19/11/2021 (2021-11-19)
Par Lucien Samir Oulahbib
La question se pose de plus en plus sérieusement, comme il a été indiqué lors du dernier Conseil Scientifique Indépendant (18/11/21) par Hélène Banoun (23’43) à propos de certaines communautés aux USA qui obligent les injectés à faire une quarantaine avant de rentrer dans leurs cercles. Mais comment s’en étonner du fait d’incohérences de plus en plus pesantes ?
En effet, les injectés sont, de fait, porteurs du virus et de sa protéine. Voilà pourquoi certains peuvent la transmettre – sans s’en apercevoir en plus (puisqu’ils ne se font plus tester) – à la différence des non-injectés qui eux se testent alors qu’ils ne sont pas malades. Et même lorsqu’ils sont “positifs”, ces derniers ne transmettant pas par ailleurs de façon significative.
[Voir aussi, comme explication alternative :
Dr Valentina Kiseleva Le virus et autres mythes
et les liens inclus]
Moins ironiquement exprimé, le problème s’avère le suivant: les non-injectés sont exclus de partout, à l’exception des transports et des magasins, tout en sachant qu’ils se testent bien plus (pour le train long trajet, l’avion et certains événements) que les injectés qui eux se croient non seulement protégés, mais incapables de contaminer, ce qui est faux comme l’indiquent officiellement les Autorités ne serait-ce qu’en imposant toujours le port de la muselière et ce “rappel” tous les six mois désormais. D’où vient alors la poursuite de cette contamination, si ce n’est des injectés et du fait qu’au fond ce virus comme les autres va et vient et s’avère de surcroît moins létal dans son variant actuel ? L’incohérence domine donc avec éclat.
De plus, l’antienne stipulant qu’au moins “cela” protégerait des “formes graves” est fausse, nulle et non avenue, étant donné que les personnes non injectées qui seraient en majorité en “réa” ou décédées font partie pour l’essentiel des catégories à risque qui auraient dû être protégées préventivement par des traitements précoces. D’où la non-pertinence de cette comparaison viciée ainsi dès le départ. Par ailleurs, nombre de pays qui sont très majoritairement injectés voient en “réa” beaucoup d’injectés et bien sûr aussi des non-injectés, mais qui font partie des catégories à risque, d’où également la non-pertinence de ce comparatif, mais aussi, et surtout, la preuve de l’inefficacité de fait de ces injections alors que, comme l’indique à nouveau et lui aussi le professeur Montagnier, les traitements précoces marchent.
D’où l’incohérence (apparente) de plus en plus criante de toutes ces pseudo-mesures “sanitaires” qui apparaissent de plus en plus affairistes (telle cette présidente de la Commission européenne allant remettre un prix “business” au propriétaire de Pfizer), hygiénistes, sadiques (en martyrisant les enfants avec la muselière et en tapant sur les “mamans louves”), scientistes, sectaires (en faisant la chasse, littéralement, contre toute analyse dissonante, en empêchant de soigner, le médecin n’étant plus qu’un assistant parmi d’autres de l’Ordre ogre cybernétique).
Et la classe politico-médiatique, fascinée (par les milliards [de dollars ou d’euros], et par la puissance narcissique des écrans) jusqu’à en jouir en direct – éructant ordre sur ordre insensé – en veut encore plus, tels des psychopathes sortis tout droit de Scream.
Il serait temps de s’en occuper non ?… Du moins en régime démocratique…
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