25/12/2021 (2021-12-25)
Par Lucien Oulahbib1
Ne « nous » leurrons pas (et le 27 décembre le confirmera), la Secte hygiéniste scientiste affairiste (la SHSA) aux manettes également en France (au sens de se constituer de plus en plus comme « race »globale purifiée) persiste et signe dans son néonazisme (tout en le niant). Eh oui, selon ses prothèses, il faut de plus en plus » travailler à distance », s’éloigner les uns des autres. Eh oui, il faut de plus en plus, et ce tous « les trois mois »détruire nos fonctions immunitaires naturelles, car elles sont un concurrent industriel de fait pour ce « Grand Reset » multiforme qui nous considère comme autant de particules malléables et corvéables à merci formant ces flux mondiaux dont les courbes montent et descendent en temps réel sur les grands écrans multicolores de la gestion globale, ces tableaux, côtés en Bourse grâce à la planche à billets des banques centrales, cet art « vivant » postmoderne ou plutôt « morbide » qu’il est si agréable d’observer dans son jacuzzi en écoutant entre deux ricanements fielleux les incohérences méticuleuses des zombies assignés à la Propagande, tandis qu’un Serviteur muselé sert le saladier de coke.
Car cette Secte est de plus en plus composée de zombies cooptés (il suffit donc de dire « oui ») comme « morts-vivants » en marche. C’est ce que Maurice Blanchot conseillait dans « L’espace littéraire » (1955) et qui a tant influencé Michel Foucault. Il ne s’agit plus en effet de « vivre » (cette « domination »), mais survivre (disait aussi Derrida), au sens de se rendre insensible à toute organisation, comme putréfié, pourri, mort. C’est que vie et mort, vérité et mensonge, entrent en équivalence, ce qui permet ainsi de surmonter le vivre et ses passions par la mort et ses destructions ou le comportement viral lui-même : devenir virus/parasite (et l’État est le fromage idéal pour ce faire) puis chercher (pour s’amuser) l’hôte par lequel l’on persistera à (se) détruire afin d’être artiste. Ainsi selon Blanchot (1955), Orphée doit se retourner afin qu’Eurydice devienne statue, et c’est le fait même de se retourner qui EST l’œuvre d’art à accomplir, la statue finale n’étant que sa matérialisation éphémère, un peu aussi comme Don Juan qui ayant aussitôt séduit va vers sa prochaine cible, et ce mouvement est le but même (la création) à atteindre. Pour le devenir « Créateur » (plus à la mode que « Dieu » qui est « mort », remember [rappelez-vous]).
Mais tout cela est maquillé bien sûr par un système sophistiqué de trompe-l’œil (comme toutes ces belles notes savantes de Foucault en bas de page : fresques et bas-reliefs d’une connaissance inutile) afin de ne plus voir le Réel, mais sa simulation Potemkine qui arrive même à tromper nombre de savants et d’esprits affûtés (rappelez-vous leur nombre considérable qui soutenait, avec verve, les totalitarismes précédents).
La preuve de ce rouleau compresseur du devenir rhinocéros façon Ionesco (les « masquocéros ») s’érige par exemple dans cette confusion absolue, méticuleusement assénée, entre « cas » et « malades » quand bien même ce dernier variant serait bien moins virulent, comme si aussi les millions de personnes infectées naguère par la grippe traditionnelle n’avaient jamais existé et que nous n’avions pas depuis ces deux ans passés appris comment s’en protéger par les traitements préventifs et précoces de plus en plus soigneusement écartés par ailleurs.
Le fait que cette Secte, désormais une monstruosité en roue libre, n’ait cure de ces distinctions de base (sans oublier sa volonté têtue, opiniâtre, de dissoudre méticuleusement la notion même de citoyenneté, d’identité, de sexe) est bien aussi la preuve même qu’elle continuera à détruire (elle en fait même sa philosophie) tant qu’elle ne sera pas mise hors d’état de nuire. À charge ensuite à une tératologie digne de ce nom d’en faire l’autopsie objective bien sûr.
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