les cafards et autres parasites

23/07/2019 (2019-07-23)

[Source : https://www.futura-sciences.com]

Les cafards deviennent « impossibles à tuer »

Les blattes germaniques, les cafards communs qui envahissent les maisons, deviennent tolérantes à pratiquement tous les insecticides, rapporte une nouvelle étude. Ces nuisibles développent une résistance en l’espace d’une seule génération, y compris à des produits auxquels ils n’ont jamais été exposés.

Se débarrasser des cafards risque de devenir de plus en plus difficile. Ces derniers développent en effet une tolérance aux produits insecticides courants à une vitesse record, ce que vient de mettre en évidence une nouvelle étude de l’Université de Purdue, publiée le 5 juin dans la revue Scientific Reports.

Les chercheurs ont mené différentes études sur la blatte germanique (Blattella germanica) dans des appartements de l’Indiana et de l’Illinois. Trois types d’insecticides courants ont été testés (abamectine, acide borique et thiaméthoxame), seuls ou en association, durant six mois. Dans le premier traitement, les trois insecticides ont été alternés chaque mois pendant trois mois, puis répétés lors un deuxième cycle. La deuxième expérience a utilisé une combinaison de deux insecticides de classes différentes durant six mois. Pour la troisième, le produit pour lequel les blattes présentaient une faible résistance initiale a été retenu. Quel que soit le traitement, les chercheurs ont été incapables de réduire la population des cafards. Avec l’association de deux insecticides et le traitement unique, leur nombre a même augmenté.

Des cafards six fois plus résistants en une seule génération

Pour comprendre cette résistance, les chercheurs ont poursuivi leurs investigations en laboratoire, où ils ont reproduit les mêmes tests sur des colonies de cafards issues des populations préalablement exposées aux insecticides dans les appartements. Ils ont constaté que les cafards développaient une résistance croisée : certains insectes exposés à un seul type d’insecticide (abamectine) montraient une résistance aux autres produits avec lesquels ils n’avaient jamais été en contact. « Nous ne pensions pas que ce type d’adaptation pourrait survenir aussi vite, s’étonne l’auteur principal de l’étude, Michael Scharf, du département d’entomologie de l’Université Purdue. Nous avons vu la résistance des cafards augmenter de quatre à six fois en une génération seulement ».

Loin d’être éradiquée par les cocktails d’insecticides, la blatte germanique développe une multi-résistance qui se transmet rapidement aux générations suivantes. © John Obermeyer, Purdue Entomology
Loin d’être éradiquée par les cocktails d’insecticides, la blatte germanique développe une multi-résistance qui se transmet rapidement aux générations suivantes.
© John Obermeyer, Purdue Entomology 

Les blattes peuvent pondre jusqu’à 50 œufs au cours de leur cycle de reproduction qui dure trois mois. Il suffit qu’un faible nombre d’individus développe une résistance aux insecticides pour que leurs gènes soient transmis à la génération suivante qui deviendra entièrement immunisée, détaille le chercheur. En revanche, le mystère demeure sur le mécanisme exact qui permet aux insectes de devenir tolérants aux produits auxquels ils n’ont pas encore été en contact.

Les cafards, un vecteur majeur de pathogènes et d’allergies

Il est en tous cas certain que cette adaptation étonnamment rapide va rendre le contrôle des populations de plus en plus difficile, s’inquiète Michael Scharf. « L’étude montre que les stratégies actuelles, qui reposent sur l’association de différentes classes d’insecticides ou la rotation des traitements, s’avèrent inefficaces », ajoute-t-il. Ce n’est pas seulement gênant pour le confort des résidents, mais aussi pour leur santé : les cafards sont en effet porteurs d’agents pathogènes et provoquent des allergies. Ils sont même l’un des principaux facteurs de risque d’asthme dans les populations urbaines défavorisées, avance l’étude. Pour venir à bout des nuisibles, Michael Scharf préconise des méthodes alternatives aux produits chimiques, comme des pièges, des aspirateurs et une amélioration générale de l’hygiène dans les appartements.

Ce qu’il faut retenir

  • La blatte germanique, l’espèce de cafard la plus courante dans les habitations, développe une tolérance aux insecticides en l’espace d’une seule génération.
  • Les cafards sont aussi capables de résister à des associations de différentes classes de produits et à des insecticides auxquels ils n’ont pas encore été en contact.
  • D’autres stratégies que les traitements chimiques sont donc à envisager pour lutter contre ces nuisibles.

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Ne sommes-nous pas là en face de ce qui pourrait être nos futurs ennemis ? Le monde est le reflet de nos actes, de nos pensées, de notre propre santé.  Et quand je vois comment nous traitons la Terre, la Nature, les animaux sauvages, et bien sûr ceux d’élevage, ne pourrait-on voir ici un bel exemple de la loi de réciprocité !  Qu’envoyons-nous comme message autour de nous ?  Où sont les messages de Paix, d’Amour, de Vertus dispensés avec plus ou moins de réussite par les sages venus apporter la Bonne Parole ?  Quels messages envoient les médias, les films, les chansons ?  Où sont les héros d’antan ; d’Artagnan, Robin des Bois, Zorro, etc. qui avaient au moins le mérite de montrer les bons chemins à suivre ?  Quelles qualités ont les héros d’aujourd’hui ?  Cyniques, belliqueux, cruels, cupides, envieux, arrogants, présomptueux, agressifs, violents, belligérants, insensibles, impitoyables, tortionnaires, sanguinaires, mercantiles…  Il y a toujours eu des êtres dans ces basses énergies, mais actuellement c’est quasiment devenu la normalité.  Et que voyons-nous apparaitre doucement mais sûrement ?  Des parasites dont il est de plus en plus difficile de se débarrasser ! Entre certains protozoaires, vers, amibes, virus, bacilles véhiculés par les mouches, moustiques et autres bêtes volantes, sautantes, rampantes, etc. Alors j’imagine que les humains sont entourés de leurs pensées qui prennent formes dans la matière (ce qui arrange sans doute bien les parasites énergétiques qui aiment se nourrir en priorité de souffrance) !  J’aime penser que la Terre de l’Origine était exempte de prédateurs et de parasites.  Juste des charognards pour recycler les corps et ainsi absorber la mémoire cellulaire pour faire évoluer tout l’écosystème…

Je suis allé un peu loin ?  Pas tant que cela finalement.  Nous donnons forme à toutes ces pensées, et du coup, les basses énergies se matérialisent sous la forme de parasites de toutes formes.  L’être humain est de plus malade ; même les enfants sont atteints de cancer, Alzheimer, ostéoporose, j’en passe et des meilleurs…  Si nous épurons nos pensées et nos images mentales, le monde changera ; c’est la seule alternative !  Mais j’ai peur que demain n’en soit pas la veille…

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