Virus, climat, Hongrie : la malignité perverse de la Secte au pouvoir

19/07/2021 (2021-07-19)

Par Lucien Samir Oulahbib


Partons d’un exemple : selon l’Institut Pasteur :

« La principale information nouvelle apportée par cette étude est que les enfants infectés n’ont transmis le virus ni aux autres enfants, ni aux enseignants et ni aux autres personnels des établissements scolaires. »

Lisez bien : « infectés ». Alors, imaginez les non infectés et a fortiori les non participants à leur essai clinique. En Gironde, par exemple, haut lieu, paraît-il, de la diffusion du delta depuis plusieurs semaines, il y a eu le 18 juillet… zéro hospitalisation, et… zéro en réanimation (alors que l’on ne soigne pas avec les traitements qui marchent).

Bien sûr, concernant ce dernier exemple « ils » pourraient mettre en avant leur essai clinique, mais ce serait contradictoire avec leur discours actuel stipulant que la hausse des « cas » serait directement corrélée au nombre de personnes refusant d’y participer. Or l’on voit bien que cela n’est pas le cas pour la Gironde et que cela corrobore plutôt l’idée que contagiosité virulence et létalité sont déconnectées, surtout pour ce variant, ce qui est même confirmé par ce qui se passe en UK.

On le voit, une malignité perverse prévaut en matière d’analyse statistique comme la différence entre corrélation et concomitance : la croissance des « cas » ne se concrétise pas nécessairement par une croissance des « malades » encore moins des mortalités pour ce dernier variant, surtout s’ils sont pris à temps et SOIGNÉS.

De même, il ne faut pas confondre météorologie (qui analyse des corrélations entre diverses pressions locales et avoisinantes) et climatologie — qui étudie des tendances sur trente ans (il a fait chaud à Vancouver, mais froid à Montréal ce qui ne correspond pas à un effet « systémique »). Et pourtant il n’y a pas un seul plateau médiatique qui en majorité ne va pas épouser l’idée qu’il y aurait forcément un « lien ». Il n’y a pas de « fumée sans feu », ma bonne dame. Ou comment ces prétendus « sachants » sont devenus des piliers de bar du Commerce tout en cherchant à éliminer celui-ci à moins qu’il ne leur apporte son soutien par son adhésion au « pass » politique.

Il y a donc bien là aussi, au-delà des diverses intentions politico-affairistes qui veulent profiter de la situation pour accélérer la venue du Nouvel Âge bioélectronique (ou la « cybernétique » prévue dès les années 1950), une évidente formation maligne et perverse desdites « élites ». Celles-ci apparaissent bien plus calées pour forcer la Hongrie à accepter la propagande queer en guise d’éducation sexuelle (à savoir l’idée que l’orientation en cette matière ne serait qu’une construction mentale/sociale) qu’analyser sereinement la complexité d’une société diverse qui n’a pas attendu cette idéologie-là pour admettre en creux ce qu’Aznavour chantait autrefois à propos du fait que l’on est son orientation dès le départ et qu’il faut l’accepter et le faire admettre malgré un environnement institutionnel hostile. On ne le devient donc pas, comme l’avait répandu Simone de Beauvoir et comme le croient les « queer » (insérés au Pouvoir désormais… tout en le dénonçant), car autrement l’on confondrait sexe anatomique, orientation sexuelle, et comportements de l’ensemble toujours historiquement situés, au sens où ceux-ci évoluent sans avoir besoin de changer physiquement de sexe ou de substituer la domination supposée d’une orientation par une autre tout autant discriminante, sinon plus, au vu de ce qui se passe actuellement, l’hétérosexuel étant considéré en soi désormais comme une « domination », ce qui est le confondre avec le machiste, voire les manques d’éducation et de compassion (ce qui fait a contrario que l’idée « évangéliste » de convertir les « gays » reste non seulement fausse, mais contre-productive, car alimentant la propagande queer).

Certes, il n’y a pas de corrélation entre les discours hygiénistes affairistes réchauffistes et pansexualistes, mais, tout de même, une concomitance au sens d’une convergence politique entre ces quatre discours, celle d’un idéalisme scientiste de type nouveau (car croisant des courants autrefois opposés comme le marxisme-léninisme et l’eugénisme hygiéniste, croisement symbolisé par la pratique dite ROPA défendue par de prétendus « progressistes »), mais toujours aussi totalitaire que les précédents ou comment plier la complexité du Réel dans une modélisation puis imposer celle-ci comme étant le seul Réel envisageable.

La volonté opiniâtre de la Secte au pouvoir à vouloir imposer en simultanéité ces quatre discours permet de comprendre en quoi leur concomitance n’est plus due au « hasard », mais provient bien d’une même direction politique visant à imposer une vision post-humaniste au sens littéral (produire de nouvelles variétés de pan-humains en « œuvres d’art ») avec comme tactique de manipuler toutes les corrélations possibles entre virus et climats avec leurs oscillations séculaires et synchroniques respectives comme la syndémie actuelle des maladies chroniques en Occident…

Une prise de conscience de cette « manip » s’amorce de plus en plus et c’est tant mieux.

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