Dissimulation d’un scandale de dimension mondiale : le gouvernement de Trudeau a aidé la Chine à cacher les origines de la Covid-19

21/02/2021 (2021-02-21)

[Source : Guy Boulianne]

[Voici un article de Keean Bexte en date du 14 janvier 2021] — L’histoire qui a été racontée et généralement acceptée sur les origines du COVID-19 n’est pas vraie. D’où vient le virus qui cause cette maladie? Et tout aussi important, quand précisément est-il arrivé au Canada?

Keean Bexte a obtenu des documents militaires secrets distribués par les plus hauts rangs des Forces armées canadiennes pour tenter de dissimuler un scandale de dimension mondiale. Le document, intitulé « Exposition potentielle au nouveau coronavirus de 2019 lors des 7e Jeux mondiaux militaires tenus en octobre 2019 à Wuhan, dans la province du Hubei en Chine », a été rédigé par le chirurgien général du Canada, A.M.T. Downes, major général.

La position de Downes relève du ministre de la Défense de Trudeau, Harjit Sajjan, et lui obéit. Quelques semaines après avoir envoyé cette lettre explosive à chaque soldat canadien qui était à Wuhan pour les Jeux militaires, le major général Downes a démissionné.

Keean Bexte partage avec nous tous les détails cruciaux de cette lettre, ainsi qu’une entrevue exclusive avec un haut soldat des Forces armées canadiennes. Afin de protéger la sécurité et l’identité du brave soldat qui a fourni cette information, RebelNews a remplacé sa voix par un doubleur.

La source détaille la réponse de dissimulation du Canada à une épidémie critique de pneumonie dans un contingent de 176 soldats canadiens stationnés à Wuhan, plus de deux mois avant que la République populaire de Chine ne rapporte des éclosions dans la même ville, mais quelques semaines seulement avant le premier cas officiellement reconnu le 17 novembre 2019.

Alors que le contingent rentrait au Canada à bord d’un avion Polaris, un tiers des membres ont été mis en quarantaine à l’arrière de l’avion. Ils ont peut-être été les premiers Canadiens à être mis en quarantaine contre le virus de Wuhan. Étrangement, à leur retour au Canada, les hauts gradés des forces armées ont décidé de mettre fin à la quarantaine des soldats et de les renvoyer chez eux à travers le pays.

Quelle a été la réaction du chirurgien général de Justin Trudeau à cela? Et ne vous y trompez pas, le chirurgien général relève directement du ministre de la Défense de Trudeau – il est un soldat politique.

Naturellement, le gouvernement a décidé de le cacher. Lorsque les soldats ont commencé à demander à être testés, la réponse a été non. Voyez, si plusieurs dizaines de soldats canadiens étaient testés positifs aux anticorps COVID-19 en janvier 2020, après avoir été infectés en octobre 2019, les Chinois seraient dans de l’eau très, très chaude. Preuve irréfutable qu’ils avaient menti sur les origines du virus.

La lettre a été envoyée le 22 janvier, à peu près au moment où le gouvernement canadien s’est rendu compte que la crise du virus de Wuhan allait prendre tout l’air de la pièce pendant très longtemps. Pendant que la Dre Theresa Tam, médecin hygiéniste en chef, demandait aux Canadiens de se calmer et de cesser d’être raciste envers les Chinois, l’armée se démenait pour contenir cette nouvelle.

« À notre connaissance, aucun participant aux Jeux mondiaux militaires du Conseil international du sport militaire (CISM) n’a été infecté par le 2019-nCoV », lit-on dans la lettre.

« Nous estimons que le nombre de cas soupçonnés d’infection au 2019-nCoV ainsi que le nombre de pays signalant des cas soupçonnés augmenteront au cours des 30 prochains jours. L’augmentation du nombre de cas continuera de susciter une attention importante des médias et nourrira l’inquiétude du public, plus particulièrement pendant la première semaine de février alors que le Nouvel An chinois donne lieu à de nombreux déplacements. »

L’armée, en consultation avec les dirigeants politiques, a refusé de tester les soldats gravement malades pour la COVID-19, ce qui pourrait expliquer pourquoi ils n’étaient au courant d’aucun cas confirmé de COVID, lorsque le contingent a été balayé par des cas extrêmes de pneumonie.

Le premier cas de COVID-19 que les journalistes ont pu confirmer était un homme de 55 ans le 17 novembre. Il aurait pu être infecté 14 jours avant cela, ce qui signifie que la première infection confirmée aurait pu être aussi peu que cinq jours après le départ définitif des athlètes de Wuhan. Trudeau veut nous faire croire que nos soldats viennent d’être infectés par un autre virus aléatoire à Wuhan, provoquant une pneumonie critique et une toux d’un an.

Pourquoi pensez-vous que le gouvernement canadien a décidé de cacher ce secret? Ignorer les implications géopolitiques de renverser le récit sanctionné par l’État chinois? Pire encore, pourquoi refuseraient-ils de donner aux soldats canadiens l’accès aux meilleurs soins de santé disponibles?

Nos soldats mettent leur vie en jeu pour le Canada, et Trudeau a trop peur pour leur faire passer un test COVID? N’importe quoi pour protéger ses amis chinois, je suppose.


Leslie kenderesi, membre des Forces Canadiennes depuis 25 ans, a osé parler et se soucier de l’intérêt du peuple en appelant ses camarades à ignorer les ordres de distribution du vaccin COVID : « Je demande aux militaires, actuellement en service, aux camionneurs, aux médecins, aux ingénieurs, quoi que vous soyez, de ne pas prendre cet ordre illégal (pour) la distribution de ce vaccin ». Kenderesi a été présenté comme « le premier patriote canadien » et comme un élève-officier avec 25 ans d’expérience.

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