Appel aux Sénateurs

15/07/2022 (2022-07-15)

Par Karen Brandin

Mesdames, Messieurs les Sénateurs,

Le jeudi 14 juillet 2022, les valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité qui sont le terreau de la démocratie ont de nouveau été bafouées, vidées de leur substance suite aux déclarations d’un président au ton invariablement autoritaire, chef d’État au regard d’acier et au sourire carnassier qui n’a que légèrement voilé l’avertissement qu’il entendait bien donner aux parlementaires, vous rappelant à votre esprit de responsabilité et laissant par là même deviner qu’il s’agissait de vous encourager fortement, non pas tant à statuer ou voter en conscience, mais bien plutôt en cohérence avec les exigences d’un gouvernement désormais affaibli.

L’an passé, le Sénat a eu l’occasion de nous prouver son indépendance et sa vigilance. Il y a de cela quelques jours, ce fut au tour de l’Assemblée Nationale, depuis trop longtemps réduite à une simple chambre d’enregistrement, de nous offrir enfin un débat éclairé ponctué d’interventions documentées qui se sont soldées par un rejet légitime de l’article 2 de cette nouvelle proposition de loi dite « sanitaire. » 

Ce retour tant attendu de la vie parlementaire a été balayé d’un revers de main par E. Macron qui a souhaité n’y voir qu’un « coup de chaud » nocturne, une contre-réaction bien légitime sans doute aux sueurs froides qui l’attendent décidément. 

Nous, simples citoyens, électeurs en puissance devons pouvoir compter sur vous Mesdames, Messieurs les sénateurs pour porter haut dans les jours à venir, pas tant nos convictions que la simple réalité.

À cet effet, deux points sur lesquels aucune négociation, aucun compromis ne sauraient être envisagés nous tiennent particulièrement à cœur. Nous serons, lors de la séance publique programmée, très attentifs à leur défense systématique.

Le cas des mineurs tout d’abord qui doivent désormais, et ce en toutes circonstances (variant centaure compris), être dispensés de toutes mesures liberticides. Ces jeunes, innocents du covid doivent être assurés de la liberté de paraître (avec l’arrêt définitif du port du masque) et de celle de circuler avec la garantie de la fin pour cette population en construction d’un pass, qu’il soit présenté comme « sanitaire » ou « frontière ». Bref, la fin du… pass partout.

On rappelle que les enfants, en plus de contribuer de manière anecdotique à la propagation du virus, ne font pas — sauf très rares exceptions du fait d’un terrain défavorable (lourdes comorbidités) — de formes graves, immunités croisées obligent, et constituent au contraire un rempart précieux en participant activement à l’immunité collective.

L’idée éthiquement inacceptable et scientifiquement aberrante d’une vaccination altruiste à partir d’une injection génique non immunisante dont le processus accéléré de mise sur le marché n’offre aucune garantie de sécurité doit être abandonnée au plus vite.

On déplore d’ores et déjà de très nombreux, et parfois de très graves, effets secondaires qui vont jusqu’à engager lourdement et durablement la qualité de vie de ces jeunes gens. En dehors de toute déontologie puisque la balance bénéfice/risque est largement en défaveur de la vaccination, on est venu corrompre une immunité naturelle et ce faisant, un parfait état initial de santé.

Cette hypothèque mise sur l’état de santé de vos enfants est inacceptable. Elle doit cesser.

Est-il utile de rappeler qu’en l’état, alors que la pratique d’un tatouage est interdite sur un mineur sans le consentement écrit d’une personne chargée de l’autorité parentale (parent ou tuteur), il est en revanche possible pour un adolescent à partir de 16 ans, d’accéder sans l’accord de ses parents, donc sans que l’on puisse s’assurer d’un quelconque consentement libre et éclairé, à un acte médical majeur tel qu’une vaccination.

De nombreux médecins de renom et d’expérience, dont la pédiatre/oncologue Nicole Delépine, nous alertent sur l’émergence de cancers fulgurants, agressifs et atypiques à de nombreux égards tant ils frappent une population jusqu’alors épargnée (éventuellement jeune) et réagissent mal aux thérapeutiques classiques.

Refusons la poursuite des injections anticovid qui favorisent l’augmentation des cancers | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation

Il est urgent d’invoquer le principe de précaution en stoppant cette vaccination de masse digne d’une médecine vétérinaire et d’exiger une étude objective, rigoureuse et indépendante des effets iatrogènes consécutifs à ces injections répétées.

Deuxième point sur lequel il est impératif d’avancer en obtenant des assurances datées : la réintégration des soignants (notamment, mais cela vaut pour l’ensemble des personnels injustement mis à pied).

Ces soignants « suspendus », car le mot n’a jamais été plus lucide en même temps que plus terrifiant.

La vie de ces femmes, de ces hommes de conviction a en effet été « suspendue » à un fil, à une décision butée, idéologique. L’argumentaire avéré et désormais trans-partisan selon lequel la vaccination ne protège ni de l’infection ni de la transmission a été largement diffusé. Il est donc désormais impossible de trouver une justification scientifique, objective à cette situation inhumaine qui dure depuis plus de 10 mois.

Nous avons accepté par lâchetés successives de plonger nos semblables, des familles entières dans une précarité sociale comme morale ; cette honte, nous la portons donc collectivement. Il est urgent de rendre à ce personnel sa vie simplement. Ce n’est pas à nous de « passer l’éponge » comme on l’entend ces derniers jours, mais bien à eux d’essayer de nous excuser d’avoir tenté de porter atteinte à leur intégrité et de les avoir soumis à un chantage indigne d’une société éclairée. Nous ne leur serons jamais assez reconnaissants d’avoir su bien souvent conserver intacte leur vocation, leur goût de l’Autre et celui du soin. De manière plus prosaïque, il y a parmi ces personnes empêchées de travailler, des personnels de haute technicité engagés dans des domaines pointus (chirurgie, anesthésie) qui, en plus d’être indispensables puisque coutumiers des gestes qui sauvent, doivent avoir la possibilité de pratiquer pour assurer leur art et affirmer leurs techniques de prise en charge. 

Souvenons-nous ; c’était hier seulement :

« France, c’est le F révolté de la Fraternité ; c’est le R, espérance de toutes les Résistances. C’est le A pour sceller les plus fortes Amitiés ; c’est le N, infini, d’une Nation unie. C’est le C qui présage de la force du Courage, c’est le E engagé de notre Égalité. »

Nous avons tous été émus d’entendre résonner la voix pour clore le défilé du 14 Juillet de Candice Parise dans son interprétation de la chanson originale F.R.A.N.C.E. Il ne tient qu’à vous que ces mots deviennent des actes.

Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes sentiments les plus respectueux.

K. Brandin
Enseignante/Docteure en Théorie algébrique des nombres

Quelques outils (non exhaustifs) pour aider à bâtir un argumentaire de qualité :

L’injection expérimentale doit être stoppée dans le monde entier selon le conseil mondial de la santé — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

Complications des pseudovaccins anticovid au 31 mai 2022 selon base de données officielles — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

Il faut interdire la vaccination anticovid des enfants à la suite des révélations Pfizer : inefficacité et millions de complications | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation

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