17/07/2024 (2024-07-17)
Y compris ceux qui ont abandonné
[Source : jonrappoport.substack.com]
Par Jon Rappoport
Et les grands sites conservateurs ne l’auraient pas fait non plus à l’époque où j’ai écrit l’article suivant — au plus fort de l’hystérie COVID.
Les grands sites étaient trop occupés à essayer de trouver comment blâmer Trump ou Biden pour la COVID. Trop occupés à jongler avec leurs ballons politiques.
Je reviens à cet article alors que la campagne présidentielle passe à la vitesse supérieure et que le président en exercice tente de se rappeler quelle année nous sommes.
Aucun des candidats, y compris ceux qui se sont retirés, ne s’est exprimé avec force sur le désastre de la COVID.
Voici un extrait de mon article. Il met l’accent sur plusieurs crimes que nous ne devrions jamais oublier… :
Wuhan est le centre mondial du trafic d’opioïdes. Les précurseurs chimiques. Quel est l’un des principaux symptômes d’une overdose d’opioïdes ?
L’ESSOUFFLEMENT. C’EST LA MÊME CHOSE QUE POUR LA COVID, SURTOUT À New York City, OÙ LES MÉDECINS URGENTISTES PANIQUÉS NE SAVENT PAS COMMENT S’OCCUPER DE CES PATIENTS.
MAIS L’ÉTAT DE NEW YORK ÉTAIT DÉJÀ SUBMERGÉ DE TOXICOMANES AUX OPIOÏDES SOUFFRANT D’ESSOUFFLEMENT BIEN AVANT L’AFFAIRE COVID. ET MAINTENANT ILS APPELLENT CERTAINS D’ENTRE EUX DES VICTIMES DE LA COVID.
Extrait de drugabuse.com :
« Aux États-Unis, 44 personnes meurent chaque jour d’un arrêt respiratoire provoqué par une overdose d’opioïdes sur ordonnance. Les opioïdes inhibent la respiration, provoquent une sédation importante et rendent le réveil impossible. De plus, les opioïdes contenus dans les analgésiques sont les mêmes que ceux contenus dans l’héroïne, qui a causé plus de 8 000 décès par overdose en 2013. »
Estimation 2018 des décès par overdose d’opioïdes à New York : 3 000. Beaucoup plus de personnes dans la région de New York sont dépendantes de ces médicaments. Dans l’État de New York, en 2017, le nombre de personnes sorties des hôpitaux, après un traitement pour une surdose ou une dépendance aux opioïdes : 25 000.
À partir de 2020, les personnes ayant développé une hypoxie aux opioïdes pourraient être diagnostiquées à tort avec des « problèmes pulmonaires liés à la COVID-19 ». Certaines de ces personnes ont été sédatées davantage, avec du fentanyl, mises sous respirateur — ignorant la nécessité de traiter leur overdose, leur dépendance, leur sevrage — et elles sont mortes. Elles ont été tuées.
NJ [New Jersey] Spotlight News, 14 avril 2020 : « Le fentanyl n’est plus un fléau, il est désormais le médicament le plus recherché dans la guerre contre le COVID-19. »
« … le fentanyl, l’un des médicaments administrés aux patients pour qu’ils puissent supporter la douleur liée à l’insertion d’un tube respiratoire, est en pénurie, tout comme une poignée d’autres médicaments essentiels. »
« En temps normal, les patients restent sous respirateur pendant trois ou quatre jours. Aujourd’hui, non seulement le nombre de patients ventilés [COVID] a grimpé en flèche, mais la durée pendant laquelle ils restent sous respirateur est de deux à trois semaines. »
C’est inadmissible. C’est un protocole de meurtre. Mettre les toxicomanes aux opiacés, qui ont le souffle court, sous sédation prolongée avec le même type de médicament que celui qui a causé leur essoufflement.
Passons maintenant à un autre crime. Contre les personnes âgées.
The Hill, (non daté, fin avril 2020), fait état de : « données […] recueillies à Northwell Health, le plus grand système hospitalier de l’État de New York ». L’étude, publiée dans le Journal of the American Medical Association (JAMA) examine 5 700 patients hospitalisés pour des infections à coronavirus dans la région de New York, avec des résultats finaux enregistrés pour 2 634 patients. L’âge moyen des patients était de 63 ans… Pour le groupe d’âge suivant, les 66 ans et plus, les patients recevant une ventilation mécanique ont enregistré un taux de mortalité de 97,2 %.
97,2 % des patients âgés de l’étude COVID placés sous ventilation mécanique sont morts. C’est un meurtre.
Ces deux groupes d’âge — 65 à 74 ans et 75 ans et plus — représentent ensemble 73,6 % de l’ensemble des décès dus à la COVID dans la ville de New York.
Le groupe des 75 ans et plus représente, à lui seul, 48,7 % de tous les décès par COVID dans la ville.
Pour ce groupe, New York est en état de confinement. Fermée. Emprisonnée. Économiquement torpillée et dévastée. Avec deux ignorants-vampires — le gouverneur Cuomo et le maire De Blasio — qui la surveillent.
Si l’on soustrayait les décès prématurés et forcés des personnes âgées, et les décès forcés des toxicomanes aux opioïdes, la fiction de New York en tant qu’« épicentre du COVID » s’envolerait dans le vent en cinq minutes.
– Jon Rappoport
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