11/12/2021 (2021-12-08)
[Source : lecourrierdesstrateges.fr (Sauf ci-dessous)]
Il y a longtemps que les centre anticancéreux, usines à cancer ou plutôt à essais thérapeutiques ont perdu leur humanité dans leurs choix, leurs décisions imposées aux patients-clients (nouvelles drogues en expérimentation, versus traitements reconnus peu chers, et peu toxiques, etc..), leur comportement autoritaire, voire totalitaire depuis plus de 20 ans (imposer rapidement à un ado atteint de cancer une rencontre avec des enfants perdus pour les préparer à la mort plutôt que tenter de le sauver, signalement des parents au juge des enfants, pour ceux qui refusent l’ukase de l’essai thérapeutique, etc. et leur enlever la tutelle, etc.. chimio imposée plutôt que chirurgie salvatrice, etc.. )
Quelques soignants à l’intérieur sauvaient l’honneur par leur gentillesse et leur compassion. La crise du coronacircus a détruit ce qu’il pouvait en rester.. D’autant plus que cancer et vax ne font pas bon ménage et que jusqu’à une période récente (les années 2000) on ne vaccinait pas les cancéreux, ne serait-ce que par inefficacité des injections !
Aujourd’hui on sait déjà que le pseudovax, modificateur génique fait flamber les cancers et même d’anciens apparemment guéris avec évolution rapide et incontrôlable et décès en quelques semaines…
Consentement éclairé avez-vous dit ?
ALORS, REFUSER UN MALADE À L’ENTRÉE D’UN HÔPITAL OU D’UN CENTRE SOUS PRÉTEXTE D’ABSENCE DE PASSE ? SUMMUM DU DÉLIRE AMBIANT !
Le témoignage ci-dessous n’est malheureusement pas unique, j’en reçois régulièrement de tous les coins de France (est-ce encore la France ?)… qu’en pensent les juristes ?
Réveillons-nous de ce cauchemar !
The Incidence of Cancer, Triggered by the Covid 19 “Vaccine”—Europe Reloaded
Cancers et « vaccins » anti-Covid — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)
Cette crise est sociale pour imposer le contrôle à la chinoise, et n’a jamais été médicale (trucage des tests PCR, trucage des attributions d’étiquette Covid aux patients hospitalisés, etc.. …). Tout est clair, maintenant.
À nous les peuples de faire un choix… Il est tard, mais il reste en Europe 150 000 000 non-vax en UE, donc résistants, car avec l’extorsion de consentement… et tous ceux qui se sont fait voler leur accord par intoxication médiatique ou nécessité professionnelle, etc. et qui avec la troisième dose comprennent enfin la manipulation..
Nous devons y arriver pour nos enfants, petits-enfants. Nos parents nous avaient légué la sécurité sociale, pas l’organisme oppresseur actuel qui n’en a plus que le nom (usurpation d’identité !). Nous devons reconquérir le monde que nous avons laissé détruire en 30 ans et achever en quelques mois. UNISSONS-NOUS, sans oublier d’imposer aux candidats à la présidence et aux candidats députés une position claire en matière de santé dont la suppression immédiate du pass et de l’obligation vaccinale et la liberté d’information des médias (car où est le choix citoyen qui n’a que BFM ou France info comme sources d’information ?) et le respect absolu du consentement éclairé fiable, clair, et du code de Nuremberg (que veut interdire la présidente de l’UE, tout un symbole avoué !)
Une lectrice en colère
Par Éric Verhaeghe
L’institut Curie a la réputation d’un établissement de pointe qui soigne des cancers « compliqués ». Cette utilité sociale lui vaut une bonne image. Mais l’irruption de la vaccination obligatoire pousse-t-elle cette honorable institution à une inhumanité tout à fait inattendue vis-à-vis des non-vaccinés ? Nous publions aujourd’hui le témoignage-choc de Stéphanie, « soignée » à l’institut Curie, dans les conditions qu’elle nous explique.
L’interview de Stéphanie sur l’inhumanité de l’Institut Curie, nous pouvions bien entendu la “prendre” de façon très analytique, très intellectuelle, en dénonçant pour la énième fois la rupture d’égalité (d’aucuns diraient la ségrégation) dont les non-vaccinés sont victimes jusque dans les hôpitaux. Mais nous avons considéré qu’un traitement aussi froid et aussi distant ne ferait pas honneur à la leçon de vie que Stéphanie nous a donnée pendant une demi-heure en parlant de son cancer, de ses souffrances, et du tourment inutile créé par cette démente histoire de passe sanitaire dont les chiffres officiels montrent chaque jour un peu plus l’absurdité.
Le COVID tue-t-il plus que le cancer ?
Mais nous avons estimé qu’un point de vue aussi abstrait ne rendait pas suffisamment compte de l’interview de Stéphanie. Pendant trente minutes, cette jeune patiente de 33 ans, qui a appris sa maladie au mois de mai, nous a donné une très impressionnante leçon de vie, de volonté, de combativité, et d’optimisme. Elle nous a parlé de tout sans tabou, et elle s’est confiée.
Elle doit, demain, entrer à l’hôpital pour subir une ablation du sein. Nous sommes de tout coeur avec elle. Mais au lieu de lui garantir une sérénité optimale durant son combat contre la maladie, Emmanuel Macron et Olivier Véran ont décidé de lui compliquer la tâche en exigeant d’elle qu’elle soit vaccinée, sous peine de devoir multiplier à l’infini les tests de dépistage.
Comme elle le fait elle-même remarquer, cette obsession de dépister le COVID chez les non-vaccinés est une aberration, dans la mesure où les soignants qui lui demandent de se faire vacciner n’ont aucun scrupule à sortir dans la boulangerie d’à côté avec leur blouse blanche qu’ils contaminent allègrement et ramènent leurs courses sans aucun protocole particulier dans les locaux même où des cancéreux sont pris en charge. Pourquoi les non-vaccinés font-ils l’objet d’une surveillance renforcée, alors même que les vaccinés, qui peuvent être contagieux, n’ont aucune obligation de test ?
Au fond, tout se passe comme si, dans notre société, on partait du principe que le COVID est plus dangereux que le cancer… C’est la fameuse théorie selon laquelle un malade du cancer doit surtout être surveillé pour une potentielle affection au COVID….
L’inhumanité des vaccinés apparaît au grand jour
Donc, sous prétexte qu’un cancéreux n’est pas vacciné, on lui cherche des poux dans la tête. On lui demande avec une rigidité inhumaine et absurde, de fournir des tests à la pelle, sans tenir compte des conséquences de ces demandes abusives sur sa santé, y compris sa santé mentale. On rajoute du tracas à l’angoisse.
Au point où l’honorable Institut Curie fait intervenir la brigade anti-criminalité contre une cancéreuse qui présente un test périmé depuis… quelques heures seulement. Sans tenir compte de la fatigue que procurent des déplacements longs depuis le domicile jusqu’au centre de soins, ou jusqu’aux cabinets médicaux qui prescrivent ces tests incessants.
Dans quel gouffre moral sommes-nous tombés pour que des médecins qui ont prononcé le serment d’Hippocrate fassent intervenir une brigade anti-criminalité contre l’une de leurs patientes atteinte d’une affection grave dont la seule faute est de ne pas être vaccinée ? Est-ce cela, la médecine “inclusive”, la “protection” que l’État prétend nous apporter contre la maladie ?
Une belle leçon d’humanité
Nous voulions remercier tout spécialement Stéphanie dans le combat courageux et très digne qu’elle mène contre la maladie. Elle nous a donné une très belle leçon de vie. Nous laissons chacun se forger une doctrine sur ce sujet. Mais nous tenions tout particulièrement à la laisser s’exprimer : ses mots se passent largement, selon nous, de commentaires.
Et nous voulions lui assurer tout notre soutien en espérant que les vaccinés reviendront à la raison, abandonneront leur aveuglement de taliban, et retrouveront la voie des bonnes vieilles valeurs de tolérance qui ont fait la beauté de ce pays.
Et puisque nous sommes dans les voeux pieux, nous adorerions qu’ils relisent les controverses médicales sur la compatibilité entre vaccin et cancer. Car, à ce jour, il n’existe pas de consensus scientifique de bonne foi sur l’intérêt d’être vacciné quand on souffre d’un cancer.
Ajoutons que l’association Rester libre ! mènera dès demain une action de shaming contre l’institut Curie. Adhérez pour participer !
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