19/08/2021 (2021-08-19)
[Source : ripostelaique.com]
Par Martin Moisan
La symbolique nous glace d’effroi. L’information nous vient d’Australie où le gouvernement annonce qu’au cours d’un week-end, il va faire vacciner 24 000 enfants dans un stade placé sous protection policière afin d’en interdire l’accès aux parents.
Plus aucun argument sanitaire ne tient pour justifier une telle mise en scène. On voit bien là que le gouvernement australien met en oeuvre et à dessein les pires méthodes totalitaires jamais vues dans l’Histoire. La symbolique parle d’elle-même. Pourquoi un stade, pourquoi une telle opération de masse, pourquoi cette mobilisation policière, pourquoi arracher ces enfants à leurs parents et les isoler dans une enceinte close, pourquoi cette mise en scène qui renvoie au pire de ce qu’a jamais connu la mémoire de l’humanité ? Pourquoi, si ce n’est pour affirmer une autre intention que la simple justification sanitaire ? A-t-on jamais vu une chose pareille autrement que sous la pire terreur des pires régimes totalitaires ? Jamais. C’est donc que la justification de la vaccination de masse n’est pas d’ordre sanitaire, mais d’un tout autre ressort.
Cette mise en scène démontre le caractère terroriste et absolument totalitaire de la vaccination de masse imposée par les mondialistes. Et du coup elle annule tout l’habillage sanitaire qui jusqu’ici justifiait la vaccination. Pourquoi devoir recourir à une telle brutalité et à une telle théâtralisation, si ce n’est parce que les intentions des promoteurs de cette gigantesque manipulation sont tout autres que simplement sanitaires ? A-t-on jamais vu une campagne de vaccination s’accompagner de telles mesures ?
La piquouze symbole de la folie nazie. Voyez la seringue sur le mémorial contre la guerre et le fascisme de Vienne. Voyez la mémoire qu’a laissée le nazisme : une seringue dans un bras supplicié par un médecin fou. L’expérience sur la personne humaine était une des folies des nazis, une folie matérialiste et prométhéenne. On sait quel était leur projet : l’éradication des races inférieures, des inutiles, la libération de l’espace vital pour les seuls Aryens. Quel est aujourd’hui le projet des mondialistes pour qu’ils emploient de telles méthodes et qu’ils affichent un telle référence ? En tout cas sûrement pas la seule lutte contre un quelconque virus.
“Schmattes”, les victimes des nazis, des loques. Quelle est la conception de l’homme que porte le projet mondialiste ? Pour parler des corps suppliciés de leurs victimes, les nazis employaient le mot yiddish de “Schmattes”, les chiffons, ou mieux, les loques… Pour les Allemands, les corps des Juifs étaient des poupées de chiffon, des loques qu’il fallait brûler. Épouvantable conception matérialiste, épouvantable déni d’humanité pour les siècles des siècles. Quelle est la conception de l’Homme que portent les mondialistes pour qu’ils recourent à leur tour aux mêmes symboles que les nazis ?
La personne humaine considérée par les mondialistes comme de la matière indifférenciée, la référence à la Shoah parfaitement justifiée. 24 000 innocents dans un stade… Le caractère massif de l’opération et sa symbolique épouvantable renvoient à la pire conception matérialiste de la personne humaine. Les mondialistes nous traitent, ils traitent nos enfants comme de la viande, comme les nazis traitaient les “Schmattes”, les loques. Il n’y a plus aucun doute là-dessus, et les victimes de la Shoah et leurs descendants ne devraient pas revendiquer l’exclusivité de la mémoire pour vitrifier tout débat sur ce point. Au contraire, car la comparaison est parfaitement fondée. Tout indique en effet qu’on est dans le même genre de processus, non encore complètement abouti certes, non encore complètement compréhensible, mais de même nature contre ce qu’il y a de plus fondamental dans l’Homme et dans l’humanité. Par ailleurs, la Shoah est désormais tombée en quelque sorte dans le domaine public. L’obligation de mémoire rendue universelle autorise de fait et comme par prolongement, l’utilisation de cette référence pour des analyses et des comparaisons historiques justifiées ; notamment quand les enfants sont séparés de force de leurs parents pour leur inoculer une substance inconnue et non testée. Car c’est bien de cela qu’il s’agit, et cette fois-ci de manière ostensiblement massive. Les victimes de la Shoah et leurs descendants, si elles veulent que jamais ces choses ne se reproduisent, devraient ouvrir le débat et ne pas figer la référence pour finalement la rendre stérile pour le reste de l’humanité. L’utilité de la mémoire humaine c’est de protéger l’humanité, pas seulement les descendants de telle catégorie de victimes.
L’épouvantable intention sous l’habillage sanitaire. Rien pour le moment, du moins dans l’information officielle disponible, ne permet de prouver de manière absolument certaine l’intention génocidaire, ou du moins un projet global de transformation massive de l’anthropologie humaine. Les méthodes, en revanche, et ce qu’il nous est possible de constater de la réalité du processus confirment qu’il s’agit bien d’autre chose que d’une simple lutte contre une quelconque pandémie. L’accumulation, le faisceau d’indices concordants, tout indique que le processus est d’une tout autre nature. Pire, la revendication totalitaire nettement affirmée par le pouvoir australien, mais aussi français et derrière la France, par un cartel de pays, démontre qu’il s’agit bien d’une entreprise qui ne pourrait pas se réaliser autrement que par l’emploi de moyens totalitaires. À moyens totalitaires, entreprise et projet totalitaires. Qui peut dire le contraire ?
L’affichage du caractère totalitaire de l’obligation vaccinale, preuve de l’intention mortifère. L’Australie assume la barbarie vaccinale comme les nazis assumaient l’holocauste. La vaccination massive et forcée des enfants est un signe très net de cette assumation. Il ne peut plus y avoir de doute, les méthodes confirment le caractère totalitaire du projet et donc son intention mortifère, contraire à la nature de l’Homme et à son caractère sacré.
Le temps n’est plus au prêche, il est au rapport de force et à l’action.
Martin Moisan
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