La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple

13/10/2023 (2022-01-26)

Par le Dr Stefan Lanka

Traduction : Jean Bitterlin

Source en anglais : https://davidicke.com/wp-content/uploads/2020/07/Paper-Virus-Lanka-002.pdf

[Voir aussi une autre traduction, plus récente :

]

Contrairement à ce que croient la majorité des gens, il n’y a pas de virus pathogène. Les affirmations au sujet de l’existence des virus et des maladies virales sont basées sur de mauvaises interprétations historiques et non, comme on le pensait dans le passé, sur des fraudes ou des tromperies délibérées. Nous avons maintenant du mieux, dans le sens positif des découvertes « scientifiques » et des explications pour l’origine, la thérapie et la prévention des maladies, et pas seulement des maladies « virales ».

[Voir aussi :
Dossier Vaccins et virus]

Le phénomène de simultanéité ou d’apparition subséquente de symptômes chez différentes personnes, qui a été jusqu’à présent interprété comme étant une contagion et était considéré comme causé par la transmission d’agents pathogènes, est dorénavant facile à comprendre grâce aux nouvelles découvertes. Ainsi nous avons maintenant une nouvelle vision de la vie (qui est en réalité une vision ancienne) et une nouvelle vision de l’intégration cosmologique des processus biologiques.

La perspective « nouvelle », ou plutôt redécouverte, ne pouvait provenir que de l’extérieur de la « science » officielle : une des raisons à cela c’est que les personnes travaillant dans les institutions scientifiques ne s’acquittent pas de leur première obligation — de douter en permanence et de revérifier une deuxième fois chaque théorie. Sans quoi ils auraient déjà découvert que la mauvaise interprétation est déjà en place depuis longtemps et était devenue un dogme uniquement par des activités extrêmement ascientifiques dans les années 1858, 1953 et 1954.

La transition vers une nouvelle explication de la santé, de la maladie et de la guérison ne réussira que parce que tous les thérapeutes et scientifiques peuvent sauver leur face grâce à elle. À partir de l’Histoire et de la nouvelle perspective sur la biologie et la vie, nous avons également des explications pour les émotions, l’ignorance et toutes sortes de comportements humains. Ceci est le deuxième message d’optimisme. Sortir d’une impasse et pardonner les erreurs du passé peut même avoir lieu d’une manière plus efficace, plus on comprend ce qui s’est passé et plus on apprend pour le futur.

Je sais que pour toutes les personnes directement concernées, tels que les médecins, les virologistes, les professionnels de la santé, et par-dessus tout les personnes affectées par le système, qui souffrent de mauvais diagnostics ou même qui ont perdu un proche à cause de cela, il peut être difficile d’accepter sur le plan intellectuel l’explication de la réalité que je vais vous proposer dans cet article. Afin que la théorie des germes pathogènes ne devienne pas d’une ampleur dangereuse, comme c’était le cas avec le SIDA, la Maladie de la Vache Folle, le SRAS, le MERS (Middle East Respiratory Syndrom — Syndrome respiratoire du Moyen-Orient — NdT) le Corona et d’autres cas variés de grippes animales, ou même ne mène à une rupture de l’ordre public, je demande poliment à toutes les personnes qui découvrent à l’instant les faits sur la « non-existence » des supposés virus de discuter du sujet d’une manière objective et non émotionnelle.

La situation actuelle

Toutes les affirmations qui disent que les virus sont des agents pathogènes sont fausses et sont basées sur des erreurs d’interprétation facilement identifiables, compréhensibles et vérifiables. Les vraies causes des maladies et phénomènes qui sont imputées aux virus ont déjà été découvertes et recherchées : cette connaissance est désormais disponible. Tous les scientifiques qui pensent qu’ils travaillent en laboratoire sur des virus sont en fait en train de travailler sur des particules habituelles de tissus spécifiques en train de mourir ou sur des cellules qui ont été préparées d’une manière spéciale. Ils croient que ces tissus et cellules sont en train de mourir parce qu’ils ont été infectés par un virus. En réalité, les cellules et tissus infectés étaient en train de mourir parce qu’ils étaient affamés et empoisonnés suite aux expériences dans le laboratoire.

Les virologistes croient aux virus parce qu’ils ajoutent au tissu et aux cultures cellulaires du sang, de la salive ou d’autres fluides corporels supposés infectés — après avoir retiré les nutriments de la culture cellulaire respective et après avoir commencé à l’empoisonner avec des antibiotiques toxiques. Ils pensent que la culture cellulaire est alors tuée par les virus. Néanmoins la mort du tissu et des cellules se produit exactement de la même manière que lorsqu’aucun matériel génétique « infecté » n’est ajouté. Les virologistes n’ont apparemment pas remarqué ce fait. D’après la logique scientifique et les règles de la conduite scientifique, des expériences de contrôle auraient dû être réalisées. Afin de confirmer la méthode nouvellement découverte de ce qu’on appelle « la propagation du virus », afin de voir si ce n’était pas la méthode elle-même qui causait ou falsifiait le résultat, les scientifiques auraient dû effectuer des expériences supplémentaires, appelées expériences de contrôle négatives, dans lesquelles ils auraient ajouté des substances stériles ou des substances provenant de personnes ou d’animaux en bonne santé à la culture cellulaire.

Ces expériences de contrôle n’ont, à ce jour, jamais été effectuées par la « science » officielle. Durant le procès du virus de la rougeole, j’ai demandé à un laboratoire indépendant d’effectuer cette expérience de contrôle et le résultat a été que les tissus et cellules meurent à cause des conditions du laboratoire, exactement de la même manière que lorsqu’ils arrivent au contact avec du matériel supposé « infecté ».

L’objectif visé des expériences de contrôle est d’exclure la possibilité que la méthode ou la technique appliquée puisse entraîner le résultat. Les expériences de contrôle sont en science le devoir le plus élevé et également la base exclusive de l’affirmation que la conclusion est scientifique. Durant le procès du virus de la rougeole, c’était l’expert légalement désigné qui a indiqué que les articles qui sont cruciaux pour la virologie entière ne contenaient pas d’expériences de contrôle. Ceci nous apprend que les scientifiques respectifs travaillent d’une manière extrêmement ascientifique, sans même le remarquer.

Cette approche totalement non scientifique a vu le jour en juin 1954, lorsqu’un article spéculatif non scientifique et réfutable a été publié, d’après lequel la mort d’un tissu dans un tube à essai était considérée comme preuve possible de la présence d’un virus. Six mois plus tard, le 10 décembre 1954, l’auteur principal de cette opinion s’est vu décerner le Prix Nobel de Médecine pour une autre théorie tout aussi spéculative. La spéculation de juin 1954 fut alors élevée en fait scientifique et devint un dogme qui à ce jour n’a jamais été contesté. Depuis juin 1954, la mort de tissu et de cellules dans un tube à essai a été considérée comme preuve de l’existence d’un virus.

La soi-disant preuve de l’existence des virus

La mort des tissus/cellules est également considérée comme l’isolation d’un virus parce qu’ils prétendent que quelque chose de l’extérieur, d’un autre organisme, a été apporté dans le laboratoire, bien qu’un virus n’ait jamais été isolé au sens du mot isolation, et n’ait jamais été photographié et caractérisé biochimiquement en tant que structure unique entière. Les micrographies électroniques des supposés virus montrent en réalité des particules cellulaires assez normales provenant de tissus et cellules en train de mourir, et la plupart des photos ne montrent qu’un modèle informatique (CGI — computer generated images — images générées par ordinateur ou images de synthèse — NdT). Parce que les parties impliquées CROIENT également que les tissus et cellules en train de mourir deviennent eux-mêmes des virus, leur mort est également considérée comme la propagation du virus. Les parties impliquées croient toujours ceci parce que le découvreur de cette méthode a reçu le Prix Nobel et ses articles sur les « virus » restent des articles de référence. Plus sur ce sujet ci-dessous.

Sans avoir purifié cette mixture consistant en des tissus et cellules en train de mourir, provenant de singes, de fœtus de bovins et d’antibiotiques toxiques, cette mixture est utilisée comme vaccin « vivant, parce qu’elle est supposée consister en de soi-disant virus « atténués ». La mort des tissus et cellules — du fait du manque de nutriments et de l’empoisonnement et non à cause d’une supposée infection — a continuellement été mal interprétée comme évidence de l’existence des virus, comme évidence de leur isolation et comme évidence de leur propagation.

De ce fait, la mixture toxique obtenue, pleine de protéines étrangères, d’acides nucléiques étrangers (ADN et ARN) d’antibiotiques cytotoxiques, de toutes sortes de microbes et de spores est étiquetée « vaccin vivant ». Par la vaccination elle (la mixture — NdT) est injectée dans les enfants, principalement dans les muscles, en quantité telle que si elle était injectée dans les veines cela aboutirait immédiatement à une mort certaine. Seules des personnes ignorantes qui font aveuglément confiance aux autorités de l’État qui « testent » et homologuent les vaccins peuvent considérer la vaccination comme une « petite piqûre inoffensive ». Les faits vérifiables démontrent le danger et la négligence de ces scientifiques et politiciens qui affirment que les vaccins sont sûrs, n’ont que peu ou pas d’effets et protégeraient d’une maladie. Aucune de ces affirmations n’est scientifique et vraie, bien au contraire : en se basant sur des analyses scientifiques précises, on constate que les vaccins sont inutiles et la littérature relative admet le manque de toute preuve en leur faveur. 2

Des molécules individuelles sont extraites de particules de tissus et cellules morts, elles sont mal interprétées comme étant des parties d’un virus et sont réunies de manière théorique en un modèle de virus. Un virus réel et complet n’apparaît nulle part dans toute la littérature « scientifique ». Le processus de découverte faisant consensus pour le « virus » de la rougeole, dans lequel les participants ont débattu afin de déterminer ce qui appartenait au virus et ce qui ne lui appartenait pas a duré des décennies.

Légende du diagramme (d’abord moitié gauche et ensuite la moitié droite du diagramme) :

  • Les expériences de contrôle sont manquantes et ainsi on n’a pas tenu compte du fait qu’il n’y avait qu’une preuve hypothétique et imaginaire (de l’existence — NdT) des virus et pas de preuve matérielle scientifique.
  • On supprime les nutriments. Les cellules sont supposées devenir « affamées » afin d’absorber les supposés virus.
  • (On ajoute des — NdT) Antibiotiques toxiques qui tuent les cellules. Les antibiotiques sont supposés exclure que la mort attendue des cellules est causée par une bactérie.
  • Ladite injection de sang ou de salive de personnes malades. « Expérience d’infection »
  • Les cellules meurent de faim et d’empoisonnement. Fausse croyance : Les cellules meurent d’un virus.
  • Pas d’infection. « Expériences de contrôle ». À ce jour ni la médecine ni la « science » n’ont effectué des expériences de contrôle.
  • Les cellules meurent de faim et d’empoisonnement. La réalité : Les cellules meurent de faim et d’empoisonnement

Avec l’apparemment nouveau Coronavirus 2019 chinois (rebaptisé entre-temps, 2019 — nCoV), ce processus de conclusions consensuelles ne dure que le temps de quelques clics de souris.

De la même manière avec quelques clics de souris, un programme peut créer n’importe quel virus en assemblant des molécules de petites parties d’acides nucléiques de tissu et cellules morts avec une composition biochimique déterminée, les arrangeant ainsi comme souhaité en un génotype plus long qui est ensuite déclaré être le génome complet du nouveau virus. En réalité, même cette manipulation, appelée « alignement », ne peut conduire à un matériel génétique « complet » d’un virus qui pourrait ensuite être appelé son génome.

Dans ce processus de construction théorique de « l’ADN viral », les séquences qui ne correspondent pas sont « gommées » et celles qui manquent sont ajoutées. Ainsi, est inventée une séquence ADN qui n’existe pas en réalité et qui n’a jamais été découverte et scientifiquement démontrée dans son ensemble. En un mot : À partir de petits fragments, d’une manière théorique et selon un modèle de virus ADN, un morceau plus grand est également fabriqué théoriquement, qui en réalité n’existe pas. Par exemple dans la construction « théorique » de l’ADN du virus de la rougeole avec ses petits fragments de particules cellulaires il manque plus de la moitié des séquences moléculaires qui représenteraient un virus complet. Celles-ci sont pour partie artificiellement créées par des méthodes biochimiques et les autres sont tout simplement inventées. 3

Les scientifiques chinois, qui affirment maintenant que les acides nucléiques à partir desquels le génome du nouveau Coronavirus 2019 a été construit d’une manière théorique4 proviennent de serpents venimeux, sont également les victimes de cette fausse idée planétaire actuelle, comme nous le sommes tous. Plus de « séquences ADN » sont inventées, plus ils « découvrent » de similarités avec n’importe quoi. Ces erreurs se produisent d’une manière méthodique. Une grande partie de notre travail universitaire travaille ainsi : Une théorie est inventée, on discute toujours à l’intérieur de cette théorie, ils l’appellent science et prétendent que cela représente la réalité. En réalité ça ne représente que la théorie postulée. 5

Légende du diagramme 2 ci-dessous (de gauche à droite)

Comment une séquence ADN virale est construite de manière hypothétique à partir de molécules cellulaires typiques et comment il a été prouvé durant le procès du virus de la rougeole que les « virus » ne sont que des modèles imaginaires artificiels.

  • Cellules en train de mourir. Composants typiques de cellules en train de mourir.
  • Isolation des particules spécifiques (les acides nucléiques. Un virus n’est jamais apparu ni n’a été vu dans un être humain.
  • Détermination de la composition. Les scientifiques croient que les particules cellulaires sont des morceaux d’un virus.
  • De petites particules sont ajoutées de manière théorique dans un modèle de virus. Les personnes impliquées croient que ce modèle imaginaire représente un « virus », bien que ce modèle n’a jamais été trouvé dans la vie réelle.

Les tests viraux

À cause de l’absence d’expériences de contrôle négatif, les scientifiques impliqués n’ont pas encore remarqué que tous les tests pour « virus » aboutiront à un certain nombre de « positifs », selon la sensibilité de l’étalonnage de l’équipement de dépistage. Les « templates » dont ils se servent dans les tests afin de trouver les supposés « virus » ne proviennent pas des « virus », mais plutôt du tissu, des cellules et du sérum fœtal (du sang sans les composants spécifiques) provenant d’animaux, surtout de singes et de veaux. Parce que ces animaux sont sur le plan biochimique très similaires à nous autres humains, il est clair que de telles particules, qui sont faussement interprétées comme étant des particules virales, peuvent être trouvées au moyen de « tests viraux » chez tous les humains. Certains « virus » et leurs « vaccins » — pas le « virus » de la rougeole — proviennent réellement de fœtus humains avortés. Il est spécialement très éclairant ici que tous les tests détectent des molécules qui existent dans chaque être humain et que les vaccins peuvent causer des réactions allergiques particulièrement dangereuses qui ont été appelées « maladies auto-immunes ».

Un des composants des vaccins qui est le plus contaminé et le plus impur est le sérum fœtal de bovin, sans lequel le tissu et les cellules dans le laboratoire ne peuvent pas du tout être cultivées ou ne croissent pas assez rapidement, et qui est, de la manière la plus horrible qui soit, extrait de fœtus sans anesthésie. Il contient toutes sortes de microbes connus ou inconnus, leurs spores et un très grand nombre de protéines inconnues. En plus de ces particules provenant de tissus de rein de singe, ce sont également les particules de ce sérum fœtal que les scientifiques extraient et analysent lorsqu’ils croient qu’ils réunissent un « virus », qui n’existe pas et dont on n’a jamais prouvé dans toute la littérature « scientifique » qu’il était un « virus » dans sa globalité.

Parce que les vaccins sont fabriqués exclusivement sur la base de ces substances, ceci explique pourquoi ce sont surtout les personnes vaccinées qui testent « positif » à tous ces « virus » imaginaires à partir desquels les vaccins sont fabriqués. Les tests ne réagissent qu’aux particules animales des supposés virus, aux protéines animales ou aux acides nucléiques qui sont souvent identiques ou très similaires aux protéines et acides nucléiques humains. Les tests viraux ne trouvent pas quelque chose de spécifique, certainement rien de « viral » et à cause de cela ils sont sans utilité. Néanmoins, les conséquences, comme nous l’avons vu avec Ebola, le VIH, l’Influenza, etc., c’est que les gens sont paralysés par la peur et souvent meurent à cause des traitements très dangereux auxquels ils se soumettent.

Il est à noter qu’aucun soi-disant « test viral » n’a un résultat « oui » ou « non », mais ils sont plutôt calibrés d’une manière telle qu’ils peuvent être interprétés comme « positif » seulement après qu’un niveau particulier de concentration ait été atteint. Ainsi, on peut arbitrairement tester « positif » juste quelques personnes, de nombreuses personnes, aucune personne ou toutes les personnes, et les animaux, selon le calibrage du kit de test. La dimension de toute cette illusion scientifique devient claire dès que nous comprenons que des symptômes par ailleurs tout à fait « normaux » ne sont diagnostiqués comme étant le SIDA, l’ESB (maladie de la vache folle — NdT), la grippe, la rougeole, etc. que s’il y a un test « positif » pour ces symptômes.

Des détails cruciaux

Jusqu’en 1952, les virologistes croyaient qu’un virus était une protéine ou une enzyme toxique, empoisonnant directement le corps, et qu’il (le virus — NdT) était d’une manière ou d’une autre multiplié par le corps lui-même et se propageait dans le corps tout comme entre des personnes et entre des animaux.

La médecine et la science ont abandonné cette idée en 1951, parce que le virus suspecté n’avait jamais été vu dans un microscope électronique et, par-dessus tout, aucune expérience de contrôle n’avait jamais été effectuée. Il était admis que même chez les animaux en bonne santé, les organes et tissus libéraient lors du processus de décomposition les mêmes produits de décomposition qui avaient auparavant été mal interprétés comme étant des « virus ». La virologie s’était contredite elle-même. 6

Néanmoins, lorsque la femme de Crick, dernier lauréat du Prix Nobel, dessina une double hélice et que ce dessin fut publié dans le célèbre magazine scientifique Nature comme un supposé modèle conçu scientifiquement, un battage médiatique nouveau et qui a eu beaucoup de succès commença, la soi-disant génétique moléculaire. À partir de ce moment, les causes des maladies étaient considérées comme étant dans les gènes. L’idée qu’on se faisait du virus changea et, le lendemain, un virus n’était plus une toxine, mais plutôt une séquence génétique dangereuse, un ADN dangereux, une souche virale dangereuse, etc. Cette nouvelle virologie génétique était fondée par de jeunes chimistes qui n’avaient aucune idée de la biologie et de la médecine, mais ils avaient des crédits de recherche illimités. Et ils ne savaient pas que la vieille virologie s’était déjà contredite elle-même.

Pendant plus de 2000 ans, nous avions ce dicton : pardonnez-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font. Depuis 1995, depuis que nous avons posé les questions sur les preuves et publié les réponses, nous pouvons ajouter : car ils ne peuvent admettre que ce qu’ils ont appris et expérimenté est faux et, plus que cela, c’est dangereux et même mortel. Parce que personne jusqu’à présent n’a compris l’ensemble du contexte et n’a eu le courage de dire la vérité, nous avons même plus d’hypothèses subsidiaires, telles que le « système immunitaire » ou « l’épigénèse », afin de maintenir ces théories fictives.

L’idée du virus est née de la logique imposée du dogme de la théorie cellulaire. Puis vint l’idée de la bactérie pathogène, des toxines bactériennes, puis des toxines virales, jusqu’à ce que cette idée ait finalement été abandonnée en 1952. À partir de 1953, l’idée de Virchow d’un poison maladie (en latin = virus) devint un virus génétique, qui à son tour donna naissance à l’idée de gènes cancéreux, puis nous avons eu « la guerre contre le cancer » fondée durant l’ère Nixon, et ensuite apparut l’idée de gènes pour tout. Néanmoins en 2000, la théorie génétique fut également réfutée, après que des données contradictoires du soi-disant génome humain furent publiées en même temps que les affirmations embarrassantes que le génome humain entier avait été cartographié, quand bien même plus de la moitié de celui-ci était complètement inventé. 7

Les gens ne sont pas au courant qu’il est très difficile pour les mondes universitaires respectifs d’admettre qu’ils étaient impliqués dans de si mauvaises idées.

Les soi-disant macrophages

Le modèle pour l’idée d’un virus génétique chez les humains, animaux et plantes, qui a commencé à se développer à partir de 1953, étaient les soi-disant mangeurs de bactéries, appelés macrophages, qui avaient attiré l’attention des scientifiques depuis 1915. À partir de 1938, lorsque les microscopes électroniques disponibles dans le commerce ont été utilisés dans la recherche, ces phages ont pu être photographiés, isolés en tant que particules entières et tous leurs composants pouvaient être déterminés biochimiquement et caractérisés. Pour les isoler, par exemple concentrer les particules et les séparer de tous les autres composants (= isolation), afin d’un seul jet les photographier immédiatement dans leur état isolé et les caractériser, ceci, néanmoins, ne s’est jamais produit avec les soi-disant virus humains, d’animaux ou de plantes parce qu’ils n’existent pas.

Les scientifiques qui cherchaient des bactéries et des phages et qui ont travaillé avec de réelles structures existantes ont fourni un modèle sur ce à quoi pouvait ressembler les virus humains d’animaux et de plantes. Néanmoins les « experts des phages » ont négligé, à cause de leur interprétation erronée des phages comme mangeurs de bactéries, le fait que le phénomène de la formation de ces particules est causé par l’extrême autofécondation des bactéries. Cet effet, par exemple la formation et la libération des phages (mangeurs de bactéries alias virus bactériens), n’existe pas avec des bactéries pures fraîchement extraites d’un organisme ou de l’environnement. Lorsque leurs nutriments sont lentement retirés ou si leurs conditions de vie deviennent impossibles, les bactéries normales, par exemple les bactéries qui ne sont pas cultivées dans un laboratoire, créent les formes de survie connues, les spores, qui peuvent survivre pendant longtemps ou même « éternellement ». À partir des spores, de nouvelles bactéries apparaissent dès que les conditions de vie s’améliorent.

Néanmoins, des bactéries ayant été isolées, lorsqu’elles ont été cultivées en laboratoire, perdent toutes leurs caractéristiques et aptitudes. Bon nombre d’entre elles ne périssent pas automatiquement au travers de cette autofécondation, mais plutôt se transforment soudainement et complètement en petites particules qui, dans la perspective de la théorie « du bon contre le méchant », ont été mal interprétées comme étant des mangeurs de bactéries. En réalité, les bactéries proviennent de ces « phages » particuliers et retournent également dans ces formes de vie lorsque les conditions de vie ne sont plus disponibles. Günther Enderlein (1872 – 1968) a exactement décrit ces processus : comment les bactéries apparaissent de structures invisibles, leur développement en des formes plus complexes et inversement. C’est pour cette raison que Enderlein n’était pas d’accord avec la théorie cellulaire, d’après laquelle la vie apparaît à partir de cellules et est organisée au niveau cellulaire. 8 Lorsque j’étais jeune étudiant, j’ai moi-même isolé une telle « structure » de phage d’une algue marine et croyais à ce moment-là avoir découvert le premier virus inoffensif, le premier « système hôte à virus ».

L’idée que les bactéries existent en tant qu’organismes viables simples, qui peuvent exister sans autre forme de vie est fausse. Sous une forme isolée, automatiquement après quelque temps elles meurent progressivement. Ceci n’est jamais venu à l’esprit des scientifiques, parce qu’après une « isolation » réussie, une partie d’entre elles (les bactéries — NdT) est congelée et peut être travaillée dans le laboratoire des décennies plus tard. L’idée de bactéries vivant en structures indépendantes qui peuvent survivre par elles-mêmes est un artéfact de laboratoire, une mauvaise interprétation.

Ainsi, l’affirmation que les bactéries sont immortelles est donc fausse. Les bactéries ne sont immortelles qu’en étant en symbiose avec un grand nombre d’autres bactéries, moisissures et probablement de nombreuses autres formes de vie inconnues qui sont difficiles à caractériser, telles que par exemple les amibes. Les amibes, bactéries et moisissures forment des spores dès que leur environnement de vie (propice à la vie — NdT) disparaît et réémergent une fois que les conditions de vie reviennent. Si on compare cela avec les êtres humains, nous avons les mêmes perspectives : Sans un environnement propice à la vie, duquel et avec lequel nous vivons, rien ne peut exister.

Néanmoins ces découvertes vont bien plus loin. Non seulement le concept des espèces tout entier se dissout, mais également l’idée et l’affirmation sur la supposée existence de la matière morte. Les observations et les conclusions sur une « matière active » vivante (comme l’appellent les physiciens) sont rejetées comme étant du vitalisme scientifique. Néanmoins il y a de nombreuses preuves que tous ces éléments, que « l’opinion dominante » en « science » ne considère pas comme vivants, proviennent et se développent en fait à partir de la membrane d’eau, par exemple la « Ursubstanz » la source primordiale de la vie. Ces éléments créent ensuite les acides nucléiques, et autour des acides nucléiques ils créent la vie biologique sous la forme d’amibes, de bactéries, de tardigrades et de formes de vie plus complexes. Nous avons deux confirmations distinctes de cette perspective. L’une d’entre elles peut être observée par chaque personne pour elle-même tout comme pour d’autres personnes, que la vie biologique dans la forme de notre corps est réellement la matérialisation des éléments d’une conscience existante. Nous pouvons les nommer et nous connaissons la manière exacte dans lesquels nos organes et le psychisme interagissent et s’influencent mutuellement à travers l’information (par exemple un seul mot qui peut soit infliger des dégâts ou résoudre un conflit), nous pouvons vérifier tous ces aspects parce qu’ils sont prédictibles. De ce fait, les trois critères de la recherche scientifique sont remplis. 11 Ces découvertes et la connaissance de la manière dont elles sont en relation les unes avec les autres nous libèrent de la peur tout comme elles nous libèrent de la mentalité « le bien contre le mal » qui induit la peur et les modèles comportementaux qui en dérivent. Ces découvertes scientifiques révélatrices clarifient également les processus de la maladie, de la guérison, de la « crise de guérison », de la guérison suspendue (alias le vieux concept de « contagion »). Virus, il est temps de partir.

Le cauchemar de la science matérialiste semble se réaliser : même la matière morte apparente est vivante, elle est vitale. Le vitalisme, d’après lequel il y a une force de vie dans chaque chose, a été contesté par les philosophes grecs Démocrite et Épicure et les partisans de leur doctrine. Leur argument principal était qu’ils voulaient châtier tout abus de la foi et en empêcher sa répétition. Leur intention était apparemment bonne, néanmoins ils ignoraient qu’en niant les concepts de conscience et d’esprit et en niant tous les niveaux de manifestation de ces forces, ils se sont transformés involontairement en destructeurs de vie et en ennemis du peuple.

Ces interprétations « le bien contre le mal » qui ont été découvertes et décrites par Silvio Gesell11 (en général) et par Ivan Illich14 (en médecine), sont en constante augmentation à cause de la soif de profits et de ses conséquences fatales. Les conséquences de la compulsion inhérente à notre système monétaire de toujours plus de croissance, de croissance permanente, qui génère des catastrophes cycliques et apporte des vainqueurs encore plus puissants et simultanément un appauvrissement et une souffrance en constante augmentation, est interprété par toutes les personnes impliquées comme preuve d’un principe du mal, parce que ces personnes ne connaissent pas les mécanismes inhérents de manière tenace et mathématiquement déterminés du système monétaire. Il apparaît que les personnes du côté des vainqueurs, qui sont éthiquement corrects, considèrent les profits générés de manière mathématiquement obligatoire comme la preuve de leur piété et de leur exceptionnalité. Ceci n’était pas seulement la base du Manichéisme (Mani était le fondateur babylonien de cette religion dont les partisans sont appelés manichéens), mais a toujours été la force d’entraînement des dangereux aspects et effets de l’industrialisation, comme Maw Weber et d’autres l’ont découvert.

La réanimation de la Virologie grâce au Lauréat du Prix Nobel John Franklin Enders.

Nous avons expliqué dans plusieurs articles de notre magazine « WissenschafftPlus » commençant en 2014, le cadre élargi de l’évolution pernicieuse de la biologie et de la médecine, le dogme indéfendable de ladite théorie cellulaire qui prétendait que le corps se développe à partir de cellules et non à partir de tissus. La théorie cellulaire de la vie, la « pathologie cellulaire », inventée par Rudolf Virchow en 1858, qui est à ce jour la base exclusive pour la biologie et la médecine, prétend que toute maladie (et également toute vie) provient d’une cellule unique, qui est d’une certaine manière prise en otage par un virus, commence à se détériorer et ensuite propage ce virus. Deux aspects cruciaux ont servi de condition préalable et de base pour l’acceptation mondiale actuelle de la pathologie cellulaire, à partir de laquelle la théorie infectieuse, les théories génétique, immunitaire et cancéreuse se sont développées.

  1. La théorie cellulaire a été mise en œuvre que parce que Rudolf Virchow a supprimé des découvertes cruciales au sujet des tissus. Les résultats et les observations en ce qui concerne la structure, la fonction et l’importance centrale des tissus dans la création et le développement de la vie, qui étaient déjà connus en 1858, réfutent sous tous ses aspects la théorie cellulaire et subséquemment les théories génétiques, immunitaires et cancéreuses qui en découlent. 16
  2. Les théories de l’infection n’ont été établies comme dogme mondial que par les politiques concrètes et l’eugénisme du Troisième Reich. Avant 1933, les scientifiques osaient contredire cette théorie ; après 1933, ces scientifiques critiques ont été réduits au silence. 17

Afin de travailler avec des « virus » et effectuer lesdites expériences infectieuses, avant que le concept de virologie ne soit abandonné en 1952, les « virologistes » étaient forcés de dissoudre et filtrer des tissus malades et putrescents. Le filtrat concentré, du moins le pensaient-ils, contenait un agent pathogène, une toxine, qui serait, pensaient-ils, constamment produite par les cellules infectées.Jusqu’en 1952, un « virus » était défini comme étant un poison pathogène sous la forme d’une protéine, qui, en tant qu’enzyme causait des dommages d’une manière inconnue, qui pouvait causer la maladie et être transmissible. Après 1953, l’année où le supposé ADN de la forme d’une hélice alpha a été publiquement annoncé, l’idée même d’un virus est devenue celle d’un génotype malveillant enveloppé dans des protéines. Ainsi, un changement de paradigme s’est produit entre 1952 et 1954 en ce qui concerne l’image d’un virus.

« Des expériences d’infection » sur des animaux ont été menées avec les fluides filtrés d’organismes putrescents ou à partir de fluides supposés contenir les protéines/enzymes qui étaient supposées représenter le virus. Les résultats avaient pour but de prouver qu’un virus était présent et causerait la maladie qui lui était attribuée. Néanmoins, ce qui n’est jamais publiquement mentionné c’est que les symptômes supposés causés par un virus chez l’humain ne pouvaient jamais être reproduits dans des expériences sur des animaux. Au lieu de cela il n’y avait toujours que des symptômes « similaires », qui étaient alors prétendus être identiques à la maladie chez l’humain. Cependant, rien de tout cela n’a jamais été prouvé scientifiquement.

À ce jour, il manque les expériences de contrôle à toutes les « expériences de l’infection », par exemple la preuve que les symptômes ne sont pas causés par le « traitement » du matériel génétique dans la soi-disant expérience de l’infection.

Afin d’exclure que ce ne sont pas les fluides du tissu malade qui causent les symptômes, il aurait fallu avoir fait une expérience identique, mais avec d’autres fluides ou avec des fluides stérilisés. Pourtant, ceci ne s’est jamais produit.

Des expériences animales extrêmement cruelles sont menées jusqu’à ce jour — par exemple dans le but de prouver la transmission de la rougeole — au cours desquelles des singes sont attachés et immobilisés dans une chambre à vide avec un tube dans leur nez, et ensuite torturés par des scientifiques qui introduisent les fluides supposés infectés par le tube dans la trachée et les poumons des singes. Exactement les mêmes dommages seraient causés avec une solution saline stérile, du sang stérilisé, du pus ou de la salive. Les symptômes induits, qui ne sont que « similaires » à la rougeole, sont alors prétendus être la rougeole.

Puisque les fluides supposément infectés sont pressés au travers d’un filtre qui supposément élimine les bactéries et qu’ils sont légèrement chauffés, les scientifiques prétendent que la souffrance et la mort des animaux de ces expériences ne peut pas être causée par des bactéries, mais plutôt par des « agents pathogènes » plus petits, les virus. Les scientifiques impliqués ignoraient le fait déjà connu à ce moment qu’il y a beaucoup plus de bactéries inconnues que celles que l’on connaît, que de nombreuses bactéries sont résistantes à la chaleur et qu’elles forment des spores qui ne peuvent pas être filtrés. Il est important de mentionner ici qu’il n’y a de toute façon pas non plus de preuve que les bactéries causent une maladie. Elles sont souvent présentes dans le processus de la maladie, tout comme les pompiers éteignant un feu. Les bactéries ne causent pas la maladie, mais participent plutôt aux processus utiles de réparation biologique. Tout comme pour les virus, la soi-disant preuve de l’apparent rôle négatif des bactéries est [représentée par] les horribles expériences animales qui sont complètement dénuées de sens puisque les expériences de contrôle sont manquantes.

Enders et la Polio

Jusqu’en 1949, les « virologistes » cultivaient leurs présumés « virus » (des protéines) en plaçant un morceau de matériel génétique putrescent, qui avait été prélevé d’un tissu supposé infecté par un virus, sur une tranche de tissu du même type. L’intensification visible du processus de putréfaction qui était transmis du tissu « malade » au tissu « sain » était mal interprétée comme prolifération et propagation du virus, du poison pathogène. À cause des expériences de contrôle effectuées pour la première fois avec des tissus sains, les virologistes ont découvert que ce qu’ils voyaient était des processus assez normaux de décomposition de tissu et non un virus qui ne serait présent que dans le tissu « malade ».

En 1949 Enders « a découvert » par chance — parce qu’il n’avait pas de tissu nerveux « sain » frais de disponible — que d’autres types de tissus commençaient également à se décomposer si un morceau de cerveau d’une personne qui venait de décéder de la polio était placé sur eux. Auparavant les virologistes avaient cru que tous les virus ne pouvaient que se propager dans le matériel génétique auxquels ils causaient des dommages. Pour la découverte présumée que les « virus » se propageaient également dans d’autres tissus, qu’ils n’endommagent pas chez les humains vivants, Enders et les autres universitaires impliqués se virent décerner le Prix Nobel de Médecine le 10 juin 1954.

À partir de là, le prétendu « virus de la polio » a été propagé en mélangeant du tissu de peau et du muscle provenant de fœtus humain avec de la substance cérébrale provenant de personnes qui étaient décédées de la « polio », induisant par là une décomposition totale. Le filtrat de cette mixture était considéré comme contenant un virus. Le célèbre Jonas Salk a adopté exactement cette idée sans nommer son inventeur. Salk utilisait le filtrat de tissu fœtal humain décomposé en tant que vaccin contre la polio, le New York Times a déclaré que le vaccin fonctionnait et serait sans danger et Salk a généré des millions de dollars avec le vaccin de la polio, sans rien partager avec l’inventeur de l’idée d’utiliser des fœtus humains en décomposition.

Pour ces raisons, Enders a travaillé dur pour développer une autre technique, pour laquelle il pouvait s’attribuer le mérite depuis le tout début. Il a choisi le deuxième domaine le plus lucratif des maladies de la théorie des germes, à savoir celle des symptômes appelés rougeole. Enders utilisa les mêmes idées et méthodes de la bactériologie (dans laquelle il avait été diplômé) et il croyait que les phages étaient les virus des bactéries.

De manière analogue à cette technique de démonstration de la manière dont les phages supposément détruisent les bactéries dans une boîte de Petri, il a développé une bande de tissu sur laquelle un fluide supposé infecté était déposé. De manière analogue à la disparition des bactéries, la disparition de la bande de tissu a été jugée être en même temps la présence du virus suspecté, la preuve de son existence, son isolation et sa propagation. Ce protocole précis est toujours appliqué de nos jours dans les cas de rougeole et, légèrement modifié, comme « preuve » de tous les virus pathogènes. 19 Cette mixture de cellules/tissu mourants ou morts est maintenant appelé un « vaccin vivant ». Si des particules individuelles provenant de tissu mort ou des molécules produites synthétiquement sont utilisées dans des vaccins, les experts l’appellent « vaccin tué » ou « vaccin inactivé ».

Enders a attribué les chiffres étonnamment élevés de décès et blessures que le vaccin de la polio Salk causait dans la population à la contamination du vaccin, c’est la raison pour laquelle il travaillait dans son laboratoire avec des tissus provenant de reins de singes et du sérum fœtal de chevaux et de veaux en gestation.

Il y a quatre différences frappantes et cruciales entre les preuves des (bactério) phages qui existent et les prétendues preuves des « virus » hypothétiques chez les humains et chez les animaux. Ces différences clarifient les fausses suppositions d’Enders, puisqu’il a complètement oublié ses doutes clairement exprimés auparavant une fois qu’il avait eu le Prix Nobel, et ainsi il a conduit tous ses collègues, et par voie de conséquence le Monde entier (voir la panique du Corona), sur la mauvaise voie… Le Monde entier, excepté un joli, mais têtu village souabe près du lac de Constance (où habite le Dr Lanka) :

  1. Les (bactério) phages ont effectivement été isolés au sens du mot « isolation » avec des méthodes standard (centrifugation en gradient de densité). Immédiatement après l’isolation ils ont été photographiés au microscope électronique, leur pureté est déterminée et leurs composants, leurs protéines et leur ADN ont été biochimiquement décrits d’une traite, dans un seul article.
  2. En ce qui concerne tous les « virus » d’humains, d’animaux ou de plantes, aucun virus n’a jamais été isolé, photographié sous une forme isolée et ses composants n’ont jamais été biochimiquement caractérisés d’une traite, à partir de « l’isolat ». En réalité il y avait au cours des années un processus de consensus, dans lequel les particules individuelles de cellules mortes étaient attribuées à un modèle de virus. Les phages servaient de modèle pour l’ensemble de ce processus d’interprétation, comme nous pouvons le voir clairement sur les premiers dessins d’un « virus ».
  3. Le tissu et les cellules utilisés pour la « preuve et la propagation » des « virus » sont préparés d’une manière très spéciale avant l’acte de la supposée « infection ». 80 % de leurs nutriments sont retirés, afin qu’ils deviennent » affamés’ et absorbent mieux les « virus ». Ils sont traités avec des antibiotiques afin d’exclure la possibilité que des bactéries, qui sont toujours et partout présentes, dans tous les tissus et dans tous les sérums, puissent causer la mort attendue des cellules. Il n’a été admis qu’en 1972 par des experts biochimistes que ces antibiotiques endommageaient et tuaient par eux-mêmes les cellules, un fait que les virologistes avaient ignoré auparavant. La « famine » et « l’empoisonnement » est ce qui tue les cellules, mais ceci était et est toujours mal interprété comme étant la présence, l’isolation, l’effet et la propagation d’hypothétiques virus.
  4. En ce qui concerne les virus, les expériences de contrôle, qui en science sont cruciales et requises, n’ont, à ce jour, pas été effectuées ; elles pourraient exclure la possibilité qu’au lieu d’un virus ce ne sont que des particules cellulaires typiques qui étaient mal interprétées comme étant un virus. En ce qui concerne l’isolation, la description biochimique et les microphotographies électroniques des phages, les expériences de contrôle ont cependant toutes été effectuées.

De ce fait les spéculations d’Enders datées du 1er juin 1954 20 sur la preuve possible d’un « agent » qui pourrait « peut-être » jouer un rôle dans la rougeole devint, après 1952, un fait apparemment « scientifique » et la base exclusive pour toute la nouvelle virologie génétique, tout cela à cause de son Prix Nobel de décembre 1954 pour le « vaccin contre la polio à base de fœtus humain ». Quelques mois après avoir reçu son prix Nobel, Enders oublia ou supprima les contradictions et les doutes qu’il avait lui-même mentionnés dans un article de 1954. Souffrant toujours à cause du plagiat commis par Jonas Salk, qui avait volé son idée pour le vaccin de la polio, Enders déclara que toutes les futures mises au point d’un vaccin contre la polio devront être basées sur sa technique (celle d’Enders).

Enders a tué lui-même ses cultures de tissus par le traitement avec des antibiotiques (sans expérience de contrôle négatif — et ceci, dans le contexte de la vaccination obligatoire, est un aspect crucial). Depuis qu’Enders a expérimenté avec des tissus d’un jeune garçon qui s’appelait David Edmonston, le premier modèle de « virus » de la rougeole (assemblé de manière hypothétique à partir de particules provenant de tissus morts) a été appelé « souche Edmonston ». Le vaccin de la rougeole, en tant que somme toxique de tous ces morceaux de tissu, est également censé contenir la « souche Edmonston ». Une partie de cette mixture contenant des tissus de singe mort et du sérum fœtal de bovin est constamment congelée puis régulièrement utilisée pour « inoculer » d’autres tissus/cellules mourant afin de créer des « virus de la rougeole » et des « vaccins vivants ».

L’importance de remporter le procès du virus de la rougeole

Les cruciaux opinions d’experts, protocoles et décisions du procès du virus de la rougeole (2012 – 2017) auxquels je vais me référer dans ce qui suit sont disponibles gratuitement sur Internet : www.wissenschafftplus.de/blog. D’autres opinions d’experts et réfutations concernant le virus de la rougeole, que la Cour n’a pas pris en compte, sont publiées dans les éditions des magazines WissenschafftPlus de 2014 à 2017.

Le contexte du procès virus de la rougeole, qui a commencé en 2011, était d’empêcher les vaccinations obligatoires programmées de la rougeole. Un ancien ministre fédéral de la Justice m’avait appelé et demandé des données scientifiques pour aider à arrêter l’introduction de la vaccination obligatoire. Un procureur principal de premier plan nous a donné l’idée d’offrir une récompense à qui apportera la preuve du « virus de la rougeole » et, dans le procès civil qui suit, d’établir sur le plan juridique qu’il n’y a pas de preuves scientifiques soutenant les affirmations que le virus de la rougeole existe et que les vaccins étaient sûrs et efficaces. Notre plan a été une réussite totale. Ceci se comprend facilement si l’on sait que l’article de John Franklin Enders et al., daté du 1er juin 1954 est devenu la seule et exclusive base de la production de vaccins à « virus vivants » de la nouvelle virologie génétique tout entière, après que la vieille virologie ne soit décédée de mort naturelle en 1951-1952.

Sachant que l’Institut Robert Koch (RKI), contrairement à ses obligations légales, n’avait pas publié un seul article sur l’existence présumée du virus de la rougeole, j’ai offert une récompense de 100 000 € pour un article scientifique du RKI contenant les preuves scientifiques de l’existence du virus de la rougeole. Un jeune docteur de Sarre me présenta six articles, mais aucun ne provenait du RKI ; les articles étaient : celui d’Enders daté du 1er juin 1954 et cinq autres basés exclusivement sur l’article d’Enders, l’un d’entre eux étant l’examen le plus exhaustif d’autres articles sur le virus de la rougeole. Dans cet « examen », ils décrivent le laborieux processus de construction du consensus qui a duré des décennies et comprenait des dilemmes tels que quelles parties des tissus morts devaient être attribués au modèle du virus de la rougeole et également comment le modèle du virus de la rougeole devait être constamment modifié.

Je répondis au jeune docteur (qui me demanda avec insistance de renoncer au (vraiment) coûteux « conflit juridique » et de lui payer immédiatement l’argent de la récompense) que dans aucune de ses six publications il n’y avait de structure virale identifiable, mais qu’il y avait plutôt des particules et structures cellulaires typiques facilement reconnaissables. Sur ce, il a déposé une plainte au tribunal local de Ravensburg, sans néanmoins présenter à la Cour les six publications. Le tribunal de Ravensburg se prononça contre moi, quand bien même les six publications n’ont jamais apparu dans les dossiers juridiques. En dehors de cela, le verdict du tribunal local de Ravensburg a eu lieu sous des circonstances plus qu’inhabituelles. 23

Lors de l’Appel devant la Haute Cour de Justice de Stuttgart le plaignant a admis devant le juge qu’il n’avait pas lu lui-même les six publications. Donc il prévoyait de me faire taire, et par là réduire au silence la réfutation centrale de la vaccination, par une « bataille juridique insipide ». Il était peut-être lui-même une victime de la fausse croyance aux virus, probablement parce qu’il faisait confiance à ses professeurs qui n’avaient aucune idée des développements erronés en médecine depuis 1858, et n’ont pas fait de recherches historiques au sujet de leurs fausses croyances, devenant ainsi simultanément coupables et victimes de leur croyance fatale dans la théorie des germes et leur confiance en la vaccination.

Il est possible que le plaignant n’ait pas lu les six publications qu’il m’a présentées, mais qu’il n’a pas présentées à la Cour. Au moins, il est clair qu’il ne les a pas regardées lui-même, parce que ce sont les seules publications du domaine entier qui comprend environ 30 000 articles techniques au sujet de « la rougeole » dans lesquelles la référence à l’existence acceptée du virus de la rougeole est faite. Néanmoins, toutes les tonnes d’autres articles, que personne n’est capable de lire jusqu’au bout, supposent « à priori » l’existence du virus de la rougeole et se réfèrent toujours à des citations de citations, qui ne sont finalement et exclusivement que basées sur de prétendues « preuves » fournies par Enders le 1er juin 1954.

Le tribunal local de Ravensburg a décidé en 2014 d’accepter la plainte du Dr Bardens et a conclu que l’argent de la récompense devait être payé même sans publication du RKI. En dehors de cela, le tribunal local de Ravensburg a décidé qu’il ne serait pas nécessaire que les preuves scientifiques de l’existence du virus de la rougeole soient publiées dans un seul article, mais que l’ensemble des 3 366 articles (la totalité de tous les articles cités dans les six publications soumises au tribunal) de 1954 à 2007 devait être accepté comme preuve.

L’expert nommé légalement, le professeur Podbielski de Rostock a donc soutenu (ou la Cour locale a ajusté sa décision d’ouverture à l’opinion de l’expert) : « Je dois formellement clarifier qu’en biologie on ne peut fournir de preuves dans le sens classique du terme comme on peut le faire en mathématiques ou en physique. En biologie, on ne peut que recueillir des indices, qui ensuite dans leur intégralité deviennent définitifs.

Fondé sur cette affirmation extrêmement scientifique découlant du manque d’arguments de Podbielski et sur son préjugé provenant des contradictions entre la réalité et les croyances auxquelles il s’était tellement attaché, quelque chose s’est produit que les scientifiques du comportement appellent « déplacement », Podbielski a inventé une excuse désespérée, à savoir que la biologie et la médecine basée sur celle-ci, tout comme les vaccinations sont en soi ascientifiques et sans preuves : Dans son opinion, seule une collection d’indices pouvait « un jour » et « d’une manière ou d’une autre » (pratiquement) devenir valide. Un aveu aussi explicite de la nature scientifique existante des biologie et médecine actuelles n’avait jamais été exprimé avec une telle clarté.

Ce qui à présent est le plus important est de faire un usage légal de toutes ces preuves de la nature scientifique de la théorie de l’infection et des politiques vaccinales qui impactent déjà nos droits constitutionnels. Nous devons faire de telle sorte qu’au 1er mars 2020, la vaccination obligatoire contre la rougeole, votée et mise en œuvre en Allemagne, tout simplement disparaisse.

Suite de cet article :

  1. Le devoir de la science d’effectuer des expériences de contrôle. Les déclarations sur le protocole données par le Professeur Podbielski lors du procès virus de la rougeole que toutes les déclarations cruciales au sujet de l’existence du virus de la rougeole et toutes les publications ultérieures, contrairement à son avis écrit d’expert, ne contiennent pas une seule expérience de contrôle.
  2. L’importance cruciale du jugement juridique de la Haute Cour de Justice de Stuttgart du 16/02/2016, Article 12 U 63/15 pour les politiques de virologie et de vaccination.
  3. Rapports et conseil sur ce qui a déjà été fait dans le but de revenir sur la loi de vaccination obligatoire de la rougeole

suivront dans la prochaine édition de WissenschafftPlus 2/2020

Liste des sources

  1. Le Prix Nobel est pour de nombreuses raisons la chose la plus embarrassante qui puisse arriver à un scientifique et à la société :
    1. Toute reconnaissance est basée sur « l’opinion dominante » respective de l’orthodoxie universitaire et ses déclarations d’exclusivité.
    2. Toutes ces reconnaissances se sont révélées être fausses après une courte période allant de plusieurs années à plusieurs décennies. De ce fait le Prix Nobel empêche l’avancement de la connaissance scientifique en transformant de simples affirmations en dogmes.
    3. Un petit nombre de personnes extrêmement élitistes ayant quitté le domaine de la réalité sont, au bout du compte, en charge de décider ce qui est de la science et ce qui ne l’est pas. Ces personnes prédéfinissent les façons et méthodes et suppriment toute connaissance qui contredit leurs points de vue. La pratique de « révision par les pair », qui est l’évaluation des articles scientifiques avant leur publication, empêche que tout élément de connaissance indésirable réfutant leurs idées et dogmes ne finisse par être publié. Pour plus d’information lire le rapport sur le Prix Nobel dans le magazine WissenschafftPlus N° 1/2017. Le rapport comprend la photo d’une sculpture montrant l’essence de ce problème et en dit plus long que tout discours.
  1. Les membres de l’association Libertas&Sanitas, dans leurs efforts d’arrêter la vaccination obligatoire, ont publié une documentation complète sur la connaissance disponible aux décideurs des autorités de santé. De cette manière il a été prouvé qu’il n’y avait en Allemagne pas de données disponibles qui mènent à la conclusion que les vaccins sont sûrs et que la vaccination ne fait courir qu’un risque minime. De plus : en Allemagne on ne recueille pas les données qui aident à vérifier si d’après les définitions de l’OMS il y a une propagation ou une épidémie de rougeole ou un arrêt à cette propagation grâce aux vaccins à ce sujet. Voir : www.libertas-sanitas.de. Je recommande également la remarquable vidéo “Raison&Logik dans la discussion sur le Priorix (Rougeole — Oreillons — Rubéole — Vaccin vivant) [2020]
  2. Ceux qui maîtrisent l’anglais réaliseront en lisant la publication suivante que la construction d’un génome viral complet est quelque chose de tout simplement purement théorique : “Séquence Génomique Complète d’un virus sauvage de la rougeole isolé durant l’épidémie du printemps 2013” que l’on peut trouver ici : https://edoc.rki.de/handle/176904/1876. L’Institut Robert Koch était impliqué dans cette recherche. Le Prof. Mankertz, co-auteur de la publication et à la tête de l’Institut National de Référence pour la Rougeole, les Oreillons et la Rubéole, a prétendu sur demande que les expériences de contrôle étaient effectuées pour cette étude dans le but d’exclure que les composants typiques des cellules étaient mal interprétés comme étant des particules virales. Néanmoins elle a refusé de publier la documentation concernant ces expériences de contrôle. Lors de l’appel (le procès en appel de Stuttgart — NdT) le Prof. Mankertz a répondu qu’elle n’avait pas les expériences de contrôle disponibles, mais qu’elle était sûre que ses collègues de Munich ont dû procéder et documenter de telles expériences. J’ai personnellement écrit à tous les auteurs et à leurs responsables de laboratoire pour leur demander les expériences de contrôle, qui sont une obligation depuis1998. Aucun n’a répondu. Les recteurs des instituts de recherche contactés n’ont pas non plus répondu à mes questions et donc la procédure d’appel n’a abouti à rien.
  3. Publication du 22.01.2020 : La recombinaison homologue au sein de la glycoprotéine de spicule du coronavirus nouvellement identifié peut stimuler la transmission croisée entre espèces de serpent à humain. Auteurs : Wei Ji, Wei Wang, Xiaofang Zhao, Junjie Zai, Xingguang Li. Visible sur le lien : https://doi.org/10.1002/jmv.25682
  4. Pour plus d’informations lire les pages 33 à 36 de l’article “Une nouvelle perspective sur la vie — Partie II.”, magazine WissenschafftPlus n° 2/2019. Dans cet article est expliqué comment presque toute forme de science académique et financée par l’État suivra automatiquement des tendances erronées. L’historien du droit et sociologue Eugen Rosenstock avait déjà montré cela en 1956, mentionnant spécifiquement la théorie de l’infection et la médecine du cancer qui étaient déjà réfutées alors.
  5. Karlheinz Lüdtke : Sur l’Histoire des débuts de la virologie. Comment s’est développée la compréhension de la nature des virus grâce aux progrès technologiques dans l’examen des agents infectieux filtrables. Réimpression N° 125 (1999) de l’‘Institut Max Planck de l’Histoire des Sciences), 89 pages.
  6. Sur la réfutation de toutes les idées antérieures sur le soi-disant matériel génétique en tant qu’édifice et fonction du plan de vie, vous pouvez vous référer à mes articles dans le magazine WissenschaftPlus. L’index pour toutes les éditions depuis 2003 est disponible sur Internet. L’article qui mérite particulièrement d’être lu est “Patrimoine Génétique et Résolution”, publié dans “DIE ZEIT” le 12 juin 2008 et qui est disponible gratuitement sur Internet. Cet article résume que le “génome” change constamment, et donc ne peut pas effectuer des choses que les scientifiques attribuent aux génomes et également que ses changements sont mal interprétés comme étant des gènes des maladies.
  7. Un bon aperçu du travail et du système de connaissances du Prof. Günther Enderlein peut être trouvé dans la thèse de doctorat écrite par le Dr. Elke Krämer, ‘Vie et Travail du Dr. Günther Enderlein (1872 — 1968)’. Publié en tant que livre en 2012 par Reichl Verlag à St Goar.
  8. Virus géants et l’Origine de la Vie). WissenschafftPlus N° 1/2014
  9. Comprendre l’Eau, Reconnaître la Vie. Eau-PI : Plus que de l’H2O énergisée. WissenschafftPlus n° 6/2018. Cette contribution peut être trouvée sur notre site web www.wissenschafftplus.de sous “Textes importants”.
  10. Voir l’introduction sur une nouvelle perspective de la vie dans les publications N°1, 2 et 3/2019 de WissenschafftPlus.
  11. Présentation complète du procès virus de la rougeole : Go Virus go, la Cour Fédérale de Justice laisse tomber la croyance aux virus. WissenschafftPlus N° 2/2017. Également libre d’accès sur Internet : wissenschafftplus.de
  12. Comme introduction aux constatations et propositions de solutions de Silvio Gesell afin d’échapper aux mécanismes autonomes du système monétaire vous pouvez lire le livre “Qui a peur de Silvio Gesell” écrit par Hermann Benjes (292 pages)
  13. Ivan Illich. La Némésis Médicale : La Critique de la Médicalisation de la Vie. 1976 et 1995
  14. Dans son livre “La Médecine peut-elle être guérie ? La corruption d’une profession”, l’auteur Seamus O’Mahony, un célèbre gastroentérologue irlandais, déforme les écrits d’Ivan Illich. Illich affirme que son diagnostic sur la perversion de la médecine a, comme “seule” cause les dynamiques internes résultant de la compulsion de faire du profit, l’industrie pharmaceutique étant un joueur de plus dans ce système. D’un autre côté O’Mahony rend responsable l’industrie pharmaceutique pour la corruption des professions médicales et conclut que la médecine ne peut pas être guérie. D’après lui, la médecine par elle-même ne serait pas capable de se débarrasser de cette perversion et seule une catastrophe humanitaire ou une guerre pourrait rendre possible une remise à plat. De cette manière il passe par-dessus la mauvaise conception qui a pris naissance en 1858 à cause de Virchow : L’incorrecte, et même à cette époque sans fondements, théorie de la pathologie cellulaire qui était le précurseur des théories de l’infection, du système immunitaire des gènes et du cancer développées plus tard, mais également fausses et dangereuses. A la page 262 de son livre, l’auteur reconnaît qu’il y avait une autre école de médecine qui comprenait la santé comme le résultat d’une vie en harmonie avec soi-même et avec son environnement, mais cette école n’avait aucune chance. Il se référait à la “psychosomatique” du Prof. Claus Bahne Bahnson et ses collègues internationaux. Ils n’ont pas fait beaucoup de progrès pourtant, empêtrés qu’ils étaient dans la fausse biochimie de la théorie cellulaire. Seul le Dr. Ryke Geerd Hamer a réussi à développer une théorie psychosomatique scientifique, complète et individualisée.
  15. Rudolf Virchow, une Stratégie du Pouvoir. Partie 1 et Partie 2. Siegfried Johan Mohr. WissenschafftPlus N° 5/2015 et N° 6/2015 sur la Développement de la Médecine et de l’Humanité, Stefan Lanka, WissenschafftPlus N° 6/2015.
  16. Annette Hinz-Wessels. L’Institut Robert Koch dans le National-Socialisme, Kulturverlag Kadmos, 192 pages, 2012. Le livre souligne que c’est seulement après que les scientifiques allemands opposés et réfutant la théorie de l’infection ont été tués, déportés ou emprisonnés, que la théorie de l’infection s’est transformée en une théorie de courant dominant acceptée dans le Monde entier.
  17. Voir la version anglaise de l’article Wikipédia au sujet de John Franklin Enders.
  18. Le Premier Virus de la Rougeole. Jeffrey P. Baker. Publié dans le magazine Pediatrics, Septembre 2011, 128 (3) 435-437 ; DOI : https://doi.org/10.1542/peds.2011-1430
  19. Propagation dans les Cultures de Tissus d’Agents Cytopathogènes de Patients ayant la Rougeole. John F. Enders et Thomas C. Peebles. Dans le magazine “Procédures de la Société pour la Biologie Expérimentale et la Médecine”, Vol. 86, n°2 du 1er juin 1954.
  20. Voir 12
  21. Protocole de l’essai du 12.03.2015 devant le Tribunal Local de Ravensburg, page 7 partie inférieure. Voir www.wissenschafftplus.de/blog/de
  22. Protocole de l’essai du 12.03.2015 devant le Tribunal Local de Ravensburg, page 7 partie haute. Voir www.wissenschafftplus.de/blog/de
  23. Peut être trouvé ici : https://lrbw.juris.de ou ici : www.wissenschafftplus.de/blog/de

Traduction Jean Bitterlin 29 juillet 2020

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