Programmation prédictive? un épisode de la série Dead Zone met en scène une épidémie de coronavirus avec un remède bien connu…

[Source : Guy Fawkes News]

Dans l’épisode 14 (saison 2) de la série américaine Dead Zone, la trame est une épidémie de Coronavirus mortel ultra-contagieux avec dépression respiratoire. Tout y est: Le confinement, les masques, les tests, la quarantaine, l’origine animale en Chine, jusqu’à la Chloroquine comme remède miracle! Alors coïncidence ou programmation prédictive? Il faut reconnaître que le coup de la chloroquine c’est bluffant (cet épisode date de 2003).

https://youtu.be/0naLkgI0-bE

Et vous savez comment s’appelle cet épisode? La peste (The Plague).




À la remorque de l’OMS

[Source : Le Journal de Montéal]

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Nathalie Elgrably-Lévy

Les personnes vulnérables confiées aux bons soins de l’État dans les CHSLD et les résidences représentent 80 % des décès liés au virus, sans compter les traitements inhumains qu’on leur a infligés.  

La classe politique condamne le financement insuffisant. Peut-être ! Mais le véritable coupable est ailleurs.   

Hécatombe 

Il est intéressant de noter que de nombreux pays occidentaux enregistrent la même hécatombe. En l’occurrence, la France compte près de 9500 décès dans ses EHPAD.   

Au Québec, les CHSLD avaient été informés de ne pas transférer les résidents malades vers les hôpitaux. Ailleurs aussi ! 

Au Québec, des résidents déclarés positifs continuaient souvent de partager la même chambre que ceux non contaminés. Ailleurs aussi ! 

Au Québec, les autorités ont nié avec insistance l’utilité du masque. Ailleurs aussi ! 

Au Québec, les autorités ont eu une réaction épidermique face aux conseils du Pr Raoult, lui qui est pourtant une sommité mondiale dans le domaine de l’infectiologie. Ailleurs aussi ! 

Qu’un pays prenne une mauvaise décision, c’est possible. Qu’un autre l’imite, c’est envisageable. Mais qu’autant de pays prennent simultanément les mêmes mauvaises décisions, c’est hautement improbable. Il est donc évident qu’ils suivent le même modus operandi. 

Vu l’épinglette des Nations unies qu’arbore fièrement le Dr Arruda, il est logique d’en déduire qu’il applique religieusement les recommandations de l’OMS. 

Or, en dépit d’un budget annuel de 4,5 milliards $ US, l’OMS a manifestement été une bien mauvaise conseillère.  

Ses erreurs d’aiguillage et ses fourvoiements ont clairement provoqué la catastrophe actuelle et certainement causé de nombreux décès.  

Indépendance 

En étant les fidèles valets de l’OMS, nos dirigeants ont été de dangereux covidiots !   

Aujourd’hui, le Québec paye le prix des errances de l’organisation onusienne. Pour s’en sortir, il a désespérément besoin de dirigeants dotés d’un esprit critique et, surtout, d’une autonomie intellectuelle.  

Il a besoin de leaders mentalement déconfinés !  

Le Québec rêve d’indépendance ? Voilà l’occasion parfaite de la revendiquer !




“Seconde vague” : une bonne leçon de la philosophe Hannah Arendt

[Source : Santé Nature Innovation]

[Auteur : Jean-Marc Dupuis]

Pour ne pas nous laisser mener par le bout du nez

Edouard Philippe, Premier ministre, a annoncé samedi qu’il existe un “risque sérieux” d’une “seconde vague”, potentiellement plus meurtrière que la première :

“Le risque d’une seconde vague, qui viendrait frapper un tissu hospitalier fragilisé, qui imposerait un re-confinement, qui ruinerait les efforts et les sacrifices consentis […], est un risque sérieux”,

a-t-il déclaré lors de la présentation du plan de déconfinement à partir du 11 mai. [1]

Au même moment, le Pr Didier Raoult, spécialiste en épidémies, disait exactement le contraire :

“La deuxième vague, c’est de la science-fiction”.

[2]

Lorsque, en tant que citoyen “de base”, vous vous faites ainsi ballotter par des informations contradictoires, sans aucun moyen de savoir qui dit vrai, c’est le signe que vous êtes en danger, selon la philosophe Hannah Arendt, rescapée du nazisme et spécialiste des systèmes totalitaires.

Comment la vérité est sacrifiée

Selon Hannah Arendt, les régimes totalitaires prennent un pouvoir “total” sur les individus en les arrosant d’informations contradictoires, jusqu’à ce qu’ils n’aient plus aucun moyen de savoir où se trouve la vérité.

Sous Hitler, sous Staline, explique-t-elle, le citoyen ne savait jamais à quelle sauce il allait être mangé. La propagande gouvernementale ne consistait pas à simplement “mentir” aux citoyens, en présentant une version “officielle” des faits dans les journaux, version qui aurait alors pu aisément être critiquée.

Non, c’était beaucoup plus subtil et efficace que cela.

Pour empêcher véritablement tout débat, toute initiative, pour obtenir des citoyens qu’ils se découragent totalement, qu’ils cessent d’essayer de comprendre, et qu’ils perdent donc tout moyen d’agir, les médias d’Etat les plaçaient sous un déluge continu d’informations incohérentes, mêlant le vrai et le faux jusqu’à ce que plus aucune personne ne puisse savoir de bonne foi ce qu’il fallait penser :

  • “Nous gagnons la guerre !”,
  • “Nous perdons la guerre !”
  • “Les rations vont être augmentées !”
  • “Les rations vont être diminuées !”
  • “L’économie est en croissance !”
  • “Il va falloir travailler plus !”
  • “Vous pouvez sortir sans autorisation !”
  • “Les contrôles vont être renforcés !”

Pour ajouter à la confusion, les Autorités ne parlaient plus d’une seule voix, mais au contraire via une foule de porte-paroles, dont il était impossible de savoir lequel portait la “véritable” parole de l’Etat.

C’est exactement ce que nous vivons aujourd’hui, et c’est pourquoi une telle tension s’installe dans les esprits.

C’est normal. Ce n’est pas de votre faute si vous ne comprenez rien, si vous êtes ballotté entre des amis, des voisins, des journalistes, des blogueurs ou encore des “youtubeurs” qui, chacun ont leur opinion qui paraît valable, tout en étant incompatibles les unes avec les autres.

C’est le résultat logique de la communication gouvernementale qui introduit confusion et contradictions partout.

Car, si vous êtes de bonne foi, cela fait déjà plusieurs semaines, que vous n’avez plus aucun moyen de savoir ce qu’il faut raisonnablement penser de la situation.

Depuis plusieurs semaines, il n’y a plus aucun moyen de savoir ce qu’il faut “raisonnablement” penser de la situation

Lorsque le Président Macron annonce le déconfinement à partir du 11 mai, il est aussitôt suivi d’une déclaration de son Premier ministre qui explique que le déconfinement ne touchera que certaines personnes, dans certaines zones.

Au même moment, le Pr Jean-François Delfraissy, président du conseil scientifique Covid-19, et donc principal conseiller de l’Elysée, affirme que les personnes âgées resteront confinées jusqu’à la fin de l’année, ce qui est rapidement démenti par le Ministre de l’Intérieur Castaner.

La porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye explique alors que, bien que le déconfinement commence le 11 mai, mieux vaut prévoir ne pas partir en vacances en août. Aussitôt, une virologue experte (Anne Goffard) annonce alors sur France-Inter que plusieurs études de modélisation dans différents pays concluent à “une deuxième vague épidémique très probable au plus tôt fin août”, à moins que ce ne soit ”en octobre ou en novembre”. [3]

De son côté, le ministre de l’Education Jean-Michel Blanquer annonce la réouverture de “toutes les écoles dans toutes les zones”, en précisant aussitôt que les enfants sont probablement de gros vecteurs du virus et qu’il faudra sans doute laisser fermés les collèges, les lycées et l’enseignement supérieur. La ministre du travail Muriel Pénicaud estime alors sur France-Info “raisonnable de dire” qu’un télétravail massif aura lieu au moins jusqu’à l’été”, ce qui achève de rendre caduque l’annonce d’un déconfinement le 11 mai.

Je passe sur la publication d’une carte des départements rouges, oranges et verts dont on nous explique qu’ils pourront servir, ou non, à définir des dates différentes d’ouverture des différents secteurs de l’économie ; sur les annonces contradictoires des bienfaits du confinement, des masques, des tests de dépistage ; sur l’affaire de la chloroquine atteignant le summum de la foire d’empoigne, avec des experts tout aussi incontestables les uns que les autres qui se prononcent en faveur ou en opposition totale au traitement ; sur le fait que les enfants et les jeunes sont successivement présentés comme potentiellement victimes de la maladie ou au contraire parfaitement protégés.

Si, à la fin de ce message, vous avez mal à la tête, et envie de sortir vous promener pour penser à autre chose, dites-vous que c’est exactement l’effet recherché par les Autorités des pays totalitaires lorsqu’ils assomment leurs citoyens sous un déluge d’informations, contre-informations, ré-informations : obtenir que les réseaux de résistance se divisent. Que  les citoyens se découragent. Que la critique devienne impossible. Que l’action, la réaction, la révolte, perdent leur sens.

Comme il n’y a plus de vérité, il n’y a plus de réalité. Vous avez l’impression de vous battre contre des moulins qui tournent dans tous les sens. Vous comprenez que lire, parler, réfléchir, n’a plus aucun sens car on peut penser tout et son contraire, selon les sources que l’on choisit, et qui évoluent elles-mêmes en permanence.

C’était la triste situation de nombreux pays au XXème siècle, dont on espérait pourtant ne pas reproduire les erreurs au XXIème :

“Quand tout le monde vous ment en permanence, le résultat n’est pas que vous croyez ces mensonges mais que plus personne ne croit plus rien. Un peuple qui ne peut plus rien croire ne peut pas se faire une opinion. Il est privé non seulement de sa capacité d’agir mais aussi de sa capacité de penser et de juger. Et, avec un tel peuple, vous pouvez faire ce que vous voulez”, disait Hannah Arendt.

A méditer.

Mais pour terminer sur une note plus joyeuse, je vous invite à regarder cette vidéo humoristique sur le confinement : 

https://www.youtube.com/watch?v=BFOJtRFlY-8

Ces jeunes me paraissent faire preuve d’une vivacité d’esprit, d’un talent musical et même d’un sens philosophique remarquable. Ils ont en effet su, par les paroles de la chanson et par leur jeu d’acteur (les yeux ronds et l’air parfois halluciné du chanteur) manifester, mieux que moi par mon texte, cette impression d’absurde et de folie collective qui est en train de nous saisir.

Bravo à eux, c’est un grand soulagement pour nous de voir qu’une telle intelligence et un tel sens artistique peuvent encore exister.

A votre santé !

Jean-Marc Dupuis


[1] https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/avec-le-deconfinement-la-crainte-d-une-deuxieme-vague-6823541

[2] https://www.ladepeche.fr/2020/05/01/coronavirus-la-deuxieme-vague-cest-de-la-science-fiction-pour-le-professeur-didier-raoult,8869876.php

[3] https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/avec-le-deconfinement-la-crainte-d-une-deuxieme-vague-6823541




Le coronavirus de la bonté

[Source : Le Saker Francophone]


Par Dmitry Orlov – Source Club Orlov

Que va-t-il se passer avec le terrible-si-horrible mais pas si nouveau coronavirus de l’enfer ? Je pense que le SARS-Cov-2 (son nom officiel) va suivre le chemin du SARS-Cov-1, et je ne peux reprocher à quiconque de ne pas s’en souvenir. Ces deux virus sont identiques à 80% et on pense qu’ils proviennent tous deux de chauves-souris. Mais ils se comportent différemment. Le virus n°1 provoque l’apparition de symptômes peu après l’infection et, bien qu’il ne se propage pas aussi férocement que le n°2, il tue beaucoup plus les personnes qu’il infecte. Le deuxième est si contagieux qu’à ce stade, le contenir semble une perspective peu probable dans le monde entier, et même les efforts acharnés pour ralentir sa propagation n’ont pas fait une grande différence.

Mais le numéro 2 a ses bons côtés : il tue un pourcentage infime des personnes qu’il infecte et sa létalité est similaire à celle d’autres virus de la grippe bien connus. En fait, maintenant que la pandémie de coronavirus a atteint un plateau ou est en déclin dans une grande partie du monde, il semble que le numéro 2 n’affectera pas de manière significative les statistiques sur la mortalité, sauf peut-être en Belgique, à Saint-Marin et en Andorre. Après ajustement pour tenir compte de la croissance démographique et du vieillissement de la population dans de nombreux pays, la mortalité est actuellement inférieure à ce qu’elle était pendant la majeure partie de ces dernières années. En dépit de ces différences, les numéros 1 et 2 présentent deux grandes similitudes : premièrement, ils ont tous deux fait l’objet d’une campagne de publicité incessante ; et deuxièmement, je pense qu’un proche avenir nous le montrera, ils auront tous deux disparu sans laisser de traces.

Mais il y a une différence majeure entre les numéros 1 et 2. Alors que le n° 1 n’était qu’un virus de bad boy – une nuisance mineure qui n’a causé que 700 morts (un peu moins de 0,000001% de l’humanité) – on peut affirmer sans risque de se tromper que le n° 2, bien qu’il ait déjà tué 0,003% de l’humanité et qu’il soit en voie d’en tuer 0,001% de plus, est un bon virus – si bon que je suis tenté de l’appeler le don de Dieu à l’humanité. Pour citer le Faust de Goethe, le n°2 pourrait dire, pour sa propre défense : « Je fais partie de cette puissance qui veut éternellement le mal et qui fait éternellement le bien ». Comme cela peut paraître choquant, laissez-moi vous expliquer exactement ce que j’entends par là.

Tout d’abord, permettez-moi de planter le décor – très brièvement, puisque j’ai déjà exploré ce territoire en détail auparavant. La pandémie de coronavirus, en tant que réponse irrationnelle et hystérique à un virus grippal relativement bénin, n’a pas entraîné l’effondrement économique ; elle ne l’a même pas déclenché. Ce qu’elle a fait, c’est le masquer. Le phénomène qui a provoqué l’effondrement est appelé « pic pétrolier ».

Le pic pétrolier s’est produit en 2005, après quoi la production de pétrole conventionnel a atteint un « plateau ondulant » (charmante tournure de phrase de Daniel Yergin). Comme les économies du monde entier ont continué à croître, et comme la croissance économique de toute économie industrielle ou en voie d’industrialisation dépend directement de l’augmentation de la consommation de pétrole, les prix du pétrole ont atteint un sommet historique de 147,27 dollars le baril le 11 juillet 2008. Cet événement a déclenché le premier effondrement financier du XXIe siècle, qui a été couvert par des emprunts incessants des gouvernements du monde entier et par la création de monnaie par les banques centrales.

Une reprise temporaire et partielle a été rendue possible par l’arrivée sur la scène du pétrole de schiste aux États-Unis, ce qui a permis à ce pays de redevenir pendant un bref instant le plus grand producteur de pétrole au monde. Mais le pétrole de schiste est une ressource qui s’épuise rapidement et ce bref moment de gloire, pendant lequel des personnes stupides ont inventé le terme « Saudi America », est maintenant terminé. Les implications de cette évolution se sont faites sentir en août 2019, lorsqu’il s’est avéré que les bons du Trésor américain, qui étaient censés être à la base du marché financier le plus sûr et le plus liquide du monde, ne pouvaient plus être utilisés comme garantie, même pour des prêts au jour le jour, sans payer un taux d’intérêt exorbitant.

En janvier 2020, après un délai de six mois, l’économie mondiale était prête à s’effondrer. Cet événement aurait eu des conséquences politiques dévastatrices s’il n’y avait pas eu un événement fortuit qui a permis aux gouvernements du monde entier de crier « Regardez, un écureuil ! », faisant dire à tout le monde « Quel écureuil ? » tout en regardant autour de soi dans la confusion. Au lieu d’être contraints d’accepter la responsabilité d’un effondrement économique sur lequel ils n’avaient aucun contrôle, ils ont choisi de fermer les transports aériens, de fermer les frontières nationales, d’imposer des fermetures, des confinements et des couvre-feux, et de prendre d’autres mesures économiquement destructrices,  devançant en actes le rouleau compresseur de l’effondrement économique au lieu de le laisser simplement passer sur eux.

Le coronavirus mérite une standing ovation et d’être salué pour ce travail bien fait. Au lieu de l’enchevêtrement apparemment inévitable de l’effondrement financier, commercial et politique, il a permis aux gouvernements du monde entier de mettre en place un arrêt contrôlé d’une grande partie de l’économie et d’empêcher le château de cartes financier de s’écrouler d’un seul coup tout en maintenant un minimum de contrôle, ou du moins l’apparence de contrôle. Mais ce faisant, ils ont fait un marché faustien : les politiciens permettent à la bête sauvage qu’est le coronavirus, dirigée par ses intrépides épidémiologistes, de les traîner dans un jardin au bout duquel se trouve quelque chose qu’ils ne peuvent pas encore voir, mais pour certains d’entre eux, cela pourrait bien être la guillotine.

Ils prétendent nous sauver de quelque chose qui pourrait tuer jusqu’à 0,005 % d’entre nous dans un contexte où le taux de mortalité est de 0,95 %. Autrement dit, pour chaque 190 d’entre nous qui mourront cette année, un mourra du coronavirus et les autres d’autres causes. Mais cela surestime le risque, puisque même cette personne serait bientôt morte d’autre chose, car le coronavirus ne tue pas des personnes par ailleurs en bonne santé. Les politiciens peuvent essayer de faire croire que chaque vie est précieuse et que la sauver justifie un sacrifice quelconque, mais beaucoup de décès dus à d’autres causes sont bien plus courants et bien plus faciles à prévenir, et pourtant ils ne sont pas considérés comme nécessitant des actions précipitées et économiquement destructrices.

Les politiciens, et les épidémiologistes qui leur chuchotent à l’oreille, sont maintenant engagés dans une tentative désespérée de sauver la face, continuant à prétendre que les restrictions qu’ils ont imposées ont contenu la pandémie de coronavirus, ou du moins l’ont ralentie, et leur ont ainsi permis de gagner du temps pour se préparer à la combattre bec et ongles. Mais chaque jour qui passe, il devient de plus en plus évident que les dommages causés à la société par les conséquences involontaires des mesures de lutte contre le coronavirus, telles que l’accès aux soins médicaux, les difficultés dues au chômage et bien d’autres, entraînent des pertes de vies humaines plus importantes que celles dues au coronavirus lui-même. Nous pouvons plaindre les pauvres politiciens qui ont eu recours à la ruse du coronavirus pour éviter d’assumer la responsabilité de l’effondrement en cours, ou nous pouvons remercier le coronavirus d’avoir fourni l’écran de fumée nécessaire pour éviter, ou du moins pour différer, l’effondrement politique.

Certains politiciens pourraient utiliser la ruse du coronavirus à leur avantage en choisissant un moment stratégique – lorsque la pandémie est en grande partie terminée – pour mettre le holà aux amateurs de coronavirus, en commençant par l’Organisation mondiale de la santé et en poursuivant aussi tous les épidémiologistes locaux de haut rang qui ont suivi ses conseils. L’OMS est pour l’instant une cible facile, car ils se sont constamment trompés en terme de prévisions et de prescriptions. Ses politiques ont été une parodie, et il devrait être facile pour les démagogues de prétendre qu’elle a été criminellement négligente, puisque, comme on pourrait le supposer de manière mensongère, les mesures qu’elle a dictées ont provoqué l’effondrement de l’économie.

De telles manœuvres politiques ne sont pas sans précédent. Joseph Staline, par exemple, a conclu ses purges mondialement connues par une purge complète des commissaires qui les ont menées. On a dit qu’ils avaient outrepassé leur autorité, et Staline a donc signé leurs arrêts de mort et les a tous fait fusiller. Malgré toute sa puissance, Staline n’aurait probablement pas pu survivre s’il avait essayé de se débarrasser directement d’eux. Vous trouverez peut-être ces manœuvres machiavéliques un peu dures, mais nous parlons alors d’un leader dont le nom de guerre, Staline, signifie « homme d’acier » (son vrai nom de famille était Dzhugashvili).

Il se pourrait donc très bien que certains des dirigeants politiques les plus avisés saisissent cette occasion, surfent sur la crête de la colère populaire une fois que la pandémie sera largement passée et que la dévastation économique deviendra évidente, et déclarent l’OMS, ainsi que tous ceux qui naviguent dans son sillage, comme organisation terroriste. L’OMS est un consortium d’intérêts financiers qui contrôle les grandes entreprises pharmaceutiques et qui est soutenu dans une large mesure par un oligarque particulièrement odieux – Bill Gates de Microsoft. Pour moi, Gates est la preuve vivante qu’un idiot peut être diabolique.

Il a gagné sa fortune grâce à un plan de corruption par lequel sa société a obtenu le monopole sur les systèmes d’exploitation des ordinateurs personnels IBM, ce qui lui a permis de prélever une « taxe Microsoft ». Ses incursions ultérieures dans l’éducation semblent avoir été destinées à rendre le monde sûr pour Microsoft en conditionnant des générations de jeunes à supporter les produits de Microsoft, implacablement défectueux et généralement inférieurs. (J’ai boycotté Microsoft pendant les 20 dernières années avec d’excellents résultats).

Aujourd’hui, Gates semble être le fer de lance d’un mouvement visant à immuniser tout le monde contre tout et n’importe quoi, jusqu’aux virus qui provoquent le rhume (qui se trouvent être des inoculants parfaitement efficaces et librement disponibles contre eux-mêmes). J’espère que les dirigeants nationaux du monde entier s’uniront pour interdire l’OMS, auquel cas nous devrons remercier le SRAS-CoV-2 d’avoir contribué à ce que cela se produise.

Mais il y a bien d’autres choses dont nous devons être reconnaissants. Tout d’abord, malgré toute la mauvaise publicité dont il a fait l’objet, le SRAS-CoV-2 (n°2 en abrégé) est gentil et bien élevé. Il apporte un rapide coup de grâce aux personnes âgées et aux malades – tous ceux qui s’attendraient à une existence particulièrement désagréable après un effondrement économique. On ne peut pas faire grand-chose pour ceux qu’il décide de tuer. En les branchant à des appareils de ventilation pulmonaire artificielle, on prolonge leur agonie, mais 9 sur 10 d’entre eux meurent de toute façon. Certains pourraient dire que n° 2 a été envoyé sur Terre par un Dieu compatissant qui aime l’humanité et s’efforce de nous rendre plus jeunes et en meilleure santé alors que nous nous préparons à des temps difficiles, mais l’OMS s’est alors impliquée et a fait échouer le brillant plan de Dieu en convainquant les gouvernements de tout fermer et d’enfermer tout le monde.

Mais ensuite, d’autres pourraient dire que tout fermer et enfermer tout le monde fait partie du brillant plan de Dieu. Comme je l’ai expliqué plus haut, l’effondrement financier et économique devait se produire indépendamment de l’arrivée de n° 2 sur la scène, et la meilleure réponse à l’effondrement économique est de fermer toutes les activités non essentielles, comme le tourisme, la publicité, les spectacles, le shopping de luxe, le toilettage des chiens, les massages érotiques, etc. Une autre réponse parfaitement légitime à l’effondrement économique consiste à rapatrier des personnes, puis à fermer les frontières nationales, afin de bloquer le flux de migrants économiques en provenance de pays condamnés vers des pays qui ne le sont peut-être pas – du moins pas encore.

Vu sous cet angle, le n° 2 a été des plus utiles pour fournir la couverture politique nécessaire et générer un climat de peur suffisant, permettant d’imposer un niveau d’austérité qui n’aurait pas été toléré autrement et qui aurait conduit à des émeutes et des révolutions dans de nombreux endroits, par opposition aux émeutes dans certains endroits seulement, comme Lansing, dans le Michigan. Un autre effet du n° 2 a été de mettre à l’épreuve différents pays, sociétés et cultures politiques, afin de voir lesquels resteront des concurrents dans un monde post-coronavirus et lesquels doivent commencer à chercher un endroit confortable où se blottir à la lisière de l’histoire. La réaction au n° 2 aux USA (ou plutôt à l’effondrement que le n° 2 a servi à masquer) a produit un taux de chômage d’environ 25 % (et cela s’ajoute à un taux de sous-emploi – les travailleurs dits « découragés » – de 25 % supplémentaires) et des taux de mortalité très élevés dû à n° 2, car son ridicule système de services médicaux à but lucratif s’est effondré. Des résultats tout aussi épouvantables ont été obtenus dans d’autres pays occidentaux qui, jusqu’à présent, ont été vantés comme disposant de merveilleux systèmes médicaux.

Comparez cela à la Russie prétendument arriérée, qui vient de sortir de six semaines d’auto-isolement qui, pour la plupart des gens, se résumait à des vacances payées sans loyer, avec une exonération d’impôts et de dettes et une généreuse allocation pour la garde d’enfants versée par un fonds de stabilisation national. Là-bas, des tests à grande échelle ont révélé un grand nombre de cas n° 2, mais la Russie a cependant un taux de mortalité n° 2 si bas que son système médical fait maintenant l’envie du monde entier. À la réouverture de la frontière, la Russie est elle aussi confrontée à une tâche redoutable, car elle ne peut plus demander au reste du monde de payer des taxes au nom de ses citoyens en taxant ses exportations d’hydrocarbures, du moins à court terme, en raison d’une surabondance temporaire. À plus long terme, elle pourrait se heurter à un problème similaire en raison du manque de partenaires commerciaux solvables. Elle sera plutôt contrainte de se tourner vers le développement interne, le remplacement des exportations et une autarcie limitée. Si elle y parvient, elle devra remercier le n° 2 de lui avoir accordé une période de relative normalité qui lui a permis de se mobiliser et de planifier. Elle devra également remercier le n° 2 d’avoir détruit l’un de ses principaux concurrents, la zone de schiste aux États-Unis.

Cette période de relative normalité entre l’arrivée mystérieuse du n° 2 et son départ tout aussi mystérieux sera très probablement relatée avec un sentiment de nostalgie – un calme avant la tempête, pendant lequel les gens ont pu rester à la maison et jouer avec leurs enfants. C’est un moment de réflexion : des masses de plancton de bureau ont eu l’occasion de revenir sur leur vie d’avant la tempête, sur leur existence de quasi-drone pousseurs-de-boutons ponctuée de séances de shopping compulsifs pour des choses dont ils n’avaient pas besoin, de séjours de deux semaines sous les tropiques et de temps libre rempli d’« infotainement » vaporeux, et de réaliser qu’ils ne sont plus nécessaires et que leur séjour dans l’enfer de la consommation est désormais terminé.

Outre les planctons des bureaux, toute l’industrie du tourisme [y compris les avionneurs, NdT], qui s’est employée à transformer le plus grand nombre possible de destinations en destinations touristiques, toutes identiques (c’est-à-dire touristiques), n’est plus vraiment nécessaire non plus si tout le monde doit maintenant faire des économies en restant chez soi. Il en va de même pour les restaurateurs, qui en sont réduits à offrir des services de livraison de nourriture, qui ne sont plus vraiment nécessaires alors que les gens réapprennent à cuisiner à partir de zéro – une compétence très utile dans un monde où les gens ont plus de temps que d’argent. De même avec les enseignants et les instructeurs de tous types, maintenant que les parents se rendent compte que l’enseignement à distance ne fonctionne pas vraiment (et, pour aller plus loin, que l’éducation en général ne fonctionne pas non plus vraiment) et que l’enseignement à domicile peut fonctionner beaucoup mieux.

Au-delà de la simple pression sur le bouton « supprimer » d’un grand nombre de fonctions non essentielles (ou, pour parler franchement, inutiles et contre-productives), le n° 2 a donné aux gens une chance de se réhumaniser. Les gens sont des animaux sociaux et il est essentiel que les adultes puissent se frotter à d’autres humains dans un bar et que les enfants puissent jouer ensemble sur un terrain de jeu. Il y a eu une mode passagère de personnes assises ensemble mais s’ignorant en regardant leur smartphone, mais une autre bonne et longue période à être assis seul dans une pièce en regardant un smartphone est généralement suffisante pour que la plupart des gens aspirent à de véritables contacts humains. Cette demande refoulée d’une véritable interaction humaine est utile pour faire comprendre ce que sont réellement les communautés numériques et les réseaux sociaux : une fausse sociabilité.

Auparavant, les gens affluaient dans les villes, pour voir et être vus, et étaient prêts à payer des loyers exorbitants pour vivre dans de minuscules placards, mais qu’y a-t-il à voir maintenant que les rues des villes sont pour la plupart vides, que la plupart des lieux sont fermés, et que les quelques personnes que vous pourriez voir lorsque vous vous aventurez dehors sont muselées par des masques faciaux, se tiennent à deux mètres les unes des autres et sont obligées de suivre des règles strictes sur le moment et l’endroit où elles peuvent ou ne peuvent pas être et sur ce qu’elles peuvent ou ne peuvent pas faire ? C’est ainsi que les nombreux charmes de la campagne commencent à attirer les gens loin des villes. En fait, partout où de nombreuses personnes possèdent un logement à la campagne, il y a eu un exode vers la campagne. De même, dans les pays disposant d’une infrastructure numérique développée, de débits de données à des prix raisonnables et d’un accès 3G ou meilleur partout, il s’est avéré que la plupart des citadins peuvent être tout aussi productifs à la campagne qu’en ville, mais à un coût bien moindre pour eux-mêmes et pour l’environnement.

Même si ce n’est pas le cas aujourd’hui, je prédis que dans quelques mois, nous nous souviendrons avec nostalgie de ce moment particulier où les gouvernements du monde entier ont inexplicablement fermé leurs frontières et leurs économies pour sauver leurs populations d’un virus pas particulièrement mortel. Mais ça ne sera possible que si les gens ont le luxe de prendre le temps de regarder en arrière, car beaucoup de choses vont se passer rapidement alors que la planète se reconfigure rapidement. Vous souvenez-vous des problèmes urgents auxquels nous étions confrontés le 1er janvier 2020 ? Ce qui semblait important à l’époque l’est-il toujours ? Aussi étrange que cela puisse paraître, cette période, où rien ne s’est encore vraiment passé, est à votre portée. C’est une pause qui rafraîchit. N’oubliez pas de remercier le n° 2 de vous avoir donné une si merveilleuse excuse pour éviter la réalité de l’effondrement pendant encore un petit moment.

Dmitry Orlov




Covid-19 – Un virus monstrueux ou un alibi idéal pour tromper l’humanité ?

[Source : Réseau International]

par Candice Vacle.

Le Pr. Didier Raoult, plus grand expert mondial dans le domaine des maladies transmissibles[1], dit, à propos de la gravité du covid 19 :

« Tout le délire autour de la gravité monstrueuse de cette maladie est déraisonnable. Ce n’est pas vrai. Globalement ça ne présente pas à la fin une surmortalité exceptionnelle. C’est grave chez les sujets déjà à risques, qu’il fallait essayer de détecter et de traiter le plus tôt possible ».

En bref, selon le Pr Raoult le covid 19 n’est pas aussi grave que ce que l’on nous dit. Qui est ce « on » ? Sans doute, pense-t-il, aux médias mainstream, au gouvernement, aux scientifiques ayant des conflits d’intérêts avec les industries pharmaceutiques ou l’OMS.

Soyons précis, le Pr Raoult ne dit pas, pour autant, pas qu’il s’agit d’une maladie bénigne. Lui-même, à propos du covid 19, parle de « maladie aiguë »[2] et des « risques de sequelles […] absolument considerables »[3].

En se basant sur ce recadrage du Pr. Raoult, il apparaît une fois de plus (voir mes messages précédents) que la version officielle de la crise du covid 19, dont les médias mainstream se font l’écho, est partiale, partielle, voire erronée.

Il est urgent d’informer les citoyens sur le fait que les médias mainstream exagèrent de manière insensée la gravité du covid 19.

Pourquoi cette exagération récurrente du danger du covid 19 et ce point de vue unilatérale des médias mainstream ?

Est-ce que ce discours officiel vise à manipuler la réalité ?

Le Docteur Gérard Delépine, chirurgien orthopédique et oncologue, explique de troublantes coïncidences qui peuvent s’apparenter à de la manipulation tant dans les domaines médiatiques, scientifiques ou institutionnels concernant la crise du covid 19. Dans cette excellente vidéo

parmi les nombreux exemples qu’il donne, il dit:
« 5 jours après que le comité local de Wuhan […] disait utiliser la chloroquine et que ça le r paraissait intéressant […] 5 jours. La chloroquine n’était plus en vente libre en France après que Mme Buzin a décidé par arrêté. […] C’était soi-disant par hasard. Il y a une chronologie bizarre ».

Il fait référence à l’hydroxychloroquine qui le 13 janvier 2020 a été classée sur les listes des substances vénéneuses par Mme Buzin Ministre des solidarités et de la santé alors que ce médicament était en vente libre depuis des décennies.

La députée italienne Sara Cuniale va jusqu’à dénoncer courageusement au Parlement Italien la mafia médicale, l’Etat profond (c’est-à-dire les groupes secrets qui influencent l’Etat), le groupe Bilderberg, le tatouage quantique, ID2020 et demande au Président italien la traduction de Bill Gates devant la Cour Pénale Internationale pour crime contre l’humanité. Elle dit :
« Vous continuez à anesthésier les esprits au travers des médias mainstream corrompus. » « Bill Gates […] prophétisait une pandémie qui a ensuite été simulée dans le « Event 201 » en accord avec ses amis de Davos. Et depuis plusieurs décennies, il est engagé à développer un plan de dépopulation et à exercer un contrôle dictatorial sur les politiques mondiales. Il a dit : […] « Si nous faisons un bon travail avec les nouveaux vaccins, les soins de santé et la procréation, nous pouvons réduire la population mondiale de 10-15%. » « Nous, ensemble, avec les citoyens, allons multiplier les feux de la résistance pour qu’il soit impossible de nous réprimer tous »[4].

En bref, la députée italienne Sara Cuniale pense que Bill Gates a des vues génocidaires avec ses vaccins pour réduire la population.

Est-ce que Bill Gates a bien dit la phrase citée par Sara Cuniale ?

Oui. Vous pouvez le vérifier dans cette vidéo

Comment la vaccination pourrait réduire la population ? Bill Gates ne l’explique pas dans cette vidéo. Selon le journal Le Monde, par la phrase citée, il faut comprendre que « ce n’est pas la population que Bill Gates espère réduire de 10 à 15 %, mais son accroissement » en utilisant entre autre les vaccins.

Il faut être extrêmement prudent avec les propos du journal Le Monde sur Bill Gates car ce journal est arrosé de millions de dollars par la Fondation Bill Gates depuis des années. Plus de 2 millions de dollars juste pour 2019[5].

L’Event 201, dont parle cette députée, c’est l’événement 201. C’est un exercice de haut niveau sur les pandémies qui a été organisé, entre autre, par la Fondation Bill Gates en partenariat avec le Forum économique mondial de Davos, le 18 octobre 2019 à New York. Cet exercice a été réalisé car « les experts s’accord[aient] à dire que ce n'[était] qu’une question de temps avant que l’une de ces épidémies ne devienne mondiale – une pandémie aux conséquences potentiellement catastrophiques. »

Comment est-il possible que les participants du Forum de Davos qui sont des dirigeants politiques et d’organisations gouvernementales du monde entier (tels Angela Merkel chancelière fédérale d’Allemagne ou Christine Lagarde alors directrice générale du Fonds monétaire international) n’ont pas prévu une pandémie mondiale alors qu’ils avaient connaissance de l’Event 201 ? Ils n’ont même pas prévu le minimum, à savoir les masques[6],[7].

Robert F. Kennedy quant à lui tend à penser que « les puissants États et les entreprises utilisent […] la crise actuelle pour supprimer les droits fondamentaux et intensifier les pressions pour promouvoir les vaccins et la surveillance. » Et il craint « que Bill Gates – et son associé de longue date Tony Fauci – dirige d’une manière ou d’une autre notre meilleur des mondes » en utilisant la haute technologie comme par exemple la 5G ou des puces d’implants. Ces puces « avec des interrupteurs marche/arrêt sans fil » pourraient délivrer des doses thérapeutiques. « Connaissant le zèle […] de M. Gates pour le contrôle de la population, certains clients pourraient toutefois craindre que le système soit également activé à distance », dit-il.

Si on cumule l’exagération du danger du covid 19 par les médias mainstream pointée du doigt par le Pr Raoult (et d’autres personnes[8]), les coïncidences troublantes décrites par Dr. Delépine, les accusations de la députée italienne Sara Cuniale, les « aberrations » malheureuses de la gestion de la crise du covid 19 dont l’absence de masques a été l’apothéose, et ce que je vous ai déjà expliqué dans mes derniers messages[9], fleurit une première hypothèse valable et logique :

Les Français (et l’humanité) sont manipulés sur le sujet du covid 19.

L’humanité est trompée.

Puis, se présente une seconde hypothèse glaçante : le covid 19 est le prétexte d’une vaccination, pièce maîtresse d’un contrôle des populations et de la planification d’un génocide ou d’une stérilisation de l’humanité pour réduire la population.

Candice Vacle
Journaliste – Pays Bas

https://www.infosperber.ch/Artikel/Politik/Konzerne-Grossbanken-Die-geheime-Macht-der-Bilderberg-Gruppe

https://www.investigaction.net/fr/author/candice-vacle/?act=sp

https://reseauinternational.net/lepr-raoult-discredite-la-gestion-francaise-de-la-crise-du-covid-19-devant-le-senat/

—————————————————-

[1] http://expertscape.com/ex/communicable+diseases

[2] p.55 https://gomet.net/didier-raoult-devant-les-senateurs/3

[3] p.12 https://gomet.net/didier-raoult-devant-les-senateurs/3

[4] Vidéo à partir de la minute 23:06 https://m.youtube.com/watch?v=K-guvF2psqA

[5] https://www.gatesfoundation.org/How-We-Work/Quick-Links/Grants-Database/Grants/2019/03/OPP1210145 ( Le Monde Afrique est une partie du journal Le Monde https://www.lemonde.fr/signataires/le-monde-afrique/)

[6] https://www.centerforhealthsecurity.org/event201/

[7] https://fr.weforum.org/agenda/2019/01/qui-participe-a-davos-2019/

[8] https://www.athle.ch/2020/04/26/covid-19-a-ne-pas-manquer-notre-interview-de-criseavec-jean-dominique-michel/

[9] :




C’en est assez du consensus !

[Source : Réseau Voltaire]

par Thierry Meyssan

En théorie, les politiques et les médecins qui ont suivi de longues études sont des scientifiques. Mais en pratique, rares sont ceux qui ont une démarche scientifique. Personne aujourd’hui ne souhaite endosser la responsabilité des mesures prétendument sanitaires qui ont été prises (confinement, distanciations sociales, port de masques et de gants). Tous se réfugient derrière des décisions collégiales, l’invocation de la Science et le consensus.

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De gauche à droite : le ministre de l’Intérieur, le Premier ministre et le ministre de la Santé annoncent des mesures anticonstitutionnelles. Ils cèdent la parole au président du Comité scientifique Covid-19 et du Comité consultatif national d’éthique pour recevoir sa bénédiction « scientifique ».

Collégialité de façade

L’épidémie de Covid-19 a pris de surprise les responsables politiques qui avaient perdu de vue leur fonction première : protéger leurs concitoyens.

Paniqués, ils s’en sont remis à quelques gourous. En l’occurrence au mathématicien Neil Ferguson de l’Imperial College [1] et au médecin Richard Hatchett de la CEPI (Coalition for Epidemic Preparedness Innovations), ancien collaborateur du secrétaire US à la Défense Donald Rumsfeld [2]. Pour communiquer les décisions qu’ils avaient prises, ils ont fait appel à la fois à des scientifiques pour les justifier et à des personnalités morales pour les cautionner.

Ainsi, dans la France laïque, le président Emmanuel Macron s’est-t-il doté d’un Comité scientifique Covid-19, principalement composé de mathématiciens et de médecins, sous l’autorité du président du Comité consultatif national d’éthique.

Chacun a pu constater que, face à l’épidémie, les scientifiques en général n’étaient pas du tout d’accord entre eux. Par conséquent le choix des membres de ce Conseil permettait d’écarter à l’avance ceux que l’on ne voulait pas entendre et de ne donner la parole qu’à ceux que l’on voulait entendre. En outre, la nomination d’une personnalité morale pour chapeauter ce dispositif était conçue pour justifier des décisions privatives de liberté que l’on prétendait nécessaires, mais que l’on savait contraires à la Constitution.

En d’autres termes, ce Comité n’était qu’un paravent pour faire oublier la responsabilité du président de la République et de son gouvernement. D’ailleurs, il existe déjà une administration de Santé publique et un Haut-Conseil de Santé publique, tandis que ce nouveau Comité n’a aucune base légale.

Rapidement les débats sur les moyens de prévenir l’épidémie et les traitements à mettre en œuvre ont tourné au pugilat. Le président Macron a alors désigné une seconde instance, le Comité analyse recherche et expertise, pour y mettre bon ordre. Loin d’être un forum scientifique, il a défendu les positions de la CEPI contre l’expérience des médecins cliniciens.

Le rôle des responsables politiques est de servir leurs concitoyens, pas de jouir de voitures officielles puis d’appeler au secours lorsqu’ils ont peur. Celui des médecins est de soigner leurs patients, pas d’aller participer à des séminaires au bord des plages des Seychelles.

Le cas des mathématiciens est différent. Leur rôle est de quantifier des observations. Certains d’entre eux ont provoqué la panique pour s’emparer d’une partie du Pouvoir.

La politique et la médecine comme sciences

N’en déplaise aux politiques et aux médecins, la politique et la médecine sont deux Sciences. Cependant, au cours des dernières décennies, ces deux formes d’expertise ont succombé à l’attrait du gain et sont devenues les professions les plus corrompues en Occident —suivies de près par celle des journalistes—. Rares sont ceux qui remettent leurs certitudes en cause, pourtant la qualité de base des scientifiques. Désormais, ils font carrière.

Nous nous défendons très mal face à cette dégradation de nos sociétés. En premier lieu, nous nous donnons le droit de critiquer les responsables politiques, mais étrangement pas les médecins. Deuxièmement, nous poursuivons en Justice des médecins lorsqu’un de leurs patients meurt au lieu de les féliciter lorsqu’ils parviennent à le sauver, mais nous fermons les yeux sur leur corruption par l’industrie pharmaceutique. Ce n’est pourtant pas un secret, cette industrie a le plus gros budget de lobbying qui soit et dispose même d’un gigantesque réseau de lobbyistes jusqu’auprès de chaque médecin dans les pays développés, les « visiteurs médicaux ». Au bout de décennies de ce manège, les professions médicales ont perdu le sens de leur métier.

Certains hommes politiques protègent leur pays. D’autres pas.
Certains médecins soignent leurs patients. D’autres pas.

Les patients suspectés d’être atteints du Covid-19 et transférés à l’hôpital avaient 5 fois plus de risques de mourir s’ils étaient admis dans certains hôpitaux plutôt que dans d’autres. Pourtant les médecins qui les prenaient en charge avaient tous suivi les mêmes études et disposaient des mêmes matériels.

Nous devons exiger de connaître les résultats de chaque service hospitalier.

Le professeur Didier Raoult soigne avec succès des malades infectieux ce qui lui a valu de pouvoir construire son institut de pointe à Marseille. Le professeur Karine Lacombe travaille pour l’industriel Gilead Science ce qui lui a permis d’être nommée cheffe du service des maladies infectieuses de l’Hôpital Saint-Antoine à Paris. Gilead Science, c’est l’entreprise anciennement dirigée par Donald Rumsfeld —tenez, encore lui—, qui produit les médicaments les plus chers et souvent les moins efficaces au monde.

Comprenez bien, je ne dis pas que les soignants sont corrompus, mais qu’ils sont dirigés par des « mandarins » et une administration qui le sont largement. C’est tout le problème des hôpitaux français qui disposent d’un budget bien supérieur à celui de la plupart des autres pays développés, mais n’ont que des résultats médiocres. Ce n’est pas une question d’argent, mais de déterminer où il va.

La presse médicale n’est plus scientifique

La presse médicale n’est plus scientifique du tout. Je ne parle pas des biais idéologiques foireux dénoncés en 1996 par le physicien Alan Sokal [3], mais du fait que les trois quarts des articles aujourd’hui publiés ne sont pas vérifiables.

Presque unanimement, les grands médias ont participé à une campagne d’intoxication en faveur d’une étude parue dans le Lancet condamnant le protocole Raoult et ouvrant la voie au médicament de Gilead Science, le Remdesivir [4]. Peu importe qu’elle ne soit pas randomisée, qu’elle ne soit pas vérifiable, et que son principal auteur, le docteur Mandeep Mehra travaille à hôpital Brigham de Boston pour promouvoir le Remdesivir, bref qu’il s’agisse d’un travail indigne. Seule fausse note, The Guardian a creusé un peu et relevé que les données de bases de cette étude ont été manifestement falsifiées [5].

Lisez cette « étude », vous n’en croirez pas vos yeux : comment une telle supercherie a-t-elle pu être publiée par une « prestigieuse revue scientifique » (sic) comme The Lancet ? Mais n’avez-vous pas constaté des supercheries identiques dans les médias politiques « de référence » (sic) comme Le New York Times ou Le Monde ? The Lancet est publié par le plus grand éditeur médical au monde, le groupe Elsevier, qui fait du profit à la fois en vendant hors de prix des articles à l’unité et en créant de faux journaux scientifiques entièrement rédigés par l’industrie pharmaceutique pour vendre ses produits [6].

Récemment, je vous alertais sur l’opération de l’Otan visant à promouvoir avec les moteurs de recherche certaines sources d’information « fiables » (sic) au détriment des autres [7]. Or, en aucun cas, le nom d’un éditeur ou d’un média n’est un gage définitif de compétence et de sincérité. Chaque livre, chaque article, doit être jugé pour lui-même et par vous-mêmes au seul regard de votre esprit critique.

Le « consensus scientifique » contre la Science

Depuis plusieurs années, les scientifiques diplômés ne s’intéressent plus à la Science, mais au consensus de leur profession. C’était déjà le cas au XVIIème siécle, lorsque les astronomes de l’époque se liguèrent contre Galilée. Comme ils n’avaient pas de moyen de le faire taire, ils se tournèrent vers l’Église qui le condamna à la réclusion à perpétuité. Mais ce faisant, Rome ne faisait que s’aligner sur le « consensus scientifique ».

De la même manière, il y a seize ans, la Cour d’appel de Paris a rejeté en cascade mes plaintes contre de grands journaux qui m’avaient diffamé au seul motif que ce que j’écrivais ne pouvait être que faux, vu le « consensus journalistique » contre moi. Peu importaient les preuves que je produisais.

Ou encore, c’est au nom du « consensus scientifique » que nous croyons dur comme fer au « réchauffement climatique » promu par l’ancienne Première ministre britannique Margaret Thatcher [8]. Peu importent les nombreux débats scientifiques.

Or, la vérité n’est pas une opinion, mais un processus. Elle ne peut être mise aux voix, mais doit toujours être questionnée.

Thierry Meyssan


[1] « Covid-19 : Neil Ferguson, le Lyssenko libéral », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 18 avril 2020.

[2] « Le Covid-19 et l’Aube rouge », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 28 avril 2020.

[3] Impostures intellectuelles, Alan Sokal et Jean Bricmont, Odile Jacob éd. (1997).

[4] “Hydroxychloroquine or chloroquine with or without a macrolide for treatment of COVID-19 : a multinational registry analysis”, Mandeep R. Mehra, Sapan S. Desai, Frank Ruschitzka, Amit N. Patel, The Lancet Online, May 22, 2020.

[5] “Questions raised over hydroxychloroquine study which caused WHO to halt trials for Covid-19”, Melissa Davey, The Guardian, May 28, 2020.

[6] “Elsevier published 6 fake journals”, Bob Grant, The Scientist, May 7, 2009.

[7] « L’UE, l’Otan, NewsGuard et le Réseau Voltaire », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 5 mai 2020.

[8] « 1997-2010 : L’écologie financière », par Thierry Meyssan, Оdnako (Russie) , Réseau Voltaire, 26 avril 2010.




Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle

[Source : Sott.net]

[Auteur :] Brian Shilhavy – Health Impact News

[Image d’en-tête : © World Economic Forum
Dans chaque crise, il y a une opportunité]

Notre monde continue de changer sous nos yeux à la vitesse de l’éclair. Comme nous l’avons déjà signalé, il y a un plan derrière tout ce qui se passe, et ce plan est celui d’un Nouvel ordre mondial qui n’est même plus une théorie « conspirationniste », puisque les dirigeants mondiaux qui le planifient et le mettent en œuvre l’ont divulgué et ouvertement rendu public.

Un événement majeur se produit en ce moment et ne fait pas beaucoup la Une des journaux ; c’est le montant sans précédent d’argent « frais » que la Réserve fédérale crée de toutes pièces et injecte dans l’économie.

Il ne s’agit pas d’un « stratagème » nouveau, mais d’un phénomène que nous avons déjà observé par le passé, notamment en 2007 et 2008 avec les plans de relance économique qui ont permis de renflouer les banques.

Mais observez ce graphique publié dans Economic Policy Journal qui montre à quel point ce mouvement est sans précédent, et ce n’est encore que le début ! Au moment où j’écris ces lignes, un autre plan de relance économique de 1 000 milliards de dollars est en cours.

© EPJ
Croissance de la masse monétaire M2NSA annualisée sur 13 semaines de 1981 à 2020

L’hyperinflation est généralement imminente lorsque l’on injecte autant d’argent dans l’économie, ce qui, dans le passé, a principalement consisté à soutenir les entreprises en difficulté jugées « trop grandes pour faire faillite ». Et nous en voyons peut-être les premiers signes, puisque, aujourd’hui dimanche 7 juin, le Economic Policy Journal rapporte que les tarifs aériens vont doubler : États-Unis – Europe 2 200 $ en classe économique.

Mais cette fois-ci, nous n’assistons pas seulement à un renflouement des entreprises, mais aussi à un énorme transfert de richesse avec des centaines de milliards offerts à l’industrie pharmaceutique, principalement pour développer de nouveaux vaccins Covid.

Commentaire : Voir aussi :

Puisque toutes ces crises sont manifestement planifiées dans un but précis, de la pandémie aux récentes émeutes dans les villes américaines qui ne semblent pas vouloir s’éteindre et qui se poursuivent, la grande question est : quelle est la finalité de tous ces transferts de richesses ?

Eh bien, nous n’avons plus besoin de nous poser la question, car les Globalistes viennent de se réunir en Suisse, dans le cadre du Forum économique mondial, le même groupe qui a travaillé avec la fondation Bill et Melinda Gates à la fin de l’année dernière au Johns Hopkins Center for Health Security et a réalisé une simulation pour prédire l’épidémie de Covid-19 avant même qu’elle ne commence (voir Bill Gates & le Forum économique mondial ont-ils prédit l’épidémie de coronavirus ? [en anglais – NdT])

Commentaire : « Pendant des mois, nous avons vu notre mode de vie changer radicalement. On nous a répété à maintes reprises que les choses ne seront plus jamais les mêmes et que nous devions accepter la nouvelle normalité. Aujourd'hui, les ingénieurs sociaux ont révélé leur jeu et ont officiellement lancé leur solution à cette crise. La solution proposée est le Grand Reset. » Spiro Skouras

Un officiel allemand divulgue un rapport dénonçant le coronavirus comme une « fausse alerte mondiale

Sur le site Web du World Economic Forum dans un article daté du 3 juin 2020 — dont est issue l'image du début de notre article — En voici la conclusion :

« La crise du Covid-19 touche toutes les facettes de la vie des populations dans tous les recoins du monde. Mais la tragédie ne doit pas être son seul héritage. Au contraire, la pandémie représente une occasion rare mais étroite de réfléchir, de réimaginer et de réinventer notre monde pour créer un avenir plus sain, plus équitable et plus prospère. »
© World Economic Forum
« Explorez la carte de la Grande Transformation grâce au Reset »
Le Forum Économique Mondial de Davos n'est pas seulement un lieu ou les puissants du monde politique, économique et financier font leur exercice de communication devant les décideurs pendant trois jours. C'est également un producteur imposant de projets, de rapports, de recommandations aux décideurs politiques dont l'analyse permet de cerner les tendances pour l'année en cours et celles à venir.

Voir notre article Coronavirus - Mensonges et propagandes où les « remèdes » du Covid-19 seront pires que le mal
© Sott.net
N'oublions pas que la panique du coronavirus et ses « remèdes » sont un coup de fouet géant pour promouvoir l'agenda mondialiste du Nouvel ordre mondial :

Cette « remise à plat » de l’économie mondiale comprendra le passage à la monnaie numérique et la suppression des espèces, une redistribution des richesses et la réduction de la taille de la population mondiale pour « lutter contre le réchauffement climatique » et inaugurer le Nouvel ordre mondial. Elle comprend également le lancement de la Quatrième révolution industrielle, qui vise à intégrer les ordinateurs et l’intelligence artificielle aux êtres humains, que l’on nomme plus communément « transhumanisme ». [Voir plus bas pour la vidéo – NdT]

Un grand merci à Spiro Skouras qui a produit une courte vidéo couvrant tout cela sur Activist Post. Elle ne dure que 22 minutes, et j’encourage tout le monde à la visionner.



Le système économique du Nouvel ordre mondial

Le plan pour le système économique du Nouvel ordre mondial est en place depuis quelques années maintenant, attendant simplement la bonne occasion d’être lancé. C’est la menace mondiale [fabriquée – NdT] d’un Coronavirus exploité pour créer peur et panique dans le monde entier qui leur a fourni l’occasion parfaite pour commencer à mettre ce plan en œuvre.

Voici ce qu’ils ont publié la semaine dernière [le même article dont il est fait mention dans notre commentaire précédent – NdT] :

Les confinements dus au Covid-19 s’atténuent peut-être progressivement, mais l’inquiétude concernant les perspectives sociales et économiques du monde ne fait que s’intensifier. Il y a de bonnes raisons de s’inquiéter : un fort ralentissement économique a déjà commencé, et nous pourrions être confrontés à la pire dépression depuis les années 1930. Mais, si cette issue est probable, elle n’est pas inévitable.

Pour obtenir un meilleur résultat, le monde doit agir conjointement et rapidement pour réorganiser tous les aspects de nos sociétés et de nos économies, de l’éducation aux contrats sociaux et aux conditions de travail. Tous les pays, des États-Unis à la Chine, doivent participer et toutes les industries, du pétrole et du gaz à la technologie, doivent être transformées. En bref, nous avons besoin d’un « Grand Reset » du capitalisme.

Voici le plan en trois étapes selon leurs propres déclarations :

L’agenda du Grand Reset comporterait trois éléments principaux. Le premier orienterait le marché vers des résultats plus équitables. À cette fin, les gouvernements devraient améliorer la coordination — par exemple, en matière de politique fiscale, de réglementation et d’imposition — moderniser les accords commerciaux et créer les conditions d’une « économie des parties prenantes ». À une époque où l’assiette fiscale diminue et où la dette publique monte en flèche, les gouvernements sont fortement incités à prendre de telles mesures.

En outre, les gouvernements devraient mettre en œuvre des réformes attendues depuis longtemps qui favorisent des résultats plus équitables. Selon les pays, ces réformes peuvent inclure des modifications de l’impôt sur la fortune, la suppression des subventions aux combustibles fossiles et de nouvelles règles régissant la propriété intellectuelle, le commerce et la concurrence.

Le deuxième volet d’un programme de Grand Reset permettrait de s’assurer que les investissements font progresser les objectifs communs [les leurs, pas les nôtres – NdT], tels que l’égalité et la durabilité. Dans ce domaine, les programmes de dépenses à grande échelle que de nombreux gouvernements mettent en œuvre représentent une opportunité majeure de progrès. La Commission européenne, par exemple, a dévoilé des plans pour un fonds de relance de 750 milliards d’euros — 826 milliards de dollars. Les États-Unis, la Chine et le Japon ont également des plans de relance économique ambitieux.

Plutôt que d’utiliser ces fonds, ainsi que les investissements des entités privées et des fonds de pension [dites adieu à vos retraites – NdT], pour combler les lacunes de l’ancien système, nous devrions les utiliser pour en créer un nouveau qui soit plus résistant, plus équitable et plus durable à long terme. Cela implique, par exemple, de construire des infrastructures urbaines « vertes » et d’inciter les industries à améliorer leurs résultats en matière de mesures environnementales, sociales et de gouvernance (ESG).

La troisième et dernière priorité d’un programme de Grand Reset est d’exploiter les innovations de la Quatrième révolution industrielle pour soutenir le bien public, en particulier en relevant les défis sanitaires et sociaux. Pendant la crise du Covid-19, les entreprises, les universités et d’autres acteurs ont uni leurs forces pour développer des diagnostics, des thérapies et d’éventuels vaccins, établir des centres d’essai, créer des mécanismes de traçage des infections et fournir des services de télémédecine. Imaginez ce qui pourrait être possible si des efforts concertés similaires étaient déployés dans tous les secteurs.
[Oui, merci, on imagine assez bien – NdT]

Nous commençons donc à comprendre pourquoi tant d’argent est créé de toutes pièces et transféré à l’industrie pharmaceutique. Ils veulent reconstruire la société selon leur propre programme pour créer ce Nouvel ordre mondial.

La mise en œuvre de la Quatrième révolution industrielle est probablement l’aspect le plus inquiétant de ce plan. Ils ont produit une vidéo en 2016 qui décrit exactement à quoi ressemble cette nouvelle « révolution industrielle », et vous devriez la regarder pour comprendre exactement où ils veulent tous nous emmener pour la mettre en œuvre.

L’idée même que nous nous faisons de l’être humain, une sorte de concept naturel, a vraiment été modifiée. Nos corps seront tellement sophistiqués que nous ne pourrons plus vraiment distinguer ce qui est naturel de ce qui est artificiel.

Vous pourriez vous demander : « Pouvons-nous vraiment devenir des super humains ? »



Si vous avez lu mes précédents articles récemment publiés, dans lesquels je démasque les responsables du mouvement vers un Nouvel ordre mondial, vous apprendrez peut-être qu’il existe au sein d’une société secrète appelée « Les Illuminati » un groupe de personnes très riches et très influentes au niveau mondial.

Dans les années 1700, ce groupe a nommé deux hommes pour écrire deux idéologies opposées qui ont depuis lors été utilisées tout au long de l’Histoire récente pour créer des conflits de classe qui ont traditionnellement été étiquetés gauche contre droite, ou conservateur contre libéral. Karl Marx a écrit le Manifeste du Parti communiste, tandis que Karl Ritter a élaboré un plan selon lequel la race aryenne pourrait dominer d’abord l’Europe, puis le monde entier.

La forme extrême de la « gauche », ou du socialisme, est donc le « communisme », tandis que la forme extrême de la « droite », ou du fascisme, est le « nazisme ». C’est la base de la plupart des conflits humains aujourd’hui, et des guerres qui ont été menées depuis la Première Guerre mondiale.

Veuillez lire ces deux articles importants si vous ne les avez pas encore lus [en anglais – NdT] :

Dans la vidéo décrivant la Quatrième révolution industrielle, ils admettent d’emblée que c’est le cas depuis le début, car ils présentent leurs propres solutions à cet ancien conflit.

Nous avons besoin d’un modèle économique différent. Je n’entends pas par là le capitalisme contre le communisme.

Ce dont je parle, c’est d’un changement de système. Dans la lignée des deux grands changements qui se sont produits au XXe siècle.

Le keynésianisme a mis l’accent sur la santé et l’éducation, ainsi que sur le rôle du gouvernement dans les affaires.

Le néo-libéralisme a ensuite suivi à la fin du siècle, en réaction au précédent, et dans lequel l’accent était mis sur la libéralisation des marchés, la liberté de l’individu et l’élimination des gouvernements.

Nous devons passer à un nouveau système qui nous permettra de répondre aux besoins fondamentaux de chaque être humain sur la planète dans les limites des moyens planétaires. Cela signifie que le monde sera plus équitable et que son objectif principal ne sera pas la croissance en soi, mais la maximisation du bien-être humain [leur bien-être, pas le nôtre – NdT].

Et l’Histoire nous enseigne qu’un changement de valeurs est déclenché par la création d’un nouveau scénario quant à la façon dont nous voulons vivre.

~ Stewart Wallis, New Economics Foundation

Cela vous effraie-t-il ? Ça devrait…

Lorsque l’on regarde la vidéo qu’ils ont produite sur la Quatrième révolution industrielle, on peut noter que des idées très nobles y sont présentées quant aux perspectives que peut, selon eux, proposer la technologie, une technologie qui ferait marcher à nouveau les estropiés, et rendrait la vue aux aveugles.

Mais n’oubliez pas que tout aussi nobles que soient ces affirmations prononcées par ces technocrates, elles ne se sont pas encore concrétisées et nous n’avons aucune raison scientifique de croire qu’elles le seront un jour.

Même le désir de produire des armes biologiques de destruction massive a jusqu’à présent presque totalement échoué. Il existe des preuves qu’un virus étudié en laboratoire était en cours d’élaboration dans un laboratoire de Wuhan avant l’apparition du Covid, mais nous savons maintenant qu’il n’existe même pas de test précis permettant d’identifier ce prétendu « nouveau » virus, et que la réaction à la pandémie n’a été qu’une farce, car il s’agissait juste d’une autre mauvaise saison de la grippe, telle que nous en avons presque chaque année pendant la même période.

Commentaire : Toutefois, il nous faut mitiger ce que dit l'auteur : « des épidémiologistes et des pharmacologues japonais et taïwanais ont déterminé que le nouveau coronavirus pourrait être originaire des États-Unis, puisque ce pays est le seul connu pour avoir les cinq souches - dont toutes les autres doivent être issues. Wuhan, en Chine, n'a qu'une seule de ces souches, ce qui en fait, par analogie, une sorte de « branche » qui ne peut exister par elle-même sans être d'abord issue d'un tronc commun. »

Par ailleurs, « Daniel Lucey, un expert en maladies infectieuses de l'université de Georgetown à Washington, a déclaré dans un article du magazine Scienceque la première infection humaine a été confirmée comme ayant eu lieu en novembre 2019 (et pas à Wuhan), ce qui suggère que le virus est venu d'ailleurs et s'est ensuite propagé aux marchés de Wuhan. Un groupe a mis en évidence l'origine de l'épidémie dès le 18 septembre 2019 ».
Le COVID-19 a-t-il échappé à un essai de vaccin à Fort Detrick ? Les preuves que le virus provient d'un laboratoire d'armes biologiques américain

Sans oublier que des vagues de maladies pulmonaires se sont produites avant même l'épidémie en Chine :
Le coronavirus N'EST PAS originaire de Chine - Les médecins de Lombardie font face à d'« étranges pneumonies » depuis au moins NOVEMBRE

Au lieu de cela, ce qui s’est réellement passé à Wuhan, comme nous l’avons déjà signalé, c’est que le gouvernement chinois a convaincu plus de 50 millions de personnes de s’auto-confiner volontairement en raison de la PEUR d’un nouveau virus, et cette décision est devenue le plan directeur mis en œuvre dans le monde entier pas les mondialistes.

Les nouveaux vaccins modifiant l’ADN constituent-ils la prochaine étape ?

Les nouveaux vaccins constituent une grande partie des plans pour un Nouvel ordre mondial. Dans le cadre du programme transhumaniste, la course actuelle au développement d’un vaccin contre le Covid-19 est également une course au développement du premier vaccin qui modifie l’ADN.

Le Dr Sherri Tenpenny a récemment écrit à ce sujet. Voir [en anglais – NdT] : Un vaccin Covid-19 sera-t-il le premier vaccin à modifier l’ADN humain pour faire progresser le transhumanisme ?

Si ce nouveau vaccin expérimental peut être un moyen de tester leur capacité à modifier l’ADN humain, il pourrait très bien être aussi un moyen de tuer une partie importante de la population, ou de rendre les filles stériles, pour faire avancer leur objectif de réduire la population mondiale. Voir [en anglais – NdT] : Dr Judy Mikovits et Dr Sherri Tenpenny – Le nouveau vaccin contre le Covid-19 pourrait tuer 50 millions de personnes aux États-Unis

Commentaire : Voire de prévenir toute velléité d'évolution spirituelle en s'assurant au passage un contrôle dictatorial sanitaires sur les populations humaines :

La majeure partie de la population mondiale a déjà subi un lavage de cerveau et a été conditionnée à croire que les vaccins sont responsables de l’éradication de la plupart des maladies infectieuses, une affirmation qui ne peut être prouvée et qui n’est étayée par aucune preuve historique, montrant que presque toutes ces maladies étaient déjà en déclin bien avant que les vaccins ne soient mis sur le marché.

Les vaccins sont présentés comme « sûrs et efficaces », même s’il existe une loi spéciale qui protège la responsabilité juridique des fabricants en cas de décès et de préjudices dus aux vaccinations, et qu’un tribunal spécial vaccins a versé des milliards de dollars de dommages et intérêts.

Commentaire : « Sûrs et efficace » ?
Un peu d'historique :

Les médecins sont formés pour ne jamais considérer les vaccins comme la cause d’une maladie auto-immune, et donc si un vaccin contre le Covid-19 se met à provoquer la mort de nombreuses personnes, il faut s’attendre à ce que la communauté médicale trouve une autre cause présumée de ces décès, comme une « seconde vague » du Corornavirus, pour lequel il n’existe même pas de test fiable permettant de l’identifier.

Source de l’article initialement publié en anglais le 8 juin 2020 : Health Impact News
Traduction
: Sott.net




Pékin, Covid-19 et 5G : juste une coïncidence ?

Après les précédentes coïncidences signalées entre foyers de Covid-19 et présence de la 5G (Voir : Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ? et Study Shows Direct Correlation between 5G Networks and “Coronavirus” Outbreaks), en voici une nouvelle, cette fois à Pékin, comme montré par les deux articles suivants, le premier sur la recrudescence de l'épidémie, et le second sur l'installation d'antennes 5G.

Rebond de la COVID-19: onze quartiers de Pékin confinés en urgence

[Source : lapresse.ca]

PHOTO MARK SCHIEFELBEIN, ASSOCIATED PRESS

(Pékin) Plusieurs dizaines d’habitants de Pékin ont été déclarés positifs au nouveau coronavirus, confirmant l’émergence d’un nouveau foyer de contamination dans la capitale chinoise, où un confinement d’urgence a été ordonné samedi dans onze quartiers.

Publié le 13 juin 2020 à 0h32 Mis à jour à 9h55

[Auteure :] Laurie CHEN
Agence France-Presse

Ces nouveaux cas font craindre une résurgence de l’épidémie en Chine, où était apparue l’an dernier la maladie COVID-19, dans la ville de Wuhan (centre), que les autorités étaient parvenues à contrôler par des strictes mesures de quarantaine.  

Ces mesures ont été levées au fur et à mesure que le nombre de cas de contamination reculait et la majorité des cas enregistrés ces derniers mois étaient des habitants vivant à l’étranger et déclarés positifs à leur retour en Chine.

La Chine a officiellement dénombré 4634 décès provoqués par la pandémie de COVID-19, qui a fait plus de 426 000 morts dans le monde.

Le marché Xinfadi, dans le district de Fengtai, dans le sud de Pékin, a été fermé, après avoir été relié à la plupart des contaminations.

Sept cas de contamination à la COVID-19 ont été recensés dans les environs de ce marché de viande, de poisson et de légumes, dont six samedi, selon les autorités sanitaires. L’un de ces cas a été qualifié de « sévère », selon l’agence Chine Nouvelle.

Mais 45 autres cas, asymptomatiques, ont été détectés après des tests pratiqués vendredi sur près de 2000 employés du marché, a indiqué un responsable de la santé de Pékin, Pang Xinghuo.  

« Guerre »

Un premier cas de COVID-19 à Pékin en deux mois avait été annoncé jeudi, une personne qui s’était rendue au marché de Xinfadi la semaine dernière et n’avait pas quitté la ville récemment.

Parmi les six nouveaux cas annoncés samedi figurent trois employés du marché de Xinfadi, une personne qui s’y est rendue pour y faire ses courses et trois employés d’un centre de recherche sur la viande situé à sept kilomètres du marché. L’un d’entre eux s’était rendu au marché la semaine dernière.

Le marché a été fermé par les autorités, de même qu’un marché aux fruits de mer où s’était rendue une des personnes contaminées, pour que des opérations de désinfection et de collecte d’échantillons y soient pratiquées.

Des centaines de policiers, dont beaucoup portant des masques de protection et des gants, ont été vus par des journalistes de l’AFP près des deux marchés.

Les responsables du district de Fengtai ont annoncé samedi mettre en place un « dispositif de temps de guerre » pour faire face à cette nouvelle vague de contaminations.

« On est tous stressés, maintenant », a témoigné dans le quartier un homme âgé, qui a refusé de donner son nom, inquiet face à l’imposante présence policière. « Il y a des gens atteints qui vivent ici, c’est pour de vrai ».

D’autres résidents s’inquiétaient de leur approvisionnement en nourriture, avec la fermeture de nombreux commerces.

Samedi matin, des volontaires faisaient du porte-à-porte dans plusieurs districts de Pékin, demandant à leurs interlocuteurs s’ils s’étaient récemment rendus au marché de Xinfadi.

Plus de saumon

Et les autorités ont annoncé l’organisation prochaine de tests à grande échelle pour toute personne ayant été en « contact étroit » avec le marché de Xinfadi depuis le 30 mai.

Quelque 10 000 personnes travaillant au marché vont également être testées.  

Neuf écoles et jardins d’enfants des environs ont été fermés.

Vendredi, les autorités de Pékin ont reporté le retour des élèves dans des écoles primaires de la ville et ont suspendu tous les évènements sportifs.

Les visites dans la capitale chinoise de groupes venus d’autres provinces ont été suspendues samedi.

Le président du marché de viande de Xinfadi a dit à Beijing News que le virus avait été détecté sur des planches servant à découper le saumon importé.

Dans la foulée, les autorités sanitaires ont ordonné une inspection à l’échelle de la ville, concernant la viande fraîche et congelée, la volaille et le poisson, dans les supermarchés, les entrepôts de stockage et les services de restauration.

De grandes chaînes de supermarchés, dont Wumart ou Carrefour, ont supprimé le saumon de leurs étals dans la nuit de vendredi à samedi, à Pékin, tout en assurant que les autres denrées n’étaient pas affectées, selon le quotidien Beijing Daily.

Plusieurs restaurants de Pékin ne proposaient plus de saumon à leur menu samedi, ont constaté des journalistes de l’AFP.


[Source : Beijing Information]

Beijing compte plus de 21.000 stations de base 5G

2020-06-12  ·   Source: Xinhua

Beijing avait déjà construit 21.086 stations de base 5G, ont annoncé jeudi les autorités locales.

Le nombre d’utilisateurs de la 5G dans la ville a dépassé 3,1 millions depuis que la ville a officiellement lancé l’utilisation commerciale de la 5G en 2019, selon l’Administration municipale des communications de Beijing.

Les branches de Beijing de China Mobile, China Unicom et China Telecom, le premier groupe de sociétés à avoir obtenu les licences 5G, ont appliqué la 5G dans plus de 1.000 projets dans les domaines de la fabrication industrielle, du transport et de la logistique, du commerce et des échanges, de l’éducation et des soins de santé.

Beijing a mis en service cette année 3.729 stations de base 5G jusqu’à présent.




2022: un passeport de vaccination. L’UE garde le silence sur les documents suspects

[Source anglaise: Strategic Culture Foundation]

[Auteur:] Daniele Pozzati

[Photo :] © Photo: REUTERS/POOL New

Surprise, surprise, la Commission européenne (CE) avait une «Feuille de route sur la vaccination» prête des mois avant le déclenchement de la pandémie de COVID-19.

La feuille de route devrait conduire à une «proposition de la Commission pour une carte ou un passeport de vaccination commun à tous les citoyens de l’UE d’ici 2022».

Après une dernière mise à jour au cours du troisième trimestre 2019, le document de 10 pages a été suivi, le 12 septembre, d’un «sommet mondial sur la vaccination» organisé conjointement par la CE et l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

Sous l’en-tête «Dix actions vers la vaccination pour tous — Chacun devrait pouvoir bénéficier du pouvoir de la vaccination», le manifeste du sommet déplore que :

«Malgré la disponibilité de vaccins sûrs et efficaces, le manque d’accès, les pénuries de vaccins, la désinformation, la complaisance envers les risques de maladie, la diminution de la confiance du public dans la valeur des vaccins et les désinvestissements nuisent aux taux de vaccination dans le monde entier.»

Et avec eux, sans doute, les bénéfices des sociétés pharmaceutiques.

En juillet 2017, par exemple, l’Italie a rendu 12 vaccinations obligatoires pour les enfants. Par la suite, les prix de ces mêmes vaccins ont augmenté de 62 %, passant d’un prix moyen par dose de 14,02 € à 22,74 €.

Le marché mondial de la vaccination représente actuellement 27 milliards USD par an. Selon les estimations de l’OMS, il atteindra 100 milliards USD d’ici 2025.

Étant donné que le sommet mondial de la vaccination CE-OMS a également discuté d’un programme de vaccination renouvelé pour 2030, les actionnaires des grandes sociétés pharmaceutiques n’ont pas à s’inquiéter pour la performance à long terme de leurs actions.

Il ne faut vraiment pas «nuire aux taux de vaccination dans le monde».

Le manifeste du sommet mondial de la vaccination énumère ensuite 10 «leçons (…) et actions nécessaires pour la vaccination pour tous».

Chaque «leçon» est un joyau de ce que le philosophe néo-marxiste italien Diego Fusaro appelle «le capitalisme thérapeutique».

Le texte est impératif et ne laisse aucune place à la nuance ni au débat. Des adjectifs et adverbes tels que «tous» «tout le monde» «incontestablement» abondent. Les déclarations au mode conditionnel sont absentes.

Plus qu’un plan d’action prudent, d’inspiration scientifique et ouvert au doute, le ton — «pour protéger tout le monde partout», «pour ne laisser personne derrière» — est inadéquatement messianique.

Qu’en est-il de ceux qui ne veulent pas être «protégés» de cette façon? Rien qu’en Allemagne, environ 10% de la population totale, soit 8 millions de personnes, est fortement opposée à la vaccination contre le coronavirus.

Mais regardons ce que nous pouvons apprendre, pour ainsi dire, de ces «leçons».

La leçon 1 commence par : «Promouvoir le leadership politique mondial et l’engagement envers la vaccination» — c’est ce à quoi nous assistons actuellement, les gouvernements du monde entier suggérant que les masques et la distanciation sociale resteront en place jusqu’à ce qu’un vaccin contre Coronavirus-Sars2 soit trouvé.

Et qu’en est-il des politiciens qui sont contre les vaccinations ?

Est-ce que leurs électeurs seront informés, comme le commissaire au budget de l’UE Gunther Oettinger l’a fait de manière (tristement) notoire avec les électeurs italiens de la Ligue en 2018, que « les marchés leur apprendront à voter pour la bonne affaire » ?

Une nouvelle pandémie éclatera-t-elle pour apprendre aux gens à voter pour de la bonne façon ?

La leçon 4, «S’attaquer aux causes profondes de l’hésitation face au vaccin, accroître la confiance dans la vaccination», ressemble au plan d’une grande campagne de propagande, qui prévoit — nous lisons sur la feuille de route de l’UE sur les vaccinations — le «développement de modules de formation en ligne» qui ciblent les médecins généralistes et les prestataires de soins de santé primaires et se sont concentrés sur l’amélioration des compétences pour répondre aux populations hésitantes et promouvoir le changement de comportement».

La leçon 5, «Exploitez le pouvoir des technologies numériques, afin de renforcer le suivi de la performance des programmes de vaccination», soulève, en temps de traçage des applications et des bracelets électroniques, des inquiétudes légitimes quant à l’empiètement de la technologie dans nos vies — et nos corps .

De quelles technologies numériques parlons-nous ? Peut-être une puce sous-cutanée, comme celle récemment brevetée avec le numéro à consonance satanique 060606 par la Fondation Bill et Melinda Gates ?

La leçon 9 est, pour le journaliste non ordinaire, et pour la liberté d’expression en général, la plus menaçante [le texte en gras est le mien] :

«Permettre aux professionnels de la santé à tous les niveaux ainsi qu’aux médias, de fournir au public des informations efficaces, transparentes et objectives pour lutter contre les informations fausses et trompeuses, notamment en y faisant participer les plateformes de médias sociaux et les entreprises technologiques.»

Et voilà : la lutte contre les soi-disant Fake News [Fausses nouvelles] est de retour. Davantage de travail pour les «vérificateurs de faits» autoproclamés de Facebook.

« Fake News » désigne bien sûr, en novlangue [langage orwellien], toute information non alignée, quels que soient son contenu, ses origines et sa vérifiabilité.

En effet, le manifeste mondial sur la vaccination ne donne aucune définition des «informations objectives» ou des «informations fausses et trompeuses».

Si les vaccins sont aussi sûrs que l’UE et l’OMS le prétendent sans fournir de preuves, pourquoi le gouvernement américain a-t-il créé, déjà dans les années 80, un organisme appelé National Vaccine Injury Compensation Program (VICP) [Programme national d’indemnisation des victimes de vaccins] ?

Pour fournir, nous lisons sur le site officiel du VICP, « une alternative imparable au système juridique traditionnel pour résoudre le cas des pétitions contre les effets nocifs des vaccins. »

Avec beaucoup de succès, il semblerait.

Entre le 10/01/1988 (lorsque le VICP a commencé à octroyer une indemnisation pour dommages) et le 06/01/2020 (dernières données disponibles), le VICP a accordé un total de 4 385 672 580,43 USD en réparations.

Ce chiffre exclut l’indemnisation résultant d’une action en justice effective, notamment des actions collectives, contre Big Pharma.

Mais, comme l’explique le documentariste italien Massimo Mazzucco, les autorités américaines ne se sont pas arrêtées là pour protéger Big Pharma d’une action en justice.

En 2010, une décision historique de la Cour suprême des États-Unis a cité le titre 42 du code américain ainsi :

«La loi élimine la responsabilité du fabricant pour les effets secondaires inévitables et indésirables des vaccins».

La même décision précise :

«Aucun fabricant de vaccins ne sera tenu responsable dans une action civile [intentée] contre les dommages résultant de préjudices liés à un vaccin ou les décès associés à l’administration d’un vaccin après le 1er octobre 1988…

… Si la blessure ou la mort résulte d’effets secondaires inévitables même si le vaccin a été correctement préparé et accompagné de directives et d’avertissements appropriés»

1988 a bien sûr été l’année où le Programme national d’indemnisation des victimes des vaccins a commencé à octroyer des compensations aux victimes de dommages dus aux vaccins — ce qui a permis d’éviter des maux de tête juridiques à Big Pharma.

Comme le souligne la biologiste des systèmes, le Dr Shiva Ayyadurai, l’impossibilité de poursuivre les sociétés pharmaceutiques pour des vaccins, combinée à la baisse des bénéfices de la vente de médicaments, a transformé les vaccins en un nouveau modèle commercial pour Big Pharma.

Et maintenant, l’UE et l’OMS financée par Bill Gates l’acceptent.

« Le gouvernement de l’État moderne », écrivait Karl Marx dans son Manifeste du parti communiste, « n’est qu’un comité de gestion des affaires communes de toute la bourgeoisie ».

Si Marx était vivant aujourd’hui, il aurait pu conclure que la gouvernance par une organisation internationale n’est qu’un comité pour gérer les affaires communes des élites mondiales.




Des médecins allemands ont constitué une Commission extra-parlementaire Covid-19

Des médecins allemands ont constitué une Commission extra-parlementaire Corona.
(Vidéo avec sous-titres disponibles en anglais, italien et français).

Cette commission vient appuyer ce que de nombreux complologues et experts comprennent de la situation et souhaite aussi faire la lumière sur le sujet de la covid-19 et des mesures gouvernementales prises.

Site officiel : https://acu2020.org/

Transcription en français :
https://acu2020.org/wp-content/uploads/2020/07/Texte-ACU-francais.pdf

https://vimeo.com/434999409?ref=fb-share&fbclid=IwAR14mgk8cCN8QVlqbJJfMTcUMc8vY8EOf…

Texte de la transcription en français :

Transcription – Texte, ACU (03.07.2020)

Mes chers concitoyens,

Bienvenue à l’ACU, la commission d’enquête extra-parlementaire sur la Corona. Si le Parlement ne le fait pas, alors nous, les citoyens, sommes appelés à le faire nous-mêmes.

Commission d’enquête extra-parlementaire de la Corona, nous allons enquêter sur les raisons pour lesquelles ces mesures restrictives ont été appliquées dans notre pays au cours de la CoVid-19, sur les raisons pour lesquelles les gens souffrent maintenant et sur la proportionnalité de cette maladie, qui a en fait été causée par un virus SARS-CoV-2. Nous avons de sérieux doutes quant à la proportionnalité de la manière dont ces mesures restrictives ont été prises. Cela doit être examiné et, étant donné que ni les parlements, ni les partis d’opposition, ni les partis au pouvoir n’ont convoqué de commission et que celle-ci n’en est même pas au stade de la planification, il est grand temps que nous prenions les choses en main maintenant. Nous inviterons et entendrons ici, au sein du Cercle des porte-parole de Corona, des experts de tous les horizons, issus des domaines de la médecine, des affaires sociales, du droit, de l’économie et bien d’autres encore. SRAS-CoV- 2.

Des experts de renom ont déjà aimablement accepté d’être présents. Outre le cercle des orateurs, mon collègue le professeur HADITSCH et mon collègue le Dr SCHIFFMANN, je voudrais également me présenter. Je m’appelle Heiko SCHÖNING, je suis un simple médecin de Hambourg. Ma motivation personnelle est que je suis un père, comme beaucoup d’autres dans ce pays ont des enfants et nous voyons que nos enfants souffrent maintenant, non seulement parce que les terrains de jeux ont été fermés, mais aussi parce qu’ils sont séparés les uns des autres. Et pour les adultes, c’est encore pire.

Nous nous demandons pourquoi les parents ne sont plus autorisés à rendre visite à leurs parents, par exemple dans la maison de retraite. Le danger d’infection est-il si grand ? Avons-nous vraiment un virus mortel ici ? Avons-nous la rage ou la peste ? Et nous avons de sérieux doutes à ce sujet ! Nous n’avons pas la peste ! Mais l’honnêteté est une chose qui aide vraiment. Le célèbre prix Nobel Albert CAMUS l’a déjà exprimé dans son merveilleux livre « La Peste ». Nous voulons garantir cette honnêteté et cette transparence ici à l’ACU, au sein de la commission d’enquête extra-parlementaire de la Corona.

C’est pourquoi des experts du domaine de la médecine comme le Prof. BHAKDI, de l’économie comme Prof. OTTE ou encore du système juridique comme Prof. JUNGBLUT et bien d’autres qui ont déjà accepté de venir. Et bien sûr, nous invitons également ici tous les experts du gouvernement, des instituts publics, de l’Institut Robert Koch et, bien sûr, de l’étranger. Il sera rendu complètement transparent. Les déclarations des experts seront diffusées en direct, sans montage, vous pouvez les regarder sur internet. Nous allons créer un site web et nous aurons bien sûr besoin de plus de ressources pour cela. Par conséquent, veuillez nous soutenir dans cette initiative citoyenne, dans cette initiative citoyenne ACU.

Quel est le meilleur scénario ? Nous verrons que nous n’avons pas besoin d’avoir plus peur, comme nous l’avons fait avec les vagues normales de grippe ces dernières années, car c’est exactement ce qu’il semble être. Mais pourquoi ont-ils pris ces terribles mesures ?

Par exemple, un rapport interne du ministère fédéral de l’intérieur a déterminé que 90 % de toutes les opérations nécessaires en Allemagne n’ont pas été réalisées, ce qui a touché 2,5 millions de personnes. Et dans ce rapport, il est également écrit que 5 000 à 125 000 patients sont morts à la suite des mesures gouvernementales. Donc des gens, des compagnons, des concitoyens qui sont déjà morts ou qui sont encore en train de mourir. Ce rapport avait le statut du 7 mai 2020, c’est aussi la raison pour laquelle nous prenons maintenant en main cette commission d’enquête sur la Corona, car nous ne pouvons plus attendre.

Et il est plus que grossièrement négligent que les agences gouvernementales n’exposent pas ces choses en grand et, en fait, cela semble être une mise en scène. Car les données scientifiques montrent déjà qu’il n’y a pas de base pour ces mesures. Nous nous demandons donc tous, y compris dans le monde des affaires bien sûr, – même si ce sont surtout des vies humaines qui sont en jeu ici – qui en profite ? Nous essayons de répondre à ces questions ici aussi. Cui bono ? Qui en bénéficie ?

Merci beaucoup, également pour votre soutien jusqu’à présent et nous nous réjouissons de recevoir d’autres ressources ainsi que de votre coopération. Une fois de plus, nous invitons tout le monde, y compris l’autre partie, à s’exprimer ici, et ce sera également affiché de manière transparente sur Internet. Et bien sûr, nous sommes également disponibles pour une conférence de presse. Nous demandons donc à l’Association fédérale des conférences de presse d’ouvrir les salles pour nous et pour la presse internationale. Merci beaucoup.

Je passe maintenant la parole à mon collègue, le Dr Bodo SCHIFFMANN.

Oui, merci beaucoup, Monsieur SCHÖNING,

Pourquoi la commission d’enquête extra-parlementaire sur la Corona est-elle nécessaire ?

Parce que nous avons affaire à un manque de proportionnalité. Les gouvernements doivent prendre des décisions et, dans les situations d’urgence, comme une pandémie, ils doivent également prendre des mesures qui peuvent, à première vue, restreindre les droits fondamentaux. Mais ils sont également tenus de revoir constamment ces mesures et de les assouplir le plus rapidement possible afin d’éviter les dommages collatéraux, comme l’a mentionné M. SCHÖNING.

Au lieu de cela, nous obtenons des chiffres sans rapport, des chiffres qui ne sont susceptibles d’attiser la peur qu’en additionnant simplement les cas de maladie et en ne montrant pas qu’il y a une disproportion entre le nombre de personnes testées et celui des personnes réellement infectées. Les structures existantes qui fonctionnent bien, comme la loi sur la protection contre les infections, sont simplement suspendues et remplacées par quelque chose de nouveau, qui est beaucoup plus drastique, et la seule chose qui vient du gouvernement est l’appel constant à la vaccination contre une maladie dont nous savons maintenant très bien, grâce à de nombreuses études internationales, qu’elle est très comparable aux maladies de la grippe, que les taux de mortalité ne sont pas plus élevés qu’avec les fortes vagues de grippe et que les mesures ne peuvent pas être justifiées par cela. C’est une ignorance effrayante de la part d’études internationales reconnues et d’experts de tous les domaines, qu’ils soient virologistes, bactériologues, épidémiologistes ou même économistes, qui ne sont tout simplement pas entendus ou sont ignorés. Pire encore, on les traite de menteurs, de charlatans ou de théoriciens du complot, ce qui ne manquera pas de devenir le mot d’ordre de l’année 2020.

Au lieu de cela, on annonce une vaccination qui peut être très dangereuse, une vaccination sans nécessité médicale, parce qu’il n’y a plus de preuves. Il n’y a même plus assez de personnes en Allemagne qui tombent malades pour qu’un vaccin puisse être testé sur elles. Et il s’agit d’une nouvelle forme de vaccination, dite à ARN, qui, contrairement aux vaccinations précédentes, est capable de modifier le matériel génétique. Et peut causer des dommages incalculables aux personnes. Et ici, il faut aussi penser au principe médical « pas de mal », « nil no cere ».

C’est la responsabilité des médecins et nous espérons ici aussi que d’autres médecins y participeront et y réfléchiront, car nous, médecins, ne devons pas faire plus de mal que de bien aux patients.

Ma motivation, ce sont mes grands-parents et mes parents, qui m’ont appris que si j’ai le sentiment que les droits fondamentaux sont restreints, que la démocratie est restreinte, que la presse n’est plus une presse libre, mais que vous avez le sentiment qu’il s’agit de propagande, que si les opinions étrangères sont censurées, supprimées, alors vous devez sortir dans la rue, alors vous devez devenir actif, ou vous devez essayer d’informer le public vous-même, par exemple, comme vous le feriez avec un comité d’enquête de la Corona. Car bien sûr, il y a toujours le danger que le pouvoir corrompt, et qu’à un moment donné, les politiciens ne puissent plus le voir avec la bonne mesure et le bon objectif.

J’ai vu un danger de perte de la démocratie, et je vois chaque jour de plus en plus d’efforts pour transformer notre ordre démocratique libre de base en un État de surveillance, avec des applications de contrôle des esprits et de surveillance et autres, sous le couvert de lois de protection contre les infections.

Dans le meilleur des cas, nous arrivons à la conclusion qu’il faudrait une clarification juridique complète du contexte de ces mesures scientifiquement, médicalement et humainement excessives, que les responsables devraient également être tenus pour responsables et que des situations telles que la grippe porcine, avec des vaccinations qui ont laissé des séquelles chez les gens, pour une maladie pour laquelle il n’était pas nécessaire de vacciner, ne devraient jamais se reproduire ! Et toutes les mesures qui ont été prises doivent être réduites, car elles ont été élaborées sur fond de scénarios d’horreur qui ne se sont jamais concrétisés et qui sont néanmoins constamment maintenus à un niveau élevé pour faire craindre à la population une maladie mortelle qui n’existe pas sous cette forme. Et la meilleure chose qui en sortira, bien sûr – et cela doit arriver – est la fin immédiate du verrouillage, la fin de l’obligation de porter des masques. À une époque où il n’y avait plus du tout de cas de maladie, un appel a été lancé le 29 mai de cette année pour rendre obligatoire le port du masque dans les cabinets médicaux.

Au cours des dernières semaines – nous sommes le 20 juin 2020, il y a quinze jours, nous avons eu de grandes manifestations de masse contre le racisme dans 20 villes allemandes avec plus de 20 000 participants – si ce virus sous cette forme avec ce taux d’infection était réellement encore répandu en Allemagne, alors nous devrions pouvoir enregistrer une augmentation massive du nombre d’infections aujourd’hui, mais ce n’est pas le cas.

Et cela prouve que les mesures ne peuvent plus être justifiées d’aucune manière.

Merci beaucoup.

Merci beaucoup à M. SCHIFFMANN

Je voudrais souligner une fois de plus que ce que nous faisons ici est totalement non partisan, il ne s’agit pas de droite ou de gauche, il ne s’agit pas de gros ou de mince, d’homme ou de femme. Il s’agit en fait de vie et de mort pour beaucoup, d’une grande qualité de vie pour les adultes, mais aussi pour nos enfants. C’est notre principale motivation – également pour les générations futures – pour faire face aux circonstances auxquelles nous avons nous-mêmes été exposés ces derniers mois.

Nous, les citoyens, devons retrouver notre souveraineté et nous en prenons aussi le droit, parce que nous l’avons. Nous nous basons sur la Loi fondamentale. Dans la Loi fondamentale, que je tiens ici dans ma main, il y a un article merveilleux, l’article 20, paragraphe 4, « Toute personne a le droit de résister si aucune autre mesure ne permet de remédier à la situation ».

Nous pouvons peut-être aussi considérer cette commission d’enquête extra-parlementaire sur la Corona comme l’une des dernières mesures et espérer que ceux – qui sont au gouvernement, qui ont également prêté serment de ne pas nuire aux gens, mais d’aider ceux qui défendent notre pays, que nous leur rappelons également à tous, fonctionnaires, officiers, médecins, oui, tous les concitoyens sont appelés à y prendre part ici, et les terribles circonstances, – que nous vivons tous réellement, nous le voyons dans les rues, nous le vivons dans nos familles et aussi personnellement avec nos amis et nos parents.

Nous devons faire quelque chose à ce sujet. Et je suis également heureux que nous n’ayons pas seulement la perspective allemande, mais que nous puissions également apporter une perspective internationale dans le processus. Et c’est pourquoi je suis également heureux que nous avons un véritable expert en la matière dans le cercle des orateurs de l’ACU, la commission d’enquête extraparlementaire de la Corona, le professeur HADITSCH d’Autriche.

Je vous en prie.

Oui, merci beaucoup et meilleurs vœux de ma part.

M. SCHÖNING, c’est un grand honneur pour moi et, pour être franc, quelque chose qui me tient à cœur de participer à la commission d’enquête extra-parlementaire de l’ACU sur la Corona.

Si nous descendons au niveau des faits, nous devons nous poser les questions suivantes : pourquoi cette commission d’enquête est-elle nécessaire ?

Cette enquête est nécessaire car, dès le départ, soit par négligence grave, soit délibérément, sans le devoir de diligence nécessaire, c’est-à-dire sans la moindre considération pour les dommages collatéraux, des décisions irresponsables et inappropriées ont été prises, qui ont également porté atteinte aux droits démocratiques fondamentaux et foulé aux pieds les devoirs éthiques.

On a évidemment aussi tenté de compenser des fautes flagrantes, comme la négligence de ceux qui ont besoin de protection – et je vous rappelle les personnes en maison de retraite – par des mesures draconiennes et non ciblées, peut-être pour éviter à justifier ces fautes non plus, ou du moins à détourner l’attention de ces problèmes.

Que ce soit finalement non intentionnel, c’est-à-dire basé sur l’ignorance, ou intentionnel – ce qui aurait alors été fait avec des motifs douteux – est en fait sans importance. En tout état de cause, cela disqualifie les décideurs eux-mêmes.

Compte tenu de l’ampleur des décisions prises, les deux options décrites ci-dessus doivent nécessairement faire l’objet d’un examen détaillé, et cela peut être fait à nouveau à partir de l’expérience de la présentation extrêmement unilatérale par la politique et la radio d’État – ou les médias d’État, en fin de compte uniquement par une commission d’enquête indépendante, c’est-àdire également extra-parlementaire, de la corona.

Ma motivation personnelle pour y participer est que je suis un spécialiste en microbiologie, virologie et épidémiologie des infections, et je suis profondément consterné par l’approche non objective d’un point de vue professionnel.

Certaines personnes vont se demander ce que j’entends par cette approche non objective. À cela s’ajoute la constante, même dans les médias, d’esquisses de scénarios du « pire », de comparaisons inappropriées qui font peur, on ne pense par exemple qu’à ce mot d’ordre parfait et inqualifiable de « conditions italiennes », qui était au mieux vrai pour certaines régions du nord de l’Italie et où, en fait, les régions du sud de l’Italie moins bien approvisionnées, ont fait face à tout cela relativement sans problème.

Des représentations inadéquates et flagrantes de tendances menaçantes, qui dans la pratique ne se sont jamais concrétisées – et si l’on avait correctement évalué la situation dès le départ, compte tenu de la qualité du système de soins de santé en Allemagne – n’auraient jamais pu se concrétiser de cette manière.

Je suis aussi un médecin généraliste de formation. – Mais surtout en tant que médecin, je ne pouvais plus tolérer cette approche méprisante de la santé et des êtres humains, car [elle] est en contradiction flagrante avec la compréhension et l’éthique professionnelles de chacun d’entre nous. Cette peur permanente, on pourrait dire la peur panique, les dommages psychologiques et sociaux qui peuvent en être déduits, les dommages médicaux et économiques gigantesques et enfin, mais pas des moindres, les interventions massives dans toute notre vie culturelle et de club sont, je crois, au moins en tant que médecin à orientation holistique, une raison et une motivation suffisantes pour se lever et lutter contre cette folie.

Face à la catastrophe, qui ne peut être évaluée du tout à l’heure actuelle, il semble nécessaire, avec tout le respect que je vous dois, bien sûr, mais en termes non équivoques, d’insister pour que ces décisions soient évaluées objectivement et pour que les décideurs soient tenus responsables si une faute est avérée.

Le point de vue de la commission d’enquête est bien sûr aussi un peu comme ceci : à quoi pouvonsnous nous attendre, quel est le meilleur scénario ?

Selon moi, tous les citoyens – ou du moins les collègues médecins – devraient se sentir concernés par la pensée d’Hippocrate, à savoir par le principe « nil no cere », c’est-à-dire « ne pas faire de mal », et tout le monde, même ceux qui ne font pas partie des médias qui ont prêté serment à la ligne gouvernementale, devrait s’informer, poser des questions critiques et procéder à des contrôles de plausibilité. Et puis on découvrira que Bergame n’est pas l’Italie, Ischgli pas l’Autriche, New York pas les États-Unis et une fête de carnaval à Heinsberg, un immeuble à Göttingen et des abattoirs, où qu’ils soient, ne sont pas l’Allemagne.

Elle devrait également devenir visible pour tous,

  • que le système de santé allemand n’a même jamais commencé à courir le risque de se décompenser, c’est-à-dire d’être surchargé,
  • que des mesures telles que le taux de doublement et ce nombre innommable « R 0 » étaient principalement destinées à faire pression sur la population par la peur et que l’absence de référence au nombre de tests effectués était communiquée de manière non objective et manipulatrice, que des chiffres faux et peu fiables ont été utilisés pour les décès, pour l’intimidation,
  • que le nombre d’affaires était déjà en baisse significative bien avant le « lockdown »,
  • qu’une obligation générale de port de masque ordonnée 4 semaines plus tard, franchement 4 semaines plus tard – était factuellement non fondée, illégale et psycho-socialement irresponsable,
  • que l’adhésion incorrigible à des mesures et à des déclarations déjà réfutées, c’est-à-dire contre une meilleure connaissance et des preuves avérées dans ce contexte, est une infraction pénale et
  • qu’en fin de compte, un changement radical des structures décisionnelles de la politique des partis se fait attendre, car c’est la seule façon d’empêcher de manière fiable la poursuite ou la répétition de cette approche antidémocratique.

Je souhaite à l’ACU, la commission d’enquête extra-parlementaire de la Corona, tout le succès possible dans l’examen objectif de toutes ces questions de conflit. Bonne chance.

Merci beaucoup, Monsieur HADITSCH.

Je voudrais conclure en soulignant une fois de plus pourquoi nous faisons cette ACU, la Commission d’enquête extra-parlementaire. Nous ne voulons pas attendre les parlements ou les autres qui pourraient venir plus tard, à un moment donné, parce que la pression est maintenant, maintenant les gens souffrent. Maintenant nos semblables souffrent, et maintenant un grand nombre de personnes ont déjà été blessées, certaines ont même perdu la vie. Tout comme cela a été [prédit] dans le rapport interne du ministère fédéral de l’Intérieur. Ils sont morts à cause des mesures prises par le gouvernement! Et cela n’est évidemment pas proportionné.

Je voudrais rappeler pourquoi il est si urgent que nous devons prendre les choses en main maintenant, surtout lorsque personne d’autre ne le fait qui pourrait être plus sollicité. Partout dans le monde, il y a toujours des gens qui ont un arrêt cardiaque. Tout le monde a le risque à 100% – à un moment donné au moins – tout le monde arrêtera son cœur.

La bonne nouvelle : vous pouvez maintenant aussi revivre, réanimer et il existe un guide sur la manière de le faire. Et cette directive a été modifiée au niveau international au début du mois d’avril, et au fil du temps, elle a également été modifiée en Allemagne. Et cette directive, Imaginez cela, dit maintenant, « en raison du risque élevé d’infection par le CoVid-19 et des dommages considérables qui pourraient en résulter », vous ne devez plus donner de souffle, Il faut l’imaginer, « vous devez maintenant mettre un chiffon sur votre bouche ». Cela signifie que beaucoup plus de personnes dans le monde vont mourir maintenant, car il est scientifiquement prouvé que si vous appuyez et respirez, beaucoup plus de personnes survivent. La surmortalité est ainsi produite en plus dans les statistiques. Nous devons également renverser cette directive sur la réanimation.

C’est exactement ce que nous pouvons constater et nous serons en mesure de fournir ensemble, au sein de cette commission d’enquête, des preuves complètes que nous n’avons pas la peste ou le virus mortel. C’est une bonne nouvelle!

Mais nous devons nous poser la question suivante : pourquoi en est-il ainsi? Pourquoi ces mesures sont-elles en place? Qui en bénéficie?

Nous ne voulons pas attendre que nous-mêmes, nos amis, nos parents, subissions des dommages personnels et physiques.

Il faut que nous travaillions ensemble maintenant!

Et je ne peux qu’inviter, car il n’y a pas de société derrière nous : pas de société de médias, pas de riches, pas de fondations. Mieux nous sommes équipés en ressources, plus nous pouvons faire ce travail de manière professionnelle et rapide, y compris au niveau international. Nous le publierons également en plusieurs langues, dans la mesure de nos possibilités. Tout le monde est invité à aider ici, dans le meilleur esprit public. C’est pourquoi je vous remercie vivement pour tout le soutien que vous nous avez apporté jusqu’à présent.

Merci beaucoup.




Un couvre-visage plus symbolique que sanitaire

[Source : Le Devoir]

[Auteur :] David Vachon
Doctorant en philosophie à l’Université de Montréal

Photo: Graham Hughes La Presse canadienne «Le masque permet d’entretenir un état anxiogène de peur, justifiant des mesures liberticides que plusieurs jugent disproportionnées», pense l’auteur.

Depuis son imposition par le gouvernement dans tous les lieux publics fermés le 18 juillet 2020, le masque est devenu un intense sujet de débat. Dans une lettre du 21 juillet publiée dans Le Devoir, Pierre Sévigny nous présente un cas d’école de la rhétorique pro-masque. En effet, la question est réglée d’un seul carreau tiré : on insulte les « dissidents » en les présentant en proie au delirium et on établit une analogie douteuse avec le tabagisme. Nous démontrerons dans cet article les biais méthodologiques de cette position, notamment la psychiatrisation systématique des esprits critiques, la reductio ad mortem et la vacuité abyssale de tout argument rationnel.

Au premier cours de philosophie au niveau collégial, Philosophie et rationalité, nos élèves apprennent les différentes stratégies rhétoriques utilisées par les sophistes. Tout en haut de la liste des sophismes, nous présentons généralement « l’attaque ad hominem », c’est-à-dire la stratégie par laquelle, pour faire l’économie des arguments, le protagoniste insulte et diffame le tenant d’une opinion.

De nos jours, les sophistes sont légion et ils monopolisent généralement le débat public. Cela est particulièrement visible avec la « crise sanitaire » actuelle. En effet, le sophiste se glose d’une rhétorique injurieuse contre ceux qui osent avancer une opinion divergente, en les stigmatisant comme des conspirationnistes, des sans-cœur qui se fichent des personnes fragiles, des oligophrènes ignorant les vertus de la science, ou, simplement, des fous. Toutefois, l’attaque contre une personne est toujours le signe d’un manque d’honnêteté intellectuelle et d’une absence d’arguments valables.

Le refus de la mort

L’argument de M. Sévigny se déploie ainsi : la COVID-19 est une maladie mortelle, or il faut tout faire pour éviter la mort des gens. Ainsi, puisque le masque diminue les chances de propager le virus, il faut donc rendre obligatoire le port du masque pour l’ensemble de la population. D’un point de vue logique, l’argument se tient. Toutefois, nous considérons que les trois prémisses sont problématiques et ne vont aucunement de soi. D’abord, le taux de létalité du virus semble avoir été surestimé. De plus, les études divergent quant à la réelle efficacité du masque pour protéger les individus.

Or, ce qui nous intéresse ici est la seconde prémisse : tout faire pour éviter la mort des gens. Comme l’affirme d’ailleurs le philosophe français André Comte-Sponville (« L’Écho », 27 mai 2020), notre rapport à la mort a radicalement changé depuis une ou deux générations. Nous nous souvenons de l’année 1969 non pas pour le confinement et les masques, mais plutôt pour le gigantesque festival Woodstock et pour l’amour libre des hippies — antithèse radicale de la distanciation. Pourtant, le nombre de morts au niveau mondial a dépassé le million lors de la grippe de Hong Kong. Idem pour la grippe asiatique la décennie précédente.

M. Sévigny compare le port du masque obligatoire à l’interdiction de fumer dans les espaces publics. Puisque les deux mesures coercitives gouvernementales ont pour vertu de « sauver des vies », le recours à l’argument de la liberté individuelle serait vide de sens. Pourtant, nous pourrions bien dire, étant donné par exemple que l’influenza tue plus d’un demi-million de personnes par année dans le monde, que le masque devrait être obligatoire chaque année pendant l’hiver, ainsi qu’un confinement général et une fermeture des commerces entre les mois de décembre et de février. Et pourquoi ne pas fermer tous les fast-food de la planète et obliger la population à faire 30 minutes de jogging par jour ? Cela permettrait de limiter plusieurs maladies dues à une mauvaise alimentation et à un mode de vie sédentaire, sauvant ainsi de nombreuses vies.

La réponse à ces questions est évidente : la liberté individuelle. Notre modèle politique est fondé sur le respect de la liberté individuelle, considérée comme un droit inaliénable. La rhétorique émotivo-sentimentale de la « peur de la mort » n’est que charlatanisme et arnaque intellectuelle. […]

Une question sanitaire ?

Nous entendons régulièrement les gens dire : Pourquoi imposer le port du masque au mois de juillet et non pas plutôt en mars ? Pourquoi n’importe quel masque, peu importe son efficacité, est-il toléré ? Ces questions, fort légitimes a priori, sont généralement laissées sans réponse. Pourquoi ? Parce que le port du masque obligatoire n’est pas une question sanitaire, mais plutôt symbolique. En effet, la raison pour laquelle c’est uniquement le port du couvre-visage qui importe, et non son efficacité, est que le masque sert principalement de symbole de réminiscence constante que nous sommes en période de pandémie. Ainsi, le masque permet d’entretenir un état anxiogène de peur, justifiant des mesures liberticides que plusieurs jugent disproportionnées.

Si le nombre de décès et de cas ayant justifié la normalisation du couvre-visage sont actuellement si bas, qu’est-ce qui nous permettra de l’enlever ? Si on applique un tel décret en plein été, quand retournerons-nous à la normale ? Devrons-nous porter ad vitam aeternam ce satané chiffon au visage ? Est-ce vraiment ce visage glauque et sinistre que nous désirons proposer aux prochaines générations ? Bref, devons-nous réellement museler la vie pour mieux sauver la mort ? Le questionnement et la pensée critique sont toujours un signe de santé, non de folie.




Chronique Covid N°14 – « Une excellente nouvelle, passée complètement inaperçue, l’acquisition d’une immunité de « troupeau » par nos troupes de marins du Charles-de-Gaulle »

[Source : France Soir]

Publié le 24/07/2020 à 16:31 – Mise à jour le 27/07/2020 à 18:16

Auteur(s): Francois Pesty pour FranceSoir

CHRONIQUE : Non, ce n’était pas la HONTE ni de l’armée française, ni de son Ministère et ni de sa Ministre, Florence Parly, ou de la nation toute-entière…

Bien au contraire, c’était une excellente nouvelle, et même la meilleure que l’on ait pu espérer pendant cette crise du covid-19….

Mais, à contrepied de la communication dramatisée gouvernementale qui vise à entretenir l’idée dans la tête des françaises et des français, que ce nouveau virus était si dangereux qu’il fallait absolument prendre ces mesures drastiques, liberticides, non fondées sur les preuves, aux conséquences sanitaires inconnues et sociales et économiques hélas avérées…

S’il y a un rapport  à télécharger sur la gestion de la pandémie de Covid-19, c’est bien celui-ci « Investigation de l’épidémie de COVID-19 au sein du Groupe Aéronaval – 21 janvier – 13 avril 2020 Centre d’épidémiologie », téléchargeable sur le site du Ministère de la DéfenseCe rapport médical détaillé a été élaboré par le Service de Santé des Armées.

Mais, pour bien comprendre ce qui s’est passé, il est nécessaire de recouper les informations de ce rapport avec celles de premier ordre, données par Mme Florence PARLY, Ministre des Armées, et sa ministre déléguée Geneviève Darrieussecq, lors de leurs 2 auditions (en tout prêt de 4 heures) devant la commission de la défense de l’Assemblée nationale :

– 1ère audition, le 17 avril 2020 (Vidéo téléchargeable : ici)

La Ministre confie qu’à partir du 21 janvier 2020, 1760 marins étaient engagés sur le porte-avions Charles-de-Gaulle pour différentes missions qui devaient durer jusqu’au 24 avril, d’abord dans l’opération « CHAMAL » en méditerranée orientale, contre DAESH, puis ont participé à plusieurs exercices multinationaux et à la protection des approches maritimes européennes en atlantique nord et en mer du nord.



Mais ce n’est que dans la journée du mardi 7 avril (au moment du pic de mortalité dans les hôpitaux métropolitains) que la Ministre est informée par le Chef d’état-major de la marine de la présence de 36 cas symptomatiques sur le porte-avions. Elle mettra immédiatement fin à la mission du Charles-de-Gaulle et ordonnera le retour du groupe « Aéronaval ». Pourquoi aéronaval ? Car le Charles de Gaulle ne circule pas seul, mais accompagné de frégates, d’avions, d’hélicoptères…



Elle donne l’ordre le jour-même à une équipe du centre épidémiologique de santé publique des armées (CESPA) de se rendre à bord du porte avion pour réaliser une enquête et une première série de tests. Ainsi, une soixantaine de tests auront été réalisés à bord dès le lendemain, dont 50 se sont avérés positifs. Les marins furent évacués sur Toulon le 9 avril pour un débarquement sanitaire entre le 11 et le 13 avril, et confinés pour une quatorzaine sur 3 bases militaires (Toulon, Hyères et Landivisiau).

A la date de l’audition, 1.081 marins avaient été testés positifs au Covid-19, 545 marins symptomatiques étaient placés sous étroite surveillance du service de santé des armées, et 24 marins étaient encore hospitalisés à l’hôpital d’instruction des armées (HIA) Saint-Anne de Toulon, dont un en réanimation.

Cette situation révélait une particularité de ce virus, à savoir que beaucoup de malades du covid-19 sont sans symptômes et que cela n’est pas simple à détecter. La ministre indique qu’au fur et à mesure des résultats de tests, les marins négatifs au test étaient confinés en chambre individuelle et ceux qui étaient positifs et dont les symptômes ne justifiaient pas une hospitalisation, étaient répartis deux par deux par chambre afin de pouvoir se surveiller mutuellement en cas d’aggravation de leur état.

Tiens, voilà un confinement intelligent, en tous cas, bien plus intelligent que celui généralisé qui a été ordonné à partir du 17 mars à toute la population française

La Ministre « Bien sûr, nous entendons les doutes, nous entendons les questions, elles sont nombreuses, sur l’origine de la contamination. Une enquête épidémiologique est actuellement en cours, pour retracer le cheminement du virus jusqu’au porte-avions. En parallèle, une enquête de commandement est destinée à établir précisément les décisions qui ont été prises par les différents acteurs concernés et à tirer les enseignements de la gestion de l’épidémie au sein du groupe aéronaval ».



« Parmi toutes les hypothèses, l’escale du porte-avion à Brest entre le 13 et le 16 mars 2020, c’est-à-dire juste avant le confinement. Cette escale est intervenue un mois après celle de Chypre du 21 au 26 février… Nous ne savons pas encore si le virus était déjà à bord avant cette escale du 13 mars.

Florence Parly passe alors la parole à sa Ministre déléguée, Geneviève Darrieussecq, pour répondre à une question d’un député. « Effectivement, nous avons dans cette propagation épidémique virale sur ce porte-avions, un vrai cas d’école à étudier et toutes les données épidémiologiques vont être particulièrement intéressantes à pouvoir retracer et vont avoir une utilité pour nos armées bien entendu. C’est-à-dire pour la marine, mais également pour nos armées de terres et l’armée de l’air, mais vont avoir également, toutes ces conclusions, un intérêt important, je crois, bien tout simplement pour la société civile aussi… »

Oui, mais comme nous allons le voir, tout ce travail admirable réalisé par le service de santé des armées ne sera pas, semble-t-il, porté à la connaissance des missions d’information et des commissions d’enquête parlementaires, qui n’ont pas jusqu’ici auditionné Florence Parly et Geneviève Darrieussecq, et finalement, passera inaperçu aux yeux des médias. Quel dommage… Ou alors, cela gênait-il ?



– 2ème audition, le lundi 11 mai 2020 (Vidéo à télécharger ici)

La Ministre des Armées lors de son propos liminaire, « Je suis donc venue aujourd’hui vous présenter les principales conclusions de ces enquêtes (épidémiologiques et de commandement). Mais tout d’abord, je voudrais commencer par vous donner des nouvelles des marins du groupe aéronaval. Tous sont désormais guéris, et ont rejoint leurs familles, à l’exception d’un marin toujours hospitalisé après être sorti de réanimation. C’est une excellente nouvelle et un immense soulagement pour tous »



« Le groupe aéronaval a donc appareillé de Toulon le 21 janvier, alors qu’il n’y avait pas de contexte lié au covid en France… Après l’opération « CHAMAL » entre le 29 janvier et le 20 février, une escale de 6 jours est effectuée au port de Limassol, à Chypre, du 21 au 26 février. Il reprend la mer en direction de l’Atlantique. Des mouvements aériens, conduits à plusieurs reprises, qui ont amené jusqu’à lui en mer, du personnel en renfort, en relève, ou bien qui revenait prendre sa place à bord. Ces mouvements ont eu lieu depuis Chypre, la Sicile, les Baléares, l’Espagne continentale et le Portugal.



Il est intéressant ici de consulter le synoptique proposé page 18 du rapport, il permet de visualiser le cheminement du porte-avion :

– Escale à Limasol, Chypre du 21 au 26 février 2020. Mais aucun cas de covid-19 n’avait été encore identifié à Chypre sur cette période.

Une entrée du virus sur le PA Charles-de-Gaulle a pu se produire lors des escales suivantes :

  • Comiso (Sicile), 2 mars,
  • Ibiza, Baléares (Espagne), 5 mars,
  • Cadix (Espagne), 7 mars,
  • Al Cochete, Lisbone (Portugal), 9 mars,
  • Monte Real, Porto (Portugal), 10 mars,

synoptique_rapport_medical_pa-ch-de-gaulle.jpg

PA CDG : porte-avions Charles de Gaulle ; FDA CHP : frégate de défense aérienne Chevalier Paul ; FASM LMP : frégate anti sous-marine La Motte Picquet

La Ministre Florence Parly poursuit « Et c’est à l’occasion de l’un de ces mouvements, en mer, après l’escale à Chypre et avant l’escale à Brest, que l’enquête épidémiologique situe les premières introductions du virus à bord »



Après avoir rappelé que le porte-avions se comporte comme un « aéroport flottant », la Ministre ajoute que « L’escale de Brest, qui se déroule du 13 au 16 mars, n’est donc pas la cause de la première introduction du virus à bord. Mais l’enquête révèle qu’elle a été l’occasion de la réintroduction de celui-ci, et qu’elle a été un facteur d’accélération de sa propagation »

Cette escale, constituait le retour à Brest du porte-avions qui n’y était pas retourné depuis dix ans. Elle a été jugée nécessaire tant sur le plan logistique que pour le moral et la régénération des équipages, dont une partie des familles habite en région Bretagne… La fermeture en France des bars et restaurants annoncée le 14 mars dans la journée, n’a été effective qu’à partir de minuit et le confinement, a été annoncé le 16 mars au soir après le départ du porte-avions.

Des mesures de distanciation sont prises et poursuit la Ministre « Au terme de la quatorzaine qui avait donc été imposée à bord, et en l’absence de cas identifiés, le 30 mars, le commandement a pris la décision d’assouplir les mesures de distanciation très strictes qui avaient été instaurées. Des « briefings » qui avaient été supprimés ont par exemple été rétablis, ainsi que des occasions communes d’échanges entre les cadres et leurs subordonnés, le sport est à nouveau autorisé, avec les mesures de distanciation, et un concert est organisé le 30 mars avec l’orchestre amateur du bord ».



« Ce n’est que le 5 avril, lorsque le commandement reçoit l’information selon laquelle un officier débarqué au Danemark le 30 mars est testé positif, que le doute s’installe »

Vidéo « Commission de la défense  Mme Florence Parly, ministre des Armées 1er marin testé positif_11-05-2020.mp4 »



L’information mettra 48h à remonter à l’état-Major des Armées et au niveau de la Ministre, qui décide alors de l’interruption immédiate de la mission du groupe aéronaval, et demande le retour à Toulon du porte-avion.

A noter que les dortoirs du Charles-de-Gaulle, de conception relativement ancienne, selon les propos de la Ministre, renferment 10 à 40 lits (lieux de couchage collectifs). Ces conditions d’hébergement des près de 1.800 marins à bord, étaient donc plutôt propices à une rapide propagation des virus respiratoires… « L’espace est un luxe et la promiscuité la règle » a déclaré la Ministre.

Le rapport disponible sur le site du Ministère est instructif :

L’enquête épidémiologique montre que « plus de la moitié des répondants a déclaré n’avoir jamais ou peu respecté les mesures de distanciation sociale (52,9%) », sans qu’elles ne soient précisément définies, ni dans le rapport, ni dans les propos de la Ministre pendant ses auditions.

Le port du masque semble avoir été bien respecté par les marins à leur poste de travail (82% « toujours » ou « tous les jours »), mais beaucoup moins à leur poste d’équipage (45,2% « jamais » ou « parfois »)

Le point d’orgue de la contamination semble bel et bien avoir été le concert au Danemark « Le concert du 30 mars, a pu être un moment clef dans cette bascule. Les rassemblements de type concert sont typiquement décrits dans la littérature comme des événements « super » disséminateurs ».

Petite phrase intéressante, tirée du rapport, mais il faut la lire jusqu’au bout « L’épidémie a rapidement décru dès l’utilisation de masques anti-projections (masques chirurgicaux) le 8 avril 2020. Il est difficile de faire la part entre une efficacité de la généralisation du port du masque et la proportion élevée de sujets infectés qui, de facto, entraine la fin d’une épidémie ».

En effet, le CESPA ferait bien de lire ma chronique N°11, car l’efficacité trop incertaine des masques, va bien dans le sens de la seconde hypothèse explicative à laquelle ils ont pensé. Bravo ! D’autant que le 8 avril était un peu tardif pour débuter le port de masques…

« Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement, et les mots pour le dire arrivent aisément » Nicolas Boileau-Despréaux (1674)

Après avoir rappelé la chronologie des événements, et préciser les caractéristiques de cette épidémie « dans l’épidémie », tout s’éclaircit, et ça tient en une seule phrase, un tweet :

« Le porte-avions Charles de Gaule est un formidable exemple d’acquisition de l’immunité collective, 1.064 marins contaminés sur 1.767, soient 60,2%, l’essentiel en 5 semaines (du 16 mars au 20 avril), tous guéris, 1 convalescent (lors de l’audition de Florence Parly du 11 mai) »

Comment expliquer que les péripéties du paquebot de croisière « Diamond Princess » aient été mieux relayées par les grandes revues médicales que la magnifique expérience de nos marins qui aurait pu éclairer le monde entier ?

La courbe épidémique des cas confirmés est éloquente

courbe_epidemique_porte-avions_charles-de-gaulle.jpg

Le Charles-de-Gaulle, un vrai laboratoire vivant grandeur nature, qui démontre l’inutilité du confinement généralisé

Le message des marins du Charles de Gaulle aurait pu être celui-ci « Si vous êtes jeunes, en bonne santé, faites comme nous, circulez librement, et faites confiance à vos défenses immunitaires »

Quel média a osé aborder « l’affaire du porte-avions Charles-de-Gaule » sous cet angle ?

Le chef des armées, autorité suprême pour les questions militaires, Emmanuel Macron, notre Président de la République, devrait lire cette chronique et faire son introspection :

Pourquoi avoir le 17 mars enfermé 51 millions de françaises et de français en bonne santé pendant huit longues semaines, alors qu’ils auraient probablement pu contrôler l’épidémie en cinq semaines comme l’ont fait nos marins ?

Pourquoi les avoir tous cachés ce lundi 20 juillet derrière un masque ?

Ce sont les malades, les vulnérables, au premier chef desquels les personnes les plus âgées, qu’il fallait isoler, confiner, protéger…

Auteur(s): Francois Pesty pour FranceSoir




Covid-19 : aucune remontée des décès, dans aucun pays

[Source : santenatureinnovation.com]

[Auteur : Jean-Marc Dupuis]


Chère lectrice, cher lecteur,

Les semaines passent et les médias continuent à entretenir un climat de panique anxiogène autour de la Covid-19.

Les masques reviennent en masse sur l’espace public, malgré la chaleur. Les gens ne peuvent plus se sourire, ni s’approcher les uns des autres, ils souffrent d’avoir cette chose plaquée sur la figure mais ils préfèrent ça au risque de mourir de la Covid-19 ou de transmettre la maladie aux autres.

Nous sommes en train d’apprendre à nous méfier de nous-mêmes, de nous considérer avant tout comme un “dangereux porteur de virus”, et de voir les autres de la même façon.

De nombreuses personnes, souffrant de problèmes de respiration, ou autre, ne peuvent plus vivre normalement avec les nouvelles “normes sociales”, qui sont là pour durer. Ainsi par exemple la vie de Malo, ce jeune autiste de Douarnenez (Bretagne), qui ne supporte pas le masque et dont la vie est bouleversée malgré les appels de ses parents qui implorent les Autorités, en vain. [1]

Pourtant, les courbes des décès dûs à la Covid-19 sont éloquentes. Elles n’indiquent aucune remontée significative du nombre de morts, dans aucun pays européen :

Voici des saisies d’écran réalisées mercredi 29 juillet, pour les grands pays européens : (source : https://www.worldometers.info/coronavirus)

Je vous avais envoyé ces tableaux il y a deux semaines. On voit que, entre temps, la fin de l’épidémie n’a fait que se confirmer, il n’y a pas le moindre signe de “seconde vague” si on considère le nombre de décès.

Voici l’Italie (“daily new deaths” signifie “nombre de nouveaux décès par jour”) :
 



Voici l’Allemagne :


Voici l’Espagne (c’est la plus spectaculaire) :


Voici l’Angleterre :


Voici la France : 


Voici la Suède qui, rappelons-le, n’a jamais confiné, et où une catastrophe devait se produire :


On me répondra que “ça ne veut rien dire”. Que “tout est possible”. Qu’une seconde vague pourrait tout à fait se déclencher dans les semaines ou mois qui viennent, en septembre ou l’année prochaine, que le virus pourrait muter et frapper désormais les jeunes, plutôt que les personnes très âgées et malades, comme c’est le cas actuellement.

Je réponds que oui, c’est vrai. Cela “pourrait”.

C’est juste que, avec des si, on pourrait mettre Paris en bouteille.

A ce compte là, et en tenant compte de tous les malheurs qui “pourraient” arriver, autant arrêter tout de suite de vivre, et détruire totalement l’humanité.

Comment les médias réussissent à entretenir la panique, malgré les chiffres de décès, qui ont tellement baissé

La technique est simple comme bonjour.

Ils changent constamment d’indicateur, pour sélectionner celui qui donne l’impression à ce moment là que les choses vont mal, ou pourraient tourner mal.

Selon le moment, cela peut être :

  • le nombre de morts total depuis le début de l’épidémie
  • le nombre de mort du jour
  • le nombre de contaminations
  • la hausse, en pourcentage, du nombre de contaminations par rapport à une date donnée
  • le taux de transmission du virus,
  • le nombre d’hospitalisations,
  • le nombre de lits occupés en soins intensifs,
  • le nombre de services d’urgences saturés
  • le nombre de personnes sous respirateur artificiel, etc.

Si vous cherchez bien, vous pouvez ainsi, chaque jour, sélectionner l’indicateur qui permet de donner l’impression que l’épidémie fait rage, ou même “qu’on n’a encore rien vu”.

C’est ce que nos médias font tous les jours.

Illusion d’optique

Actuellement, le nombre de décès étant proche de zéro dans tous les pays européens, les projecteurs médiatiques sont braqués sur le nombre de contaminations.

Ce nombre serait, soi-disant, en hausse. Il annoncerait même une “deuxième vague”.

En réalité, il s’agit d’une illusion d’optique, lié au nombre de tests réalisés dans les populations qui a massivement augmenté : 100 000 en deux mois (mars et avril 2020) contre 50 000 par jour actuellement. Là où on ne détectait en avril que 0,5 % des cas de Covid, on en détecte aujourd’hui jusqu’à 50 %. [2]

C’est pourquoi le nombre de contaminations repérées par les Autorités, et donc signalées par les médias, est récemment remonté. Il ne s’agit pas d’une augmentation du nombre de malades réels, mais d’une amélioration de la détection.

Et ce n’est guère étonnant.

Le nombre de contaminations monte car on a multiplié par 30 le nombre de tests

Au début de la première vague, chacun s’en souvient, les gens ne connaissaient pas encore le coronavirus, mis à part quelques articles dans les journaux. Et il était de toutes façons impossible de faire des tests, puisque ni les médecins ni les laboratoires d’analyse n’étaient équipés pour réaliser des tests à grande échelle.

Cette situation a duré plusieurs mois, si bien que seules étaient testées les personnes manifestant des symptômes forts de fièvre, toux, détresse respiratoire, et qui inquiétaient véritablement les médecins.

Dans ce cadre, lorsque vous lisiez dans les journaux qu’il y avait “500 nouvelles contaminations”, il s’agissait des cas les plus lourds.

Si on avait été capable, à ce moment, de tester de la même façon toutes les personnes présentant des symptômes légers et peu inquiétants, en particulier les jeunes et les personnes en bonne santé, il y aurait eu des dizaines de milliers de nouvelles contaminations chaque jour.

Mais c’était, techniquement, impossible.

La situation est toute autre aujourd’hui.

Dans tous les pays, en particuliers les pays avancés, on réalise des tests à une échelle massive. Au moindre symptôme, avant de se demander s’ils ont un rhume, une grippe, un refroidissement, une gastro ou autre, les gens pensent aujourd’hui à la Covid.

Ils se précipitent chez leur médecin et peuvent désormais réaliser des tests même sans ordonnance.

Au lieu de tester 5 % des malades, en se concentrant sur les plus graves, on en teste 70 ou 80 %.

Aux Etats-Unis, pays obsédé par l’hygiène et terrorisé par les microbes, près de 60 millions de tests ont été réalisés. Malades ou pas malades, les gens se précipitent pour se faire dépister. Ils ont réalisé quatre fois plus de tests que la France, par rapport à leur population !!

Alors bien entendu, chaque jour on finit par repérer des personnes “contaminées”, ce qui ne veut absolument pas dire qu’elles sont malades. Si vous ajoutez à cela les “faux positifs”, c’est-à-dire les personnes qui sont diagnostiquées positives suite à une erreur dans la procédure du test, cela donne l’impression que l’épidémie continue à faire rage.

On détecte d’autant mieux les personnes porteuses du virus qu’on sait d’avance où elles vont apparaître

Si on arrive malgré tout à compter quelques centaines, ou même milliers, de nouvelles contaminations par jour, c’est que le moindre “cluster” est désormais connu des autorités, qui les suivent au microscope, et qui bien entendu diagnostiquent le moindre cas suspect.

A noter que “Cluster” est un nouveau mot anglais brutalement apparu dans les médias, alors que nous avons en français depuis toujours un excellent mot, le mot  “foyer”, comme dans “foyer épidémique”, pour dire la même chose. Mais, évidemment, dire “cluster” fait plus chic et donne l’impression, surtout, qu’il s’agit d’un phénomène nouveau, donc plus inquiétant.

Une vraie catastrophe pour l’humanité

Bref, cette obstination à présenter la situation comme dramatique reste, je l’écris encore une fois, inexplicable à mes yeux, à moins de sombrer dans les théories du complot qui paraissent les plus folles.

En revanche, elle a des conséquences bien réelles sur les gens, avec des dizaines de millions de personnes qui ont perdu leur emploi et qui vont à la catastrophe (on parle de trois millions de familles qui vont être expulsées au mois d’août aux Etats-Unis, n’ayant plus les moyens de payer leur loyer).

La faim dans le monde, qui avait considérablement reculé depuis l’an 2000, est en train de remonter en flèche, frappant des centaines de millions supplémentaires. L’ONU parle d’une “remontée en flèche” :
 



Des estimations récentes suggèrent également que jusqu’à 6.000 enfants pourraient « mourir chaque jour de causes évitables au cours des six prochains mois en raison des perturbations des services de santé et de nutrition essentiels liées à la pandémie », selon l’ONU.

« Il y a trois mois, au Conseil de sécurité des Nations unies, j’ai dit aux dirigeants du monde que nous courions le risque d’une famine aux proportions bibliques », a déclaré le Directeur exécutif du Programme Alimentaire Mondial de l’ONU, David Beasley.

Selon certaines estimations, la moitié des emplois supprimés par la crise ne seront jamais recréés. [3]

En France, des centaines de milliers de sociétés ont fait faillite. Leurs employeurs sont ruinés, ils ne ré-embaucheront tout simplement pas les salariés. Une crise économique sans précédent en Europe, dont nous avons à peine commencé à mesurer l’ampleur, est en train de se produire.

Tout ceci va se traduire, inévitablement, par une réduction drastique de la qualité des soins, des budgets de recherche, du nombre et du salaire des médecins, des soignants, qu’on le veuille ou non.

Mais chaque jour où nous continuons à nous concentrer sur la Covid-19 et à prendre des mesures restrictives, sans réfléchir aux conséquences, alourdira la facture.

Je suis désolé de vous parler sur ce ton, peu optimiste, mais je le pense. Je pense, en outre, que mon message est en fait optimiste car il ose affirmer que la Covid-19 n’est pas un si grave problème que tous les médias le prétendent, et qu’au lieu de se battre contre des problèmes imaginaires, notre temps et notre énergie seraient mieux dépensés ailleurs, dans la lutte contre l’arthrose, le diabète, le cancer, la dépression, l’Alzheimer, les maladies cardiovasculaires et toutes les maladies qui, faut-ils le rappeler, n’ont absolument pas disparu avec la Covid-19.

C’est ce que nous essayons de faire, avec nos moyens, ici. Et j’espère pouvoir compter sur votre soutien et vos encouragements pour continuer.

A votre santé !

Jean-Marc Dupuis


Sources :

Pour consulter les sources de l’article, cliquez ici.


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Mouton ou rebelle ?

[Source : Daniel et Marie-Johanne Croteau-Meurois Officiel]

Daniel Meurois en interview par Josianne Roy… Quelques réflexions en altitude et sans fard au sujet d’une pandémie très révélatrice et qui fait tomber bien des masques. Mouton ou rebelle ?




Une association française contre les mesures Covid-19

[NdNM : Le blogue québécois Nouveau Monde n’est pas lié à cette association française et diffuse librement l’information de son existence.]


Réaction 19

Source : https://reaction19.fr/

Ensemble, faisons valoir nos droits.

L’association Réaction19 mettra en œuvre tous les moyens juridiques et judiciaires dans toutes les actions individuelles et collectives, ayant un lien avec les mesures législatives, décrétales et réglementaires, prises par les autorités françaises, de l’Union Européenne et du monde, pour lutter contre la pandémie du COVID19

Déclaration qui établit l’illégalité de la contravention de 4ème classe qui serait imputée en cas de défaut du port du masque dans les lieux imposés

Courrier au Ministère de l’intérieur

Touches pas à mon masque !

https://youtu.be/bK_6SvDo6IE

Feuille de route contestation contravention

Confinement: que de contradictions!

https://youtu.be/kbUABGIYFbk

Justice, mais quelle justice ?

https://youtu.be/0-f-sQ_z2-E

Le temps de la parole et le temps de l’action…

https://youtu.be/2QGMdlPRTes

L’étau se resserre sur les mensonges d’État… d’Europe et de l’OMS…

https://youtu.be/Q_PbA2Ydf0Y

Courrier – Premier Ministre juin 2020

Courrier – Président de la République juin 2020

Etc.


[Voir aussi : Comment l’exécutif trompe les français avec des textes illégaux !]




Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus

[Source : The Freedom Articles]

Par Makia Freeman

A 2020 article by Dr. Stefan Lanka reveals why we have been laboring under a virus misconception. Learn the truth about viruses and COVID.

L’idée fausse du virus est au cœur de l’opération Coronavirus

car sans le concept de la théorie des germes et sans l’histoire d’horreur du virus tueur, la plupart des gens n’achèteraient pas le récit officiel de la propagande COVID dirigé par le NOM [Nouvel Ordre Mondial]. Dans un article précédent sur la nature du virus, j’ai discuté des efforts héroïques du virologue allemand, le Dr Stefan Lanka, qui a remporté un procès historique en 2017. Il s’est rendu jusqu’à la Cour suprême allemande. Lanka a prouvé devant le plus haut tribunal du pays que la rougeole n’était pas causée par un virus et qu’il n’existait en fait pas de virus de la rougeole. Lanka est toujours occupé à travailler, et il a écrit cet article plus tôt cette année (traduit en anglais ici) intitulé « The Misconception called Virus » [« L’idée fausse appelée virus»] dans lequel il explique l’histoire de la façon dont la science traditionnelle s’est complètement fourvoyée avec ses conclusions (en fait des hypothèses) pour diaboliser l’humble virus et lui attribuer à tort une pathogénicité qu’il n’a pas du tout.

L’idée fausse du virus : l’histoire du virus tueur contre carence et toxicité

L’argument principal de Lanka tout au long de l’article est le suivant: lorsque les scientifiques modernes travaillent avec des tissus malades, ils pensent que la présence d’un virus est à l’origine de la maladie, au lieu de se rendre compte que le tissu en question a été séparé et isolé de son hôte, puis aspergé avec des antibiotiques, et que cette séparation et cet empoisonnement le rendent malade et le tuent, plutôt que n’importe quel virus. Lanka écrit :

« Toutes les affirmations sur les virus en tant que pathogènes sont fausses et sont basées sur des interprétations erronées facilement reconnaissables, compréhensibles et vérifiables… Tous les scientifiques qui pensent travailler avec des virus dans les laboratoires travaillent en fait avec des particules typiques de tissus ou cellules mourants spécifiques qui ont été préparés de façon spéciale. Ils croient que ces tissus et cellules meurent parce qu’ils ont été infectés par un virus. En réalité, les cellules et les tissus infectés mouraient car ils étaient affamés et empoisonnés par suite des expériences en laboratoire. »

«… La mort du tissu et des cellules a lieu exactement de la même manière lorsqu’aucun matériel génétique « infecté » n’est ajouté. Les virologues n’ont apparemment pas remarqué ce fait. Selon… la logique scientifique et les règles de conduite scientifique, des expériences de contrôle auraient dû être menées. Afin de confirmer la méthode nouvellement découverte de soi-disant « propagation du virus »… les scientifiques auraient dû effectuer des expériences supplémentaires, appelées expériences de contrôle négatif, dans lesquelles ils ajouteraient des substances stériles… à la culture cellulaire. »

« Ces expériences de contrôle n’ont jamais été menées par la « science » officielle à ce jour. Au cours de l’essai sur le virus de la rougeole, j’ai mandaté un laboratoire indépendant pour effectuer cette expérience de contrôle et le résultat a été que les tissus et les cellules meurent en raison des conditions de laboratoire exactement de la même manière que lorsqu’ils entrent en contact avec du matériel prétendument « infecté » ».

En d’autres termes, les cellules et tissus étudiés meurent exactement de la même manière avec ou sans la présence d’un virus. Par conséquent, le virus ne peut pas être la cause de la morbidité et de la mortalité. Fait intéressant, c’est exactement ce que de nombreux experts de la santé ont déclaré, à savoir qu’il n’y a que 2 causes de maladie : la carence et la toxicité. Par exemple, Charlotte Gerson (qui a repris la direction de la clinique Gerson de son brillant père Max) a dit cela à propos de la maladie et du cancer. Retirer des cellules ou des tissus du corps et ainsi les couper de leur apport en énergie/nutriments entraînera rapidement une carence. L’injection d’antibiotiques dans le mélange est une toxicité. Il n’y a donc aucune preuve solide qu’un virus provoque une maladie alors qu’il existe déjà une carence et une toxicité. C’est le point clé de l’idée fausse du virus.

Comment l’idée fausse du virus a pris racine en 1858 et s’est ancrée en 1954

Lanka fait remonter le développement de l’idée fausse du virus à 1858 et à la « théorie cellulaire » de Rudolf Virchow, qui a proposé une théorie selon laquelle toute maladie et toute vie proviennent d’une seule cellule, qui est en quelque sorte détournée par un virus qui l’affaiblit et se propage. lui-même. Lanka signale 2 problèmes avec ceci :

« La théorie cellulaire est née uniquement parce que Rudolf Virchow a supprimé des découvertes cruciales sur les tissus. Les découvertes et les idées concernant la structure, la fonction et l’importance centrale des tissus dans la création de la vie, qui étaient déjà connues en 1858, réfutent complètement la théorie cellulaire et les thérapies subséquentes génétiques, immunitaires et cancéreuses. »

« Les théories de l’infection n’ont été établies en tant que dogme mondial que par les politiques concrètes et l’eugénisme du Troisième Reich. Avant 1933, les scientifiques osaient contredire cette théorie. Après 1933, ces scientifiques critiques ont été réduits au silence. »

Par « théories de l’infection », Lanka entend la théorie des germes, la théorie dominante de la médecine occidentale moderne. Lanka décrit ensuite comment un changement de paradigme dans la perception du virus s’est produit pendant la période 1952-1954 :

« Jusqu’en 1952, un virus était défini comme un poison pathogène sous la forme d’une protéine, qui, en tant qu’enzyme, causait des dommages d’une manière inconnue, pouvant provoquer des maladies et être transmissibles. Après 1953, l’année où le prétendu ADN sous la forme d’hélice alpha présumée a été annoncé publiquement, l’idée de virus est devenue un génotype malin enveloppé de protéines. Ainsi, un changement de paradigme s’est produit entre 1952 et 1954 concernant l’image d’un virus. »

Il parle de la façon dont la théorie est devenue un dogme dans l’Église de la science traditionnelle (alias scientisme) :

« Cette approche totalement non scientifique est née en juin 1954, lorsqu’un article spéculatif non scientifique et réfutable a été publié, selon lequel la mort d’un tissu dans un tube à essai était considérée… une preuve possible de la présence d’un virus. Six mois plus tard, le 10 décembre 1954, l’auteur principal de cette opinion a reçu le prix Nobel de médecine pour une autre théorie tout aussi spéculative. La spéculation de juin 1954 fut alors élevée au rang de fait scientifique et devint un dogme qui n’a jamais été remis en cause à ce jour. Depuis juin 1954, la mort de tissus et de cellules dans un tube à essai est considérée comme la preuve de l’existence d’un virus. »

Revenons aux postulats de Koch : pas d’isolement, pas de purification

Comme je l’ai couvert dans  COVID-19 Umbrella Term to Operate a Fake Pandemic: Not 1 Disease, Not 1 Cause [COVID-19, Terme générique pour faire fonctionner une fausse pandémie : pas une maladie, pas une cause], les scientifiques traditionnels d’aujourd’hui sautent la deuxième étape très importante des postulats de Koch : l’isolement et la purification du virus. Ce n’est pas quelque chose que vous pouvez simplement ignorer ou oublier de faire, comme oublier accidentellement votre parapluie un jour de pluie et être un peu mouillé. C’est la partie absolument essentielle pour déterminer s’il existe un nouveau virus et s’il provoque une maladie. C’est la condition sine qua non. Si vous ne pouvez pas l’isoler, vous n’avez pas réussi à prouver quoi que ce soit, car la ramification naissante que vous pensez être un virus envahissant pourrait facilement être un exosome ou une particule produite par le corps lui-même. C’est pourquoi toute la propagande COVID a commodément passé sous silence le fait qu’il n’y a pas d’images au microscope électronique du SRAS-CoV-2, puisque le microscope électronique est un outil extrêmement important dans la 1ère étape des postulats de Koch, l’identification. Lanka continue :

« … Un virus n’a jamais été isolé selon le sens du mot isolement, et il n’a jamais été photographié et caractérisé biochimiquement comme une structure unique. Les micrographies électroniques des virus présumés montrent en réalité des particules cellulaires tout à fait normales provenant de tissus et de cellules mourants, et la plupart des photos ne montrent qu’un modèle informatique (CGI – images générées par ordinateur). »

Alors, qu’est-ce que tout cela a à voir avec COVID?

Donc, pour ramener cela à la plandémie [NdNM : jeu de mots pour « pandémie planifiée »] actuelle, toutes les mêmes hypothèses et le manque de preuves sont en jeu en ce qui concerne COVID :

« Des molécules individuelles sont extraites des particules de tissus et de cellules mortes, elles sont interprétées à tort comme faisant partie d’un virus et sont théoriquement rassemblées dans un modèle de virus… Le processus de recherche de consensus pour le « virus » de la rougeole, dans lequel les participants ont débattu afin de déterminer ce qui appartenait au virus et ce qui ne l’était pas, a duré des décennies. Avec le nouveau coronavirus chinois 2019 (2019-nCoV, renommé entre-temps), ce processus de recherche de consensus ne dure que quelques clics de souris.

Avec également seulement quelques clics de souris, un programme peut créer n’importe quel virus en rassemblant des molécules de courtes parties d’acides nucléiques provenant de tissus morts et de cellules avec une composition biochimique déterminée, les organisant ainsi comme vous le souhaitez dans un génotype plus long qui est ensuite déclaré être le génome complet du nouveau virus… dans ce processus de construction théorique de « l’ADN viral », les séquences qui ne correspondent pas sont « lissées » et les séquences manquantes sont ajoutées. Ainsi, on invente une séquence d’ADN qui n’existe pas dans la réalité et qui n’a jamais été découverte et scientifiquement démontrée dans son ensemble. »

Donc, fondamentalement, les scientifiques chinois traditionnels qui travaillent selon la même théorie que les scientifiques occidentaux traditionnels ont inventé un nouveau modèle théorique pour le SRAS-CoV-2 et ont proclamé un nouveau coronavirus, mais le tout sans les micrographies électroniques pour le soutenir.

[…]Est-ce de la science ou est-ce un scientisme basé sur la foi ? […]

Lanka sur le danger des vaccins

Notre manque de compréhension des virus, des maladies, du système immunitaire, de la théorie du terrain et bien plus encore est exploité par Big Pharma pour pousser des interventions médicales dangereuses telles que les vaccins. Voici ce que Lanka a à dire sur le danger et l’inefficacité des vaccins :

« [Une] concoction composée de tissus et de cellules mourants de singes, de fœtus bovins et d’antibiotiques toxiques… est utilisée comme vaccin « vivant », car elle est censée être constituée de virus dits « atténués »… [ce] mélange toxique plein de protéines étrangères, d’acides nucléiques étrangers (ADN/ARN), d’antibiotiques cytotoxiques, de microbes et de spores de tous types est qualifié de « vaccin vivant ». Il est implanté chez les enfants par vaccination, principalement dans les muscles, en une quantité qui, s’il était injecté dans les veines, entraînerait immédiatement une mort certaine… Les faits vérifiables démontrent le danger et la négligence de ces scientifiques et politiques, qui prétendent que les vaccins sont sûrs , ont peu ou pas d’effets secondaires et protégeraient contre une maladie. Aucune de ces affirmations n’est vraie et scientifique, au contraire. Après une analyse scientifique précise, on constate que les vaccins sont inutiles et la littérature respective admet l’absence de toute preuve en leur faveur. »

Réflexions finales

L’idée fausse du virus existe depuis longtemps. Aussi insensée que soit la soumission actuelle basée sur la peur, le masque et la distanciation sociale, il y a des gens qui utilisent l’opération Coronavirus comme une chance de se réveiller. Alors que certains vont plus loin dans l’inconscience et se tournent vers de nouveaux produits de protection (« améliorez votre masque avec notre bouclier protecteur de filtration d’air motorisé en instance de brevet (N95) »), d’autres ont vu le coup d’État du coronavirus pour ce qu’il est vraiment : une chance de déployer toutes sortes d’architectures de contrôle pendant que les gens somnolent dans la peur. C’est toujours une bonne idée de remettre en question les hypothèses de base de toute déclaration gouvernementale, car presque toujours, cela peut ouvrir un portail qui mène à la vérité.


Makia Freeman est rédactrice en chef du médias alternatifs et site d’information indépendant The Freedom Articles, auteur de Cancer: The Lies, the Truth and the Solutions et chercheuse senior chez ToolsForFreedom.com. Makia est sur Steemit et Parler.

Sources :
Makia Freeman est rédactrice en chef de The Freedom Articles, chercheuse de longue date sur la vérité et promotrice de la liberté. Elle fournit des analyses perspicaces, non partisanes, uniques et de pointe sur qui dirige le monde, comment ils le font et quel est le programme plus profond - ainsi que des solutions pour restaurer la paix et la liberté dans le monde. Elle écrit des articles exposant la propagande et les nombreux aspects de la conspiration mondiale, en plus de la géopolitique, de la souveraineté, de la santé et de la conscience supérieure. Ses articles sont régulièrement diffusés et présentés sur des sites tels que David Icke, Wake Up World, Activist Post, Waking Times, Global Research, The Sleuth Journal et bien d'autres.



Un médecin dénonce la propagande : « j’ai pas voté pour Rothschild »

[Source : Profession Gendarme]

Vidéo importante où la médecin fait la leçon au journaleux qui veut toujours la ramener à répondre sur les masques et elle ne se laisse pas faire. Sur un plateau de télé elle n’aurait pas pu dire tout ce qu’elle dit et qui devrait réveiller les gens les plus « ensuqués » comme on dit ici. C’est une femme, sûrement une mère ou grand-mère et un médecin et ce doit être difficile de la faire passer pour complotiste. Si le journaleux avait deux sous de dignité et d’honneur il démissionnerait immédiatement de BFM WC.

https://youtu.be/SzcllxyyMwg



La science est concluante : les masques et les respirateurs n’empêchent PAS la transmission des virus

[Source originale anglaise (PDF) : Masks Don’t Work]

[Author:] Dr. Dennis Rancourt, PhD
researchgate.net

[NdNM : version française trouvée sur un forum sans mention du traducteur]

Commentaire :
Cette revue de la littérature scientifique sur le port de masques chirurgicaux et autres comme moyen de prévenir la transmission du SRAS-CoV-2 et donc d'empêcher de contracter la "Covid-19" a été publiée il y a un mois.

Résumé

Les masques et les respirateurs ne fonctionnent pas. Des études approfondies d’essais contrôlés randomisés (ECR) et des méta-analyses d’études d’ECR ont montré que les masques et les respirateurs ne fonctionnent pas pour prévenir les maladies respiratoires de type grippal, ou les maladies respiratoires que l’on pense être transmises par des gouttelettes et des particules d’aérosol.

En outre, les données physiques et biologiques pertinentes que j’ai examinées sont telles que les masques et les respirateurs ne devraient pas fonctionner. Il serait paradoxal que les masques et les respirateurs fonctionnent, compte tenu de ce que nous savons sur les maladies respiratoires virales : La principale voie de transmission est celle des particules d’aérosols à long temps de séjour (< 2,5 μm), qui sont trop fines pour être bloquées, et la dose infectieuse minimale est inférieure à une particule d’aérosol.

Le présent document sur les masques illustre la mesure dans laquelle les gouvernements, les médias grand public et les propagandistes institutionnels peuvent décider d’opérer dans le vide scientifique ou de ne sélectionner que des données scientifiques incomplètes qui servent leurs intérêts. Une telle insouciance est certainement aussi le cas avec l’actuel confinement mondial de plus d’un milliard de personnes, une expérience sans précédent dans l’histoire médicale et politique.

Revue de la littérature médicale

Voici les principaux points d’ancrage de la vaste littérature scientifique qui établit que le port de masques chirurgicaux et de respirateurs (par exemple, « N95 ») ne réduit pas le risque de contracter une maladie avérée :

– Jacobs, J. L. et al (2009) « Use of surgical face masks to reduce the incidence of the common cold among health care workers in Japan » : A randomized controlled trial », American Journal of Infection Control, volume 37, numéro 5, 417 – 419.

« Les travailleurs de la santé masqués de N95 étaient nettement plus susceptibles d’éprouver des maux de tête. Il n’a pas été démontré que l’utilisation de masques faciaux chez les travailleurs de la santé présentait des avantages en termes de symptômes de rhume ou de refroidissement. »

– Cowling, B. et al (2010) « Face masks to prevent transmission of influenza virus : A systematic review », Epidemiology and Infection, 138(4), 449-456. doi:10.1017/S0950268809991658

Aucune des études examinées n’a montré un bénéfice du port d’un masque, que ce soit chez les travailleurs de la santé ou les membres de la communauté dans les ménages (H). Voir les tableaux récapitulatifs 1 et 2.

– bin-Reza et al (2012) « The use of masks and respirators to prevent transmission of influenza : a systematic review of the scientific evidence« , Influenza and Other Respiratory Viruses 6(4), 257-267.

« Il y a eu 17 études admissibles. […] Aucune des études n’a établi de relation concluante entre l’utilisation de masques⁄respirateurs et la protection contre l’infection par le virus influenza« .

– Smith, J.D. et al. (2016) « Efficacité des respirateurs N95 par rapport aux masques chirurgicaux pour protéger les travailleurs de la santé contre les infections respiratoires aiguës : revue systématique et méta-analyse« , CMAJ mars 2016, cmaj.150835 ; DOI : 10.1503/cmaj.150835

« Nous avons identifié 6 études cliniques … Dans la méta-analyse des études cliniques, nous n’avons trouvé aucune différence significative entre les respirateurs N95 et les masques chirurgicaux en ce qui concerne le risque associé (a) d’infection respiratoire confirmée en laboratoire, (b) de maladie de type grippal, ou (c) d’absentéisme au travail déclaré« .

– Offeddu, V. et al (2017) « Efficacité des masques et des respirateurs contre les infections respiratoires chez les travailleurs de la santé : A Systematic Review and Meta-Analysis », Clinical Infectious Diseases, Volume 65, Issue 11, 1 December 2017, Pages 1934-1942, https://doi.org/10.1093/cid/cix681

« L’évaluation autodéclarée des résultats cliniques était sujette à des biais. La preuve d’un effet protecteur des masques ou des respirateurs contre une infection respiratoire vérifiée (IRM) n’était pas statistiquement significative » ; selon la figure 2c de ce document :

[image]

Radonovich, L.J. et al (2019) « N95 Respirators vs Medical Masks for Preventing Influenza Among Health Care Personnel : A Randomized Clinical Trial », JAMA. 2019 ; 322(9) : 824-833. doi:10.1001/jama.2019.11645

« Parmi les 2862 participants randomisés, 2371 ont terminé l’étude et ont représenté 5180 saisons de travail. … Parmi le personnel de santé ambulatoire, les respirateurs N95 par rapport aux masques médicaux tels que portés par les participants à cet essai n’ont entraîné aucune différence significative dans l’incidence de la grippe confirmée en laboratoire« .

Long, Y. et al (2020) « Effectiveness of N95 respirators versus surgical masks against influenza : A systematic review and meta-analysis », J Evid Based Med. 2020 ; 1- 9. https://doi.org/10.1111/jebm.12381

« Au total, six ECR impliquant 9 171 participants ont été inclus. Aucune différence statistiquement significative n’a été constatée dans la prévention de la grippe confirmée en laboratoire, des infections virales respiratoires confirmées en laboratoire, des infections respiratoires confirmées en laboratoire et des affections de type grippal à l’aide de respirateurs N95 et de masques chirurgicaux. La méta-analyse a indiqué un effet protecteur des respirateurs N95 contre la colonisation bactérienne confirmée en laboratoire (RR = 0,58, 95 % IC 0,43-0,78). L’utilisation d’appareils respiratoires N95 par rapport aux masques chirurgicaux n’est pas associée à un risque moindre de grippe confirmée en laboratoire« .

Conclusion concernant les masques qui ne fonctionnent pas

Aucune étude RCT dont les résultats ont été vérifiés ne montre que le port d’un masque ou d’un respirateur est bénéfique pour les travailleurs de la santé ou les membres de la communauté dans les ménages. Il n’existe aucune étude de ce type. Il n’y a aucune exception. De même, il n’existe aucune étude qui montre un bénéfice d’une politique générale de port de masques en public (plus d’informations à ce sujet ci-dessous).

De plus, s’il y avait un avantage à porter un masque, en raison de son pouvoir de blocage contre les gouttelettes et les particules d’aérosol, le port d’un respirateur (N95) devrait être plus avantageux que celui d’un masque chirurgical. Pourtant, plusieurs grandes méta-analyses, et tous les ECR, prouvent qu’il n’y a pas un tel avantage relatif. Les masques et les respirateurs ne fonctionnent pas.

Le principe de précaution tourné sur la tête avec les masques

À la lumière de la recherche médicale, il est donc difficile de comprendre pourquoi les autorités de santé publique n’appliquent pas systématiquement ces résultats scientifiques bien établis, étant donné que les dommages psychologiques, économiques et environnementaux répartis résultant d’une recommandation générale de porter des masques sont importants, sans parler des dommages potentiels inconnus dus à la concentration et à la distribution des agents pathogènes sur et à partir des masques utilisés.

Dans ce cas, les autorités publiques iraient à l’encontre du principe de précaution (voir ci-dessous).

Physique et biologie des maladies respiratoires virales, et pourquoi les masques ne fonctionnent pas

Afin de comprendre pourquoi les masques ne peuvent pas fonctionner, nous devons revoir les connaissances établies sur les maladies respiratoires virales, le mécanisme de variation saisonnière de la surmortalité due à la pneumonie et à la grippe, le mécanisme de transmission des maladies infectieuses par aérosol, la physique et la chimie des aérosols et le mécanisme de la dose infectieuse minimale.

Outre les pandémies qui peuvent survenir à tout moment, les latitudes tempérées connaissent un surcroît de mortalité due à des maladies respiratoires qui est saisonnier et qui est causé par des virus. Voir, par exemple, l’étude de Paules et Subbarao sur la grippe (2017). Ce phénomène est connu depuis longtemps et le schéma saisonnier est extrêmement régulier.

Par exemple, voir la figure 1 de Viboud (2010), qui présente une « série chronologique hebdomadaire du rapport entre le nombre de décès dus à la pneumonie et à la grippe et le nombre total de décès, basée sur la surveillance de 122 villes aux États-Unis (ligne bleue) ». La ligne rouge représente le ratio de base attendu en l’absence d’activité grippale », ici :

Le caractère saisonnier du phénomène n’a été largement compris qu’il y a une décennie. Jusqu’à récemment, on se demandait si le phénomène était principalement dû à un changement saisonnier de la virulence des agents pathogènes ou à un changement saisonnier de la sensibilité de l’hôte (par exemple, un air sec provoquant une irritation des tissus ou une diminution de la lumière du jour provoquant une carence en vitamines ou un stress hormonal). Voir, par exemple, Dowell (2001).

[image]

Dans une étude qui fait date, Shaman et al. (2010) ont montré que le schéma saisonnier de la mortalité due aux maladies extra respiratoires peut être expliqué quantitativement sur la seule base de l’humidité absolue et de son impact direct sur la transmission des agents pathogènes dans l’air.

Lowen et ses collègues (2007) ont démontré le phénomène de virulence des virus aériens dépendant de l’humidité dans la transmission réelle de maladies entre cobayes, et ont examiné les mécanismes sous-jacents potentiels de l’effet de contrôle mesuré de l’humidité.

Le mécanisme sous-jacent est que les particules ou gouttelettes d’aérosol chargées d’agents pathogènes sont neutralisées au cours d’une demi-vie qui diminue de manière monotone et significative avec l’augmentation de l’humidité ambiante. Ce mécanisme est basé sur les travaux fondateurs de Harper (1961). Harper a montré expérimentalement que les gouttelettes porteuses de virus et d’agents pathogènes étaient inactivées dans des délais de plus en plus courts, à mesure que l’humidité ambiante augmentait.

Harper a soutenu que les virus eux-mêmes étaient rendus inopérants par l’humidité (« décomposition viable »), mais il a admis que l’effet pouvait être dû à l’élimination physique ou à la sédimentation des gouttelettes par l’humidité (« perte physique ») : « Les viabilités des aérosols rapportées dans cet article sont basées sur le rapport entre le titre du virus et la numération radioactive dans les échantillons de suspension et de nuages, et peuvent être critiquées au motif que les matériaux de test et de traçage n’étaient pas physiquement identiques ».

Ce dernier point (« perte physique ») me semble plus plausible, puisque l’humidité aurait un effet physique universel de provoquer la croissance et la sédimentation des particules/gouttelettes, et que tous les agents pathogènes viraux testés ont essentiellement la même « décomposition » due à l’humidité. En outre, il est difficile de comprendre comment un virion (de tous les types de virus) dans une gouttelette serait attaqué ou endommagé au niveau moléculaire ou structurel par une augmentation de l’humidité ambiante. Un « virion » est la forme complète et infectieuse d’un virus en dehors d’une cellule hôte, avec un noyau d’ARN ou d’ADN et une capside. Le mécanisme réel de cette « décomposition viable » d’un virion par l’humidité à l’intérieur d’une gouttelette n’a pas été expliqué ni étudié.

En tout état de cause, l’explication et le modèle de Shaman et al. (2010) ne dépendent pas du mécanisme particulier de la décomposition des virions en aérosol/gouttelettes par l’humidité. Le modèle d’épidémiologie virale régionale saisonnière quantitativement démontré par Shaman est valable pour l’un ou l’autre mécanisme (ou combinaison de mécanismes), que ce soit la « décroissance viable » ou la « perte physique ».

La percée réalisée par Shaman et al. n’est pas seulement un point académique. Elle a plutôt de profondes implications en matière de politique de santé, qui ont été entièrement ignorées ou négligées dans la pandémie actuelle de coronavirus.

En particulier, le travail de Shaman implique nécessairement que, plutôt que d’être un nombre fixe (dépendant uniquement de la structure spatio-temporelle des interactions sociales dans une population totalement sensible, et de la souche virale), le nombre de reproduction de base de l’épidémie (R0) est fortement ou principalement dépendant de l’humidité absolue ambiante.

Pour une définition du R0, voir HealthKnowlege-UK (2020) : R0 est « le nombre moyen d’infections secondaires produites par un cas typique d’infection dans une population où tout le monde est sensible ». Le R0 moyen pour la grippe serait de 1,28 (1,19-1,37) ; voir l’étude exhaustive de Biggerstaff et al. (2014).

En fait, Shaman et al. ont montré que le R0 doit être compris comme variant selon les saisons entre des valeurs d’été humide à peine supérieures à « 1 » et des valeurs d’hiver sec généralement aussi élevées que « 4 » (voir par exemple leur tableau 2). En d’autres termes, les maladies respiratoires virales infectieuses saisonnières qui sévissent chaque année sous les latitudes tempérées passent d’une contagiosité intrinsèquement légère à une contagiosité virulente, simplement en raison du mode de transmission biophysique contrôlé par l’humidité atmosphérique, indépendamment de toute autre considération.

Par conséquent, toute la modélisation mathématique épidémiologique des avantages des politiques médiatrices (telles que la distanciation sociale), qui suppose des valeurs de R0 indépendantes de l’humidité, a une grande probabilité d’être de peu de valeur, sur cette seule base. Pour des études sur la modélisation et sur les effets de la médiation sur le nombre effectif de reproduction, voir Coburn (2009) et Tracht (2010).

Pour faire simple, la « deuxième vague » d’une épidémie n’est pas une conséquence du péché humain concernant le port de masque et la poignée de main. Il s’agit plutôt d’une conséquence inévitable d’une forte augmentation de la contagiosité de la maladie, due à la sécheresse de l’air, dans une population qui n’a pas encore atteint l’immunité.

Si mon point de vue sur le mécanisme est correct (c’est-à-dire la « perte physique »), alors le travail du Shaman implique nécessairement que la haute transmissibilité due à la sécheresse (grand R0) provient de petites particules d’aérosol en suspension dans l’air ; par opposition aux grosses gouttelettes qui sont rapidement éliminées de l’air par gravité.

Ces petites particules d’aérosol en suspension dans l’air, d’origine biologique, sont de tout type et sont partout, y compris jusqu’à la taille d’un virion (Despres, 2012). Il n’est pas totalement improbable que des virus puissent ainsi être physiquement transportés sur des distances intercontinentales (par exemple, Hammond, 1989).

Plus précisément, il a été démontré que les concentrations de virus dans l’air intérieur (dans les garderies, les centres de santé et à bord des avions) existent principalement sous forme de particules d’aérosol de diamètre inférieur à 2,5 μm, comme dans les travaux de Yang et al. (2011) :

« La moitié des 16 échantillons étaient positifs, et leurs concentrations totales en virus variaient de 5800 à 37 000 copies du génome m-3. En moyenne, 64 % des copies du génome viral étaient associées à des particules fines de moins de 2,5 µm, qui peuvent rester en suspension pendant des heures. La modélisation des concentrations de virus à l’intérieur a suggéré une force de source de 1,6 ± 1,2 × 105 copies du génome m-3 air h-1 et un flux de dépôt sur les surfaces de 13 ± 7 copies du génome m-2 h-1 par mouvement brownien. Sur une heure, la dose d’inhalation a été estimée à 30 ± 18 dose infectieuse médiane en culture tissulaire (TCID50), suffisante pour induire l’infection. Ces résultats apportent un soutien quantitatif à l’idée que la voie aérosol pourrait être un mode important de transmission de la grippe« .

Ces petites particules (< 2,5 μm) font partie de la fluidité de l’air, ne sont pas soumises à la sédimentation gravitationnelle et ne seraient pas arrêtées par un impact inertiel à longue distance. Cela signifie que le moindre défaut d’ajustement facial (même momentané) d’un masque ou d’un respirateur rend la norme de filtration du masque ou du respirateur tout à fait inappropriée. En tout état de cause, le matériau de filtration lui-même de N95 (taille moyenne des pores ~0,3-0,5 μm) ne bloque pas la pénétration du virion, sans parler des masques chirurgicaux. Par exemple, voir Balazy et al. (2006).

Le manque d’efficacité du masque et l’inhalation par l’hôte ne représentent cependant que la moitié de l’équation, car il faut également tenir compte de la dose infectieuse minimale (DIM). Par exemple, si un grand nombre de particules chargées d’agents pathogènes doivent être délivrées au poumon dans un certain délai pour que la maladie s’installe, alors un blocage partiel par un masque ou un tissu peut suffire à faire une différence significative.

D’autre part, si la MID est largement dépassée par les virions transportés dans une seule particule d’aérosol capable d’échapper à la capture par le masque, alors le masque n’a aucune utilité pratique, ce qui est le cas.

Yezli et Otter (2011), dans leur examen de la MID, soulignent les caractéristiques pertinentes :

  • la plupart des virus respiratoires sont aussi infectieux chez l’homme que dans les cultures de tissus ayant une sensibilité optimale en laboratoire
  • on pense qu’un seul virion peut suffire à induire une maladie chez l’hôte
    la MID à 50 % de probabilité (« TCID50 ») se situe, de façon variable, entre 100 et 1000 virions
  • il y a généralement 103-107 virions par gouttelette de grippe aérolisée de diamètre 1 μm – 10 μm
  • la MID à 50 % de probabilité s’insère facilement dans une seule (une) gouttelette aérolisée

Pour en savoir plus :

  • Haas (1993) fournit une description classique de l’évaluation dose-réponse.
  • Zwart et al. (2009) ont fourni la première preuve en laboratoire, dans un système virus-insecte, que l’action d’un seul virion peut être suffisante pour provoquer une maladie.
  • Baccam et al. (2006) ont calculé, à partir de données empiriques, qu’avec la grippe A chez l’homme, « nous estimons qu’après un délai de ~6 h, les cellules infectées commencent à produire le virus de la grippe et continuent à le faire pendant ~5 h. La durée de vie moyenne des cellules infectées est de ~11 h, et la demi-vie du virus infectieux libre est de ~3 h. Nous avons calculé le nombre de reproduction de base [dans le corps], R0, qui indique qu’une seule cellule infectée peut produire ~22 nouvelles infections productives ».
  • Brooke et al. (2013) ont montré que, contrairement aux hypothèses de modélisation précédentes, bien que toutes les cellules infectées par le virus de la grippe A dans le corps humain ne produisent pas une progéniture infectieuse (virions), néanmoins, 90 % des cellules infectées sont significativement affectées, plutôt que de simplement survivre indemnes.

Tout cela pour dire que : si quelque chose passe (et c’est toujours le cas, quel que soit le masque), alors vous allez être infecté. Les masques ne peuvent pas fonctionner. Il n’est donc pas surprenant qu’aucune étude impartiale n’ait jamais trouvé un avantage au port d’un masque ou d’un respirateur dans cette application.

Par conséquent, les études qui montrent la capacité de barrière partielle des masques, ou qui montrent que les masques peuvent capturer de nombreuses grosses gouttelettes produites par un porteur de masque qui éternue ou tousse, à la lumière des caractéristiques du problème décrites ci-dessus, ne sont pas pertinentes. Voir, par exemple, des études de ce type : Leung (2020), Davies (2013), Lai (2012) et Sande (2008).

Pourquoi il ne peut jamais y avoir de test empirique d’une politique nationale de port de masque

Comme mentionné ci-dessus, il n’existe aucune étude qui montre un bénéfice d’une politique générale de port de masques en public. Il y a une bonne raison à cela. Il serait impossible d’obtenir des résultats sans ambiguïté et sans parti pris :

  • Tout avantage du port de masque devrait minime, non détecté dans des expériences contrôlées, qui serait noyé par les effets plus importants, notamment l’effet important du changement de l’humidité atmosphérique.
  • Les habitudes de conformité et d’ajustement des masques seraient inconnues.
  • Le port du masque est associé (corrélé) à plusieurs autres comportements de santé ; voir Wada (2012).
  • Les résultats ne seraient pas transférables, en raison des différences d’habitudes culturelles.
  • La conformité est obtenue par la peur, et les individus peuvent s’habituer à une propagande basée sur la peur, et peuvent répondre essentiellement de manière disparate.
  • Le contrôle et la mesure de la conformité sont pratiquement impossibles et sont sujets à de grandes erreurs.
  • – Il est notoire que les déclarations volontaires (comme dans les enquêtes) sont biaisées, car les individus ont la conviction intéressée, que leurs efforts sont utiles.
  • La progression de l’épidémie n’est pas vérifiée par des tests fiables sur de larges échantillons de population, et repose généralement sur des visites ou des admissions à l’hôpital non représentatives.
  • Plusieurs agents pathogènes différents (virus et souches de virus) provoquant des maladies respiratoires agissent généralement ensemble, dans la même population et/ou chez les individus, et ne sont pas résolus, tout en ayant des caractéristiques épidémiologiques différentes.

Aspects inconnus du port du masque

De nombreux préjudices potentiels peuvent découler des politiques publiques générales de port de masques, et les questions suivantes restent sans réponse :

  • Les masques utilisés et chargés deviennent-ils des sources de transmission accrue, pour le porteur et les autres ?
  • Les masques deviennent-ils des collecteurs et des réservoirs d’agents pathogènes que le porteur du masque éviterait autrement en respirant sans masque ?
  • Les grosses gouttelettes capturées par un masque sont-elles atomisées ou pulvérisées en composants respirables ? Les virions peuvent-ils s’échapper d’une gouttelette en évaporation collée à une fibre du masque ?
  • Quels sont les dangers de la croissance bactérienne sur un masque usagé et chargé ?
  • Comment les gouttelettes chargées d’agents pathogènes interagissent-elles avec les poussières et les aérosols de l’environnement capturés sur le masque ?
  • Quels sont les effets à long terme sur la santé des travailleurs de la santé, tels que les maux de tête, résultant d’une respiration entravée ?
  • Y a-t-il des conséquences sociales négatives pour une société masquée ?
  • Y a-t-il des conséquences psychologiques négatives au port d’un masque, en tant que modification comportementale basée sur la peur ?
  • Quelles sont les conséquences environnementales de la fabrication et de l’élimination des masques ?
  • Les masques perdent-ils des fibres ou des substances qui sont nocives lorsqu’elles sont inhalées ?

Conclusion

En formulant des recommandations et des politiques de port du masque à l’intention du grand public, ou en approuvant expressément cette pratique, les gouvernements ont à la fois ignoré les preuves scientifiques et fait le contraire de suivre le principe de précaution.

En l’absence de connaissances, les gouvernements ne devraient pas élaborer des politiques qui ont un potentiel hypothétique de causer des dommages. Le gouvernement a un obstacle à franchir avant d’entreprendre une vaste intervention d’ingénierie sociale ou de permettre aux entreprises d’exploiter des sentiments fondés sur la peur.

En outre, les individus doivent savoir qu’il n’y a aucun avantage connu à porter un masque dans une épidémie de maladie respiratoire virale, et que des études scientifiques ont montré que tout avantage doit être résiduellement faible, comparé à d’autres facteurs déterminants.

Sinon, quel est l’intérêt de la science financée par les pouvoirs publics ?

Le présent document sur les masques illustre la mesure dans laquelle les gouvernements, les médias grand public et les propagandistes institutionnels peuvent décider d’opérer dans un vide scientifique ou de ne sélectionner que des données scientifiques incomplètes qui servent leurs intérêts. Une telle insouciance est certainement aussi le cas avec l’actuel confinement mondial de plus d’un milliard de personnes, une expérience sans précédent dans l’histoire médicale et politique.


Bibliographie

• Baccam, P. et al. (2006) « Kinetics of Influenza A Virus Infection in Humans », Journal of Virology Jul 2006, 80 (15) 7590-7599; DOI: 10.1128/JVI.01623-05
• Balazy et al. (2006) « Do N95 respirators provide 95% protection level against airborne viruses, and how adequate are surgical masks? », American Journal of Infection Control, Volume 34, Issue 2, March 2006, Pages 51-57. doi:10.1016/j.ajic.2005.08.018
• Biggerstaff, M. et al. (2014) « Estimates of the reproduction number for seasonal, pandemic, and zoonotic influenza: a systematic review of the literature », BMC Infect Dis 14, 480 (2014).
• Brooke, C. B. et al. (2013) « Most Influenza A Virions Fail To Express at Least One Essential Viral Protein », Journal of Virology Feb 2013, 87 (6) 3155-3162; DOI: 10.1128/JVI.02284-12
• Coburn, B. J. et al. (2009) « Modeling influenza epidemics and pandemics: insights into the future of swine flu (H1N1) », BMC Med 7, 30.
• Davies, A. et al. (2013) « Testing the Efficacy of Homemade Masks: Would They Protect in an Influenza Pandemic? », Disaster Medicine and Public Health Preparedness, Available on CJO 2013 doi:10.1017/dmp.2013.43
• Despres, V. R. et al. (2012) « Primary biological aerosol particles in the atmosphere: a review », Tellus B: Chemical and Physical Meteorology, 64:1, 15598, DOI: 10.3402/tellusb.v64i0.15598
• Dowell, S. F. (2001) « Seasonal variation in host susceptibility and cycles of certain infectious diseases », Emerg Infect Dis. 2001;7(3):369-374. doi:10.3201/eid0703.010301
• Hammond, G. W. et al. (1989) « Impact of Atmospheric Dispersion and Transport of Viral Aerosols on the Epidemiology of Influenza », Reviews of Infectious Diseases, Volume 11, Issue 3, May 1989, Pages 494-497,
• Haas, C.N. et al. (1993) « Risk Assessment of Virus in Drinking Water », Risk Analysis, 13: 545-552. doi:10.1111/j.1539-6924.1993.tb00013.x
• HealthKnowlege-UK (2020) « Charter 1a – Epidemiology: Epidemic theory (effective & basic reproduction numbers, epidemic thresholds) & techniques for analysis of infectious disease data (construction & use of epidemic curves, generation numbers, exceptional reporting & identification of significant clusters) », HealthKnowledge.org.uk, accessed on 2020-04-10.
• Lai, A. C. K. et al. (2012) « Effectiveness of facemasks to reduce exposure hazards for airborne infections among general populations », J. R. Soc. Interface. 9938-948
• Leung, N.H.L. et al. (2020) « Respiratory virus shedding in exhaled breath and efficacy of face masks », Nature Medicine (2020).
• Lowen, A. C. et al. (2007) « Influenza Virus Transmission Is Dependent on Relative Humidity and Temperature », PLoS Pathog 3(10): e151.
• Paules, C. and Subbarao, S. (2017) « Influenza », Lancet, Seminar| Volume 390, ISSUE 10095, P697-708, August 12, 2017.
• Sande, van der, M. et al. (2008) « Professional and Home-Made Face Masks Reduce Exposure to Respiratory Infections among the General Population », PLoS ONE 3(7): e2618. doi:10.1371/journal.pone.0002618 Shaman, J. et al. (2010) « Absolute Humidity and the Seasonal Onset of Influenza in the Continental United States », PLoS Biol 8(2): e1000316. https://doi.org/10.1371/journal.pbio.1000316
• Tracht, S. M. et al. (2010) « Mathematical Modeling of the Effectiveness of Facemasks in Reducing the Spread of Novel Influenza A (H1N1) », PLoS ONE 5(2): e9018. doi:10.1371/journal.pone.0009018
• Viboud C. et al. (2010) « Preliminary Estimates of Mortality and Years of Life Lost Associated with the 2009 A/H1N1 Pandemic in the US and Comparison with Past Influenza Seasons », PLoS Curr. 2010; 2:RRN1153. Published 2010 Mar 20. doi:10.1371/currents.rrn1153
• Wada, K. et al. (2012) « Wearing face masks in public during the influenza season may reflect other positive hygiene practices in Japan », BMC Public Health 12, 1065 (2012).
• Yang, W. et al. (2011) « Concentrations and size distributions of airborne influenza A viruses measured indoors at a health centre, a day-care centre and on aeroplanes », Journal of the Royal Society, Interface. 2011 Aug;8(61):1176-1184. DOI: 10.1098/rsif.2010.0686.
• Yezli, S., Otter, J.A. (2011) « Minimum Infective Dose of the Major Human Respiratory and Enteric Viruses Transmitted Through Food and the Environment », Food Environ Virol 3, 1-30.
• Zwart, M. P. et al. (2009) « An experimental test of the independent action hypothesis in virus-insect pathosystems », Proc. R. Soc. B. 2762233-2242


À propos de l’auteur
Dennis Rancourt est titulaire d'un doctorat de l'Université de Toronto (1984) et a été professeur de physique à l'Université d'Ottawa.



Coronavirus : et si les masques faisaient plus de mal que de bien ?

[Source : Futura Santé]

Par Céline Deluzarche, Journaliste

Le masque est devenu dans le débat public l’élément central du déconfinement. Plusieurs études attestent de son efficacité contre la transmission du SARS-Cov-2. Pourtant, d’autres scientifiques dénoncent des conclusions biaisées et mettent en gardent contre la fausse sécurité conférée par le port du masque.

« Si vous êtes en bonne santé, vous ne devez utiliser un masque que si vous vous occupez d’une personne présumée infectée par le Covid-19 », indique clairement sur son site l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Autrement dit, le masque n’est pas recommandé pour l’ensemble du public. « Il n’existe aucune preuve que le port d’un masque par des personnes en bonne santé puisse empêcher d’être infecté par des virus respiratoires », insiste l’OMS.

Une position qu’a longtemps défendue le gouvernement, avant de faire une volte-face à 180° devant les arguments d’autres scientifiques, jusqu’à imposer le port du masque dans les transports obligatoires. Le 22 avril, l’Académie de médecine a appelé tous les Français à porter sans attendre un masque de protection grand public, même artisanal, dès qu’ils sortent de chez eux. « Veiller à ne pas contaminer les autres n’est pas facultatif, c’est une attitude citoyenne qui doit être rendue obligatoire dans l’espace public », a claironné l’Académie. « Le port de masque grand public par les porteurs asymptomatiques, lorsqu’il est bien utilisé et bien porté, réduit fortement la transmission du virus », confirme également le Haut Conseil de la santé publique (HCSP).

Tout d’abord il faut se rappeler que le masque n’est pas vraiment une protection pour vous, mais plutôt pour les autres. Pour que son efficacité soit bonne, il faut que les deux personnes qui se parlent en ait un. pic.twitter.com/sD5jn6GMuy— @AidonsRosny (@AidonsRosny) May 5, 2020

Les études contradictoires s’enchaînent

À la décharge du gouvernement, il faut dire que les étude contradictoires s’enchaînent. Le 12 avril, une étude sud-coréenne concluait à l’inefficacité des masques, y compris chirurgicaux dans la limitation de la transmission, en raison notamment de la taille des particules virales, capables de traverser les masques. Une nouvelle étude du groupe Delve (Data Evaluation and Learning for Viral Epidemics) de la Royal Society, basée sur de précédentes recherches, affirme de son côté que « l’adoption généralisée de masques faciaux peut aider à contrôler l’épidémie de Covid-19 en réduisant l’émission de gouttelettes dans l’environnement par les individus asymptomatiques. Cela confirme également les expériences des pays qui ont adopté cette stratégie », indiquent les auteurs — même si la plupart des masques portés en Asie visent la majorité du temps à se protéger de la pollution.

Aucune preuve solide de l’efficacité des masques

« ll n’y a aucune preuve solide que le masque peut réduire la transmission du virus dans la communauté », rejette Ben Killingley, consultant en médecine aiguë et en maladies infectieuses à l’hôpital University College de Londres, interrogé par le Guardian. « Les études sur les masques faciaux n’ont pas été menées pendant une pandémie ou dans le contexte d’un nouveau virus », met en garde le spécialiste. De plus, les tests sont menés en laboratoire, bien loin des conditions réelles de la vie de tous les jours.

La gêne occasionnée par le masque conduit les personnes à se toucher plus fréquemment le visage. © Africa Studio, Adobe Stock
La gêne occasionnée par le masque conduit les personnes à se toucher plus fréquemment le visage.
© Africa Studio, Adobe Stock

Or, selon plusieurs spécialistes, les inconvénients des masques l’emportent largement sur ses bénéfices. « L’utilisation de masques médicaux à grande échelle peut créer un faux sentiment de sécurité, et entraîner la négligence d’autres mesures essentielles, telles que l’hygiène des mains et la distanciation physique », remarque par exemple l’OMS.

En second lieu, la gêne occasionnée par le masque conduit les personnes à se toucher plus fréquemment le visage avec leurs mains potentiellement contaminées, ce qui accroît le risque d’attraper le virus. Sans compter les difficultés à respirer au travers de certains masques. De fait, on voit un grand nombre de personnes ayant réclamé des masques à cor et à cris porter les masques… sur le menton. « Je suis allergique au tissu », plaide par exemple Sophie, caissière à Strasbourg. Dernier souci : le masque doit en principe être lavé après chaque usage, ce qui est loin d’être le cas.

Le principe de précaution avant les preuves scientifiques ?

« Avant de mettre en œuvre des interventions publiques impliquant des milliards de personnes, il nous faut des essais contrôlés randomisés au niveau de la population ou au moins des études de suivi par observation avec des groupes de comparaison », conclut Antonio Lazzarino, du département d’épidémiologie et de santé publique de l’University College de Londres. Des précautions que n’a pas attendues le gouvernement pour commander 3 milliards de masques et pour étendre sa distribution aux supermarchés.




En séance publique, une femme dénonce le port du masque, la 5G, Bill Gates, les pédophiles…

[Source : Le Rifain]

https://youtu.be/YDhohRHVct0

[Extraits en anglais de The Hill :]

Une séance de commentaires publics du conseil des commissaires du comté de Palm Beach est devenue virale mercredi [24 juin] après que les résidents aient dénoncé les lois de masquage obligatoires (…).

Une participante, Sylvia Ball, a déclaré qu’elle était «très triste de voir les autorités piétiner nos droits constitutionnels» (…).

Une autre participante, Christina Gomez [dans la vidéo], a juré: «Nous nous réunirons et procéderons à une arrestation citoyenne sur chaque être humain qui va à l’encontre de la liberté de choix», ajoutant que les masques «tuent littéralement [des gens] … et chacun d’entre vous qui obéissent à la loi du diable vont être arrêtés pour crimes contre l’humanité. »




Masque et Covid-19 : la perspective d’un chercheur scientifique

[Source : Studio Théovox]

[Vidéo sur Facebook :]

https://www.facebook.com/studio.theovox.tv/videos/4696237033735338/

[Vidéo sur YouTube :]

https://youtu.be/aqIZbyZJRZE

De passage à Ottawa la semaine dernière, ThéoVox Actualités à eu l’honneur et le privilège d’échanger avec M. Denis Rancourt Scientifique et Chercheur qui nous a reçu à son domicile.

M. Denis Rancourt a été :

– Scientifique, chercheur et ancien professeur à l’université d’Ottawa
– Il a pratiqué plusieurs domaines de la science
– Il a été financé par une agence nationale
– Il a dirigé un laboratoire reconnu internationalement
– Il a publié plus de 100 articles dans des revues scientifiques importantes
– Il a publié plusieurs essais de commentaires sociaux

Il travaille aujourd’hui comme scientifique et chercheur à l’Association des libertés civiles de l’Ontario. Il est sans contredit un chercheur émérite ayant fait sa marque non seulement chez nous au Canada mais à travers le monde.

Ayant fait plusieurs recherches sur diverses controverses rattachées à la pandémie de la covid-19, il vient répondre aujourd’hui à nos questions notamment sur le port du masque, le confinement et la distanciation sociale.

Bonne écoute !

l’Équipe ThéoVox !


[Voir aussi :




Le masque des virologues

C’est ce que les virologues portent pour se protéger d’un virus.
Mais ne vous inquiétez pas … votre bandana fonctionne aussi.



Pétition contre le port du masque au Québec

Lancée le 13 juillet. Déjà plus de 39 000 signatures.

Lien vers la pétition : http://chng.it/jpypq5bTRt


Voir aussi :




Pétition contre le port du masque au Québec – Mise à jour

Lancée le 13 juillet. Elle avait recueilli plus de 55 000 signatures au matin du 15 juillet avant de mystérieusement disparaître.

Plusieurs explication sont envisageables devant un tel retrait :

  • Pressions ou menaces contre le site Change.org qui hébergeait la pétition;
  • Pressions ou menaces contre l’initiatrice de la pétition;
  • Moyen rapide de collecter le nom d’opposants au port du masque;
  • Moyen de récolter des adresses courriel;
  • Autre chose ?

Voir aussi :




Nouvelle pétition contre le port du masque au Québec

Lancée également le 13 juillet, elle a recueilli plus de 45 000 signatures au soir du 15 juillet.

Voici le lien : http://chng.it/kY7VJ67Bf2

Et en voici une capture d’écran :


Voir aussi :




Le masque comme symbole de soumission

Ils savent que le coronavirus [covid-19] est un canular. Il y a une raison de croire qu’ils peuvent vouloir seulement notre servilité.
Ils savent que le masque que nous sommes maintenant obligés de porter ne marche pas. La question est alors : pourquoi l’imposent-ils?
Jetons un coup d’œil à l’Histoire.
Masques contre le coronavirus :
Masques pour punitions :
Masques d’esclavage :

Pour les communistes, la servilité représente TOUT.
Nous sommes visiblement entraînés [à cette fin].

[Source : Mondialisation.ca vie Réseau International]

Nous savons que le port d’un masque en dehors des établissements de santé n’offre que peu, voire aucune protection contre les infections.

The New England Journal of Medicine, 21 mai 2020

Ils nous ont dit exactement ce qui allait arriver, et nous ont conseillé de nous taire et de suivre les ordres. Malheureusement, la plupart des gens ont fait exactement cela.

CJ Hopkins, 2020

Il est difficile d’imaginer une attaque plus cruelle contre la famille que la prévention insidieuse des contacts de personne à personne.

Ce qui équivaut à une assignation à résidence, plus le port forcé d’un masque, plus l’ordre de rester à distance des autres, a pour but déclaré de prévenir la contagion, mais comme l’a dit récemment le philosophe Giogio Agamben, « C’est une contagion politique, qu’on le comprenne ». Il a raison. La contagion qu’il faut contrôler n’est pas virale, mais politique. La triade des mandats officiels entrave la communication qui ne peut être contrôlée. En ligne, un discours et une stratégie politiques non autorisés peuvent être enregistrés pour le dossier de l’individu. Dans la rue, ce n’est pas le cas, du moins pas encore.

En 1933, Hitler a suspendu la Constitution de Weimar suite à l’incendie du Reichstag. Les droits des citoyens prévus par cette Constitution ont été abolis et n’ont jamais été rétablis.

Un drame similaire continue de se jouer aux États-Unis depuis l’attaque du 11 septembre, qui a donné lieu au Patriot Act (au titre ironique) qui bafoue la Constitution US, donnant ainsi libre cours aux services de renseignement de la nation de concert avec les géants des médias sociaux. Le tout premier amendement est nié en fonction de la définition que quelqu’un donne du « discours de haine » ou de « normes communautaires », des sites d’information et d’opinion étant « dégradés ». Le quatrième amendement est un mensonge caché dans le sens où on a planifié d’enregistrer tous les gestes des citoyens numériquement, et malheur aux personnes qui enfreignent les règles.

Le confinement n’a jamais vraiment été lié à une pandémie. Covid19 n’en était que le prétexte. Bill Gates lui-même a admis (dans un moment sans surveillance ?) que les précédents SRAS et MERS étaient plus « mortels » , c’est-à-dire plus meurtriers, que le virus Covid19. Pourtant ces virus sont arrivés et repartis sans  provoquer l’effondrement de l’économie. Mais il y a plus que l’économie, c’est la vie quotidienne telle que nous la vivons tous qui a été une des principales visées du confinement. Mettre fin au verrouillage demain ne suffirait pas à réparer les dommages déjà causés. Nous avons été psychologiquement éprouvés et il n’y a pas de solution en perspective. Des avertissements de « pics » et de nouvelles vagues nous sont communiqués quotidiennement. Oui, d’innombrables emplois et entreprises sont sont en train de disparaître, mais c’est l’impact psychologique dévastateur qui se répercute sur toute la société qui est indéniable. Les séquelles émotionnels et psychiques ne se résorberont pas de sitôt. Comme prévu, nous sommes désorientés et le serons pendant des décennies, alors que les « internationalistes conspirateurs », comme les appelle David Rockefeller, nous préparent à une vie correspondant à leur dessein mondialiste.

Les masques en tissu que l’on voit partout aujourd’hui sont devenus symboliques. Aussi utiles soient-ils pour arrêter les gouttelettes en suspension dans l’air, ils n’empêchent pas le passage des virus, comme le montre l’avertissement sur une boîte du type de masque que l’on voit couramment. Au mois de mars, l’expert préféré des médias, Anthony Fauci, a déclaré sans ambiguïté sur CBS 60 Minutes que : « Il n’y a aucune raison de se promener avec un masque ». Deux mois plus tard, alors que les demandes de confinement s’intensifiaient, il a changé d’avis et s’est prononcé en faveur du masque en tant que « symbole destiné à être vu par les gens ». Les articles de presse indiquant que les masques sont inefficaces, voire contre-productifs, parviennent rarement aux aux yeux du grand public, ou bien ils ont tout simplement disparu. Or, le masque est sans aucun doute un symbole – un symbole de soumission.

Vivre en toute liberté comporte un niveau de risque tout à fait normal. En plus des divers germes et parasites qui font partie de la nature, il y a les coups de foudre, les collisions de voitures, les chutes dans les escaliers et la proie éventuelle des criminels – principalement des représentants de nos gouvernements. Nous sommes impliqués dans une campagne de terreur fabriquée par un groupe de personnes puissant qui considère que la majorité de la société est un troupeau à contrôler. Ceux qui comprennent cela, mais qui portent néanmoins un masque simplement pour se conformer à ce qu’ils supposent être le choix de la majorité, se se laissent prendre à cette arnaque. Enlevez ce satané truc ! Respirez en toute liberté !

Bill Willers

Article original en anglais :

The Mask as a Symbol of Subjugation

Dissident Voice 3 juillet2020

Traduit par Maya pour Mondialisation.

Photo en vedette : Pikist.com

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Bill Willers est professeur émérite de biologie à l’université du Wisconsin à Oshkosh. Il est fondateur du Superior Wilderness Action Network et rédacteur en chef de Learning to Listen to the Land, et de Unmanaged Landscapes, tous deux publiés par Island Press. Il peut être contacté à l’adresse willers@uwosh.edu
Lire d’autres articles de Bill.

La source originale de cet article est Dissident Voice
Copyright © Bill WillersDissident Voice, 2020




Port du masque : une hystérie collective ?

[Source : Contrepoints]

Aujourd’hui, nous sommes face à une pression populaire extrêmement forte pour le port d’un masque, n’importe lequel. Et si on regardait la situation de façon rationnelle ?

Par Christophe de Brouwer.

Que l’on croie ou non dans les vertus d’un masque pour se protéger contre les virus et plus particulièrement le covid-19, n’empêche nullement d’avoir une réflexion sur son intérêt. Depuis le Lancet-gate, il devient difficile de faire confiance aux articles « scientifiques » de circonstance.

Il y a cependant une littérature, peu nombreuse, portant sur l’efficacité du masque d’avant la crise du Lancet. Apparemment, dire que les masques aux normes (les autres ?) protègent peut-être ou peut-être pas, pose un évident problème d’acceptation.

Pour nourrir cette réflexion, il suffit d’aller sur medline (la plus grande base de données scientifiques notamment pour le domaine de la santé) et de taper les mots clés suivant : mask/transmission/virus (ou influenza).

Vous trouverez systématiquement à peu près ceci : « Il y a peu de données pour montrer que l’utilisation de masques simples ou de masques-respirateurs (en dur, avec éventuellement une cartouche type N95 ou FFP2) prévient l’infection à venir. De nouvelles études sur les infections naturelles en milieu contrôlé ou d’études dans des établissements de soins ou communautaires sont nécessaires pour mieux définir l’efficacité des masques faciaux et des masques-respirateurs dans la prévention de la transmission du virus influenza (grippe classique). »

Par exemple cet article-ci, sous lequel on trouve d’autres articles de qualité disponibles d’avant la crise covid-19.

L’OMS

Jusque récemment, aucune étude réellement scientifique -il n’y en a pas beaucoup- n’a été concluante, dans un sens comme dans l’autre, quant au bénéfice du port d’un masque (de qualité, je ne parle pas des autres). Bref, on ne savait toujours pas. C’est pourquoi (et c’est vraiment pourquoi) l’OMS était très prudente dans ses conseils :

« Quand utiliser un masque ? Si vous êtes en bonne santé, vous ne devez utiliser un masque que si vous vous occupez d’une personne présumée infectée par le 2019 nCoV. Portez un masque si vous toussez ou éternuez. Le masque n’est efficace que s’il est associé à un lavage des mains fréquent avec une solution hydroalcoolique ou à l’eau et au savon. Si vous portez un masque, il est important que vous sachiez l’utiliser et l’éliminer correctement. »

Le 10 juin, l’OMS vient de changer ses recommandations. Elle se base sur un travail qu’elle a financé, paru dans le Lancet (!), le 1er juin, concernant les milieux de soins et communautaires (c’est-à-dire avec des masques ad-hoc agréés).

On ne comprend pas bien la méthodologie, puisque pour cette revue et méta-analyse, sur 20 013 études étudiées (?!) réalisés sur 6 continents, 19 834 sont exclues pour en retenir 179 en revue systématique et parmi celles-ci, 44 pour la méta-analyse.

Bien entendu nous ne sommes pas dans des études randomisées avec groupes témoins. Toute cette énorme masse de données aurait été traitée par « intelligence artificielle » (comme l’étude du Lancet-gate). Où allons-nous ?

Aujourd’hui, nous sommes face à une pression populaire extrêmement forte pour le port d’un masque, n’importe lequel. Serions-nous face à une « Mass Sociogenic Ilness » ou « Hystérie collective », ou par les temps qui courent « Hystérie épidémique » ?

Je m’explique :

1. L’épidémie de Covid-19 tire manifestement à sa fin. Le risque de contamination de personne à personne tend vers 0 (RO<1), tant le virus perd progressivement sa capacité à se transmettre.

Ceci est typique des grippes (terme générique) saisonnières et ce covid-19 apparaît d’évidence une épidémie saisonnière, même si la queue de l’épidémie peut durer et qu’il y ait ici et là des clusters.

Donc en soi, le port de masque perd de son utilité (un masque de qualité, bien porté aurait peut-être été utile durant la montée en puissance de l’épidémie, mais aujourd’hui ?)

2. Le risque de rebond de l’épidémie ne peut être évoqué raisonnablement. Aucune donnée épidémiologique, d’aucun pays, ne permet de relever cela, au contraire, toutes les courbes de mortalité liée à l’épidémie, en pays tempérés de l’hémisphère nord, vont dans le même sens : l’extinction de l’épidémie, même si cela semble prendre du temps comme aux USA.

Bien sûr, des journaux mainstream crient au risque majeur et tutti quanti, qu’on l’observe en Chine, aux USA ou ailleurs (sur base de cas dépistés qui sont d’abord liés à la politique suivie plutôt qu’à la réalité épidémique, et non sur base de la mortalité qui est une donnée plus neutre mais sensible à la qualité du traitement), dans le but -c’est mon interprétation-, de maintenir les populations sous pression.

Bref, nous ne sommes pas sortis des discours pour faire peur qui sont une des bases de l’hystérie épidémique. Ceci, me semble-t-il, arrange d’ailleurs bien certains experts, politiques ou même ces journalistes-lobbyistes de l’apocalypse, qui masquent ainsi leur faillite.

3. Les masques eux-mêmes sont souvent inadéquats et dangereux. Soit parce que le matériau utilisé pour les fabriquer n’est pas adapté (par exemple un masque en tissu de fabrication artisanale), soit parce qu’il est mal porté, ce qui est très courant.

Rappelons que le coronavirus est une nanoparticule et qu’il n’est pas arrêté par le maillage du masque, ni par l’impact, mais par agrégation. La nanoparticule se diffuse en effet par mouvement brownien, elle accompagne le flux d’air dans tous ses méandres sans en dévier, sinon pour s’agréger.

La toxicologie des nanoparticules fut initialement étudiée pour le virus de la poliomyélite qui est un virus d’assez petite taille (30-50 nanomètres). On voulait comprendre pourquoi ce virus atteignait si facilement le système nerveux central.

Cette toxicologie particulière fut redécouverte au début des années 2000 à l’occasion d’une « épidémie » de maladie de type Parkinson dont de jeunes soudeurs étaient atteints aux USA, à l’occasion de ces procès collectifs que l’on connaît là-bas et pas chez nous. En d’autres mots, comment le manganèse contenu dans les soudures atteignait le système nerveux central. Ayant travaillé pour une mine de manganèse en Afrique, j’ai vu des jeunes de 25 ans atteints de Parkinson avancé, c’est très impressionnant et très triste.

Tiens, connaissez-vous les premiers signes de la maladie Covid-19 ? Perte de goût et d’odorat… Pourquoi ?

Parce que, probablement, la voie de pénétration efficace du toxique (virus) n’est pas uniquement les poumons, mais le bulbe olfactif qui se trouve au plafond de la fosse nasale. Cette voie de pénétration mène directement et rapidement là où il ne faut pas.

Le coronavirus est un peu plus grand que celui de la polio, plus petit que celui de la variole. Dans ce cas-ci, de 100 à 150 nanomètres. Pour la pénétration dans les tissus, il a un comportement de type nanoparticule.

C’est pourquoi le problème du masque est tout à fait particulier.

D’ailleurs, en milieu de travail, pour se prémunir des virus, des masques de type FFP3 sont impératifs ; et non des FFP2 (N95) dont on fait l’achat massif : mais, opportunément, les recommandations ont changé (CDC) durant cette épidémie pour en conseiller l’usage, et pourquoi pas.

Il est possible que le port de masque de qualité, bien porté, puisse être utile. Cependant aucune étude scientifique (il n’y en a pas beaucoup) n’est concluante à ce sujet, sauf celle du Lancet du 1er juin dont je viens de faire l’« éloge » ci-dessus, dans un sens comme dans l’autre, lorsqu’il se montre capable d’arrêter les coronavirus qui sont des nanoparticules.

Ceci n’est évidemment pas le cas des masques en tissu qui deviennent d’ailleurs dangereux s’ils ne sont pas nettoyés extrêmement fréquemment : ils deviennent des nids à nanoparticules. En effet, ces masques de tissu se chargent d’humidité avec la respiration et se réchauffent.

Les postillons et autres gouttelettes se fondent dans l’humidité chaude, provoquant une tension de vapeur augmentée qui recueille forcément nombre de nanoparticules. Celles-ci suivront les mouvements d’inspiration et d’expiration, infectant le cas échéant le porteur du masque et son entourage.

Bref ces masques peuvent devenir des nids à virus dangereux d’autant que celui-ci survit plusieurs jours sur ces masques humides.

Quant aux masques chirurgicaux, ils sont capables de protéger partiellement, non pas celui qui le porte, mais le patient opéré. Ils arrêtent les nanoparticules à l’expiration dans une proportion d’environ 80 % et en laissent passer cependant environ 20 % : la première protection est la maîtrise des flux d’air dans une salle d’opération.

Ils doivent être changés régulièrement, la norme serait que leur utilisation n’excède pas une heure ; bien sûr, des marges de sécurité sont appliquées à ces normes.

Les masques en dur (masque-respirateur) avec capsule filtrante protègent l’individu qui le porte, surtout à l’inspiration. Cette protection n’est pas absolue. La capsule filtrante laisse passer entre 0,1 – 1 – 5 % des particules selon la qualité du masque : il existe une vraie différence entre un masque FFP2 et FFP3 : comme dit plus haut, c’est ce dernier qui est indiqué pour la protection professionnelle contre les virus ; soyons cependant de bon compte, le FFP2 (N95) arrête aussi des nanoparticules, mais un peu moins bien.

L’état de propreté est essentiel. Ici aussi, le portage ne devrait pas excéder une à deux heures, cependant, pour répondre à la crise, on accepte aujourd’hui des portages plus longs et leur réemploi après nettoyage (5 à 6 fois maximum). Donc, en tout état de cause, idéalement, cela ne se porte certainement pas en permanence, ni le même, jour après jour.

Il faut comprendre que pour les nanoparticules, le pouvoir d’arrêt des masques n’est pas lié à la finesse du maillage mais à des phénomènes d’agrégation/agglutination de la nanoparticule sur le maillage, car si le maillage était trop serré, on ne pourrait plus respirer. Lorsqu’il y a saturation, les capacités de filtration sont compromises.

Donc, résumons.

Les capacités d’arrêt d’un masque demi-visage sont liées :

  1. À son ajustement sur le visage : les fuites diminuent fortement l’efficacité du masque et peuvent rendre inopérante la capacité d’arrêt de nanoparticules qui suivent « exactement » le flux de l’air. Il n’y a quasi pas d’inertie à la particule : trop petite et donc aucun effet d’impact comme on peut en trouver pour des micro-particules, les bactéries par exemple.
  2. À la quantité filtrée et donc à l’activité de la personne qui le porte, puisque le pouvoir d’arrêt n’est pas total : activité physique intense ou activité au repos ? Dans le premier cas, non seulement la saturation sera vite atteinte mais le nombre de nanoparticules ayant réussi à traverser sera important, dans l’autre cas c’est l’inverse.
  3. La taille de la nanoparticule et malheureusement, de ce point de vue, le range 100-200 nm est celui qui pénètre le mieux à travers les filtres. Pas de chance.
  4. La quantité des nanoparticules présentes. Comme un masque laisse passer une certaine quantité de nanoparticule (0,1 – 1 – 5 – 20 % ou plus, selon la qualité, l’état du masque, les fuites, etc.), cela implique d’avoir un environnement sain. L’hygiène des locaux est un élément majeur : le facteur de protection lié à la dilution des particules est essentiel ; par exemple, se trouver dans de grandes pièces à air recyclé peut être catastrophique.
  5. Le temps d’exposition aux particules infectieuses est, sur base des mêmes observations, également essentiel.
  6. Les capacités de défense de l’organisme jouent un rôle clé, que ce soit au niveau des défenses passives et actives de la paroi de l’appareil respiratoire, ou des défenses internes de l’organisme lorsqu’une particule infectante a réussi à passer notamment à travers le bulbe olfactif. Les fumeurs sont plus à risque de ce point de vue, et c’est un exemple.

Bref, ne nous trompons pas : porter efficacement un masque n’est pas simple. De nombreux facteurs jouent un rôle dont la qualité intrinsèque du masque, la qualité du portage du masque, son renouvellement, etc.

Il n’y a pas d’improvisation à ce sujet. La bonne volonté naïve et la non-professionnalisation peuvent être dangereuses. L’urgence de ce point de vue est au niveau du personnel soignant et communautaire.

Au-delà de la polémique, je pense surtout qu’il est important que chacun se saisisse d’outils de réflexion et aille au-delà de la peur pour se forger sa propre opinion. Peu importe finalement qu’au sortir de cette réflexion, certains estiment bénéfique pour eux de porter un masque de tissu plus ou moins artisanal, d’autres non. Mais cela permettra au moins de se respecter les uns les autres.

Par Christophe de Brouwer





Programme caché derrière la vaccination contre la Covid-19 ?

[Source : MirastNews]

[NdNM : L’article suivant est présenté à titre d’hypothèse dont chacun pourra évaluer le degré de plausibilité et de probabilité. Il repose en grande partie sur la conception matérialiste que des éléments matériels, en l’occurrence des virus ou des manipulations génétiques, seraient capables d’influencer la spiritualité d’un être humain.]

MANDAT DE VACCIN CONTRE LA COVID-19: L’horrible programme caché

FUNVAX: Un complot mondialiste pour rendre obligatoire le vaccin COVID-19 révèle un complot satanique choquant

Les chemtrails sont utilisés depuis des années pour administrer à la fois des virus respiratoires et des vaccins en aérosol.

Voici la principale raison pour laquelle le NOM, la cabale mondialiste est résolue à mandater un programme de vaccination universel contre la COVID-19. Non, cela n’a rien à voir avec l’immunité induite par le vaccin présenté comme le seul moyen de contrôler cette maladie entièrement fabriquée ayant produit la pandémie et la panique par étapes déclenchée par leur nouveau coronavirus par bio-ingénierie interposée, qui a été disséminé furtivement dans les zones urbaines à forte intensité de 5G à travers le monde.

État de la nation

En 2005, une présentation hautement confidentielle a été donnée aux responsables du Ministère de la Défense (DoD) et aux militaires du Pentagone sur le programme top secret FunVax.

Une vidéo d’un court segment de ce briefing du Pentagone a été secrètement prise par un dénonciateur qui peut être trouvée ici: FUNVAXgate: Un projet du Pentagone pour neutraliser totalement le gène de Dieu (vidéo).

RÉSUMÉ

Il y a au moins 3 points à retenir essentiels de cette présentation extrêmement révélatrice et radioactive faite par un scientifique expérimenté en armes biologiques qui semblait être l’homme de référence pour le projet FunVax. Comme suit:

  • Le programme d’armes biologiques militaires des États-Unis d’Amérique a créé un vaccin spécialement formulé pour immuniser des individus et des populations ciblés contre l’expression du gène God, également connu sous le nom de transporteur de monoamine vésiculaire 2 (VMAT2). La suppression de VMAT2 a été un objectif principal des laboratoires d’armes biologiques des Etats-Unis d’Amérique pendant des décennies avec le but ostensible de neutraliser les terroristes qui agissent sur leur fanatisme religieux. Cependant, le véritable objectif est d’inoculer les gens du monde entier contre l’inclination vers des poursuites spirituelles et/ou des expériences mystiques (voir la capture d’écran ci-dessous). Certains initiés profonds ont même supposé que le véritable objectif du FunVax est de ralentir en permanence le développement de l’âme.
  • La forme la plus pratique qu’un programme de vaccination VMAT2 peut prendre à la lumière de la nécessité d’un secret extrême est un virus respiratoire, qui pourrait être secrètement libéré dans n’importe quelle ville, nation ou région du monde. Cela éliminerait le problème posé par les sociétés qui sont opposées aux vaccinations administrées par injection. Les cultures religieuses, en général, ont de plus en plus peur de la véritable intention des vaccins. De nombreuses personnes ont non seulement subi et/ou été témoins d’effets secondaires indésirables des vaccins, mais elles sont également sceptiques à juste titre quant à leur efficacité.
  • Le vaccin FunVax proposé serait aérosolisé d’une manière similaire à la pulvérisation systématique, étendue et aveugle de chemtrails sur la population sans méfiance ci-dessous. Parce que les forces armées des Etats-Unis d’Amérique ont nié à jamais l’existence des chemtrails, la plupart des citoyens ont été conditionnés à croire à tort qu’ils sont des traînées. De cette manière, les vaccins en aérosol peuvent être administrés furtivement aux citoyens de toute nation qui autorise illicitement des opérations de géo-ingénierie chimique.

~~~ Fin du SOMMAIRE EXÉCUTIF ~~~

* Pour une discussion approfondie du vaccin FunVax, ainsi que du gène VMAT2 également connu sous le nom de gène de Dieu, l’enquête détaillée suivante fournit de nombreux faits scientifiques qui confèrent un degré élevé de crédibilité à l’existence de ce programme militaire d’armes biologiques des Etats-Unis d’Amérique: Une enquête approfondie sur VMAT2 et le vaccin FunVax

POINT CLÉ : Le FunVax a été initialement conçu comme une stratégie militaire visant à neutraliser les terroristes dans tout le Moyen-Orient. Il a fallu 7 ans à l’armée des Etats-Unis d’Amérique (EUA) pour déployer cette arme biologique particulière qui s’est manifestée principalement en Arabie saoudite sous le nom de syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) de 2012 à 2020. La Corée du Sud, un autre pays avec une forte présence militaire des EUA qui subit un chemtrailing constant, a également subi une importante épidémie de MERS en 2015.

~ Le MERS n’est qu’un exemple de «vaccin en aérosol» délivré via des chemtrails qui ciblait spécifiquement la secte militante wahhabite de l’islam en Arabie saoudite de 2012 à 2020. Le réseau terroriste wahhabite a été créé par l’OTAN et les communautés militaires et de renseignement du Zio- L’Axe anglo-américain, tout comme ISIS, était dans le Nord Levant. ~

OPÉRATION COVID-19

Tout indique que la COVID-19 est une arme biologique FunVax qui a été délibérément libérée dans le monde entier via divers moyens de propagation afin de multiplier de manière exponentielle les vecteurs de diffusion du vaccin caché VMAT2.

Par conséquent, l’objectif principal de l’OPÉRATION COVID-19 est de réduire considérablement la religiosité dans toute la communauté mondiale des nations, en particulier dans les pays qui font partie intégrante de la formation d’un gouvernement totalitaire mondial. Ces nations sont principalement les puissances militaires occidentales de l’Axe Zio-Anglo-Américain qui sont membres à la fois de l’OTAN et du G20.

En fait, le programme du Nouvel Ordre Mondial ne peut pas être mis en œuvre avec succès dans les nations où les citoyens ont de fortes impulsions spirituelles et une pratique religieuse pieuse. La cabale mondialiste du NOM (Nouvel Ordre Mondial) aura une période encore plus difficile partout où il y a une tradition historique de mysticisme telle que l’Inde, ou un renouveau spirituel en cours comme expérimenté par les chrétiens pentecôtistes et évangéliques à travers l’Occident.

Par conséquent, la seule façon d’avancer pour la cabale mondialiste du Nouvel Ordre Mondial est d’activer pleinement leur «système d’armes quaternaires» qui a été conçu pour faciliter le processus de vaccination VMAT2. Voir: SYSTÈME D’ARME QUATERNAIRE activé avant chaque explosion de cluster de coronavirus

Ne laissant rien au hasard, les auteurs de l’OPÉRATION COVID-19 sont allés à fond avec chacun des quatre systèmes d’armes directement impliqués dans la vaccination de toute l’humanité. Les quatre principales méthodes d’immunisation contre le gène de Dieu en 2020 ont déjà été publiées dans cet exposé: Voici le système NOM (NWO en anglais) pour appliquer les vaccinations obligatoires.

(1) Arme biologique COVID-19

(2) Déploiements 5G et 4G existante

(3) Vaccins antigrippaux annuels

(4) Aérosols Chemtrail

Chacun de ces quatre systèmes d’armes biologiques est utilisé subrepticement pour administrer rapidement et de manière synergique un régime de vaccination VMAT2 mondial, entre autres objectifs malveillants.

Il est vrai que la vidéo ci-dessus ne parle que d’un vaccin VMAT2 en aérosol; cependant, c’était il y a 15 ans. La cabale du NOM (NWO) a considérablement accéléré son emploi du temps pour des raisons cruciales concernant les menaces existentielles auxquelles elle est maintenant confrontée et a depuis conçu la présente OPÉRATION COVID-19 en mettant leur schéma d’origine sur les super-stéroïdes.

En d’autres termes, le système d’arme quaternaire qui visait toute l’humanité a été déguisé en pandémie mondiale afin de couvrir toute la planète de l’arme biologique COVID-19 et de ses faux antidotes, qui servent tous deux efficacement de vaccinations VMAT2.

POINT CLÉ: Non seulement les calendriers annuels de vaccination antigrippale et de vaccination des enfants sont utilisés de manière astucieuse pour administrer le vaccin VMAT2, mais la principale raison d’un vaccin COVID-19 obligatoire est de s’assurer que chacun reçoit son certificat d’immunité génétique. Voir: FUNVAXgate: Bill Gates ‘Implantable Quantum Dot, Microneedle Vaccine Delivery System & Luciferase

Maximiser la couverture de la Terre pour que chaque habitant reçoive son jab FunVax est désormais le principal objectif mondialiste. De cette façon, la cabale du NOM est capable de mener à bien le COVID-1984 beaucoup plus complexe et alambiqué, qu’elle doit faire après la hâte si les pouvoirs en place (TPTB) veulent échapper à la colère du Peuple We.

Par conséquent, l’OPÉRATION COVID-19 n’est que le premier coup de poing dans une stratégie à un coup de poing contre l’humanité afin que TPTB établisse un Superstate de la sécurité mondiale; COVID-1984 représente le deuxième coup de poing.

«Tout comme l’opération de faux drapeau du 11 septembre parrainée par l’État a été utilisée pour créer l’État de sécurité nationale des Etats-Unis d’Amérique (EUA), COVID-1984 est en cours pour imposer un Superstate mondial de la sécurité sur l’ensemble de la civilisation planétaire en tant que précurseur d’un gouvernement mondial unique.

Chaque mouvement fait par la cabale mondialiste du Nouvel Ordre Mondial pendant l’exécution de cette pandémie par étapes et psyop mondiale a été planifié longtemps à l’avance. C’est parce que COVID-1984 représente le point culminant de 100 ans de guerre biologique contre la race humaine. Ce n’est pas seulement une arme biologique de dépeuplement comme l’était la grippe espagnole de 1918. Regardez chaque tour et tour de cette Opération classique Problème ~ Réaction ~ Solution, d’autant plus qu’elle est faussement rapporté par le Mockingbird Media de la CIA. Horloge chaque Résultat du NOM, grand et petit, car chaque pièce s’adapte parfaitement dans le puzzle COVID-1984 pré-planifié. C’est pourquoi cela a été mémorisé le « Plandemic »… ainsi que « THE GREAT SCAMDEMIC ».

– Analyste du renseignement et ancien officier de l’armée des Etats-Unis d’Amérique

(Source: COVID-1984: « A Global 9/11 » to Inaugurate a Global Security Superstate)

Cartel bancaire international et syndicat du crime

Les ramifications profondes du programme d’armes biologiques FunVax du Pentagone sont aussi vastes qu’elles sont très importantes pour la race humaine.

Si le peuple des Etats-Unis d’Amérique (EUA) prenait conscience de ce stratagème répugnant pour étouffer la poursuite spirituelle et le zèle religieux dans tout le corps politique, le ministère de la Défense serait dissous dans un flash DC avant de trembler pour de bon. Les gens des 50 États cesseraient immédiatement de payer leurs impôts avant d’envisager sérieusement une démolition contrôlée du Pentagone.

Mais comment est-ce vraiment arrivé?

Un complot criminel de plusieurs décennies est en cours pour effondrer la République des Etats-Unis d’Amérique qui a véritablement commencé au début du XXe siècle. À cette époque, le Département de la guerre des États-Unis d’Amérique, maintenant appelé Département de la Défense, a été complètement repris avec la Federal Reserve Act de 1913. À partir de ce moment, chaque événement cataclysmique mondial a été méticuleusement planifié, coordonné, exécuté et couvert par la même tribu génocidaire qui possède et exploite l’International Banking Cartel & Crime Syndicate (IBCCS).

Le génocide arménien, la Première Guerre mondiale, la Révolution bolchevique, le Génocide de la grippe espagnole, la Grande Dépression, la Seconde Guerre mondiale, l’Holocauste, les attaques terroristes du 11 septembre, la guerre contre le terrorisme, et pandémie COVID-19 tous ont une chose en commun. Ils ont tous été financés par le Cartel bancaire international et syndicat du crime.

(Source: PANDÉMIE DE CORONAVIRUS ÉTAGÉ: Une conspiration criminelle internationale de proportions épiques)

Il a fallu un financement massif et une myriade de personnel travaillant assidûment pendant plus d’un siècle pour lancer à la fois les OPÉRATIONS COVID-19 et COVID-1984. Payer pour ce financement de la recherche et couvrir des décennies de salaires gouvernementaux n’étaient possible que grâce à la Réserve fédérale, qui était une création de l’International Banking Cartel & Crime Syndicate.

* NOTE DE RÉSERVE FÉDÉRALE: monnaie Fiat + banque de réserve fractionnaire = argent drôle

C’est ainsi que l’IBCCS a pu coopter et contrôler des agences clés au sein du gouvernement fédéral des EUA, qui étaient toutes nécessaires pour exécuter les nombreuses opérations noires et les dissimulations menant à la première opération COVID-19, puis COVID-1984. Le vol sans fin et la chicane financière supervisés par la Réserve fédérale est également la façon dont les mondialistes ont mis en place et financé le désormais célèbre État profond. Aussi connus sous le nom de Senior Executive Service, ces traîtres à la République des EUA doivent être immédiatement arrêtés et poursuivis dans toute la mesure de la loi… AVANT QU’ILS SOIENT ACCROCHÉS EN DIRECT SUR INTERNET! ! !

Bien sûr, les médias grand public sont également pleins de traîtres, tout comme la C.I.A., le FBI, le DoJ, la NSA, le DHS et le Département d’État sont dotés de tant de subversifs. Les traîtres de l’État profond peuplent également les CDC, HHS, NIH, FDA et Big Pharma. En fait, il y a maintenant plus d’éléments séditieux dans tout l’État profond qu’il n’y a de patriotes et de nationalistes. Les mondialistes ont littéralement repris le verrou, le stock et le baril du gouvernement des Etats-Unis d’Amérique (EUA). C’est précisément pourquoi ils ont lancé une bio-attaque aussi désespérée et imprudente, effrontée et insensée contre toute la civilisation planétaire pour effacer définitivement le gène de Dieu.

Traîtres et couvertures

Qui sont-ils exactement?

Qui sont les membres de l’élite au pouvoir qui commettent cette série de crimes odieux contre l’humanité connus sous le nom d’opération COVID-19 et COVID-1984?

  • William Henry Gates III
  • George Soros
  • Henry Kissinger
  • Barack Hussein Obama
  • Hillary Rodham Clinton
  • Joe Biden
  • Nancy Pelosi
  • Lindsey Graham
  • Chuck Schumer
  • Adam Schiff
  • Tom Cotton
  • Dianne Feinstein
  • Maxine Waters
  • Eric Swalwell
  • James Comey
  • Robert Mueller
  • Rod Rosenstein
  • George W. Bush
  • Dick Cheney
  • Anthony Fauci
  • Deborah Birx
  • Robert Redfield
  • Gavin Newsom
  • Andrew Cuomo
  • Elon Musk
  • Eric Schmidt
  • Tim Cook
  • Larry Page
  • Sergey Brin
  • Mark Zuckerberg
  • Jack Dorsey
  • Sundar Pichai
  • Ajit Pai
  • Satya Nadella
  • Jeff Zucker
  • Wolf Blitzer
  • Anderson Cooper
  • Jim Acosta
  • Chuck Todd
  • Jake Tapper
  • Chris Cuomo
  • Rachel Maddow
  • Don Lemon
  • Andrea Mitchell
  • Brian Stelter
  • Alisyn Camerota
  • Erin Burnett

Parmi d’innombrables autres acteurs de crise OPERATION COVID-19, ainsi que les co-conspirateurs criminels de COVID-1984

Tous ces mauvais acteurs ont une chose en commun: ils n’ont AUCUNE CONSCIENCE. Ce qui signifie probablement qu’ils ont déjà reçu leur FunVax. Voyez comment ils ont cyniquement mémorisé le FunVax, comme si c’était tellement amusant de calmer secrètement la nature religieuse d’une victime et son désir inné de rechercher des vérités spirituelles.

Conclusion

Il est primordial de comprendre correctement la véritable complexité du système de distribution FunVax. Cela représente le point culminant de plusieurs décennies de guerre biologique clandestine menée contre l’humanité. Cependant, maintenant que la pandémie de coronavirus a révélé ce complot néfaste, les malfaiteurs ont involontairement laissé le chat sortir du sac POUR TOUT TEMPS.

Le système d’arme biologique FunVax utilise au moins 4 modalités différentes. Les auteurs (i) utilisent des chemtrails pour pulvériser des virus de la grippe et des vaccins aérosols, (ii) administrent des programmes de vaccin antigrippal pour adultes et des calendriers de vaccination infantile, (iii) libèrent plusieurs variantes de l’arme biologique COVID-19 dans les hôpitaux, les maisons de retraite médicalisées, la vie assistée (et sur les navires de croisière lorsqu’ils étaient en service), et (iv) en utilisant les déploiements intensifs de la 5G pour affaiblir le système immunitaire et amplifier les fréquences électromagnétiques et les transmissions micro-ondes qui facilitent le processus de vaccination clandestine FunVax. En outre, les perps ont prévu un cinquième volet dans lequel ils (v) formulent un vaccin COVID-19 obligatoire qui garantira que chaque individu reçoive la «vaccination» VMAT2 qui sera appliquée via un certificat d’immunité. (Ils ont essentiellement utilisé nos impôts volés pour payer notre futur FunVax obligatoire.)

Par conséquent, nous vivons tous et/ou assistons tous à une vague de crime aux proportions vraiment épiques qui déferle sur la planète Terre, encore et encore et encore. Cette série d’attaques bioterroristes en cours fait partie de la conspiration criminelle internationale connue sous le nom d’opération COVID-19 qui est la condition préalable du NOM (NWO) à la mise en œuvre mondiale de COVID-1984.

Peut-être que la meilleure façon de mettre fin à cette véritable «conspiration satanique choquante» est de l’exposer et de la divulguer comme s’il n’y avait pas de lendemain……… parce que si les chercheurs de vérité ne font pas cela, il n’y aura pas de lendemain! De toute urgence, les vrais perps tout en haut de la chaîne alimentaire reptilienne doivent être exposés comme jamais auparavant. Voir: La MAFIA KHAZARIENNE: Vous ne savez pas, ce que vous ne savez pas!

En bout de ligne: rien ne change tant que ceux qui gouvernent secrètement les États-Unis d’Amérique ne sont pas poursuivis pour le 11 septembre, JFK, OK City, 5G, Chemtrails, vaccins, OGM, glyphosate, fluorure, SMART Meters, COVID-19….

CAVEAT: Les mondialistes du NOM sont absolument déterminés à vacciner les quelque 7,8 milliards d’habitants de la planète Terre d’ici la fin de l’OPÉRATION COVID-19. C’est pourquoi ils utilisent tant de techniques et de technologies pour administrer le vaccin VMAT2; ils ne veulent pas d’un seul être humain vivant avec son gène divin intact et pleinement opérationnel. Par conséquent, il est impératif que tout le monde lise et publie cet excellent conseil du Coronavirus Coach afin de prévenir sa vaccination FunVax: voici comment tout le monde peut éviter d’attraper le coronavirus

#FunVax

État de la nation

6 mai 2020

Note de l’éditeur

Le FunVax a en fait été prédit il y a plus de 100 ans par l’un des plus grands prophètes de l’ère moderne, le scientifique hors pair et fondateur de la biodynamie et de l’anthroposophie, Rudolph Steiner. Voir: Il y a plus de 100 ans, Rudolf Steiner a mis en garde contre un complot diabolique visant à vacciner toute l’humanité.

Plan d’action

La seule façon d’aller de l’avant est que nous, le peuple, reprenions notre gouvernement des voleurs et des assassins qui l’ont volé. Ils ont violé, pillé et dépouillé le monde entier avec nos impôts et l’ont fait en notre nom. Il faut l’arrêter – HIER! Veuillez noter que la raison même pour laquelle la guerre biologique COVID-19 est menée contre les États-Unis d’Amérique est qu’ils savent que nous sommes sur eux…. et que nous venons pour chacun d’entre eux. Voici deux des criminels de carrière internationaux les plus incorrigibles qui doivent être traités le plus tôt possible.

Ennemi public n° 1: BILL GATES: une menace pour la société qui doit être arrêté et poursuivi pour des crimes contre l’humanité

Ennemi public n° 2: George Soros doit être arrêté, poursuivi et emprisonné pour empêcher la guerre civile

COVID-19 VACCINE MANDATE: The Horrifying Hidden Agenda

Traduction : MIRASTNEWS

Source : TAPE NEWS




Rapport d’enquête d’un groupe d’officiers de réserve sur la pandémie de COVID-19 et ses liens avec le SARS-CoV-2 et d’autres facteurs

[Source : Guy Boulianne]

Un de mes lecteurs m’a transmis un document intitulé : « Rapport d’enquête d’un groupe d’officiers de réserve sur la pandémie de COVID-19 et ses liens avec le SARS-CoV-2 et d’autres facteurs » en date du 13 mai 2020. Je me permet donc de le partager avec vous. Il s’agit d’un document de synthèse pédagogique et d’information à usage interne et à diffusion restreinte.

Association Professionnelle Gendarmerie (logo)

En effet, des cadres de réserve en France ont enquêté pendant 50 jours pour clarifier les problématiques liées à la « pandémie » de 2020. Le Rapport rendu a été interdit de diffusion pour l’instant. Toutefois, devant l’urgence et la gravité des faits, ils ont choisi de le communiquer tout de même à la société civile. Nous avons donc entre les mains la version « grand public » expurgée des références au Groupe et des sigles de l’Unité.

Le groupe d’enquête met en garde contre une désinformation qui semble entourer ce dossier, sur lequel beaucoup d’avis sont divergents — notamment entre les « autorités » et les praticiens de terrain.

Toutefois, les éléments semblant former consensus ont été relevés et synthétisés, afin de constituer une bibliothèque de connaissances de nature à aider le lecteur à renforcer son système immunitaire et son hygiène de vie, face à un virus qui n’a rien d’ordinaire. Une évidence cependant : ce virus, s’il existe, n’a rien de naturel ni d’accidentel.

Le groupe d’enquête a relevé des incohérences qui ont débouché sur la mise en évidence d’une corruption manifeste et d’intentions contraires au bien public, culminant avec des intentions criminelles et génocidaires, et la mise en place d’un état totalitaire, qui sont rapportées dans les conclusions.

Que soit ici remercié le groupe d’enquête, composée de cadres de réserve qui, durant cinquante jours, ont enquêté sans relâche pour y voir plus clair dans la « pandémie de Covid-19 » et ont livré leurs conclusions – toutes recoupées et sourcées -. L’analyse livrée est parfois très éloignées de la thèse officielle. Il a fallu aux enquêteurs faire un choix – à la fois difficile et courageux – entre la servilité d’une posture conventionnelle et sans risques, se bornant au discours officiel, et la loyauté due à des populations civiles touchées au cœur et souvent désinformées par certaines institutions qui se sont avéré inféodées à l’Ordre Marchand. Cette fois encore, les réservistes seront aux côtés de la Nation.

Ligne 01

MISE À JOUR (27 août 2020) : Madame Claire Edwards m’a personnellement écrit : « Cher Guy. Je viens de finir la traduction en anglais du rapport fait par des officiers français. Si vous voulez poster le document sur votre site, je serais reconnaissante. » Vous pouvez donc télécharger ce rapport, traduit en anglais sous le titre « Investigative Report on the Covid-19 pandemic and its relationship tu Sars-Cov-2 and Other Factors ». Claire Edwards, BA Hons, MA, a travaillé pour les Nations Unies en tant que rédactrice et formatrice en écriture interculturelle de 1999 à 2017. Depuis mai 2018, elle collabore avec Arthur Firstenberg pour la publication de l’Appel international pour arrêter la 5G sur Terre et dans l’espace (www.5gspaceappeal.org). Claire a mis en garde le Secrétaire général des Nations Unies contre les dangers de la 5G lors d’une réunion avec le personnel des Nations Unies en mai 2018, appelant à une cessation de son déploiement dans les lieux d’affectation des Nations Unies.


«Le “virus” sur lequel nous avons enquêté ne serait dans les faits qu’une partie d’une vaste opération combinant armes biologiques et armes à radiations, soutenue par une opération d’enfumage et de diversion, orchestrée par une OMS notoirement corrompue ayant contribué à jeter la confusion dans les rangs des soignants, et dont les indications et les recommandations se situent factuellement à l’exact opposé des observations et des préconisations des urgentistes de terrain.»

— Groupe d’enquête (officiers de réserve en France)

Rapport complet disponible ici :

ou sur le blogue :

RAPPORT_D_ENQUETE_mise_a_jour_13_mai.pdf


[Source : Fulford]

Conclusions tirées du rapport
  • Des incohérences évidentes et des lacunes inexplicables invalident la théorie officielle
  • La gestion de la « crise » sanitaire semble n’avoir servi que de prétexte à une mainmise totalitaire généralisée
  • Des machinations totalitaires : intention d’imposer une cryptomonnaie mondiale, un vaccin avec des nanopuces et une puce électronique sous-cutanée
  • Il règne une énorme corruption au sein de l’OMS et ses intentions sont inavouables
  • La 5G est impliquée dans le Covid-19, avec des radiations électromagnétiques d’un potentiel élevé :
  • Le pouvoir pathogène du virus, ou de la bactérie Prevotella qui a causé le choc cytokinique
  • La similarité entre les dégâts pulmonaires observés par tous les médecins urgentistes et les dommages causés par l’usage d’une arme électromagnétique (plus des migraines permanentes, de l’épuisement, des sensations de brûlure dans les poumons et une perte de sensations olfactives et gustatives, également cités comme symptômes du COVID-19)
  • De nombreuses antennes ont été installées en profitant du confinement, sans tenir compte du « principe de précaution », malgré les dangers mis en évidence par ailleurs, en particulier pour entraver des traitements médicaux
  • Le « Covid-19 » est une guerre biologique et électromagnétique soutenue par une énorme opération de faux-semblants destinée à semer la confusion dans les rangs du personnel médical et hospitalier
  • Le « Covid-19 » pourrait servir de préparation à une opération à plus grande échelle combinée à une diversion pour dissimuler des tests à grande échelle d’armes 5G à des fins criminelles qui restent à élucider
  • Des installations 5G, à la fois terrestres et aériennes (les satellites en orbite basse du projet StarLink d’Elon Musk), font évidemment partie de ce projet de « guerre totale »
  • Le Dr. Jeremy K. Raines, un ingénieur qui fait autorité en matière de champs électromagnétiques, rapporte que les signaux sont utilisés par le corps humain pour réguler ses processus, et prévient que des signaux électromagnétiques externes peuvent sérieusement interférer avec ces processus.
  • Aucune enquête n’a été menée sur la réaction de la Terre à l’utilisation massive de technologie 5G malgré le fait qu’il a été établi que les activités industrielles (activités minières, extraction de pétrole ou de gaz naturel, géothermie) peuvent provoquer des séismes
  • Des séismes inhabituels ont eu lieu en France et des municipalités ont été déclarées en état d’urgence



Policiers (et médecins) pour la liberté, en Espagne

[Source : Profession Gendarmes]

POLICIERS POUR LA LIBERTÉ (ou MÉDECINS ET POLICIERS) – Activez les sous-titres FR

Après le discours d’un policier Allemand, voici qu’une collègue policière Espagnole s’adresse à l’ensemble des policiers et Forces de l’ordre.

Cette vidéo est sous-titrée en français et ce discours s’adresse aussi aux policiers français.

Je vous invite à la regarder jusqu’à la fin…

Vous ne vous y attendiez pas et moi non plus. Les policiers espagnols qui refusent d’appliquer bêtement les ordres d’un gouvernement vendu aux intérêts des mondialistes totalitaires, s’organisent entre eux et rejoignent les efforts des médecins espagnols honnêtes qui ont créé l’association « Médecins pour la Vérité », sous l’impulsion de la Dr Natalia Prego Cancelo. Voici alors le speech d’une courageuse policière, Soina Vesvucci, qui présente l’initiative « Policiers pour la liberté » ainsi que des témoignages saisissants de deux de ses collègues.

Lien d’origine: https://www.youtube.com/watch?v=-i2-q… 

Chaîne YouTube de la Dre Natalia Prego Cancelo

Source : Youtube




La théorie des exosomes contre celle des virus

Avec sous-titres en français (17 mn) :

Original anglais de la seconde partie de la vidéo ci-dessus (8 mn) :

https://youtu.be/GjVwtNjEANQ

Voir aussi :




Enquête Choc — Les vaccins ont-ils vraiment sauvé l’humanité ?

[Source : Sott.net]

[Auteur :] J.B. Handley – jbhandleyblog

Depuis 1900, les taux de mortalité ont connu une baisse spectaculaire de 74 pour cent dans les pays développés, en grande partie grâce à une nette diminution des décès dus aux maladies infectieuses. Quelle part de cette baisse est due aux vaccins ? L’histoire et les données fournissent des réponses claires qui comptent beaucoup dans le débat actuel sur les vaccins, car la course pour trouver celui contre le Covid-19 nous pousse vers un vaccin qui pourrait être obligatoire pour tous [sans omettre les horreurs qu’il(s) pourrai(en)t contenir – NdT].

Depuis 1900, le taux de mortalité en Amérique et dans les autres pays du vieux monde a diminué d’environ 74 pour cent, ce qui a entraîné une amélioration spectaculaire de la qualité et de l’espérance de vie des Américains [et des occidentaux en général – NdT].

La question est simple : « Comment cela s’est il produit ? »

Pourquoi le taux de mortalité a-t-il diminué si rapidement ? Si vous écoutez les partisans de vaccins, la réponse est simple : les vaccins nous ont sauvés. Ce qui est fou dans ce récit, c’est la facilité avec laquelle on peut le réfuter par des données cachées à la vue de tous. Mais qu’il persiste en dépit des preuves qui attestent le contraire nous en dit long sur le monde dans lequel nous vivons et j’espère qu’il encouragera les parents à reconsidérer la véracité de bon nombre des récits qu’on leur a livrés sur les vaccins et à faire leurs propres recherches.

1970, Dr. Edward H. Kass

Le 19 octobre 1970, le Dr Edward H. Kass, de Harvard, a prononcé devant ses condisciples un discours lors de la réunion annuelle de la Infectious Diseases Society of America [la Société américaine des maladies infectieuses est une association médicale représentant des médecins, des scientifiques et d’autres professionnels de la santé spécialisés dans les maladies infectieuses, association que le Dr Edward H. Kass a cofondé en 1963 – NdT], association qui l’amènerait probablement à quitter cette même profession aujourd’hui [s’il était encore vivant ; il est décédé en 1990 à l’âge de 72 ans d’un cancer des poumons – NdT].

À l’époque, le Dr Kass était en fait le président de l’organisation, ce qui rendait encore plus choquants ses propos sur les vaccins et leur impact sur la réduction des taux de mortalité américains, du moins selon les normes actuelles. Quarante-huit ans après le discours du Dr Kass, les vaccins ont acquis un statut mythologique aux quatre coins de la planète sous l’impulsion des personnes qui profitent le plus de leur utilisation. Bien sûr, les vaccins ont sauvé le monde. Bien sûr, chaque enfant devrait recevoir tous les vaccins. Si vous ne vous faites pas vacciner, vous permettrez le retour de maladies infantiles mortelles. Si vous ne le vaccinez pas, votre enfant mourra. Si vous remettez les vaccins en question, ne serait-ce qu’un peu, vous êtes donc « anti-vaccin » et vous ne méritez que mépris et ostracisme !

Note du traducteur : Originaire du Bronx, le Dr Kass a obtenu une licence et une maîtrise à l’université du Kentucky, un doctorat à l’université du Wisconsin et un doctorat en médecine à l’université de Californie. Il a rejoint la faculté de Harvard et le personnel de l’hôpital de la ville de Boston en 1947 pour se consacrer à la recherche sur les maladies infectieuses. Il est devenu professeur à Harvard en 1969 et médecin-chef à l’hôpital de Brigham en 1977. Il fut aussi membre du Collège royal de médecine de Londres, de l’Académie américaine des arts et des sciences et de l’Institut américain de médecine, dont le nouveau nom est l’Académie nationale de médecine.

Et si la plus grande partie de l’histoire sur le rôle des vaccins dans le déclin de la mortalité n’était même pas vraie ?

© Inconnu

Dans son célèbre discours, le Dr Kass a interpellé ses condisciples infectiologues, en les mettant en garde contre le risque de se focaliser sur des aspects erronés s’ils tiraient de fausses conclusions quant aux raisons pour lesquelles les taux de mortalité avaient à ce point décliné. Comme il l’a expliqué :

[…] nous avions accepté quelques demi-vérités et avions cessé de chercher les vérités complètes. Les principales demi-vérités étaient que la recherche médicale avait éradiqué les grands fléaux du passé — tuberculose, diphtérie, pneumonie, septicémie puerpérale, etc. — et que la recherche médicale et notre système supérieur de soins médicaux étaient des facteurs majeurs d’allongement de l’espérance de vie, offrant ainsi au peuple américain le plus haut niveau de santé disponible dans le monde. Nous savons que ce sont des demi-vérités, mais sans doute pas suffisamment.

Le Dr Kass a ensuite partagé avec ses condisciples quelques graphiques révélateurs. J’essaie d’imaginer un président de l’Infectious Diseases Society of America partageant l’un de ces graphiques aujourd’hui lors d’une réunion de responsables de la santé publique. J’imagine qu’une personne couperait l’électricité de la salle où il fait sa présentation avant qu’une autre ne le maîtrise et le fasse sortir manu militari… voici le premier des graphiques que le Dr Kass a partagé ce jour-là :

© Kass
Taux annuel moyen en millions de la mortalité due à la rougeole chez les enfants de moins de 15 ans, en Angleterre et au Pays de Galles.

Toutefois, ce graphique du Dr Kass n’inclut même pas le vaccin contre la rougeole… Pourquoi ? En fait, en 1970, le vaccin contre la rougeole commençait tout juste à être administré, et comme vous pouvez clairement le voir, la mortalité dû à la rougeole avait depuis longtemps connu une baisse spectaculaire. Pour la coqueluche, il a produit un tableau similaire :

© Kass
Taux annuel moyen en millions de la mortalité due à la coqueluche chez les enfants de moins de 15 ans en Angleterre et au Pays de Galles.

[La Bordetella Pertussis est l’agent de la coqueluche qui fut isolée en 1906 – Les tests du premier vaccin contre la coqueluche ont duré plus de trois ans (de mars 1934 à novembre 1937), avec 5 815 enfants inscrits – NdT]Dans le graphique ci-dessus, la date à laquelle le vaccin contre la coqueluche a été lancé est indiquée. Le Dr Kass a également présenté un graphique concernant la scarlatine, ce qui renforce la confusion sur le rôle effectif des vaccins, pour la simple raison qu’un vaccin contre la scarlatine n’a jamais existé. Et pourtant, le graphique suivant qui présente un formidable déclin de la mortalité dû à la scarlatine ressemble beaucoup à celui de la rougeole et de la coqueluche :

© Kass
Taux annuel moyen en millions de la mortalité due à la scarlatine chez les enfants de moins de 15 ans en Angleterre et au Pays de Galles.

[Le streptocoque de la scarlatine a été découvert en 1884, la pénicilline a été prescrite à partir de 1945 et ce qui constituera la base de l’antibiothérapie à base de sulfamidés a été isolé pour la première fois en 1935 – NdT]Quel est l’intérêt de ces graphiques ?

Le Dr Kass essayait de sensibiliser ses disciples infectiologues à un aspect simple, mais qui a de profondes implications pour la santé publique. Son argument était si important que je vais le citer en gras pour qu’il n’échappe à personne :

Ce déclin des taux de [mortalité] concernant certaines pathologies, approximativement corrélé aux contextes socio-économiques, constitue tout simplement l’événement le plus important dans l’histoire de la santé des êtres humains, et pourtant nous n’avons que les notions les plus vagues et les plus générales sur la manière dont il s’est produit et sur les mécanismes par lesquels l’amélioration socio-économique et la baisse des taux de [mortalité] de certaines pathologies se chevauchent.

Le Dr Kass a demandé à ses condisciples de faire preuve d’ouverture pour déterminer POURQUOI les maladies infectieuses ont connu un déclin aussi spectaculaire aux États-Unis — ainsi que dans d’autres pays du vieux monde. Était-ce dû à la nutrition ? Aux méthodes sanitaires ? À la réduction du surpeuplement des habitations ? — Nous avons depuis appris que la réponse à ces trois questions est « Oui ». Il a encouragé ses collègues à bien se garder de tirer des conclusions hâtives, à rester objectifs et à « se consacrer à de nouvelles perspectives ».

© Social Progress Imperative
Indice de résilience sociale aux maladies infectieuses pour la période 2014-2019

[Puisque l’exposition à la pollution de l’air à l’extérieur et à l’intérieur des locaux accroît le risque de maladies cardiovasculaires, respiratoires et du développement ainsi que la mortalité prématurée, l’amélioration de la santé environnementale, qui passe par des progrès en matière de qualité de l’air, d’eau et d’assainissement et de gestion des déchets, et les efforts de préservation de la biodiversité rendent les populations moins vulnérables aux pandémies et, par conséquent, améliorent le bien-être global des sociétés et leur résilience. Source OCDE – NdT]Heureusement pour nous, le discours du Dr Kass ce jour-là a été sauvé pour la postérité, car il fut imprimé dans son intégralité au sein d’une revue médicale. En fait, c’est une revue que le Dr Kass a lui-même fondée, The Journal of Infectious Diseases, et son discours s’intitule « Maladies infectieuses et changement social ». Un certain nombre d’éléments dans le discours du Dr Kass m’ont paru époustouflants, surtout quand on sait qu’il était le président de l’Infectious Diseases Society of America. À savoir :

  1. Il n’a jamais parlé des vaccins comme de « la plus grande invention de l’humanité » ou par l’une des nombreuses autres façons hyperboliques dont les vaccins sont dans la presse actuelle en permanence décrits par les partisans des vaccins. Les vaccins n’ont pas permis de sauver « des millions de vies » aux États-Unis, comme le savait bien le Dr Kass.
  2. En fait, il n’a JAMAIS accordé beaucoup de crédit aux vaccins dans le déclin spectaculaire de la mortalité au sein du monde développé. Ce qui est logique, car aucune des données dont il disposait n’aurait permis d’étayer ce point de vue. Ce qui m’a amené à me poser la question suivante : « quelqu’un a-t-il essayé de replacer dans son contexte la contribution des vaccins au déclin de la mortalité humaine au XXe siècle ? » Autrement dit, existe-t-il des données qui permettent de mesurer l’impact exact et précis des vaccins dans la protection de l’humanité ? Oui, en effet, elles existent. Lisez la suite.

McKinlay & McKinlay — L’étude la plus célèbre dont vous n’avez jamais entendu parler

Elle ne sera pas des plus facile à lire, mais j’espère que vous prendrez le temps d’en lire chaque mot. En 1977, les épidémiologistes — et époux — John et Sonja McKinlay de l’université de Boston ont publié les travaux fondateurs sur le rôle que les vaccins — et autres mesures médicales — ont joué dans le déclin massif de la mortalité observée au XXe siècle, qui se rapportent à ce chiffre même de 74 pour cent évoqué dans mon paragraphe d’introduction. De plus, leur étude met en garde contre le comportement même que nous observons aujourd’hui dans le monde vaccinale. En effet, ils ont averti qu’un groupe de profiteurs pourrait s’attribuer plus de crédit pour les résultats d’une mesure médicale — les vaccins — que la mesure elle-même ne le mérite, et ensuite utiliser ces faux résultats pour créer un monde où leur produit devra être utilisé par tout le monde. Sérieusement, ils ont prédit que cela se produirait — et il convient de noter que l’étude McKinlay était autrefois une lecture obligatoire dans toutes les écoles de médecine.

[…] ils ont averti qu’un groupe de profiteurs pourrait s’attribuer plus de crédit pour les résultats d’une mesure — les vaccins — que la mesure elle-même ne le mérite, et ensuite utiliser ces faux résultats pour créer un monde où leur produit devra être utilisé par tout le monde.

Publiée en 1977 dans le Millbank Memorial Fund Quarterly, l’étude de McKinlay s’intitulait « La contribution discutable des mesures médicales dans le déclin de la mortalité aux États-Unis au XXe siècle ». L’étude a clairement prouvé, à l’aide de données, quelque chose que les McKinlay ont reconnu comme pouvant être considéré par certains comme une « hérésie » médicale. À savoir

que l’introduction de mesures médicales spécifiques et/ou l’expansion des services médicaux ne sont généralement pas responsables de la majeure partie du déclin moderne de la mortalité.

Par « mesures médicales », les McKinlay entendaient en fait TOUT ce que la médecine moderne avait inventé, qu’il s’agisse d’antibiotiques, de vaccins, de nouveaux médicaments, etc. Les 23 pages de l’étude de McKinlay devraient être lues intégralement, mais en bref, les McKinlay ont cherché à analyser l’impact des mesures — médicales, antibiotiques, chirurgie, vaccins — sur le déclin massif des taux de mortalité entre 1900 et 1970 :

© McKinlay & McKinlay
Courbe de la mortalité en milliers des hommes et des femmes séparément (en utilisant des taux ajustés selon l’âge) pour les États-Unis, de 1900 à 1973.

Voici quelques-uns des principaux points abordés dans leur étude :

  • 92,3 pour cent du déclin du taux de mortalité s’est produit entre 1900 et 1950 [avant que la plupart des vaccins n’existent].
  • Les mesures médicales « semblent avoir peu contribué à la baisse globale de la mortalité aux États-Unis depuis 1900 environ — ayant été introduites dans de nombreux cas plusieurs décennies après qu’un déclin marqué se soit déjà amorcé et n’ayant pas d’influence détectable dans la plupart des cas ».

Et, voici les deux pépites…

Le document fait état de deux points que je tiens à souligner, car ils sont très importants. Le premier concerne les vaccins. Ils écrivent :

Même si l’on supposait que ce changement était entièrement dû aux vaccins, alors seulement un pour cent environ du déclin consécutif aux mesures médicales prises pour les maladies considérées ici pourrait être attribué à ces mesures. De manière plus conservatrice, si nous attribuons une partie du déclin ultérieur des taux de mortalité pour la pneumonie, la grippe, la coqueluche et la diphtérie à des mesures médicales, alors seuls 3,5 pour cent du déclin du taux de mortalité global peuvent peut-être être expliquée par des mesures médicales dans les principales maladies infectieuses considérées ici. En effet, étant donné que c’est précisément pour ces maladies que la médecine prétend avoir le plus de succès dans la réduction de la mortalité, 3,5 pour cent représente probablement une estimation raisonnable de la limite supérieure pour la contribution totale des mesures médicales à la baisse de la mortalité aux États-Unis depuis 1900.

En clair : sur le déclin total de la mortalité depuis 1900, à savoir ce chiffre de 74 pour cent que je ne cesse de mentionner, les vaccins — et autres mesures médicales comme les antibiotiques — n’y ont en fait contribué qu’à hauteur de 1 à 3,5 pour cent. Autrement dit, au moins 96,5 pour cent du déclin de la mortalité n’avaient rien à voir avec les vaccins — et probablement plus que cela puisque les chiffres de McKinlay & McKinlay comprenait TOUTES les mesures médicales, et pas UNIQUEMENT les vaccins [ou les antibiotiques – NdT].

© Shutterstock

Vous ne pouvez pas dire que vous avez sauvé l’humanité si vous êtes tout au plus à l’origine de 3,5 pour cent du déclin du taux de mortalité depuis 1900 — et encore moins si vous l’êtes plus probablement de 1 pour cent.

Et puis les McKinlay ont écrit quelque chose qui m’a fait rire aux éclats, parce que cela correspond absolument à ce que nous voyons tous les jours dans le monde d’aujourd’hui où les vaccins sont hyper à la mode :

Il n’est pas rare aujourd’hui que les connaissances biotechnologiques et les mesures médicales spécifiques soient invoquées comme la raison principale de la majeure partie du déclin moderne de la mortalité au XXe siècle. La paternité de ce déclin est souvent revendiquée par les, ou attribuée aux, principaux bénéficiaires actuels de cette explication dominante.

Cela vous dit quelque chose ?

En 2000, le CDC donne le coup de grâce

En 1970, le Dr Kass a émis l’idée que les responsables de la santé publique doivent veiller à ne pas attribuer à des éléments erronés le mérite du déclin massif du taux de mortalité enregistré dans le monde développé au XXe siècle. En 1977, les docteurs McKinlay & McKinlay ont rassemblé des données autour des idées du Dr Kass et ont montré que les vaccins — et autres mesures médicales — étaient responsables de 1 à 3,5 pour cent de ce déclin global de la mortalité depuis 1900. En 2000, les scientifiques du CDC ont reconfirmé toutes ces données, mais ont également fourni un meilleur aperçu des éléments qui ont réellement conduit à ce déclin.

Publié en septembre 2000 dans la revue Pediatrics et intitulé « Résumé annuel des statistiques de l’état civil : Tendances sur la santé des Américains au cours du XXe siècle », des épidémiologistes issus de l’université Johns Hopkins et des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies [CDC – NdT] ont réaffirmé ce que nous avions déjà appris grâce aux travaux de McKinlay et McKinlay :

La vaccination n’explique donc pas les impressionnantes baisses de la mortalité observées dans la première moitié du siècle… près de 90 pour cent de ce déclin du aux maladies infectieuses chez les enfants américains s’est produit avant 1940, à une époque où peu d’antibiotiques ou de vaccins étaient disponibles.

L’étude présente ensuite les éléments réellement déterminants dans ce déclin massif de la mortalité : « le traitement de l’eau, la sécurité alimentaire, l’élimination organisée des déchets solides et l’éducation du public sur les pratiques d’hygiène ». De plus, « l’amélioration des logements qui a réduit le surpeuplement dans les logements des villes américaines » a joué un rôle majeur. De l’eau propre. Des aliments sûrs. La nutrition. La plomberie. L’hygiène. Ce sont les principales raisons pour lesquelles la mortalité a si rapidement diminué. Du moins selon les données et les publications scientifiques.

L’histoire récente

Lorsque je partage le tableau suivant, compilé à partir des données du CDC, les réactions sont très vives :

Taux de vaccination en 1985 aux États-Unis

De gauche à droite : DTP pour DTC diphtérie, tétanos, coqueluche – Polio pour poliomyélite – MMR pour ROR : rougeole, oreillon, rubéole – Hep B pour hépatite B – HPV pour papillomavirus – Influenza pour grippe – PCV pour pneumocoque – Rotavirus pour gastro-entérite – Hib pour méningite à Haemophilus influenzae de type B – Varicella pour varicelle – Hepatitis A pour hépatite A – Meningococcal pour méningite à méningocoques

Ce tableau est compilé à partir de l’ensemble des données fournies par le CDC. Vous pouvez constater que neuf vaccins aujourd’hui administrés aux enfants n’existaient même pas au milieu des années 1980. De plus, les taux de vaccination pour les trois vaccins qui existaient étaient à l’époque de l’ordre de 60 pour cent ou moins. Aujourd’hui, les taux de vaccination sont tous bien supérieurs à 90 pour cent chez les enfants américains. Je pense qu’il est légitime de se demander « pourquoi tant de panique ? ». En examinant attentivement ce tableau, on se rend compte à quel point la notion souvent évoquée d’« immunité collective » est totalement absurde, puisqu’elle n’a évidemment pas pu au milieu des années 80 être atteinte grâce à la vaccination. En fait, nous n’en sommes pas plus proches aujourd’hui, puisque les taux de vaccination chez les adultes restent très faibles et que les vaccins se dégradent avec le temps.

L’importance de la vérité

Comme l’explique la mise en garde de McKinlay et McKinlay, si une mesure médicale — comme les vaccins — est désignée de façon erronée comme étant la raison du déclin de la mortalité à ce point spectaculaire pour les Américains et les habitants de l’Europe au XXe siècle, cette mauvaise interprétation peut être utilisée à mauvais escient pour commettre des abus tels que :

  • augmenter rapidement le nombre de vaccins administrés aux enfants ;
  • battre en brèche les parents qui ont choisi de suivre un calendrier de vaccination différent et les faire se sentir coupables ;
  • rendre les vaccins obligatoires ;
  • parler des vaccins en des termes si révérencieux que même les remettre en question — comme je le fais dans cet article — est considéré comme sacrilège et irresponsable ; et
  • nier que les lésions dues aux vaccins se produisent à un rythme élevé, afin de permettre à tout le système vaccinal de poursuivre sa route dans la « bonne direction » — d’ailleurs, et selon cette étude commandée et payée par le CDC alors qu’ils ont en fait automatisé le suivi des lésions dues aux vaccins, la « meilleure » estimation du taux de lésions dues aux vaccins est d’environ 2 pour cent. Le chiffre de « un sur un million » avancé par les partisans des vaccins est tout simplement un mensonge insupportable.

L’Afrique, et les autres pays dits du tiers monde

Les partisans des vaccins citent souvent des statistiques a priori alarmantes concernant les décès imputables aujourd’hui à des maladies infectieuses. Ils utilisent le nombre de cas d’une maladie, comme la rougeole par exemple, pour nous présenter le nombre de décès infantiles qui lui est imputable chaque année et la nécessité pour TOUS les parents américains de vacciner leur(s) enfant(s) contre la rougeole. Bien sûr, ce qu’ils ne mentionnent pas, c’est que ces décès dus à des maladies infectieuses se produisent dans des régions où la qualité de vie est encore comparable à celle des enfants américains au début des années 1900. Une mauvaise nutrition. Pas de plomberie ni de réfrigération. De mauvaises pratiques d’hygiène. Des logements surpeuplés. Toutes composantes qui ont RÉELLEMENT influencé l’impact sur le taux de mortalité et qui dans certaines parties de l’Afrique et dans d’autres pays du tiers monde n’ont pas encore été résolues, et porter les efforts sur les SEULES campagnes vaccinales ne changera pas les faits. C’est ce que le Dr Kass a dès le départ souligné : il faut savoir ce qui a réellement fait décliner le taux de mortalité et s’y consacrer !

En fait, nous disposons aujourd’hui de données qui montrent que vacciner des enfants qui vivent dans des conditions de malnutrition et sans installations sanitaires adéquates se révèle pour eux bien plus préjudiciable que bénéfique.

L’« étude d’Aaby »

Publiée en 2017 dans la revue à comité de lecture EBioMedicine, l’étude s’intitule « L’introduction du vaccin contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche et du vaccin oral contre la polio chez les jeunes enfants dans une communauté urbaine africaine : Une expérimentation naturelle » [une expérience naturelle est une étude empirique dans laquelle des individus — ou des groupes d’individus — sont exposés aux conditions expérimentales et de contrôle qui sont déterminées par la nature ou par d’autres facteurs échappant au contrôle des chercheurs. Le processus régissant les expositions ressemble sans doute à l’assignation aléatoire. Ainsi, les expériences naturelles sont des études d’observation et ne sont pas contrôlées dans le sens traditionnel d’une expérience randomisée – NdT].

© Inconnu
Le Dr. Peter Aaby

Les chercheurs du Bandim Health Project [une ONG – NdT] affiliés à ceux du Research Center for Vitamins and Vaccines [Centre de recherche sur les vitamines et les vaccins – NdT], liés à leur organisation mère du Statens Serum Institut au Danemark, ont examiné de près les données de la Guinée-Bissau en Afrique de l’Ouest. Les scientifiques de cette étude ont étudié de près le concept d’« effets non spécifiques » des vaccins, une belle formule pour dire que les vaccins peuvent rendre un enfant plus sensible à d’autres infections. Ils ont découvert que les données concernant les enfants africains qui avaient été vaccinés avec le vaccin DTC [diphtérie-tétanos-coqueluche – NdT]

étaient associées à une mortalité cinq fois plus élevée que pour ceux qui n’étaient pas vaccinés. Aucune étude prospective n’a démontré les effets bénéfiques du DTC sur la survie… Le DTC est le vaccin le plus largement utilisé… Toutes les preuves actuellement disponibles suggèrent que le vaccin DTC pourrait tuer plus d’enfants d’autres causes qu’il n’en sauve de la diphtérie, du tétanos ou de la coqueluche. Bien qu’un vaccin protège les enfants contre la maladie ciblée, il peut simultanément augmenter la susceptibilité à des infections non liées.

Pour les profanes, cela signifie que donner le vaccin DTC à un enfant africain lui fait courir le risque de développer d’autres infections. Que les conditions de vie soient plus importantes que le vaccin est en Afrique une évidence — comme on peut s’y attendre à la lumière des travaux du Dr Kass et des Drs McKinlay. Et le vaccin DTC s’est effectivement révélé bien plus préjudiciable que bénéfique. Il convient de noter que le Dr Aaby était un chercheur très respecté dans le domaine vaccinal jusqu’à ce qu’il publie cette étude en 2017. Je crois savoir qu’il a depuis perdu ses sources de financement. Bienvenue dans le monde actuel de la « science » vaccinale.

Un enfant sur deux

Nous disposons d’un autre exemple concret de ce phénomène qui remonte à la fin des années 1970. Le Dr Archie Kalokerinos a fait, comme il l’explique, une simple découverte [tiré de son ouvrage Every Second Child, « Un enfant sur deux », ouvrage non traduit en français – NdT] :

Every second child, Dr. Archie Kalokerinos

Au début, ce n’était qu’une simple observation clinique. J’ai observé que de nombreux nourrissons, après avoir reçu des vaccins de routine comme le tétanos, la diphtérie, la polio, la coqueluche ou autre, tombaient malades. Certains sont devenus extrêmement malades, et en fait certains sont morts. C’était une observation, pas une théorie. Ma première réaction a donc été d’examiner les raisons pour lesquelles cela se produisait. Bien sûr, j’ai découvert que la probabilité était plus grande chez des nourrissons qui étaient malades au moment où de recevoir un vaccin, ou des nourrissons qui avaient été malades peu de temps avant, ou des nourrissons qui incubaient une infection. Il n’y a bien évidemment aucun moyen de détecter une maladie dans les premiers stades d’incubation. Ce n’est possible que plus tard. En outre, certaines des réactions aux vaccins ne sont pas celles qui figurent dans la littérature standard.

Ces réactions étaient en effet très étranges. Une troisième observation est qu’avec certaines de ces réactions qui entraînent normalement la mort, j’ai découvert que je pouvais les inverser en donnant de grandes quantités de vitamine C par voie intramusculaire ou intraveineuse. On se serait attendu, bien sûr, à ce que les autorités s’intéressent à ces observations qui ont entraîné une baisse spectaculaire du taux de mortalité des nourrissons dans la région que je contrôlais, une baisse en fait très spectaculaire. Mais au lieu de s’intéresser à ces observations, elles ont réagi avec une extrême hostilité. C’est ce qui m’a incité à examiner la question vaccinale, et plus mes investigations prenaient de l’ampleur, plus je devenais choqué. J’ai découvert que toute l’affaire des vaccins était en effet un gigantesque canular. La plupart des médecins sont convaincus de leur utilité, mais si vous examinez les statistiques appropriées et que vous étudiez le cas de ces maladies, vous vous rendrez compte qu’il n’en est rien.

Le Dr Kalokerinos a en 1995 également dit quelque chose que l’étude du Dr Aaby semble avoir pu corroborer en 2017 :

Et si vous voulez voir les effets néfastes des vaccins, ne venez pas en Australie ou en Nouvelle-Zélande ou n’importe où ailleurs, allez en Afrique et vous le verrez là-bas.

Nous connaissions en fait la vérité au début des années 1900, avant même le déclin rapide de la mortalité. Bien en avance sur son temps, l’Anglais John Thomas Biggs était l’ingénieur sanitaire de sa ville de Leicester et devait répondre activement aux épidémies de variole. Il a rapidement appris que les résultats de l’assainissement en matière de santé publique l’emportaient largement sur l’impact de la vaccination — dont il a constaté les dommages dramatiques et l’inefficacité. En 1912, il a écrit un ouvrage déterminantLeicester — Sanitation versus Vaccination [« Leicester — Assainissement versus vaccination », ouvrage non traduit en français – NdT]. M. Biggs a donc découvert il y a plus de cent ans ce que le CDC a réaffirmé en 2000, à savoir que rien ne protège des maladies infectieuses comme un bon assainissement. Il a précisé :

Leicester a fourni, tant par son précepte que par son exemple, la preuve irréfutable des pouvoirs et de l’influence de l’assainissement, non seulement pour combattre et contrôler, mais aussi pour pratiquement éliminer de son territoire les maladies infectieuses
[…]
Une ville nouvellement conçue selon les principes les plus modernes de gestion des espaces et des systèmes d’aération, et adopter la « méthode de Leicester » en matière d’assainissement, pourrait non seulement faire obstacle à la variole, mais aussi à d’autres maladies infectieuses, voire presque toutes les maladies zymotiques.

Le Dr Andrew Weil, le célèbre médecin souvent cité, renforce ce point en expliquant que

la médecine s’est attribué le mérite de certaines avancées médicales qui ne lui revient pas. La plupart des gens pensent que la victoire sur les maladies infectieuses du siècle dernier est due à l’invention des vaccins. En fait, le choléra, la typhoïde, le tétanos, la diphtérie et la coqueluche, ainsi que les autres maladies, étaient en déclin avant que des vaccins pour ces maladies ne soient disponibles — en raison des meilleures méthodes d’assainissement, d’évacuation des eaux usées et de distribution de nourriture et d’eau.

Aujourd’hui même, Amy Becker et Mark Blaxill ont publié cette extraordinaire analyse intitulée « Les leçons du confinement : Pourquoi le nombre d’enfants décédés est-il si faible ? ». Elle devrait être lue dans son intégralité, toutefois, elle soulève une grande question : cette baisse est-elle due au confinement — et en particulier la baisse des décès dus au Syndrome de mort subite du nourrisson — parce que les bébés n’ont pas été vaccinés [durant cette période – NdT] ? Ils écrivent :

Le Covid-19 est unique parmi les pandémies récentes en ce sens que le bilan de la mortalité est mesurable, réel et convaincant. Il est également presque certain qu’il sera transitoire, mais cela n’empêchera pas la progression de l’écrasante propagande qui l’accompagne. Cependant, comme le dit le proverbe, « les plans les mieux conçus partent souvent à vau-l’eau ». Ce que personne n’aurait pu prévoir avant le Covid-19, c’est que cette mesure extrême de confinement a produit une expérimentation naturelle qui remet en question les actions mêmes préconisées depuis des années par la communauté des maladies infectieuses et de la santé publique, à savoir les vaccinations obligatoires et généralisées pour tout le monde. Nous devons déplorer la mort des personnes âgées résidant dans les maisons de retraite de Manhattan, mais aussi tenir compte des centaines de décès de nourrissons qui ont été évités. Ce n’est qu’avec un tel équilibre que nous pourrons tirer les leçons qui s’imposent quant à la pandémie et aux mesures de confinement qui ont suivi.

Pour conclure

Les vaccins n’ont pas sauvé l’humanité. Leur impact se situe entre 1 et 3,5 pour cent de la baisse totale des taux de mortalité. Ce sont l’amélioration des conditions sanitaires et du niveau de vie qui ont véritablement permis ce déclin — nutrition, conditions de vie, etc. Les vaccins ont-ils contribué à une légère diminution de certaines maladies aiguës ? Oui, mais leur bénéfice relatif est souvent exagéré à l’extrême, et utilisé pour intimider, culpabiliser et effrayer les parents.

© CDC-Adaptée en français par Sott.net

Suis-je donc en train de dire que personne ne devrait se faire vacciner ? Non, je ne le dis pas. Les vaccins offrent une protection temporaire contre certaines maladies aiguës. Certains sont plus importants que d’autres. Je pense personnellement que nous donnons beaucoup trop de vaccins, et je pense que l’équation risque/bénéfice de chaque vaccin est souvent occultée. Pire encore, 

le mensonge selon lequel les vaccins ont sauvé l’humanité au XXe siècle a transformé en fanatiques de nombreux partisans des vaccins, même si leurs récits ne sont tout simplement pas étayés par les faits. Mais vous pouvez bien sûr vous faire vacciner autant que vous le souhaitez, je respecte votre droit à faire vos propres choix en matière de soins médicaux. Personnellement, je ne ferai pas la queue pour me faire vacciner contre le Covid-19.

Notes de l’auteur

Il existe deux excellentes ressources que je vous recommande si vous souhaitez plonger dans le trou du lapin de la véritable histoire des maladies infectieuses. La première est l’incroyable livre de Suzanne Humphries, Dissolving Illusions. Le second est un article complet de Roman Bystriany intitulé, « La rougeole — La nouvelle peur rouge » [en anglais – NdT]. Si vous le lisez, vous serez profondément désillusionné par le battage médiatique — ne dites pas que je ne vous ai pas prévenu !

Le journaliste Lawrence Solomon a également écrit deux excellents articles sur la rougeole [tous deux en anglais – NdT] : « L’histoire inédite de la rougeole », et « Les vaccins ne peuvent pas empêcher les épidémies de rougeole ».

À propos de l’auteur

J.B. Handley est l’auteur du best-seller How to End the Autism Epidemic [« Comment mettre fin à l’épidémie d’autisme », ouvrage non traduit en français – NdT]. Il est diplômé avec mention de l’université de Stanford et est actuellement membre directeur de Bochi Investments, une société d’investissement privée. Il peut être contacté à l’adresse suivante : jbhandleyblog@gmail.com

Source de l’article initialement publié en anglais le 19 juin 2020 : J.B. Handley Blog
Traduction: Sott.net

Commentaire : Les deux articles suivants viendront compléter le sujet présenté dans celui-ci :

Rockefeller, roi du pétrole, a en effet entrevu une manne financière supplémentaire par l’usage de l’or noir dans l’élaboration et la mise en place des médicaments chimiques. Manne financière, mais aussi soif de contrôle, ces remèdes chimiques aux effets indésirables si nombreux — et pour cause — étant aujourd’hui très largement utilisés dans le monde entier… Un soupçon d’eugénisme au passage, peut-être ?

Voir aussi via le champ de recherche de Sott, tous les articles relatifs aux vaccins ou encore les articles suivants parmi les plus récents :


[Voir aussi : Dossier Vaccins]




Créationnisme, darwinisme… Pourquoi pas ni l’un ni l’autre ?

[Source : Signe des temps]

Original anglais : Sott.net

De ces deux théories, laquelle est vraie : le créationnisme, ou le darwinisme ? D’ailleurs, pourquoi faudrait-il choisir entre les deux ? Apparemment, nombreux sont ceux qui omettent la possibilité que ces deux théories soient fausses. Contrairement à ce que certains pourraient prétendre, tant le créationnisme que le darwinisme relèvent plus de l’idéologie que de la science, alors il n’est guère surprenant que ces deux théories – ou du moins, la façon dont on nous les présente – ne soient pas vraiment étayées par cette dernière.

La
plupart des tenants du créationnisme croient en cette théorie parce
qu’ils ont été élevés dans le christianisme, et qu’ils croient en la
Bible – un peu trop littéralement, d’ailleurs. Quant aux tenants du
darwinisme, leur croyance semble reposer sur trois raisons : c’est ce
qu’on leur a enseigné à l’école, ils n’ont qu’une vague idée des
principes scientifiques qui le sous-tendent – ou, pour le coup,
l’absence de tels principes, comme nous allons le voir -, et/ou ils sont
convaincus que le créationnisme est une théorie inepte, et croient par
conséquent que l’unique alternative qui s’offre à eux est le darwinisme.
Or, ces trois justifications posent toutes sérieusement problème.

Premièrement, la façon dont est enseigné le darwinisme à l’école est extrêmement trompeuse et mériterait à elle seule un article, mais je me contenterai de présenter dans les grandes lignes tout ce qui pose problème dans le darwinisme, et dans la façon dont on nous le présente.

Deuxièmement, la plupart des gens n’ont qu’une connaissance très vague des vérités et faits scientifiques ayant trait à l’évolution, ce qui les empêche de distinguer les innombrables problèmes inhérents au darwinisme. L’idée selon laquelle les organismes auraient évolué par étapes est facile à avaler, quand on ne sait pas vraiment en quoi consistent ces supposées étapes ni comment les mécanismes de l’évolution sont censés opérer. Lorsqu’on ne sait pas vraiment à quoi ressemble une cellule, ce qu’elle contient, lorsqu’on ignore tout de sa complexité, de la façon dont elle opère et du rôle de l’ADN, tout ce qui reste, ce sont des arguments qui affirment que le darwinisme est parfaitement fondé et que la science est là pour le prouver – et que seuls les ignorants le mettent en doute. On entend rarement dire à quel point cette science est en réalité fragile, à quel point les preuves sont nébuleuses, et que nombre de scientifiques contestent cette version établie. Les idées anti-darwiniennes sont souvent littéralement bannies des salles de classe, généralement sur le principe fallacieux qu’elles ne sont pas scientifiques. Or le véritable raisonnement scientifique fait cruellement défaut au darwinisme lui-même.

Troisièmement, le darwinisme et le créationnisme ne sont pas les seuls choix qui s’offrent à nous. Il ne s’agit pas d’une élection où vous devez choisir entre deux candidats. Lorsqu’on doit choisir entre deux candidats présidentiels et qu’on se laisse convaincre qu’il n’y a pas d’autre alternative, on a déjà perdu. Présumer que quiconque n’est pas darwiniste est automatiquement créationniste et vice versa est complètement fallacieux.

Il y a le créationnisme, il y a le darwinisme, et il y a la vérité.
C’est sur cette option trop souvent ignorée que je veux me concentrer
dans cet article. Et pour découvrir la vérité, il nous faut identifier
les mensonges. Je ne parlerai pas du créationnisme, car il repose sur un
livre de fiction, et tente de faire coller les faits au récit biblique.
En outre, peu importe les preuves apportées, les créationnistes
resteront enferrés dans leurs convictions. Mon but est de montrer à ceux
qui croient passivement que le darwinisme est la vérité mais qui n’ont
jamais mené aucune recherche approfondie pour le confirmer ou
l’infirmer, que cette théorie comporte d’énormes failles et que les
identifier n’implique pas qu’on doive se tourner vers le créationnisme.

Le fondement de ma réfutation du darwinisme est la science, en particulier les découvertes scientifiques de ces dernières décennies. Le darwinisme est resté bloqué à la première moitié du XXe siècle. Nul besoin d’invoquer Dieu pour démontrer que l’évolution darwinienne ne fonctionne pas telle qu’elle est décrite : la science s’en chargera. Croire en la capacité du darwinisme à expliquer l’évolution n’a rien à voir avec la quantité de vos connaissances, mais avec votre capacité à ignorer certains faits.

Notons également qu’en général, nous parlons-là de choses qui sont rarement étayées par des preuves irréfutables, et les éléments probants dont nous disposons sont sujets à interprétation. Deux faits identiques seront interprétés différemment selon les personnes, et ces interprétations seront largement influencées par leur vision du monde et leurs croyances personnelles. Certaines choses sont incontestables, mais d’autres sont beaucoup plus nébuleuses. Par définition, toute théorie de l’évolution renvoie à des événements et des processus très anciens ; pour certains, nous ne disposons que d’éléments de preuve éparpillés qui n’incluent pas tout le contexte requis pour les comprendre pleinement. Dans de nombreux cas, nous devons nous contenter d’admettre que nous ne savons pas, et que nos croyances divergentes reposent sur des théories et des spéculations.

Je diviserai cet article en trois grandes parties : en quoi consiste exactement le processus évolutif darwinien et quels sont ses mécanismes ; pourquoi il ne fonctionne pas, et ne peut pas fonctionner ; et enfin, ce que cela implique pour nous.

Ce que dit vraiment la théorie darwinienne de l’évolution

Le processus censé gouverner la théorie de l’évolution est la sélection naturelle, qui agit sur des mutations aléatoires. Les mutations aléatoires impliquent que des anomalies se produisent dans l’ADN. Les mutations aléatoires sont un processus naturel passif dont le rôle est simplement d’observer que tout ce qui survit suffisamment longtemps pour se reproduire parviendra à transmettre ses gènes. Les mutations aléatoires sont la force motrice qui fournit la matière première ; la sélection naturelle est censée organiser tout cela, en séparant le bon grain de l’ivraie. En réalité, non seulement la matière première produite de façon aléatoire est de qualité inférieure, comme on pourrait s’y attendre, mais le champ d’action de la sélection naturelle est bien plus restreint que ce que les darwinistes voudraient nous faire croire.

Pour comprendre comment tout cela fonctionne, il nous faut examiner ce qui se passe à l’intérieur d’une cellule et voir en quoi consistent ces mutations. Essayez de répondre à ces questions :

  • Quel est le niveau de complexité d’une cellule ?
  • Qu’est-ce que l’ADN et quelle est son action ?
  • Quelle est la relation entre l’ADN, un gène et un chromosome ?
  • Que sont les acides aminés et quelle est leur action ?
  • Que sont les protéines, d’où viennent-elles et quelle fonction servent-elles ?
  • Quand on parle de mutation, qu’est-ce qui mute, à quel endroit et de quelle façon ?

Si vous croyez à l’évolution darwinienne et ignorez les réponses à ces questions, vous n’avez qu’une vague idée du processus censé gouverner l’évolution. Vous comprenez ses effets supposés, parce que c’est ce qu’on vous a appris, mais vous ne comprenez pas comment tout ceci fonctionne réellement au niveau moléculaire. Loin de moi l’idée de blâmer quiconque ignore ces choses-là. J’ai passé la plus grande partie de ma vie dans l’ignorance, moi aussi. Une fois qu’on comprend le fonctionnement et l’action de l’ADN et de tout ce qui l’entoure, la théorie darwinienne commence à s’effondrer sous le poids de sa propre invraisemblance. On s’écrit alors : « Attendez une minute ! C’est comme ça que fonctionne l’évolution ? ».

Ainsi, permettez-moi de décrire dans les grandes lignes ce qui se passe à l’intérieur d’une cellule. Les paragraphes suivants risquent d’être un peu techniques.

Vous avez probablement déjà vu une hélice d’ADN. Elle ressemble à une longue échelle torsadée sur elle-même. Les barreaux de l’échelle sont appelés paires de base. Il n’existe que quatre paires de base : A[denine], T[hymine], C[ytosine], et G[uanine]. A est toujours apparié à T, et C est toujours apparié à G. Ça donne à peu près ça :

A–T
G–C
C–G
T–A
C–G
A–T
A–T
G–C

DNA structure

Un très long brin d’ADN enroulé sur lui-même, qui peut contenir jusqu’à des centaines de millions de paires de base, forme un chromosome.
Le noyau de chaque cellule humaine contient 46 chromosomes. Un gène est
un fragment de chromosome. Entre autres choses, un gène est un ensemble
d’instructions – une chaîne du code ATCG – pour synthétiser une
protéine. Un chromosome peut contenir de cent à plusieurs milliers de
gènes.

L’ARN est similaire à l’ADN, à ceci près qu’il ne contient qu’un seul brin – un côté de l’échelle -, et possède de nombreuses fonctions ; de nombreux éléments à l’intérieur de la cellule sont formés à partir de l’ARN.

Les séquences codantes de type TCGATCACGTACAGGTCAGC sont similaires à notre code binaire informatique qui consiste en des séries de chiffres tels que 10010110101101001. Une série de 1 et de 0 pourra contenir des instructions sur la façon de lire un fichier vidéo ; une série de quatre lettres A, T, G et C contiendra des instructions pour le codage des protéines, parmi une foule d’autres choses. Les 46 chromosomes de chaque cellule humaine contiennent toutes les informations nécessaires à la formation et au bon fonctionnement du corps humain.

Pour donner une idée de la complexité de la chose, je vais décrire dans les grandes lignes le processus de synthèse des protéines. Une enzyme s’apparie à l’ADN, le traverse – entièrement ou en partie – et copie l’un de ses brins, créant ainsi l’ARNm – ARN messager. Des séquences de lettres spécifiques indiquent où un gène commence et où il finit – un peu comme des en-têtes de fichiers informatiques. C’est ainsi qu’est créé l’ARNm, qui est plus ou moins la copie d’un gène. Tous ces processus sont en réalité bien plus complexes, mais je ne vais pas me lancer dans une explication sur les introns. Ensuite, un ribosome – lui-même formé à partir de l’ARN et de quelques protéines – s’apparie à l’ARNm et commence à le « lire », codon par codon. Un codon est un groupe de trois nucléotides, par exemple ACG. Un nucléotide est constitué de la base + la partie du squelette de l’ADN/ARN auquel il s’apparie. Pour notre propos, la différence entre une base et un nucléotide est infime.

Pour chaque codon, le ribosome doit trouver l’ARNt porteur du bon anticodon. L’ARNt (ARN de transfert) est un petit fragment d’ARN ; à l’une de ses extrémités se trouve l’anticodon, et à l’autre extrémité, un acide aminé correspondant. L’anticodon est la séquence complémentaire d’un codon : ainsi, si l’ARNm contient CCC, l’ARNt doit contenir GGG pour pouvoir s’y apparier. Un ARNt possédant GGG portera toujours le même acide aminé. Les molécules d’ARNt flottent ça et là, et lorsque le ribosome trouve la bonne molécule, il s’y apparie, et son acide aminé est alors transmis au ribosome. Ensuite, l’ARNm passe au codon suivant du ribosome, lequel se met en quête du prochain ARNt et donc, du prochain acide aminé. Les acides aminés s’apparient et forment une longue chaîne – une protéine, d’une longueur comprise entre plusieurs dizaines et plusieurs milliers d’acides aminés. Ensuite, le champ d’action des protéines dans l’organisme sera multiple.

Il n’est pas vraiment nécessaire de comprendre tout cela ; mon but est simplement de vous donner un aperçu de la complexité des processus constamment à l’œuvre dans chaque cellule. Mais il y a tellement plus. Une cellule est comme une ville au rythme trépidant, où tout un tas de choses se produisent simultanément, et il n’y a rien de simple là-dedans. Des choses sont transportées d’un endroit à un autre, d’autres choses sont fabriquées qui serviront à en fabriquer d’autres, et ainsi de suite.

human cell

L’image
ci-dessus représente une cellule unique – l’unité de base de la vie
organique. Les plus petits éléments que l’on distingue ici, les
ribosomes, sont des machines complexes qui jouent un rôle majeur dans la
traduction des ARNm en protéines. Ce processus est extrêmement
complexe.

Comme l’explique John Sanford dans Genetic Entropy [Entropie génétique – Ouvrage non disponible en français – NdT] :

« Un génome humain complet consiste en deux ensembles comprenant chacun 3 milliards de lettres individuelles.

Outre de multiples formes d’informations génétiques qui se chevauchent, sont linéaires et sont apparentées à un langage, le génome regorge d’innombrables boucles et ramifications, comme un programme informatique. Il contient des gènes qui régulent d’autres gènes, lesquels en régulent d’autres. Il contient des gènes qui perçoivent des modifications dans l’environnement et ordonnent alors à d’autres gènes de réagir en mettant en mouvement toute une suite complexe d’événements qui pourront ensuite répondre au signaux environnementaux. Certains gènes se recombinent d’eux-mêmes, ou modifient et méthylent d’autres séquences de gènes, modifiant tout bonnement des passages entiers du manuel d’instruction ! »

Les rouages internes d’une cellule sont incroyablement complexes, et les informations qu’elle contient (rappelez-vous que tous les chromosomes porteurs de la totalité de l’ADN se trouvent dans le noyau) défient l’entendement. Le code ATCG de l’ADN n’est que son élément le plus basique. Il y a des régions de contrôle, il y a l’enroulement de l’ADN, et de nombreux degrés de complexité au-delà du code lui-même.

Maintenant que nous avons une idée de l’aspect du « code-maître » – celui qui construit tout – passons aux mutations aléatoires. Imaginons qu’en un locus spécifique de l’ADN, se trouve une paire de base A–T. Un processus de copie, en lisant A, commet une erreur quelconque : voilà la mutation. Ce qui se produit ensuite peut varier. Le A peut être transformé en n’importe laquelle des trois autres bases, ainsi au lieu de A–T vous aurez T–A, C–G, ou G–C. Autre option : le A sera omis/effacé, et cette suppression pourra concerner plusieurs paires de base. Il y a aussi l’insertion : une ou plusieurs bases sont insérées devant A à partir d’un autre locus, et notre A change de position dans la séquence. Il y a aussi la duplication, à savoir que A, ou même une séquence entière comme AACGCTTC, sera/seront copié/es une, deux, ou vingt-cinq fois. Bref, en essence, les mutations aléatoires sont les divers bugs susceptibles d’affecter le code ATCG dans l’ADN.

Comme pour toute anomalie où qu’elle se produise, la plupart de ces bugs ne produiront rien de bénéfique. Prenons un fragment de gène ou d’ADN, du genre ACGTAGGCA : au cours de la traduction protéique, ce fragment sera divisé en ACG, TAG, et GCA, lesquels se mettront à coder pour trois acides aminés. Mais si quelque chose est inséré au début, par exemple G, vous aurez GACGTAGGCA, qui se scindera alors en GAC, GTA, et GGC, qui codera pour des acides aminés complètement différents de la séquence originelle, parce que la totalité de la séquence codante aura subi un glissement. Un glissement similaire peut se produire avec une seule suppression. Parce que ces séquences sont en essence fonctionnelles et très spécifiques, il est hautement improbable que toute erreur produise quoi que ce soit qui fonctionne mieux que l’original – en fait, ça pourrait bien ne pas fonctionner du tout.

Le code génétique est quelque chose qui fonctionne très bien en l’état. Toute mutation aléatoire introduit des modifications aléatoires dans le code. À titre de comparaison : un livre est fonctionnel en l’état. Toute mutation aléatoire introduirait des modifications aléatoires au niveau des lettres du texte. Penser qu’on peut obtenir une nouvel organe fonctionnel dans l’organisme de façon aléatoire équivaudrait à introduire dans un livre un nouveau chapitre fonctionnel – intelligible – par ce biais. Pourtant, pour les darwinistes, c’est le mécanisme central de l’évolution de toute vie sur Terre ! Imaginons que le livre en question soit un manuel d’instruction pour construire un objet spécifique : quelles sont les chances que des modifications aléatoires introduites dans le manuel aboutissent à la fabrication d’un objet amélioré ? Vous comprenez certainement que les chances que cela se produise sont pratiquement nulles. Et comme nous le verrons plus loin, la sélection naturelle ne sera pas d’une grande aide.

D’après le darwinisme, une bactérie a littéralement évolué par
hasard pour aboutir à l’être humain, via l’accumulation d’erreurs de
copie aléatoires dans son ADN. Contemplez un instant l’absurdité d’une
telle idée.

Est-il logique d’affirmer que le hasard crée un ordre fonctionnel complexe ? Quelque chose de fonctionnel, d’opérationnel, d’agissant, ne peut pas apparaître par hasard. Imaginez mélanger ou modifier certains des composants d’un appareil fonctionnel, comme un smartphone, pour aboutir à un fonctionnement amélioré. Il est clair qu’introduire des erreurs aléatoires n’est pas la façon d’améliorer un système fonctionnel.

Les darwinistes croient qu’à ce stade, la sélection naturelle intervient pour tout arranger. Mais la sélection naturelle ne peut agir que sur quelque chose qui existe déjà, et ce qui existe déjà, ce sont des modifications aléatoires. Si le matériau de base de la sélection naturelle sont des modifications aléatoires de quelque chose qui fonctionne déjà, il n’y a guère de place pour la moindre amélioration.

Chacun conviendra que le code génétique est plus sophistiqué et plus complexe que tout ce que les humains ont jamais pu concevoir. Dès lors, réfléchissez à cela :

  • La conception intelligente de la technologie de pointe que nous
    possédons aujourd’hui, comme les super ordinateurs, requiert les
    cerveaux les plus brillants.
  • Pourtant d’après les darwinistes,
    quelque chose de bien plus complexe que tout ce que l’humain a jamais pu
    concevoir est généré par des erreurs aléatoires.

Et quelles que soient vos connaissances à ce sujet, vous sous-estimez probablement grandement la complexité que cela implique. Voilà ce que nous dit Sanford à propos de l’ADN :

Les preuves du caractère polyfonctionel et donc multi-restreint de la plupart des séquences ADN ne manquent pas. Ce fait a été amplement démontré par Trifonov (1989). Par exemple, la plupart des séquences codantes humaines encodent pour deux ARN différents qui lisent dans des directions opposées – à savoir, les deux brins d’ADN sont transcrits – Yelin et al. 2003. Certaines séquences encodent pour différentes protéines, selon le point d’initialisation de la traduction et du cadre de lecture – à savoir les protéines translectrices. Certaines séquences encodent pour différentes protéines selon l’épissage alternatif de l’ANRm. Certaines séquences servent de multiples fonctions simultanément – par exemple en tant que séquence de codage de protéine et que promoteur de transcription interne. Certaines séquences encodent pour une région codante protéique et une région de liaison protéique.

Ainsi le même fragment d’ADN pourra coder pour plusieurs éléments différents, selon la façon dont il est lu et traduit. Même si l’introduction de modifications aléatoires dans la fonction d’une opération multifonctionnelle aboutissait par hasard à une fonction améliorée, cela détruirait indubitablement les autres fonctions. Le darwinisme est une théorie qui prétend que des obstacles insurmontables sont régulièrement surmontés, encore et encore, comme si c’était la chose la plus naturelle au monde.

Laissez infuser cela, et plus vous y réfléchirez, plus le darwinisme vous apparaîtra comme la théorie la plus stupide jamais élaborée.

Réfléchissez : pouvez-vous trouver dans notre monde un seul
exemple d’une chose qui, par le biais d’un processus aléatoire, gagne en
complexité et en fonctionnalité ?
Les processus aléatoires
peuvent au mieux générer des patterns intéressants, mais ceux-ci ne
seront d’aucune utilité. On pourrait arguer que, peut-être, à de très
rares occasions, un certain nombre de mutations aléatoires pourrait on
ne sait comment s’accumuler et produire quelque chose de nouveau et de
complexe. Admettons cette possibilité pour les besoins de notre
argumentation – même si nous verrons que c’est qu’un fantasme, et ce
pour de nombreuses raisons. Mais à votre avis, combien de complexes
mutatoires de ce genre, chacun consistant en des dizaines ou des
centaines de mutations individuelles, faudrait-il pour « transformer »
un poisson en ours ? Des centaines ? Des milliers ? Et toutes les autres
espèces devraient passer par le même processus. À chaque nouveau stade,
la probabilité diminue par ordre de magnitude. Et pour que
l’évolution fonctionne telle que décrite, ce phénomène devrait se
produire continuellement. Des milliards de séquences d’événements de ce
genre devraient se produire, alors même qu’une seule de ces séquences
est hautement improbable, voire impossible.

Si vous posez la question : « D’où vient ce foisonnement de vie ? », les créationnistes répondront « C’est l’œuvre de Dieu. » Les darwinistes trouvent cette explication faiblarde. Mais si vous leur posez la même question, ils répondront : « C’est arrivé par hasard. » Cette explication est encore plus faiblarde et irrationnelle. La vision darwinienne du fonctionnement des choses est extrêmement simpliste et naïve – tout comme le créationnisme.

Le principe d’entropie affirme qu’avec le temps, tout se dégrade ; qu’à la complexité et à la singularité originelles succèdent la simplicité et la normalité, qu’à un état de probabilité moindre succède un état de probabilité supérieur, qu’à l’ordre succède le désordre. Mais la théorie de l’évolution contredit directement l’entropie. Pour la première, l’information contenue dans le génome devient naturellement et progressivement de plus en plus complexe, par un processus aléatoire, sans apport intelligent. Cette affirmation est illogique et insensée. Les informations porteuses de sens n’apparaissent pas aléatoirement, et la conscience ne surgit pas spontanément à partir de matière inerte. C’est pourtant là-dessus que s’appuie le darwinisme pour « fonctionner ». Il affirme qu’un processus aléatoire sans intelligence ni dessein produit de l’information, de la conscience et de l’intelligence. Le fait que vous lisiez ces lignes, que cela vous fasse réfléchir, est le résultat de l’assemblage aléatoire de molécules, il y a des éons de cela, et ces molécules ont produit des gènes fonctionnels, processus qui plus tard a abouti à votre existence et à celle de vos pensées – comme un effet secondaire complètement aléatoire ! Voilà le topo. Mais rien dans notre monde ne fonctionne de cette manière. Le produit fini dépendra toujours de l’apport initial. Si cet apport est un simple déchet aléatoire – mutation, erreur, le produit fini ne sera jamais quelque chose de fonctionnel et de plus complexe que l’original.

DNA folding

De
l’ADN au chromosome : selon les darwinistes, c’est le produit d’un
auto-assemblage accidentel qui a évolué par un processus d’erreurs
aléatoires. Néanmoins, il se trouve qu’il sait comment construire un
être humain intelligent bien qu’aucune intelligence ne soit cependant
impliqué dans le processus. Les choses « arrivent juste par hasard ».

Les nombreuses lacunes du darwinisme

Je commencerai cette partie avec un petit exemple. L’autre jour, je lisais Le plus grand spectacle du monde de Richard Dawkins. De tous ses ouvrages, c’est le seul qui contient une tentative d’explication du bien-fondé du darwinisme. Dans tous ses autres ouvrages, de son propre aveu, il part simplement du principe que le darwinisme est la vérité, et s’en tient là. Dans ce livre, il mentionne les expériences menées par Richard Lenski sur la bactérie E.Coli – Lenski cultive et étudie E.Coli depuis des décennies. C’est l’une des expériences concrètes les plus poussées sur l’« évolution ».

Dawkins nous dit qu’un des groupes de cette bactérie a fini par développer une mutation A, qui par elle-même « ne faisait absolument rien ». Par la suite, A a évolué, pour donner la mutation B, qui, par elle-même ne faisait absolument rien non plus. Mais parce que la mutation A était déjà présente, les deux mutations ont fini par « agir en synergie ». Il a fallu des dizaines de milliers de générations pour en arriver à ce résultat.

Selon Dawkins, cette expérience, c’est « l’évolution qui s’étend sous nos yeux », car elle nous montre que « de nouvelles informations peuvent pénétrer dans le génome », mettant à mal le dogme de la complexité irréductible. » Si vos seules sources d’information sur l’évolution sont vos manuels scolaires et les ouvrages de Dawkins, et que vous ne poussez pas la réflexion plus loin, vous ne verrez peut-être pas où est le problème. Or il y en a plusieurs, et voilà un bon résumé des habituelles distorsions darwiniennes :

  • Dawkins ne nous dit absolument rien de la nature de A et de B et de
    leur action synergique. On ne sait pas vraiment de quoi il retourne.
  • Il
    omet de mentionner quelles « nouvelles informations » sont apparues et
    en quoi elles étaient vraiment nouvelles, par opposition à une simple
    modification des informations initiales.
  • Sa notion de la complexité se résume à deux parties.
  • Il
    ne nous dit pas comment la mutation A a pu franchir le cap de la
    sélection naturelle – alors qu’elle « ne faisait absolument rien » par
    elle-même – sans la mutation B.
  • Bien sûr, il ne lui viendrait pas à l’idée de se demander si le code génétique a pu être endommagé par ce qui s’est produit.

C’est typique de Dawkins. Examinons cela plus en détail.

1. Sans savoir où Dawkins veut en venir au juste, nous
n’avons guère le choix que d’accepter son interprétation de ce qui s’est
passé. Mais cela pose un sérieux problème. Les informations
qu’il nous donne sont délibérément vagues, donc il est impossible de
jauger de l’exactitude de son interprétation. Et c’est un élément-clé de
la manipulation dont se rendent coupables tant les Dawkins de notre
monde que nos systèmes éducatifs défaillants : on ne nous expose pas des
faits ; on nous donne des interprétations de données présentées avec
insistance comme des faits.
Par opposition, si vous lisez les
ouvrages de Michael J. Behe, qui expliquent pourquoi le darwinisme est
incapable d’expliquer l’évolution, vous aurez droit à des explications
extrêmement détaillées, qui vous permettront de comprendre très
clairement de quoi il retourne, et vous serez bien mieux équipé pour
décider si l’on vous ment.

2. Vous aurez peut-être déduit de la lecture de la
première partie de cet article qu’il n’y a pas vraiment moyen
d’introduire de « nouvelles informations » dans le génome par le biais
de mutations aléatoires. Tout n’est que modification de ce qui est déjà
présent, et ces modifications sont bien plus susceptibles de détruire
une chose que de l’améliorer. Dawkins nous dit que de nouvelles
informations sont introduites dans le génome, mais nous n’avons aucune
idée de ce qu’elles sont et donc, aucun moyen de savoir si cette
affirmation est vraie.

3. La complexité irréductible est expliquée en détail dans l’ouvrage de Behe, La boîte noire de Darwin.
Pour résumer : si vous avez un système composé de vingt parties qui
sont toutes nécessaires à son fonctionnement – supprimez une partie et
le système devient inutile -, ce système ne pourra évoluer par étapes à
la façon darwinienne, parce que cela impliquerait de passer par dix-neuf
stades/états intermédiaires qui ne sont utiles à rien… par
conséquent, la sélection naturelle ne les sélectionnerait pas. C’est
l’un des problèmes majeurs du darwinisme. Dawkins crie « victoire »
parce qu’il montre que quelque chose a évolué de sorte à développer deux
parties qui se sont mises à agir en synergie. L’exemple de deux parties
est littéralement le pire qu’on puisse trouver pour illustrer la «
complexité », et pour couronner le tout, c’est tellement boiteux que ce
n’est même pas drôle.

4. On spécule que la mutation A ne faisait absolument
rien par elle-même. Alors comment a-t-elle pu être sélectionnée par la
sélection naturelle ? C’est l’élément-clé de l’évolution darwinienne. Si
ça ne fait rien, si c’est inactif, ça n’est d’aucune utilité pour la
survie et par conséquent, ça ne survivra pas. On s’attendrait alors à ce
qu’on nous explique comment cette mutation s’est répandue dans le
génome. Au lieu de cela, Dawkins ignore complètement cette question.
Partant de là, comment prendre au sérieux tout ce qu’il peut raconter ?

5. Quoi qu’il ait pu se produire lors des expériences
de Lenski – nous n’en avons aucune idée, si l’on s’en tient au
compte-rendu de Dawkins -, il est bien plus probable que, en parallèle à
quelque chose qui aurait accru les chances de survie, une partie du
code génétique se soit scindé. C’est plus crédible que d’affirmer que de
« nouvelles informations » ont été introduites. Je reviendrai sur ces
expériences plus loin. Mais Dawkins, comme la plupart des autres
darwinistes, ignore également ce point. Il ne voit que ce qu’il veut
bien voir et en tire une interprétation qui correspond à ses croyances
préconçues.

Malheureusement, nombre de gens lisent ses ouvrages sans avoir la moindre connaissance basique sur le sujet, et donc sont aisément convaincus par ses conclusions. Ils ne remarquent jamais toutes les manipulations, les incohérences, les idées fausses et les omissions, et pensent que Dawkins est un génie qui montre à ces imbéciles de chrétiens comment les choses fonctionnent. Les chrétiens peuvent certes avoir des idées imbéciles, mais malheureusement, les motivations de Dawkins sont tout autant idéologiques, ce qui en fait de facto un imbécile.

Dans un chapitre précédent de son ouvrage, Dawkins parle de l’élevage canin et conclut : « Si tant de changements évolutifs peuvent se produire en seulement quelques siècles voire quelques décennies, pensez à ce qui pourrait être accompli en dix ou en cent millions d’années. ». Selon votre degré de perspicacité, vous aurez peut-être remarqué – ou pas – que l’élevage canin relève du dessein, et non du hasard. Vous aurez peut-être également remarqué que modifier les tailles, formes et couleurs de pelage des chiens n’aboutira qu’à des races de chiens différentes, mais jamais à des chats, des gorilles ou des aigles. Cela produira également des anomalies génétiques chez la plupart des espèces. Dawkins nous bombarde d’arguments bancals et d’extrapolations ridicules, tout en insistant constamment sur le caractère extraordinaire de l’évolution.

Vers la fin de son ouvrage, Dawkins s’emploie à expliquer comment l’évolution combat l’entropie. Selon lui, la sélection naturelle est un système extraordinaire qui crée apparemment de nouvelles choses – donc qui combat l’entropie -, et si elle en est capable, c’est parce qu’elle est constamment alimentée par le Soleil ! Nous verrons plus loin jusqu’où s’étend réellement le champ d’action de la sélection naturelle, et le fait qu’elle ne « crée » rien. Ce que le Soleil a à voir là-dedans n’est pas clairement expliqué, à l’instar de tant d’autres affirmations de Dawkins. La seule chose qui puisse combattre l’entropie de l’information est la conscience/intelligence. La sélection naturelle peut, au mieux, ralentir l’entropie en éliminant les pires matériels génétiques, mais elle est incapable de l’inverser.

Si vous voulez en savoir plus sur les erreurs, omissions et autres défauts de ce livre, consultez ce blog de David Swift, auteur de Evolution Under The Microscope [L’évolution scrutée au microscope – Ouvrage non disponible en français – NdT] . Il expose les nombreuses façons dont Dawkins induit le public en erreur.

Dawkins ignore également la plupart des découvertes scientifiques du XXIe, voire de la fin du XXe siècle, ainsi que tous ces autres détails qui sont autant de vérités qui dérangent son argumentaire pro-évolution. Malheureusement, les gens avalent tout en bloc parce qu’ils n’ont pas les connaissances requises – Dawkins compte là-dessus. Souvent, ils veulent juste qu’on leur confirme dans un vocabulaire scientifique que le créationnisme a tout faux. Chaque aspect ou presque du darwinisme est a minima controversé – voire complètement inexact – pourtant Dawkins et les autres font comme si les preuves de l’évolution étaient tellement nombreuses que nous n’avons pas besoin d’en chercher plus, et quiconque fait preuve de scepticisme n’a qu’à lire ses ouvrages.

Dawkins est l’incarnation de tout ce qui ne va pas dans la science actuelle en général et dans le darwinisme en particulier. Ses ouvrages sont fondés sur l’idéologie matérialiste, qui affirme que de la matière inerte accomplit des prouesses magiques à chaque instant. C’est un propagandiste et un manipulateur convaincant – à l’exemple des réchauffistes, il traite ceux qui ne croient pas à l’évolution darwinienne de « négationnistes » – qui répète sur un ton dogmatique que l’évolution est une réalité, qu’elle est extraordinaire, que tout est le fruit du hasard, que la sélection naturelle est ingénieuse – malgré un QI de 0 – et que rien n’a de sens… mais les « preuves » de toutes ces allégations sont purement imaginaires. Il donne dans la « science populaire », ce qui signifie qu’il n’y a rien de bien scientifique là-dedans, donc le profane aura du mal à juger de la véracité de ses dires. Tout n’est que fruit de sa propre interprétation faussée des données.

Ce problème s’étend d’ailleurs à la façon dont le darwinisme est enseigné à l’école, où les élèves ont droit à une répétition ad nauseam du « fait » que l’évolution est une réalité – bien que les preuves sont soit inexistantes, soit falsifiées, comme nous allons le voir -, et l’omission délibérée des découvertes scientifiques de ces 50-70 dernières années met en exergue les problèmes sans cesse croissants que pose le darwinisme.

L’ouvrage de Jonathan Wells, Icons of Evolution [Les icônes de l’évolution – Ouvrage non disponible en français – NdT], traite précisément de cette question. Il énumère un certain nombre d’« icônes » – des idées qui sont, encore aujourd’hui, présentées dans les manuels de biologie comme des preuves de l’évolution. Icônes qui, on le sait depuis longtemps déjà, sont trompeuses, inexactes, voire fabriquées de toutes pièces. Ce sont des choses que « tout le monde sait » parce que tout le monde est allé à l’école, sauf qu’elle s’avèrent fausses. Je vais en passer quelques-une en revue brièvement. Pour une explication plus détaillée, je recommande chaudement la lecture de l’ouvrage de Wells.

animal human embyros

Sur l’image ci-dessus figurent des dessins d’embryons de différentes espèces, montrant que les premiers stades de développement sont pratiquement tous identiques entre eux, quelle que soit l’espèce. Le hic, c’est que nulle part il n’est fait mention du fait que ces dessins ont été bidouillés. Outre le fait de sélectionner certaines espèces similaires entre elles – au détriment de la sélection d’autres espèces -, Haeckel, l’auteur de ces dessins, a choisi des stades intermédiaires de développement. Or au stade initial, les embryons se ressemblent moins, et plus important, Haeckel a délibérément modifié les dessins pour donner l’impression trompeuse que la ressemblance entre ces embryons était plus grande qu’elle ne l’est en réalité. Aujourd’hui, nous disposons de véritables photos d’embryons, et la similarité qu’on peut remarquer sur les dessins de Haeckel est tout simplement inexistante.

Peppered moth

Sur
l’image ci-dessus, nous voyons une phalène du bouleau reposant sur un
tronc d’arbre. Les phalènes sombres se voient mieux sur les troncs
d’arbres clairs, tandis que les phalènes claires se voient mieux sur les
troncs d’arbres sombres. On suppose que durant la révolution
industrielle, alors que les troncs d’arbres se sont mis à foncer du fait
de la pollution, les phalènes sombres sont devenues plus répandues
parce que, leur couleur se confondant avec celle des troncs, cela leur
permettait de mieux se camoufler, les protégeant ainsi de leurs
prédateurs aviaires. Merci la sélection naturelle !

Par contre, ce qui n’est pas mentionné, c’est que la plupart des photos de phalènes sur des troncs d’arbres ont été bidouillées : les phalènes avaient été placées là par les photographes. Des expériences censées montrer la sélection naturelle à l’œuvre ont été conçues sans aucune rigueur scientifique, et il a fallu attendre des années pour que quelqu’un finisse par faire remarquer que les phalènes du bouleau ne se posent pas exclusivement sur des troncs d’arbres, à moins de les y déposer. Cela donna lieu à une polémique et toute l’affaire fut un fiasco, mais aujourd’hui, cette affirmation est toujours présentée dans les manuels scolaires comme une « preuve » de l’évolution.

Archaeopteryx

L’image ci-dessus présente un archæoptéryx, l’animal censé être l’intermédiaire entre les reptiles et les oiseaux. Le fait que la science ultérieure a montré que « l’archæoptéryx n’est pas l’ancêtre des oiseaux modernes – et ses propres ancêtres font l’objet d’une des controverses les plus vives de la science moderne » -, est complètement passé sous silence.

4 wing fruit fly

L’image
ci-dessus présente une mouche des fruits à quatre ailes, ce qui
prouverait soi-disant qu’il est possible d’évoluer vers quelque chose de
nouveau. La seconde paire d’ailes a été obtenue en laboratoire par des
mutations ciblées. Toutefois, ce qui est passé sous silence, c’est que
cette seconde paire d’ailes n’est pas fonctionnelle et qu’une
combinaison de trois mutations spécifiques a été nécessaire pour
l’obtenir ; cette expérimentation fut considérée, bien sûr, comme
l’illustration d’une conception intelligente. Parce qu’un organe
distinct a été utilisé pour les créer, les ailes n’ont pas seulement été
ajoutées. Il se trouve que cet organe était important parce qu’il aide
les mouches à maintenir leur équilibre. Et puisqu’une mouche est déjà
dotée d’ailes, ces nouvelles ailes n’avaient rien de « nouveau » en soi,
ce n’était qu’une paire d’ailes supplémentaire. Donc, ces mutants ont
gagné des ailes supplémentaires non fonctionnelles qui ont entravé leur
expression naturelle, ont perdu un organe qui leur était utile et n’ont
survécu à l’intérieur du laboratoire que dans des conditions favorables.
Dans la nature, ces mutants se seraient éteints parce que – devinez
quoi – la sélection naturelle ne les aurait pas « sélectionnés » en
raison de leur inutilité !

Il y a d’autres exemples, comme les pinsons de Darwin qui n’évoluent pas vraiment en quelque chose de différent, ou le raisonnement circulaire de l’évolution résultant en homologie et l’homologie prouvant l’évolution, mais nous nous arrêterons là. Le fait est que certains des exemples les plus connus de « preuve de l’évolution » sont faux, mais qu’ils sont toujours présentés aux étudiants sans mention de la controverse – au mieux – et de la fantaisie – au pire – qui les entourent. Donc, si vous faites partie de ces personnes qui croient que l’évolution est un fait prouvé parce que c’est ce qui est enseigné à l’école, mais que vous n’avez jamais fait de recherche personnelle à ce sujet, je vous recommande de lire Icons of Evolution pour voir à quel point l’évolution « prouvée » l’est vraiment.

Et l’on pourrait aussi se demander pourquoi ces fausses preuves sont présentées dans les cursus scolaires s’il y a soi-disant tant de preuves claires et incontestables de l’évolution. Et lorsqu’un étudiant proteste, il s’entend répondre que la pensée critique n’inclut pas la remise en question de la science éprouvée de l’évolution. C’est littéralement le contraire de la pensée critique. À ce stade, on commence à avoir l’impression que quelque chose ne va pas dans ce tableau. Thomas Nagel a bien résumé le problème lorsqu’il a dit : « l’urgence politique de défendre l’enseignement scientifique contre les menaces de l’orthodoxie religieuse – aussi compréhensible soit-elle – a abouti à une contre-orthodoxie soutenue par de mauvais arguments et à une tendance à exagérer les revendications scientifiques légitimes de la théorie évolutionnaire. ».

Alors qu’en est-il vraiment du darwinisme ? Est-ce que ça fonctionne ou pas ? La réponse à cette question n’est malheureusement pas un simple oui ou non.

Supposons que Darwin ne savait pas de quoi il parlait lorsqu’il a proposé sa théorie pour la première fois en 1859. Ce n’est pas une tentative de le dénigrer ; je pense qu’il s’en est plutôt bien sorti, pour son temps. Mais voilà la mise en garde : « pour son temps » . À l’époque, la science pensait qu’une cellule était une goutte visqueuse, personne ne savait comment l’hérédité fonctionnait, et la découverte du code ADN se produirait dans un futur relativement lointain. Ainsi, bien que Darwin ait observé plutôt correctement la variation et la sélection naturelle, il ne savait pas d’où venait cette variation, et, comme tout le monde à l’époque, il imaginait que les choses étaient d’ordres de grandeur plus simples qu’elles ne le sont réellement. Le mot « imaginer » est très pertinent ici. La théorie de Darwin portait sur ce qu’il imaginait, mais il n’avait – et n’aurait pu avoir – aucune idée des limites du processus d’action de la sélection naturelle sur la variation.

Plus tard, et avec la synthèse moderne des néo-darwinistes, les choses ont vraiment mal tournées. Ils avaient une meilleure idée de la façon dont les choses fonctionnaient, mais au lieu de se rendre compte des limites, ils se sont engagés dans une promotion quasi fanatique de la mutation aléatoire associée à la sélection naturelle comme l’explication à tout. Trop de dogmatisme enthousiaste, trop peu de science. Cela aurait pu être corrigé dans la seconde moitié du XXe siècle, mais au lieu de cela, le dogmatisme s’est renforcé et le darwinisme est devenu motivé par l’idéologie – étroitement liée au matérialisme et l’athéisme – plutôt que par la science. Par leur dogmatisme et leurs luttes vicieuses pour revendiquer la supériorité sur le créationnisme, les arguments en faveur de l’évolution sont devenus très semblables au créationnisme lui-même. Les darwinistes veulent prouver que Dieu n’existe pas et les créationnistes veulent prouver que Dieu existe, et les deux courants ignorent tous les faits qui ne correspondent pas à leurs thèses. Gagner le combat est devenu plus important que de découvrir la vérité. Entre-temps, la science a fait d’énormes progrès qui ont été ignorés ou déformés – à la manière de Dawkins – pour suggérer autre chose que ce qu’elle indique vraiment.

En ce qui concerne ce que la mutation aléatoire associée à la sélection naturelle peut ou ne peut pas vraiment expliquer, les meilleurs travaux qu’il m’ait été donné de consulter sont ceux de Michael J. Behe. Dans ses livres The Edge of Evolution et Darwin Devolves [Les limites de l’évolution et L’involution de Darwin – Ces deux ouvrages ne sont pas disponibles en français – NdT], Behe démontre à l’aide de découvertes scientifiques récentes, que la mutation aléatoire associée à la sélection naturelle explique une certaine adaptation pour la survie, mais qu’elle ne peut rendre compte d’une évolution complexe. Plus spécifiquement, selon Behe, ce processus peut être observé au niveau des espèces et des genres, mais il ne parvient pas à produire quelque chose d’assez complexe pour créer une nouvelle famille ou quelque chose au-dessus [sous-ordre, ordre, classe ou phylum qui sont les catégories taxinomiques supérieures de la systématique – NdT]. La raison principale en est l’irréductible complexité qui dépasse de loin la capacité de la mutation aléatoire associée à la sélection naturelle, même théoriquement. Il y a plus de vingt ans, Behe a mis au défi la communauté scientifique d’expliquer comment un flagelle pouvait se manifester par le mécanisme darwinien de la mutation aléatoire associée à la sélection naturelle. À ce jour, personne n’a été en mesure de le faire ou de concilier le fait que les mutations qui dégradent le code génétique sont au moins mille fois plus rapides que celles qui pourraient l’améliorer – cette dernière étant au préalable très peu probable.

C’est le cœur du problème pour le darwinisme. En principe, les mutations aléatoires et la sélection naturelle fonctionnent, comme décrit, mais ce processus est assez limité dans ce qu’il peut accomplir. C’est quelque chose que les darwinistes ne peuvent pas ou ne veulent pas comprendre. Ils utilisent la logique inverse de « si la facilité est possible, alors la difficulté doit être possible aussi ». Ils supposent que les mutations peuvent faire n’importe quoi, comme un drogué tellement shooté qu’il croit pouvoir voler. Mais elles ne peuvent pas. L’élevage canin ne créera jamais des chiens ailés. Ils n’ont pas le matériel génétique pour cela, et contrairement aux rêves des darwinistes, la sélection naturelle détruirait de toute façon un tel processus. Les darwinistes ont toujours confondu le changement de degré avec le changement de nature.

Alors, de quoi avons-nous des preuves ? Dans les cas où l’on a prouvé l’évolution – mais plus précisément l’adaptation – entre un spécimen étudié et un autre, on observe surtout une dégradation du code génétique. Lorsqu’une amélioration apparente du code génétique entre deux spécimens est constatée, cela ne donne aucune preuve directe d’une réelle évolution. Les darwinistes le supposent simplement par défaut.

Il existe des preuves de l’efficacité du processus de mutation aléatoire associée à la sélection naturelle – par exemple, l’adaptation du paludisme aux médicaments, l’expérience de Lenski sur E. Coli montrant que les bactéries peuvent, par exemple, augmenter l’efficacité de leur métabolisme, les cichlidés dans les lacs africains se diversifiant en plusieurs espèces, etc. Mais il y a clairement dans tous ces cas une limite au potentiel « évolutif ». Il s’agit plus d’une spécialisation – généralement au détriment de la polyvalence – que d’une évolution.

Behe le décrit ainsi :

« Le principe fondamental semble très probablement le suivant :
des variations aléatoires mineures autour d’un schéma conçu sont
possibles et peuvent être utiles, mais leur portée est très limitée.
Pour les nouveaux modèles de base tels que ceux qui se situent au niveau
biologique de la famille et au-delà
[propre à la systématique – NdT],
des informations supplémentaires sont nécessaires, des informations qui
dépassent la capacité de production des processus inconscients. »

Au cours des quelques décennies où nous les avons observés, le paludisme et le virus du VIH ont subi autant de mutations que les êtres humains dans toute leur histoire – parce qu’il sont nombreux et qu’ils ont une courte durée de vie générationnelle. Et quels résultats ont-ils obtenu ? Pas grand-chose. Ont-ils développer quelque chose de nouveau ? Non. Ont-ils changé d’une manière observable ? Non. Ils ne sont résistants qu’à quelques-uns de nos médicaments, ce qui n’implique habituellement qu’une seule mutation. Le virus est toujours un virus, et la bactérie est toujours une bactérie. Aucun changement dans leur nature, aucune nouvelle fonction.

Quant à l’expérience E. Coli de Lenski, tous les progrès apparents n’ont pas été sans conséquences.

« … la bactérie s’est débarrassée à plusieurs reprises de morceaux de son patrimoine génétique, y compris la capacité de fabriquer certains des éléments constitutifs de l’ARN. Apparemment, se débarrasser de machines moléculaires sophistiquées au prix d’un grand sacrifice permet à la bactérie d’économiser son énergie. Rien d’aussi élégant – loin s’en faut – n’a été construit. […]

La bactérie s’est comportée en éprouvette comme les agents pathogènes à
l’état naturel : de nombreux changements incohérents ont légèrement
modifié les systèmes préexistants. Rien de fondamentalement nouveau n’a
été produit. Pas de nouvelles interactions protéine-protéine, pas de
nouvelles machines moléculaires. Comme dans le cas de la thalassémie
chez l’homme, certains avantages évolutifs importants ont été conférés
par la destruction de certains éléments. Plusieurs populations de
bactéries ont perdu leur capacité de réparer l’ADN. »

C’est le genre d’informations que l’on obtient des travaux de Behe, mais pas de ceux de Dawkins. Le résultat de l’évolution depuis des dizaines de milliers de générations, c’est que des éléments sont plutôt détruits et que rien de complexe, même de loin, n’est créé. La sélection naturelle sélectionne pour la survie dans les conditions qui lui sont propres. Elle ne se soucie de rien d’autre. Il n’y a pas de planification, pas de préoccupation pour la qualité globale du génome.

C’est l’un des aspects les plus importants de la mutation aléatoire. Le code génétique tend bien plus à dégénérer qu’à se perfectionner, même au sein de mutations qui améliorent la survie. Un organisme stressé peut bidouiller une « solution aux effets secondaires imprévisibles » qui l’aidera, mais qui détruira un autre élément beaucoup plus vite qu’avec une solution constructive. Et si ce bidouillage assure la survie de l’organisme le temps qu’une solution constructive puisse être trouvée – tant est qu’il la trouve – cette dernière ne sera plus nécessaire, elle n’aura plus d’effet et la sélection naturelle n’y verra rien. C’est pourquoi les mutations bénéfiques – pour la survie immédiate – mais nuisibles – au code génétique – prévalent presque toujours. Ceci est expliqué en détail dans Darwin Devolves de Behe et dans Genetic Entropy de Sanford.

Il est tout simplement logique qu’un processus
inintelligent et aléatoire se conforme au principe de l’entropie.
L’information diminue dans l’organisme, des parties du code génétique
sont perdues et rien de nouveau n’est créé. S’il existe vraiment une
innovation dans les organismes, elle doit venir d’ailleurs.

Ainsi, l’évolution – mot qui signifie vraiment survivre en déchiffrant le code génétique – n’est un « fait prouvé » qu’à ce faible degré. Le reste n’est que spéculation, hypothèses et interprétation biaisées. La logique qui tend à penser que « si cela peut arriver dans vingt ans, imaginez ce qui peut arriver dans vingt millions d’années » est une erreur. C’est comme vouloir démontrer qu’en tournant un Rubik’s cube pendant cinq minutes on obtiendra des motifs de couleurs intéressants, et puis prétendre que le cube pourrait devenir une voiture en continuant pendant cinq ans. Il y a des limites à ce qu’un processus spécifique peut accomplir. Les darwinistes insistent sur le fait que leur processus aléatoire est aussi omnipotent que le Dieu des créationnistes.

Et la mutation aléatoire n’est pas la seule à présenter des limites, la sélection naturelle est également limitée et même limitante. Imaginons que cinq mille mutations sont nécessaires pour passer d’une espèce à une autre très différente et que ces mutations doivent être introduites de manière artificielle – une toutes les deux ou trois générations. La sélection naturelle agirait en fait à l’encontre de l’intention initiale, parce que 99 pour cent des mutations ne seraient d’aucune utilité en soi et qu’il n’y aurait donc aucun avantage pour la survie de l’espèce en question. Et comme nous l’avons vu, construire quelque chose qui n’est pas – encore – utile a des conséquences ; perdre des éléments plutôt que d’en gagner s’avère donc être la tendance dominante. La sélection naturelle est utile mais seulement pour des choses immédiatement bénéfiques à la survie. La plupart du temps, il ne s’agit que de mutations simples.

Créer quelque chose de nouveau avec la mutation aléatoire est une lutte ardue même en association avec la sélection naturelle. Selon Genetic Entropy :

« La nature extrêmement dommageable des mutations peut être constatée par l’incroyable rareté des cas évidents de mutations génératrices d’information. Il faut comprendre que les scientifiques disposent d’un réseau très sensible et très étendu pour détecter les mutations créatrices d’information, et que la plupart des généticiens les recherchent avec diligence en permanence. Cela est vrai depuis environ cent ans. La sensibilité de ce réseau d’observations est telle que même si une seule mutation sur un million créait sans ambiguïté de nouvelles informations – à l’exception des ajustements -, la littérature regorgerait de rapports à ce sujet. Pourtant, je ne suis toujours pas convaincu qu’il existe un seul exemple flagrant d’une mutation connue ayant sans ambiguïté créé de l’information. Il y a certainement beaucoup de mutations qui ont été décrites comme bénéfiques, mais la plupart de ces mutations bénéfiques n’ont pas créé de l’information, elles l’ont plutôt détruite. […]

Au cours du siècle dernier, beaucoup d’efforts ont été consacrés à essayer d’utiliser la mutation pour générer des variations utiles. C’était particulièrement vrai dans mon propre champ de recherches, la sélection végétale. Lorsqu’on a découvert que certaines formes de rayonnement et certains produits chimiques étaient de puissants agents mutagènes, des millions et des millions de plantes ont été mutagénisées et ont été triées afin de déterminer les améliorations possibles. […] Pendant plusieurs décennies, c’était l’axe principal de la recherche sur l’amélioration des cultures. Un grand nombre de mutants ont été produits et triés, représentant collectivement plusieurs milliards de cas de mutation. Un grand nombre de petites plantes stériles, malades, déformées et aberrantes ont été produites. Cependant, tous ces efforts n’ont presque pas permis d’améliorer les récoltes de façon significative. L’effort a été un énorme échec dans son ensemble et a été presque entièrement abandonné. Pourquoi cette énorme expérience de mutation/sélection a-t-elle échoué alors que de nombreux scientifiques titulaires d’un doctorat y ont contribué tout ce temps ? Parce que même avec tous ces milliards de mutations, il n’y a pas eu de nouvelles mutations bénéfiques significatives. »

Par conséquent, les mutations bénéfiques sont pratiquement inexistantes, mais de nombreuses mutations nuisibles échappent à la sélection naturelle, ce qui explique l’existence de choses comme les maladies génétiques. Les organismes dont l’ADN contient des erreurs dommageables peuvent encore survivre et se reproduire, et puisque ces erreurs surviennent infiniment plus souvent que tout ce qui est réellement bénéfique, le code génétique se détériore avec le temps. La grande majorité des mutations sont presque neutres et n’affectent donc pas la survie ; elles sont également invisibles pour la sélection naturelle mais introduisent constamment de plus en plus de petites erreurs dans le code génétique. C’est l’entropie en action.

Gardez également à l’esprit que les mutations se produisent au niveau des nucléotides, tandis que la sélection naturelle se produit au niveau de l’organisme entier. Nous avons peut-être de nombreuses mutations dans notre corps, certaines bénéfiques, d’autres très dommageables, mais survivre assez longtemps en tant qu’un tout global en vue de nous reproduire est la seule chose qui compte du point de vue de la sélection naturelle. Il n’y a aucun moyen de démêler les différentes mutations.

La puissance limitée de la sélection naturelle est d’autant plus évidente que l’organisme est grand. En fait, elle fonctionne mieux chez les bactéries et les virus où une seule mutation peut faire une différence visible. Mais chez les mammifères, une seule mutation – à moins qu’elle n’endommage un élément de façon très préjudiciable – sera dans presque tous les cas invisible, noyée dans des milliers d’autres caractéristiques, et n’entraînera aucun changement significatif du taux de survie. Et parce que les mutations dommageables sont des milliers de fois plus fréquentes que les mutations bénéfiques, l’état normal de tout organisme s’avère comporter des milliers de petites mutations délétères. Si une mutation bénéfique apparaît, elle ne peut survivre qu’en emmenant avec elle toutes ces mutations délétères. Les dommages globaux sont toujours plus importants que les avantages. À aucun moment un organisme n’aura plus de mutations bénéfiques que de mutations délétères.

Les darwinistes considèrent presque la sélection naturelle comme un Dieu qui choisit ce qui survit ou pas avec la plus extrême précision. Mais il n’y a pas de précision. La « chance inouïe » a plus à voir avec la survie qu’avec la sélection naturelle. Comme le souligne Sanford, si une baleine avale quelques milliers de crevettes en une seule bouchée, avale-t-elle les moins en forme ? Non, c’est aléatoire. Si le saumon nage vers l’amont pour pondre des œufs et qu’un ours attend d’en attraper quelques-uns, quelles sont les chances que l’ours obtienne les spécimens les moins en forme ? À peu près aucune. Les cas pour lesquels le facteur sélection naturelle fait un choix sont minimes en regard d’un certain nombre d’autres facteurs.

La sélection naturelle élimine principalement les organismes qui sont tellement endommagés qu’ils s’avèrent réellement incapables de suivre le rythme des autres. Les bactéries développant une résistance aux médicaments est l’un des rares exemples où la sélection naturelle « favorise quelque chose de nouveau ». C’est ici une circonstance lors de laquelle une différence significative peut être produite avec un effort minime, parce qu’il ne s’agit que d’une seule mutation dans un petit organisme. Encore une fois, dans un organisme plus grand, il est très peu probable qu’une seule mutation soit visible pour la sélection naturelle. Mais il n’y a pas de sélection pour les mutants. La sélection ne peut se faire que contre les non-mutants. La sélection ne fonctionne ici que parce que la drogue tue littéralement tous les non-mutants. La sélection naturelle n’a aucun pouvoir créatif. Elle ne peut que supprimer. Un élément nouveau qui s’avère utile survivra. Mais il en sera de même pour les organismes sains qui survivent depuis le début – à peu près au même rythme – à moins que les circonstances n’aient changé de façon significative. Pour l’essentiel, le travail de la sélection naturelle est d’essayer de préserver le code génétique tel qu’il est afin d’éviter qu’il ne se dégrade. Les mutations le dégradent tout le temps, mais la sélection naturelle ne peut supprimer que les pires d’entre elles. Si une mutation bénéfique apparaît, elle apparaît dans un organisme qui a déjà accumulé des centaines de petites mutations dommageables, donc même si l’organisme survit, le code continue de se dégrader. La seule chose que la sélection naturelle peut faire est de supprimer du patrimoine génétique les organismes qui ne peuvent se reproduire – quelle qu’en soit la raison. Il n’existe tout simplement aucun moyen de progression sur le long terme. Pas par ce processus en tout cas.

Et gardez à l’esprit que même une simple bactérie nécessite des milliers de générations et des milliards de spécimens afin qu’une mutation particulièrement significative se manifeste. Les bactéries passent par ce processus très rapidement. Pour les mammifères, une telle mutation pourrait prendre un million d’années avant d’apparaître et dans la plupart des cas, la sélection naturelle ne la verrait même pas.

À titre d’argument, supposons la naissance d’un loup qui peut courir deux fois plus vite que les autres loups. Il s’agit bien sûr d’une prouesse complètement irréaliste pour une mutation aléatoire, mais partons tout de même de cette hypothèse. Ce serait à peu près tout ce que l’on peut espérer qu’une mutation aléatoire puisse offrir à la sélection naturelle pour qu’elle puisse fonctionner. La question ici est de savoir ce que peut vraiment faire la sélection naturelle. Les darwinistes diront qu’elle « sélectionne pour la mutation aléatoire » et supposeront automatiquement que les loups en tant qu’espèce ont évolué ainsi pour devenir deux fois plus rapide.

Mais c’est très naïf. Que se passe-t-il en réalité ? On peut supposer que ce loup n’aura aucun mal à attraper une proie. On peut même supposer qu’il mangera littéralement quand il le voudra – bien que cela ne soit pas nécessairement vrai en raison de la faible disponibilité des proies et autres circonstances. Mais que peut y faire la sélection naturelle ? Le loup survit, bien sûr, mais comment cela affecte-t-il les autres loups ? Ils peuvent toujours attraper leurs proies exactement au même rythme qu’auparavant. La sélection naturelle ne peut favoriser ce loup deux fois plus rapide qu’en éliminant les autres loups. Elle ne peut pas plus le faire se reproduire. Elle ne peut tuer d’autres loups que s’ils sont incapables de survivre. Mais la capacité de survie de ce nouveau loup n’a pas diminué la capacité de survie des autres loups. Loin s’en faut puisque lorsqu’ils chassent en meute et capturent une proie ils mangent tous. Dans ce cas, l’avantage est transféré à l’ensemble du groupe, mais l’ensemble du groupe ne transmet pas les gènes du nouveau loup.

Voici pourquoi l’idée stupide de Dawkins sur les gènes égoïstes s’avère ne pas fonctionner : bien que ce loup deux fois plus rapide et sa progéniture puissent facilement survivre, on peut s’attendre à ce que leurs gènes se propagent à peine mieux que par simple dérive génétique. Nous sommes loin des « loups qui évoluent pour devenir plus rapides ». Et notez que ce loup est toujours – peut-être plus que les autres ! – sujet aux blessures, aux maladies, au froid, à la chasse humaine et à tous les autres périls qui pèsent sur les loups – peu importe qu’une telle mutation soit très susceptible d’endommager un autre élément de son génome de loup. Donc, même si une telle étape d’évolution aussi étonnante et improbable soit-elle s’est effectivement produite, une mort malchanceuse de ce loup demeure plus probable. Et cette malchance est généralement bien plus vraisemblable que la mutation elle-même.

Le pouvoir étonnant de la sélection naturelle n’existe pas dans le monde réel tel qu’il existe dans l’imagination de Dawkins.
Et que les bactéries unicellulaires – dans lesquelles la sélection
naturelle est plus puissante que dans les organismes plus complexes –
n’aient pas tellement évolué depuis deux milliards d’années, s’avère
être ironique mais très révélateur.

Ce qui nous amène à la fameuse explosion cambrienne, une autre des nombreuses problématiques du darwinisme. Pendant deux milliards d’années, seuls des organismes unicellulaires ont existé, sans que rien de complexe ne soit produit. C’est parfaitement sensé. Ce qui n’a aucun sens – du point de vue darwinien -, c’est que soudainement, en quelque vingt millions d’années, la plupart des phylums [embranchements ou divisions en systématique – NdT] du règne animal sont apparus dans toute leur complexité. Selon le pronostic darwinien, les choses évoluent lentement à un rythme assez constant. L’explosion cambrienne s’oppose totalement à cette théorie. Bien sûr, les darwinistes – qui commencent avec la croyance préformée que l’évolution est vraie et qui tentent ensuite de déformer les faits pour qu’ils correspondent à la conclusion – avancent toutes sortes d’excuses particulièrement boiteuses que nous n’aborderons même pas ici.

Cambrian explosion

L’évolution est lente et progressive. Comme… pas sur cette photo. Ce qu’il y a d’amusant à considérer, c’est que si quoique ce soit dans cette description est causé par des mutations aléatoires, il s’agit plus probablement du déclin des espèces plutôt que de leur création. La mutation aléatoire est plus susceptible de jouer un rôle dans l’extinction des espèces plutôt que dans leur évolution. L’ironie de ce fait est épique.

Les darwinistes confondent également souvent « compatible avec » et « preuve à l’appui ». Chaque fois qu’ils observent un processus en cohérence avec l’évolution, ils affirment que c’est la preuve de l’évolution. Mis à part le fait qu’il s’agit là d’une erreur, il ne leur vient pas à l’esprit que cette « preuve » est en fait – dans 90 pour cent des cas – également conforme à la principale théorie concurrente – la conception intelligente.

Ascendance commune

L’ascendance commune n’est pas réellement prouvée. Ce n’est pas un fait ; c’est une interprétation d’un fait, le fait que différents organismes se ressemblent anatomiquement et sont donc vraisemblablement apparentés. Mais s’agit-il d’une ascendance commune ou d’un concepteur commun ? La similitude de conception de différents organismes est tout à fait logique du point de vue de la conception intelligente. Si l’on veut concevoir une nouvelle voiture, sera-t-elle conçue à partir de zéro, y compris en réinventant la roue ? Bien sûr que non. Une voiture semblable à celle envisagée servirait de modèle avant de choisir et d’effectuer les modifications qui feraient d’elle une nouvelle voiture. La similitude de l’anatomie n’est pas une preuve d’évolution, surtout lorsqu’elle correspond parfaitement à la théorie opposée. Bien sûr, c’est là que les darwinistes se ridiculisent tout seuls en déclarant comment Dieu concevrait ou non les choses. Étant des athées matérialistes qui nient l’existence de tout ce qui s’approche d’une idée divine, les darwinistes sont bien sûr les experts en chef sur ce que Dieu ferait ou ne ferait pas.

Si l’on aligne une centaine de voitures différentes et qu’on invite un darwiniste d’une autre planète où il n’y a pas de voitures à regarder, il verra immédiatement l’ascendance commune de ces voitures, l’homologie, et la preuve évidente que ces voitures ont évolué d’un ancêtre unique et qu’il n’y a absolument aucun besoin de conception. Il sera en mesure d’aligner les voitures dans l’ordre dans lequel elles ont probablement évolué. Ce sont des preuves évidentes, non ? Personne n’a conçu les voitures. Cela peut sembler absurde, mais c’est vraiment une analogie assez fidèle de la façon dont les darwinistes « prouvent » l’ascendance commune. Bien sûr, la similitude de structure n’est pas non plus la preuve d’une conception commune ! C’est une simple ressemblance qui s’avère conforme aux deux théories et qui peut être interprétée de différentes façons – comme je l’ai précisé au début de cet article. Mais les darwinistes l’utilisent comme « preuve » de l’évolution, ce qui est une fausse preuve.

L’être humain est un cas spécifique dans lequel je n’essaierai même pas d’entrer. Dans le contexte de l’évolution, l’humain est un sujet tellement controversé que les ouvrages qui lui sont consacré sont légion. La question de savoir comment les êtres humains ont « évolué » pour devenir ce qu’ils sont aujourd’hui implique de nombreux mystères que personne n’a été capable de résoudre de manière satisfaisante. Sauf pour les dommages génétiques tellement graves qu’un enfant puisse en mourir ou un adulte être stérile, la sélection naturelle ne fonctionne pas du tout dans le cas des êtres humains. Les gens plus intelligents se reproduisent-ils plus que les stupides ? Non. Les gens qui font de l’exercice se reproduisent-ils plus que les gens paresseux et obèses ? Non.

Alors, que peuvent vraiment faire les mutations aléatoires et la sélection naturelle ? Jetons un coup d’œil.

Un loup peut-il devenir un chien ou un renard ? Probablement. Si l’on peut même dire qu’il s’agit d’une évolution ; je dirais que c’est juste une adaptation à l’environnement. Ils ont la même structure squelettique, les mêmes organes, la même fourrure, le même nombre de pattes, etc. Seul un changement de taille et de couleur serait nécessaire. De simples mutations peuvent faire l’affaire.

Un loup peut-il devenir un aigle ou un éléphant ? Non. Le hasard, une étape à la fois, ne crée pas d’ailes ou de défenses fonctionnelles là où aucun code génétique le permettant n’était présent auparavant.

Que peut devenir un poisson ? Un autre poisson.

Que ne peut pas devenir un poisson ? Un aigle, un éléphant, une fourmi, un être humain, un palmier, ou tout ce qui n’est pas vraiment un poisson.

Nous pourrions dire que la micro-évolution fonctionne et que la macro-évolution ne fonctionne pas.

Pour résumer rapidement les différentes problématiques du darwinisme :

  • L’origine de la vie est inexplicable (plus d’informations à ce sujet dans la 3e partie).
  • Un code sophistiqué, fonctionnel et complexe ne peut pas survenir accidentellement.
  • Les processus aléatoires ne sont pas créatifs.
  • La plupart des mutations ont peu ou pas d’impact sur la survie, mais dégradent le code.
  • La sélection naturelle est impuissante dans la plupart des cas.
  • La
    complexité irréductible – ou toute autre complexité décente – ne peut
    être surmontée par la mutation aléatoire associée à la sélection
    naturelle.
  • Les mutations délétères surpassent les mutations bénéfiques à des milliers contre une.
  • La chronique fossile ne soutient pas le modèle darwiniste.
  • Les observations et les expériences n’ont montré qu’une adaptation très simple et des gènes endommagés.
  • Les mutations induites par les radiations n’entraînent pas d’amélioration, seulement des dommages.
  • La similitude de la structure n’est pas une preuve de l’évolution.
  • Beaucoup des « preuves » de l’évolution sont connues pour être fausses, mais continuent d’être présentées comme vraies.
  • L’idée qu’avec suffisamment de temps tout est possible, est une erreur.

Comment en sommes-nous arrivés à une théorie du consensus qui semble à ce point erronée ? Je ne blâme pas Darwin. Je pense qu’il a fait du bon travail avec les outils dont il disposait. Je pense que le problème est venu avec un groupe d’individus qui, constatant que cette théorie faisait la promotion d’une vision matérialiste du monde qu’ils avaient déjà, ont décidé de la promouvoir, de façon un peu trop agressive. Au moment où la science a commencé à exposer les problèmes inhérents à cette théorie, ces individus avaient beaucoup investi pour entretenir le mythe. La théorie de l’évolution est passée de la science à un dogme utilisé pour soutenir l’idéologie du matérialisme et de l’athéisme. Je m’en fiche si les gens veulent être matérialistes et athées, mais quand ils utilisent leurs opinions pour déformer la science et obscurcir la vérité, cela me pose un problème. Ce dogme nous a fait reculer de plusieurs décennies, et peut-être plus si la trajectoire n’est pas corrigée bientôt.

Comme l’a montré la science depuis environ un demi-siècle, la combinaison mutation aléatoire + sélection naturelle a un champ d’application très limité, et quelque chose d’autre doit donc rendre compte de toute la complexité de la vie qui se manifeste autour de nous.

Si les théories créationniste et darwiniste n’ont pas les réponses, alors vers quoi se tourner ?

Le créationnisme est un conte de fées soutenu par un livre douteux, et le darwinisme est une science zombie pleine d’illusions qui s’efforce de garder en vie ce qui est mort depuis longtemps. Comment expliquer alors cette vie foisonnante autour de nous ? C’est là que nous entrons dans un domaine plus spéculatif. Vous êtes libre de tirer vos propres conclusions, mais je vais vous faire part de quelques suggestions qui pourraient valoir la peine d’être considérées.

L’évolution pourrait se produire – au moins dans une certaine mesure – par d’autres moyens que la mutation aléatoire. Il s’avère que c’est une des suggestions que propose Perry Marshall dans son livre Evolution 2.0. Voici une partie de son résumé :

  • Le néo-darwinisme prétend que mutation aléatoire + sélection naturelle + Temps = Évolution.
  • La mutation aléatoire est une perturbation et les perturbations sont dommageables.
  • Les cellules réarrangent l’ADN selon des règles précises (transposition).
  • Les cellules échangent de l’ADN avec d’autres cellules (transfert génétique horizontal).
  • Les cellules communiquent entre elles et éditent leurs propres génomes avec un langage incroyablement sophistiqué.
  • Les cellules activent et désactivent le code pour elles-mêmes et leur progéniture (épigénétique).
  • Les cellules fusionnent et coopèrent (symbiogenèse).
  • Espèce
    1 + espèce 2 = nouvelles espèces (hybridation). Nous savons que les
    organismes s’adaptent rapidement parce que les scientifiques produisent
    chaque jour de nouvelles espèces en laboratoire.
  • Mutation adaptative + sélection naturelle + Temps = Évolution 2.0.

Tous ces paramètres, de la transposition à l’hybridation, sont des processus qui élargissent l’information contenue dans le code génétique. Ils ne sont pas tout à fait aléatoires, ils affichent des signes d’intelligence ou de dessein et produisent des résultats plus avantageux que la mutation aléatoire. Ils sont notoires depuis plusieurs décennies mais même si (ou parce que ?) ces processus fournissent quelque chose de plus significatif que le hasard, les darwinistes tendent à les ignorer. L’ouvrage de Marshall les explique tous en détail. Je n’en parlerai pas ici, mais il est clair qu’il s’agit de processus évolutifs comportant plus d’avantages qu’aucune circonstance fortuite ne pourra jamais ambitionner atteindre. Pour établir une distinction avec la mutation aléatoire, la somme de ces processus est nommée mutation adaptative par Marshall.

Les darwinistes s’en tiennent obstinément à leur idée que « le hasard améliore les choses et crée de l’ordre ». Ils n’aiment pas Dieu, et apparemment ils n’aiment aucune forme d’intelligence non plus. Marshall donne un exemple de cette esquive :

« En 2009, le célèbre athée Richard Dawkins a publié son épais best-seller Le plus grand spectacle du monde. Il y affirme que l’évolution est déterminée par des changements aléatoires dans les gènes. Il est intéressant de noter que dans l’ensemble des 450 pages que constitue Le plus grand spectacle du monde

  • La symbiogenèse n’est jamais mentionnée.
  • Le transfert
    horizontal de gènes est brièvement abordé une fois, minimisé et présenté
    comme un transfert d’une espèce à l’autre n’existant qu’en de très
    rares occasions.
  • L’épigénétique reçoit une petite note de bas
    de page au chapitre huit. Il s’en détourne avec désinvolture en la
    considérant comme un « modeste mot à la mode » et une « théorie confuse
    qui jouira de quinze minutes de gloire ». (Au moment d’écrire ces
    lignes, l’« épigénétique » est l’un des principaux domaines de la
    génomique et apparaît 129 000 fois dans Google Scholar [service de
    Google permettant la recherche d’articles scientifiques – NdT]. Le
    nombre d’occurrences a doublé au cours des deux dernières années – il
    s’agit clairement d’un domaine de recherche captivant.)
  • La transposition n’est jamais mentionnée.
  • La duplication des génomes n’est jamais mentionnée.

Pourquoi Dawkins n’a-t-il pas accordé jusqu’à trois pages aux
cinq mécanismes d’évolution les mieux documentés ? Pourquoi se
comporte-t-il comme si les cinquante dernières années de microbiologie
et les milliards de dollars de recherche n’avaient jamais existé ?

L’ancien « Professeur de compréhension des sciences par le grand public
» de l’université d’Oxford a écrit l’un des ouvrages sur l’évolution
les plus populaires de la dernière décennie, qui a bénéficié
d’impressionnantes couvertures médiatiques et pour lequel il a reçu de
larges avances financières.

Alors pourquoi ne mentionne-t-il rien de tout cela ? » Parce que Dawkins a son propre agenda et qu’après toutes ces années il est peu susceptible d’en changer. Son livre était censé démontrer la véracité de l’évolution. Mais tout du long, il mentionne simplement quelques faits et les explique avec la théorie de l’évolution plutôt que d’expliquer la théorie de l’évolution avec quelques faits. Je ne pense pas qu’il comprenne grand-chose aux faits, aux preuves ou à l’objectivité. En raison de toutes les idées fausses qu’il avance dans ses ouvrages, les lire risque d’empirer la connaissance de la vie et de la biologie que l’on pourrait avoir.

Toutefois, je ne sais pas ce que la théorie de l’évolution 2.0 peut vraiment expliquer. Je ne pense pas que cela puisse nous faire passer du poisson au tigre, et je ne crois pas un seul instant qu’elle ait pu générer l’explosion cambrienne. La raison en est simple : s’il s’agit d’un élément que les organismes ont toujours eu à leur disposition, l’utiliser mille fois plus lors d’une période spécifique et relativement courte que durant toutes les autres époques ne semble pas avoir de cause explicable. C’est aussi la raison pour laquelle les mutations aléatoires seraient tout aussi impuissantes à expliquer l’explosion cambrienne – même si elles fonctionnaient décemment, ce qu’elles ne font pas. En fait, il semble qu’aucun processus naturel puisse expliquer l’explosion cambrienne. La perception du saut dans l’évolution y est tellement phénoménale qu’il semble improbable que les conditions puissent changer si radicalement que la vie soit soudainement en mesure d’évoluer d’elle-même à un rythme plus rapide que jamais de plusieurs ordres de grandeur.

Il m’apparaît plutôt qu’il a été décidé d’intensifier l’expérience de la « vie sur Terre ». Mais avant d’en arriver là, un autre problème significatif se pose.

L’origine de la Vie

L’origine de la vie ne préoccupait pas Darwin. Il est simplement parti du principe que la vie avait commencé d’une manière ou d’une autre et son intérêt portait spécifiquement sur la façon dont elle avait évolué à partir de là. Au XXe siècle, les néo-darwinistes se devaient bien sûr d’améliorer la théorie darwinienne pour être un tant soit peu pris au sérieux, mais cette ambition leur a glissé entre les doigts. Si l’on veut savoir ce qu’il s’est produit « au début » et que l’on consulte la littérature appropriée, le résultat s’avère frustrant parce qu’il n’y a aucune réponse. De nombreuses spéculations dont beaucoup sont assez stupides, mais rien de précis.

On peut y découvrir des affirmations comme « la transition d’entités non vivantes à des entités vivantes n’a pas été un événement unique mais un processus graduel d’une complexité croissante ». En quoi cela a-t-il un sens ? Comment fait-on pour passer progressivement de la non-vie à la vie ? Quelles sont les étapes intermédiaires ? Des organismes qui ne sont pas morts mais pas tout à fait vivants non plus ? Des zombies ? Autant se battre contre des moulins à vent. En fin de compte, après avoir lu de nombreuses tentatives infructueuses pour expliquer comment la vie a émergé de la non-vie, on constate que la seule vraie réponse est que personne n’en a tout simplement la moindre idée. Quiconque vous dit savoir comment la vie s’est manifestée à partir de la matière morte – ou plutôt, « rien » – vous ment ou s’illusionne.

Il y a la tristement célèbre expérience Miller-Urey qui fut en son temps saluée comme un grand progrès parce qu’on pensait qu’elle démontrait l’apparition spontanée dans la Nature de certains acides aminés. Cette expérience fut aussi présentée comme la preuve de la création des « éléments constitutifs de la vie », expression problématique parce que fallacieuse. Les acides aminés construisent des protéines, et celles-ci sont essentielles au sein des organismes vivants. Toutefois, obtenir quelques acides aminés et prétendre avoir pour ainsi dire créé la vie revient à griffonner quelques symboles aléatoires sur un morceau de papier et se flatter d’avoir quasiment conçu un langage. On est loin de produire quoique ce soit qui s’apparente de près ou de loin à la vie juste avec quelques acides aminés. Tout comme lorsqu’on a « si », « alors » et « autrement » ne revient pas à posséder un programme informatique, même si ces trois mots peuvent être considérés comme les éléments constitutifs d’un code logiciel. Et même si les bons acides aminés se sont assemblés en grand nombre et dans le bon ordre pour former une protéine – ce qui s’avère pure fantaisie -, alors quoi ? On a une protéine, mais sans une cellule pleinement fonctionnelle, que peut-elle faire ? Absolument rien.

La bactérie est prétendument la première forme de vie. Pour se reproduire, les bactéries ont besoin d’ADN, de différentes versions d’ARN, de certaines enzymes, de ribosomes, etc. Tous ces composants sont beaucoup trop complexes pour être assemblés lors d’une circonstance fortuite. L’ADN lui-même est trop complexe pour être combiné de façon hasardeuse – peu importe le temps que cela prend – sans omettre le fait que les autres composants demeurent nécessaires à son fonctionnement. L’ADN est un code plus sophistiqué que tout ce que nous avons jamais conçu, et il n’y a absolument aucune chance qu’il soit le fruit d’une circonstance fortuite. Nous ne connaissons qu’un seul moyen de créer un code : que sa conception émane d’un esprit intelligent.

Voici le commentaire de Marshall à ce sujet : « Origine de la vie : La théorie de l’information révèle que les codes exigent un concepteur ou un processus naturel non découvert qui génère des codes ». Si vous découvrez un processus naturel qui génère des codes, vous pouvez gagner cinq millions de dollars US [le montant des gains s’élèvent à dix millions de dollars US depuis le 31 mai 2019 – NdT]. Oui, c’est quelque chose que Marshall offre, et ce depuis un certain temps [août 2017 – NdT]. Vous pouvez suivre ce lien pour lire le règlement du concours. Si vous découvrez comment l’ADN a pu se manifester spontanément, vous deviendrez riche et le darwinisme aura peut-être une chance de survivre à son évolution. Personne n’a encore à l’évidence réclamé le prix, et il est peu probable que qui que ce soit le réclame puisque les codes exigent vraiment un concepteur, parce que c’est ainsi que tous les codes que nous connaissons ont été créés.

L’ADN est une base de données – de manuels d’instruction à
l’usage des structures et des processus complexes – dont l’immensité est
incompréhensible… Qu’un système moléculaire aussi sophistiqué que
l’ADN ait été conçu est une évidence.
Personne n’a été en
mesure d’offrir une alternative plausible. Les darwinistes font –
désespérément – de gros efforts mais restent enlisés dans « nous n’en
avons pas la moindre idée » ou insistent stupidement sur le fait que
c’était un accident. Comme je l’ai mentionné, une cellule en mesure de
se reproduire doit être bien plus complexe que l’ADN lui-même. Ce genre
de complexité exige une conception. Certaines personnes assimilent le
dessein intelligent à Dieu, parce qu’apparemment elles manquent à la
fois d’imagination et de bon sens. Une voiture est le produit d’un
dessein intelligent. Internet est le produit d’un dessein intelligent.
Ont-ils été conçus par Dieu ? Alors pourquoi irait-on s’imaginer qu’un dessein intelligent signifie Dieu ? Je ne suis pas sûre de savoir quelle partie des mots « intelligent » ou « dessein » s’apparente à « Dieu ».

Les propriétés mêmes de l’ADN nous signalent qu’il est très probablement le produit d’un dessein, et que son concepteur a dû être bien plus intelligent que nous. Qui cela peut-il être, alors ? Qui qu’ils soient, ils ne sont clairement pas là pour nous donner une chance de discuter avec eux. Mais voyons les choses sous un autre angle. Nous interférons nous-mêmes avec l’ingénierie génétique depuis un certain temps et peu de chose nous empêche de semer de la vie sur une autre planète – si nous en trouvons une où les conditions sont favorables. Donc, d’un point de vue logistique, il n’y a aucune raison pour que la vie sur Terre n’ait pas été semée par quelque être qui nous soit semblable. C’est bien plus plausible que la magie créationniste de « Dieu a tout créé » et la magie darwiniste de « MDR tout arrive juste par hasard ».

[Note de Joseph : supposer que l’origine de la vie sur Terre serait le fait d’autres entités qu’humaines et non d’une Cause universelle créatrice telle que ce que l’on appelle Dieu ne fait que repousser le problème : qui ou quoi a créé ces entités qui auraient créé la vie terrestre ?]

Mais si nous devions semer la vie ailleurs, nous serions dans l’obligation d’utiliser l’ADN terrestre, parce que nous sommes loin d’être en mesure de vraiment créer une nouvelle vie. Pensez-y ; malgré toutes nos connaissances et notre intelligence et même si nous avons une compréhension basique du fonctionnement de l’ADN, nous ne sommes toujours pas en mesure de concevoir un code pour créer la vie. Et malgré cela, les darwinistes croient que la vie se crée toute seule, par une « circonstance fortuite ». Mais si quelqu’un avait semé la vie sur Terre, il aurait probablement été constitué de la même structure d’ADN que celle utilisée, ce qui ne fait que déplacer la question des « premières origines » sur « eux » et n’explique pas l’origine de l’ADN, mais expliquerait la vie sur Terre.

Quoi qu’il en soit et quel qu’en soit le responsable, il est manifeste que le code immensément sophistiqué de la vie sur Terre est le produit d’une conception intelligente quelle qu’elle soit. Cette conclusion inévitable n’est pas moins valable sous prétexte que nous ne sommes pas encore en mesure de connaître le concepteur. Et il n’y a aucune raison de s’en remettre à Dieu pour la réponse. Pour être impartial, il n’est pas plus irraisonnable de penser qu’une entité que nous appellerions Dieu ait pu créer la Vie initialement. Il n’y a peut-être aucune preuve à l’appui mais il n’y a pas plus de preuves contre – du moins en théorie. Et rappelez-vous, le darwinisme est une théorie !

Au fur et à mesure que l’on s’habitue à l’idée que le concepteur n’a pas besoin d’être Dieu, il devrait être plus facile de comprendre toute éventuelle imperfection dans la conception. Si nous semions la vie sur une autre planète, je suis sûr qu’il y aurait beaucoup d’erreurs. Dawkins se moque régulièrement dans ses ouvrages de la théorie du dessein intelligent avec des questions telles que « qui, avec un esprit sain, concevrait ceci ? » et « pourquoi un concepteur intelligent l’élaborerait-il de cette façon ? ». Dawkins estime connaître si parfaitement la biologie de toutes les créatures qu’il sait comment tout organisme fonctionne et a fonctionné dans le passé, et il concevrait tellement mieux les choses qu’il s’arroge le droit de juger ce qui est bon et ce qui ne l’est pas. Dawkins a vraisemblablement scruté de près les millions de produits absolument parfaits et sans défauts que les êtres humains ont conçu puisqu’il sait également que la conception se doit d’être parfaite.

La dernière chose que je veux mentionner ici est la conscience. Enfant du matérialisme, le darwinisme écarte la conscience comme s’il s’agissait d’une sorte d’effet secondaire. C’est, à mon avis, l’une des plus grosses erreurs jamais commises en science. Si l’on écarte la moitié de l’Univers de nos équations, comment s’attendre à ce que le résultat ait un sens ? C’est d’autant plus embarrassant que nous savons depuis longtemps grâce à la mécanique quantique que l’esprit peut affecter la matière. La question que l’on devrait probablement se poser est donc la suivante : la conscience pourrait-elle affecter l’ADN d’une manière quelconque ? Par exemple, certains états mentaux ou émotionnels prolongés pourraient-ils activer et désactiver les gènes ? Peut-il y avoir une sorte d’accordage entre le corps et l’esprit ?

À l’évidence, nous ne savons rien avec certitude dans ce domaine – la faute au matérialisme qui sous-tend la science moderne – puisque personne n’effectue ce type de recherche, mais beaucoup considèrent qu’il s’agit d’un axe d’investigation légitime. Le matérialisme ne peut pas expliquer l’ADN et la vie, et le darwinisme ne peut pas expliquer l’évolution, alors réfléchir au rôle que la conscience serait susceptible de jouer pourrait en valoir la peine. Et si la conscience y a un rôle, il n’est probablement pas aléatoire et doit certainement rendre compte d’un concept plus constructif que les mutations aléatoires. Si le créationnisme et le darwinisme/matérialisme ne parviennent pas à décrire la réalité, la réponse essentielle est d’explorer d’autres options avec un esprit ouvert.

Alors bien sûr, si l’on pense que le matérialisme est un fait avéré, que tout est matière et que la conscience n’est qu’une illusion, on ne peut pas adhérer à ces idées, ce qui revient à avouer être un robot biologique génétiquement programmé, sans libre arbitre, sans but, sans valeurs, un être pour qui la vie n’a finalement aucun sens. Il est vain de débattre de quoi que ce soit avec de telles personnes car toute discussion ne peut qu’être l’inévitable résultat prédéterminé et sans signification de nos gènes. (Oui, le matérialisme est à ce point stupide qu’il est inutile de perdre plus de temps là-dessus.)

Le tableau d’ensemble

Comment tous ces éléments s’imbriquent-ils ?

L’ADN a dû être conçu. Je suis disposé à explorer d’autres options, mais à moins que quelqu’un ne gagne ces dix millions de dollars US pour avoir découvert comment le code le plus sophistiqué qu’il nous est donné de connaître a pu s’auto-assembler accidentellement, le dessein intelligent est la seule réponse qui ait un sens selon moi. S’il existe un concepteur, il est raisonnable de supposer que la vie sur Terre est venue de l’extérieur. Puis la mutation aléatoire et la sélection naturelle lui ont succédé et la vie a modestement entrepris de s’adapter et de se diversifier. Gardez à l’esprit que rien de complexe n’a « évolué » depuis deux milliards d’années. Cette époque est en fait conforme au darwinisme.

Je pense que lors de l’explosion cambrienne « quelqu’un, quelqu’être » a dû ajouter plus – bien plus – de formes de vie parce qu’il n’existe à notre connaissance aucun processus naturel en mesure d’expliquer rationnellement ce type de saut quantique. La « circonstance fortuite » n’est pas une explication sérieuse. De telles interventions se sont probablement répétées à maintes reprises et les périodes subséquentes aux catastrophes de grande ampleur et aux phénomènes d’extinction sont de bons candidats.

En dehors d’un nombre méconnu de telles interventions, la vie sur Terre est laissée à elle-même. Cela signifie que le processus darwiniste de mutation aléatoire associée à la sélection naturelle représente une partie de l’adaptation, que la mutation adaptative décrite dans Evolution 2.0 peut en représenter d’autres, et si la conscience joue un rôle – ce qui est difficile à savoir à cause de l’attention minimale que lui accordent les scientifiques – alors la conscience peut aussi être responsable d’une forme d’évolution, voire potentiellement plus que les autres mécanismes.

Tout au long de la majeure partie de l’histoire de la vie terrestre, ces processus naturels étaient seuls au monde. En ce qui concerne tous les « chaînons manquants » et les apparents sauts quantiques, une forme d’intervention intelligente extérieure semble être l’explication la plus probable, car nous n’avons aucune alternative scientifiquement plausible. En fin de compte, la complexité fonctionnelle ne se produit pas sans une certaine intelligence pour l’appuyer.

Nous n’avons certainement pas toutes les réponses et nous n’en trouverons peut-être pas dans un proche avenir, mais nous pouvons aller de l’avant, dans la bonne direction, en rejetant les idées qui contredisent la science. Les changements aléatoires n’améliorent pas la fonctionnalité. L’idéologie n’est pas la science.


Littérature recommandée

Michael J. Behe – Darwin’s Black Box (1996) – La boîte noire de Darwin (2009 pour la version française)
Michael J. Behe – The Edge of Evolution (2008)
Michael J. Behe – Darwin Devolves (2019)
Jonathan Wells – Icons of Evolution (2002)
Perry Marshall – Evolution 2.0 (2015)
John Sanford – Genetic Entropy & the Mystery of the Genome (2005)





Hermann Kelly (Irish Freedom Party) : « Nous voulons que l’Irlande quitte l’Union européenne » [Interview]

[Source : Breizh-info]

Nous avons évoqué la grande manifestation qui s’est déroulée à Dublin le week-end dernier, contre la tyrannie sanitaire. Une manifestation à laquelle a contribué un tout jeune parti politique en Irlande, qui fait de plus en plus de bruit, l’Irish Freedom Party. Un parti politique qui dénote, par son refus du politiquement correct, et par son image d’épouvantail sur un échiquier politique qui, en Irlande, est souvent resté cantonné entre Sinn Fein, Fianna Fail, Fine Gael, et travaillistes.

De quoi provoquer d’abord la curiosité, puis la détestation par la presse mainstream toujours aux ordres du système en place quel que soit le pays occidental.

Pour en savoir un peu plus sur ce parti, mais également pour connaitre les raisons qui ont poussé des Irlandais à descendre sur les quais de Dublin le week-end dernier, nous avons interviewé (par téléphone) Hermann Kelly, ancien journaliste devenu président de l’Irish Freedom Party.

Breizh-info.com : Vous pensez que l’Irlande doit quitter l’Union européenne ?

Hermann Kelly : En 2013, l’Union européenne a asphyxié économiquement l’Irlande, notamment avec l’aide des banques allemandes. C’est une Union mortifère, un malheur pour l’Irlande. Depuis que l’Irlande a rejoint l’UE en 1973, l’UE a pillé nos richesses naturelles (notamment dans le domaine de la pêche), notre argent. Des ressources qui auraient dû revenir dans les poches des Irlandais.

La dette bancaire placée sur les épaules du peuple irlandais par l’UE/FMI/BCE est énorme, c’est ce qui arrive lorsque les politiciens travaillent dans l’intérêt de l’UE plutôt que de l’Irlande.  Les politiciens irlandais décident d’aider l’UE en contractant des dettes privées, mais les Irlandais en supportent les conséquences avec pour plusieurs décennies d’endettement.

Nous avons quitté une union et un empire qui s’appelait l’Empire britannique, et maintenant, nous voulons quitter un second empire, une seconde union, appelée Union européenne. Nous voulons devenir un État indépendant, autogéré, comme la majorité des États dans le monde. Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, depuis la création de l’ONU, le nombre de nations indépendantes n’a cessé de croître. Notre époque est à la fin des empires et à la formation d’États démocratiques.

L’Union européenne est à rebours du sens de l’Histoire. Les peuples qui partagent la même culture, la même histoire, comme le peuple breton, comme le peuple irlandais doivent avoir le droit de déterminer leur propre futur et de de pas vivre sous des lois imposées par un ensemble extérieur.

Breizh-info.com : Et quelle position avez vous sur la réunification de l’Irlande ?

Hermann Kelly (Irish Freedom Party) : Le Royaume-Uni, a décidé, bien lui en a pris, de quitter l’Union européenne. Nous voulons que l’Irlande quitte également l’UE. Mais nous pensons que le Nord comme le Sud de l’Irlande, en quittant cette Union européenne, feraient toutes les deux un grand pas vers la réunification de l’Irlande.

Breizh-info.com : Vous pensez donc que catholiques comme protestants peuvent vivre ensemble, unis, dans une Irlande réunifiée ?

Hermann Kelly (Irish Freedom Party) : Je crois que les unionistes au Nord ont les mêmes aspirations que les catholiques. Ils sont pro-vie, concernés par l’avenir de leurs familles et de leur peuple, par leur identité nationale, et ne sont pas lobotomisés par les idées « progressistes » dangereuses qui proviennent des États-Unis. Nous avons énormément de points communs avec les protestants et les Unionistes en Irlande du nord, nous pouvons entrevoir un avenir en commun.

Breizh-info.com : Pourriez vous revenir sur la manifestation de samedi dernier à Dublin, contre la tyrannie sanitaire, qui a réuni des centaines de manifestants sur les quais, à l’appel de plusieurs organisations dont la vôtre ?

Hermann Kelly (Irish Freedom Party) : Il y avait en effet trois intervenants de l’Irish Freedom Party dont Michael Leehy, vice-président et Professeur Dolores Cahill, présidente, de l’Irish Freedom Party. Nous avons fait ce rassemblement car de nombreuses personnes ont été traumatisées par les conséquences de la gestion de la pandémie de Covid-19 et de ce confinement draconien.

Nos autorités ont imposé un confinement qui a brimé les citoyens. Des gens ont perdu leurs emplois. Ils ont vu leurs droits de voyager, d’être ensemble, de se déplacer, d’aller à l’église, et même de dire au revoir à leurs grands parents qui mourraient à l’hôpital, bafoués. Cette manifestation entendait également dénoncer l’autoritarisme des autorités et le mépris vis à vis de leurs droits constitutionnels.

Breizh-info.com : Il semblerait qu’en effet l’Irlande soit confrontée à une crise économique majeure… et à des menaces sur l’emploi, avec notamment la fermeture des pubs et de nombreux lieux publics. Qu’en est-il ?

Hermann Kelly (Irish Freedom Party) : Un Irlandais en âge de travailler sur quatre est sans emploi actuellement en Irlande. Les chiffres parlent d’eux mêmes.

Par ailleurs, nous sommes obligés de porter des masques partout. Quand vous regardez pourtant les statistiques, on voit que les chiffres concernant le Covid-19 notamment la mortalité, sont faibles. Idem pour les hospitalisations. Mais comme ils testent plus, ils trouvent plus de cas.  La plupart du temps ce sont des jeunes, qui n’ont pas de symptômes, qui ne nécessitent pas d’hospitalisation.

Nous pensons que ces mesures ont été prises par notre Gouvernement qui a subi la pression des autorités de l’Union européenne comme dans tous les autres pays ainsi que de l’OMS. Nous n’acceptons plus ces restrictions de nos libertés. Nous voulons reprendre nos droits fondamentaux. C’est pour cela que nous avons manifesté à Dublin, et qu’il y avait énormément de monde à cette marche, une marche nationaliste comme cela faisait très longtemps qu’il n y en avait pas eu en Irlande.

Breizh-info.com : Votre parti, l’Irish Freedom Party, est un parti très jeune, qui n’a pas réalisé un grand score lors de l’élection de 2020 (0,3%, 5500 voix). Quelles sont néanmoins vos ambitions pour le futur, alors que vous semblez séduire un nombre croissant d’Irlandais ?

Hermann Kelly (Irish Freedom Party) : Nous avons mené une très courte campagne lors des dernières élections, qui étaient notre première présentation électorale. Mais les gens nous rejoignent de plus en plus nombreux. La démonstration de samedi à Dublin le prouve. Nous avons l’ambition de provoquer de vrais changements politiques dans les années à venir en Irlande. Nous sommes un parti nouveau, mais nous grandissons vite, et nous allons apporter du changement.

Nous ne sommes pas un parti du système. Nous sommes un peu comme des « hérétiques dans une cathédrale », nous secouons le cocotier politique traditionnel en Irlande notamment parce que nous voulons quitter l’Union Européenne, qui est un peau le veau d’or des partis traditionnels en Irlande.

Nous n’avons pas peur d’être décrits comme politiquement incorrects. Nous tenons un discours de vérité.

Breizh-info.com : Quelle est votre position sur l’immigration en Irlande, une immigration qui, si elle n’atteint pas les niveaux de la France, de l’Angleterre, progresse tout de même notamment dans certaines grandes villes irlandaises ?

Hermann Kelly (Irish Freedom Party) : Etre membre de l’Union européenne signifie que vous n’avez aucune prise sur la politique migratoire de votre pays. Vous ne pouvez pas contrôler votre immigration. Techniquement cela signifie que vous avez des millions de gens, citoyens de l’Union européenne, qui peuvent venir en Irlande et vous ne pouvez rien y faire. C’est une situation ridicule. On ne peut pas mener de politique nationale sur les transports, sur l’éducation, si on ne maîtrise pas nos frontières et notre immigration.

Les Irlandais ont le droit de décider qui vient dans le pays, c’est à dire seulement les gens qui ont quelque chose à apporter à l’Irlande. Mais c’est à nous seuls d’en décider. L’immigration de masse n’a pas seulement des conséquences sur notre économie, mais aussi sur notre sécurité. Nous voulons contrôler notre immigration.

Breizh-info.com : Que répondez vous à vos opposants, notamment le Sinn Féin, l’extrême gauche, les partis traditionnels, qui disent que votre parti, l’Irish Freedom Party, n’est pas héritier de la révolution irlandaise de 1916 en raison de vos idées politiques défendues aujourd’hui ? Comme si vous n’aviez pas la légitimité pour parler au nom de l’Irlande ?

Hermann Kelly (Irish Freedom Party) : Rires. D’un côté, vous avez un parti politique qui lutte pour l’indépendance de son pays, l’Irlande. De l’autre, des gens comme au Sinn Féin, obsédés par le changement de sexe, les toilettes LGBT, l’avortement pour les enfants Irlandais. Des choses qui n’ont pour le coup rien à voir avec les idées portées par la révolution de 1916.

Dans le passé, le SF était nationaliste, et croyait en une Irlande indépendante, mais ils sont désormais devenus (comme le SNP en Écosse) des unionistes pro européens, défenseurs d’une Irlande asservie à l’UE. Ils ne défendent pas les intérêts des Irlandais. L’Union Européenne est un scandale anti démocratique.

In the past Sinn Fein were nationalist /  Republican and believed in an independent Ireland but they have now become European Unionist and agree with an Ireland subservient to the EU.

Nous pensons que nous sommes les héritiers des combattants de la liberté irlandaise, et que nous portons la flamme des idéaux qu’ils défendaient quoi qu’en disent les médias, ou les maîtres de l’Union européenne.


Propos recueillis par YV

Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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