fait pour que l’Ukraine respecte les accords de Minsk, après avoir fourni des armes sans fin à Kiev pour qu’elle puisse continuer à massacrer les civils du Donbass, après avoir encouragé Zelensky dans sa folie suicidaire en refusant que la Russie puisse gagner cette guerre, poussant de fait l’Ukraine à envoyer tous ses hommes se faire massacrer pour rien (car Moscou gagnera cette guerre, même des experts militaires américains le disent) au lieu de la pousser à s’asseoir à la table des négociations, voilà qu’Emmanuel Macron vient de décerner à son homologue ukrainien la légion d’honneur, finissant ainsi de déshonorer totalement la France.

Il faut croire qu’il ne suffisait pas à Emmanuel Macron de décrédibiliser la diplomatie française par son inaction en tant que garant des accords de Minsk, de souiller l’honneur de la Nation en soutenant un pays qui glorifie les collaborateurs des nazis et les bataillons néo-nazis ukrainiens actuels, de dépouiller l’armée française de ses armes afin que l’armée ukrainienne puisse les utiliser pour tuer des civils innocents (ou les revendre au marché noir pour enrichir quelques corrompus ukrainiens), jetant ainsi la honte sur la France, il fallait qu’il aille jusqu’au déshonneur suprême, en décorant Zelensky de la légion d’honneur.

Je sais bien que cette décoration n’est plus que l’ombre de ce qu’elle était depuis longtemps, et que Macron, comme ses prédécesseurs, la distribue à tout va à n’importe qui, mais là ça dépasse les bornes. Je rappelle que Napoléon Bonaparte avait créé cette décoration, pour récompenser ceux (civils ou militaires) qui avaient rendu d’éminents services à la France !

Quels éminents services Zelensky a-t-il rendu à la France à part en faire une co-bélligérante dans sa guerre contre le Donbass et la Russie ? Pousser Paris à dépouiller son armée, faisant de la France une proie facile pour n’importe quelle puissance militaire un peu sérieuse c’est lui rendre service ? Provoquer la destruction de l’économie française à coup de sanctions stupides contre la Russie c’est rendre service à la France ? Risquer d’entraîner la France dans une annihilation nucléaire mutuelle avec la Russie tout ça pour un conflit qui n’a rien à voir avec les intérêts du pays c’est lui rendre service ? Amener la France à soutenir un pays qui glorifie les collaborateurs ukrainiens des nazis c’est rendre d’éminents services au pays ?

La France s’était déjà déshonorée en donnant la légion d’honneur à des dictateurs, mais là on a touché le fond. Mr Macron, vous êtes et de loin le pire Président français de toute l’histoire de la 5e République, et je pense même qu’on peut vous décerner le titre pour l’ensemble de l’histoire de la République française ! Vous avez osé donner la légion d’honneur à un Président qui glorifie Stepan Bandera (collaborateur ukrainien des nazis, dont les hommes ont, entre autres, massacré des juifs, et des civils polonais) et ses descendants idéologiques comme le régiment Azov (organisation extrémiste interdite en Russie) ! Pourquoi ne pas la donner à titre posthume à Hitler pendant que vous y êtes ? Mr Macron, en décernant la légion d’honneur à Zelensky vous avez totalement déshonoré la France et la fonction que vous occupez !




Macron à attribué la Légion d’Honneur à Zélensky

Par Jacques Amiot

Il n’a pas fait dans le détail puisque c’est le plus haut niveau qu’il a attribué : « Grand Croix ». Quels que soient les états de services d’un Français, il ne peut pas obtenir une distinction supérieure.

Il y est clair que je ne porterai plus ma médaille de simple légionnaire, car je ne veux plus faire partie de cette caste ; je ne renouvellerai pas mon adhésion à l’association de la Légion d’Honneur.

C’est une première réaction « à chaud », il y aura certainement une suite.

Jacques Amiot




La vérité sur le Covid avec Jean-Michel JACQUEMIN-RAFFESTIN

[Source : Nicolas Dupont-Aignan]

Jean-Michel JACQUEMIN-RAFFESTIN est l’auteur de « Ne leur pardonnez pas ! Ils savent très bien ce qu’ils font ». Il dévoile le résultat de son travail sur les sujets suivants :
– La vérité sur l’Hydroxychloroquine et l’Ivermectine ;
– La manipulation des tests covid ;
– Y a-t-il eu une épidémie ?
– Les conséquences de la vaccination.




Lettre adressée à Macron par une « vieille » dame

Rien à rajouter, c’est tout simplement superbe, fort bien écrit et sans méchanceté, mais tellement vrai ! …

[Note de Joseph : j’ai pour ma part connu plusieurs musulmans, notamment à l’université, et aucun ne ressemblait aux individus qui maltraitent la France et les Français de la manière évoquée dans le texte suivant. Ils n’étaient pas spécialement pratiquants et je n’en ai notamment jamais vu un seul s’adonner à une prière en public. Ils vivaient probablement leur religion comme le font beaucoup de chrétiens de nos jours : essentiellement de manière culturelle, peut-être parfois spirituelle, mais pas religieuse ni rituelle. Il en existe probablement encore une proportion importante de nos jours et ceux qui sont nés en France et se considèrent comme Français peuvent aussi aider le pays et la nation.]

Par Anne-Marie Tampigny

Monsieur le Président,

La vanité rend aveugle et sourd. Eussiez-vous un QI XXXL, la vanité anéantirait les capacités de vos neurones. Mais bien sûr, vous n’êtes pas concerné.

Quand on accepte le sobriquet de Jupiter, on se sent planer au-dessus du vulgum pecus, d’autant que Jupiter est le dieu romain le plus puissant du panthéon.

Mais Jupiter est aussi, à 95 %, formé de gaz. C’est dire qu’il n’a quasiment aucune consistance.

Et c’est bien ce à quoi vous nous avez confrontés, en proclamant sans cesse, avec une autorité jupitérienne, tout et son contraire, ou en traitant un jour avec morgue, du bas de votre grandeur, le chef suprême des Armées de France, ou en abreuvant quasi chaque jour le peuple français, du haut de votre humilité tartufienne, de mesures indigestes et irrationnelles, jusqu’au paroxysme de l’insupportable.

Le navire France sous le contrôle de Jupiter, guidé tantôt à la voile, tantôt à la vapeur, devient un bateau qui tourne sur lui-même quand les vents sont contraires. ENTENDEZ-VOUS, DANS NOS CAMPAGNES, LE BRUIT DES MULTIPLES MOUTONS ENRAGÉS ? … Oh oui, vous l’entendez, mais vous n’en avez cure ! …

Vous croyez encore et toujours pouvoir tout contrôler alors que tout vous échappe, et – on le voit – la panique commence à s’emparer de l’Élysée.

Si vous n’étiez pas Jupiter, cette usine à gaz, vous comprendriez qu’une étincelle suffit désormais pour embraser une France en colère.

J’étais dans les premiers rangs des manifs de mai 68 alors que vous n’étiez même pas né, je sais comment ce pays peut sortir en un instant de son endormissement, qui n’est qu’apparent malgré les doses gargantuesques de soporifiques que ses médias lui font absorber chaque jour.

Si vous n’étiez pas jupitérien, vous auriez sans doute la décence, le bon sens et l’intelligence de descendre de votre trône, et de démissionner avant qu’il ne soit trop tard, pour laisser à ce pays une chance de respirer et de se redresser.

Je suis chrétienne, j’ai 77 ans, je devrais faire partie de la majorité silencieuse parce que censée être de date périmée.

Mais voilà, je suis une Française en colère.En colère car vous saccagez mon pays, un pays que j’aime, tandis que vous en piétinez les racines et les valeurs, et que vous prenez le peuple français pour un troupeau de moutons bons à tondre, et qui ne sait que bêler bêtement, ou pleurnicher.

Vous ne connaissez ni la France, ni les Français. Quand on les tond de trop près, jusqu’à leur arracher la peau, ils sont capables, en une minute, de se transformer en taureaux furieux qui chargent en renversant tout sur leur passage.

Monsieur le Président Macron, je le sens, je le sais, si vous persistez à vous accrocher à un trône qui ne vous appartient pas et dont vous vous êtes emparé à coup de coups fourrés, ce sont des milliers de Français qui pourraient périr dans la guerre la plus cruelle et la plus horrible qui soit : la guerre civile.

Vous avez bien piétiné l‘armée : elle ne vous suivra pas, d’autant plus que vous lui avez ôté les moyens de défendre la France (vos prédécesseurs avaient déjà bien entamé cette tâche) et que vous l’avez insultée.

La police ?… Elle ne vous suivra pas : elle est excédée des ordres et contre-ordres de la Gauche depuis des décennies, excédée d’être privée de moyens logistiques, excédée d’être enrayée dans ses capacités d’action par une réglementation si tordue que souvent c’est le policier qui est intervenu contre un délinquant dangereux que l’on sanctionne, tandis que le criminel est relaxé.

Elle est excédée de servir de chair à canon à la racaille que vous chérissez tellement que vous en venez à la serrer dans vos bras avec des yeux enamourés quand même ses ressortissants vous font un « doigt d’honneur ».

La racaille des banlieues pour vous défendre ?… Elle est passée maîtresse dans l’art de se servir de votre « humanisme » candide pour tout vous soutirer – vos prédécesseurs les ont déjà bien conditionnés.

L’immigration islamique que vous dorlotez au détriment des Français, parce qu’elle représente un électorat potentiel et une « population de remplacement » ?… Elle vous considère, tout comme n’importe quel Français, comme un fétu de paille à balayer, pour pouvoir instaurer ses lois, ses coutumes barbares, sa religion moyenâgeuse, ses restrictions alimentaires, son sexisme, son racisme, sa polygamie, et tous les autres préceptes anti démocratiques de la charia et des hadiths.

Je pourrais continuer longtemps, mais je ne veux pas que cela ressemble à un réquisitoire.Je veux juste vous adresser une supplique : Monsieur le Président Macron, par amour de la France, je vous en conjure, partez !…

C’est une vieille Française qui vous parle, une vieille Française contrainte de conduire pour survivre puisqu’elle est en rase campagne et qu’il faut bien aller chercher son pain quotidiennement, une vieille Française dont le fuel dont elle se chauffe a augmenté de 40% en quelques mois, et qui subit une csg en courant ascensionnel perpétuel, tandis que sa retraite plane désespérément au-dessous du seuil de survie.

Pourtant, ce n’est pas pour moi que je suis en colère, je suis en colère pour ce que vous faites à la France, pour le seul profit d’une caste avide et méprisante, et pour la plus grande satisfaction de hordes d’envahisseurs dont une grande partie est composée de malfaisants et de terroristes.

J’ai mal à la France, SVP, PARTEZ !

Anne-Marie Tampigny




GRAVES DANGERS DU MONDIALISME

[Source de l’illustration : casimages.com]

Par Colonel AMIOT Jacques

Je ne prétends pas avoir raison ; cet écrit, comme les autres, n’est qu’un résumé de mes réflexions. Il y a cependant une constante ; comme les précédents, il est en opposition totale à Macron, son gouvernement, les médias aux ordres, et à tous les traîtres qui détruisent la France. Ils devront un jour prochain répondre de leurs méfaits, car ils savent ce qu’ils font.

Il ne faut rien attendre des grands médias subventionnés, car ils appartiennent à ceux qui ont propulsé Macron au pouvoir.

Pour les internautes, notamment ceux qui font partie depuis peu de ma liste de diffusion, je joins deux écrits qu’ils pourront lire s’ils le souhaitent. Cependant il est possible de se contenter du présent document, qui est une synthèse de mes différents écrits. Elle présente l’évolution de ma réflexion, de plus en plus axée sur les menées nuisibles du mondialisme qui sont à la source de tous les graves problèmes subis par le monde occidental, et à l’origine de conflits.

Dans un premier temps (à partir de 2012), mes écrits se sont principalement rapportés aux dangers de l’immigration, notamment islamique.

J’en fais un résumé très succinct :

  • La laïcité chère au Français vole en éclats sous la pression de l’immigration incontrôlée, notamment islamique. L’Islam n’est pas qu’une religion ; c’est une idéologie totalitaire (loi islamique).
  • Progression rapide du nombre de musulmans en France (1,23 % de la population en 1968 et 11,94 % en 2009 ; chiffres officiels) ; depuis l’INSEE ne fait plus ce type de statistiques !
  • Naïveté du peuple et de nos dirigeants, principalement de gauche. Laxisme de ces derniers, malgré les alertes des services de renseignements et même de musulmans lucides, notamment des femmes.
  • Attitude incompréhensible de nos dirigeants, d’autant que les islamistes ne cachent pas leur volonté d’islamiser le monde.
  • Manipulation et fanatisation des jeunes par les imams et autres prédicateurs (large diffusion de versets vindicatifs du Coran, de sourates…). Rejet de la civilisation et des valeurs occidentales.
  • Importance des minorités agissantes capables de manipuler les masses (communisme, fascisme, et maintenant islamisme).
  • Tolérance inacceptable de l’implantation de « zones de non-droit », appelées pudiquement « zones sensibles ».

Je joins cependant ce premier écrit de 2012, pour ceux qui seraient intéressés :

Réflexions sur l’islamisme à l’intention des naïfs

Lorsqu’un problème me préoccupe, je mets généralement mes idées sur le papier afin de mieux les structurer. C’est ce que je fais ci-après de manière résumée à propos de l’islamisme, car je pense que la laïcité chère aux Français va voler en éclat sous la pression de cette idéologie dans les prochaines décennies en raison de la naïveté du peuple et surtout d’une grande partie des hommes politiques notamment de gauche qui porteront une lourde responsabilité.

Mon propos n’est pas guidé par des idées racistes ou d’ordre confessionnel. J’ai souvent voyagé et je respecte les religions, croyances, modes de vie des pays que j’ai visité : Afrique du Sud, Birmanie, Cambodge, Chine, Inde, Mexique Népal, Thaïlande, Vietnam… ainsi que de nombreux pays musulmans (Égypte, Jordanie, Maroc, Tunisie, Turquie…).

Ce que j’ai constaté dans beaucoup de ces pays c’est, qu’en temps qu’étranger, il était très prudent de respecter les règles et coutumes sinon on risquait de graves ennuis et je constate qu’en France comme dans beaucoup de pays occidentaux on peut par contre braver les règles, traditions et coutumes, fouler aux pieds les symboles sans beaucoup de risques. Cela me paraît très dangereux, car je pense qu’une nation ou une civilisation qui ne défend pas ses valeurs et ne fait pas respecter les règles qu’elle s’est données coure à sa perte.

La démocratie, la liberté d’expression, d’agir, de se comporter c’est bien, mais il y a de mon point de vue des limites à ne pas dépasser, car le laxisme à toujours conduit à de graves désillusions.

Je pense qu’en France on fait preuve de beaucoup de naïveté et je vais revenir un peu sur l’histoire récente pour étayer mon propos.

Dans les années 30 du siècle dernier, on pensait beaucoup au progrès social, je pourrais presque dire qu’une grande partie du peuple et beaucoup d’hommes politiques ne pensaient qu’à ça (Front populaire…). Pourtant les services de renseignement savaient que les troupes de l’Allemagne nazie allaient tôt ou tard déferler sur notre territoire ; ils en avaient informé nos dirigeants, mais ces derniers étaient bien trop occupés à essayer de satisfaire les aspirations sociales du peuple pour les écouter. Dans cette période le summum de la naïveté, de la bêtise et de la lâcheté a été incarné par Daladier lorsqu’il a signé bien inutilement les accords de Munich avec Hitler en automne 1938. On sait que Daladier a subi la pression de son homologue anglais Chamberlain, mais des hommes d’État dignes de ce nom devraient savoir prendre leurs responsabilités et écouter les agents payés pour les informer surtout quand il y a péril en la demeure comme c’était le cas. On connaît la suite et on ne s’en serait pas sorti sans l’intervention massive des forces alliées.

Pendant la Guerre froide, la naïveté d’une partie du peuple et des hommes politiques (principalement de gauche) a été au-delà du ridicule. Beaucoup croyaient au « petit jésus soviétique », de la volonté de paix des soviets à la réussite économique et sociale du régime. Dans les armées, on était un peu informé de la réalité des choses par les services de renseignement, que ce soit des plans d’invasion de l’Europe de l’Ouest à la pauvreté en passant par la répression, le goulag… Il a fallu attendre la chute du mur de Berlin pour que beaucoup comprennent ; et encore, ils n’ont pas tous compris !

Dans cette période de Guerre froide, nous avons eu la chance d’être protégés par le parapluie nucléaire de l’OTAN qui a réussi à dissuader les soviets. Sans lui notre invasion programmée serait rapidement devenue réalité.

Bref, j’ai le sentiment que l’histoire se renouvelle et qu’aujourd’hui une grande partie du peuple et beaucoup de dirigeants font preuve d’une grande naïveté par rapport à l’islamisme.

L’islamisme ce n’est pas une religion, ce n’est pas l’islam ; c’est une idéologie politique qui, comme toutes les idéologies, porte en elle la volonté de domination, d’occupation et qui de ce fait me paraît aussi dangereuse que le fascisme ou le communisme même si le mode d’invasion est différent. Comme le danger est différent puisqu’il est insidieux et surtout interne ce n’est ni une intervention extérieure ni l’OTAN qui pourra nous en préserver.

Pourtant il semble bien que les services de police et de renseignement avertissent les politiques. Par exemple on a pu voir circuler sur Internet une vidéo intitulée « rapport DGSE » tout à fait claire à ce sujet. Ce n’est pas un hoax (canular), car elle n’est pas répertoriée comme telle et on peut toujours la visionner en tapant : « rapport DGSE » sur Google. La personne qui parle se sachant filmée fait une présentation pondérée, mais j’aimerais en privé savoir ce qu’elle pense vraiment.

De nombreuses personnalités tirent également la sonnette d’alarme y compris des musulmans et notamment des femmes cultivées très réalistes par rapport à l’islamisme dont elles connaissent bien les dangers. L’intervention à l’automne de l’Iman de Drancy est très instructive à ce sujet on peut la trouver sur Internet en tapant sur Google « Iman de Drancy ».

Si on fait quelques recherches sur Internet, on s’aperçoit d’ailleurs que les islamistes ont clairement annoncé leur intention de dominer l’Europe, voire le monde.

Les radicaux utilisent les aspects guerriers et vindicatifs de nombreuses sourates du Coran et des hadiths pour fanatiser les masses musulmanes et provoquer le rejet et même la haine des « infidèles » occidentaux.

On me dit quelquefois que le christianisme a été aussi très agressif et très vindicatif. J’en conviens, qui n’a pas entendu parler des guerres de religion, des croisades, de l’inquisition ? Mais ce qui m’inquiète c’est le présent et surtout l’avenir et pas ce qui s’est passé il y a plusieurs siècles.

On me dit aussi que beaucoup de musulmans veulent vivre paisiblement ; c’est peut-être vrai, ceux qui sont venus il y a plus de cinquante ans en France avaient la volonté de s’intégrer (mon père en a embauché dans sa petite entreprise), mais il est certain que leurs petits enfants ne sont pas tous dans les mêmes dispositions d’esprit.

On me dit également que les islamistes radicaux sont en petit nombre ; oui, pour l’instant. Au début du 20siècle, les communistes étaient peu nombreux en Russie, mais en 1917 ils ont imposé un régime dictatorial qui a duré plus de 70 ans ; la première fois que le parti fasciste s’est présenté aux élections en Allemagne il a obtenu un peu plus de 2 % des voix. On connaît la suite.

Il me paraît particulièrement dangereux de minimiser voire d’ignorer la capacité de nuisance des activistes. On devrait se souvenir de ce qu’est capable de réaliser une petite minorité déterminée et agissante face à une masse passive. On sait très bien que dans les banlieues les radicaux sont très actifs notamment envers les jeunes qui depuis toujours ont été la cible privilégiée des idéologues (jeunesses communistes, jeunesses hitlériennes…). On entendra certainement un jour parler des jeunesses islamistes, d’ailleurs elles existent déjà dans certaines banlieues même si elles ne sont pas encore structurées et si les médias ignorent leur existence.

Il y a quelques années on n’entendait pas parler des revendications des musulmans, mais maintenant elles sont très nombreuses et le plus souvent à caractère religieux. Elles ne peuvent que s’accroître et devenir systématiques avec l’augmentation continue de la population musulmane et l’oreille attentive d’une partie des pouvoirs publics. La volonté, qui fait tache d’huile, manifestée par les musulmans radicaux de modifier les règles du jeu, notre culture et notre mode de vie est évidente. Il n’y a même pas besoin d’aller dans les banlieues chaudes pour s’en rendre compte. Cela ne me plaît pas et je fais le raisonnement, que certains trouveront peut-être basique, mais qui me paraît logique, que c’est à ceux qui viennent en France, souvent pour profiter d’avantages, de s’adapter à notre culture et pas l’inverse.

Je suis peu pratiquant, mais je constate que la France, comme beaucoup de pays d’Europe occidentale, a une culture façonnée depuis deux millénaires par l’influence du christianisme (la séparation de l’église et de l’état depuis plus d’un siècle n’y change rien), que ce soit au niveau du mode de vie, des traditions ou de l’architecture (églises, cathédrales, abbayes, monastères…) ; même dans la nature (que je fréquente beaucoup) on rencontre de multiples témoignages de notre passé chrétien (croix, calvaires, chemins de croix, chapelles,), au bord des chemins, au sommet des collines et même des montagnes… Il suffit de regarder une carte IGN au 1/25000 pour s’en rendre compte. Je m’estime tolérant, mais cependant je n’accepte pas l’idée d’une modification en profondeur de notre mode de vie, de notre patrimoine historique et en définitive de notre culture ; je pense que je ne suis pas le seul.

En France le laxisme des autorités me révolte. Les agressions de lieux de culte chrétiens, de cimetières… se multiplient sur notre propre territoire pratiquement dans l’indifférence. Sans beaucoup de réactions on peut brûler le drapeau, diffuser une photo (de plus primée par la FNAC) d’un énergumène se torchant avec, siffler l’hymne national, vendre des milliers de disques de rappeurs vomissant leur haine du pays où ils vivent, sans parler des casses, agressions multiples… qui sont presque toujours l’œuvre de populations issues de l’immigration principalement musulmane. Quand une nation laisse profaner ses symboles, il y a du souci à se faire. Dans beaucoup de pays étrangers, on emprisonne pour beaucoup moins que ça.

Toutes les exactions n’émeuvent pas beaucoup les médias qui systématiquement ignorent ou minimisent les forfaits commis. Ils sont beaucoup plus prompts à relayer les réactions d’indignation du MRAP, de SOS racisme et autres associations bienpensantes quand un « jeune » (fautif) est soi-disant agressé par la police, par exemple à l’occasion d’une course poursuite qui se termine mal pour le ou les fuyards.

Même si les médias n’en parlent pas on sait que la persécution des chrétiens dans le monde est en nette augmentation notamment dans les pays musulmans et il apparaît que ce sentiment antichrétien s’insinue dans la population musulmane vivant en France.

« L’invasion islamique » est de plus largement favorisée par le soutien de nombreux élus de gauche : Delanoë à Paris, Aubry à Lille, Ries à Strasbourg et tous les autres, sans parler de Vauzelle président de la région PACA qui se déclare fier d’être président d’une grande région musulmane ! On croit rêver. Que cherchent-ils ? L’anéantissement de notre civilisation ? Pour la remplacer par quoi ? Sans une vive réaction, un jour, peut être pas très éloigné, un énergumène de ce type pourra se dire fier d’être président d’une grande république islamique.

Il existe en France de vastes zones de non-droits où les forces de l’ordre ne peuvent pas pénétrer sauf en masse à l’occasion d’opérations trop rares et où se développe une économie souterraine florissante. Là aussi ces zones sont occupées pour une grande part par une population issue de l’immigration et les émeutes qui y éclatent régulièrement à propos de n’importe quel prétexte sont le résultat d’une tension constante générée par des populations non intégrées et qui pour beaucoup ne souhaitent pas l’être. J’estime que cela est inadmissible dans un état de droits et que c’est une preuve supplémentaire de notre incapacité à gérer un volume trop important d’immigrés.

Nous sommes de plus dans une situation économique difficile, nous avons un chômage trop élevé et certainement pas la capacité de donner du travail à une masse très importante d’immigrés souvent sans qualification attirés par nos avantages sociaux, la possibilité de se faire soigner et opérer gratuitement… ce qui représente un énorme gouffre financier. Tous les jeunes issus de l’immigration sans travail qui traînent dans les banlieues sont des proies faciles pour les islamistes radicaux.

Il n’existe pas de chiffres officiels, mais en 1968 les musulmans représentaient environ 1,2 % de la population, 3,6 % en 1988 et plus de 10 % en 2009. C’est une progression trop importante et si on trace une courbe sur un graphique on constate qu’elle est très ascendante ; elle ne peut continuer qu’à monter fortement en raison de deux facteurs qui se conjuguent : l’immigration et la natalité importante chez les musulmans ; en effet, même si cette dernière a un peu diminué elle reste beaucoup plus élevée que dans la population de souche. Le pourcentage de musulmans en France va donc devenir très important et dans quelques décennies il risque fort de dépasser les 50 %.

Or on sait très bien qu’au-delà d’un certain pourcentage il n’y a plus intégration, mais juxtaposition de cultures. Je ne suis pas historien, mais il me paraît clair que la juxtaposition de cultures sur un même territoire aboutit le plus souvent à des conflits graves d’autant qu’il y a d’un côté des islamistes activistes animés d’un esprit de domination et de l’autre des citoyens déterminés à ne pas se laisser submerger. Un sentiment hostile à l’Islam se développe en France en réaction à sa pénétration et on ne peut pas exclure sa radicalisation au détriment des musulmans qui souhaitent s’intégrer ; une action provoque toujours une réaction, c’est une loi générale.

Les mentalités des communautés sont beaucoup trop divergentes pour pouvoir espérer sur le long terme une coexistence pacifique. Certains leaders politiques d’autres pays ont eu le courage de déclarer que le multiculturalisme était un échec ; je partage cet avis.

Un des pays où les musulmans sont les plus nombreux est l’Inde (plus de 100 millions), mais il y a en face plus d’un milliard d’hindous et il est évident que les autorités indiennes n’ont pas du tout l’intention de se laisser déborder par leur minorité musulmane comme c’est le cas en occident.

Il y a eu en France dans un passé récent des flux migratoires importants notamment d’Italiens, mais la culture de ces populations est très proche de la nôtre et en une génération elles se sont totalement intégrées ; ce ne sera pas le cas des populations islamiques pour qui le religieux à une grande importance. À peine libérés de leurs dictateurs, les peuples du sud de la Méditerranée portent largement en tête des élections les partis islamistes et les futurs dirigeants déclarent vouloir gouverner selon la Charia, mode de gouvernance totalement opposée à notre conception laïque.

Comment en occident laïque et notamment en France concevoir l’existence d’un parti religieux ? C’est pourtant ce qui nous attend avant que ce parti, s’appuyant sur le nombre, devienne dominant parce que l’on n’aura pas su limiter l’immigration et obliger les populations issues de cette immigration à s’adapter à nos principes et valeurs et que par naïveté, faiblesse et bêtise on les aura laissés imposer leur culture, leur mode de vie et leur religion.

Pour éviter ce scénario pessimiste il faudrait prendre rapidement un certain nombre de mesures : limitation importante de l’immigration notamment en provenance d’Afrique ; imposer aux musulmans de s’adapter à nos règles et à notre mode de vie et pas l’inverse même si on peut accepter quelques adaptations ; faire preuve d’une très grande fermeté face aux exactions et provocations diverses, en particulier donner le choix à ceux qui manifestent leur haine de la France entre de sévères sanctions ou le départ vers des pays où ils se sentiront mieux ; surveiller étroitement les meneurs et prédicateurs islamistes et les sanctionner sans faiblesse où leur demander de faire le choix d’un autre pays ; ne plus accepter l’inacceptable c’est-à-dire l’existence de zones de non-droit « gouvernées » par des populations issues de l’immigration où la propagande bat son plein comme les trafics de toutes sortes…

En fait je ne crois pas à la volonté des politiques et surtout pas à ceux de gauche qui au contraire font tout pour accélérer le mouvement et qui feront preuve d’une grande complaisance avec l’Islam s’ils reviennent au pouvoir.

L’histoire se renouvelle et les mêmes causes produisent toujours les mêmes effets. Dans les années 30 du siècle dernier, le peuple et nos dirigeants voulaient à tout prix la paix avec l’Allemagne, mais par naïveté et lâcheté on a eu la guerre. Aujourd’hui on ne veut pas froisser les musulmans, on ne veut pas enflammer les banlieues…, alors par naïveté et faiblesse on n’agit pas et on laisse la situation se dégrader. Cette attitude ne nous mettra pas à l’abri de graves difficultés, bien au contraire.

Comme on le voit, les données en ma possession ne m’incitent pas à l’optimisme pour l’avenir. Je souhaite me tromper et je suis preneur d’arguments crédibles et solides infirmant mon analyse, mais de grâce en évitant les affirmations lénifiantes et fallacieuses du « politiquement correct » que l’on entend trop souvent.

Début 2016 ma réflexion s’est modifiée sur un point essentiel, par la lecture d’un document de deux pages que j’ai souvent cité « l’heure de vérité » du père Henri Boulad. J’ai découvert que je faisais une grosse erreur en distinguant l’islamisme et l’Islam.

En effet, le père Henri Boulad souligne avec justesse que le problème se situe dans les fondamentaux de l’Islam. Je joins ce document, à relire éventuellement :

[Au lendemain des attentats de Paris du 13 novembre 2015]

L’HEURE DE VÉRITÉ

Lettre sereine aux musulmans ouverts, modérés et libéraux:

J’imagine votre embarras et votre confusion face à cette horreur, que vous condamnez sans doute du plus profond de vous-mêmes. Vous sentez bien cependant que c’est l’islam lui-même qui est incriminé, car c’est bien aux cris d’ «Allahou akbar» que s’est perpétuée cette tragique agression.

N’essayez surtout pas d’exonérer l’islam de ce qui s’est passé. Ne continuez pas à répéter ce refrain bien connu, suite à toutes les horreurs commises par les islamistes dans le monde : «Tout ça n’a rien à voir avec l’islam». Ne criez surtout pas à l’« amalgame », manière élégante de dédouaner l’islam des violences récurrentes perpétrées en son nom.

C’est incongru d’affirmer que tout ce qui se passe comme atrocités au nom de l’islam n’a rien à voir avec l’islam. Un certain occident « libéral » et une certaine Eglise catholique, tous deux partisans de l’ouverture et du dialogue, ne cessent de ressasser de tels slogans, sans chercher à aborder les vrais problèmes, dans un dialogue franc et ouvert.

L’« heure de vérité » a sonné, et il est grand temps de reconnaître que l’islam a un problème. Un problème qu’il doit avoir le courage de regarder en face et de tenter de résoudre en toute objectivité et lucidité. Ce n’est pas en enfouissant sa tête dans le sable qu’on peut espérer trouver une solution.

Je ne doute nullement de la sincérité et la bonne volonté des musulmans ouverts et modérés. Mais là n’est pas la question. On peut être pleinement sincère tout en étant dans l’erreur.

Il est trop facile pour les musulmans d’incriminer l’occident « corrompu » et «impérialiste» comme étant la source de tous leurs maux. Il est trop facile d’accuser ceux qui instrumentalisent l’islam pour leurs propres intérêts. C’est dans l’islam même que gît le problème. Les musulmans ont toujours eu tendance à chercher des boucs émissaires partout, sauf en eux-mêmes. Il est grand temps qu’ils se posent certaines questions cruciales et se rendent compte que «le ver est dans le fruit.» S’ils condamnent et rejettent ce radicalisme barbare qui les embarrasse, qu’ils fassent un petit effort pour en chercher la cause.

Ils découvriront alors que la cause se trouve dans les textes fondateurs de leur religion – Coran, Sunna, Hadiths – qui regorgent d’appels à l’intolérance, au meurtre et à la violence. Ces textes sont encore enseignés aujourd’hui à l’Azhar, la plus haute instance de l’islam sunnite, chargé de la formation des prédicateurs et ulémas à travers le monde. Cette doctrine atteint le petit peuple à travers les prêches du vendredi – souvent incendiaires – et rejoint les élèves via les manuels scolaires.

Vers le septième siècle, l’islam a eu le choix entre la voie mystique, modérée et ouverte, celle de La Mecque, et la voie violente, radicale et conquérante, celle de Médine. Il a malheureusement opté pour la seconde, en privilégiant les versets médinois aux mekkois, dans la fameuse doctrine de «l’abrogeant et de l’abrogé» (An nâsékh wal mansoukh).

Pour éviter alors que quiconque ne revienne sur cette décision, les ulémas de l’époque ont décrété que « la porte de l’ijtihad » était désormais close. Ce qui signifie que tout effort de réflexion critique susceptible de remettre en question une telle décision était pour toujours interdit.

Les nombreuses tentatives de réforme de l’islam, tout au long de son histoire, se sont heurtées à ce décret considéré comme immuable et irréversible. Le grand cheikh soudanais, Mahmoud Taha, pour avoir proposé d’inverser la doctrine de l’abrogeant et de l’abrogé, en privilégiant les versets mekkois aux médinois, a été pendu sur la grande place de Khartoum, le 18 janvier 1985.

L’islam est dans la souricière, une souricière dans laquelle il s’est lui-même mis. Une souricière dont il ne parvient pas à sortir. Tel est le drame qui met les musulmans dans une angoissante situation.

«Les nouveaux penseurs de l’islam» – comme on les appelle aujourd’hui – rêvent d’une réforme et d’un islam compatible avec la modernité. Les émouvantes tentatives d’un homme aussi brillant qu’Abdennour Bidar n’en sont qu’un exemple. Malheureusement, la pensée de ces hommes courageux ne fait pas le poids face à l’islam rigoureux et borné qui domine depuis quatorze siècles.

J’imagine à quel point cela doit être douloureux pour ces penseurs, qui aimeraient tant trouver une issue à l’impasse dans laquelle ils se trouvent.

L’Église est passée par la même crise. Mais elle est parvenue à la dépasser grâce au Concile Vatican II. Il est grand temps que l’islam en fasse autant et procède au même aggiornamento. Vœu pieux? Utopie, wishful thinking ?… L’islam peut-il se réformer sans se dénaturer ?

[NDLR Vatican II a cependant ouvert la porte à la Franc-Maçonnerie qui a depuis lors infiltré l’Église Catholique Romaine et contribué à détruire ses fondements et encore davantage l’enseignement du Christ.]

Je ne le pense pas. Mais c’est aux musulmans eux-mêmes de répondre.

Henri Boulad,
Le Caire, 14 novembre 2015

En particulier, il rappelle qu’il y a 14 siècles l’Islam a fait le choix de la voie Médinoise expansionniste et agressive au détriment de la voie Mecquoise pacifique, et qu’il n’est jamais revenu sur ce choix. 

Par ailleurs, il suffit de lire le Coran, même très superficiellement, pour se rendre compte que son contenu (versets, sourates…) est particulièrement agressif. Les égorgeurs musulmans, qui sévissent régulièrement dans notre pays, ne font qu’appliquer certains de ses préceptes ; ce que font semblant d’ignorer « nos élites politiques », les médias…

À partir de cette époque, j’ai approfondi mes connaissances, notamment par la lecture de plusieurs livres. Je cite les principaux :

« L’Islam à la conquête de l’Occident » de Jean-Frédéric Poisson qui traite principalement des organisations islamiques internationales comme l’OCI (l’Organisation de la Coopération Islamique), fondée en 1969 ; « Islam » d’Annie Laurent ; « soufi ou mufti » d’Anne-Marie Delcambre ; « décomposition française » de Malika Sorel ; « Le Projet des Frères Musulmans » d’Alexandre Del Valle et Emmanuel Razavi.

Un autre livre m’a paru d’un très grand intérêt : « L’Islam mis à nu par les siens ». Il s’agit de textes et de prises de position de nombreux érudits musulmans ou ex-musulmans (femmes et hommes), qui ont analysé en profondeur le Coran et la vie de Mahomet ; édifiant !

À cette époque j’ai aussi commencé à être sensibilisé au mondialisme par des échanges avec des internautes et la lecture d’autres livres, principalement : « la Super-classe mondiale contre les peuples » de Michel Geoffroy ; « de Tragédies en Espérances — nos illusions de Justice, de Liberté et de Démocratie » de Joseph Plummer.

Par toutes les informations que j’ai recueillies, j’ai (entre autres) découvert un fait très important : l’immigration de masse, notamment islamique, est une arme utilisée par les mondialistes pour détruire les nations souveraines, qui sont le principal obstacle à la mise en place d’une gouvernance mondiale.

Michel Geoffroy écrit : « L’immigration de peuplement est le brise-glace du mondialisme, car elle permet de disloquer les États-nations en s’attaquant à leur homogénéité et à leur identité ». La France en est l’exemple type.

Je suis toujours surpris quand j’entends dire que Macron est incompétent. Je pense personnellement qu’il est très compétent pour la mise en œuvre de la mission qui lui a été assignée par ses mentors : détruire la France en tant que nation souveraine. Macron n’aime pas la France, ses actes et ses paroles (souvent prononcées à l’étranger) le prouvent.

Par ailleurs on sait que le milliardaire Soros, mondialiste bien connu, finance largement les ONG qui transportent illégalement des migrants de l’Afrique vers l’Europe.

Après l’immigration je passe rapidement à un deuxième volet des menées mondialistes : le pseudo-réchauffement climatique.

Depuis plusieurs années, je suis des cours d’astronomie, ce qui me permet d’avoir quelques notions sur ce sujet :

Dans environ 5 milliards d’années, le soleil va exploser ; il ne restera que quelques résidus du système solaire dans notre univers ; nous ne sommes pas concernés ; (tout naît, tout vit, tout meurt).

Avant cela, dans quelques millions d’années, il fera très chaud sur la terre, il n’y aura plus de vie, sauf peut-être quelques bactéries ? Nous ne sommes pas concernés.

Nous sommes un peu concernés par le réchauffement du système solaire, inexorable, mais très lent, qui n’empêche pas les fluctuations climatiques de moyen terme d’une planète, dues à d’autres facteurs (par exemple pour la terre, variation de son ellipse autour du soleil, variation de son inclinaison, précession ; voir les paramètres de Milankovitch). Ainsi il y aura d’autres changements climatiques importants (glaciations, grandes périodes de réchauffement ; sans parler des cycles beaucoup plus courts qui ont toujours existé).

L’homme n’est rien par rapport aux forces de la nature ; aussi le GIEC est composé d’incompétents, manipulés par des lobbyistes (constructeurs d’éoliennes par exemple), qui distillent la peur pour mieux vendre leur « camelote », nuisible et très peu utile. Si un faible réchauffement provoqué par l’homme existe (ce qui est très contestable et contesté par de nombreux scientifiques), il est principalement provoqué par les activités de très grandes entreprises ; armateurs de tankers très pollueurs par exemple.

Je suis, par contre, préoccupé par les graves problèmes de pollution, surtout engendrés par la mondialisation ; pollution des terres, de l’air, des mers, des rivières. Mais c’est un autre débat.

J’en arrive à une partie très importante, particulièrement démonstrative des visées des mondialistes : la pseudo pandémie Covid 19, fabriquée de toutes pièces. Il y a beaucoup à dire et je vais essayer de résumer.

Dès le mois de janvier 2020, j’ai été surpris par la décision de madame Buzyn de classer l’hydroxychloroquine comme produit dangereux, alors que cette molécule est utilisée depuis des décennies, notamment en Afrique, comme traitement antipaludéen.

Au mois de mars, j’ai compris qu’il y avait « anguille sous roche » quand Véran a interdit aux médecins généralistes l’utilisation des soins précoces.

Dès lors, j’ai suivi les choses de près, notamment en étudiant les statistiques et principalement celles diffusées régulièrement par le général Delawarde.

Je ne vais pas revenir sur tous les aléas que nous avons subis (confinements inutiles, masques inutiles puis obligatoires… bref, le grand folklore macroniste).

Assez rapidement je me suis rendu compte de deux faits importants :

En premier lieu la faible mortalité au plan mondial ; les décès ne concernaient que des personnes âgées déjà affaiblies par des comorbidités, les jeunes n’étant pas touchés. Ceci malgré l’augmentation factice du nombre de décès ; on se souvient que beaucoup de malades décédés avec la Covid étaient classés décédés de la Covid ; c’est peut-être encore le cas.

Au final la mortalité n’a pas été plus importante que celle due à une mauvaise grippe, mais certains gouvernements, notamment celui de la France, faisaient tout pour faire peur à leur population afin de pouvoir la soumettre.

En second lieu, la différence très importante de mortalité entre les pays qui utilisaient les soins précoces et ceux, comme la France, qui les refusaient. Par exemple, à ce jour, on peut constater par une petite recherche sur Internet que les États-Unis ont un nombre de décès beaucoup plus élevé que celui de l’Inde alors qu’ils ont environ 4 fois moins d’habitants. Pourtant en Inde il y a une grande promiscuité et le système de santé n’est pas très performant ; mais ils ont utilisé largement l’Ivermectine. Je pourrais citer beaucoup d’autres exemples.

Le refus du gouvernement français d’utiliser les soins précoces me choquait, et j’ai commencé à en comprendre la raison quand j’ai appris qu’il ne pourrait pas imposer un « vaccin » s’il admettait l’existence d’une possibilité de soigner les malades en début de l’infection. À l’évidence l’obligation vaccinale était prévue dès le début 2020 ; il était donc nécessaire pour nos dirigeants d’affirmer qu’il n’existait pas de possibilités de soins.

Le 12 juillet 2021, Macron a prononcé une allocution à la télévision au cours de laquelle il a annoncé l’obligation vaccinale pour les soignants, les pompiers… et pratiquement toute la population, car sans « vaccin » on ne pouvait même pas aller boire un verre dans un café.

Cette allocution a provoqué ma colère et quelques jours après j’ai adressé un courrier à Macron, Castex et Véran en les accusant d’être des criminels.

Il est en effet évident que le refus de laisser les médecins prescrire les soins précoces a provoqué le décès d’un grand nombre de nos concitoyens. On peut retrouver cette lettre sur Internet (colonel Amiot Jacques Besançon).

Je sais que mon courrier est arrivé aux instances gouvernementales, car plus de 6 mois après j’ai été sanctionné par la ministre des armées (retrait de l’Honorariat). L’Honorariat est une distinction honorifique ; on ne m’enlevait donc rien d’important, mais j’ai cependant contesté la décision auprès du tribunal administratif de Paris. J’ai adressé mes arguments au mois de juillet 2022 et, à ce jour, il n’y a pas de réaction du ministère des armées.

La sanction pratiquement insignifiante au regard de la gravité de mes accusations, et le fait que le ministère n’ait pas encore réagi, pratiquement 6 mois après, me paraissent significatifs de l’embarras des autorités pour trouver des arguments à m’opposer ; d’autant qu’il est de plus en plus évident que les soins précoces sont sûrs et d’une grande efficacité. C’est maintenant une certitude.

Si j’avais à écrire ce courrier aujourd’hui, je serais encore plus virulent. Il me faudrait aborder la dangerosité des « vaccins » ; nous sommes malheureusement qu’au début des graves effets secondaires, que tentent de cacher le gouvernement et la plupart des médias. Mais la vérité finira par éclater.

Il me faudrait aussi aborder les liens étroits entre la Macronie et la société Mac Kinsey, elle-même en lien avec la société Pfizer… On nage en plein cloaque ; je sais bien qu’il y a peu d’enfants de chœur en politique, mais je crois que l’on atteint des sommets.

Malgré les graves effets secondaires engendrés par les « vaccins » le gouvernement continue à en faire la promotion ; on croit rêver. Il doit y avoir un gros stock de doses à écouler !

Le conflit en Ukraine est tout à fait révélateur de ce que beaucoup appellent la 3guerre mondiale ; celle des mondialistes contre les nations souveraines. Je vais beaucoup résumer, car j’ai récemment évoqué le sujet dans un écrit intitulé « évolution ».

Après la chute de l’URSS, on a cru à la paix mondiale, mais on se trompait lourdement, car les mondialistes étaient déjà à l’œuvre, notamment dans leur fief aux US.

Les promesses de l’Occident n’ont jamais été tenues, comme celle faite à Gorbatchev de ne pas étendre l’OTAN vers l’Est ; au contraire, les bases militaires de cette organisation encerclent pratiquement la Russie.

Les accords de Minsk signés en 2014, que l’Allemagne et la France devaient faire respecter, étaient un piège. Madame Merkel a admis récemment (début décembre 2022) qu’il n’était pas prévu par l’Occident que ces accords soient appliqués. De son propre aveu, ils ont été signés que dans le but de donner du temps à l’Ukraine pour se préparer à la guerre contre la Russie. Quelle duplicité de l’Occident ! On peut aisément vérifier sur Internet (Merkel accords de Minsk).

Hollande a récemment confirmé ces aveux. Tout se passe comme si l’Occident, principalement les US, mais aussi l’Allemagne, la France…, cherchait la confrontation. C’est très dangereux, car l’Occident ne me paraît pas en position de force, d’autant que sa politique provoque un rapprochement entre la Russie et la Chine.

Ce conflit profite aux US, mais est destructeur pour les pays européens, dont la bêtise est incompréhensible. Comment comprendre ce suicide de nations européennes si ce n’est en raison de l’adhésion au mondialisme de leurs dirigeants ?

Comme je l’ai déjà exprimé, le mondialisme est une « maladie » de l’occident où se trouvent les personnages les plus « vénéneux » de cette caste (Schwab, Soros, Gates, Fauci, Biden, Harari, Attali, Macron…). Il apparaît clairement que de nombreuses nations ont compris le danger mondialiste ; elles s’allient et se dressent pour y faire face (les « BRICS » et toutes les nations qui les rejoignent).

On vit une période très troublée, angoissante pour beaucoup, nous subissons des restrictions, une baisse de pouvoir d’achat et j’estime que les menées des mondialistes en sont les principales causes. À mon avis beaucoup de problèmes pourraient être réglés si l’Occident arrivait à se débarrasser du mondialisme.

Je pense par exemple que l’invasion islamique, qui présente un très grave danger pour l’avenir de notre pays, pourrait être combattue ; ce qui suppose bien sûr la disparition préalable de l’Union européenne telle qu’elle existe actuellement, mondialiste et corrompue.

À la place de Macron et de son gouvernement de traîtres, un président déterminé et bien entouré pourrait agir efficacement pour faire respecter notre identité.

Il ne s’agit pas dans mon esprit d’une « chasse aux sorcières », car il y a des musulmans qui souhaitent vivre en paix en France ; il s’agit de séparer le bon grain de l’Ivraie. Je l’ai déjà écrit, dans sa petite entreprise, mon père a employé dans les années 50 des Algériens qui ne posaient aucun problème. Dans son livre « Islam », Annie Laurent souligne le fait que de nombreux musulmans sont les victimes d’une idéologie.

Quelles dispositions faudrait-il prendre ? Je cite les principales : limiter drastiquement l’immigration notamment islamique ; réduire très fortement les prestations sociales pour les immigrés, car elles constituent un grand appel d’air (beaucoup ne vivent que de ces prestations) ; justices sévères pour les délinquants (prison ou exclusion) ; surveillance étroite des imams ; interdiction stricte de la charia (application de nos lois, règles et coutumes) ; « grand nettoyage » d’une ou deux « zones de non-droit », éventuellement par l’armée ; je pense que les autres auraient compris et se nettoieraient d’elles même, avec un peu d’aide si nécessaire…

La France est en déclin dans presque tous les domaines : économie, industrie, éducation, justice… ; le redressement sera difficile ; mais il est surtout urgent qu’elle retrouve sa souveraineté, son unité et son identité, sources de dynamisme.

Cependant rien ne pourra se faire tant qu’elle sera sous la coupe du mondialisme ; il faut donc s’en libérer. Le combat pour la survie est là.