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Révoltes au Sri Lanka et dans divers pays

Entre la destruction de l’agriculture par un 100 % biologique imposé brutalement, la pénurie de devises étrangères et des importations de nourriture, carburants et autres produits essentiels, le Sri Lanka est pris dans une impasse. La colère populaire est énorme, manifestations et campement devant la résidence du président Gotabaya Rajapaksa durent depuis plus d’un mois. Aujourd’hui les manifestants ont renversé le clan au pouvoir. Le président s’est enfui. Vers quel avenir se dirige ce mouvement populaire, hors partis politiques ?

(Vidéos)

Mise à jour : révoltes ailleurs dans le monde.

Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie

Stefan Lanka a critiqué dans de précédents articles les fondements scientifiques de ce qui nous a amenés à la crise que nous vivons actuellement.
Il était décrit en détail les procédés et méthodes utilisés par les virologues pour définir et caractériser un virus, l’histoire de cette science et la manière de la réfuter. Stefan Lanka a commencé ces expériences et a déjà montré un aperçu de la première étape le 21 avril 2021 dans une conférence vidéo.
Ces expériences témoins consistent à appliquer les méthodes utilisées par les virologues sans utiliser de tissus infectieux, pour démontrer que les résultats obtenus avec ou sans tissus infectieux donnent les mêmes résultats pour l’isolation du virus, les images en microscopie électronique et le séquençage génétique.

Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus

L’idée fausse du virus est au cœur de l’opération Coronavirus, car sans le concept de la théorie des germes et sans l’histoire d’horreur du virus tueur, la plupart des gens n’achèteraient pas le récit officiel de la propagande COVID dirigé par le NOM [Nouvel Ordre Mondial]. Dans un article précédent sur la nature du virus, j’ai discuté des efforts héroïques du virologue allemand, le Dr Stefan Lanka, qui a remporté un procès historique en 2017. Il s’est rendue jusqu’à la Cour suprême allemande. Lanka a prouvé devant le plus haut tribunal du pays que la rougeole n’était pas causée par un virus et qu’il n’existait en fait pas de virus de la rougeole.

Des potions contre les démons

Mieux vaut démystifier les superstitions que d’en tirer profit tout en accélérant la Réinitialisation.

Ceux qui promeuvent les traitements précoces du Covid-19 doivent d’abord concéder tous les points importants que les auteurs (de la plandémie) ont cherché à enfoncer dans l’esprit des gens : une nouvelle maladie, un nouveau virus, les recherches et fuites sur les gains de fonction, les virus comme cause de maladies respiratoires aiguës, l’utilité de la PCR en tant que diagnostic raisonnable, et le mythe de la contagiosité.
Ce sont là des choses que le Dr Mike Yeadon s’efforce de démontrer comme étant fausses.

L’immigration au Royaume-Uni est favorisée par le Commonwealth

Nigel Farage a menti aux Britanniques lorsqu’il leur a fait croire qu’avec le Brexit, s’en serait terminé de l’immigration au Royaume-Uni. Nous l’avions déjà souligné sur Breizh-info.com en expliquant que la cause des maux migratoires du Royaume-Uni aujourd’hui ne provient pas de l’Union Européenne, mais du Commonwealth. Explications, alors que les émeutes raciales et les manifestations contre l’immigration se propagent dans de nombreuses villes du nord et du sud du pays (moins du côté de Londres/Birmingham, des territoires déjà largement désertés par les Blancs britanniques).

Merrill Chase a involontairement réfuté l’existence d’anticorps en 1942

En 1942, l’immunologiste Merrill Chase et son collègue biologiste, médecin et immunologiste Karl Landsteiner de Rockefeller ont accidentellement réfuté l’idée que les « anticorps » protégeaient l’organisme contre les maladies « infectieuses ». Cette découverte est due à la volonté des chercheurs de comprendre comment l’« immunité » contre la tuberculose pouvait être transférée. Les chercheurs ont tenté de mieux comprendre en étudiant un processus connu sous le nom de sensibilisation, qui consiste à exposer un organisme à un antigène (toute toxine ou substance censée déclencher des réactions « immunitaires ») afin d’induire une réponse « immunitaire », préparant ainsi théoriquement le système « immunitaire » à réagir plus fortement et plus rapidement lors d’expositions ultérieures au même antigène.

Ça sent la mort pour la pseudoscience qu’est la virologie

Dans les coulisses, des personnes très intelligentes et ingénieuses ont entrepris de mettre à l’épreuve les méthodes de la virologie. Ces personnes se sont inspirées des travaux du Dr Stefan Lanka et de ses expériences de contrôle réalisées en 2020, qui ont ouvert les yeux de nombreuses personnes sur la fraude en matière de culture cellulaire.

Tianenmen. De la crise sociale au putsch avorté

Puisque tous les 4 juin les médias occidentaux en profitent pour ressortir l’intox du « massacre de Tiennanmen », afin de dénigrer la Chine, les analystes alternatifs en profitent aussi pour tenter de rétablir les faits. Bruno Guigue nous explique ce qu’il s’est réellement passé à Pékin à cette époque.

Armes biologiques ?

La notion de « pathogènes » et « d’armes biologiques » créées grâce à des expériences de « gain de fiction » continue de susciter la peur chez ceux qui ne réalisent pas encore que le concept tout entier est basé sur des prémisses anti-scientifiques. Malheureusement, les histoires sur les « laboratoires biologiques » continuent de susciter des craintes injustifiées et d’agir pour maintenir les gens dans la plantation de la théorie des germes. En conséquence, ils restent piégés dans un faux paradigme et incapables d’apprécier pleinement ce qui rend réellement les gens malades.

Dans cette vidéo, est soulignée une fois de plus l’absence totale de preuves de l’existence des armes biologiques et comment les médias de masse ont ouvertement poussé ces récits fondés sur la peur depuis début 2020 pour aider à soutenir l’industrie de la « pandémie » et tout le mal qui accompagne la biosécurité de l’État de surveillance.

(Vidéo 27 min)

L’escrodémie Covid-19 et SRAS-CoV-2, le virus qui n’a jamais existé

Si vous n’aviez encore rien compris ou si vous aviez raté quelque chose en ce qui concerne les « virus », la « pandémie », le « SRAS-CoV-2 »… bref si vous ne comprenez toujours rien à ce qui se passe, Poornima Wagh reprend tout à zéro et vulgarise le domaine afin que tout le monde puisse suivre.
Occasion unique de rattrapage et à ne pas manquer pour tout comprendre.

(Deux vidéos)
Mise à jour : suite à ces vidéos, Poornima Wagh a été l’objet d’une investigation journalistique sur son cursus et semble avoir menti à ce sujet, ce qui pourrait ruiner malheureusement sa prestation.

« Virus » ? Ou parasites ?

Se basant sur les recherches du Dr. Lee Merritt, Greg Reese nous propose un rapide tour d’horizon sur le lien qui pourrait exister entre parasites et certaines maladies comme la sclérose en plaque voire certains cancers.

(Vidéo < 5 min)

Récompense virale de 1 500 000 euros

1,5 million d’euros offerts pour un virologue qui apporte la preuve scientifique de l’existence d’un corona virus, y compris des expériences de contrôle documentées de toutes les étapes de la preuve.

Pour l’instant personne n’a touché la récompense.

L’enjeu de notre intégrité morale

Le mouvement de la Résistance apparu grâce à l’opération psychologique du Covid est devenu de facto la nouvelle opposition-exutoire dont avaient justement besoin nos oligarques pour remplacer celle des partis et médias en perte d’audience. Et ce point est crucial pour comprendre ce qui se joue.

Cet article est écrit avec Emilie Mugabo, passée elle aussi par le journalisme et les tentatives d’éveil des consciences.

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L’avancement de l’agenda 2030 et du plan transhumaniste associé a franchi un cap indirect, mais hélas réel et palpable dans les rangs de la dissidence où le sujet numéro 1 est devenu celui de l’infiltration et des manœuvres destinées à neutraliser les mouvements de contestation. On peut s’en désoler ou choisir de l’ignorer et continuer à résister tant qu’il est possible de le faire, à grands coups d’autocensure.

Mais le déni ne nous emmènera pas bien loin tant sont désormais manifestes la débauche de moyens humains, techniques et financiers, comme l’anticipation de la caste très en amont pour empêcher le peuple de s’emparer du pouvoir…

Pourquoi abandonner la théorie virale

Pourquoi le fait de réaliser que les virus pathogènes n’existent pas est une étape cruciale pour réduire la peur et créer une société meilleure.

(Vidéo < 30 min)

Pas d’agriculteurs, pas de nourriture saine — La fin programmée des paysans

Les prix des denrées alimentaires montent en flèche dans les épiceries du monde entier, et certains dirigeants mondiaux affirment que cela est dû au changement climatique. Leur solution est l’Agenda 21, le plan directeur centenaire des Nations unies pour l’humanité et le XXIe siècle, qui est divisé en plans quinquennaux plus courts. Le plan actuel est l’Agenda 2030, qui vise à « transformer notre monde pour un développement durable », selon les Nations unies.
L’Agenda 2030 est actuellement mis en œuvre dans le monde entier. Aux États-Unis, il est mis en œuvre sous la forme de l’agenda 30×30 de l’administration Biden, un plan visant à rendre complètement inexploitables 30 % des terres américaines d’ici à 2030, ce qui a pour conséquence d’obliger les petits agriculteurs et les éleveurs à quitter leurs terres. Dans d’autres pays comme les Pays-Bas, les agriculteurs néerlandais sont contraints de cesser leur activité en raison des « politiques vertes » du gouvernement qui limitent les émissions d’azote. Au Sri Lanka, les agriculteurs luttent pour leur survie en raison de l’interdiction par le gouvernement des engrais synthétiques.
Alors que nous assistons à une guerre mondiale contre les agriculteurs, le Forum économique mondial et les Nations unies incitent les gens à manger des insectes comme solution pour réduire le changement climatique, la faim dans le monde et sauver la planète. Pourquoi les dirigeants mondiaux et même les célébrités font-ils soudainement la promotion des insectes comestibles ? Le gouvernement doit-il contrôler notre alimentation ? À quoi ressemblerait un monde sans agriculteurs ?

(Vidéo 1 h 10)

Vous avez tué mon Europe et mes idéaux !

« … MON Europe, celle de la publicité mensongère, apportait la paix, la liberté, un nivellement par le haut, des avancées sociales, une équité, un destin commun et évidemment un contre poids, la naissance d’un géant face à l’hégémonie américaine (aujourd’hui à l’agonie).

LEUR Europe est à l’opposé de la publicité, elle veut la guerre avec l’OTAN, une suppression des libertés individuelles, une paupérisation de la société, un accroissement du chômage, une suppression des acquis sociaux, un accroissement des inégalités, un chacun pour soi, un libre-échange débridé, une suppression des valeurs et plus qu’une mise à genoux, une prostitution totale face à nos « alliés » américains. »

Pour quelles raisons la virologie est-elle complètement non scientifique ?

« En raison de ce qui s’est passé ces deux dernières années, jamais auparavant autant de personnes n’avaient remis en question les fondements de la virologie, car les données scientifiques avancées sont tout sauf crédibles. Il est temps que la virologie soit analysée à la loupe », déclare John Blaid, chercheur indépendant.

Afin d’éclairer les problèmes de la virologie, il est utile de faire d’abord un survol historique pour comprendre où tout a commencé. Au 19e siècle, de nombreuses expériences ont été menées avec des bactéries pour tenter de trouver la cause de diverses maladies, mais lorsque plusieurs de ces expériences ont échoué, l’idée est née qu’il devait y avoir quelque chose de plus petit que les bactéries qui était à l’origine des maladies. Cette chose a été appelée un virus. Ce qu’il est important de noter ici c’est que la définition d’un virus à l’époque était différente de celle d’aujourd’hui. Une recherche rapide sur l’origine du mot nous conduit au mot latin virus, qui signifie poison ou substance nocive.

UN ADIEU À LA VIROLOGIE (ÉDITION POUR EXPERT)

La virologie a inventé le modèle du virus, mais n’a jamais réussi à satisfaire à ses propres exigences. On prétend que les virus provoquent des maladies après s’être transmis entre des hôtes tels que l’homme, mais les preuves scientifiques de ces affirmations font défaut. L’un des plus grands échecs de la virologie a été l’incapacité d’obtenir des particules virales directement à partir des tissus des organismes dits atteints de maladies « virales ». Afin d’obscurcir cet état de fait, les virologues ont eu recours à la création de leurs propres méthodes pseudo-scientifiques pour remplacer la méthode scientifique de longue date, ainsi qu’à la modification du sens des mots dans le dictionnaire afin d’étayer leurs pratiques anti-scientifiques. Par exemple, un isolat « isolé » ne nécessite pas (pour les virologues) l’existence physique des particules pour obtenir le statut d’« isolat ».

A comme Antivax

Le terme « antivax » existe depuis presque aussi longtemps que les vaccins et est généralement utilisé dans un sens péjoratif. Combien de fois, au cours des trois dernières années, avons-nous vu des personnes par ailleurs bien intentionnées se mettre sur la défensive et s’exclamer : « Je ne suis pas un antivax » ?

De nombreux antivax de la vieille garde ont utilisé des données historiques pour démontrer de manière concluante que les vaccins ne pouvaient pas être la cause de l’importante diminution du nombre de malades et de décès dus à de nombreuses maladies. Aujourd’hui, une nouvelle vague d’antivax, dans la lignée du Dr Stefan Lanka, continue de réfuter non seulement l’existence des virus, mais aussi le concept plus large d’agents pathogènes. Ce raisonnement « en amont » met définitivement à mal la notion de vaccination.

Les vaccins sont exposés sur de multiples fronts à mesure que de plus en plus de gens se rendent compte qu’il s’agit de l’une des plus grandes escroqueries de l’histoire. Le moment est-il venu d’adopter l’étiquette « anti-vax » ?

(Vidéo > 20 min)

Apprendre du passé

Un analyste va au fond des choses, un critique dénonce un aspect. Une critique qui ne touche pas au fond d’une chose stabilise inévitablement le récit. La fonction de la critique est de stabiliser une construction et de détourner l’attention de l’essentiel. Ici : existe-t-il des virus qui rendent malade ? La peur et la violence de la politique épidémiologique sont-elles justifiées ou s’agit-il de terreur ?

Comme pour le Covid, les critiques du SIDA ont trouvé un écho dans le public et ont détourné l’attention du cœur du problème, à savoir le virus.

Le Cancer revisité

La peur primitive de son propre corps, qui sommeille inconsciemment chez l’être humain depuis des siècles et qui s’est développée au fil de l’histoire, est particulièrement forte lors des diagnostics de cancer. À cause de ces diagnostics, les gens croient que le mal qui sommeille dans leur corps s’est réveillé et qu’il est devenu plus fort que ce qui est sain.

Le cancer apparaît comme une confirmation de la prophétie. Les traitements mortels sont acceptés. La souffrance et la mort qui en résultent sont la preuve finale. Rien n’est remis en question.

ARNm et dommages causés par les vaccins

Lorsque les virologues ont inventé l’idée des virus Corona, ils ont intégré une protéine, qu’ils avaient trouvée dans leurs cultures cellulaires, dans le modèle de virus sous forme de protéines spike. Cette protéine, la syncytine, s’est avérée plus tard être typiquement humaine, ce que les virologues comme les critiques passent sous silence. Comme cette protéine est toujours détectée lors de « prétendues lésions par ARNm », les critiques affirment qu’il s’agit de la protéine spike des virus Corona. S’ils avaient effectué des expériences de contrôle sur des « tissus sains », ils auraient trouvé de la même manière cette protéine ou son acide nucléique partout.

Essence et motivation de la recherche de nouvelles connaissances

La paix entre les individus, les grands groupes et ce que nous appelons la Nature et la Création. La science est au service des hommes, donc de la paix et de la vie. La biologie nous en donne l’exemple. Sous tous ses aspects. Elle montre tout. Comment la paix et la vie sont possibles. Avec amour. Le dévouement inconditionnel et la résolution pacifique de tous les défis à relever.

En biologie, la violence n’est utilisée qu’à court terme pour préserver sa propre espèce, lorsque les ressources se raréfient de manière inattendue et qu’une autre solution, symbiotique, n’est pas possible. En tant qu’êtres humains et humanité, nous sommes en mesure d’éviter les pénuries, de sorte que chacun peut être sûr de la solidarité de tous les autres s’il devait lui-même se trouver un jour dans le besoin. (…)

Comme nous faisons partie intégrante de la vie, nous n’avons pas de vue d’ensemble. Nous sommes bien avisés de toujours considérer les réponses trouvées comme les secondes meilleures, qui seront complétées ou remplacées par de meilleures. Nous devons donc toujours améliorer nos questions et toujours remettre en question nos résultats et nos découvertes. Croire ou affirmer que l’on a trouvé la vérité est dangereux. Toutes les théories scientifiques de l’histoire de l’humanité sur la vie et la « maladie » se sont révélées fausses ou ont été tellement modifiées qu’elles n’ont plus rien de commun avec les idées initiales. (…)

Bien sûr, il existe des certitudes éternelles de grands maîtres, de poètes doués, de fondateurs de religions, de philosophes, de sociologues, de médecins, de biologistes et de scientifiques. Nous serions bien avisés d’accepter et d’assimiler leurs connaissances. Chaque roue ne demande pas à être réinventée. (…)

Notre science « institutionnalisée » actuelle a du mal à gérer les connaissances qui peuvent être qualifiées de « spirituelles », car « elle » n’admet comme réelles que la matière tangible et les interactions matérielles. Toutes les autres observations, possibilités de réflexion et connaissances qui dépassent les modèles d’explication matériels de la « science » institutionnalisée sont rejetées. (…)

Le génial penseur, historien et sociologue Eugen Rosenstock-Huessy a identifié et publié il y a cent ans un mécanisme très simple expliquant pourquoi la science établie, c’est-à-dire institutionnalisée, devient AUTOMATIQUEMENT et inévitablement une pseudo-science.

La guerre des mondialistes contre les paysans est une guerre contre l’humanité tout entière

Une guerre des mondialistes contre les paysans est en cours, menaçant de les chasser des terres qu’ils cultivent depuis des générations. Ceux qui contrôlent la terre contrôlent l’approvisionnement alimentaire et, avec lui, la population. Une grande partie de cette menace est liée à l’Agenda 2030, qui comprend 17 objectifs de développement durable et 169 cibles spécifiques à imposer à travers le monde, dans chaque pays, d’ici 2030.
La volonté d’imposer des insectes dans nos assiettes fait partie de ce plan ; dès 2021, la Commission européenne a autorisé les vers de farine comme aliment, en publiant un communiqué de presse vantant « le rôle croissant que les insectes joueront dans le cadre d’une alimentation plus saine et plus durable ».

« L’ACCORD CÉRÉALIER ». LES SOMMETS DU CYNISME

Si dans l’antiquité le terme « cynisme » était directement associé à l’école philosophique grecque d’Antisthène qui prônait des valeurs telles que l’humilité, la vertu et la sagesse — soit parfaitement saines — notre époque n’a rien retenu du passé et a transformé ce noble terme qu’en mépris profond et qu’en absence de morale.

Le mépris et l’immoralité, jumelés à une profonde hypocrisie, devenus des normes dans le monde politique actuel — on les retrouve pleinement aujourd’hui dans le cadre de l’une des plus importantes machinations de la dernière décennie organisée par les décideurs du monde occidental : « l’Initiative pour le transport sécuritaire des céréales et des aliments à partir des ports ukrainiens », plus communément connue comme « l’Initiative céréalière de la mer Noire » ou « l’Accord céréalier ».

Afin de comprendre la réalité et d’avoir une vision claire de « l’Accord céréalier » en question, voyons les éléments, d’une part, visibles et largement diffusés auprès de l’opinion publique mondiale et, d’autre part, ceux soigneusement dissimulés, car en totale opposition avec la partie visible de l’iceberg : le rôle réel des céréales ukrainiennes et russes sur la scène internationale ; les véritables répercussions préméditées des sanctions occidentales antirusses vis-à-vis du marché mondial des céréales, légumineuses et engrais agricoles ; les réels rapports ukraino-occidentaux dans le cadre de « l’Accord céréalier » et le rôle-clé sous-jacent des grands groupes occidentaux. 

Les folies de Peter McCullough

Le Dr Peter McCullough est un héros pour de nombreux membres de la communauté de la liberté médicale et a été l’une des voix les plus importantes dans la lutte contre les vaccins COVID.

Cependant, le Dr Mark Bailey et le Dr Kevin Corbett, vétéran de la lutte contre les virus, commentent et réfutent en détail les affirmations du Dr McCullough relatives aux « virus ». Il s’agit d’une question vitale, car ces affirmations maintiennent les gens dans le piège non seulement de l’illusion virale, mais aussi du paradigme allopathique au sens large.

(Vidéo 1 h 5)

« Je ne me tairai pas »

Ce film est une incitation à remettre en question des choses qui nous sont présentées comme des faits depuis près de quarante ans.

(Vidéo 1 h 20)

Dr Luis Marcelo Martínez : « La protéine Spike n’a jamais existé »

Le docteur argentin Luis Marcelo Martínez, généticien médical, a passé en revue toute la littérature virologique depuis 1912 et est certain que la protéine Spike n’a jamais existé. Il explique également pourquoi il est peu probable qu’une personne vaccinée soit contagieuse.

(Vidéo < 9 min)

Le « monde libre » est en fait un territoire occupé

Lorsque l’on sait que c’est depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale que l’on célèbre la Journée « Opposit Day » (journée des inversions ou des contraires), les choses commencent à prendre un peu plus de sens. En 1949, le ministère de la Guerre est devenu le ministère de la Défense et les gens ont cru à ce mensonge. À cette époque, les États-Unis occupaient l’Europe (en particulier l’Allemagne), le Japon, déclenchaient la guerre en Corée et maintenaient une garnison permanente dans le Pacifique, centrée sur l’Australie. Lorsque l’URSS a fait cela, on a parlé d’occupation, mais lorsque les États-Unis l’ont fait, ils n’ont fait que « visiter ». Mais ils ne sont jamais repartis. L’occupation demeure donc, mais elle est noyée dans un flot de mots contraires.