07/07/2022 (2022-07-07)
Plus cette Secte immonde s’enfonce dans l’échec de plus en plus patent, plus elle s’arcboute sur l’ignoble, tel Hitler qui au fond de son bunker en refusant de capituler condamnait le peuple allemand à sa destruction totale sous les bombardements alliés faute soi-disant de ne pas lui avoir obéi aveuglément. Aujourd’hui un nouveau rapport à charge contre Raoult vient de sortir. Il va jusqu’à le menacer de poursuites pénales, car ce dernier aurait prescrit des remèdes dits non recommandés, alors qu’il n’existe aucune plainte de patients en la matière. Bien au contraire, il y a pléthore de poursuites contre des membres de cette Secte suite aux effets secondaires de ses injections farfelues et bien peu recommandables (en tout cas inopérantes). Pourtant, la Secte persiste opiniâtrement, jusqu’à l’obsession entêtée, fiévreuse (tels ces criminels qui donnent, non pas un, mais dix, vingt, trente coups de couteau) à promouvoir cette saleté injectable au vu de ses effets secondaires et malgré la preuve patente désormais de sa totale inefficacité y compris pour les formes dites graves.
Nous nageons donc de manière croissante en plein délire scientiste, hygiéniste, affairiste organisé de plus en plus visiblement par des charlatans, des menteurs et des vicieux. Ceux-ci attendent en effet le dernier moment concernant le départ à la retraite de Raoult pour lui ternir son image en le traitant de vulgaire délinquant et trafiquant qui distribuerait à la sauvette des médicaments que nombre de pays ont cependant adoptés (ce qui leur a permis d’éviter les rebonds et d’autres aggravations qui aujourd’hui explosent, mais qui sont effacées par des catégorisations hasardeuses comme « mort mystérieuse » et autres corrélations imbéciles — telles que faire trop de jardinage ou de sport — qui pourraient induire des troubles cardiaques chez les moins de quarante ans…).
Une autre idée fixe qui fait rage également consiste à faire croire que les dix pour cent de contribution de l’Europe (0,9 pour la France) aux émissions de gaz dits à effet de serre (la première étant la… vapeur d’eau) nécessite dans l’urgence la destruction de la moitié du cheptel (à commencer par les Pays-Bas), au même titre que les moteurs thermiques réduits au silence d’ici une douzaine d’années quand ils sont neufs. C’est bien la preuve même que le pouvoir a été confié à des illuminés qui ricanent sans doute de leurs méfaits dans les alcôves de la Secte lorsqu’il s’agit de psalmodier entre-soi les versets quotidiens de cette anti-Bible rassemblant des rapports aussi farfelus que honteux (sachant que sans gaz à effet de serre, il n’y aurait plus de vie sur Terre : -18° au lieu des 15 de moyenne), montrant du doigt l’espèce humaine à l’instar de ces prophètes de malheur qui condamnent l’Humanité parce que leur ego démesuré n’aura pas été reconnu à sa juste valeur.
Et l’effet narcisse du média sur ces créatures malignes lorsqu’elles se voient à la une les amène à vouloir sans cesse en rajouter, jusqu’à par exemple enchaîner des cinq colonnes à la une sur une « 7e vague » fabriquée de toutes pièces par des injections facilitantes qui excitent un moment quelques anticorps avant de disparaître telles ces boissons gazeuses qui donnent l’impression de rafraîchir alors qu’elles ne font qu’en injecter l’illusion (et beaucoup de sucres).
Et d’ailleurs tout est de plus en plus enveloppé de propos doucereux, sucrés, ouatés qui appâtent, à l’instar de ces kidnappeurs d’enfants et leur sac de friandises. Et tous les égotistes illuminés, frustrés, abandonnés, furieux aussi de voir leur vie s’effilocher au fil des secondes gâchées par tant d’aigreur vont s’empresser de remettre leur muselière en bons esclaves sado-maso qui attendent leur Bergé afin d’être redistribués dans les réseaux interlopes du marché intertextuel des animaux savants.
On pourrait en rire alors que c’est à pleurer. Comment se fait-il que des ignorants aussi veules continuent à caracoler ainsi tout en (se) dépensant sans compter, façon Colin-Maillard coquin, dans les jardins de Versailles (alors que tout s’effondre à l’extérieur de leur cocon), sinon parce qu’ils correspondent bien, en effet miroir, à toute une faune de ratés vendus, collabos, aigris, obsédés, esseulés dont personne ne veut sauf les salles d’attente pour hypocondriaques revanchards des émissions confitures en veux tu en voilà.
C’est Tartuffe au royaume des merveilles se transformant au fur et à mesure en palais des horreurs (façon Disney Destroy). Leurs malades imaginaires pullulant tels les escargots (berk berk berk) aussitôt que la pluie médiatique les a arrosés jusqu’à plus soif de fausses nouvelles estampillées pourtant « vraies », et même sous de vrai-faux noms comme AFP, Reuters, Bloomberg, repris par des feuilles de chou avariées façon Libé, le Monde, la BBC, CNN, le NYT, le Figaro pour lequel Beaumarchais doit sans doute se retourner dans sa tombe par honte d’observer dans quel état erre désormais ce journal qui ose encore se réclamer de lui.
Comment arrêter ces forcenés ?… Ce n’est pas en leur faisant relire Foucault comme le croient Finkielkraut et Onfray que cela changera quelque chose, bien au contraire puisqu’il a été leur mentor en disant tout et son contraire, le terme « biopouvoir » par exemple ne signifiant en aucun cas que la médecine a pris le pouvoir, mais que ce dernier est détenu par des êtres vivants imposant leurs jeux de vérité dans des rapports de forces permanents. Foucault reprend ainsi l’antienne marxiste bégayée par Bourdieu réduisant le « pouvoir » au seul « rapport de forces » alors qu’il est aussi question de force des rapports : ce qui inclut également charisme et autorité à persuader et diriger selon des compétences acquises et révélées comme l’a bien analysé Max Weber. Or nous sommes bien loin du compte. Les gens actuellement au pouvoir ne s’y trouvent que par l’emploi de manipulations mentales qui surfent sur la destruction de tout esprit critique depuis bien une cinquantaine d’années, lorsqu’un Sartre s’extasia devant des meurtriers qui se prétendaient libérateurs (suivant ici Genet plutôt que Camus) tout en traitant tout « anticommuniste » de « chien » (alors qu’il était devenu lui-même le chien de garde du soviétisme maoïsé) le vrai néo-libéralisme, c’est-à-dire précisément ce que nous vivons aujourd’hui (tout pour la Secte, rien pour les porteurs de sandales, le populo), mais façon Warhol : en décalcomanie.
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