05/08/2024 (2024-08-05)
[Source : arcaluinoe.info]
Par Sir Julian Rose
Bonjour à tous, je m’appelle Julian Rose et je tiens à remercier Iurie Rosca de m’avoir invité à participer au très important forum de Chisinau, qui se tient cette année en Moldavie. Le titre de mon intervention est « Madkind vs. Mankind, a race against time » (L’espèce folle contre l’Humanité, une course contre la montre).
Sous la surface de la vie quotidienne, deux forces radicalement opposées sont à l’œuvre : « la volonté de vivre » et « la volonté de ne pas vivre ». Toutes deux luttent pour devenir la réalité dominante de notre époque. C’est une course contre la montre.
L’horloge a été réglée par l’espèce folle, avec l’acceptation passive et troublante d’une grande partie de l’Humanité.
L’espèce folle est obsédée par le temps mécanique. Elle fixe l’heure et exige que son programme soit mis en œuvre dans les délais qu’elle a fixés.
La « Grande Réinitialisation » est le plus récent événement de mise à l’heure initié par l’espèce folle, qui porte bien son nom. Elle a placé quelques dates clés dans son agenda pour le transfert de la vie organique vers un sosie robotique contrôlé numériquement, dans le but de rendre l’Humanité obsolète.
Elle estime que 2025/26, 2030 et 2045/50 sont des repères utiles pour réaliser certaines phases de cette ambition.
Nous connaissons le plan de match de l’espèce folle parce qu’il est explicitement exposé dans l’Agenda 2030 des Nations unies et dans la Quatrième révolution industrielle/Nouvelle donne verte du Forum économique mondial.
Sur le plan financier, pour commencer, une monnaie numérique de banque centrale avec un programme de conformité au crédit social pour contrôler l’accès des individus à leurs comptes bancaires est prévue pour 2026 environ.
La stagnation économique mondiale et des pans entiers de famine humaine sont programmés pour suivre.
D’ici 2030, le programme de l’espèce folle prévoit que le processus de numérisation et d’intelligence artificielle (TI1) aura usurpé une grande partie des capacités émotionnelles et rationnelles de l’Humanité, les pouvoirs naturels de reproduction étant également stérilisés par la géo-ingénierie atmosphérique, la dénaturation de l’eau et des aliments, les fréquences électromagnétiques (CEM2) et les programmes de vaccination militarisés.
À la même date, il est prévu qu’environ 50 % des aliments soient créés dans des laboratoires industriels. Synthétiques, génétiquement modifiés et sans lien avec le sol.
Les insectes figurent en bonne place sur la liste des protéines de remplacement, une fois que le lait, la viande et les œufs auront été retirés du menu parce qu’ils ont été identifiés comme complices de la folle invention de l’espèce folle sur le réchauffement de la planète [et/ou comme propagateurs de grippe « aviaire » — NDT].
À cette même date, la production d’énergie devrait être largement dissociée des pratiques de combustion des combustibles fossiles. Elle sera remplacée par ce que l’espèce folle considère comme des solutions « vertes » pour alimenter ce qui reste de l’industrie productive.
D’ici 2045/50, l’espèce folle se voit aux commandes avec sa politique dite « Net Zero » (pas de dioxyde de carbone) qui aura encore réduit la biodiversité naturelle et les populations mondiales à une fraction des niveaux actuels, remplaçant l’Humanité par une version cyborg transhumaine de l’IA et une race d’esclaves humains préservés pour des tâches subalternes inadaptées aux robots.
Il s’agit là d’une liste purement superficielle et indicative, car il y a bien plus de folies en préparation que celles mentionnées ici. Et l’espèce folle a des plans B, C et D si le plan A ne se concrétise pas (à temps).
Pour s’en souvenir, il suffit de consulter la description de la quatrième révolution industrielle faite par Dingue Schwab et la déclaration de Dingue Harari « Nous ferons mieux que Dieu ».
Pendant ce temps, dans la course contre la montre, un pourcentage encore faible, mais en constante augmentation, de l’Humanité prend conscience que son avenir sur cette planète est menacé, comme jamais auparavant.
Les informations concernant la nature de cette crise circulent sur l’éther de l’Internet ; elles font l’objet de discussions dans des milliers de lieux de conférence, dans des foyers privés et sur des lieux de travail.
L’Humanité s’agite et l’espèce folle tente de bloquer l’élan croissant.
Il y a des forces énergétiques en jeu que nous ne pouvons pas voir, mais que nous pouvons sentir. Elles contrecarrent la torpeur cérébrale fabriquée par le complexe militaro-industriel de la « Vallée cérébrale » de l’espèce folle et dirigée vers des cibles choisies par des agents de « renseignement » sournois de la CIA, du Mossad, du MI5, du MI6, du FBI et d’autres encore.
L’Humanité s’éveille à la réalité de son esclavage face aux folles ambitions de l’espèce folle. C’est l’épicentre du conflit entre la vie et la mort. Et nous sommes tous, que nous le sachions ou non, des acteurs de ce drame sans précédent.
Oui, c’est une course contre la montre : le pouvoir de l’esprit éveillé arrivera-t-il le premier à briser le code satanique des psychopathes — libérant ainsi l’Humanité de la prison inhumaine de l’espèce folle ?
Ou bien les psychopathes garderont-ils leur emprise sur la santé mentale et physique d’un nombre suffisant de mortels pour maintenir leur élan ?
Personne ne peut présumer de l’avenir, mais tous ceux qui sont capables de sonner la cloche et de sauter dans le camion de pompiers ne peuvent plus tourner le dos au défi auquel l’Humanité est confrontée. Ils doivent se tourner vers la menace d’extinction que l’espèce folle a planifiée et déjà mise en œuvre à de nombreux niveaux.
Bien qu’il y ait cent et une façons de répondre à l’appel à l’action, il y a deux principes fondamentaux que nous devrions tous respecter afin de construire notre force d’intention et notre pureté d’esprit pour être des vainqueurs de la vie sur la mort : une culture intérieure de la lumière et une manifestation extérieure des pouvoirs de cette lumière.
Ces deux actions doivent être inculquées en nous et constituer le rythme quotidien central de notre vie.
Par « manifestation extérieure des pouvoirs de la lumière », j’entends en particulier l’action en faveur du changement social, économique, environnemental et politique pour l’émancipation globale de l’Humanité et de la nature.
Quels que soient les autres tâches ou les horaires de travail que nous devons respecter, chaque journée devrait commencer et se terminer par un espace consacré à l’épanouissement de notre moi profond et à l’activation des pouvoirs qui en résultent pour briser le culte de la mort de notre oppresseur.
La réflexion intérieure doit toujours mener à l’action extérieure, jamais l’une sans l’autre.
Il est également fortement recommandé de se rappeler, à un moment de la journée, pourquoi nous sommes ici, quel est notre rôle principal dans cette vie et comment nous pouvons le manifester correctement.
Notre âme (humaine) vit éternellement. Son voyage est éternel et la zone de déplacement est infinie.
Mais ce voyage en avant au sein de la Création — et toujours plus près du lieu de naissance de la vie — ne se matérialisera pas par des vœux pieux ou des prières.
Ce n’est que par notre détermination à réaliser et à manifester notre vrai moi, nos énergies supérieures — et, je le répète, à les canaliser dans des actions dédiées à l’émancipation de toute l’Humanité et de la nature. C’est notre passeport pour la liberté éternelle.
Il ne sert donc à rien de se dire : « Je serai heureux de quitter ce monde de fous et d’être enfin libre. »
La grande tromperie de l’autoritarisme religieux et des maîtres de l’évasion spirituelle est telle que beaucoup souffrent de cette grande illusion.
Tant que nous n’aurons pas acquis le pouvoir de sortir du piège égoïste et séduisant de l’âme de l’espèce folle, nous n’aurons pas de passeport pour la liberté, dans cette vie ou dans l’au-delà.
Sans un effort continu de réalisation de soi — et sans cultiver la volonté d’orienter les fruits de ce processus vers la manifestation de la justice et de la vérité, on commet une forme de suicide de l’âme.
Cela signifie que l’on n’échappera jamais à la roue des retours répétés3 au « statut d’esclave » dans lequel on a été piégé dans des existences antérieures.
Le programme d’extinction de l’Humanité compte sur le fait que nous ne prenions pas cet engagement quotidien pour la réalisation de la vraie liberté. Ce beau sentiment d’être enfin installé sur le chemin d’une vérité profonde. De l’unité avec le noyau cosmique d’où nous venons.
Combien de fois doit-on revenir sur cette planète pour y retrouver les mêmes ordures — mais encore plus pourries — que l’on a laissées derrière soi la dernière fois ?
Ne pas nettoyer et aller de l’avant, c’est être pris dans un cycle perpétuel d’emprisonnement mental et physique.
Il s’agit d’une loi universelle — appelée Karma en Orient — à laquelle il n’y a pas d’échappatoire. Sauf celle basée sur le processus que j’ai esquissé, même brièvement.
Il n’y a pas de temps à perdre. Nous sommes engagés dans cette course contre la montre, et c’est probablement le stimulus le plus significatif que chacun d’entre nous recevra jamais pour s’entraîner à devenir un guerrier spirituel.
Afin de manifester ce qui est imprenable pour les agents de dégradation et de destruction de l’espèce folle, nous devons nous concentrer sur notre préparation à la victoire.
C’est notre raison d’être. La raison pour laquelle nous sommes venus sur cette planète ternie, mais radieuse qu’est la Terre.
Nous sommes des frères et des sœurs engagés dans la réalisation globale de notre véritable potentiel.
Depuis notre création, nous sommes dotés de tout ce qui est nécessaire pour nous élever et vaincre l’humanité folle.
Si c’est uniquement par manque de nécessité que nous avons gaspillé ce potentiel jusqu’à présent, alors ce temps est révolu.
Ne doutez pas de notre capacité à vaincre l’espèce folle. Plus de cinquante pour cent de ce qu’il faut pour gagner notre bataille consiste simplement à renforcer notre détermination à exprimer pleinement notre humanité — celle qui contient les graines de l’invincibilité.
Nourrir tout ce qui est chaleureux, aimant, vrai, déterminé et courageux. J’insiste sur le mot « courageux », car l’Humanité est essentiellement lâche.
Derrière sa façade d’apparat et de puissance se cache une faiblesse débilitante, un vide sans Dieu. l’espèce folle n’a pas de cran — elle se cache derrière ses armes de surveillance numérisées et sa dépendance à la diffusion de la peur.
Il suffit de s’opposer à l’espèce folle — et c’est fini.
Armés de courage et dotés d’un sens déterminé de la confiance en soi, nous détenons la carte de l’As.
Il est temps de la jouer !
Julian Rose
Julian Rose est un agriculteur biologique, un écrivain, un communicateur et un activiste international. Il est l’auteur de quatre livres, dont le dernier, « Overcoming the Robotic Mind » (Vaincre l’esprit robotique), est un appel à résister à la prise de contrôle de nos vies par le despotisme du Nouvel Ordre Mondial. Pour plus d’informations, visitez son site web : www.julianrose.info
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