23/04/2022 (2022-04-23)
[Source : LHK]
Enquête très intéressante que tout électeur devrait visionner avant de se rendre aux urnes. Le nombre de vues actuel est insuffisant au vu des enjeux :
Nous savions depuis 2017 que M Macron n’avait pas le patrimoine qui correspondait à la fortune déclarée. Les quelques centaines de milliers de francs dont il est fait état dans sa déclaration d’impôts sont des cacahuètes quand on occupe des fonctions importantes dans les banques d’affaires. Et c’est encore plus vrai quand on est associé-gérant de l’une de ces banques.
L’affaire Macron-Nestlé-Pfizer n’est pas un daily business. C’est un jackpot qui a dû être payé chèrement
Si on insiste beaucoup sur le jackpot qu’il a réalisé avec Nestlé, on oublie de préciser que ce montage impliquait Pfizer. Retour sur l’affaire.
« Embauché comme gérant, Emmanuel Macron devient en décembre 2010 le plus jeune associé-gérant de la très puissante banque d’affaires. Ce qui ne l’empêche pas de conseiller le candidat socialiste François Hollande quand celui-ci se lance dans la campagne présidentielle.«
https://www.swissinfo.ch/fre/election-pr%C3%A9sidentielle-fran%C3%A7aise_macron-le-banquier-de-nestl%C3%A9-%C3%A0-l-elys%C3%A9e/43153142
Arrive en 2012 l’affaire Pfizer-Nestlé.
Pfizer met alors en vente sa division nutrition infantile. Macron va faire les affaires de Pfizer en « arrivant à convaincre » Peter Brabeck de Nestlé de surenchérir. Nestlé dont l’offre était au préalable de 10 milliards va accepter de la passer à 11,9mia. Elle supplante ainsi celle de Danone qui atteignait les 11 mia. Ce faisant, Macron joua contre une entreprise française qui n’arrivera pas à s’aligner. Et c’est Nestlé qui remporte le deal.
Plus grave, selon les analystes de l’époque, Danone avait besoin alors de cette unité de Pfizer, sinon elle risquait d’être confrontée à un problème de développement.https://www.reuters.com/article/us-danone-pfizer-idUSBRE83J0VC20120420
Bref, dans cette affaire Nestlé-Macron-Pfizer, le grand gagnant c’est d’abord Pfizer, mais aussi le partenaire de la Banque Rothschild qui décroche le deal. On peut supposer qu’il y eut des bonus habituels sur les 10 premiers milliards, puis un autre sur les 1.9 mia supplémentaires puisque Pfizer a engrangé près de 2 milliards par simple surenchère très probablement injustifiée au plan purement comptable. Nestlé a de notre point de vue surpayé l’unité en question pour des raisons d’occupation du marché.
Alors combien le partenaire de la banque d’Investissement a-t-il pu décrocher? On nous parle de 3 millions d’euros, qui soit dit en passant ne figurent pas dans la déclaration fiscale de l’intéressé.. De mon côté je pense que l’affaire doit se chiffrer au minimum en dizaines de millions, voire en centaines de millions pour l’intéressé. Le supplément de près de 2 milliards, qui ne se justifiait apparemment pas, a dû envoyer le bonus de Macron dans la stratosphère.
Pfizer, le partenaire principal de la France pour les « vaccins » anti-Covid
Toutefois, l’affaire ne peut s’arrêter là. Le Covid est depuis passé par là. Et c’est Pfizer qui a décroché le gros du jackpot dans l’affaire fumeuse des faux vaccins- vraies injections expérimentales. Ian Read, le patron de Pfizer qui était aux commandes en 2012 a laissé la présidence au vétérinaire Bourla en… 2019.
Bon à savoir: en 2018, Pfizer avait quelques soucis: « Comme tous les géants du secteur, Pfizer fait face à la perte des brevets de ses anciens « blockbusters ». Dans son communiqué du lundi 1er octobre, le groupe estime avoir perdu 23 milliards de dollars de chiffre d’affaires de cette manière. »
https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/chimie-pharmacie/laboratoire-pfizer-le-pdg-ian-read-remplace-par-albert-bourla-792300.html
Oui, mais ils étaient optimistes et avaient agendé 2022 comme année de compensation! 2022, l’année où sont supposés finir les expérimentations sur l’humanité et la consignation de leurs brevets pour une nouvelle gamme de produits novateurs.
Voilà ce qui était écrit en 2018 :
« Pfizer énumère dans son communiqué les succès ayant jalonné les huit années passées par M. Read à la tête du premier laboratoire pharmaceutique américain : 30 autorisations de mise sur le marché pour des médicaments qui pourraient être suivies de 25 à 30 supplémentaires d’ici 2022; « plus de 120 milliards de dollars directement reversés aux actionnaires »; et « une augmentation de 70% du dividende ». »
https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/chimie-pharmacie/laboratoire-pfizer-le-pdg-ian-read-remplace-par-albert-bourla-792300.html
Reste plus qu’à savoir qui a sélectionné Pfizer comme fournissant principal du vaccin anti-covid…
LHK
RAPPEL
Même Paris Match le qualifie de millionnaire, ce qui ne ressort pas de sa déclaration fiscale
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