« L’enjeu de ces mouvements, ce n’est pas, et de loin, ce qu’on en dit, à savoir quelques revendications, pour parfaitement légitimes qu’elles soient, portant sur le prix du gazole, la complexité administrative excessive, la concurrence déloyale avec les producteurs étrangers, etc., mais la survie, je dis bien la survie du monde agricole français, naturellement français.
Une armée de prédateurs financiers étrangers, essentiellement anglo-saxons (on les appellera ici les PFAS), celle-là même qui, créancière de l’État français à hauteur des montants colossaux que l’on sait, lui dicte la politique qu’il doit suivre, à travers ses hommes liges tels Macron et son clone Attal, a entrepris de détruire méthodiquement la classe paysanne française en l’asphyxiant économiquement par des règlements iniques et inapplicables. Toutes les difficultés à vivre du monde agricole actuel, alors que notre pays est en paix depuis quatre-vingts ans, qu’il est prospère comme il ne l’a jamais été, que l’agriculture est la première richesse française, sont purement artificielles, voulues, organisées, cyniquement organisées. Ces prédateurs impitoyables prévoient de racheter leurs terres aux paysans français, toutes leurs terres, à vil prix, et de constituer de vastes domaines, de mille hectares ou plus, en substitution aux domaines actuels tournant autour de la centaine d’hectares, détenus par des Français. Ce sera la fin de la paysannerie française. C’est ce qui est prévu, et en route. »
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