Covid-19 — Dr Louis Fouché : « On fouette votre mémoire traumatique, un peu comme un enfant battu… »

17/10/2020 (2020-10-17)

[Source : Akina]

Le traumatisme est une cicatrice neuronale. Quelques petits mots clés scandés dans les médias ou par nos politiques chaque jour permettent de réactiver les mêmes voies synaptiques très simplement. Amenant une bouffée émotionnelle d’angoisse sans cesse renouvelée. Cela permet de prendre le contrôle sur les personnes traumatisées. C’est une technique hypnotique de manipulation.

En prendre conscience permettrait d’y échapper ? Nous l’espérons. Il faut se soustraire à nos bourreaux.

Le Dr Louis Fouché médecin réanimateur qui explique bien les techniques psychologiques terribles utilisées par ce gouvernement et les médias pour obtenir la soumission totale de la population que l’on constate actuellement ! Une manipulation mentale de toute la population qui a des effets catastrophiques.

Les français on perdu tout leur bon sens et leur sens critique et acceptent TOUT sans discuter ! L’analyse très percutante de ce médecin réanimateur de terrain qui met le doigt sur le nœud gordien du problème.

« On fouette de manière quotidienne votre mémoire traumatique. »

« Actuellement la narration politique et médiatique qui est faite autour de la Covid19 poursuit l’objectif de RÉACTIVER LE TRAUMATISME INITIAL : pour certains celui de la maladie, celui de la perte de certains proches (mais finalement très peu), celui du confinement… et tout cela est extrêmement traumatisant. »

« En fait, on fouette de manière quotidienne votre mémoire traumatique, un peu comme un enfant battu, le père n’a qu’à lever la main et l’enfant est tapi dans un coin de la maison… »

« On est en plein dans une dynamique victimaire traumatique qui est extrêmement toxique et qui est utilisée par les médias d’une manière absolument volontaire parce que quand vous avez quelqu’un sous votre coupe de manière traumatique, vous pouvez lui faire faire ce que vous voulez. »

« Ma prescription : ÉTEIGNEZ LA TÉLÉ, éteignez vos téléphones, renouez avec le réel, avec vos voisins… prenez soin de vous, prenez soin des autres. »

https://youtu.be/jsYQbthk0WY
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Un commentaire

  1. Dans son entreprise mondialiste, la Société moderne vise à poursuivre à sa façon la transformation de la présente humanité en cadavres psychiques, où les morts-vivants croient vivre !
    Des « outils », qu’il conviendrait d’appeler des armes de destruction de l’harmonie universelle, sont ce qui fut appelé les « idéologies ». Les idéologies sont des constructions de la spéculation mentale, au même titre que la philosophie, mais au service total de l’involution.
    Le souci principal et principiel de l’idéologie et du matérialisme étant de détruire toute Culture et Tradition, toute ancestralité, qui sera alors brûlée et fustigée comme institution primitive et arriérée. Les adjectifs péjoratifs ne manqueront pas dans la rhétorique développée par les différents idéologues du 19éme, et nous jugerons inintéressant d’en faire la liste exhaustive. Mais il s’agira d’un gigantesque autodafé de la mémoire de l’humanité qui commencera dès cette période, un autodafé idéologique. A la différence de l’inquisition Catholique, on n’y Brûlera pas des Livres, mais l’on en écrira pléthore pour mieux étouffer les références de ce qui se révèle déjà comme « l’ancien monde » : ici ce sont les écrits qui brûlent la Culture.
    L’humanité, en tant que race, est une accumulation historique de distorsions psychologiques et psychiques développées par la domination d’idéologies qui détournent l’individu de lui-même.
    L’humain plus évolué se dissociera, le temps venu, des idéologies globales et recouvrera son identité…
    À l’Ecole Pythagoricienne, on enseignait l’unité de la nature féminine, dont le principe de vie ne se divise jamais : c’était le nombre 1. Et la dualité de la nature masculine dont le principe de vie se divise en deux parties : l’une pour être conservée et l’autre pour être donnée à la génération : d’où le nombre 2.
    L’unité féminine était appelée la Monade, parce que la femme est l’être indivisé, d’où le mot individu.
    La dualité masculine était la dyade. En latin, on disait homo duplex pour désigner la contrariété du cœur et de la raison, la duplicité (le double), suprême mystère de l’existence de l’homme.
    Ce grand mystère, c’est la loi des sexes.
    « Je ne pourrais entrer dans la discussion du fameux symbole de Pythagore, un-deux, sans dépasser de beaucoup les bornes que je me suis prescrites, écrit dans une note Antoine Fabre d’Olivet ; qu’il me suffise de dire que, comme il désignait Dieu par 1 et la matière (l’homme) par 2, il exprimait l’Univers par le nombre 12 qui résulte de la réunion des deux autres : un, deux, « en, duo ». C’est le même symbole de Fo-hi, si célèbre parmi les Chinois, exprimé par une ligne entière — 1 (Yang) et une ligne brisée – – 2 (Ying) ».
    C’est là l’origine du système duodécimal qui fut généralisé dans les temps anciens et appliqué à la division de l’année, des heures du jour, des signes du zodiaque, des achats à la douzaine, etc..
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