Belgique — La propagande transgenre dès la maternelle : le cri d’alarme d’une pédopsychiatre

06/12/2022 (2022-12-06)

[Source : medias-presse.info]

En Belgique francophone, la nouvelle version du guide EVRAS, « guide d’Education à la Vie Relationnelle, Affective et Sexuelle », utilisé dès les classes maternelles, suscite de nombreuses inquiétudes parmi les parents après les mises en garde de plusieurs pédopsychiatres qui estiment que certains passages sont « inadéquats », voire « dangereux » pour les jeunes enfants.

Le nouveau guide a été rédigé par l’ASBL O’YES, obsédée par les questions sexuelles, et la très maçonnique Fédération laïque des centres de planning familial.

Sophie Dechêne, pédopsychiatre spécialiste de la petite enfance, annonce d’emblée que plusieurs parties de ce manuel « répondent à des questions que les enfants ne se posent pas ».

Ainsi, lorsque ce manuel traite de l’identité sexuelle :

Dès 5 ans, prendre conscience que son identité de genre peut correspondre ou ne pas correspondre à celle assignée à la naissance. Dès 9 ans, âge où se produit la grande partie du développement pour les corps mâles et les corps femelles, la notion de transgenre apparaît. Il s’agit d’informer l’enfant sur la possibilité de prendre des hormones ou de recourir à des opérations chirurgicales.

Sophie Dechêne met en garde :

« Il y a évidemment un risque d’intrusion psychique chez l’enfant qui est potentiellement traumatique avec un risque de conséquences sur la santé mentale au long terme et même sur la vie sexuelle d’adulte ».

Le guide prévoit aussi de sensibiliser l’enfant, dès 9 ans, à la liberté de choisir son, sa ou ses partenaires. Et toujours à 9 ans, reconnaître que les partages de sextos ou de photos de nudes peuvent être excitants et être source de plaisir. Se sentir ainsi libre d’en envoyer dans le consentement.

« C’est tout à fait inadmissible. Cela doit être revu et corrigé. Un enfant de 9 à 11 ans ne doit pas faire de sexto, et s’il en fait un, c’est que quelque chose ne tourne pas rond dans sa vie quotidienne et il faut consulter », souligne Sophie Dechêne.

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