16/08/2022 (2022-08-16)
[Source : lecourrierdesstrateges.fr]
Une campagne de communication a récemment débuté aux États-Unis pour faire vacciner les tout petits contre le Covid. Alors que les effets indésirables de la vaccination Covid pour les enfants et les jeunes sont particulièrement à risque, les autorités américaines poursuivent et accélèrent une politique sanitaire qui repose sur le déni de réalité. La vaccination des petits enfants est-elle justifiée ne matière de santé publique ? L’acceptation par l’opinion publique d’une telle politique n’est-elle pas le signe d’une orientation idéologique ?
Aux États-Unis, la communication sur les touts petits est prête, le CDC dispose de sa campagne d’affichage (cf. ci-dessous). La vaccination vient tout juste de commencer. Cette politique suivra inévitablement en France. Elle est en préparation pendant l’été 2022 alors que les familles sont en vacances.
Une campagne de communication associant l’émotionnel et le déni de réalité
La campagne du CDC cible large : les principales communautés américaines sont représentées (afro-américaines, hispanique, asiatique…), les 3 générations sont mises en scène : enfants, parents et grands-parents. Le message exploite encore la peur puisqu’il insiste sur le fait de ne pas s’inquiéter si l’on fait vacciner ses enfants (ou petits enfants). Il s’agit bien d’une mise en scène basée sur l’exploitation de la peur du Covid, qui rappelons-le, reste bénin pour la très grande majorité des tous petits (38 décès chez les moins de cinq ans sur les 2,5 ans d’épidémie de Covid, sachant que la part des comorbidités n’est pas indiquée dans ce résultat). En revanche, le risque d’effet indésirable grave des injections Covid n’est jamais évoqué. L’information est cachée au public et le consentement libre et éclairé bafoué comme depuis le début de la vaccination de masse, en occident et ailleurs. Le scandale reste larvé et l’information ne filtre pas grâce à un système public sous contrôle et des médias subventionnés qui ne sont pas libres d’exprimer une opinion indépendante.
La vaccination des tous petits, le dernier rempart de résistance ?
On observera naturellement beaucoup plus de réticences sur la vaccination des tout petits pour le Covid que pour toute autre tranche d’âge. C’est le dernier rempart. Si les autorités sanitaires et les gouvernements avaient demandé dès 2021 la vaccination des tous petits, ils auraient été confrontés à un échec. Mais depuis 2020, l’industrie pharmaceutique a préparé ses essais cliniques sur les moins de 5 ans, essais qui ont débuté début 2021 pour Pfizer alors qu’il n’y avait pas de justification médicale en raison du nombre de cas très rares (moins de décès que pour la grippe par exemple).
Si les familles acceptent la vaccination des tout petits, sans réticence et sans méfiance, alors c’est un signal très fort pour la caste qui s’autorisera alors à instaurer une vaccination obligatoire des populations à moyen terme. Virginie Joron, députée européenne, a raison de rappeler que « ni la Commission Européenne ni les États membres de l’Union ne peuvent aujourd’hui rendre le vaccin obligatoire parce qu’il est seulement sous autorisation conditionnelle de mise sur le marché ».
Il est également juste de rappeler qu’une autorisation conditionnelle peut être maintenue pendant 1 an et renouvelée jusqu’à ce que les données en la matière soient suffisantes pour permettre une AMM standard.
Néanmoins, le cabinet d’avocats Lapuelle, rappelle aussi à juste titre que, par ordonnances du 16 septembre 2021, le juge des référés a refusé de suspendre l’obligation vaccinale des personnels médicaux au motif que le vaccin contesté n’aurait reçu qu’une autorisation conditionnelle de mise sur le marché. Dans la mesure où l’AMM conditionnelle n’implique pas que le vaccin soit expérimental au sens du Code de la santé publique et de la directive 2001/20/CE du 4 avril 2001, l’obligation vaccinale contre le Covid-19 peut tout à fait être imposée malgré sa commercialisation conditionnelle.
Il est peu probable que la décision soit laissée à chaque pays européen, elle viendra de la Commission européenne après que la vaccination des tout petits ait été testée dans de nombreux pays. Non pas sur le plan de l’innocuité des vaccins — car les effets indésirables sont de plus en plus visibles avec le temps, les autorités veulent donc aller vite — mais sur le plan politique. L’obligation vaccinale pourrait arriver fin 2022 ou début 2023.
Le contrôle des jeunes générations pour asseoir l’ordre des nouveaux maîtres
Le Nouvel ordre des Barbares, ouvrage que nous avons évoqué à plusieurs reprises et qui reprend les propos du Dr Day, un insider du Planning familial International, une organisation « fer de lance » de la redéfinition de l’identité personnelle et de la civilisation moderne, bras armé des nouveaux maîtres du monde qui le finance (Rockfeller, Soros, Gates…). Voici donc ce que disait le Dr Day en 1969 : Rien ne sera changé quant aux gens âgés, ils sont déjà matures et engagés sur leurs voies, mais tous les changements seront dirigés pour les jeunes qui sont encore en train de se développer. Non seulement on ne peut changer les gens âgés, mais ils sont de toute façon peu importants dans l’équation.
Par « équation », il faut entendre « agenda » si l’on veut utiliser le vocable actuel. Plus loin, dans le livre on peut lire les propos suivants : Les gens d’un certain âge… ils seront alignés à leur façon et vous ne pourrez rien y changer. Ils ont des valeurs et ils s’y conformeront. Mais si vous allez au jeune lorsqu’il est (petit), il est flexible. Vous le moulez dans la direction que vous souhaitez. Ils (la caste) ciblent leurs efforts sur les enfants et ils se figurent : « vous les vieux qui ne voyez plus où vous allez, vous allez crever. Quand le temps viendra, on vous fera disparaître aussi. Mais ce sont les jeunes qui doivent être moulés avec l’impression que nous voulons ». La traduction n’est pas très bonne, mais c’est celle du texte publié en version française. Il est intéressant de noter qu’à propos « des vieux », il est dit que le temps viendra où ils vont « crever ». Outre la haine de tels propos, on comprend qu’il ne s’agit pas d’une mort naturelle, car il est évident que les personnes qui arrivent à la fin de leur vie vont mourir. Ici, la compréhension doit s’entendre sur une mort provoquée. C’est bien ce dont il s’agit avec la création du Sars-CoV-2 en laboratoire (cf. dossier Origines du Covid et armes biologiques) et l’apparition programmée du Covid au regard des informations publiées dans un dossier intitulé Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés.
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