7 raisons de ne pas croire les survivantes

21/08/2024 (2024-08-20)

[Source : neosante.eu]

Par Yves Rasir — juillet 10, 2024

Deux tiers ? Trois quarts ? Neuf dixièmes ? Davantage encore ? En tout cas, la proportion de « résistants » qui marchent à fond dans le Satano Circus et croient mordicus à l’existence de grands réseaux pédosatanistes est impressionnante. Je l’ai vérifié à mes dépens puisque mes prises de position sceptiques (exprimées ici, ici, ici et ici) ont suscité des centaines de réactions critiques pour seulement quelques dizaines d’approbations et de soutiens. Puissamment diffusé par l’industrie du divertissement, le film Les Survivantes cartonne au cinéma avec l’active publicité de la quasi-totalité des médias alternatifs et de certains influenceurs de poids comme Jean-Dominique Michel ou Louis Fouché. J’en suis assez ahuri. On dirait que la plupart des « complotistes » ont subitement perdu toute lucidité et que le bon sens manifesté durant la mascarade covidiste a complètement déserté leur esprit. D’où vient cette crédulité insensée ? Pourquoi cette croyance aveugle en des récits qu’aucun fait avéré ne vient étayer ? Je campe pour ma part sur mon attitude de départ : je ne nie pas a priori que le phénomène puisse exister, je demande juste à voir les éléments de preuve. Et en attendant leur émergence improbable, je m’obstine à faire appel au discernement de mes semblables. Cette semaine, je soumets à votre réflexion sept raisons de partager mon satanoscepticisme.

1) Ce ne sont que des témoignages

Dans un courriel surréaliste, un lecteur psychothérapeute m’a écrit qu’il ne comprenait pas mes doutes sur les témoignages des survivantes, car lui-même en « avait vérifié la véracité dans son cabinet ». Ah bon, et comment a-t-il fait ? Il a le don de bilocation et il a voyagé dans le temps et dans l’espace pour assister aux scènes d’horreur ? Ou bien Satan et ses suppôts se sont pointés chez lui pour supplicier ses patientes sous ses yeux ? En écrivant une telle bêtise, le psy a fait étalage d’une tendance incroyablement répandue chez mes contradicteurs, celle de confondre les faits et les récits que les témoins en font. L’histoire récente nous a pourtant allègrement démontré qu’il peut y avoir une grande distance entre une narration et la réalité. Bien sûr, la concordance et l’addition des témoignages peuvent donner l’illusion que les faits sont avérés. Et un soignant empathique sera naturellement enclin à croire ce que racontent les personnes qui se confient à lui. Mais si les mots veulent encore dire quelque chose, il est aberrant d’assimiler paroles et actes, discours et événements, impression subjective et phénomène tangible. À moins d’avoir mené une longue enquête policière préalable, ce thérapeute ne pouvait évidemment pas attester de la véracité des témoignages recueillis dans son cabinet. Prétendre le contraire, c’est verser dans une sorte de délire où la croyance tient lieu de vérité. La santé mentale de ce correspondant m’inquiète, mais pas autant que celle de cette psychologue clinicienne qui m’a diagnostiqué comme « pervers narcissique aimant faire souffrir son entourage » sans m’avoir jamais rencontré ni rencontré mes proches. Ou que celle de cet autre psychopraticien qui m’a identifié comme ex-enfant abusé et victime moi-même du grand réseau pédosatano. C’est dingue, ce besoin de construire des fictions glauques en bafouant au passage la déontologie de leur profession. Une autre psy a décidé que j’étais dissocié sur un simple examen de ma photo : à quand la boule de cristal ou le marc de café ? Si je partage tout ça, c’est pour vous décrire le monde virtuel dans lequel évoluent certains professionnels du psychisme et pour revenir à l’essentiel : les témoignages des survivantes ne sont que des témoignages, et rien de plus. Dans l’état actuel du dossier, il n’existe absolument aucune preuve concrète pour les corroborer. On m’a promis des « centaines d’enquêtes » fournissant de telles preuves. J’attends toujours la première.

2) Leur crédibilité dégringole

Dans mes billets précédents, j’ai souligné quelques invraisemblances et incohérences qui entachent le témoignage des survivantes. La principale incongruité est que plusieurs d’entre elles disent avoir été des petites filles « normales » et épanouies tout en subissant une vie parallèle d’enfants martyrs. J’entends bien l’explication de la dissociation, de l’amnésie traumatique et des personnalités multiples. Je veux bien considérer que cette hypothèse controversée soit davantage qu’une hypothèse. Mais si plusieurs personnages cohabitent dans un même corps, ce corps, lui, demeure un véhicule unique. Comment les très jeunes victimes auraient-elles pu traverser ces nuits très éprouvantes d’abus rituels et de tortures cruelles sans manifester des troubles en journée et attirer l’attention ? Ce scénario de la double vie n’est guère plausible. Récemment, la rescapée Hélène Pelosse a tenu des propos qui me la rendent encore moins crédible. Entre autres envolées sur les anges du ciel qui l’ont miraculeusement sauvée d’une mort certaine (un épisode fantastique récurrent chez les survivantes) et les ramifications du grand réseau dans toutes les maisons royales de Belgique et… de France, la haute fonctionnaire française nous raconte que les bourreaux l’ayant programmée pour tuer avaient des pieds de bouc. Non seulement ils vénèrent Satan, mais ses adorateurs lui empruntent ses sabots ! Après les reptiliens, nous voilà donc aux prises avec des ruminants cornus sachant prendre l’apparence humaine. Parlant d’Anneke Lucas, madame Pelosse nous informe aussi qu’elle était déchiquetée et allait être achevée lorsqu’une intervention divine a permis de suturer instantanément ses plaies, ce qui a dégoûté ses tourmenteurs tueurs. Cette guérison surnaturelle fut effectivement providentielle, car selon ce blogueur taquin, la même Anneke prétendait naguère être couverte de cicatrices tout en exhibant sa plastique parfaite sur des photos de plage. On a maintenant la clé du mystère : Dieu est un cicatrisant hors pair et il efface aussi les traces permettant d’évaluer la crédibilité de ses protégées.

3) Les faux souvenirs, ça existe vraiment

Pourquoi mentiraient-elles ? C’est l’objection qui m’est souvent formulée. Ma réponse est qu’il ne faut pas évacuer d’emblée la possibilité de la mythomanie ni celle du mensonge pathologique. Le second est un trouble de la personnalité « borderline » qui éprouve le besoin compulsif de mentir à tout bout de champ. La première est une maladie consistant à raconter, en les présentant comme réels, des faits imaginaires auxquels la patiente finit par croire. Comme la personne mythomane s’attribue le plus souvent un rôle flatteur dans les récits qu’elle invente, je suspecte que cette pathologie puisse concerner l’une ou l’autre survivante, mais je ne suis pas apte à poser un diagnostic. En revanche, je suis un journaliste qui s’intéresse depuis longtemps au phénomène des faux souvenirs, théorie solide qui a été validée expérimentalement aux États-Unis. Lors d’études scientifiques contrôlées, des chercheurs ont en effet pu implanter chez des participants des souvenirs d’événements ne s’étant pas produits. Pour une expérience devenue célèbre, l’équipe de la psychologue cognitive américaine Elizabeth Loftus a notamment suggéré à des adultes le faux souvenir de s’être perdus durant leur petite enfance dans un grand magasin et d’en avoir été angoissés. Résultat : les « cobayes » soumis à cette suggestion ont développé des symptômes d’anxiété à chaque fois qu’ils entraient dans un supermarché ! Pour vous familiariser avec le « false memory syndrom », il existe un ouvrage de référence que j’avais lu à l’époque pour comprendre l’avalanche de témoignages abracadabrants apparus dans le sillage de l’affaire Dutroux. Pour rappel, j’ai travaillé sur ce dossier en 1996, j’ai été le premier à démonter la piste dite « satanique », je m’étais plongé dans le « dossier bis » et je devais publier un deuxième article qui a été censuré parce qu’il ne cadrait pas avec la doxa mainstream du grand réseau. Si cela vous intéresse, je l’ai mis en ligne et vous pouvez le lire en cliquant ici. J’ai eu l’idée d’exhumer ce texte en lisant récemment celui de Laurent Guyénot, auteur et historien qualifié de conspirationniste en raison de son analyse alternative du 11 septembre. Ce que j’ignorais, c’est que cet empêcheur de désinformer en rond avait traduit et édité en français l’ouvrage d’Elizabeth Loftus, spécialiste mondiale de la mémoire et de ses mécanismes complexes. Puisque nous avons fait connaissance et constaté nos convergences, je compte bien convaincre Laurent de nous rédiger prochainement un grand dossier sur le syndrome des faux souvenirs. Cet éclairage permettra de saisir que les survivantes ne sont probablement pas des menteuses conscientes de mentir, qu’elles croient sincèrement avoir vécu ce qu’elles décrivent et qu’elles sont plutôt les victimes de thérapies à base d’hypnose. Avoir suivi de telles cures, c’est leur point commun à presque toutes !

4) Elles racontent la même chose

Pour mes détracteurs, c’est un argument massue en faveur des survivantes : elles ne se connaissent pas et racontent les mêmes horreurs en présence des mêmes personnages, dans les mêmes lieux et selon un même canevas rituel. Pour moi, c’est exactement l’inverse : les nombreuses similitudes entre les récits laissent à penser qu’ils ont été fabriqués avec les mêmes ingrédients fictifs. Selon Pierre Barnérias, les femmes intervenant dans le documentaire ne s’étaient jamais rencontrées avant le tournage. C’est faux pour au moins deux d’entre elles puisque Anneke Lucas a interviewé Chantal Frei sur sa chaîne YouTube en juin 2023. J’ai signalé ce fait à Senta Depuydt, l’une des deux journalistes impliquées dans la réalisation du film, qui m’a répondu que c’était là un « détail insignifiant » dénué d’importance. Je m’insurge, car c’est sur la base de cette infox majeure que Les Survivantes a été vendu au public et que les chaînes de cinémas (plus de 100 salles en France, du jamais vu pour un docu) se sont empressées de le programmer. Une troisième protagoniste, la prénommée Sophie, était également en contact avec Chantal Frei puisqu’elle a participé anonymement à la série des « 50 voix ». Au demeurant, cela fait des années que certaines témoins s’expriment sur internet et qu’elles peuvent donc s’inspirer mutuellement et inspirer les suivantes. Pas besoin de faire connaissance pour déjà se connaître. Quand bien même les survivantes auraient vécu en vase clos depuis un demi-siècle, il leur suffisait de s’abreuver aux mêmes sources pour produire des histoires similaires. Comme je l’explique dans mon article censuré, plusieurs livres de « témoignages » ont été publiés aux USA lors de la vague de panique satanique des années 80. Dévoilées par Wikileaks depuis belle lurette, les auditions des témoins X de l’affaire Dutroux ont pu également servir de matériel inspirant. Selon les enquêteurs de Neufchâteau, la déroutante Régina Louf s’est elle-même inspirée d’une survivante hollandaise pour élaborer ses récits loufoques. Last but not least, les rescapées ont très bien pu avoir lu les ouvrages de David Icke et d’Alexandre Lebreton, deux auteurs hyper-complotistes qui n’ont pas peu pesé dans la traversée transatlantique du mythe pédosataniste. Ce sont clairement les lectures de chevet de plusieurs survivantes intervenant dans le film éponyme.

5) Les hommes n’ont pas la parole

À la vision de ce documentaire, une chose m’a particulièrement frappé : à l’exception du thérapeute-hypnotiseur ayant traité l’une des témoins, l’homme y est étrangement absent. Quand on écoute leurs récits, on comprend pourtant que ces femmes ont vécu des tempêtes sentimentales et des séparations douloureuses. Très souvent, elles portent des accusations gravissimes contre leurs anciens conjoints ou contre les hommes de leur famille. Le film est un véritable réquisitoire contre la gent masculine accusée des pires turpitudes. Et si on lui donnait la parole, à cette engeance vouée aux gémonies ? Personnellement, je serais par exemple très curieux d’entendre l’ancien mari de Dalila, présenté comme un père incestueux et comme un monstre emmenant leurs enfants dans des messes noires macabres alors qu’il a bénéficié à plusieurs reprises de décisions de justice favorables. C’est peut-être un fieffé salaud, un abuseur de la pire espèce, je n’en sais rien, mais j’eusse aimé que Pierre Barnérias permette à ce monsieur, ou à son avocat, de se défendre. J’aurais également été intéressé d’entendre l’un des innombrables « membres de la secte » (père, grand-père, oncles, cousins, n’en jetez plus…) qu’Hélène Pelosse désigne comme ses tortionnaires initiaux. C’est trop facile d’instruire à charge sans laisser aux accusés la chance de plaider leur cause. Il est pourtant notoire que les femmes divorcées sortent souvent leurs griffes pour se venger des époux volages et obtenir la garde exclusive des enfants. Les tribunaux de la famille sont submergés de plaintes relatives à des abus sexuels et aboutissant à des non-lieux. Il n’est pas rare non plus que ces échecs judiciaires poussent à la surenchère et que les mamans-tigresses dégainent des scénarios pédosatanistes pour ébranler les juges. Cette triste et troublante réalité sociale est complètement gommée par le documentaire, lequel préfère s’enfermer dans un parti-pris féministe militant. Pour son prochain opus, j’espère que Barnérias tendra son micro aux hommes copieusement diabolisés par les survivantes, mais curieusement réduits au silence.

6) Une telle lâcheté est impossible

Dans une vidéo récemment diffusée, le cinéaste s’entretient avec Senta Depuydt et un duo des miraculées, Chantal et Sophie. En fin d’interview, cette dernière confirme une info que je trouve totalement sidérante : les survivantes ne portent pas plainte et ne livrent pas de noms pour éviter de se mettre en danger ! Elles ont déposé des dossiers en lieu sûr, chez des notaires, mais ils ne seront ouverts que s’il leur arrive malheur. Or elles affirment par ailleurs que les grands réseaux sont toujours actifs et que les notables vénérant Satan continuent encore maintenant à sacrifier des enfants. À les torturer atrocement et à les dépecer pour les dévorer et boire leur sang. À les démembrer et les découper encore vivants, à leur arracher le cœur et à les jeter parfois dans le feu pour les brûler vifs en hommage à Moloch. Tout va bien ? Je ne crois pas un instant que ces femmes puissent être aussi égoïstes, aussi lâches et aussi insensibles au sort des enfants. Je ne crois pas un instant qu’elles puissent faire primer leur sécurité sur l’urgence de sauver les gosses actuellement victimes de la violence rituelle. Je ne crois pas un instant qu’une telle inhumanité soit possible de la part d’anciennes victimes ayant survécu au calvaire. Même dans le règne animal, les femelles volent au secours des petits qu’elles n’ont pas portés lorsqu’ils sont en danger ! La seule explication de cette passivité, c’est à mes yeux qu’une telle lâcheté est impossible. Si les survivantes refusent de se mettre en péril, c’est parce qu’une part d’elle-même sait qu’il n’y a pas péril et que leurs récits sont inventés. Je ne vois que ça pour expliquer que les rescapées de l’enfer refusent de courir le risque de secourir les mômes. Dans leur for intérieur, elles savent très bien que ce risque n’existe pas puisque leurs souvenirs sont faux. Si vous avez d’autres explications à leur dissimulation des noms et à leur réticence à ester en justice, je suis preneur.

7) Le défi n’est pas relevé

M’apostrophant sur un réseau social, un des leaders belges de la dissidence anticovidiste m’a sommé de prouver que les grands réseaux pédosatanistes n’existaient pas. Ce type a fait des études universitaires d’économie, son métier est de gérer les fortunes, et il se fend d’une telle absurdité ! En toute logique, il est en effet impossible de prouver que quelque chose n’existe pas. Par exemple, je ne pourrais pas prouver que les extraterrestres n’existent pas. Même si je visitais toutes les planètes de l’univers et en fouillait les moindres recoins, revenir bredouille ne voudrait pas dire que les petits hommes verts n’existent pas. En revanche, les personnes croyant dur comme fer à l’existence d’E.T. devraient pouvoir fournir des éléments de preuve pour appuyer leur conviction et convaincre autrui. Si on ne peut jamais prouver que quelque chose n’existe pas, on doit pouvoir prouver que quelque chose existe. Sur le plan juridique, cette pure logique a été coulée dans le principe de la présomption d’innocence. C’est toujours au procureur et aux parties plaignantes d’étayer leurs accusations, pas à l’inculpé de prouver qu’il n’est pas coupable. En l’occurrence, c’est aux partisans de la thèse pédosatano de démontrer qu’ils ont raison, pas aux sceptiques de démontrer que les premiers ont tort. Histoire d’exhiber ma bonne foi et de trancher le débat, j’ai toutefois lancé un défi potentiellement édifiant : faire témoigner publiquement la sœur de Chantal Frei et lui demander de confirmer qu’à l’âge de 10 ans, elle a bien été massacrée par elle et sur ordre du père dans le cadre d’un culte satanique. Si ce témoignage démontre sans équivoque qu’il en fût ainsi, je me suis engagé à me repentir de ma mécréance. Plus d’un mois et demi après avoir tendu cette perche et proposé de « déchirer le voile », je ne vois toujours rien venir. La survivante est sans doute trop occupée par la tournée triomphale des salles obscures et par le succès populaire de ses deux best-sellers. Quand on sacrifie au dieu Mammon, difficile d’accorder du temps à la vérité. De son côté, malgré sa promesse réitérée de procéder à la vérification demandée, Jean-Jacques Crèvecœur prétexte son agenda trop chargé pour repousser sans cesse au lendemain. Ce n’est bien sûr pas la preuve qu’il y a mensonge sous roche et volonté de le cacher, mais cela indique à l’évidence que la survivante et ses sponsors médiatiques ne sont pas du tout pressés de me détromper. C’est à mon sens une raison supplémentaire de ne pas croire les légendes qu’ils colportent et qu’ils commercialisent à outrance avec la bénédiction du système.


LES SURVIVANTES — Le piège dans le piège

[Source : @prunedeprune]

Une opération psychologique machiavélique, il y en aura pour tout le monde… ERRATUM : au cours de la vidéo, lire « machiavélique » (au lieu de machaivélique)

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(5 commentaires)

  1. Il n’y a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir, comme nous l’ont demontre les 4 dernieres annees, des millions, milliards? de personnes encore dans le deni par lachete, indifference, ou qui voient mais ferment les yeux parce que l’horreur bouleverse la realite qu’ils ont creee au fil des ans.
    Il n’a visiblement pas vu non plus les retransmissions televisees de l’eurovision, des j.o, le tableau de charles, l’exposition du palais de tokyo, les exactions de la pegre au sein des institutions gouvernementales, (pharmaceutiques, financieres etc…..) S’est-il brule les yeux?
    La verite, elle est la. Ces erreurs de la Nature sont tellement surs de leur pouvoir qu’ils exposent au grand jour leur depravation, tentent de pervertir le monde entier en utilisant leurs minables messagers, qui meme le nez dans le caca diront que c’est du chocolat.

  2. Je n’ai pas vu le film (n’ayant pas été diffusé où j’habite), mais j’ai lu le livre d’une des intervenantes du film. A vrai dire, j’y ai vu quelques incohérences. Je vais juste en citer une seule : la petite fille qui vivait (et était violée et torturée) dans un village en Suisse, était occasionnellement emmenée en avion militaire ou privé jusqu’à la Maison Blanche pour y être violée par le président des USA. Je veux bien croire, il y a assez d’indices crédibles pour ça, que le gouvernement US regorge de satanistes et de pédo-criminels (cf. pizzagate qui n’a PAS été débunké malgré ce qu’en dit la désinformation). Cependant, ça me parait bien compliqué au niveau logistique, d’aller chercher une enfant si loin, alors qu’ils auraient eu amplement le choix à Washington même. D’un autre coté, dans le cas où des enfants seraient torturés, si ce n’est de cette manière, du moins psychologiquement, ça laissera des séquelles graves sur le psychisme. Ils peuvent fort bien devenir psychotiques et avoir des souvenirs altérés et amplifiés de ce qu’ils ont vécu. Pour finir : « on » peut vouloir aussi discréditer la réalité des réseaux pédo-satanistes en sortant une histoire fausse et exagérée puis plus tard montrer qu’elle était fausse.

  3. La prudence est de rigueur dans toutes les affaires sordides.
    Vous n’y croyez pas c’est votre droit. Pour ma part rien ne m’ étonne dans ce bas monde.
    L’affaire Dutroux, Epstein, le trafic d’organes, les tortures, les crimes crapuleux, le trafic d’enfants, sexuel, et tout ce qu’on ne sait pas, qui se font dans le silence, incognito.
    Vous ne faites que donner votre point de vue, sans preuves, uniquement sur l’improbabilité de telles horreurs, en se basant sur la pathologie hypothétiques des témoins et victimes supposées.
    Qu’il y a des personnes mythos je vous l’accorde, mais des réseaux existent bien prouvés par des vidéos pédophiles mettant en scène des viols, des meurtres d’enfants selon des témoignages d ‘enquêteurs de la police.
    Alors quel crédit donnez vous au reportage diffusé en mai 2024 sur arte Pédocriminels la traque où il est rapporté entre autres que 2 viols d’enfants sont téléchargés par seconde sur internet ?

  4. Yves Rasir s’était déjà « illustré » après la mort de Olivier Soulier, en reconnaissant ensuite une erreur.

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