Note sur la schizophrénie du totalitarisme

Par Joseph Stroberg

Les « validistes » seraient ceux qui s’en prennent à des personnes handicapées
(que l’on appelle au Québec des personnes « ayant des limitations », comme si cela changeait leur condition).

Le vrai totalitarisme qui est presque achevé (celui du Nouvel Ordre Mondial) ne peut se faire à moitié. Celui-ci est totalement schizophrène, écartelé entre d’une part la recherche d’égalité (avec notamment une interdiction de dévier des normes comportementales approuvées), et d’autre part la théorie du genre qui multiplie artificiellement les différences déjà existantes, et la tendance à la complexification dans tous les secteurs de la vie (au lieu de la simplification) qui annihile tout espoir d’égalité de quelque type que ce soit, chaque branche créée dans un arbre devenant automatiquement différente des autres. C’est ainsi que l’on voit la multiplication des genres, des partis politiques, des modèles de téléphones cellulaires, des plats cuisinés, des armes létales et des prétendument non létales, etc., mais dans le même temps la pensée unique et le comportement social normé imposés à tous. Multiplication des formes, mais caractère unique du comportement et de la pensée ? C’est tout simplement incompatible, impossible. Et cela finira par exploser sous la pression, ou par s’effondrer sous son propre poids.