Étiquette : Dette

Le monde qui marchait sur la tête est en train de remettre ses idées à l’endroit

Texte poignant de Coline Serreau qui ne mâche pas ses mots…
« Le gouvernement gère l’épidémie comme il peut… mais les postures guerrières sont souvent inefficaces en face des forces de la nature. Les virus sont des êtres puissants, capables de modifier notre génome, traitons-les sinon avec respect, du moins avec modestie.
Apprenons à survivre parmi eux, à s’en protéger en faisant vivre l’espèce humaine dans des conditions sanitaires optimales qui renforcent son immunité et lui donnent le pouvoir d’affronter sans dommage les microbes et virus dont nous sommes de toute façon entourés massivement, car nous vivons dans la grande soupe cosmique où tout le monde doit avoir sa place. La guerre contre les virus sera toujours perdue, mais l’équilibre entre nos vies et la leur peut être gagné si nous renforçons notre système immunitaire par un mode de vie non mortifère. »

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Quelques bons gros mensonges scientifiques

« La majorité des politiciens, selon les preuves dont nous disposons, ne sont pas motivés par la vérité, mais par le pouvoir, et par la préservation de ce pouvoir. Pour qu’ils puissent conserver ce pouvoir, il est essentiel que les gens restent dans l’ignorance, qu’ils vivent sans connaître la vérité, y compris la vérité de leur propre vie. Nous ne sommes donc environnés que d’un étalage de mensonges, dont nous nous nourrissons. »
– Harold Pinter, discours du Prix Nobel (de Littérature), 2005.

La préservation des structures hiérarchiques qui contrôlent nos vies dépend du « vaste étalage de mensonges duquel nous nous nourrissons » de Pinter. Les institutions en place, qui nous positionnent dans la hiérarchie, comme les écoles, les universités, les médias de masse ou les sociétés de productions audiovisuelles, ont comme fonction principale de créer et de préserver cet étalage. Les scientifiques de l’establishment répondent à ces mécanismes, ainsi que tous les intellectuels ayant pour fonction d’« interpréter » la réalité.
En fait, scientifiques et « experts » définissent la réalité afin qu’elle se conforme avec l’étalage mental dominant, qui mute pour s’adapter en permanence au moment. Ils inventent et construisent également de nouvelles branches de l’étalage, afin de souscrire aux intérêts de groupes de pouvoir spécifiques, en leur offrant de nouvelles voies ouvertes à l’exploitation. Ces grands prêtres sont récompensés de leurs bons et loyaux services par un statut de classe élevé.

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Éviter la venue de l’ère glaciaire

La plupart des gens aiment la prévisibilité dans leur vie. Certains aiment un peu d’excitation et de folie, mais même là, ils ont tendance à préférer que le résultat soit prévisible ; finalement, ils veulent rentrer à la maison et retourner au travail plutôt que de se retrouver coincés sur une île déserte ou mangés par un ours blanc. Les désirs de prévisibilité du public créent un marché de niche pour les gens qui font des prédictions. Curieusement, peu importe que les prédictions soient exactes ou non. La météo est chaotique, et donc pas particulièrement prévisible au-delà de quelques jours, mais les gens aiment se plaindre, et les prévisions météorologiques leur donnent de quoi se plaindre. Les marchés boursiers sont également chaotiques, mais il y a des analystes pour tous les goûts, de très haussier à très baissier.

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Marcel Leroux et le Réchauffement climatique

Marcel Leroux (1938-2008), professeur émérite de climatologie, nous expose dans ces deux articles une analyse radicalement différente de la vulgate officielle du réchauffement climatique anthropique portée par le GIEC, officine inter-étatique de falsification institutionnelle. Il convient de rappeler que toute vérité officielle est mensonge de classe par essence, que Marcel Leroux fait partie d’une longue liste de chercheurs ostracisés et que tout totem idéologique aboutit inévitablement aux mêmes conclusions culpabilisantes…

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La philosophie des anciens pour sauver l’Europe des griffes de la Finance ?

La sainte loi de la finance, qui repose sur la notion d’intérêts bancaires, creuse de plus en plus les inégalités entre les États européens du Sud et du Nord. Pour comprendre ce phénomène, un petit saut dans l’Histoire s’impose : faut-il nous réapproprier les idées philosophiques de nos anciens sur la monnaie et l’usure, celles d’Aristote, de Saint-Augustin, ou de Thomas d’Aquin ?

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Serge Petitdemange: La Dette publique (française) N’existe pas!

Serge Petidemange nous explique comment l’argent est créé virtuellement. En nous diffusant des extraits de vidéos explicatives. Et il conclu que la Dette publique (française) n’existe pas. Elle sera effacée par son mouvement “Renaissance française” précise t-il. L’argent réelle re-créé servira au peuple, notamment aux écoles, hopitaux… et à la diffusion de l’énergie libre!

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Un camouflet de douze millions

Le Grand Débat de Macron, qui a duré six mois, a coûté 12 millions d’euros. Il avait été précédé par une annonce pour une fois tenue: ce débat aura lieu, avait-il été dit, mais le cap ne changera pas. Pour une fois qu’un président de la République honore sa parole, saluons son honnêteté. Ce prétendu débat avec des interlocuteurs choisis et triés sur le volet par les préfectures a bien eu lieu; il a généré des dizaines d’heures de monologues que les chaines d’informations ont diffusé et commenté avec gourmandise, idem avec les quotidiens et les magazines qui s’en sont repu; aucune instance de régulation genre Conseil Supérieur de l’Audiovisuel n’a imaginé une seule seconde que ce temps de parole devrait entrer dans le décompte du temps alloué aux partis lors de la campagne pour les élections européennes. Ce président qui avait stigmatisé les présidence bavardes de ses prédécesseurs est en train de les enfoncer comme jamais.

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La force de l’existence

Les temps sont difficiles pour les patriotes actifs des deux côtés de l’Atlantique. En effet, le rouleau compresseur des diverses chartes onusiennes et la pression des grandes multinationales font en sorte que les prérogatives des états nationaux se réduisent, chaque jour, en peau de chagrin. Il y a péril en la demeure et c’est le cas de le dire.
L’historien Dominique Venner s’épanche longuement dans son essai, intitulé « Un samouraï d’Occident », sur les causes du déclin de l’Europe et de la civilisation helléno-chrétienne. D’après lui, l’inéluctable déclin de notre civilisation serait dû, d’entrée de jeu, à la perte de ce qui constituait la substantifique moelle de notre éthos collectif. La charpente de nos mœurs et de nos valeurs spirituelles aurait été endommagée par une sorte de suicide collectif : un phénomène s’appuyant, non seulement sur l’hubris débridée de nos élites, mais tout autant sur l’effondrement d’une sagesse populaire qui puisait à une tradition plurimillénaire. Nous aurions perdu les bornes qui contenaient les menaces qui s’appesantissent sur nos sociétés déboussolées au moment de composer ces quelques lignes.

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Inversion

« Je ne veux plus, d’ici la fin de l’année, avoir des femmes et des hommes dans les rues, dans les bois, ou perdus. », déclarait notre Jupiter fraîchement élu le 27 juillet 2017. Le téléspectateur ou lecteur normalement constitué pouvait interpréter ces propos comme une promesse d’offrir un toit aux plus démunis. C’est du moins ce que nous suggère en la circonstance notre bon vieux sens commun. Ce dernier, malheureusement, se trouve le plus souvent inapte à saisir l’intention profonde sous la permanente ambiguïté verbale d’un psychopathe. Car cet engagement pouvait tout aussi bien annoncer, sans ambages, la déportation pure et simple des sans-abris, sans que le bon peuple y voie malice… Vous trouverez peut-être ce contrepied délirant ou paranoïaque. Il illustre néanmoins à merveille la double-pensée si caractéristique du discours présidentiel.

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