Toute personne non « vaccinée » n’est pas un malade qui s’ignore

01/07/2021 (2021-07-01)

Par Lucien Samir Oulahbib

Comme il a été déjà démontré (mais caché à dessein) par une étude de l’Institut Pasteur s’agissant des écoliers, et par une autre étude coréenne concernant des personnes dites asymptomatiques, le fait qu’elles puissent contaminer s’avère quasi nul pour les premiers et très faible pour les secondes. De plus, être « positif » ne veut pas dire « malade », et quand bien même y aurait-il contagion cela ne veut pas dire virulence et encore moins un accroissement du taux de létalité, voire de mortalité, surtout lorsque l’on soigne de manière précoce.

En un mot comme en cent cette maladie est très modérément mortelle en dessous de 84 ans et comme nous avons de plus en plus des médicaments peu onéreux et connus qui marchent de mieux en mieux, il n’y a aucune raison de s’inquiéter, du moins si on laisse les médecins faire leur métier et avoir les moyens pour le faire, ce qui n’est pas le cas comme on le sait de plus en plus.

Aussi voir des « aboyeurs », incompétents par ailleurs dans ce domaine, se mettre à menacer lesdits « non vaccinés » (en appelant à les enfermer, leur enlever leurs droits, vouloir en faire des « paria », etc.) montre seulement leur degré de nuisance mâtiné d’autoritarisme vulgaire envers les libertés fondamentales, doublé d’inanité complète en matière journalistique, le tout ne méritant que le mépris et le boycott tant ce qu’ils affichent ne peut que susciter le dégoût. Chassez le naturel…

Si le gouvernement, encore en place pour une petite année, leur emboîte le pas à la rentrée, cela risque surtout d’être la goutte de trop…

⚠ Les points de vue exprimés dans l’article ne sont pas nécessairement partagés par les (autres) auteurs et contributeurs du site Nouveau Monde.