La grande Réinitialisation passe par la grande Dépossession commencée il y a des décennies!

[Source : LHK]

Par Liliane Held-Khawam

Table des matières de Dépossession. Ce qu’il se passe aujourd’hui est la suite logique d’un processus multi-niveaux de confiscation voire d’expropriation à venir. Publié en 2018

Planète finance prépare les esprits au scénario apocalyptique qui est intimement lié au Great Reset de Klaus Schwab. Pour mettre en place le nouveau paradigme cryptomonétaire, il faut faire table rase de l’ancien. Cela semble évident n’est-ce pas ?

Voici donc le patron de JP Morgan en envoyé spécial auprès du grand public, à l’image de Bill Gates, le grand spécialiste des virus ou de Klaus Schwab porteur de la bonne parole transhumaniste.

Et que dit Jamie Dimon, le CEO de JP Morgan (banque cofondatrice de la société eugéniste – Cf notre publication précédente)? Il nous appelle à nous préparer à « un ouragan financier »

« En ce moment, il fait plutôt beau, les choses vont bien. Tout le monde pense que la Fed peut gérer cela », a déclaré

Dimon lors d’une conférence de Bernstein. « Cet ouragan est juste là-bas sur la route qui vient vers nous. » « Nous ne savons tout simplement pas si c’est mineur ou Superstorm Sandy. Vous feriez mieux de vous préparer », a déclaré Dimon, ajoutant que JPMorgan Chase ( JPM ) se prépare à un « environnement non bénin » et à de « mauvais résultats ».

https://edition.cnn.com/2022/06/01/economy/jamie-dimon-jpmorgan-chase-economy/index.html

On retiendra deux choses de cette intervention. D’abord, il semblerait que planète finance soit en train de se préparer à appuyer sur RESET. le cas de l’Espagne est éloquent. Ce pays est en train de transgresser le tabou et ose préparer la population à la confiscation de toutes sortes de biens. Le Blog à Lupus relaie la chose dans un article le passage suivant:

https://leblogalupus.com/2022/06/05/expropriation-et-confiscation-lespagne-est-elle-au-bord-de-la-faillite-nationale/

L’Espagne est non seulement l’un des pays européens où l’hystérie du covid a été mise en œuvre avec succès, mais aussi le cinquième pays le plus endetté au monde. La faillite de l’État semble être à portée de main. C’est pourquoi le gouvernement socialiste de gauche est en train de faire passer une loi autorisant les expropriations de la propriété privée et un « corralito ». (…)

À l’époque, le portail affirmait encore que cela ne concernerait que les sommes supérieures à 100 000 euros. Mais de l’eau a coulé sous les ponts : Le 26 mai 2022, le gouvernement socialiste de gauche de Pedro Sánchez a annoncé que le fisc pourrait désormais confisquer toutes les économies dépassant le salaire minimum.

Un « corralito » pourrait être ordonné du jour au lendemain, comme cela a déjà été fait en Argentine, à Chypre, en Grèce ou récemment au Sri Lanka, a prévenu la semaine dernière l’avocat espagnol Aitor Guisasola. (…)

Le fait que la faillite de l’État soit un objectif déclaré des décideurs politiques est actuellement également démontré par le fait que Sánchez et ses partisans poussent encore plus loin les dépenses publiques afin de pouvoir justifier les expropriations et le « corralito ». Le 24 mai 2022, El País a rapporté que le gouvernement a publié une « offre record » pour les emplois publics, avec 44 788 postes disponibles dans les ministères, la justice, la police et l’armée.

« Plus ils embauchent de fonctionnaires, plus ils seront soutenus dans la mise en œuvre de leurs plans », a souligné Guisasola.

https://leblogalupus.com/2022/06/05/expropriation-et-confiscation-lespagne-est-elle-au-bord-de-la-faillite-nationale/

Or, il suffirait que l’Espagne nous claque dans la main pour que la chose se répercute par effet domino sur l’ensemble des banques centrales (c’est-à-dire NOUS) qui participent au système TARGET.

Voir notre dossier d’il y a de nombreuses années sur le sujet https://lilianeheldkhawam.com/target-dossier/

Et voilà ce que donne l’arme de destruction massive ET systémique qu’est Target 2:

http://www.eurocrisismonitor.com/

Vous voyez sur ce graphique que l’Espagne a les moyens d’entraîner les banques centrales européennes au fond de l’enfer. Mais elle n’est pas seule. L’Italie présente un déficit de sa balance TARGET encore pire que l’espagnol.

Et par ricochet, la courbe allemande s’écroulera au moment même où M Dimon et ses amis annonceront la faillite de l’Espagne, de l’Italie, voire des deux simultanément. Les pertes germaniques seront actées à ce moment précis! Les bilans des banques centrales seront immédiatement amputés de leurs créances espagnoles ou italiennes et les braves contribuables devront passer à la caisse.

Maintenant, si nous parlons des germaniques, il nous faut inclure les liquidités considérables que la BNS a mises au service de la Bundesbank via sa sous-traitante SECB, la banque responsable du trafic des paiements suisses en euro et sise sur sol allemand. Ce n’est pas par hasard que l’UBS est chapeauté de près par l’ancien patron de la Bundesbank. Oui, il y a un émouvant entre-soi entre les financiers de Francfort et ceux de Zurich. Une chose que le petit peuple maintenu dans l’ignorance ne peut comprendre.

Cet article de 2015 n’avait ému personne. Aujourd’hui, nous paierons le prix fort. https://lilianeheldkhawam.com/2015/03/02/la-politique-monetaire-suisse-serait-elle-vassalisee-par-lallemagne-liliane-held-khawam/

Le TARGET allemand inclut les liquidités mises à disposition par la BNS via le marché des REPOS

https://lilianeheldkhawam.com/2021/01/15/et-si-la-bns-faisait-faillite/

Le deuxième point que je voulais relever de l’intervention de Dimon est le fait de prétendre qu’il ne sait pas si cet ouragan sera mineur ou Superstorm Sandy. Eh bien nous pensons qu’il connait exactement le jour et l’heure du collapse définitif. Il est juste en train de préparer les esprits comme le fait si bien Bill Gates avec les pandémies qui se présentent dans une synchronicité impressionnante!

La preuve que M Dimon ment, c’est que nous savons sur ce site depuis des années que ce qui est en train de se passer a été longuement préparé par certains politiques corrompus.

Voici une publication très détaillée sur les préparatifs des dirigeants suisses et européens qui vont leur permettre le moment venu d’activer lois et directives à l’exacte image de ce qui s’est passé avec la Loi sur les épidémies de M Berset. Zéro hasard donc.

https://lilianeheldkhawam.com/2015/12/03/confiscations-bancaires-conseil-federal-cherche-couverture-democratique-vincent-held/

LHK

Retour sur les bases légales qui ont été jetées il y a de nombreuses années pour pouvoir aujourd’hui confisquer tranquillement l’épargne du déposant. Extrait du livre Une civilisation en crise, paru en janvier 2020

Un « tsunami financier » aux allures de décision politique

Les lois de confiscation de l’épargne adoptées « en toute discrétion » par le Parlement européen au printemps 20141 n’ont en réalité absolument rien d’un secret. De même, la possibilité de ponctionner les épargnants en-dessous du seuil « garanti » de 100’000 euros est tout aussi connue… dans les milieux politiques, tout au moins !

Le 24 juin 2015, la députée française Marine Le Pen avait en effet expliqué – devant plus de 600 autres parlementaires européens ! – que les avoirs des petits épargnants pourraient, eux aussi, être confisqués :2

« L’article 6 de ce texte3 permet à la Commission européenne de baisser ce seuil de spoliation de l’épargne de 100’000 euros à […] 20’000, 10’000, 5’000 ou zéro euros […] Je vous relis rapidement l’article 6 pour vous vous rafraîchir la mémoire : le montant [de] 100’000 euros […] fait l’objet d’un réexamen périodique, en tenant compte notamment de l’évolution du secteur bancaire et de la situation économique et monétaire […] Ce réexamen n’aura pas lieu avant le 3 juillet 2020, sauf si des événements imprévus le rendent nécessaire à une date plus rapprochée. »4

En 2015, les Grecs n’ont subitement plus eu accès ni à leurs comptes, ni même à leurs coffres en agence bancaire…

En clair, le seuil théorique de 100’000 euros pouvait être abaissé à tout moment, pour peu qu’un « événement imprévu » vienne justifier la généralisation des confiscations bancaires. Une affirmation spectaculaire, que personne au cours de la séance n’allait pourtant ni commenter, ni contredire !

Il y a là une similarité frappante avec le cas du député suisse Oskar Freysinger, dont la motion « Non à la confiscation des fonds privés par les banques » allait être classée sans suite par le Parlement fédéral en décembre 2015.5 Sans le moindre débat !

Quelques années plus tard, un professeur d’économie monétaire allait remettre cette question délicate sur la place publique. Au cours d’une émission à grande écoute de la chaîne publique suisse RTS, le Prof. Sergio Rossi devait expliquer que la « garantie » supposée de 100’000 francs sur les dépôts bancaires n’était en réalité qu’un mythe médiatique :

« C’est clair que l’on va toucher 1’000 ou 1’500 francs si une banque part en faillite. »6

Sans que, là non plus, quiconque n’ose le contredire, ni pendant l’émission (qui était diffusée en direct), ni par la suite.7

Force est dès lors de le constater : nos lois bancaires ont été délibérément conçues de manière à pouvoir exproprier même les petits épargnants au bénéfice des grandes banques en difficulté. Et c’est précisément là ce qui va causer le « tsunami financier » annoncé par tant de personnalités éminentes !

Car les confiscations bancaires ne peuvent avoir qu’un seul effet : la déflation, c’est-à-dire une hausse de la valeur de la monnaie. Un authentique scénario catastrophe !

Exemple : avec une déflation de -50%, toutes vos dettes (hypothèques, leasing-auto, crédit à la consommation…) doublent de valeur. Le montant de votre dette reste le même, mais sa valeur réelle explose. Il vous devient beaucoup plus difficile – et peut-être même impossible – de payer vos intérêts – et de rembourser le capital emprunté.

Les confiscations bancaires représentent donc un mécanisme de destruction monétaire imparable, qui permettra aux banques centrales d’imposer leurs monnaies numériques – et d’obtenir ainsi un contrôle total sur l’ensemble de nos comptes et flux financiers. Ceci sous prétexte d’assurer le versement d’un revenu universel, dont la population aura alors le plus grand besoin.

Tout sera alors en place pour nous imposer, à l’improviste, le système de crédit social « à la chinoise » qui est déjà dans les cartons de l’UE.

Vincent Held

Notes

1 Dixit Le Figaro (« Les banques en faillite pourront désormais ponctionner les comptes des déposants », 22/12/2015)

2 Il s’agissait d’un débat plénière auquel participaient très précisément 604 députés (cf. « Votes par appel nominal », PV du 24/06/2015 – europarl.europa.eu)

3 La Directive de « refonte du système de garantie des dépôts », votée le 16 avril 2014.

4 Préparation du Conseil européen (25 et 26 juin 2015) (débat) – Intervention de Marine Le Pen, europarl.europa.eu, 24/06/2015

5 Motion n°14.3201, parlament.ch, 20.03.2014

6 « Spécial votation – Monnaie pleine : un remède contre les crises financières ? », RTS (Infrarouge), 23/05/2018

7 Le caractère illusoire de la supposée « garantie » de 100’000 francs a été démontré – références à l’appui – dans un édito du grand magazine L’Illustré (08/07/2019). Sans que, là non plus, quiconque n’ose démentir cette analyse !

Complément



Ajout




Si le covid n’est pas un complot… — 2e volet

[Source : dondevamos]

Après avoir posé la question de la répétition des fausses alertes pandémiques et des traitements et vaccins toxiques développés par Bill Gates, fauci et leurs amis depuis 20 ans, en fait depuis 2001 et la création de la fondation Gates, la crise de l’anthrax et le 11 septembre, la question qui se pose forcément est : pourquoi retrouve-t-on les mêmes protagonistes ?

Nous allons en citer quelques-uns, d’abord en France, puis en Angleterre et aux USA, épicentres de la recherche sur les modélisations et les traitements à toutes les épidémies / pandémies.

3. Pourquoi les mêmes protagonistes d’une pandémie à l’autre ?

Si on voit arriver de nouvelles têtes, on compte un certain nombre de protagonistes du covid, parmi les plus acharnés à imposer la doxa covidiste, qui étaient déjà à la manoeuvre pour le H1N1 voire pour les autres « épidémies ». Cette persistance à la fois dans l’erreur et sur les écrans de télé est incohérente: normalement quand on fait des erreurs professionnelles, surtout si elles entraînent des gaspillages massifs d’argent public, on est sanctionné. 

Dans ces cas, on observe qu’il n’y a pas de sanctions, et on assiste à des évolutions de carrière vers les sommets.

Antoine Flahault :

Flahault

Référent grippe dans les années 2000, spécialiste des « modélisations mathématiques » des épidémies, il a été membre du Conseil d’Administration  du LEEM Recherche mais selon lui aucun « conflit d’intérêt » [1]

Il a officié comme télétoubib pendant le H1N1 puis le covid et a fondé à Rennes l’Ecole des hautes études en santé publique (EHESP) qu’il a dirigée de 2007 à 2012, avant de devenir prof de santé publique à l’école de médecine de Genève où il a créé l’ « Institue of Global Health ».

Il a publié 12 articles sur le covid en 2021, et fait divers « scénarios » d’épidémies.

H1N1 grippe porcine de 2009 :

Flahault disait le 5 mai 2009 que « nous sommes en situation de pandémie ». À ce moment, selon le rapport de la commission du Sénat sur la gestion du H1N1, il « affirmait dans la presse que près de 35 % de la population française pourrait être touchée par le virus H1N1, ce qui pourrait entraîner 30 000 morts lors d’un pic intervenant après l’été ».

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Il a indiqué à la commission d’enquête « qu’il n’entretenait pas de liens d’intérêts directs avec l’industrie pharmaceutique et qu’il n’appartenait plus au conseil d’administration du syndicat des entreprises du médicament, le « LEEM recherche ». Néanmoins, son nom apparaît parmi les membres de cette structure au titre de ses fonctions de directeur de l’Ecole des hautes études en santé publique, ce qui « ne constitue pas à ses yeux un lien d’intérêt ». En août 2009 Flahaut déclarait encore que « la grippe A cause 100 fois plus de morts directs que la grippe classique ».

Il déclarait dans Le Monde alors que seulement 1000 « cas » et 27 morts dans le monde étaient recensés :

« De fait, nous sommes en situation de pandémie. Tous les ingrédients sont déjà présents. Un virus grippal, nouveau du point de vue génétique et de ses propriétés immunologiques, se transmet de personne à personne et circule à travers le monde. L’épidémie n’est pas restée confinée dans le pays où elle a émergé et s’est diffusée via les connexions aériennes ».

Il présentait plusieurs scénarios dont un « soft » qu’il dit « proche de la pandémie de 1968 » soit « l’équivalent d’une grosse grippe saisonnière » avec « 20 à 30.000 décès« , qui  « serait susceptible d’entraîner une désorganisation du système de santé, de l’absentéisme et fragiliserait notre société, comme pourrait le faire un ouragan puissant ». On a eu une vingtaine de décès attribués au H1N1 au final. Son chiffre de 30.000 morts a été repris en boucle dans les médias.

Il recommandait d’utiliser le Tamiflu même s’il n’était pas super efficace car il servait seulement à « diminuer la pression virale ». En août 2009 il disait que le Tamiflu n’était « pas dangereux pour les enfants » après la parution d’une étude anglaise pointant les effets indésirables. Il misait sur le « vaccin » (pas encore créé) pour éviter la saturation des hôpitaux.

Quand tout le monde a compris que le H5N1 était passé tranquillement, il a Le déclaré le 18 février 2010 dans Le Figaro que le H1N1 « reviendra sans doute l’an prochain » et que les vaccins anti grippe devaient intégrer des souches du virus de 2009 et envisageait une vaccination de toute la population.

Flahault a tout de même admis en avril 2010 avoir exagéré ses prévisions du nombre de morts et que « le Tamiflu est très modérément efficace« , tout en recommandant de l’utiliser contre le H1N1.

Covid :

2022-05-29 15_24_47-_Dans cette crise, le masque est le préservatif du coronavirus_ _ Corse Matin -

Ce tenant du « zéro mort du covid » a appelé :

  • À « prendre des mesures fortes tout de suite, et jusqu’à l’été » type « confinement » dès le 13 mars 2020, soit 3 jours avant l’annonce de jupicrétin. Il voulait aussi que l’OMS « guide l’action des Etats ».
  • À porter des muselières.
  • À maintenir un état d’alerte permanent : « l’important aujourd’hui n’est pas tant de prédire que de se préparer à un scénario plausible et redoutable. Ma crainte aujourd’hui, c’est que la situation actuelle nous entraîne vers une augmentation très conséquente du nombre de malades et une poussée épidémique incontrôlable, à l’instar de ce que les Etats-Unis ont connu l’été dernier » disait-il en février 2021. De fait, il n’a cessé d’alerter sur les prochaines « vagues », comme ici en avril 2021 où il parlait déjà d’une « vague » à l’automne : « Pour cet expert, l’enthousiasme suscité par la vaccination ne doit pas nous exonérer d’une certaine vigilance vis-à-vis du virus, et du maintien de mesures de contrôle ».
  • À « vacciner » tout le monde régulièrement.
  • À ne pas utiliser la chloroquine car les essais n’avaient pas été menés selon les protocoles, qui pourtant n’ont pas été respectés pour le développement accéléré des « vaccins ». 

En février 2022 il est encore en train de dire qu’il ne faut pas de « relâchement » des « restrictions » pseudo sanitaires et garder le « pass vaccinal » jusqu’à la mi mars 2022 :

« La circulation du virus demeure très intense. En allégeant prématurément, les pays voisins risquent un ralentissement de la décrue et la mise en danger des populations vaccinées mais immunodéprimées, âgées, ou encore non vaccinées, comme les enfants ayant des facteurs de risque ».

Il est partisan des mesures les plus restrictives et ne se cache même pas de prendre l’Asie (comprendre : la Chine) comme exemple : « Préférons-nous revivre une année comme 2020, ou plutôt nous inspirer des pays d’Asie et du Pacifique ? ».

confinement

Début février 2022 il voulait imposer la « 3e dose », « Et les politiques peuvent traduire une telle recommandation par l’instauration d’un usage étendu du pass vaccinal » disait-il à Libération,

« Les hospitalisations pédiatriques atteignent aussi des niveaux records. Ne risque-t-on pas d’augmenter la circulation du virus en ôtant le masque trop tôt dans les écoles ? Le télétravail réduisait les interactions sociales sans trop peser sur l’économie générale. N’aurait-on pas pu attendre davantage avant d’en lever l’obligation ? Le vent d’optimisme qui souffle un peu rapidement en Europe risque d’inviter la population à baisser trop rapidement la garde et à renoncer aux gestes barrières, à la distanciation sociale qui la protégeaient contre la transmission du coronavirus. Cela pourrait retarder la décrue épidémique, voire relancer les transmissions et son cortège d’hospitalisations et de décès ».

Le 6 mai 2022, Flahault alertait sur le risque d’une énième « vague » de covid durant l’été et appelait les gouvernements à prendre « des mesures préventives »: « Si tous les indicateurs sanitaires repassent actuellement dans le vert en France comme dans toute l’Europe de l’Ouest, deux nouveaux sous-variants d’omicron, BA.4 et BA.5 pourraient dès la mi-juin relancer les contaminations, selon le professeur Antoine Flahault. L’épidémiologiste et enseignant de santé publique à l’université de Genève invite les pouvoirs publics à prendre des mesures préventives« . Et bien-sûr on le retrouve sur la variole du singe, qui selon lui pouvait évoluer en « pandémie ».

Jean-François Delfraissy

delfraissy

Cet expert du SIDA avait déjà 70 ans au début du covid. Quelques dates de sa carrière :

  • 1982-1986 : membre de la commission scientifique spécialisée en infection et immunité de l’Inserm.
  • 1984-1987 : Secrétariat général de la Société française d’immunologie.
  • 1990-1994 : conseiller médical auprès de la mission sida à la Direction des hôpitaux et membre du conseil d’administration Ensemble contre le sida
  • 2001-2005 : Dirige l’unité de recherche clinique Paris-Sud.
  • 2005-2017 : Directeur de l’Agence nationale de recherches sur le sida (ANRS)
  • 2008 : Directeur de l’I3M à l’Inserm et membre de la fondation de GSK
  • 2014 : Chargé par Valls du plan Ebola
  • 2016 : président du Comité consultatif national d’éthique
  • Mars 2020 : Président du « conseil scientifique covid » du micron.

H1N1 :

H1N1

Lors de son audition au Sénat en 2010 il a admis des liens avec l’industrie :

« Je suis directeur de l’Institut de microbiologie et des maladies infectieuses, professeur de médecine à Bicêtre et je dirige également l’Agence nationale de recherche sur le Sida et les hépatites virales. Je n’étais pas, jusqu’à mai 2009, expert de la grippe. Je n’avais donc pas de lien particulier avec les laboratoires de vaccins, ni avec les produits antigrippaux. 

Par ailleurs, dans le cadre du Sida, je suis expert international pour le compte d’un certain nombre de laboratoires pharmaceutiques.Lorsque j’ai pris mes fonctions de directeur, j’ai annoncé à mon conseil d’administration que j’arrêterai toute relation au niveau national mais que je garderai pour certaines formes d’expertises les boards internationaux de l’industrie, que je revendique comme nécessaires pour participer à la collaboration internationale. Il s’agit de Merck, Gilead et Tibotec ».

À ce moment il est toujours membre du conseil scientifique de GlaxoSmithKline, et a fait partie de la fondation Roche. Il dirigeit l’IMMI (Institut de Microbiologie et de Maladies Infectieuses) à qui la recherche sur le H1N1 a été confiée :

« Dès l’annonce de l’émergence du virus A(H1N1) et du risque pandémique qu’il représentait, les ministères chargés de la Recherche et de la Santé ont confié à l’IMMI, au nom d’AVIESAN, la coordination des recherches H1N1″.

Quand le président Autain lui demande « A partir de quel moment était-il scientifiquement établi que la grippe H1N1 serait majoritairement bénigne ? Dès lors que la virulence du virus était similaire à celle de la grippe saisonnière, pourquoi une double vaccination sur le modèle du vaccin H5N1 a-t-elle été jugée nécessaire ? » il répond qu’il n’a « pas tous les éléments de réponse » et que 15 à 20 millions de français ont « développé des formes asymptomatiques ».

Il appelait à se faire « vacciner », disant que c‘était sûr, mais devant la commission il a dit qu’il n’est pas spécialiste des vaccins.

Covid :

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Dès le début mars 2020 il tourne en boucle à la télé en tant que président du comité consultatif d’éthique (ex le 11 mars 2020 sur France Info ou le 3 mars 2020 sur Radio Classique  où il appelait déjà à « des mesures encore plus restrictives »  et disait que « La vision collective doit dépasser le droit individuel, à condition que cela soit clair, annoncé, transparent et transitoire« !). Cependant il admettait à ce moment-là que la « létalité du covid » était « faible ».

Le 24 mars il déclarait : « Nous n’avons pas de traitement » et évoquait l’absence problématique de « vaccin« .

7 avril 2020 Delfraissy déclare que ne pas obéir au « confinement » était un « suicide collectif » et appelait à maintenir la rétention de masse : « Selon le médecin, l’isolation que nous vivons depuis plusieurs semaines devrait se poursuivre encore plusieurs autres. Au moins jusqu’au mois de mai. « Je pense qu’il vaut mieux le dire d’emblée maintenant. Il est trop tôt pour prévoir une date de sortie« . Selon lui l’afflux de « malades » saturait les zopitaux et il y avait des effets positifs au « confinement ».

Au milieu du 1er « confinement » en avril 2020 il déclare que le covid aura « un rebond » à l’automne. Delfraissy est un adepte des « rebonds », qu’il annonce tous les 3 ou 4 mois (juin 2021novembre 2021mars 2022…). Il nie tout le temps avoir le moindre conflit d’intérêts mais annonce sa présence bénévole à plusieurs conseils consultatifs de labos ces dernières années dont Gilead.

Il a été nommé par le micron dès le début du « confinement » dans le nouveau conseil « scientifique » spécial covid, opaque, dont aucun compte rendu réunion n’existe, et dont le micron ne suivait l’avis que si ça l’arrangeait. Ses positions :

  • Pour le « confinement » qu’il regrette de ne pas avoir réclamé plus tôt, et qu’il voulait continuer
  • Contre l’hydroxychloroquine (HCQ) dès le départ (3 mars 2020)
  • Pour les tests PCR à fond dès le 20 mars 2020, dès la fin du « confinement ».
  • Pour les muselières partout quand on en a eu (avant il ne les trouvait pas utiles)
  • A parlé à longueur de temps de « saturation des zopitaux » à cause du covid même si on sait que c’est faux. Il n’a jamais fait aucun mea culpa ni là-dessus ni sur rien.

Didier HOUSSIN

Houssin
  • 2005-2011 : Directeur général de la Santé et délégué interministériel à la lutte contre la grippe aviaire.
  • 2013 : président du conseil d’administration de l’Anses
  • Janvier 2020 : président du Comité d’urgence Covid-19 de l’Organisation mondiale de la santé (nommé à 70 ans)

H5N1 :

Moins connu car moins médatique, il est aujourd’hui à l’OMS à plus de 70 ans. Dès le début de l’alerte de l’OMS en mai 2009 en tant que directeur général de la santé (même poste que Salomon) il a enclenché la machine épidémique en France : campagne de propagande, recherche des cas potentiels, délcarations intempestives sur les injections de masse déjà prévues en mai 2009… L’ « épidémie » n’a démarré officiellement qu’en septembre 2009 en France. À ce moment il prévenait déjà qu’il faudra sûrement 2 injections au moins pour les jeunes.

En tant que DGS il a poussé les gens à se faire injecter, signant même des conventions avec diverses multinationales pour qu’elles incitent leurs salariés (BNP, Air France, IBM, Micghelin, PSA,Renault, Sanofi, SNCF). Il a aussi préconisé le traitement « systématique » avec le Tamiflu de Roche et sinon avec le Relenzea de GSK. Et alors que les mutations du virus étaient connues, il disait que les « vaccins » basés sur la première souche de virus étaient toujours « sûrs » et efficaces.

Il était aussi très favorable à l’utilisation à tout va du Tamiflu; disponible gratuitement en France pour toutes formes de grippe, bien que la seule étude dont on disposait était celle du frabriquant et que les données brutes étaient secrètes.

2022-05-29 21_14_05-Alerte 6 dans le monde, alerte 5 en France - L'Express - Opera

Devant la commission d’enquête du Sénat sur la préparation de la pandémié H1N1, Houssin a expliqué l’échec de les injections de masse en France parce que « nous n’étions pas suffisamment armés pour battre en brèche les argumentaires et les rumeurs qui se sont développés sur le réseau« , contrairement aux Américains, où le CDC d’Atlanta et la FDA avaient des « équipes qui ont pour seule tâche de suivre Facebook ou Twitter et de réagir dès l’apparition de signaux inquiétants » c’est-à-dire des gens qui posent des questions ou donnent des informations n’allant pas dans le sens de la propagande épidémico-vaccinale.

« Nous aurions aimé avoir une couverture vaccinale semblable à celles obtenues en Suède, en Norvège ou au Canada, mais il se trouve que la population française ne s’est pas montrée assez inquiète, craignant peut-être davantage le vaccin« , ajoutait-il. Là encore, la question de la dangerosité du H1N1 n’entre même pas en ligne de compte.

Il était très satisfait de sa gestion du H1N1 et trouvait que l’alerte de l‘OMS avait été super. En 2020, il expliquait avoir fortement renforcé la gestion « pandémique » au cours de l’épisode de la grippe porcine, bien que la H1N1 n’ait pas du tout eu l’ampleur espérée :

« le plan pandémie grippale avait été élaboré entre 2005 et 2009, dans le cadre de la menace H5N1, puis il a été amélioré en 2010 avec des fiches précises, notamment sur la réduction des déplacements en période épidémique (fiche C9) et celle des rassemblements (fiche C10). Nous avions beaucoup travaillé sur les plans de continuité d’activité dans de nombreux secteurs, avec le recours au télétravail. Nous avions aussi créé le Centre opérationnel de régulation et de réponse aux urgences sanitaires sociales (CORRUSS) au ministère de la Santé, ainsi que l’Établissement pour la réponse aux urgences sanitaire (EPRUS), ce dont j’étais le plus fier.

Dans la gestion de ces crises, on avait également tiré les leçons avec la nécessité d’une dimension interministérielle des plans. Nous avons aussi travaillé dans l’interdisciplinarité, en mixant les données issues de l’épidémiologie, des sciences de la communication, du droit et des sciences politiques et économiques« .

Bref, l’artillerille lourde était prête à être déployée un peu plus, peu importe qu’on tue les mouches au bazooka.

Covid :

2022-05-29 21_42_38-Confinement_ l'ancien directeur général de la Santé Didier Houssin affirme que _

Président du Comité d’urgence Covid-19 de l’Organisation mondiale de la santé et membre de l’académie de « médecine » en France. Dès avril 2020 il disait que tout le monde devait mettre un tissu facial y compris dans la rue, pour « se protéger mutuellement » y compris après la fin de la rétention de masse, mais comme ces machins ont une efficacité très limitée (on savait déjà qu’ils ne servent à rien) il trouvait que le « confinement » était tout à fait justifié. Bien-sûr, selon lui, le mieux était d’avoir un « vaccin ».

Il prenait exemple sur la gestion de crise à Wuhan pour expliquer qu’il « y aura une phase de transitioon, de réapprentissage de la vie normale« . C’est lui qui a lancé l’équipe d’enquête sur l’origine du virus qui n‘a rien donné, et considérait l’origine naturelle du virus comme la plus probable.

Selon lui il était « très peu probable » que le SARS Cov 2 vienne d’un laboratoire. Il défend une gestion préventive des maladies en mode guerrier face à un risque qu’il qualifie de « permanent »:

« On se prépare aux guerres, on a une armée, on l’entraine, on l’équipe, parce qu’on sait que les guerres peuvent survenir. C’est la même chose pour les épidémies. On n’est plus au temps de la peste et du choléra où il faut seulement subir, on peut aussi se préparer. Il faut intégrer dans les grands risques celui là »

Houssin livre

Le « comité d’urgence » covid de l’OMS basé à Genève qu’il préside, a maintenu la pression épidémique, par exemple fin octobre 2021 il annonçait que la « pandémie » était loin de finir et demandait aux Etats de « reconnaître tous les vaccins qui ont reçu l’autorisation d’utilisation d’urgence » de l’OMS.

En avril 2022 alors plus rien ne se passait nulle part au niveau du covid, il considérait toujours que la « pandémie » était « une urgence de santé publique » et le comité de l’OMS déclarait -encore- que « la situation est loin d’être terminée«  et qu’il fallait continuer les tests. La situation était donc encore à l' »urgence », comme depuis 2 ans.

Il a poussé au développement des pouvoirs de l’OMS et à l’extension du règlement sanitaire international. Il disait « Et tout en continuant à faire face à la pandémie actuelle, l’OMS se prépare à la prochaine », et justement un mois plus tard, nouvelle alerte sur la variole du singe, dont Bill Gates avait parlé aussi.

Michel Cymes (télé)

H5N1:

cymes

Ce télétoubib par excellence a fait peur à tout le monde sur la gravité de la grippe A, puis a incité tout le monde à se « faire vacciner ». Le H1N1 lui avait déjà permis de faire « exploser l’audience de France 5 », annonçait un média télé le 2 décembre 2009, il a manifestement conservé la recette pour le covid.

En novembre 2009 il déclarait :

« À ceux qui prétendent que le vaccin contre la grippe A est dangereux ou qui m’accusent d’être à la botte des laboratoires pharmaceutiques, je réponds que c’est le devoir du service public d’inciter les gens à se faire vacciner. Il y aura probablement dans l’hiver plusieurs vagues de grippe. Et, si les corps politiques et médicaux ne sont pas clairs, moi, je prends position. C’est tout ».

Covid :

Pour le covid, il a d’abord été raisonnable en disant que c’était « une forme de grippe » et qu’il n’était « absolument pas inquiet« , puis a été critiqué, puis pris position en faveur des mesures les plus restrictives et des injections. Il a d’ailleurs fait deux doses puis a attrapé le covid.

Il traitait les critiques de « quelques centaines ou quelques milliers » de « complotistes complètement malades » et en août 2021 il traitait les « zantivax », « anti pass » et les manifestantspro libertés d’ « égoïstes » :

« L’énorme majorité des Français est pour la vaccination, l’énorme majorité des Français est pour le pass sanitaire. Il n’y a pas d’autre solution aujourd’hui. Et ces personnes égoïstes se baladent dans les rues en criant des slogans« .

En octobre 2021 il s’en prenait aussi aux soignants non injectés :

« Je pense qu’un jour il faudra demander des comptes à ceux qui ont été médecins ou infirmières et qui ont refusé de se faire vacciner pour des raisons qui leur sont probablement personnelles. Je ne m’apitoie absolument pas sur le sort des infirmières ou des médecins qui ont fini par quitter ce métier parce qu’ils n’ont pas voulu se faire vacciner. C’est leur choix, c’est leur problème« .

Il a fini par prendre sa retraite des plateaux télé pour tourner des séries.

Simon Cauchemez

Ce spécialiste non pas de la médecine mais des modélisations informatiques était déjà présent pour le H5N1 en 2005 puis en 2009 pour le H1N1, pas vraiment dans les médias à l’époque mais avec des modélisations sur la transmission du virus qui ont fait la une de la presse. 

H1N1 :

ferguson cauchemez

Pendant le H1N1 il était un collègue de Neil Ferguson, autre modélisateur star des médias, au département d’épidémiologie des maladies infectieuses de l’Imperial College de Londres. C’est là qu’ont été réalisés les « modèles » alermistes qui ont servi à orienter les politiques publiques.

En 2008, il publiait avec Flahault et Ferguson notamment une étude sur l’impact de la fermeture des écoles sur la transmission de la grippe dont la conclusion était que fermer les écoles durant une période prolongée réduisait le nombre de « cas », mais que si les enfants avaient quand-même des contacts sociaux l’impact de cette mesure était réduit.

Tous ces travaux ont été repris dans la presse, et le Guardian demandait en juillet 2009 s’il fallait fermer les écoles pour limiter l’ « épidémie » de HN1, puisque « les enfants sont plus contagieux et plus vulnérables au H1N1 » : « Le gouvernement devrait repenser sa politique actuelle de laisser les écoles ouvertes pendant la pandémie avant que les 30.000 écoles primaires et secondaires de Grande Bretagne ne terminent les vacances d’été, avertissent Cauchemetz et Ferguson ».

Covid : 

2022-05-28 19_15_01-Simon Cauchemez_ «Vaccins et météo ne seront pas suffisants pour tout relâcher l

Au moment du covid il avait rejoint l’unité de Modélisation Mathématique des Maladies Infectieuses de l’Institut Pasteur[2], qui « développe des outils de pointe pour l’étude des épidémies, qui aident à mettre en lumière leurs facteurs de risque ainsi que les ressorts et les profils de leur transmission, en vue d’améliorer les mesures prédictives et les campagnes de prévention« .

On a donc encore eu droit à ses modélisations sur la propagation du covid. France Info nous expliquait en décembre 2020 que « ce sont ses calculs qui orientent les choix du gouvernement face au covid« , et aussi ceux du Conseil « Scientifique » dont il est membre. Ils ont servi à justifier les « confinements », les « couvre-feu », la « vaccination » forcée par exemple.

Beaucoup d’observateurs tels que le statisticien Vincent Pavan reprochent à ces « modèles » leurs incertitudes, en particulier pour de nouveaux virus, puisqu’on manque de données à mouliner pour faire des prédictions fiables et que sur le plan purement mathématiques ces modèles n’ont pas plus de sens que la lecture de l’avenir dans les entrailles de poulet.

Même Cauchemez l’a admis devant France Info, expliquant que « Dans les premiers mois, les données restaient très limitées et nous devions donc travailler dans un contexte de grande incertitude. Aujourd’hui, nous commençons à avoir plus de recul (…) En général, au démarrage d’une épidémie, les données sont très limitées et de mauvaise qualité. Il y a beaucoup de biais potentiels. Par exemple, au début, nous n’allons voir que les cas les plus graves avec un risque de surestimer la mortalité. C’est ce qui s’était passé avec le virus H1N1 en 2009« . Il aurait été intéressant de le préciser à l’époque: nous aurions peut-être évité de détruire nos économies et la vie sociale.

Toutefois, pas moins d’une trentaine de « modèles » différents, réalisés avec des données différentes par des équipes différentes, ont été utilisés pendant le longépisode du covid.

cauchemez 2

Cauchemetz est aussi membre d’un groupe modestement appelé « Midas Network » créé par le National Institute of General Medical Sciences (USA), et dont l’objectif est de « faire avancer la science pour améliorer la préparation et la réponse globale contre les menaces des maladies infectieuses, par la recherche, l’entrainement, la communication et les services« .

Sur la base de ses « modèles », il a poussé à des mesures ultra restritives : rétentions de masse, injections de masse censées réduire les hospitalisations, y compris bien-sûr les enfants (sans ça l’ « épidémie » ne pouvait pas être stoppée selon lui en avril 2021), ne voulait jamais « relâcher les efforts » (même en avril 2021) et a soutenu les politiques les plus liberticides au nom de cette grippe, se justifiant en agitant ses modélisations hasardeuses.

Cependant, cet oracle du covid qui n’a cessé de voir des « pics » et des « vagues » arriver a rapidement dit que même avec les injections de 90% de la population, la « vie normale » n’allait pas revenir. 

Ce sont encore des modélisations, auxquelles il a pu participer, qui ont affirmé que les mixtures anti covid étaient « efficaces ». Mais aucune modélisation n’a été faite sur les effets graves de ces produits expérimentaux.

Bruno Lina

Virologue au HCL (Lyon) et au CNRS déjà en 2009

Président du conseil scientifique que GEIG et conseiller de la directrice générale de l’OMS dans un comité technique sur l’évolution de la « pandémie « pendant le H1N1. Il était aussi membre du « comité de lutte contre la grippe » mis en place par Bachelot.

2020 : membre du conseil « scientifique » de macron et directeur du Centre national de référence de la grippe – Centre International de Recherche en Infectiologie – CIRI  à Lyon et coordonnateur au Centre national de référence enterovirus et parechovirus – Hospices Civils de Lyon.

Il collabore aussi centre de modélisation Covid de l’Institut Pasteur, pilotée par Simon Cauchemez.

H1N1:

2022-05-30 19_17_52-La-verite-sur-la-grippe-A-H1N1

Président du Conseil Scientifique du GEIG déjà au moment du H1N1 et encore au moment du covid. Le GIEG, financé à 100% par 5 grands labos[3], a été mis en cause pour avoir incité le gouvernement au tout vaccinal lors du H1N1.

Il a fait la promotion du test PCR développé par l’Institut Pasteur puis du Tamiflu de Gilead dont les effets favorables n’ont jamais été démontrés, et qui par contre a rapidement montré des effets toxique. Il répondait ainsi aux détracteurs en novembre 2011 qu’il  « n’existe pas d’essai clinique réalisé dans les règles qui permet de prouver l’efficacité du Tamiflu contre les cas de grippes sévères« , mais que « de nombreuses conclusions observationnelles montraient qu’il semblait réduire le nombre de morts dans les pays qui l’ont utilisé. En 2009, le Japon, qui a utilisé massivement le Tamiflu est aussi celui qui a eu le taux de mortalité le plus faible à cause de la grippe A« .

Dans les médias il a pris position en faveur des « vaccins », même développés de manière accélérée. Selon le Parisien du 29 octobre 2009, « le 20 octobre, à l’occasion du lancement officiel de la campagne de vaccination de la grippe A au ministère de la Santé, le professeur Lina était invité à s’exprimer, assis à la gauche de Roselyne Bachelot. Il a notamment répété qu’il était « très important de se faire vacciner » contre ce virus ».

2022-05-30 19_29_31-Grippe _ le Tamiflu accusé d'être inefficace - Opera

Il était parmi les alarmistes, déclarant par exemple (décembre 2009) que « tout est possible avec le virus de la grippe A« , même s’il devait admettre que rien n’était vraiment alarmant à ce moment.

Il a été défendu par Bachelot qui le trouvait très compétent et ne trouvait rien à redire sur ses conflits d’intérêts :

« En matière de grippe, je suis entourée d’un panel d’experts très large : Comité de lutte contre la grippe, Comité technique des vaccinations et Haut Conseil de la santé publique. Sans compter les réunions de travail avec des infectiologues, des pédiatres ou des urgentistes, ce qui fait au total plus d’une centaine de personnes.(…) Beaucoup des scientifiques remarquables que je consulte sont également sollicités par les laboratoires pharmaceutiques pour valider leurs produits et leurs procédures. Ces experts, qui font dans l’immense majorité des cas preuve d’une grande indépendance d’esprit, sont tenus de faire des déclarations d’intérêt public consultables par tous. Le professeur Bruno Lina, qui est l’un des meilleurs spécialistes mondiaux de la grippe, a été mis en cause de façon injuste.« 

En septembre 2009 il a publié avec Jérome Salomon un bouquin au titre prometteur : « La vérité sur la GRIPPE A H1N1« . Mui aussi oubliait de mentionner ses nombreux liens d’intérêts, à la télé et ailleurs.

En 2010, il a mené des travaux sur le croisement de H5N1 (grippe aviaire, assez violent mais peu contagieux) et H1N1 (grippe porcine, contagieux et peu virulent), au labo P4 de Lyon : « L’expérience, qui va coûter provisoirement 200 000 euros — après cette gabegie nous ne sommes plus à quelques euros près — a officiellement pour but d’anticiper une éventuelle mutation des deux virus« , expliquait la journaliste Pryska Ducoeurjoly.

Covid :

2022-05-30 20_04_49-Covid-19 _ « L’épidémie n’est pas finie », selon Bruno Lina, virologue et membre

SI en janvier 2020 il afirmait que « nous ne sommes pas face à un virus extrêmement dangereux (…) Ce virus a affecté 400 personnes et fait 9 décès. Au même stade, le SRAS, lui, avait déjà causé 200 décès pour 400 cas. « , il a rapidement changé d’avis.

Bruno Lina a incité tout le monde à se faire tester, puis à appliquer les fameux « gestes barrières » et compagnie. En juillet 2020 il a contribué à une étude avec François-Xavier Lescure, Yazdan Yazdanpanah et d’autres qui annonçait l’efficacité du Remdesivir combiné à une autre moldécule.

Dès octobre 2021 il lançait la propagande sur les injections pour les 5 – 11 ans au nom du fameux « covid long »: « À partir du moment où le vaccin est disponible et que des enfants font des infections au coronavirus, la question se pose »

Il a soutenu l’essai Discovery auquel il a participé avec des patients à Lyon. Il a été stoppé avant la fin, après avoir traîné en longueur, et dit qu’on n’avait pas de preuve de l’efficacité de la chloroquine. En novembre 2021 il appelait à s’injecter la 3e dose appelée « dose de rappel » pour « retrouver une protection de très haut niveau« . Selon lui la 3e dose « remet les compteurs à zéro«  en termes de protection.

Au bout de la 4e dose il a dit qu’il fallait « changer la composition » des mixtures et s’est même interrogé sur l’intérêt d’une 4e dose tout en prévoyant des rappels sur « des années ».

Il disait aussi sur BFM qu’il n’y a aucun problème à s’injecter la mixture anti-covid en même temps que l’injection anti grippe saisonnière. Mais pour la chloroquine, il réclamait tout le temps des « preuves solides » ou davantage de patients pour les essais Discovery (inculant la chloroquine).

En janvier 2022 il admettait que tout le monde allait être immunisé : « il est probable que nous ayons tous acquis une forme d’immunité, par la vaccination, l’infection ou les deux » mais en mars 2022 ils déclarait que « l’épidémie n’est pas finie« .

Il déroulait dans le jargon covidiste l’argumentaire habituel fondé sur les « cas positifs » identifiés avec des PCR inappropriés:

« Certes Omicron est moins agressif que Delta ou Alpha mais il ne faudrait pas en tirer la conclusion erronée que c’est un virus banal et peu dangereux. L’épidémie n’est pas finie ; la vague BA.2 est le prolongement de la cinquième vague car nous ne sommes jamais retombés sous le seuil de 500 nouveaux cas positifs par jour pour 100 000 habitants en moyenne sur sept jours comme dans la période de calme de juin 2020 ou du début de l’été 2021« .

Roselyne Bachelot

H1N1;

2022-05-29 14_03_22-Grippe H1N1 _ quand la France s’était (trop) préparée à une pandémie _ Public Se

Ministre de la Santé après avoir travaillé plus 10 ans dans l’industrie pharma[4], elle a volontairement effrayé la population en annonçant la pandémie des mois avant que des cas ne surviennent en France. Par exemple, le 19 août 2009 -1 mois avant la déclaration de l’épidémie en France- elle disait qu’il fallait se préparer « au pire » et comptait sur le plan pandémies.

Elle a commandé 94 millions de doses de « vaccins » (alors qu’officiellement elle pensait qu’une seule dose surffirait) auprès de Sanofi, Novartis, Baxter, GlaxoSmithKline. Ces labos ont mis « la pression » sur les gouvernements pour passer très vite commande de bien plus de doses que nécessaire, avant même que les produits soient disponibles. 

Déjà, les labos étaient préservés de toute responsabilité, quoi qu’il y ait dans les produits injectés. Les clauses mentionnaient ainsi que « les opérations de vaccination de la population seront décidées par la seule administration et seront placées sous la seule responsabilité de l’Etat.

En conséquence, l’administration s’engage à garantir le titulaire [les labos] contre les conséquences de toute réclamation ou action judiciaire qui pourraient être élevées à l’encontre de ce dernier dans le cadre de ces opérations de vaccination, sauf en cas de faute établie du titulaire« . Un avenant a prévu qu’en cas de faute manifeste sur la conformité des produits, les labos pouvaient être poursuivis, mais sauf à démontrer cette « faute » c’était donc déjà au contribuable de tout assumer.

Les contrats, a juré Roselyne, ont été négocié par ses soins et pas du tout à l’Elysée.

Une fois ses commandes passées, Bachelot a très lourdement insisté pour que « toute la population » se fasse « vacciner », d’autant qu’en 2009 la France était le premier producteur de vaccins au monde. Le 16 septembre 2009 c’est elle qui a déclaré l’épidémie en France. Elle affirmait alors : « Nous avons décidé d’acquérir une quantité de vaccins suffisante pour nous permettre de proposer la vaccination à l’ensemble de nos concitoyens qui souhaiteront se faire vacciner. Les tout premiers vaccins nous ont été livrés début septembre.

Mais ces vaccins ne seront utilisés que dans le cadre d’autorisations de mise sur le marché (AMM) dûment délivrées par les autorités sanitaires européennes qui garantiront leur efficacité et leur sécurité (…) Je rappellerai simplement que, au-delà de la protection individuelle qu’elle procure, la vaccination est aussi un acte altruiste, en ce sens qu’elle contribue à protéger son entourage, ses proches, ses collègues.

vaccin-grippe-aviaire-bachelot_1

C’est particulièrement important lorsque ces derniers présentent des facteurs de risque qui les rendent plus vulnérables ou qu’ils ne peuvent pas être vaccinés eux-mêmes, du fait de contre-indications médicales« .

Elle a mis en place un « comité de lutte contre la grippe » dont elle a nommé les experts, tous liés à l’industrie pharma. Le H1N1 a été la première maladie pour laquelle des « vaccins » ont été développés si rapidement, sans avoir de recul avant d’être injectés à la population[5].

En août 2009, alors en  visite à La Réunion, en bonne VRP des laboratoires qu’elle fut pendant une vingtaine d’années, elle déclarait que « le pic épidémiologique sera certes dépassé à La Réunion à la mi-octobre mais la grippe n’aura pas disparu. Il faudra donc continuer à protéger le public et en particulier les populations les plus fragiles. Le vaccin restera utile et servira aussi à nous prémunir pour 2010 et 2011« .

C’est aussi la première fois qu’on utilisait un adjuvant à base de squalène et de polysorbate. Et bien que ce soit un bide, elle déclarait le 24 novembre 2009 que la campagne de « vaccination » était « un grand succès ».

En juin 2010 lors d’une audition au Sénat elle a déclaré : « En prévision des prochaines alertes, c’est bien notre capacité de préparation et d’adaptation que nous devons renforcer afin de choisir, le moment venu, la réponse la plus appropriée enrichie de l’expérience acquise.

Bachelot H1N1

Le virus grippal, vous l’avez bien compris, est un sujet de choix, puisque, dès juin 2009, vous avez initié un travail sur les mutations virales. L’émergence du virus pandémique H1N1 constitue un cas emblématique. Il s’agit bien d’un virus pandémique, mais nous avons su très vite qu’il n’était pas celui que nous attendions.

Je me réjouis qu’à travers vos travaux le Parlement ait pu produire sa propre expertise et, surtout, organisé un espace de dialogue fécond et serein entre le scientifique et le politique. Ainsi, pour la première fois, face à une alerte sanitaire, nous avons mis en œuvre une gestion pro-active, et non plus seulement réactive, en particulier grâce à la préparation et à la vaccination« . Cette campagne d’injections aurait selon elle coûté 500 millions d’euros, exactement le montant du déficit des hôpitaux publics cette année-là.

Les contrats passés avec les labos étaient déjà particulièrement opaques et favorables aux industriels, comme le fait de passer des commandes fermes, la confidentialité absolue des contrats, ou l’absence de toute responsabilité de la part des fabricants de « vaccins ». En janvier 2010 Bachelot a tout de même réussi à résilier une commande de 50 millions de doses tout en déclarant à la presse que « Cette grippe a tué 18 personnes ce week-end, en particulier des personnes qui n’avaient aucun facteur de risque« .

Covid :

Roselyne-Bachelot-une-insubmersible-au-ministere-de-la-Culture

Devenue ministre de la Culture, elle n’a pas hésité à sacrifier tout le secteur, qui a subi les « confinements » et autres « couvres-feu » avant d’être définitivement mis à terre par les laissez-passer « sanitaires » puis « vaccinaux ».

Aux artistes qui lui demandaient des sous ou des actions concrètes fin 2021, elle répondait contre toute évidence que « la culture n’est pas sacrifiée » et même qu’elle « continue« , se croyant obligée de souligner que « ce qui menace la culture, c’est la pandémie pas les mesures gouvernementales« . CQFD.

En tout cas, aujourd’hui en Europe la fréquentation des cinémas a chuté de 60% depuis la « crise sanitaire » et sa gestion lamentable.

En Février 2022, la fréquentation en France dans les salles de cinéma et de spectacle vivant (concerts, théâtres…) avait baissé d’environ 25 % par rapport à la même période avant la crise « sanitaire », selon les chiffres annoncés par le ministère de Roselyne Bachelot..

Neil Ferguson »

Ferguson cartoon

Cet informaticien hollandais financé par les labos et par Bill Gates était déjà à l’origine de modélisations dantesques qui ont littéralement créé la crise de la vache folle puis de la grippe dite  « aviaire » pour laquelle il avait pronostiqué jusqu’à 150 millions de morts alors qu’il y en a eu moins de 300 dans le monde.

« Comme le rapportait à l’époque le Daily Telegraph, c’était « la première fois que des épidémiologistes modélisaient une épidémie majeure au fur et à mesure qu’elle se déroulait, puis intervenaient pour changer son cours« . »C’est vraiment la pensée innovante de Neil sur le plan informatique qui a rendu cela possible », déclare Deirdre Hollingsworth, épidémiologiste de l’université d’Oxford qui a travaillé avec le professeur Ferguson à l’Imperial » (Financial Time, 20 mars 2020).

H1N1:

2022-05-30 21_25_58-First analysis of swine flu spread supports pandemic plan _ New Scientist - Oper

C’est encore à cause de ses modélisations pour le H1N1 que le tout début d’ « épidémie » a été repéré dans l’oeuf, et qu’en France l’Institut de veille sanitaire avait prédit jusqu’à 96.000 morts dans le pays (alors qu’on en a finalement dénombré 312). 

En 2009, celui qui est aujourd’hui surnommé « Dr Confinement » par les anglais était professeur de médecine à l’Imperial College et avait récemment travaillé de manière rémunérée pour Baxter, GSK et Roche.

Il était aussi membre du comité vaccination grippe A de l’OMS (créé en avril 2009), qui conseillait la directrice générale Margaret Chan, du groupe de travail scientifique européen sur la grippe (ESWI), et ses liens d’intérêts avec les fabricants de « vaccins » posaient déjà question.

Une étude qu’il a publiée en mai 2009 affirmait que le H1N1 était aussi grave que la grippe de 1957 qui aurait fait 2 millions de morts. Et alors que l’ « épidémie » régressait déjà au Mexique, l’OMS augmentait le niveau d’alerte mondial de 4 à 5. Un article de Futura Sciences expliquait : « Selon les auteurs, comme pour beaucoup d’autres, le nombre de cas réels ne peut qu’être sous-estimé car la maladie reste parfois bénigne chez des sujets qui, néanmoins, sont porteurs, et même colporteurs, du virus ». Au final il envisageait 65.000 morts en Grande-Bretagne en l’absence de mesures spectaculaires.

Le taux de létalité du virus était évalué entre 0,3% et 1,5%, ce qui change la donne, mais plus probablement à 0,4%. Ferguson et son équipe annonçaient donc qu’un tiers de la planète pourrait être infecté (The Guardian, 12/05/2009).

Comme Ferguson conseillait le comité d’urgence de l’OMS[6], son étude y a été prise très au sérieux. Quand il a fait ses modélisations en 2009 pour la grippe porcine, il n’y avait pas d’épidémie et l’OMS avait seulement détecté quelques cas avec des symptômes légers.

« Néanmoins, [l’OMS] décida, à l’issue de réunions secrètes, de déclarer une pandémie mondiale« , explique Kennedy dans son livre[7], et « fit pression sur divers pays africains et européens pour qu’ils passent des contrats avec GlaxoSmithKline et d’autres sociétés pharmaceutiques. Ces accords confidentiels obligeaient les nations signataires, dont l’Allemagne, la Grande-Bretagne, l’Italie et la France, à acheter pour 18 milliards de dollars de divers vaccins contre la grippe H1N1 expérimentaux, non testés, adoptés en procédure accélérée et sans responsabilité pour les entreprises productrices ».

Covid :

Ferguson covid 1

Dès janvier 2020 l’équipe de Ferguson alertait sur la menace mortelle du SARS-Cov-2 qui était actif en Chine. En mars, une nouvelle modélisation annonçait 250 à 510.000 morts en Grande-Bretagne et 2,2 millions aux Etats-Unis. Elle a été diffusée auprès des gouvernements très rapidement début mars 2020, sans être publique ce qui empêchait de vérifier les calculs, qui de toute manière ne pouvaient à ce stade qu’être de la spéculation.

Le pire est que cette étude formulait des recommandations -baées sur les modélisations- pour enrayer ladite « épidémie », à savoir les mesures aussi liberticides qu’inutiles imposées dans les pays alignés : enfermement des populations pendant des mois d’affilée, traçage, injections de masse, sanctions, censure.

C’est cette étude qui a servi à justifier les mesures prises soudain par l’OMS comme par la plupart des gouvernements occidentaux. Elle était publiée le 16 mars, et le 17 le micron plaçait tout le pays en rétention à domicile. Même la fondation Héritage, dans un article de Kevin Dayaratna de mai 2020, soulignait l’opacité et les défauts des modèles de Ferguson :

« J’ai demandé à Ferguson et à ses collègues leur modèle à plusieurs reprises pour voir comment ils avaient obtenu leurs chiffres, mais ils n’ont jamais répondu à mes e-mails« . 

lockdwn london

En refaisant les calculs avec un collègue à partir de données récupérées à droite à gauche (comme Ferguson), « constaté que la mortalité prévue due à la maladie pourrait aller de près de 78 000 décès à 810 000 décès aux États-Unis au 1er août« . Un sacré écart, qui rend difficile un décision politique rationnelle en se basant sur de tels résultats. 

Concernant l’opacité des modèles de Ferguson, l’auteur de l’article ajoute :

« Après que nous ayons publié notre travail, la nouvelle a fait surface que Microsoft avait en fait fait des progrès dans la mise à disposition du modèle de l’équipe de l’Imperial College. Mais les codes qu’il a publiés sont une version hautement modifiée de ce que l’équipe impériale a réellement utilisé. Et, il s’avère que le modèle présente de graves défauts, dont un ancien ingénieur logiciel de Google discute longuement dans son blog« .

L’étude, dont les grandes lignes ont été largement reprises dans les médias, préconisait carrément de faire disparaître le virus. Sans aucune vérification, ni même temps de débat, l’OMS a repris ces chiffres alarmistes et fantaisistes pour effrayer les gouvernements et les populations, et les gouvernements occidentaux ont mis en application les mesures de Ferguson.

Ferguson ne conseillait pas seulement l’OMS, mais aussi le 1er ministre anglais qui l’a viré le 6 mai 2020 au prétexte [8] qu’il avait vu sa copine à plusieurs reprises en plein confinement qu’il avait lui-même inspiré. 

Pas plus tard qu’en mars 2022 il s’autocongratulait lors d’une conférence sur la pertinence de ses modèles, si utiles pour appuyer la décision politique.

ferguson model

Il contribue pourtant encore à diverses études, comme celle de janvier 2020 parue dans le Lancet (encore), pour assurer en se basant sur des modélisations que les injections avaient un intérêt vis-à-vis d’une dizaine de virus (papillomavirus, rotavirus, rubéole, fièvre jaune, encéphalite japonaise notamment). Celle-ci conclut que « la vaccination des dix agents pathogènes sélectionnés aura évité 69 millions de décès (intervalle de crédibilité à 95 % 52-88) entre 2000 et 2030, dont 37 millions ont été évités entre 2000 et 2019. De 2000 à 2019, cela représente une réduction de 45 % des décès par rapport au scénario contrefactuel sans vaccination » et surtout les meilleurs résultats concerneraient les enfants de moins de 5 ans.

Il est membre de la direction du Vaccine Impact Modelling Consortium créé et financé par la Fondation Gates et le GAVI, dont le président est José Manuel Barroso de Goldman Sachs, et qui lui-même est créé et financé par la fondation Gates, qui a pondu cette étude. L’objectif du Vaccine Impact Modelling Consortium est de « coordonner plusieurs groupes de recherche » pour modéliser l’impact des programmes de vaccination à travers le monde.

On retrouve comme « partenaire » de ce « consortium » avec le GAVI et la fondation Gates l’Imperial College de Londres où bosse Ferguson[9] et qui bénéficie de dons de la fondation Gates ainsi que de l’OMS, qui elle aussi reçoit d’importants financements de la fondation Gates.

En effet, Bill Gates se targue de modéliser les « pandémies » et finance les deux structures qui ont réalisé des modélisations du covid : l’institut de Ferguson à l’Imperial College de Londres qui a reçu plus de 184 millions de $ tout de même entre 2006 et 2018 de la fondation Gates, et l’institut de modélisation de l’université de l’Etat de Washington.

Anthony Fauci

Fauci H1N1

Avec Gates, Fauci, directeur de l’institut des maladies infectieuses du NIH, le NIAID depuis 1984, il est LE pilier de l’organisation de la gestion de crise « covid ». 

Durant son interminable mandat il a renforcé les liens du NIH et du NIAID avec l’industrie pharmaceutique au cours de la vague du SIDA –largement amplifiée par l’AZT dont Fauci a fait une promotion intensive. Sa femme Christine Grady est médecin et directrice du département de bioéthique du NIH depuis 2012, en charge des essais cliniques.

Il a commencé à collaborer avec Bill Gates dans le domaine de la santé dès 1998, deux ans avant la création de la fondation Gates en commençant par « vacciner » les populations d’Afrique et d’Amérique latine, avec une grande campagne contre la polio lancée en 2000, et en 2003 le lancement d’une douzaine d’essais de « vaccins » anti SIDA en Afrique.

H1N1:

Fauci 2022 - 1

À l’époque, comme il l’avait déjà fait pour l’anthrax, l’hépatite B ou le Zika par exemple, Fauci s’est montré très loquace dans les médias et très alarmiste, tenant absolument à parler de « pandémie » quand tous les signaux restaient au vert. Il expliquait qu’un tiers de la population américaine risquait d’être contaminée, si bien que le gouvernement US a commandé 195 millions de doses de « vaccins » (notamment en spray nasal) développés en express et à peine testés, livrables à partir d’octobre 2009.

Le développement desdits « vaccins » a été largement financé par le NIAID, dirigé par FAUCI. C’est le NIAID qui organisait les essais avec des médecins relais dans les hôpitaux depuis le mois d’août 2009, et l’OMS a recommandé d’y ajouter des adjuvants (comme le squalène qui se sont avérés toxiques) pour augmenter l’impact des mixtures et donc avoir plus de doses avec la même quantité de produit.

On doit noter que ces médecins relais touchent, comme les agents du NIAID, des royalties sur les produits développés, versées par les industriels. Il était questions de deux doses pour tout le monde même les enfants de moins de 10 ans, sauf pour les femmes enceintes qui étaient protégées avec une seule dose.

L’échec du H1N1, des « vaccins » et du Tamiflu n’a pas empêché Fauci de continuer à prêcher pour les vaccins à sa sauce, notamment un « vaccin universel contre la grippe ».

Covid :

Fauci Trump

Fauci n’est pas impliqué dans l’affaire du covid que par sa gestion de crise : il est aussi impliqué dans les recherches sur les gains de fonction qui permettent à des virus d’animaux de contaminer les humains, notamment sur des coronavirus de chauve-souris, et notamment au laboratoire de Wuhan. En effet, le NIAID finance depuis 2014 les recherches menées par une société appelée EcoHealth Alliance, qui pilote ce type de recherche à Wuhan[10].

En 2017 Fauci a encore filé 6 millions à EcoHealth Alliance pour tester le Remdesivir comme remède contre le SARS-Cov-2, toujours au labo de Wuhan.

En 2018, l’OMS a créé le Global Preparedness Monitoring Board pour préparer le monde aux futures « pandémies », dont Fauci a été co-président, et quand Trump a créé sa task-force covid le 29 janvier 2020 il mis Fauci à sa tête. Il y avait aussi plusieurs affidés de Fauci dans cette task force, comme Deborah Birx, ex médecin militaire et spécialiste des recherches sur le SIDA, ou Robert Redfield, directeur du CDC depuis 2018, ex médecin militaire spécialiste du SIDA également.

Durant l’été 2021, Fauci a contribué à l’organisation par Trump d’un grand exercice de simulation d’une pandémie appelé Crimson Contagion, qui impliquait des dizaines d’établissements de santé et d’institutions dans le pays. Le scénario était celui de touristes venus de Chine avec une « nouvelle forme de grippe ».

Fauci 2020

Avant le début de l’ « épidémie » à l’automne 2019, ce fanatique de ce qu’il qualifie de « vaccins » mais qui s’en éloigne de plus en plus en appelait à la création d’un « vaccin universel contre la grippe ».

Fauci était alerté depuis le 31 janvier 2020 par des scientifiques que le virus du covid avait l’air fabriqué et que son génome ne correspondait pas aux critères de l’évolution du virus. Kristian Andersen sous-entendait même qu’il pouvait avoir été développé dans le cadre de travaux financés par le NIAID. Le lendemain lors d’une conférence en visio deux virologues ont dit que le covid venait très probablement du labo de Wuhan.

Pourtant Fauci s’est empressé de qualifier de « théories du complot » toutes les interrogations sur l’origine non naturelle dudit virus. Comme c’est vers lui que les spécialistes occidentaux, comme chez nous Delfraissy, se sont tournés dès la fin 2020 et surtout en janvier et février 2021 pour prendre les informations sur la « pandémie », cette bonne parole s’est propagée sans difficulté à travers le monde occidental.

Fauci a vu dans le covid une nouvelle opportunité pour faire des affaires, et a créé dès le début de l’épidémie son « réseau de prévention covid » avec ses inspecteurs principaux les plus fidèles, pour obtenir l’approbation la plus rapide possible pour les « vaccins » qu’ils étaient déjà en train de développer pour le SIDA. Kenny explique : 

« Fauci a accompli cette mission redoutable en transformant ses essais de VIH existants, pratiquement du jour au lendemain, en essais de phase III sur le vaccin covid-19″.

En tous les cas, le 22 février 2020, Fauci a annoncé sur CNN : « on est au bord d’une pandémie« , et trois jours plus tard alors que seulement 14 cas de covid étaient déclarés aux USA, il lançait avec l’argent public du NIAID un essai de Remdesivir de Gildead à l’université du Nebraska. D’autres essais avaient lieu depuis février à Wuhan[11].

Deux mois plus tôt le Remdesivir n’avait donné aucun résultat contre le Zika, mais le 29 avril Fauci déclarait qu’il devenait aux Etats-Unis la « nouvelle norme de soins », donc le traitement de base donné aux gens contre le covid[12]. Certains pensent que c’est la raison du taux de décès hallucinant aux Etats-Unis. Et le 1er mai il était autorisé sans que les études n’aient été publiées[13].

FAuci CNN

En parallèle, il a tout fait pour dénigrer et bannir les traitements qui avaient déjà commencé à montrer leur efficacité, en premier lieu l’hydroxychloroquine et l’ivermectine qui, si elles avaient été autorisées, auraient empêché l’autorisation du Remdesivir. Le 29 août 2021 alors qu’on avait déjà des dizaines d’études disant le contraire, il déclarant « Il n’y a pas la moindre preuve que cela fonctionne, et cela pourrait potentiellement présenter une toxicité » et qu’il « n’y a aucune preuve clinique que cela fonctionne ».

Le NIAID et le CDC ont dépensé 79 millions de dollars d’argent public pour développer le Remdesivir. Lors des essais, un faux placebo toxique (le sulfobutyl) a été donné au groupe témoin, dont les résultats étaient forcément moins bons. Kennedy explique que Fauci a commencé à utiliser cette technique il y a déjà 40 ans pour bidonner les essais et dissimuler les effets indésirables de produits toxiques qu’il cherchait à développer.

Malgré ça les résultats n’ont pas été favorables. Fauci a donc changé les critères pour que les hospitalisations apparaissent plus courtes, mais une partie des cobayes ont du se faire réhospitaliser, ce qui montre qu’ils étaient sortis trop tôt. 

Et Fauci dictait les mesures à prendre, aussi bien au gouvernement US qu’au monde entier. En avril 2021, il expliquait sur France 24 que « une pandémie implique une réponse mondiale » pour dépasser les « divisions politiques ». Selon lui « Il y a eu beaucoup de divisions politiques qui ont rendu très difficile la tâche de faire face à la situation« .

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Ce qu’il qualifie de « politique » est ensuite précisé, et on comprend qu’en fait il s’agit de toutes les critiques par rapport à la doxa pseudo « sanitaire » qu’il a imposée :

« certaines questions liées à la pandémie ont acquis une connotation politique par exemple une réticence à porter le masque en raison d’une idéologie politique ou une réticence à éviter les attroupements ».

Selon lui « LA science a été très bonne parce que nous avons mettre au point des vaccins en un temps record« . On sait aujourd’hui par des dizaines d’études que ces « vaccins » sont complètement inutiles contre le covid. 

Selon une étude du Dr Michael Yeadon sur les effets des différents lots de vaccins, 5% des lots sont responsables de 90% des effets graves dont les décès.

« Si vous pensez que c’est par accident, détrompez-vous. Ce n’est pas la première fois que des « lots chauds » étaient, à mon avis, fabriqués et envoyés à dessein à travers le pays, généralement des vaccins conçus pour les enfants« , explique Russell L. Blylock, qui raconte un de ces scandales, étouffé : des lots pourris d’un « vaccin » se sont retrouvés dans le même Etat US et les dégâts sont donc devenus très vite évidents.

fauci vaccin

Du coup, pour éviter que ça ne se voie trop, le fabricant n’a pas retiré les lots mais les a dispatchés dans le pays pour diluer les effets graves.

Parmi les nombreux travaux sur les effets toxiques des « vaccins », Steve Kirsch qui a créé le Covid 19 Early Treatment Fund en mars 2020 a fait une étude de données basée sur huit méthodes différentes. Celle-ci attribue 150.000 décès aux « vaccins » aux USA depuis janvier 2020 jusqu’en octobre 2021. Il a été violemment attaqué dans des médias de masse et scientifiques.

« Il était évident qu’un groupe de personnes très puissantes en collaboration avec des conglomérats pharmaceutiques ne voulait pas que la pandémie se termine et voulait que les vaccins soient la seule option de traitement« , analysait en avril 2022 le neurologue Russell L. Blaylock.

Il détaillait le rôle de chef d’orchestre joué par Fauci, à travers une série d’actions qui avaient pour objectifs :

  • Réduire de 3 ans à 6 mois les essais cliniques, puis injecter le groupe témoin de manière à ne plus pouvoir comparer les « vaccinés » aux non « vaccinés ». L’essai Pfizer devait initialement durer jusqu’au 2 mai 2023.
  • Refuser d’améliorer le système de suivi VAERS « conçu pour échouer » selon Kennedy, et « qui supprime systématiquement la déclaration de la plupart des dommages liés aux vaccins » et ne détecte au mieux qu’1% des problèmes liés aux « vaccins »[14].
  • Rallier les médias de masse et les fournisseurs de réseaux sociaux pour soutenir sa propagande et censurer les paroles dissidentes.
  • Amener le CDC à refuser les autopsies de personnes décédées après l’injection.
  • Placer dans les instances comme la FDA et le CDC des financiers et des fidèles du NIAID, du NIH et de la fondation Gates, pour s’assurer que les mixtures seraient directement approuvées sans qu’il n’y ait d’études sur les effets à long terme : « Plus de la moitié du comité VRBPAC de la FDA qui a approuvé les EUEA de Moderna, Johnson et Johnson et Pfizer, a accordé l’homologation finale du du vaccin Pfizer, était composé de bénéficiaires de subventions du NIH, du NIAID, de la BMGF et de sociétés pharmaceutiques. Plus de la moitié des participants au comité ACIP (Advisory Committee on Immunization Practices) du CDC étaient aussi en situation de conflits d’intérêts« 
  • Vacciner l’ensemble de la population sans que cela soit justifié (d’ailleurs il a monté le taux de couverture immunitaire collective en cours de route), il s’est assuré qu’il n’y aurait plus de groupe contrôle. Et alors qu’il se disait contre la vaccination obligatoire, il a clairement changé d’avis quand tous les volontaires ont été piqués.

On sait parfaitement que les labos, notamment Pfizer, ont dissimulé les résultats des essais et menti dans les communiqués de presse qui étaient les seuls documents disponibles au moment où les premières décisions ont été prises.

Toujours à fond avec ses « vaccins », et après 40 ans de recherches infructueuses, le NIH lançait en mars 2022 de nouveaux essais cliniques pour tester 3 « vaccins » ARNm contre le SIDA. « Avec le succès de sécurité et de haute efficacité des vaccins contre le covid, nous avons une opportunité fantastique d’apprendre comme la technologie ARNm peut remplir les mêmes objectifs contre l’infection au HIV« avait déclaré Fauci.

Bill Gates

bill gates book

Bill Gates est bien connu, ce qui l’est moins ce sont ses liens avec le gouvernement et la sécurité US et la philosophie eugéniste de sa famille.

Son père Bill Gates Sr, avocat d’affaires, a été président du barreau de Washington et a créé le cabinet de lobbying Preston Gates & Ellis présent aussi en Chine. Il était aussi élu de la région de Seattle, était eugéniste et militait en faveur d’un « contrôle de la population », notamment en siégeant au conseil d’administration national du Planning Familial créé par l’eugéniste et raciste Margaret Sanger et de United Way, une ONG axée sur l’éducation.

Gates a pu bosser pour IBM grâce à sa mère qui était au conseil d‘administration et connaissait le PDG John OPEL. En 1982 il a éjecté son copain Paul Allen de Microsoft pendant qu’il a eu un cancer. En 1998 plusieurs procédures sont lancées contre lui pour abus de position dominante (trust) envers les consommateurs qui ne pouvaient pas télécharger d’autres logiciels que Microsoft sur leurs ordis équipés de Windows. Mais il a réussi à conserver sa branche « logiciels » et les ordinateurs et à n’avoir qu’une amende de 800.000$.

2022-05-31 21_49_50-Microsoft Co-founder Bill Gates Holding a CD-ROM Photo d'actualité - Getty Image

Bref, Gates se lance dans la philanthrope au milieu des années 90, avec la William H Gates foundation en 1995 déjà orientée sur la santé et sur l’éducation, l’International AIDS Vaccine Initiative (IAVI, lancé au forum de Davos sur le SIDA) en 1996, la Gates Learning Foundation en 1997, le Children’s Vaccine Program doté de 100 millions $ en 1998 année où il rencontre Fauci, puis le GAVI son alliance mondiale (argent) public- (bénéfice) privé pour les « vaccins » en 2000 année de création de la fondation Bill & Melinda Gates[15], devenue en quelques années la plus grosse fondation au monde par son budget.

Il a choisi le créneau des vaccins, expliquait un article du New York Times en novembre 2020, parce que les effets en termes de vies sauvées étaient facilement visibles et quantifiables, ce qui lui permettait de se refaire une image. C’est même lui a relancé l’industrie vaccinale, moribonde car ces produits, à la fin des années, n’étaient pas considérés comme « rentables » par l’industrie. 

De plus, il s’agissait de haute technologie, et il était à l’aise dans ce domaine. Au final, « Par ses dons, M. Gates a contribué à la création d’un nouveau modèle économique, qui mêle subventions, engagement anticipé sur des marchés et garantie d’un certain volume de commandes. Sa dimension incitative a attiré davantage de fabricants, dont certains issus de pays en développement, permettant ainsi de démultiplier la production de vaccins salutaires » s’enthousiasmait la journaliste du NYT.

D’aucuns ont même reconnu son « expertise technocratique », et on comprend que Gates est l’égérie de l’industrie phramaceutique et de se sactionnaires.

En 2003, il a lancé son Grand Challenge for Global Health (GCGH) destiné à orienter les financements du NIH vers des « vaccins » et autres traitements –mais surtout des « vaccins »- contre des maladies qui touchent d’autres continents ou n’existent pas encore[16]. Il a aussi lancé l’ère de la « santé globale », que certains qualifient de colonialisme sanitaire.

Gates 2

Depuis, il finance à tour de bras, via sa fondation, des programmes de recherche, des entreprises privées, d’autres fondations comme la Johns Hopkins University, des médias et même l’OMS, dans de nombreux domaines liés de près ou de loin à la santé. Cela lui a permis de créer un réseau mondial tourné vers ses propres objectifs.

En mai 2005 Gates a ouvert la 58e assemblée de l’ONU pour faire sa propagande sur les « vaccins ».

« Il a annoncé que sa fondation augmentait de 250 millions de dollars sa contribution au projet «Grands défis pour la santé globale». Cette initiative lancée en 2003, avec une première dotation de 200 millions de dollars, vise à pallier le manque d’argent dont pâtirent la recherche et le développement de médicaments pour les maladies spécifiques aux pays pauvres, comme la malaria. Elle financera, dès cet été, des projets sélectionnés parmi plus de 1500 idées provenant de 75 pays, par exemple des vaccins qui n’ont pas besoin d’être conservés au frais ».

C’est aussi en 2005 que l’OMS a lancé son « Règlement sanitaire international », qui risque de s’imposer en Europe à l’initiative du micron.

En 2007 il créé le H8 qui réunit pour des rencontres discrètes OMS, UNICEF, le Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP), l’UNAIDS, la banque mondiale, la fondation Gates, GAVI et le Global Fund[20].

H1N1 :

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Une petite sauterie discrète de 14 milliardaires « philanthropes » et eugénistes a eu lieu le 5 mai 2009 quelques jours après que l’OMS déclare la « pandémie » H1N1. Cette réunion de ce qu’on a appelé le « Good Club » a été organisée à l’Université Rockefeller à l’instigation de la fondation Gates, de David Rockefeller et de Warren Buffet (qui avait transféré la plupart de sa fortune dans la fondation Gates, qu’il copilotait avec le couple).

Il y avait aussi George Soros, Michael Bloomberg, le fils Rockefeller qui s’appelle aussi David, des milliardaires dirigeants de multinationales, ou encore Oprah Winfrey.

Dans l’invitation il était question de faire face à la récession et de préparer le futur en développant leur « philanthropie » (qualifiée par le Guardian de « philanthro-capitalisme) et disant aux gouvernements ce qu’ils doivent faire.

Un des problèmes à régler, selon les dires d’un invité, était celui de la croissance de la population mondiale qui engendre « une menace environnementale, sociale et industrielle » (en rapport probablement avec les matières premières). C’est là que Gates a annoncé qu’il consacrerait la plus grande partie de sa fortune à « améliorer le monde ».

2022-05-31 22_05_50-Bill Gates and his father Bill Gates, Sr

Les membres de ce club se targuaient d’avoir donné plus de 70 milliards en bonnes œuvres les 12 dernières années.

Pour H1N1, Gates a évidemment promu ses « vaccins », car ils sont aussi un moyen de réduire la population « Avec de très bons résultats sur les nouveaux vaccins, les soins de santé, le contrôle des naissances, on pourrait la réduire de, peut-être, 10 ou 15 pour cent » a-t-il expliqué lors d’une conférence TED en février 2010.

C’est l’OMS qui a lancé la « pandémie » de H1N1 en avril 2009 avec moult alertes graduelles[17] et le changement de la définition de la pandémie pour enlever le critère de mortalité. En 2009, l’OMS était déjà largement sous le contrôle du geek timbré qui en était déjà le principal donateur[18].

L’année précédente, la fondation Gates avait donné 39 millions de $ au PATH (Programme for Appropriate Technology in Health) pour « soutenir le développement rapide de vaccins pour se protéger contre une future pandémie de grippe » vec des partenaires publics et privés. 

Il y avait 4 axes de recherches: 

  • les vaccins antigrippaux vivants atténués ;
  • la technologie des vaccins recombinants ;
  • les vaccins à base de peptides ;
  • de nouveaux adjuvants, des ingrédients vaccinaux qui aident à stimuler la réponse immunitaire, permettant potentiellement d’étendre davantage l’approvisionnement en vaccins. Car de « nouvelles technologies » de « vaccins » seraient selon eux apyes à fournir les 14 mlliards de doses nécessaires en cas de « pandémie », au lieu des 400 millions produites chaque année pour la grippe saisonnière.
Gates agenda 2030

En 2008 également, la fondation Gates, le Wellcome Trust anglais et l’Institut pasteur ont entamé une collaboration pour lancer des projets afin d’ « améliorer l’effort de recherche et réduire le risque issu des menaces d’épidémies de grippe durant les prochaines décennies« , comme l’expliquait Yamada, un affidé de la fondation Gates:

« Au cours des 18 prochains mois, nous développerons, maintiendrons et diffuserons un inventaire central des activités de recherche financées qui sont pertinentes pour la grippe humaine afin de nous assurer que les intervenants sont bien informés. Nous coordonnerons également des exercices de feuille de route pour identifier les lacunes dans les connaissances. Ceux-ci aideront les bailleurs de fonds et les chercheurs à établir des priorités de financement de la recherche, en mettant l’accent sur les vaccins, les pharmacothérapies et l’épidémiologie/la science de la population (par exemple, le diagnostic, la surveillance, la transmission et la modélisation) ».

Gates a aussi financé les modélisations flippantes de la « pandémie », qui déjà se sont avérées fausses et inutilement alarmistes[19]. Au tout début de l’épidémie, une étude financée par la fondation Gates et le National Institute of General Medical Sciences faisait remonter le H1N1 à la grippe espagnole et pôuvait donc se transmettre à l’homme et entre humains, ce qui a alimenté les titres de la presse.

Selon Kennedy, « En 2020 de nombreux essais de vaccins contre le VIH menés par Gates / Fauci en Afrique sont soudainement devenus des essais de vaccins contre le covid-19« .

En janvier 2010, vers la fin de l’ « épidémie », Gates a appelé à lancer la « décennie du vaccin ». 

Covid : 

gates fauci

La préparation du covid ou de la « pandémie » de covid, c’est selon, s’est accélérée avec la création en janvier 2017 au forum de Davos de la Coalition do Epidemic Preparadness and Innovations (CEPI) pour une gestion mondiale des épidémies et financer la recherche sur le développement de « vaccins » pour les « nouvelles épidémies« .

Financement : la Fondation Bill Gates, le Wellcome Trust, le forum de Davos au départ. Puis par des gouvernements (Belgique, Autriche, Australie, Canada, Danemark, Ethiopie, Grèce, Allemagne, Suisse, Arabie Saoudite, Luxembourg, Indonésie, Angleterre…) + USAID, Commission européenne + secteur privé (pas en 2021) + ONU via la fondation « Covid 19 solidarity reponse fund ».

Gates a toujours été très actif dans les « vaccins », jusque’à présent principalement en Afrique, et a redoublé d’efforts à l’approche du covid. En septembre 2017, quelques mois plus tard, c’est le 1er don du département de la Défense à EcoHealth Alliance pour des recherches sur les virus de chauve-souris dans l’ouest de l’Asie, puis en octobre a lieu un exercice pandémique organisé par Gates et Johns Hopkins sur une épidémie de coronavirus entre 2025 et 2028.

Bill gates 4

Cet exercice SPARS a eu lieu avec la participation de Luciana Borio vice-présidente d’In-Q-Tel une société d’investissement dans les technologies très proche de la CIA, Joseph Buccina d’In-Q-Tel et directeur de l’Intelligence Community Support, Walter Orenstein ex haut fonctionnaire de la Santé passé à la fondation Gates.

Dans cette simulation, les médias et les réseaux sociaux sont mobilisés pour diffuser en boucle les messages officiels de peur, rassurer sur les « vaccins » et occulter les vraies infos sur leurs effets toxiques, pour attaquer les voix dissidentes.

En mai 2018 après avoir financé trois exercices organisés par le John Hopkins Center for Public Health, Gates a mis en place le Global Preparadness Monitoring Board, créé officiellement par Tedros de l’OMS et par le président de la Banque Mondiale. Un de ses objectifs est de renforcer les pouvoirs de l’OMS et de mettre au pays défavorisés. 

On trouve au conseil d’administration qui est présidé par l’ancien secrétaire général de la Croix Rouge internationale, un représentant de la fondation Gates, Jeremy Farrar du Wellcome Trust, le directeur général du CDC chinois, et Anthony Fauci y siégeait encore récemment.

2022-05-31 19_08_57-Bill Gates, Emmanuel Macron, _Big Pharma_

Le 4 septembre 2019, la fondation Gates nouait un partenariat avec BionTech qui travaillait sur des vaccins ARNm, avec un investissement de 55 millions $ pouvant aller jusqu’à 100 millions sur la recherche autour de vaccins contre les « maladies infectieuses ». 2 mois plus tôt BionTech a levé 325 million $ et préparait son entrée en bourse (début octobre 2019) sans avoir jamais mis un seul produit sur le marché.

En octobre 2019 c’est l’Event 201 organisé par la fondation Johns Hopkins, le forum de Davos et la fondation Gates pour préparer une pandémie mondiale.

Un focus important était fait sur le contrôle de l’information, notamment sur les réseaux, sociaux, ce qui est amusant quand on relève qu’en octobre 2019, justement, Zuckerberg devait s’expliquer devant le sénat US pour la censure intempestive d’informations, principalement au sujet de la dangerosité des « vaccins ».

2022-05-31 22_03_31-Bill Gates , co-founder and co-chair of the Bill & Melinda Gates

En janvier 2020, Bill Gates et le Wellcome Trust annoncent mettre 150 millions de dollars chacun à la Coalition for Epidemic Preparadness Innovations (Cepi) pour développer des « vaccins » covid (en réalité un remixage de « vaccins » contre le VIH qui ne donnaient rien).

Gates dit vouloir lever 3,5 milliards et organiser une grande conférence des donateurs le 8 mars à Londres. Et le 23 janvier l’OMS alerte d’une « flambée » de SARS Cov2 et prévient les Etats qu’il faut agir :

« Les pays doivent prêter une attention particulière à la réduction de l’infection chez l’homme, à la prévention de la transmission secondaire et de la propagation internationale, et s’attacher à contribuer à la riposte internationale moyennant des efforts multisectoriels de communication et de collaboration et une participation active à l’amélioration des connaissances sur le virus et la maladie, ainsi qu’aux progrès de la recherche. Les pays doivent aussi suivre les conseils de l’OMS concernant les voyages« .

Le même jour, l’OMS déclarait les tests RT-PCR valables pour le covid, en s’appuyant sur les recommandations d’un groupe de recherche en virologie basé à l’hôpital universitaire La Charité à Berlin, financé par la fondation Gates.

2022-05-31 20_20_21-Advancing research into accessible coronavirus treatments - COVID-19 Therapeutic

Juste avant le grand déclenchement des mesures « sanitaires » dans les pays alignés, le 10 mars 2020, la fondation Gates, le Wellcome Trust et Mastercard ont lancé le « COVID-19 Therapeutics Accelerator » (accélérateur thérapeutique COVID)  doté de 125 millions $ (+150 rajoutés peu après par Gates avec son argent personnel) pour « accélérer la réponse au covid ».

La fondation Gates expliquait alors que « L’accélérateur poursuivra plusieurs aspects du cycle de développement afin de rationaliser le cheminement du produit candidat à l‘évaluation clinique, à l’utilisation et à la fabrication« . 

L’initiative, qui pour l’instant n’a financé que des projets US et anglais, a été rejointe par d’autres organismes comme le GLOPID-R une structure destinée à nous « préparer aux épidémies de maladies infectieuses », et on trouve à sa direction Jeremy Farrar proche des renseignements US et dirigeant du Wellcome Trust, ou Barbara Kerstiens, en charge de ce sujet à la commission européenne et le désormais incontournable Yazdanpanah.

Parmi les grands donateurs de plus d’un million de $, il y a Zuckerberg de Facebook, Madonna, l’entrepreneur du net chinois Zhang Yiming qui a été désigné par le ministère américain de la Justice en septembre 2020 comme une tête de pont du parti communiste chinois (il a démissionné en mai 2021).

Quand Trump a lancé officiellement la procédure de retrait du financement US à l’OMS, en juillet 2020 (moins 400 millions de $ par anpour l’OMS) il a maintenu le financement de 1,16 milliard de $ au GAVI (via l’USAID) ce qui renforçait mécaniquement le poids de Bill Gates dans l’OMS. En juin 2020 les US ont aussi donné 8,8 milliards au GAVI sur 5 ans lors du « Global Vaccine Summit ».

En août 2020, pour accélérer la finalisation des candidats « vaccins » d’AstraZeneca, Johnson & Johnson, et Novavax, Gates a encore organisé la levée de 350 millions de $. 

La première « pandémie moderne »

2022-05-31 20_02_29-Bill Gates_ «Nous n’allons pas revenir à la normale avant un à deux ans» - Opera

Avant même que l’OMS déclence le scénario « pandémique », Gates a mobilisé les gouvernements occidentaux pour financer des recherches et la fourniture de mixtures partout dans le monde, sans que les pays défavorisés soient consultés. Ils devaient pourtant payer 1, 2 $ voir davantage, sans savoir ce qui allait leur être livré ni quand.

Des masses incroyables d’argent ont été draînées vers l’industrie pharma grâce à l’activisme pro « vaccins » et pro Big Pharma de Gates.

Le tout, en faisant sa propagande médiatique, car étrangement ce geek timbré est considéré par les médias et politiques mainstream comme le référent santé mondial. Il était pour un « confinement total » fin mars 2020 pour faire face au « genre de scénario cauchemardesque » (le covid) qui selon lui survenait, affirmant que si on confinait bien on n’aurait à le faire qu’une seule fois. Alors qu’il savait que comme ses mixtures n’arriveraient pas sur le marché immédiatement, le cirque allait forcément continuer.

Il va sans dire qu’il a soutenu les 2e, 3e (censée combattre les nouveaux variants avaec une ancienne souche de virus), 4e doses de mixtures. Finalement il a dit (janvier 2022) qu’on devra avoir une « dose annielle » de mixture anti-covid pendant plusieurs années.

Dès le 7 avril 2020, il annonçait qu’il allait financer pas moins de 7 vaccins en développement et les usines pour les fabriquer. Tout en déclarant quelques mois plus tard (en août) que « le vaccin initial ne sera pas idéal en termes d’efficacité contre la maladie et la transmission. Il n’aura peut-être pas une longue durée et sera principalement utilisé dans les pays riches comme mesure palliative » mais comptait déjà sur les « vaccins » suivants qui selon lui seraient plus efficaces.

Irlande du Nord 2

On a vu qu’en effet ils n’ont pas été efficaces, mais les suivants ne l’ont pas été davantage.

C’est encore lui qui donnait le tempo des « confinements » « déconfinements », du degré de mesures liberticides et de traçage qu’il convenait d’instaurer, etc.

Fin avril 2020 il annonçait que le fameux « retour à la normale » qui était en fait la carrotte pour que les citoyens crédules se montrent obéissants, ne reviendrait pas avaant un ou deux ans.

Il considérait que « Les gens seront très préoccupés par l’idée d’être infectés et changeront drastiquement leurs comportements, (…) tant qu’il ne sera pas prouvé que les thérapies ou un vaccin rendent le risque de mort résiduel ».  Il posait déjà ses conditions, et tout le monde avait compris que le plan était bien d »injecter massivement de nouveaux produits à un maximum de population mondiale.

Les pays occidentaux sortaient à peine de la première grande rétention de masse d’une population ahurie par la propagande, que Gates faisait ses petites prescriptions car évidemment la vie ne pouvait pas reprendre comme avant: pas de rassemblements avant le printemps 2021 (et c’est ce qu’il s’est passé en plus!), des distances « sanitaires » entre les gens, et surtout le « produit miracle » qu’il fallait attendre comme le messie :

« Si au printemps 2021, les gens pourront aller à de grands événements publics – comme un match ou un concert dans un stade – ce sera parce que nous aurons un traitement miraculeux qui a donne aux gens la confiance nécessaire pour sortir à nouveau« .

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En décembre 2020, quand ses produits « miracle » commençaient à être injectés à la population occidentale, il annonçait que « les 4 à 6 prochains mois pourraient être le pire de la pandémie » aux USA. 

En février 2021 il disait qu’on ne sortirait pas du covid avant 2022, date qu’il a toujours annoncée. On peut maintenant se demander si ce n’est pas parce que d’autres épidémies devaient arriver.

Quant à la chloroquine, Gates lui a réglé son compte en finançant une « grande étude » à l’université de Washington, qui a conclu que l’hydroxycholorquine n’empêchait pas d’attraper le covid et ne réduisait pas les symptomes. On notera que les essais sur l’hydroxychloquine menés par l’OMS, par les Etats-Unis, par la France et certainement ailleurs ont été stoppés d’un coup. On nous a dit qu’aucune efficacité n’était apparue, mais comme rien n’a été publié on est obligés de les croire sur parole.

Il y a été si fort avec sa propagande que 28% des Américains considéraient qu’il s’agitait ainsi dans le but d’implanter des micropuces aux gens par le biais des mixtures.

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Une des dernières inventions de Bill Gates dans l’affaire du covid, avant de passer à celle du monkeypox, est la création de la GERM Team (Global Epidemic Response and Mobilization) : une équipe internationale de 3000 experts pour intervenir partout dans le monde et prendre en main la gestion des « épidémies » à la place des gouvernements.

Il l’a lancée avec l’OMS, avec un budget estimé à 1 milliard de $ par an. Objectif affiché : casser les foyers de maladie avant qu’elles ne deviennent des « épidémies » [21]. De la santé globale préventive, en somme.

Il veut aussi « améliorer les systèmes de santé« , qui ont été détruits et doivent être reconstruits, à sa manière. Mais il faut dire que ce volet-là n’est pas prioritaire actuellement, Gates étant concerntré sur les nouvelles technologies de « vaccins ».

Investissements et conflits d’intérêts

2022-05-31 20_45_28-Bill Gates, médecin du monde - Opera

La fondation Gates a des liens d’intérêts et même des conflits d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique. Et contrairement à ce qu’ont dit certains « débunkers », sa fondation gagne bien de l’argent grâce à ses « investissements » dans des grandes et petites entreprises, notamment les biotechnologies.

Elle a ainsi des liens anciens avec Gilead, qui vend le Remdesivir. Il y a quelques années, elle a investi ainsi que le NIAID dans le développement de produits anti SIDA que Gilead a récupérés. Les deux ont collaboré pour essayer le Remdesivir en Afrique contre Enola et le Zika, sans succès.

En fait, la fondation Gates –tout comme le GAVI- subventionne depuis des années de nombreux travaux de développement de divers produits médicaux menés par d’obscures start-ups comme par des multinationales telles que Pfizer, GSK, Sanofi, Roche ou même des hôpitaux comme le Birmingham Hospital and Women Health (BWH) de Boston… Et elle « investit » comme le Wellcome Trust par exemple, en prenant des partis du capital de start-ups, touchant parfois le gros lot en cas de rachat.

Au titre des retours sur investissement, en 2016 la fondation Gates a touché 80 millions de $ de la part de Pfizer lors de la revente d’une start-up de biotechnologies, Anaacor Pharmaceuticalls dans laquelle la fondation avait pris des parts, à Pfizer.

En 2019 elle a investi 55 millions de $ (pouvant monter à 100 millions) dans BioNtech, qui développait justement un des « vaccins » anti covid mis sur le marché. 

2 mois plus tôt BionTech a levé 325 million $ auprès d’investisseurs internationaux et elle préparait son entrée en bourse (début octobre 2019) sans avoir jamais mis un seul traitement sur le marché.

2022-06-02 19_55_55-Bill Gates_ ‘Vaccines are a miracle

D’un autre côté, le NIH a donné des centaines de millions de dollars aux programmes de recherche de la fondation Gates, notamment pour des « vaccins » contre le SIDA. En 2003 Fauci et Gates ont lancé une douzaine d’essais de « vaccins » anti SIDA en Afrique.

Avec Gilead, il était notamment question de traitements expérimentaux en Afrique contre le SIDA comme le Tenofovir[22], et Gilead Sciences est d’ailleurs le premier donateur pour les programmes anti-SIDA depuis au moins 2016, devant la fondation Gates sauf en 2020.

Il a financé dans les années 2000, via la fondation Gates, des travaux de Gilead -qui produisait le Tamiflu présenté comme le remède miracle contre le H1N1, sur le SIDA par exemple. À ce moment il y avait du beau linge au conseil d’administration de cette boîte qui démarrait seulement, comme Donald Rumsfeld (ex ministre de la Défense de Bush 2) qui en détenait aussi un paquet d’actions vendues avant que l’opinion ne se pose trop de questions sur l’inocuité ou l’efficacité de ce produit et George Schulz (ex ministre de l’Intérieur de Bush 2). En 2005 Bush 2 a mis 7 milliards pour la préparation d’urhence à une « pandémie » de grippe.

Angleterre

La fondation Gates collabore aussi avec Moderna  qui a reçu 125 millions de $ du HHS ainsi que des fonds de Gates pour un « vaccin » à ARN messager anti Zika en 2017 [23], et a subventionné Moderna pour  des « vaccins » à ARN messager contre le VIH. Elle a versé 20 millions de $ la première année en 2016 et les financements pouvaient monter jusqu’à 100 millions[24].

Moderna passait alors pour avoir « une approche disruptive » de la médecine avec ses « vaccins » à ARNm, qu’elle avait testé pour la première fois sur l’humain en 2010 avec un vaccin anti grippe. Et alors que toutes les grosses boîtes et start-ups qui avaient tenté de développer des « vaccins » à ARNm s’y étaient cassé les dents, il a été dit que les essais avaient été concluants et que ce produit était sûr.

En 2018 Moderna a encore levé plus de 500 millions de $ dont 230 millions de diverses fondations mais surtout celle de Gates, et valait 7 milliards. L’objectif était de « découvrir de nouveaux candidats-médicaments contre les maladies rares, tout en restant déterminé à faire progresser de nouveaux candidats au développement de vaccins pour répondre à de graves besoins non satisfaits ».

Forbes notait au moment de cette levée de fonds importante :

« Moderna affirme disposer de 1,4 milliard de dollars en espèces, en plus de la possibilité d’accéder à 250 millions de dollars supplémentaires en subventions de la Fondation Bill & Melinda Gates et de plusieurs agences gouvernementales, notamment la Biomedical Advanced Research and Development Authority (BARDA) et la Defense Advanced Research Projects. Agence (DARPA) ».

Avec tout cet argent, qui finit par faire la pluie et le beau temps dans de nombreux domaines de la recherche médicale à commencer par les biotechnologies et les « vaccins », Bill Gates est craint et l’autocensure à son sujet est la norme depuis bien longtemps aux USA. Il y a même une expression, explique le New York Times: le « Bill Chill« , comme un courant qui refroidit les ardeurs critiques dès qu’il est question de sa personne.

La commission européenne, soumise aux lobbys industriels et financiers, a aussi lancé son programme de financement de la « recherche » sur de nouvelles mixtures. En avril 2020, elle lance la « riposte mondiale au coronavirus », qui consiste à financer des recherches privées pour « développer et déployer des vaccins, des tests et des traitements contre le coronavirus » puis acheter des millions de doses de « vaccins » pour l’Europe et les pays défavorisés.

2022-06-01 22_12_33-(2) Commission européenne 🇪🇺 sur Twitter _ _

En décembre 2020 elle avait levé 16 milliards via une campagne de collecte menée avec l’ONG mondialiste Global Citizen. Un grand concert co-présenté par von der Leyen avec plein de stars made in USA (Shakira, Coldplay, Usher, Jennifer Hudson, Miley Cyrus, Justin Bieber…) a été organisé.

Le communiqué de la commission précise :

« Financée par Bloomberg Philanthropies, la Bill & Melinda Gates Foundation et le Wellcome Trust, cette campagne est axée sur les aspects suivants: remédier aux conséquences de la pandémie sur les communautés les plus vulnérables, garantir un accès équitable à des technologies abordables permettant de lutter contre le coronavirus et renforcer les systèmes de santé partout dans le monde« .

L’argent collecté devait être reversé à une série d’organismes bien connus :

Gates est en train de faire en Europe ce qu’il a fait aux Etats-Unis : réorienter l’argent public destiné à la santé des citoyens du pays vers la « santé globale », avec des canaux de financements mondiaux qui, on l’a vu, profitent toujours d’abord aux industries anglo-saxonnes.

4. Pourquoi une telle impunité, toujours renforcée ?

2022-06-02 20_46_47-Une gestion déplorable - ladepeche

La question qui vient logiquement ensuite est : Pourquoi des individus responsables de tant de désastres sont-ils toujours actifs lors de l’épidémie suivante ? On le voit avec la « variole du singe » : ce sont encore les mêmes protagonistes qui tournent en boucle à la télé, les mêmes qui sont aux postes de décision.

Par exemple, Delfraisssy, Flahault, Lina et Bachelot se sont retrouvés devant la commission d’enquête du Sénat « sur la manière dont a été programmée, expliquée et gérée la campagne de vaccination contre la grippe A(H1N1) », mais sont encore là, à des postes clés. Il est vrai que cette commission ne cherchait pas à comprendre pourquoi on a misé sur des « vaccins » expérimentaux, mais pourquoi la vaccination avait raté.

Du coup les conclusions ont été qu’il fallait mieux « communiquer » :

« le message sanitaire délivré par les pouvoirs publics a été opacifié par un véritable brouillard médiatique, tandis que la communication institutionnelle, utilisant des instruments traditionnels, n’a pas su prendre la mesure de l’état d’esprit de la population et réagir correctement pour susciter son adhésion ».

En effet, la « menace » n’était pas perçue comme assez importante par les citoyens pour prendre le risque de se faire injecter, et au fil du temps la motivation déjà faible a littéralement chuté. Du coup, les sénateurs disaient qu’il fallait davantage « susciter l’adhésion » ce qui veut simplement dire qu’on allait devoir manipuler le consentement des citoyens par la propagande.

« Ce qui est regrettable, c’est certes que la communication n’ait pas été ajustée en conséquence, mais aussi que les décisions prises concernant l’organisation de la campagne n’aient pas mieux intégré la faible perception du risque par la population et la nécessité de susciter son adhésion et celle des professionnels de santé, notamment libéraux, à une campagne de vaccination que l’on souhaitait massive mais qui reposait sur la liberté de choix ».

2022-06-02 20_41_32-Covid-19 - Retrouvez toutes les campagnes de communication de l'ARS Auvergne-Rhô

On se souciait aussi déjà beaucoup d’ « internet », qui diffusait des informations contraires à la propagande officielle, et où les « messages institutionnels » n’étaient pas assez présents : on l’a vu, ça a été corrigé avec le covid où on a connu à la fois une propagande massive sur tous les canaux, et une censure jamais vue de toute opinion contraire à la doxa.

On nous parlait d’un « échec » de la « vaccination » sans jamais se demander si elle était justifiée au vu du nombre incroyablement bas de décès (323). L’utilité de cette campagne d’injections expérimentales n’a même pas été un sujet.

Au lieu de se féliciter qu’on ait évité de nombreuses victimes d’effets indésirables, la commission disait que « Les résultats de la campagne de vaccination contre le virus A(H1N1) sont indéniablement insatisfaisants : seule une très faible partie de la population a adhéré à la vaccination, alors même que les moyens, logistiques et financiers, déployés pour organiser la campagne, ont été particulièrement importants. Toutefois, la France n’est pas le seul pays à accuser un tel échec : celui-ci est très largement partagé« . Le seul objectif des sénateurs était-il de piquer tout le monde, peu importe la dangerosité du H1N1? On dirait.

Une des propositions de la commission pour régler le problème de l’influence des labos sur les décisions était de renforcer le rôle de l’Europe dans les achats de mixtures. Le rapport demande ainsi de « Promouvoir, au niveau communautaire, une meilleure coordination entre les États membres en matière de gestion de crise sanitaire et la mise en place d’une stratégie mutualisée d’achats de vaccins« .

carte H1N1

Le député François Autain, président de cette commission, avait beau jeu de dénoncer « la pression des laboratoires«  et le « chantage de l’industrie pharmaceutique » si sa commission réclame en parallèle une centralisation accrue des décisions, rendant encore plus facile le contrôle de la décision par l’industrie.

Il n’y a pas eu à ma connaissance de procédure judiciaire contre les responsables de ce gaspillage, ni de sanctions disciplinaires puisque tous ceux qui ont été impliqués ont poursuivi leurs carrières sans problème. Même les indemnisations des victimes des injections se font encore attendre pour la plupart des victimes.

D’ailleurs, l’Etat a été condamné par des tribunaux à en indemniser certaines, par exemple en 2020 quand le tribunal de Nanterre a obligé l’Etat à verser 558.000€ à une jeune femme atteinte de narcolepsie suite à l’injection anti H1N. Mais seulement une cinquantaine de dossiers auraient été définitivement indemnisés en 2021, certains sont en cours et beaucoup n’ontpas été reconnus.

En évitant de faire un bilan, voire même de régler les comptes après le H5N1, le H1N1, ainsi que sur toutes les mixtures injectées par Bill Gates et Fauci depuis 20 ans, on s’assure que le scénario sera encore pire la fois d’après. 

Le Sénat réclamait aussi que les préfets renforcent les « zones de défense » au niveau territorial : il fallait « Instituer dans chaque zone de défense un conseil zonal de préparation aux crises sanitaires présidé par le préfet de zone et composé de représentants de l’ensemble des acteurs de la gestion de crise sur le terrain« .

L’impunité organisée

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Pharmacovigilance, négociation des contrats, absence de débat contradictoire et scientifique, précipitation: une bonne partie des ingérdients qyi ont réaillé pour le H1N1 ont été reproduits et amplifiés avec le covid.

Par contre certaines choses intéressantes ont été dites par cette commission, comme le fait que les professionnels de santé ont été laissés complètement hors des réflexions et du dispositif, problèmes qui a été encore plus marqué dans le cas du covid avec une véritable éviction des médecins de ville de tout le dispositif, avec le résultat qu’on connait (pour les explications je renvoie notamment vers les travaux des membres du Conseil Scientifique Indépendant). 

La commission d’enquête sur le rôle des firmes pharmaceutiques dans la gestion par le gouverne-ment de la grippe A (H1N1), créée par le groupe Communiste, a été un peu plus loin.

Mais les parlementaires continuaient à faire comme si le H1N1 avait été grave (bien qu’ils reconnaissent que la « pandémie » annoncée n’était jamais arrivée) et recommandaient d’ « Elargir les plans de lutte antipandémiques à l’ensemble des maladies infectieuses » ou encore de renforcer les pouvoirs de l’Europe pour « une action concertée » même si on voit mal en quoi déconnecter davantage la décision du terrain et concentrer les pouvoirs entre les mains de quelques individus pourrait avoir un effet bénéfique. L’affaire du covid, notamment les magouilles de Von der Leyen pour les contrats des « vaccins », l’a d’ailleurs violemment montré.

11 vaccins

On a l’impression d’un système qui tourne tout seul, quelle que soit la dangerosité du virus. C’est comme si chaque acteur jouait sa partition, celle pour laquelle il est payé, celle à laquelle il a été préparé, c’est-à-dire une menace grave justifiant des actions mondiales, même si on est face à une épidémie de faible intensité. 

Peu importe la réalité: on plaque dessus un scénario établi d’avance au cours d’exercices, de conférences, d’études et rapports diffusés à grand renfort médiatique.

C’est un processus en deux temps : d’abord on injecte de l’argent dans des travaux de recherche ou des ONG sur tel ou tel sujet, par exemple les maladies infectieuses émergentes, puis cet argent diffuse, corrompt, fait oublier l’éthique partout où il passe, et la « pandémie » qui n’existe pas encore devient un sujet.

« Cette préparation collective, notamment de la communauté scientifique, à l’émergence d’une pandémie s’est auto-alimentée, comme le soulignait M. Jérôme Sclafer, avec l’accroissement de l’activité éditoriale autour de ce sujet : selon la base de données américaine Medline qui répertorie les principales revues médicales, si deux publications seulement en moyenne par an, dans les années 1980, portaient un titre contenant l’expression « grippe pandémique », en 1997, dix-huit publications avec un tel titre ont accompagné l’alerte sur la grippe de Hong Kong.

L’intérêt pour ce concept a encore augmenté à partir de 2003 puisque cinquante et une publications ont titré sur la grippe pandémique en 2004, cent vingt-quatre en 2005, puis plus de deux cents par an à partir de 2006″ notait le rapport sur le rôle de l’industrie pharmaceutique.

On imagine où on en est aujourd’hui.

dictature sanitaure 2

Concernant le H1N1, l’opinion publique a dû se contenter de ces deux enquêtes parlementaires pour comprendre comment une telle gabegie a été possible, pourquoi on a insisté pour refiler du Tamiflu et des « vaccins » à une population désinformée par les autorités, pourquoi on a effrayé la population alors que rien ne l’a jamais justifié. Aucun des problèmes n’a été réglé, la seule chose qui a avancé depuis est la gestion disproportionnée des « épidémies »qu’elles soient réelles ou purement hypothétiques.

En avril 2010, l’OMS a admis des erreurs dans sa communication sur les « incertitudes » de la « pandémie ». Le quotidien Le Monde notait alors que « Face aux recommandations de l’agence onusienne, les Etats ont accumulé des doses de vaccins qui n’ont finalement été d’aucune utilité. D’aucuns se sont interrogés sur les liens de l’OMS avec l’industrie pharmaceutique, notamment des laboratoires comme GlaxoSmithKline ».

Il n’y a évidemment pas eu d’enquêtes à ce sujet, au contraire les décisions suivantes ont montré que l’OMS a renforcé son processus d’alerte et de gestion « pandémiques », mais on y reviendra.

Définition Pandémie - rapport Sénat H1N1

D’ailleurs, l’OMS a expliqué que si la « vaccination » a été un bide, ce n’est pas du tout parce que le virus était bénin, mais à cause des « nouveaux médias » : les réseaux sociaux ! Le Monde relatait : « Les nouveaux médias – Twitter, blogs, email… – ont en outre perturbé la communication autour de la grippe, ont souligné les experts de l’OMS. Il y a eu « des informations, des rumeurs, beaucoup de spéculations et des critiques dans de nombreux supports » médiatiques, a rappelé Keiji Fukuda », spécialiste de la communication pandémique à l’OMS[25].

L’impunité vient de plusieurs facteurs, dont l’un des principaux est que beaucoup d’acteurs de la gestion « pandémique » baignent dans la propagande de l’industrie pharmaceutique qui les transforme progressivement en VRP de cette même industrie. Elle vient aussi du fait que personne n’ose remettre en question la « doxa » car les carrières sont souvent liées aux financements privés qui ont un intérêt à vendre toujours plus de produits, toujours plus chers. $

Beaucoup ont travaillé sur ces liens d’intérêt, comme Laurent Mucchielli dans plusieurs articles et dans ses livres « La doxa du covid« .

Est-ce que cela a changé depuis le H1N1 ? Au contraire, l’industrie pharma a encore grossi (1200 milliards de chiffre d’affaires en 2019) et l’étau s’est refermé davantage : les liens d’intérêt se sont renforcés, les membres des plus hautes instances n’ont aucune indépendance par rapport aux industries avec lesquelles ils collaborent de plus en plus étroitement [26].

On a même passé un cap assez hallucinant avec le conseil de « défense » du micron, dont les décisions sont secrètes pour 70 ans. Du jamais vu en matière « sanitaire ». Et comme le micron est irresponsable, on ne peut pas le poursuivre pour ce qu’il fait sauf à prouver la corruption active. Ce qui est impossible vu l’opacité complète sur l’ensemble de ses décisions.

Big Pharma 2021

Des médecins et des politiques au service de Big Pharma

En 2019, le Corporate Europe Observatory a souligné l’augmentation importante des dépenses de lobbying de l’industrie pharma en Europe. Un article du Point expliquait ainsi que les dix groupes pharmaceutiques les plus actifs en lobbying « disposent de 60 laissez-passer pour le Parlement européen et ils ont organisé 112 réunions avec des membres haut placés de la Commission européenne. Le budget annuel de lobbying de la seule Fédération européenne des industries et associations pharmaceutiques (EFPIA) atteint 5,5 millions d’euros, et même 6 millions si l’on ajoute ses deux sous-groupes, l’European Biopharmaceutical Enterprises et Vaccines Europe.

Au total, les 3 organismes ont obtenu 42 réunions avec des commissaires, leurs cabinets ou leurs directeurs généraux, et disposent de 10 laissez-passer au Parlement européen. L’EFPIA siège également dans 8 groupes de conseil à la Commission, qui fournissent aux législateurs leur expertise sur des questions politiques« . 

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Ce lobbying poursuit deux objectifs principaux (mais pas exclusifs): diffuser des messages alarmistes sur les maladies pour lesquelles de nouveaux traitements viennent d’être repositionnés ou développés par les labos, et augmenter les prix. En 2020 et 2021, les investissements de Big Pharma en lobbying avaient encore explosé, aussi bien aux USA qu’en Europe où on a atteint la somme de 50 millions de dollars -déclarés (mais la transparence en la matière n’est qu’un leurre).

« Outre l’omniprésence des lobbyistes pharmaceutiques, les statistiques des réunions permettent d’identifier les cinq visiteurs les plus fréquents lors des réunions sur la production et la distribution de vaccins et de médicaments. Elles se répartissent en trois catégories : les organisations internationales, les fondations philanthropiques et une organisation de la société civile.

Avec respectivement 5 et 7 réunions, le CEPI et Gavi sont deux des quatre groupes à l’origine de l’initiative internationale COVAX (les autres étant l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et l’UNICEF), et ont été très actifs pour des raisons évidentes. Ils ont certainement besoin d’un soutien européen, financier et politique. Alors que leur objectif déclaré est de fournir au monde des médicaments et des vaccins contre le COVID-19, il y a un hic : ni le CEPI ni GAVI ne sont enclins à ouvrir une discussion sur les droits de propriété intellectuelle« , notait le Corporate Europe Observatory dans un autre rapport en mai 2021.

Lacombe enfants

On a vu avec le cas Bill Gates qu’un des moyens par lesquels l’industrie pharmaceutique diffuse l’argent est la rémunération d’études cliniques. Celles-ci peuvent aussi bénéficier d’argent public, mais ce sont bien les labos qui les mènent. Les médecins hospitaliers qui recutent des cobayes sont rémunérés par l’industrie, et cette rémunération peut mettre du beurre dans les épinards.

Ces médecins hopitaliers qui collaborent avec l’industrie pour des essais ou des travaux de recherche de molécules sont couvés par Big Pharma qui s’en sert comme « influenceurs », ou « Key Opinion Leaders », c’est-à-dire qu’ils sont en position de s’exprimer auprès des décieurs, des autres médecins ou du grand public.

marty CNES

Du coup, ils touchent en moyenne 3.700€ annuels de cadeaux (davantage que la moyenne des médecins) pour faire la promotion de de tel ou tel produit, et surtout 41.000 € en moyenne pour des interventions à des congrès, des expertises spécifiques etc. Et cette rémunération augmente… en fonction du prix des traitements prescrits par le « médecin »: plus il prescrit de médocs chers, plus il touchera de l’industrie.

Des sommes qui sont dix fois plus importantes aux USA.

Evidemment, le top de l’influenceur est celui qui est présent dans des autorités décisionnaires en matière médicale. Il va être recruté comme « conseiller », ou carrément dans des conseils scientifiques et conseils d’administration des entreprises pharmaceutiques, ou même dans des organisations satellites. 

L’industrie pharma a aussi mis la main sur la presse médicale, en premier lieu les médias de référence comme le BMJ ou le Lancet[27]. Ce qui amène Laurent Mucchielli à parler de « trafic d’influence organisé par les industries pharmaceutiques, que l’on peut également qualifier de « corruption systémique » de la recherche médicale« . L’industrie ne rémunère pas tous les médecins, et cible des « influenceurs » (les télétoubibs qui oublient systématiquement de préciser leurs liens d’intérêts), qui ont reçu 3,5 milliards en France entre 2012 et 2018.

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Une étude française parue en 2021 dans le British Medical Journal a identifié 548 médecins « influenceurs » en France, qui interviennent dans des congrès, sont membres d’associations professionnelles, ont publié des recommandations entre 2014 et 2019. Durant cette période, les industriels ont versé 6 milliards d’euros pour les médecins dont 3 milliards d’euros de rémunération et 1,7 milliard de cadeaux en nature, et ces influenceurs ont une plus grosse part du grisbi.

Depuis 2016 une loi oblige pourtant ces gens à préciser leurs liens d’intérêt à chaque intervention publique. Mais cette loi n’est jamais appliquée et le CSA s’en tape.

Ces « influenceurs » n’hésitent pas à faire la promotion de la nouvelle pharmacopée. Par exemple en novembre 2019, donc quelques mois avant le début officiel du covid, 86 médecins regroupés dans un « collectif ACCèS+ » (dont Karine Lacombe) signaient une tribune dans l’Opinion pour accélérer la mise sur le marché des nouveaux médocs. À eux tous ils cumulaient 16 millions d’euros de liens d’intérêts avec l’industrie depuis 2013, soit une moyenne de 31.000€. Médiapart a ensuite montré que ladite tribune a été coordonnée par Agipharm, une association qui réunit 14 labos US.

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En 2020, Pfizer a annoncé un investissement de plus de 500 millions d’euros au macronistan. Objectif :

« travailler avec les établissements de santé en France pour augmenter de manière significative le nombre de patients inscrits dans ses essais cliniques au cours des cinq prochaines années. Cette démarche est soutenue par l’engagement continu du pays à vouloir simplifier les programmes d’accès précoce aux médicaments innovants, et permettre ainsi l’accès plus rapide aux patients en France dont les besoins médicaux ne sont pas couverts aujourd’hui« .

On ne reviendra pas sur la fameuse étude du Lancet contre l’hydroxychloroquine débunkée en 24h, qui est un cas emblématique du ridicule dans lequel s’est enfoncée une certaine « science ». Mais on notera que véran s’en est servi pour renforcer l’interdiction de l’HCQ dès le lendemain et qu’il n’est jamais revenu sur cette décision criminelle puisqu’elle a entraîné des décès qui auraient pu être évités. À ce moment, tous les « influençeurs » étaient vent debout contre l’hydroxychloroquine et contre Raoult, plus facile à attaquer que la chloroquine.

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Par ailleurs, il est devenu quasiment impossible de faire de la recherche dans le domaine médical sans recourir à l’argent du privé, grâce à la privatisation de la recherche universitaire introduite au début des années 2000 sur injonction européenne.

On notera aussi que l’industrie du « vaccin » est tenue par quatre géants : GSK, Merck, Pfizer et Sanofi dont les chiffres d’affaires de ce secteur en 2019 allaient respectivement de 9,2 milliards à 6,4.

Les manigances de big pharma sont connues depuis des lustres, il y a même parfois des condamnations (Pfizer les cumule, avec plus de 6 milliards versés en dédommagements aux USA), mais le système perdure et se renforce. La mainmise est aussi de plus en plus prégnante aux plus hauts niveaux politiques : on n’a pas fini d’étudier les liens de la micronie avec les labos, du micron avec Pfizer notamment[28], que ce soit ou non via McKinsey.

Avec le covid, des milliers de plaintes ont été envoyées à diverses institutions censées appliquer les lois, et aussitôt classées sans suite. Quand un tribunal décidait de faire sauter des mesures liberticides locales type couvre-feu, muselières obligatoires, déplacements limités etc. on a vu les préfets passer outre systématiquement.

L’impunité aujourd’hui est totale, et est facilitée par l’opacité totale dans laquelle sont prises les décisions : opacité du conseil de « défense » du micron où se décidait par exemple l’ouverture du Puy-du-Fou pendant une rétention de masse stricte, opacité des essais des labos, opacité des contrats, opacité sur les traitements efficaces, opacité sur les effets indésirables des « vaccins », censure systématique, en tous lieux et places, des contradictions.

2022-06-03 22_46_58-Emer Cooke, directrice de l'EMA et _apothicaire de l'Europe_, donne le feu vert

L’industrie aime aussi recruter les anciens décideurs politiques, ou envoyer ses dirigeants dans les instances de décision. Par exemple plusieurs membres de l’Agence Européenne du médicament ont aussi travaillé pour l’industrie pharma (comme sa directrice actuelle Emer Cooke qui a commencé sa carrière dans l’industrie et a notamment passé 7 ans à l’EFPIA, le lobby de Big Pharma auprès des instances européennes), ou bien y sont allés dès la fin de leurs fonctions, comme son Directeur exécutif, Thomas Lönngren, qui dès le lendemain de son départ en 2011 avait rejoint le conseil d’administration de NDA Ltd, société de lobbying au service des firmes pharmaceutiques, qui l’a recruté en tant qu’influenceur de premier plan. Il avait de nombreux autres liens d’intérêt avec diverses boîtes du secteur.

C’est cette agence européenne du médicament qui autorise les médicaments en Europe (Rmedesivir, vaccins etc.), qui assure l’opacité sur les essais cliniques et empêche le développement de médicaments génériques, par exemple.

L’infiltration est la même au niveau européen et international, notamment à l’OMS[29].

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Pourquoi cette corruption ne fait-elle que se renforcer ? Tout simplement parce qu’elle n’est pas exceptionnelle mais systémique et que l’argent est le nerf de la guerre. Et pour qu’elle soit systémique il faut bien que les conditions favorables soient réunies sur le long terme et cela n’est pas dû au hasard. Il n’y a qu’à considérer l’ampleur du phénomène dans le temps et dans l’espace, mais on va voir progressivement quels processus sont en cours.

On peut déjà être certains d’une chose : cette impunité ne va pas s’arrêter, au contraire elle va continuer à prendre de l’ampleur, probablement jusqu’à ce que l’industrie pharma et les instances de décision nationales et surtout internationales se confondent complètement.

Ne négligeons pas non plus la corruption, phénomène mal perçu aux plus hauts niveaux de l’Etat et des institutions internationales, mais qui pourtant est réel. Je ne donnerais qu’un chiffre à ce sujet: un rapport d’Interpol estimait qu’au bas mot 12,5 % des marchés publics passés en Europe sont des dessous de table. C’est-à-dire que si on paie 100 millions pour des « vaccins », 12,5 millions sont renvoyés aux politiques qui ont pris la décision et organisé le contrat des deux côtés. Selon l’OCDE, plus de la moitié des cas de corruption transnationale avaient pour objectif de remporter un marché public.

Selon le type de marché, les commissions et rétrocommissions peuvent représenter 10 à 25 % du montant des contrats selon Transparency International, 10 à 30 % pour l’OCDE. Au niveau européen, ça pourrait représenter 6,3% du PIB.


On sait qui a commis des erreurs mais on ne cherche pas à identifier les responsabilités sur le plan pénal. Il n’est donc pas question de protéger les citoyens mais les donneurs d’ordre. La corruption des différents niveaux de décision par l’argent de Big Pharma n’est pas un scoop; on le sait depuis des années. Mais rien n’est fait pour lutter contre, à part des règlements ineptes de fausse « transparence ». Ce qu’il faudrait, c’est cloisonner la décision politique ou sanitaire et l’industrie, empêcher l’infiltration. 

Au lieu de cela, l’influence de l’industrie pharma et de ses sbires ne cesse de se renforcer malgré les scandales. À ce stade la question à se poser est : à qui tout cela profite, et qui a les moyens d’empêcher que les citoyens ne se mêlent de leur prore santé?


[1] Dans son audition au Sénat le 28 avril 2010 devant la commission d’enquête il a déclaré : « J’ai été membre du LEEM Recherche, aux côtés d’ailleurs de la présidente de l’Institut Pasteur, du directeur général de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM), du directeur général de l’Institut national de la recherche agronomique (INRA), au titre de ma fonction de directeur de l’Ecole des hautes études en santé publique ». Le 26 février le LEEM Recherche est devenu l’Alliance pour la recherche et l’innovation des industries de santé (ARIIS) et Flahaut était mentionné sur leur site mais niait encore faire partie de la structure.

[2] Apparemment c’est l’Institut Pasteur qui est allé le chercher en 2013 pour « disposer d’outils d’aide à la décision en cas de nouvelle pandémie« .

[3] Le GEIG organise des congrès financés par l’industrie pharma.

[4] Elle fut déléguée à l’information médicale des laboratoires ICI Pharma de 1969 à 1976, et chargée des Relations Publiques chez Soguipharm de 1984 à 1989, en gros elle gérait la com de ces labos. Entre les deux missions dans le privé elle a fait ses premiers pas en politique comme conseillère générale dans le fief de son père.

[5] Même l’OMS admettait en août 2009 que « par manque de temps, les données cliniques seront inévitablement limitées au moment où on commencera à administrer les vaccins contre la grippe pandémique. Les tests d’innocuité et d’efficacité devront donc se poursuivre après avoir commencé à les administrer« .

[6] Un comité dont quasiment tous les experts avaient des liens d’intérêts de longue date avec l’industrie pharma.

[7] « Anthony Fauci, Bill Gates et Big Pharma – Leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique », paru en mars 2022.

[8] Ferguson était membre du Scientific Advisory Group for Emergencies (Sage) qui conseille le gouvernement anglais.

[9] Plus précisément au MRC Centre for Global Infectious Disease College créé pour modéliser les pandémies.

[10] Ce projet destiné à « comprendre le risque d’émergence d’un coronavirus de chauve-souris » devait initialement être financé par le NIAID jusqu’en juin 2024 mais il a été stoppé prématurément après que la DARPA ait compris qu’il y avait quelques problèmes de sécurité au laboratoire de Wuhan. On était alors en juin 2020.

[11] Les résultats de l’étude chinoise n’ont pas été favorables au Remdesivir, pointant ses dangers et son inutilité face au covid.

[12] La FDA l’a autorisé dans les jours suivants, ce qui a entraîné son remboursement à 100%, à un prix de plus de 2000$ le traitement.

[13] Une étude parue dans le Lancet en mai 2020 a montré que 12% des patients traités au Remdesivir avaient eu des effets graves et ont dû arrêter le traitement, contre 5% des patients non traités.

[14] En 2010 l’Agence fédérale pour la qualité des soins de santé (AHRQ) a évalué un système bien plus performant qui a été jeté aux oubliettes par le CDC car il a révélé que les « vaccins » causaient des dommages graves chez 1 personne sur 40. 

[15] La fondation Bill & Melinda Gates est née de la fusion de la Fondation William H. Gates et de la Gates Learning Foundation. En 2006 elle avait environ 30 milliards de $ de budget, quand Warren Buffet lui a donné une bonne partie de sa fortune, soit encore 30 milliards de $.

[16] Cf. « The grand impact of the Gates Foundation » de Kirstin RW Matthews et Vivian Ho. https://doi.org/10.1038/embor.2008.52

[17] Selon le rapport du Sénat sur le rôle de Big Pharma dans la « pandémie » H1N1, « l’OMS avait déjà, selon M. Ulrich Keil, directeur de l’Institut d’épidémiologie à l’Université de Munster, lancé plusieurs « fausses alertes » avant le déclenchement de la pandémie grippale de 2009. M. Ulrich Keil cite les exemples de l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB), du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) et de la grippe aviaire. Toutefois, à la différence des cas précédents, la grippe A (H1N1)v a donné lieu à l’engagement, pour la première fois dans de telles proportions, de mesures de production de vaccins, et à l’engagement de campagnes de vaccination de masse ».

[18] Gates finançait –et finance toujours- l’OMS via plusieurs canaux : sa fondation qui en 2008-2009 a donné 338 millions de $ (le gouvernement US, 1er donateur a donné 424,5 millions $), mais le GAVI qui reçoit des financements de sa fondation, a donné 85 millions à l’OMS, et le Programme for Appropriate Technology in Health (PATH) lui aussi principalement financé par la fondation Gates, a donné 9 millions $. De plus, la fondation Gates finançait déjà diverses structures qui donnaient aussi à l’OMS (par exemple la Johns Hopkins University, le International Development Research Centre, le Global Fund to Fight AIDS, Tuberculosis and Malaria).

[19] Le centre de modélisation de l’Imperial College de Londres est financé par Bill Gates et c’est là que travaillait Neil Ferguson.

[20] Le « Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme », créé par l’OMS en 2001 avec l’appui du G8 et bien-sûr des financements de la fondation Gates (2,74 milliards $ tout de même depuis sa création, et 760 millions rien que pour 2020-2022).

[21] La GERM team a été présentée par Gates en avril 2022 dans une conf TED, en version intervention hollywoodienne : « Ce serait une équipe à temps plein dont la seule et unique priorité serait la prévention des pandémies. Elle serait constituée de divers spécialistes couvrant des domaines très variés : des épidémiologistes, des spécialistes des données, des logisticiens. Il faut davantage qu’un savoir-faire médical et scientifique, il faut aussi des compétences en communication et en diplomatie…« .

Il dit aussi que l’Australie a très bien géré la crise covid, mais il n’y a jamais eu de morts là-bas et a parlé d’un « médicament à inhaler ». Mais les « vaccins » doivent « être plus faciles à inoculer ».

[22] Que Gates compte apparemment donner en priorité aux « jeunes filles des bidonvilles« . 

[23] Le PDG de Moderna Stéphane Bancel déclarait que « Nous avons défini Moderna pour imiter la biologie en donnant à votre corps les instructions pour que vos cellules fabriquent les protéines dont vous avez besoin pour vous protéger« . À l’occasion de ce partenariat, CNBC notait : « En cas de succès, les méthodes de Moderna pourraient conduire à la production rapide de médicaments thérapeutiques et d’une myriade de vaccins à moindre coût. C’est un argumentaire qui a fait de Moderna Therapeutics, basée à Cambridge, dans le Massachusetts, actuellement évaluée à près de 5 milliards de $, la société de biotechnologie privée la plus valorisée des États-Unis. Sa réserve de 1,9 milliard $ en espèces a été levée auprès de financeurs et partenaires tels que les géants pharmaceutiques Merck et AstraZeneca et la Fondation Bill et Melinda Gates« .

[24] Les recherches étaient principalement menées par une filiale de Moderna spécialisée dans la recherche de « vaccins » contre les maladies infectieuses, Valera.

[25] On notera qu’il était toujours actif pour le covid, et n’a pris sa retraite aux Etats-Unis qu’en novembre 2021. Fukada a milité pour un renforcement du Règlement Sanitaire International pour que l’OMS puisse décider au niveau mondial des mesures à prendre en cas de « pandémie ».

[26] Les labos ont augmenté leurs actions de lobbying et les rémunérations diverses et variées auprès des médecins hospitaliers. Par exemple en 2020 Didier Raoult dénonçait l’entrisme de Gilead au sein du Collège des universitaires des maladies infectieuses et tropicales (CMIT) : 97 des 114 médecins de ce comité avaient eu une rémunération ou un avantage de la part de Gilead depuis 2012.

[27] « En 2009, le docteur Marcia Angell, ancienne éditrice en chef du très célèbre New England Journal of Medicine déclarait qu’« il n’est tout simplement plus possible de croire une grande partie des recherches cliniques publiées, ni de se fier au jugement de médecins de confiance ou à des directives médicales faisant autorité. Je ne prends aucun plaisir à cette conclusion, à laquelle je suis parvenu lentement et à contrecœur au cours de mes deux décennies en tant que rédacteur en chef du NEJM » rappelle par exemple Mucchielli.

[28] Plusieurs éléments interrogent quant à la relation de jupicrétin avec Pfizer, comme l’argent qu’il a réellement touché du contrat Pfizer – Nestlé qu’il a négocié chez Rothschild pour 12 milliards de dollars (rachat par Nestlé de la branche nutrition infantile Pfizer Nutrition), la rpésence de VRP de Pfizer dans le cabinet de véran, comme le médecin de l’AP-HP François-Xavier Lescure conseiller covid de véran tout en étant rémunéré par Pfizer, ou le soutien actif de l’industrie pharmaceutique à sa campagne, en attente d’un retour sur investissement.

[29] Après le H1N1 déjà un rapport du conseil de l’Europe cité par Le Monde dénonçait « de graves lacunes (…) en ce qui concerne la transparence des processus de décision liés à la pandémie, ce qui soulève des préoccupations sur l’éventuelle influence que l’industrie pharmaceutique aurait pu exercer à l’égard des principales décisions relatives à la pandémie ».




L’ONU et Davos veulent accélérer la mise en place de « l’Agenda 2030 »

[Source : insolentiae.com]

Par Charles Sannat

Cela semble fleurer bon le complotisme lorsque l’ONU annonce la signature d’un accord entre le Forum de Davos et l’Organisation des Nations Unies pour l’accélération de la mise en place de ce que l’on appelle « l’Agenda 2030 », pourtant, il n’y a pas de quoi crier au complot qui serait caché puisque tout est dit et annoncé dans la vidéo ci-dessous.



Quant à l’agenda 2030 il a son propre site internet dans lequel vous trouverez toutes les informations pour savoir exactement à quelle sauce vous serez mangé dans les 8 prochaines années… au mieux, car cet agenda est en pleine accélération, ce qui est logique compte tenu de la crise ouverte avec la Russie et de la guerre en Ukraine.

L’Agenda 2030 n’a rien de complotiste, c’est une réalité.

Il est même décliné pays par pays, et vous trouverez ci-dessous le lien pour aller sur le site qui reprend notamment la feuille de route de l’Agenda 2030 pour notre pays [La France].

Vous pouvez lire tout cela dans le détail sur ce site totalement officiel ici.

[Feuille de route pour la France :]

En gros l’Agenda 2030, c’est aussi un peu le « grand Reset » et la nécessité de passer d’un modèle de société à un autre en espérant que cette transition fonctionne… parce que si elle échoue, ce sera très compliqué.

Charles SANNAT

[Voir aussi :
« L’Agenda 2030 » (vert) de l’ONU est derrière la « Grande Réinitialisation » du Forum Économique Mondial — Suivez la piste de l’argent !
L’objectif de l’Agenda 2030 : contrôle, déshumanisation et dépopulation
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
Les mondialistes utilisent le COVID-19 pour inaugurer l’Agenda 2030 des Nations Unies « Brave New World »* avec dix ans d’avance sur le calendrier
But des Agendas 21 et 2030
Pourquoi le Great Reset est l’Agenda du Chaos….
D’ici 2030, nous n’aurons rien et nous en serons heureux
L’ultime objectif du Forum Économique Mondial : prendre le contrôle de l’Humain
Le Great Reset : Le Forum économique mondial dévoile un projet mondial d’« identité numérique »
Le Forum Économique mondial de Davos promeut un contrôle total de l’information mondiale par les Big Tech
Le Forum économique mondial publie un guide sur la façon de contraindre et de manipuler le public pour imposer le vaccin Covid-19
Pénuries alimentaires dans six mois – Les mondialistes nous disent ce qui va se passer ensuite
Harari et « l’homme numérique de demain » : les projets inquiétants du Forum de Davos]

« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »




Les Européens seront-ils esclaves dans quatre mois ?

[Source : ns2017 et courriel]

Par anne

LE MESSAGE SUIVANT VIENT D’UN POST HOLLANDAIS SUR TÉLÉGRAM…

Les citoyens serviles ont été trompés une fois de plus après l’annonce faite lors de la conférence de presse et sont heureux des « assouplissements ».

Ils ont encore une fois été distraits avec tact sur ce qui va vraiment arriver !

Après le 30 juin 2022

  • Le Conseil de l’Europe a modifié sa résolution 2361 et ne s’oppose plus à la vaccination obligatoire.
  • L’UE a annoncé une « législation » pour les certificats obligatoires EU COVID 19 à partir du 1er juillet 2022 qui supprimera toutes les libertés si vous n’avez pas de certificat QR covid.

Kuipers signera cette « loi » européenne en mai 2022. S’il y a une majorité d’États membres, la vaccination forcée sera introduite !

  • À la fin de 2022/2023, il y aura une monnaie numérique. Personne ne pourra alors récupérer son argent !
  • L’UE impose une carte d’identité numérique à chaque citoyen européen sans consultation.
    Il suffit de regarder dans « mon gouvernement, digiD », il est déjà là !
  • Tous les guichets automatiques seront remplacés par des guichets à code QR dans un avenir proche.
    La Belgique est déjà en train de les installer.
  • Lorsque ces machines à code QR seront intégrées, il ne sera plus possible de retirer des espèces dans les banques et ailleurs.
  • L’UE a pour objectif de rendre l’argent liquide complètement sans valeur d’ici un an et demi. Il n’y aura plus d’argent noir.
  • L’UE / le « gouvernement néerlandais » prépare un quota de CO2 climatique pour chaque citoyen !
    Vous avez consommé trop d’essence, alors vous ne conduirez pas pendant une semaine.
    Utilisé trop d’électricité ou mangé trop de viande etc. etc…
  • L’UE supprime l’intégrité physique de chaque être humain pour toujours !
  • Vaccinés, Big Pharma / UE est déjà le propriétaire de votre corps que vous l’acceptiez ou non !
    Nous sommes devenus des corps d’internet.
    Et ce n’est pas un mythe !
    Regardez le brevet établi par Big Pharma le 28 mars 2021 :
    https://patents.google.com/patent/US20210082583A1/en…
  • Alors ne prenez pas de rappels de mise à jour, car tous les droits expirent !

‼️ SI NOUS NE PRENONS PAS DE RÉELLES MESURES CONTRE CES CRIMINELS TRÈS BIENTÔT‼️.
alors d’ici deux ans, vaccinés ou non, nous serons tous enfermés dans le camp de concentration numérique de l’ UE ! !!

(Ce qui précède est basé sur des sources et des documents originaux de l’UE, du Conseil de l’Europe, du gouvernement néerlandais, du WEF, de l’OMS et des contrats de Big Pharma.
Ils sont publics et accessibles à tous)

JE viens de traduire ce texte le reste est visible sur le lien que je mettrais en fin de texte ….

Méthodes et systèmes permettant de donner la priorité aux traitements, aux vaccinations, aux tests et/ou aux activités tout en protégeant la vie privée des personnes.
Résumé
Un aspect de certains modes de réalisation de l’invention concerne un système et des méthodes pour sélectionner de manière anonyme des sujets pour un traitement contre une maladie infectieuse causée par un agent pathogène, comprenant : 1. une pluralité de dispositifs électroniques configurés avec des instructions pour générer un identifiant, lorsqu’ils sont à proximité d’un autre dispositif électronique de ce type, l’un ou les deux parmi la transmission dudit identifiant audit autre dispositif électronique et la réception d’un identifiant dudit autre dispositif électronique, la génération d’un score sur la base d’une pluralité de ces identifiants reçus, la réception d’informations d’un serveur, l’affichage d’instructions de traitement pertinentes pour lesdits sujets sur la base des informations reçues ; 2. au moins un serveur comprenant des instructions pour envoyer à ladite pluralité de dispositifs électroniques des informations pour afficher lesdites instructions de traitement pertinentes ; où ledit au moins un serveur ou lesdits dispositifs électroniques comprennent des instructions pour générer une prédiction de la probabilité qu’un sujet transmette ledit agent pathogène, sur la base d’un score du sujet.

https://patents.google.com/patent/US20210082583A1/en




Le « convoi de la liberté » également interdit à Bruxelles

[Source : dhnet.be]

[Photo SYSPEO/SIPA]

La grande manifestation européenne est censée déferler sur Paris ce week-end, mais a été interdite.

[Voir aussi :
https://www.lesechos.fr/monde/europe/bruxelles-interdit-a-son-tour-le-convoi-de-la-liberte-1386097]

Le « convoi de la liberté » annoncé pour lundi à Bruxelles se verra interdire l’accès à la capitale belge et européenne. Via leurs cabinets respectifs, la ministre de l’intérieur Annelies Verlinden, le ministre-président bruxellois Rudi Vervoort, et le bourgmestre de la Ville de Bruxelles Philippe Close ont annoncé jeudi midi qu’ils mettaient les moyens fédéraux, régionaux et locaux en place pour empêcher le blocage de la Région de Bruxelles-capitale.

Plusieurs appels ont été lancés pour organiser, dans les capitales européennes, des « convois de la liberté » inspirés d’un mouvement motorisé lancé au Canada pour protester contre les restrictions sanitaires.

Jeudi, en début de matinée, la préfecture de Paris a annoncé leur interdiction dans la capitale française où un convoi était annoncé à partir de vendredi. A Bruxelles, un appel au ralliement a été lancé. On évoque plutôt la journée de lundi, le 14 février.

Mais les autorités compétentes ont indiqué dès jeudi que l’accès à la capitale belge serait également interdit.

« Afin de faire face au convoi de la liberté qui n’a à ce jour pas fait l’objet d’une autorisation de manifester car aucune demande n’a été envoyée, la ministre de l’intérieur Annelies Verlinden, le ministre-président Rudi Vervoort et le bourgmestre de Bruxelles, Philippe Close, mettent les moyens fédéraux, régionaux et locaux en place pour empêcher le blocage de la Région de Bruxelles-capitale », ont-ils précisé dans un communiqué diffusé via le cabinet du ministre-président Vervoort.

Voir la suite sur dhnet.be




Les données officielles du gouvernement du Canada indiquent que les personnes entièrement vaccinées ne sont qu’à quelques semaines du syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA)

[Source : resistance-mondiale.com]

Les données du gouvernement du Canada sur le Covid-19 suggèrent que la plupart des personnes “entièrement vaccinées” développent un syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA) complet induit par le vaccin Covid-19, après avoir confirmé que le système immunitaire des personnes entièrement vaccinées s’est déjà dégradé à une moyenne de moins 81 %.

[Voir aussi :
Les données officielles indiquent que les personnes triplement vaccinées développent le syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA) à un rythme alarmant

Au contraire du scientisme ambiant depuis plusieurs décennies, la rigueur scientifique tend à démontrer qu’il n’existe aucun lien causal entre VIH et SIDA, mais que ce syndrome qui couvre les symptômes de plusieurs maladies provient en fait d’intoxications (aggravées par la malnutrition). Voir :
Dr. Claus Köhnlein – Du SIDA au Covid-19 : une arnaque qui dure depuis plus de 40 ans
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
Fauci et la grande arnaque du SIDA
La pseudo vaccination anti-Covid est elle-même source d’intoxications multiples, dont celle due à la protéine Spike.]

Les chiffres de la Covid-19 canadienne sont produits par le gouvernement du Canada (voir ici).

Leurs dernières données sont disponibles en format pdf téléchargeable ici.

La page 20 et suivantes des données sur les cas de Covid-19 depuis le tout début de la campagne de vaccination contre le Covid-19 au Canada le 14 décembre 20 jusqu’au 15 janvier 22 –

À première vue, il semblerait que le Canada connaisse actuellement une pandémie de personnes non vaccinées, les personnes entièrement vaccinées n’étant pas loin derrière. Mais cette apparence est une fraude.

En examinant un rapport publié précédemment avec des chiffres sur les cas entre le 14 décembre 2020 et le 4 décembre 2021, puis en effectuant une simple soustraction, nous sommes en mesure de déduire le nombre de cas de Covid-19 par statut vaccinal entre le 5 décembre 2021 et le 15 janvier 2022, et ils sont stupéfiants.

Voici le tableau du nombre de cas par statut vaccinal entre le 14 décembre 2020 et le 4 décembre 2021, grâce au don de la ‘WayBackMachine ‘ –

Le tableau suivant montre le nombre de cas par statut vaccinal entre le 5 décembre 2021 et le 15 janvier 2022, une fois que nous soustrayons simplement les chiffres du 4 décembre des chiffres du 15 janvier dans les deux tableaux ci-dessus –

Comme vous pouvez le voir clairement, malgré l’énorme discrimination contre les non vaccinés par le Premier ministre canadien Justin Trudeau, le Canada connaît une pandémie de personnes entièrement vaccinées, avec ce groupe démographique enregistrant un nombre choquant de 492 893 cas entre le 5 décembre et le 15 janvier 2022, contre seulement 61 971 cas parmi la population non vaccinée.

Au Canada, selon le rapport du 4 décembre, 22,2 millions de personnes sont au moins doublement vaccinées et 23,2 millions de personnes sont au moins partiellement vaccinées.

Selon les statistiques officielles, la population du Canada en 2020 était estimée à 38,01 millions –

Par conséquent, puisque 23,1 millions de personnes au Canada ont reçu au moins une seule dose d’un vaccin contre la Covid-19, cela laisse environ 14,81 millions de personnes au Canada qui ne sont pas vaccinées contre la Covid-19 .

Le gouvernement du Canada ne parvient pas à produire les taux de cas par 100 000 qui nous permettront de déterminer l’efficacité du vaccin dans le monde réel, mais heureusement, nous pouvons déterminer nous-mêmes quels sont ces taux de cas.

Pour calculer le taux de cas non vaccinés pour 100 000, il suffit de diviser la taille de la population non vaccinée par 100 000, puis de diviser le nombre de cas par la réponse à l’équation précédente.

Population = 14,81 millions / 100 000 = 148,1
Nombre de cas = 61 972 / 148,1 = 418,4

Ce qui signifie que le taux de cas non vaccinés est de 418,4 cas de Covid-19 pour 100 000 habitants.

Nous effectuons ensuite un calcul similaire pour les personnes entièrement vaccinées –

Population = 22,2 millions / 100 000 = 222
Nombre de cas = 492 893 / 222 = 2 220,23

Ce qui signifie que le taux de cas entièrement vaccinés est de 2 220,23 cas de Covid-19 pour 100 000 habitants.

Ensuite, nous pouvons utiliser la formule d’efficacité du vaccin de Pfizer pour déterminer l’efficacité du vaccin dans le monde réel.

Taux de cas non vaccinés – Taux de cas vaccinés / Taux de cas non vaccinés = Efficacité du vaccin
418,4 – 2 220,23 = -1 801,83/ 418,4 x 100 = moins -430,6 %

Par conséquent, l’efficacité réelle du vaccin Covid-19 au Canada est de MOINS-430,6 %. Cela signifie que les personnes entièrement vaccinées sont 5,3 fois plus susceptibles d’être infectées par le Covid-19 que la population non vaccinée. C’est ce que la vaccination a fait aux Canadiens.

Mais l’efficacité d’un vaccin n’est pas vraiment une mesure d’un vaccin, c’est une mesure de la performance du système immunitaire d’un vacciné par rapport à la performance du système immunitaire d’une personne non vaccinée.

Le vaccin Covid-19 est censé entraîner votre système immunitaire à reconnaître la protéine de pointe de la souche originale du virus Covid-19. Pour ce faire, il demande à vos cellules de produire la protéine de pointe, puis votre système immunitaire produit des anticorps et se souvient de les utiliser plus tard si vous rencontrez à nouveau la partie pointe du virus Covid-19.

Mais le vaccin ne traîne pas après la formation initiale, il laisse votre système immunitaire s’occuper du reste. Ainsi, lorsque les autorités déclarent que l’efficacité des vaccins s’affaiblit avec le temps, ce qu’elles veulent vraiment dire, c’est que la performance de votre système immunitaire s’affaiblit avec le temps.

Le problème que nous voyons ici est que le système immunitaire ne revient pas à son état d’origine et naturel. Si c’était le cas, les résultats de l’infection par Covid-19 seraient similaires aux résultats parmi la population non vaccinée.

Au lieu de cela, il continue de décliner à un rythme qui signifie que la population non vaccinée a un système immunitaire plus performant, ce qui signifie que les injections de Covid-19 déciment le système immunitaire des personnes entièrement vaccinées.

Mais pour déterminer les performances du système immunitaire, nous devons modifier légèrement le calcul utilisé pour déterminer l’efficacité du vaccin et diviser notre réponse par le plus grand des taux de cas vaccinés ou non vaccinés.

Taux de cas non vaccinés – Taux de cas vaccinés / le plus grand taux de cas non vaccinés / vaccinés = Performance du système immunitaire

418,4 – 2 220,23 = -1 801,83/ 2220,23 x 100 = moins-81,55 %

Cela signifie que les Canadiens entièrement vaccinés ont actuellement une réponse immunitaire inférieure de 81,55 % à celle des non-vaccinés contre le Covid-19.

Par conséquent, le Canadien moyen entièrement vacciné n’a plus que 18,45 % de son système immunitaire pour lutter contre certaines classes de virus et certains cancers, etc. La question est de savoir quand les 18,45 % restants de son système immunitaire seront épuisés ?

Si nous recommençons tout ce que nous avons fait ci-dessus avec les chiffres tirés du rapport Covid-19 du gouvernement du Canada contenant des données jusqu’au 4 décembre 2021 , et un autre rapport précédent contenant des données jusqu’au 13 novembre 2021 , nous pouvons déterminer le vrai- l’efficacité mondiale des vaccins et les performances du système immunitaire entre le 14 novembre et le 4 décembre 2021.

Cela nous permettra de voir le taux de déclin entre le 14 novembre et le 15 janvier 2022.

Voici les chiffres sur les cas par statut vaccinal entre le 14 décembre 2020 et le 13 novembre 2021 –

Il ne nous reste plus qu’à les soustraire des chiffres du 4 décembre pour calculer le nombre de cas par statut vaccinal entre le 14 novembre et le 4 décembre 21.

Le tableau suivant nous montre la réponse –

La majorité des cas étaient encore parmi les personnes entièrement vaccinées, mais comme vous pouvez le voir, les niveaux par rapport aux non vaccinés étaient loin des niveaux observés entre le 5 décembre et le 15 janvier 2022.

Sur la base des niveaux de vaccination à l’époque, ces chiffres équivalent à un taux de cas de 91,45 pour 100 000 parmi les non vaccinés et à un taux de cas de 101,06 parmi les personnes entièrement vaccinées.

Par conséquent, l’efficacité du vaccin dans le monde réel entre le 14 novembre et le 4 décembre 21 équivalait à moins-10,5 %, et la performance du système immunitaire à moins-9,5 %.

Cela signifie qu’entre le 4 décembre et le 15 janvier 2022, l’efficacité du vaccin a chuté de 420,5 % et les performances du système immunitaire ont chuté de 71,6 % par rapport aux chiffres enregistrés entre le 14 novembre et le 4 décembre 2021.

Nous n’osons pas vous dire ce que cela pourrait signifier pour le système immunitaire des personnes entièrement vaccinées au Canada d’ici la fin février 2022.

Ces chiffres vraiment étonnants montrent que nous sommes plus de 5 fois plus à l’abri du Covid-19 que les vaccinés dans une chambre, un restaurant, un bar, une discothèque, un train, un bateau ou un avion rempli de personnes non vaccinées que nous ne le sommes avec ” personnes complètement vaccinées ».

Il semble également que les non vaccinés atteignent l’immunité du sous-groupe contre Covid-19 alors que les vaccins entièrement vaccinés sont empêchés de l’atteindre par les vaccins.

Les chiffres canadiens ont détruit le dossier des passeports pour les vaccins partout dans le monde et prouvent à eux seuls le cas d’une interdiction immédiate de la thérapie génique et de la vaccination aux protéines de pointe.

Si les personnes entièrement vaccinées se débrouillent si mal contre Covid-19, c’est parce que les anticorps induits par le vaccin contre la protéine spike Alpha sont pratiquement inutiles contre Omicron. Ainsi, la détérioration progressive du système immunitaire causée par la production incessante de la protéine spike n’a presque rien pour se cacher, rien pour se protéger.

Le Royaume-Uni compte 72,1 % de la population double vaccinée, 55,6 % de la population triple vaccinée, 5,8 % de la population partiellement vaccinée et 22,1 % de la population non vaccinée ( ourworldindata ). Les Britanniques s’en tireront donc un peu moins bien que les Canadiens en ce moment, avec un pourcentage nettement plus élevé de victimes de la vaccination.

Les données officielles du gouvernement canadien sur le Covid-19 montrent que toute personne entièrement vaccinée sera atteinte du SIDA à médiation vaccinale dans un laps de temps très court, à moins que quelque chose ne change radicalement. La partie du système immunitaire qui reste actuellement capable de combattre l’Omicron se sera dissipée.

Cela entraînera un lourd fardeau pour les services de santé du Canada, ainsi que des souffrances et des décès massifs. Tout cela nous a été infligé par un système de santé corrompu. Ce doit être le plus grand but contre son camp de l’histoire médicale.

Source : https://dailyexpose.uk/2022/02/06/canada-gov-data-suggests-fully-vaccinated-developing-ade/




Injection mortelle

[Source : Injection mortelle. L’effrayant récit d’un médecin urgentiste sur une maladie inhabituelle provoquée par le vaccin | Le Saker Francophone]

Injection mortelle. L’effrayant récit d’un médecin urgentiste sur une maladie inhabituelle provoquée par le vaccin

Par Mike Whitney − Le 20 novembre 2021 − Source Unz Review

« Les Américains ont peur de mourir…. Les gens quittent leur travail, non pas parce qu’ils veulent perdre leur emploi, mais parce qu’ils ne veulent pas mourir du vaccin ! … Ils disent : ‘Écoutez, je ne veux pas mourir. C’est la raison pour laquelle je ne prends pas le vaccin’. C’est aussi clair que cela. »

Dr Peter McCullough

Un rapport du Telegraph britannique explique comment le vaccin Covid-19 a entraîné une forte augmentation de la surmortalité. Voici un extrait de l’article :

Près de 10 000 personnes de plus que d’habitude sont mortes au cours des quatre derniers mois pour des raisons autres que le vaccin Covid. Les experts ont demandé une enquête gouvernementale urgente pour savoir si ces décès étaient évitables…

Les derniers chiffres de l’Office for National Statistics montrent que l’Angleterre et le Pays de Galles ont enregistré 20 823 décès de plus que la moyenne des cinq dernières années au cours des 18 dernières semaines. Seuls 11 531 décès concernaient le Covid. »

(« L’alarme sonne car les morgues sont remplies de morts excédentaires non dues au Covid » UK Telegraph)

La mortalité augmente parce que plus de gens meurent. Et plus de gens meurent parce que plus de gens ont été vaccinés. Il y a un lien entre la hausse de la mortalité et le vaccin Covid-19. Naturellement, les médias veulent rejeter la responsabilité de ces décès sur les « retards de prise en charge » et « l’absence de soins préventifs ». Mais il ne s’agit que d’une diversion. La première cause de décès est l’injection d’un agent pathogène toxique dans le sang d’environ 70 % de la population. C’est ce qui provoque la coagulation, les saignements, les embolies pulmonaires, les crises cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux et les décès prématurés. C’est le vaccin. En voici d’autres :

Les chiffres hebdomadaires pour la semaine se terminant le 5 novembre montrent qu’il y a eu 1 659 décès de plus que ce que l’on attendrait normalement à cette période de l’année. Parmi ceux-ci, 700 n’ont pas été causés par le Covid.

L’excédent devrait s’accroître au fur et à mesure que d’autres décès seront enregistrés dans les semaines à venir.

Les données de l’Agence britannique de sécurité sanitaire montrent que, depuis l’été, il y a eu des milliers de décès de plus que la moyenne quinquennale en matière d’insuffisance cardiaque, de maladies cardiaques, de troubles circulatoires et de diabète.

Le nombre de décès chez des particuliers est également supérieur de 40,9 % à la moyenne sur cinq ans, avec 964 décès excédentaires enregistrés au cours de la semaine la plus récente, qui s’achève le 5 novembre. 

(« L’alarme sonne car les morgues sont remplies de morts excédentaires non dues au Covid », UK Telegraph)

L’augmentation soudaine de la mortalité n’est pas un simple point clignotant sur un radar. C’est un drapeau rouge indiquant une rupture significative dans la tendance des cinq dernières années. Quelque chose a terriblement mal tourné. La vaccination de masse était censée réduire le nombre de cas, d’hospitalisations et de décès. Au lieu de cela, les décès continuent d’augmenter.

Pourquoi ?

La réponse à cette question se trouve dans les données elles-mêmes. Comme l’admet l’auteur, il y a eu une forte augmentation des cas d’insuffisance cardiaque, de maladies cardiaques, de troubles circulatoires et d’accidents vasculaires cérébraux. (Ce sont précisément les affections auxquelles on pourrait s’attendre si l’on venait d’injecter à des millions de personnes un produit biologique générateur de caillots qui déclenche une violente réponse immunitaire attaquant la paroi interne des vaisseaux sanguins et infligeant de graves dommages à l’infrastructure critique du corps. Donc, oui, la mortalité toutes causes confondues est en hausse, et il est certain qu’elle va encore augmenter à mesure que de plus en plus de personnes sont vaccinées et succombent progressivement aux effets (souvent) différés d’une concoction hybride qui est la pierre angulaire d’un plan maléfique visant à réduire considérablement la population mondiale. Consultez ce tableau suivi d’un bref commentaire du Dr Claire Craig, pathologiste :

« Depuis l’été, il y a eu deux fois plus de décès par covid, mais sept fois plus de décès en trop que l’année dernière. » (Twitter)

Dr Clare Craig @ClareCraigPath

Et voici un autre article de Craig :

« Si vous commencez à la semaine 22 et que vous additionnez tous les décès depuis pour chaque année, alors quelque chose de très anormal se produit cette année chez les garçons de 15 à 19 ans. »

Donc, non seulement plus de personnes meurent, mais la tendance s’est déplacée vers le bas de la pyramide, car des personnes de plus en plus jeunes sont attirées dans le vortex des vaccins. En d’autres termes, le nombre de jeunes gens qui meurent d’un arrêt cardiaque ou d’une myocardite provoqués par le vaccin continue d’augmenter sans qu’on puisse en voir la fin.

Il n’est pas surprenant que la mortalité, toutes causes confondues, soit plus élevée chez les vaccinés que chez les non-vaccinés, ce qui, là encore, permet de remonter plus facilement à la source du problème, à savoir un « vaccin mortel » cytotoxique qui supprime le système immunitaire inné, endommage les organes vitaux et raccourcit de plusieurs années la vie de personnes normales et en bonne santé.

Vous avez peut-être vu l’une des nombreuses vidéos de jeunes athlètes en pleine forme qui meurent soudainement sur le terrain de jeu ou sont hospitalisés d’urgence peu après avoir reçu une injection. Sinon, voici un lien vers deux d’entre elles. (Athlètes s’effondrant après une vaccination : voir ici et ici)

Selon Israeli Real-Time News, il y a eu une « augmentation de 500% des décès de joueurs en 2021… Depuis décembre, 183 athlètes professionnels et entraîneurs se sont soudainement effondrés ! 108 d’entre eux sont morts ! »

« Augmentation de 500% des décès » d’athlètes ? !? Que devons-nous penser de tout cela ?

Pour commencer, le vaccin Covid-19 n’est pas un médicament. Il est le composant essentiel du plan élitiste d’extermination à l’échelle industrielle. Il est conçu pour infliger des blessures physiques graves aux personnes qui le prennent. Il est choquant que les gens soient si profondément dans le déni qu’ils ne peuvent pas voir ce qui se passe sous leurs yeux. (S’il vous plaît, regardez les clips vidéo des athlètes. Ce sont les personnes les plus en forme de la planète et, pourtant, elles sont terrassées par la mystérieuse substance contenue dans le vaccin). Voici comment le médecin sud-africain Shankara Chetty résume la situation dans une vidéo récente publiée sur Bitchute :

L’agent pathogène qui cause tous les décès dus à la maladie est la protéine spike. Et la protéine spike est ce que le vaccin est censé produire dans votre corps. …La protéine spike est l’un des poisons les plus artificiels que l’homme ait jamais fabriqués. Et, le but de cette toxine, est de tuer des milliards de personnes sans que personne ne s’en aperçoive. C’est donc un poison qui a un but précis. 

(« Le médecin sud-africain Dr. Shankara Chetty parle du « Grand Plan », Bitchute)

Tout est dit en quelques mots. Et Chetty n’est pas le seul à établir un lien entre le vaccin et le programme des élites mondialistes qui prévoient d’utiliser la couverture d’une pandémie pour mettre en œuvre leur plan de « gestion de la population »L’ancien vice-président de Pfizer, Mike Yeadon, a exprimé un point de vue similaire il y a quelques jours sur son site Internet. Il a déclaré :

« Nous sommes au milieu du plus grand programme de dépeuplement que le monde ait jamais vu, où la majeure partie de l’humanité agit comme des idiots utiles à ce programme et à sa propre disparition. »

En effet, et nous avons pourtant essayé de fournir autant d’informations que possible sur l’agent biologique qui est utilisé pour poursuivre ce programme maléfique, la protéine spike. Dans nos premiers rapports, nous avons transmis les recherches du Dr Patrick Whelan, qui a compris le danger de la protéine spike avant tout le monde. Voici un bref résumé de son analyse tirée d’une lettre qu’il a soumise à la FDA le 8 décembre 2020 :

Je suis préoccupé par la possibilité que les nouveaux vaccins visant à créer une immunité contre la protéine spike du SRAS-CoV-2 aient le potentiel de causer des lésions microvasculaires au cerveau, au cœur, au foie et aux reins d’une manière qui ne semble pas actuellement être évaluée dans les essais de sécurité de ces médicaments potentiels.

… Meinhardt et al…. montrent que la protéine spike dans les cellules endothéliales du cerveau est associée à la formation de microthrombi (caillots)… En d’autres termes, les protéines virales semblent causer des dommages aux tissus sans que le virus ne se réplique activement… Le vaccin Pfizer/BioNTech (BNT162b2) est composé d’un ARNm qui produit une protéine spike complète ancrée dans la membrane. Les études sur les souris suggèrent qu’une forme non tronquée de la protéine S1 comme celle-ci peut provoquer une microvasculopathie dans les tissus qui expriment beaucoup le récepteur ACE2.

…il semble que la protéine virale spike… soit également l’un des principaux agents responsables des dommages causés aux organes distants qui peuvent inclure le cerveau, le cœur, les poumons et les reins. Avant que l’un de ces vaccins ne soit approuvé pour une utilisation généralisée chez l’homme, il est important d’évaluer chez les sujets vaccinés les effets de la vaccination sur le cœur… Aussi important qu’il soit d’arrêter rapidement la propagation du virus en immunisant la population, il serait bien pire que des centaines de millions de personnes subissent des dommages durables, voire permanents, à la microvasculature de leur cerveau ou de leur cœur, parce qu’on n’a pas su apprécier à court terme un effet involontaire des vaccins à base de protéine de pointe pleine longueur sur ces autres organes. »

(« La FDA ignore les avertissements sur la protéine Spike qui s’avère mortelle« , Truth in the Age of Covid)

Dès le début, les régulateurs gouvernementaux et leurs alliés de l’establishment de la santé publique ont ignoré (ou censuré) les avertissements de médecins et de chercheurs compétents. Ils ont également ignoré le Dr Byram Bridle, immunologiste et vaccinologue de carrière, qui a été le premier de sa profession à identifier la protéine spike comme « un agent causal spécifique de la maladie », autrement dit « un agent pathogène ». Voici ce que dit Bridle :

Nous savons depuis longtemps que la protéine spike est pathogène… C’est une toxine. Elle peut causer des dommages dans notre corps si elle est en circulation. Maintenant, nous avons des preuves claires et nettes que… le vaccin lui-même, plus la protéine, passe dans la circulation sanguine.

Une fois que cela se produit, la protéine spkike peut se combiner avec les récepteurs des plaquettes sanguines et avec les cellules qui tapissent nos vaisseaux sanguins. C’est pourquoi, paradoxalement, elle peut provoquer à la fois la coagulation du sang et des saignements. Et bien sûr, le cœur est impliqué, en tant que partie du système cardiovasculaire… C’est pourquoi nous voyons des problèmes cardiaques. La protéine peut également traverser la barrière hémato-encéphalique et causer des dommages neurologiques….

En bref,… nous avons fait une grosse erreur. Nous ne l’avions pas réalisé jusqu’à présent. Nous ne nous sommes pas rendu compte qu’en vaccinant les gens, nous leur inoculons par inadvertance une toxine »…

(« un spécialiste des vaccins : « Nous avons fait une grosse erreur » « , Conservative Woman)

Ici encore, nous avons un immunologiste très respecté, avec plus de trois décennies d’expérience à son actif, qui a offert ses recherches éclairées et fondées sur des preuves sur un sujet qui aurait dû être d’un grand intérêt pour les régulateurs qui prenaient des décisions sur la sécurité à long terme du médicament expérimental qu’ils imposaient à des millions de personnes à travers le pays. Mais il n’y a pas eu d’intérêt du tout. Malgré le fait que la science soutenait ses conclusions, Bridle a été vicieusement attaqué, censuré, traîné dans la boue et forcé de quitter son lieu de travail.

Pourquoi ?

Parce qu’il tirait les mêmes conclusions que le Dr Patrick Whelan. Il n’y a pas vraiment de différence de fond entre les deux, si ce n’est que les commentaires de Bridle ont attiré davantage l’attention des médias, ce qui a fait de lui une plus grande menace pour la stratégie de « vaccination universelle ». C’est là son véritable crime : il a découvert la vérité et mis ses conclusions à la disposition du public, l’avertissant ainsi des dangers de la « piqûre mortelle ». Pour cela, il a été écrasé.

Depuis, Bridle a fait d’autres déclarations qui devraient inquiéter toute personne dont le cancer est en rémission. Voici ce qu’il a dit lors d’une récente interview :

Ce que j’ai vu beaucoup trop souvent, ce sont des personnes dont le cancer était en rémission ou bien contrôlé, et dont le cancer est devenu complètement incontrôlable après avoir reçu ce vaccin. Et nous savons que le vaccin provoque une baisse du nombre de lymphocytes T, et ces lymphocytes T font partie de notre système immunitaire et font partie des armes essentielles dont dispose notre système immunitaire pour combattre les cellules cancéreuses ; il y a donc là un mécanisme potentiel. Tout ce que je peux dire, c’est que trop de personnes m’ont contacté avec ces rapports pour que je me sente à l’aise. Je dirais que c’est ma préoccupation majeure en matière de sécurité, et c’est aussi celle qui sera la moins signalée dans la base de données des effets indésirables, parce que si quelqu’un a eu un cancer avant le vaccin, il n’y a aucune chance que les responsables de la santé publique établissent un lien avec le vaccin.

(« Le Dr Byram Bridle parle », Bitchute, à 55’’)

Donc, le vaccin attaque le système immunitaire ?

Oui, c’est le cas, et l’auteur Alex Berenson en a apporté la preuve tout récemment dans un article qu’il a publié sur Substack. En voici un extrait :

… le gouvernement britannique…. a admis aujourd’hui, dans son dernier rapport de surveillance des vaccins, que :

« Les niveaux d’anticorps N semblent être plus faibles chez les personnes qui contractent l’infection après deux doses de vaccination. » (Page 23)

Qu’est-ce que cela signifie ?…

Ce que disent les Britanniques, c’est qu’ils découvrent maintenant que le vaccin interfère avec la capacité innée de votre corps, après l’infection, à produire des anticorps contre non seulement la protéine de pointe mais aussi d’autres parties du virus…

Cela signifie que les personnes vaccinées seront beaucoup plus vulnérables aux mutations de la protéine spike MÊME APRÈS AVOIR ÉTÉ INFECTÉES ET GUÉRIES UNE FOIS…

… c’est probablement une preuve supplémentaire que les vaccins peuvent interférer avec le développement d’une immunité robuste à long terme après l’infection. »

(« URGENT : Les vaccins Covid vous empêcheront d’acquérir une immunité complète MÊME SI VOUS ÊTES INFECTÉ ET GUÉRI », Alex Berenson, Substack)

Les observations de Berenson concordent avec les recherches compilées plus tôt dans l’année par des scientifiques des Pays-Bas et d’Allemagne qui :

….avertissent que le vaccin … (COVID-19) induit une reprogrammation complexe des réponses immunitaires innées qui devrait être prise en compte dans le développement et l’utilisation de vaccins à base d’ARNm… l’équipe de recherche du Radboud University Medical Center et de l’Erasmus MC aux Pays-Bas… a montré que le vaccin modifiait la production de cytokines inflammatoires par les cellules immunitaires innées après une stimulation par des stimuli spécifiques (SRAS-CoV-2) et non spécifiques.

Après la vaccination, les cellules immunitaires innées réagissaient moins aux récepteurs TLR4 (toll-like receptor 4), TLR7 et TLR8 – tous des ligands qui jouent un rôle important dans la réponse immunitaire à l’infection virale…. un domaine encore inexploré est de savoir si la vaccination BNT162b2 a des effets à long terme sur les réponses immunitaires innées …

« Cela pourrait être très pertinent dans la maladie COVID-19, dans laquelle une inflammation hors de contrôle joue un rôle important dans la pathogenèse et la gravité de la maladie », écrit l’équipe. « De multiples études ont montré que les réponses immunitaires innées à long terme peuvent être soit augmentées (immunité entraînée), soit régulées à la baisse (tolérance immunitaire innée) après certains vaccins ou infections. »

(« La recherche suggère que le vaccin COVID-19 de Pfizer-BioNTech reprogramme les réponses immunitaires innées« , new-medical-net)

Les conclusions de Berenson s’alignent également sur des recherches de pointe montrant que la protéine spike « entrave considérablement l’immunité adaptative » en empêchant l’ADN de réparer les cellules endommagées. L’article suggère que la protéine spike a en fait « un impact sur le noyau de la cellule, où nous stockons notre ADN, notre matériel génétique de base ». Voici un extrait de l’analyse de l’article par Berenson :

… nos cellules ont des mécanismes pour réparer leur propre ADN.

Mais – du moins dans les expériences menées par ces deux scientifiques – la protéine spike semble interférer avec nos propres protéines de réparation de l’ADN : « D’un point de vue mécanique, nous avons découvert que la protéine spike se localise dans le noyau et inhibe la réparation des lésions de l’ADN en empêchant le recrutement des protéines clés de réparation de l’ADN, BRCA1 et 53BP1, sur le site des lésions. »

Pour être clair, les scientifiques n’ont PAS prouvé que la protéine spike causait ces problèmes chez l’homme, ni même chez l’animal… Néanmoins, à une époque où les pays avancés qui ont des taux élevés de vaccination par ARNm (et ADN/AAV) voient des hôpitaux exceptionnellement pleins et des taux de mortalité supérieurs à la normale, ils constituent une cause supplémentaire d’inquiétude. Comme l’expliquent les auteurs :

« Nos résultats révèlent un mécanisme moléculaire potentiel par lequel la protéine spike pourrait entraver l’immunité adaptative et soulignent les effets secondaires potentiels des vaccins à base de spike entier. »

(« URGENT : Article inquiétant sur l’impact de la protéine spike sur l’ADN et sa réparation« , Alex Berenson, Substack)

Conclusion : Si le vaccin inhibe effectivement la réponse immunitaire innée de l’organisme, les gens seront beaucoup plus malades à cause des infections saisonnières qui se propagent régulièrement dans la population. Leur chemin vers la guérison sera également beaucoup plus difficile.

Mais plutôt que d’insister sur l’aspect immunitaire, passons aux recherches du Dr Charles Hoffe, qui a été le premier médecin à fournir des preuves tangibles que les vaccins provoquent la formation de caillots sanguins en déclenchant une réponse immunitaire dans laquelle l’organisme attaque la fine couche de cellules qui tapisse les parois des vaisseaux sanguins. Hoffe a constaté que 62 % de ses patients vaccinés présentaient des caillots sanguins lors du test D-dimère. Naturellement, il a été alarmé par ce qu’il a découvert, d’autant plus que le vaccin « provoquait de graves troubles neurologiques, voire la mortLorsqu’il a fait part de ses inquiétudes au BC College of Physicians, celui-ci a immédiatement imposé un bâillon et l’a réprimandé dans le but de l’intimider et de le réduire au silence ».

Hoffe a été interviewé à plusieurs reprises et fournit toujours un compte rendu détaillé et passionnant de ses découvertes. Lors d’une récente interview, il a prédit que certains vaccinés souffrant de problèmes de coagulation mourraient probablement d’ici trois ans. Voici ce qu’il a dit :

… une fois que vous bloquez un nombre important de vaisseaux sanguins vers vos poumons, votre cœur doit pomper à une pression beaucoup plus grande pour faire passer le sang dans vos poumons. Cela provoque une condition appelée hypertension artérielle pulmonaire, qui est une pression sanguine élevée dans vos poumons parce que de nombreux vaisseaux sanguins dans vos poumons sont bloqués. Ce qui est terrifiant, c’est que les personnes souffrant d’hypertension artérielle pulmonaire meurent généralement d’une insuffisance cardiaque au bout de trois ans… Et non seulement les perspectives à long terme sont très sombres, mais à chaque injection successive, les dommages s’ajoutent, s’ajoutent et s’ajoutent. Ce sera cumulatif parce que les capillaires seront de plus en plus endommagés. » 

(« Choc : un docteur avertit qu’une majorité de vaccines pourraient subir de permanents dommages cardiaques, certain pouvant mourir d’ici trois ans », Infowars ; Minute 6:10)

Une fois encore, il n’y a aucune divergence entre les analyses de Whelan, Bridle et Hoffe. Et si l’objet de leur attention peut varier légèrement, leurs conclusions sont les mêmes. Ces injections expérimentales présentent des risques sérieux pour quiconque se laisse inoculer.

Regardez maintenant à quel point l’analyse de Hoffe est similaire à celle du Dr Rochagne Kilian, qui était médecin aux urgences de l’hôpital GBHS jusqu’à ce qu’elle démissionne en signe de protestation. Cette vidéo est particulièrement importante car elle décrit les symptômes « bizarres » et les affections extrêmement rares qui se manifestent maintenant dans les salles d’urgence du monde entier à la suite de la vaccination massive de millions de personnes avec le « vaccin mortel ». (J’ai transcrit la vidéo moi-même, il peut donc y avoir des erreurs).

Dr Rochagné Kilian – Avertissement sur les vaccins Covid-19 et les taux de D-Dimère

Ce que j’ai vu dans mon service d’urgence, surtout au cours des 8 à 9 derniers mois, est lié aux taux de D-Dimères. Nous utilisons des D-Dimères spécifiquement liés aux embolies pulmonaires ainsi qu’aux thromboses veineuses profondes. Les D-Dimères détectent toute thrombose (caillots) dans le corps, mais ils ne donnent pas de diagnostic. Ils vous donnent une base pour aller plus loin et faire une échographie et un scanner pour confirmer ou infirmer la présence d’une embolie pulmonaire ou d’une thrombose veineuse profonde.

La première partie de l’année 2020 a probablement été la période la plus calme jamais enregistrée dans le service des urgences, mais lorsque nous sommes entrés dans l’année 2021 et que le déploiement de la vaccination a commencé, nous avons fini par constater une augmentation du nombre d’accidents vasculaires cérébraux, d’accidents ischémiques transitoires et de présentations similaires. (Il y avait) visiblement un nombre beaucoup plus important de ces personnes qui arrivaient. J’ai fini par faire des tests D-dimères sur ces personnes et jamais auparavant, dans mon expérience clinique, je n’avais vu des D-dimères et un nombre de personnes avec des D-dimères positifs supérieur à 2 000, supérieur à 3 000 et supérieur à 5 000. Mon expérience clinique me disait qu’il fallait rechercher un gros caillot dans les jambes ou les poumons. Et j’ai fini par faire un scanner sur ces personnes. La plupart d’entre eux, et je dirais même presque tous, ont eu des scans négatifs, ce qui m’a fait penser que s’il n’y avait pas de caillot important dans leurs poumons, mais que son D-dimère était tellement plus élevé que ce que je voyais habituellement, il se pouvait qu’il ne soit pas concentré dans un seul caillot. Mais qu’il s’agit de multiples micro-caillots répartis dans tout le corps, et qu’il est si facile de passer à côté parce que le scanner ne va pas le détecter.

Les personnes qui sont venues aux urgences étaient toutes des personnes qui avaient reçu leur deuxième injection entre une semaine et quatre mois avant. Certains facteurs peuvent influencer le test des D-dimères et vous donner l’impression que le taux est plus élevé que ce qui est attendu dans l’organisme. Cela dit, les patients sur lesquels j’ai effectué des tests de D-Dimères n’avaient pas un niveau positif de 500 ou 400. C’était plus de 3500, plus de 5000 ng/ml. Ce sont donc des résultats significativement positifs sans aucune preuve de la présence d’une embolie pulmonaire. Si je voyais des taux élevés de D-dimères sans diagnostic précis, je devais poser plus de questions.

Une étude a dit de ne jamais ignorer des taux de D-dimères extrêmement élevés. Ils sont spécifiques d’une maladie grave, notamment une thrombose veineuse, une septicémie et/ou un cancer. Même si un taux de D-dimères très élevé est un résultat apparemment solitaire, il faut maintenir la suspicion clinique d’une maladie sous-jacente grave.

Deux conditions se sont distinguées, la première étant la coagulation intravasculaire disséminée, également connue sous le nom de CIVD. La seconde est le syndrome des antiphospholipides. Ces deux pathologies sont liées à une anomalie dans l’initiation ou la rétroaction de la voie de la coagulation, ainsi qu’à la thrombose ou au cycle de la thrombose où les caillots sont décomposés. La CIVD est une situation grave, parfois mortelle, dans laquelle les protéines du sang impliquées dans la coagulation deviennent hyperactives. C’est une cascade qu’il est difficile d’arrêter une fois qu’elle a atteint un certain niveau. Certaines conditions déclenchent la CIVD : une septicémie importante, des virus sous-jacents, un traumatisme, une chirurgie majeure, une grossesse et un accouchement. Et des causes moins courantes : réaction à un médicament toxique, réaction à une transfusion sanguine et transplantation d’organes. Il y avait donc un lien entre les produits intravasculaires et une possible CIVD.

La plupart des cas de CIVD sont diagnostiqués rapidement et soudainement, ce qui correspond à une phase aiguë. Mais il y a des cas où elle se développe progressivement, sur une plus longue période de temps. C’est ce que l’on appelle une forme chronique de CIVD et je dirais même une forme subaiguë de CIVD qui est très facile à manquer. La CIVD chronique peut entraîner une coagulation et une hémorragie simultanées. Les saignements se manifestent par la présence de sang dans les urines, des maux de tête et d’autres symptômes associés aux hémorragies cérébrales, des ecchymoses, une inflammation des rougeurs, des petits points sur les membres, des saignements au niveau des plaies et des saignements des muqueuses, c’est-à-dire des saignements des gencives et du nez. J’ai certainement constaté une augmentation des saignements de nez et des saignements aux sites de blessures antérieures. ulcères, ainsi que des éruptions cutanées inexplicables. Les symptômes et les signes de coagulation du sang étaient des symptômes comme des douleurs thoraciques, des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, des AIT et des maux de tête liés ou non à des saignements. Ainsi que des symptômes liés à l’insuffisance rénale, en raison de la coagulation des petits vaisseaux sanguins qui vont aux reins. Le syndrome des antiphosphlipides est un type d’affection très similaire. Mais la base du syndrome des antiphosphlipides est un trouble auto-immune, ce qui signifie que le système immunitaire de l’organisme fabrique des protéines – appelées anticorps – qui attaquent par erreur son propre corps ou ses propres tissus. Cela donne à la peau l’effet en cascade du trouble de la coagulation, mais il est lié à un déclencheur auto-immune. En fait, il se présente exactement de la même manière : hypertension artérielle, dont je voyais beaucoup de cas ; premier diagnostic d’hypertension artérielle, crises cardiaques, accidents vasculaires cérébraux, accidents cérébrovasculaires transitoires, problèmes de valves cardiaques, maux de tête ou migraines répétés, perte de vision, problèmes d’équilibre et de mobilité, difficultés à se concentrer ou à penser clairement.

L’auditeur avisé doit commencer à se faire une idée de ce qu’on nous a dit sur le Covid-19, et il existe des articles de recherche reliant le Covid-19 à une maladie vasculaire sous-jacente. L’un d’entre eux est une étude intitulée « Covid 19 ; exposer la progression clinique de l’arme biologique virtuellement parfaite ».

Le SRAS-Cov-2, se présentant comme le syndrome Covid-19, n’a pas une base respiratoire, mais une base vasculaire sous-jacente. qui a certaines phases d’incubation, la phase pulmonaire, la phase pro inflammatoire, (qui une fois de plus entre dans un processus d’inflammation cytotoxique) puis se déplace dans une phase protothrombotique. La Covid-19 est une maladie thrombotique. implications pour la prévention, la thérapie antithrombotique et le suivi……

Cette image nous montre certains facteurs de risque, des anomalies homéostatiques, ainsi que des résultats cliniques. Il indique une augmentation du taux de D-dimères. Il mentionne également la thromboembolie veineuse, l’infarctus du myocarde et la coagulation intravasculaire disséminée qui est liée à des mécanismes postulés de coagulopathie ainsi qu’à la parthénogenèse de la thrombose dans Covid-19…

J’ai commencé à me poser la question suivante : si nous sommes capables de détecter certaines connexions entre les anomalies vasculaires et le Covid-19, et que nous avons basé le traitement proposé sur la protéine spike, ce qui inclut les injections de Pfizer et Moderna, ne devrions-nous pas rechercher des effets secondaires ou des complications similaires de cette même injection ?

Si nous imposons certains traitements, nous devons faire preuve de diligence raisonnable pour nous assurer des effets secondaires et des complications, surtout à une époque où il n’y a pas eu d’études à long terme. Et c’est ce qui m’a amené à me concentrer sur les D-dimères.

(« Le Dr Rochagné Kilian lance l’alerte sur les vaccins Covid et les D-Dimères », Bitchute)

La déclaration de Kilian doit être lue et relue. C’est la description la plus détaillée que nous ayons des machinations mystérieuses et profondément sinistres d’une arme biologique fabriquée en laboratoire qui, en fait, retourne les systèmes vasculaire et immunitaire contre la personne qui a été vaccinée. La coagulation intravasculaire disséminée et le syndrome des antiphosphlipides sont des noms qui sont totalement inconnus des Américains, et pourtant, ces conditions étranges sont maintenant responsables d’un nombre croissant de patients qui souffrent de saignements, de coagulation, de maux de tête, d’éruptions cutanées, d’hématomes, d’hypertension et d’inflammation. Et, dans les cas les plus extrêmes, des douleurs thoraciques, des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, des problèmes de valvules cardiaques et des hémorragies cérébrales. On ne peut que deviner comment les médias vont tenter de dissimuler ces affections extraordinairement rares et potentiellement mortelles ?

Quand Kilian demande :

« Si nous sommes capables de détecter certains liens entre les anomalies vasculaires et Covid-19… ne devrions-nous pas rechercher des effets secondaires ou des complications similaires de cette même injection ? »

Bingo ! Si la protéine spike produite par les vaccins inflige les mêmes dommages internes que le Covid-19, les médecins ne devraient-ils pas s’attendre à voir les mêmes symptômes ?

Oui, ils devraient. Et si les symptômes sont les mêmes, alors il y a de fortes chances que les dommages induits par les vaccins soient diagnostiqués à tort comme étant du Covid-19.

Pensez-y une minute. Ce serait le scénario parfait pour les gestionnaires de la pandémie et leurs bailleurs de fonds milliardaires qui aimeraient voir le carnage imminent imputé au virus en déclin plutôt qu’à leur propre vaccin mortel.

Et c’est là tout le génie maléfique de la stratégie mondialiste : effacer les empreintes digitales du pistolet encore fumant avant même que les enquêteurs n’arrivent sur la scène du crime.

[Le « Variant Delta » traduit en fait les « Effets secondaires du vaccin »]

La quantité de planification qui a dû être mise en œuvre dans cette escroquerie est tout simplement stupéfiante.

Mike Whitney

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone




La liberté d’information à l’épreuve d’une commission ? Arnaud Dimeglio au Défi de la vérité

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Arnaud Dimeglio a relevé le défi ! Avocat au barreau de Montpellier, spécialisé dans les nouvelles technologies, le droit de la communication et le droit de la propriété intellectuelle, ce docteur en droit, avocat de FranceSoir par ailleurs, revient sur l’actualité crispée autour des questions de vérité et de désinformations médiatiques et institutionnelles, plus particulièrement sur la mise en place de la commission Bronner du nom du sociologue Gérald Bronner.

Cette commission intitulée : « Les Lumières à l’ère du numérique » qui prétend lutter contre la désinformation et le complotisme, a inspiré un article dans lequel Arnaud Dimeglio a exposé ses réserves : les risques de la commission Bronner. Il y fustige une commission obscure (malgré son intitulé), censée lutter contre les diffuseurs de haine et de la désinformation, des notions vagues et floues juridiquement, et en liste les contradictions et zones d’ombre.



Pour contrer l’imprécision, il revient sur la définition que le droit français propose de la désinformation dans la loi de 1881 : délit de fausses nouvelles, de mauvaise foi, qui trouble la paix publique… Il évoque aussi la loi de 2018 : si elle complète et prévoit que les « fausses informations » doivent être sanctionnées, elle ne permet pas d’établir qu’une information contraire à la vérité « officielle » du pouvoir en place constituerait pour autant une « fausse information ».

C’est pourtant une définition qu’a donnée Gérald Bronner : serait théorie du complot toute théorie remettant en question la vérité officielle… Une déclaration choquante et dangereuse qui a soulevé l’indignation générale.

Pour lutter contre ces dérives, Arnaud Dimeglio propose de revenir aux définitions, et à la liberté d’expression, qui permet de diffuser des idées minoritaires qui ne font pas (…ou pas encore) consensus. Prenant l’exemple des effets secondaires du vaccin, et de ce qu’il est possible d’en écrire pour ne pas enfreindre la loi, il revient sur les fondements possibles.

Une réflexion sur les Gafam (Google, Apple, Facebook…) qui suppriment tous les contenus qui seraient contraires aux « consensus » de l’OMS et des autorités locales, tandis que la Cour européenne des droits de l’homme affirme qu’il faut admettre les idées minoritaires et non pas les informations largement admises, en matière de santé. La suppression de ces contenus est d’autant plus choquante que le consensus est mouvant et qu’une information considérée comme fausse un jour peut se révéler juste ou plausible quelques mois plus tard. Des géants du numérique, réseaux sociaux et autres plateformes, qui jouent un double jeu, entre leur rôle d’hébergeur et celui d’éditeur, souligne Arnaud Dimeglio – voire de juge ? 

L’avocat montpelliérain regrette enfin la proximité des médias et du pouvoir et invite, dès lors que la presse est le « quatrième pouvoir », à s’inspirer de la séparation des pouvoirs telle que Montesquieu l’avait pensée, et revient enfin sur les polémiques autour du rôle médiatique de médecins dans cette crise sanitaire.

Auteur(s): FranceSoir




Le centre hospitalier de Cholet lance une étude sur les effets indésirables du vaccin dans les départements des Pays-de-la Loire

[Source : lemediaen442.fr]

Le 27 mars 2018, le CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques) du centre hospitalier de Cholet a annoncé la mise en place de « Consultations effets indésirables médicamenteux et pharmacovigilance ». Cette information a été diffusée, y compris par voie de presse comme le montre cet article d’Ouest-France en date du 4 avril 2018.


Depuis quelques mois, le CTIAP est sollicité dans le cadre des effets indésirables présumés liés aux vaccins contre la Covid-19. Le CTIAP a répondu à ces attentes en mettant à disposition des professionnels de santé et du public notamment plusieurs analyses concernant le rapport bénéfice/risque de ces médicaments qui ont bénéficié d’une autorisation de mise sur le marché (AMM) européenne, centralisée, qualifiée de « conditionnelle ».

Récemment, le CTIAP a reçu une demande émanant de professionnels de santé dont des médecins, de juristes, de citoyens. Cette demande souhaite la mise en place d’une étude dans la région des Pays-de-la-Loire (départements 44, 49, 53, 72, 85) dont l’objectif vise « dans une population donnée (Pays de Loire) » à « avoir un aperçu des effets potentiels indésirables au décours de la vaccination contre la Covid-19, d’avoir aussi une idée des pathologies émergentes » notamment. Cette étude concerne « toutes les personnes de la région des Pays de Loire qui ont eu des effets indésirables plus ou moins marqués voire graves, suite aux vaccins contre la Covid-19 ». Cette demande précise : « En outre, nous observons un certain nombre de personnes qui décompensent une ou plusieurs de leurs maladies qu’ils ont eues ou en état dit « peu bruyant » au décours de la vaccination Covid-19. Cela pourrait être éventuellement des effets indésirables à considérer. C’est en signalant le maximum de ces situations que nous aurons (…) des réponses à cette hypothèse ».

Le CTIAP a donc accepté d’apporter son aide en coordonnant cette étude. Il propose les actions suivantes :

–    Assurer le lien entre les déclarants et les centres régionaux de pharmacovigilance (CRPV) territorialement compétents : en réceptionnant les déclarations effectuées dans la fiche simplifiée (ci-dessous proposée et qui assure l’anonymat pour les patients), et en transmettant ces notifications audits CRPV ;

–    Faire un bilan de façon régulière sur ces notifications effectuées en pharmacovigilance.

Les déclarants ont également le choix d’envoyer leurs signalements directement aux CRPV concernés avant de nous adresser une copie de cette déclaration.

Toute personne souhaitant participer à cette étude est donc invitée à remplir la fiche simplifiée (voir ici) et à la transmettre au CTIAP par voie postale ou par e-mail aux adresses indiquées :

Adresse postale :

Docteur Amine UMLIL, unité Pharmacovigilance/CTIAP/Coordination des vigilances sanitaires

Centre hospitalier de Cholet ; 1, rue Marengo ; 49325 CHOLET Cedex

Adresse E-mail : ctiap@ch-cholet.fr

Fiche simplifiée de signalement en pharmacovigilance

Cliquez ici pour : Formulaire (3 pages) à imprimer et à remplir avant envoi (version imprimable en pièce jointe)




Monde. Une occasion cruciale d’interdire les robots tueurs – tant que cela est encore possible

[Source : Amnesty International]

Amnesty International et la campagne Stop Killer Robots dévoilent mardi 2 novembre un filtre pour réseaux sociaux donnant un aperçu terrifiant du futur de la guerre, du maintien de l’ordre et du contrôle aux frontières. Escape the Scan, un filtre destiné à Instagram et Facebook, fait partie d’une grande campagne en faveur d’une nouvelle législation internationale visant à interdire les systèmes d’armement autonomes. Il utilise la technologie de la réalité augmentée afin de montrer certains aspects de systèmes d’armement déjà en développement, tels que la reconnaissance faciale, les capteurs de déplacement, et d’autres dispositifs ayant la capacité de lancer des attaques contre des « cibles » sans véritable contrôle humain.

Plusieurs pays sont très investis dans le développement des armes autonomes, malgré les implications dévastatrices pour les droits humains que comporte le transfert à des machines de la responsabilité du recours à la force. En décembre, un groupe d’experts des Nations unies doit se réunir afin de déterminer s’il est opportun de négocier une nouvelle législation internationale relative à l’autonomie des systèmes d’armement. Amnesty International et Stop Killer Robots ont lancé une pétition demandant à tous les gouvernements d’exprimer leur soutien en faveur de négociations.

Nous basculons dans un scénario de cauchemar, un monde où des drones et d’autres armes avancées peuvent sélectionner et attaquer des cibles sans aucun contrôle humain

Verity Coyle, Amnesty International

« Nous basculons dans un scénario de cauchemar, un monde où des drones et d’autres armes avancées peuvent sélectionner et attaquer des cibles sans aucun contrôle humain. Ce filtre est conçu pour donner aux utilisateurs une idée de ce que les robots tueurs seraient bientôt capables de faire, et montrer pourquoi nous devons agir de toute urgence afin que les humains gardent le contrôle du recours à la force », a déclaré Verity Coyle, conseillère principale sur les équipements militaires, de sécurité et de police pour Amnesty International.

« Permettre à des machines de trancher des questions de vie ou de mort constitue une atteinte à la dignité humaine, et risque en outre de causer des violations dévastatrices des lois de la guerre et des droits humains. Cela exacerbera par ailleurs la déshumanisation de la société sur l’espace numérique, qui réduit les personnes à des points de données à traiter. Il nous faut un traité international robuste et juridiquement contraignant afin de faire cesser la prolifération des robots tueurs – avant qu’il ne soit trop tard. »

Escape the Scan sera disponible à compter du 2 novembre sur les comptes Instagram et Facebook de Stop Killer Robots. 

Une version grand format du filtre sera visible dans le cadre d’une expérience interactive à Westfield Stratford City – un des plus grands centres commerciaux d’Europe -, à Londres, pendant deux semaines à compter du 2 novembre.

We have had a decade of talks on autonomous weapons at the United Nations, but these are being blocked by the same states that are developing the weapons

Ousman Noor, Stop Killer Robots

Il est temps de fixer des limites

« Cela fait une décennie que l’on parle des armes autonomes aux Nations unies, mais ces discussions sont bloquées par les pays qui développent actuellement ces armes », a déclaré Ousman Noor, de la campagne Stop Killer Robots.

« Le secrétaire général des Nations unies, le Comité international de la Croix-Rouge, des prix Nobel, des milliers de scientifiques, de spécialistes de la robotique et de professionnel·le·s des technologies demandent un traité ayant force de loi afin d’empêcher que ces armes ne deviennent réalité. Les gouvernements doivent fixer des limites face à des machines capables de choisir de tuer. »

Le 2 décembre 2021, le Groupe d’experts gouvernementaux des parties à la Convention sur certaines armes classiques entamera des discussions cruciales, afin de déterminer s’il convient d’ouvrir des négociations sur un nouveau traité pour lutter contre la menace posée par des robots tueurs. Pour l’instant, 66 États ont appelé de leurs vœux un nouveau cadre juridiquement contraignant sur l’autonomie des systèmes d’armements. Les avancées sur ce terrain ont cependant été bloquées par un petit nombre d’États puissants, notamment la Russie, Israël et les États-Unis, qui considèrent que la création d’une nouvelle législation internationale est prématurée.

Quel est le problème ?

Le remplacement de soldat·e·s par des machines rendra la décision de partir en guerre plus facile. Par ailleurs, les machines ne peuvent pas effectuer de choix complexes sur le plan éthique dans des contextes imprévisibles comme les champs de bataille ou des scénarios du monde réel ; rien ne saurait remplacer une prise de décision humaine. Nous avons déjà vu que les technologies telles que la reconnaissance faciale, vocale, des émotions et de la démarche ont des difficultés à identifier les femmes, les personnes de couleur et les personnes présentant des handicaps ; et aussi qu’elles causent d’immenses torts aux droits humains lorsqu’elles « fonctionnent ». Employer ces technologies sur les champs de bataille, dans le domaine de l’application des lois ou de contrôle aux frontières, serait désastreux.

Malgré ces inquiétudes, des pays comme les États-Unis, la Chine, Israël, la Corée du Sud, la Russie, l’Australie, l’Inde, la Turquie et le Royaume-Uni effectuent de lourds investissements dans le développement de systèmes autonomes. Le Royaume-Uni développe par exemple actuellement un drone capable de voler en mode autonome et d’identifier une cible dans une zone programmée. La Chine est en train de créer de petits « essaims » de drones qui pourraient être programmés pour attaquer la moindre créature ayant une température corporelle, tandis que la Russie construit un tank robot sur lequel peuvent être fixés une mitrailleuse ou un lance-grenade.


Stop Killer Robots est une coalition mondiale de plus de 180 ONG internationales, régionales et nationales, et partenaires universitaires travaillant à travers 66 pays afin de garantir que les humains maintiennent un véritable contrôle du recours à la force, par le biais d’une nouvelle législation internationale. Amnesty International est une des neuf organisations faisant partie du comité directeur de cette coalition.




Les Québécois en route vers une identité numérique par reconnaissance biométrique

[Source : Le Soleil – Québec]

Par OLIVIER BOSSÉ

Avec un nouveau ministère en bonne et due forme de la Cybersécurité et du Numérique, le gouvernement Legault veut doter les Québécois d’une identité numérique d’ici juin. À terme, on parlera même d’une identification biométrique de l’individu par empreinte digitale, reconnaissance faciale ou imagerie de l’iris de l’œil, par exemple.

Mais la mission première que se donne le futur ministre de la Cybersécurité et du Numérique, Éric Caire, quand son projet de loi 6 déposé jeudi matin à l’Assemblée nationale deviendra une véritable loi, sera de réunir sous un même toit, virtuel, toutes les ressources en cybersécurité réparties à travers les ministères, organismes publics, sociétés d’État et réseaux publics du Québec.

«Avec l’accélération de la transformation numérique, les cybermenaces ont suivi dans les mêmes proportions. Donc, aujourd’hui, nous sommes plus attaqués que jamais. Nous sommes sous le coup de cybermenaces comme jamais», a prévenu M. Caire, en conférence de presse.

Selon lui, la création d’un tel ministère à part entière constitue une première en Amérique du Nord, assurément, et peut-être même dans le monde.

Le futur ministère mènera, en parallèle, un resserrement de protection des données numériques utilisées et détenues par les divers ministères, organismes gouvernementaux et réseaux publics, mais aussi leur élaboration et leur partage entre les différents bras de l’appareil étatique.

« Malgré des investissements de 4 milliards $, malgré un PQI [programme québécois des infrastructures] de 7 milliards $, malgré le fait qu’il y ait 18 000 ressources qui travaillent en technologies de l’information au gouvernement du Québec et qu’on embauche 4000 consultants, force est d’admettre que le niveau de transformation numérique, auquel on est rendu, est loin d’être satisfaisant. »

Éric Caire

«Trop souvent, nos concitoyens sont transformés en commis de l’État», déplore-t-il. Il donne un exemple simple. «L’école va demander les derniers bulletins. Donc, le ministère de l’Éducation demande aux parents de lui fournir un document qui est fourni par le ministère de l’Éducation. Que le ministère de l’Éducation se parle, s’il vous plaît! Laissez les parents tranquilles!»

Le ministre évoque juin 2022 pour la mise en place de l’identification et l’authentification numérique des personnes.

M. Caire parle aussi d’un éventuel portefeuille numérique, dont il recevra le «dossier d’affaires» en novembre. Permis de conduire et carte d’assurance maladie numériques, mais aussi carte de débit, carte de crédit, preuve d’assurance et une panoplie de documents non gouvernementaux qui viendront s’ajouter. Le tout inclus dans votre téléphone cellulaire, glissé dans votre poche.

Éventuellement, ce portefeuille numérique pourra authentifier son propriétaire grâce à des données biométriques, comme la reconnaissance faciale ou l’empreinte digitale, ce que font déjà plusieurs téléphones, à échelle individuelle.

«On met en place les infrastructures pour être capables de le faire, mais après ça, vous comprendrez qu’il y a une question d’acceptabilité sociale. Et aussi il faut assurer une transition. Il y a des gens qui vont vouloir continuer de travailler avec leur carte d’assurance maladie, avec leur permis de conduire papier. Il faut intégrer ça. Donc, il y a une période de transition», a expliqué le ministre Caire.

Jusqu’ici, M. Caire est ministre délégué à la Transformation numérique gouvernementale et ministre responsable de l’Accès à l’information et de la Protection des renseignements personnels. Il deviendra ministre en titre.

Quelque 1970 employés seront rassemblés au sein de cette nouvelle entité, qui deviendra le 22e ministère à part entière de l’État québécois. À titre comparatif, en mars 2020, le ministère des Finances du Québec employait de 544 personnes, le ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, 1340, le ministère de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, 1751, le ministère de la Justice, 2400, et le ministère de la Sécurité publique, 5306.




Le chef de l’OMS a-t-il été un des acteurs-clés qui se seraient livrés à « des meurtres » et auraient autorisé « la détention arbitraire et la torture d’Éthiopiens »? La plainte qui le discrédite

[Source : lilianeheldkhawam.com]

Par Liliane Held-Khawam



L’économiste américain David Steinman, qui a été nominé pour le prix Nobel de la paix en 2019, a déposé une plainte auprès de la CPI, exigeant des poursuites contre le chef de l’OMS.

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Les gouvernements du monde soutiennent l’OMS de Tedros Adhanom Ghebryssus (TAG). Plus que cela, il y a consensus pour transférer à l’organisation supranationale la gouvernance mondiale en matière de santé publique.(([1] L’OMS veut l’Autorité absolue en matière de Santé Publique Mondiale. Alain Berset en fer de lance.))

Nous avons vu récemment qu’une Académie avait vu le jour sous l’impulsion du gouvernement français. Un Accord-cadre avait déjà été signé avant la crise du Covid, soit en décembre 2019. Le document français porte la signature de Mme Agnès Buzyn qui en est depuis septembre 2021 la patronne fondatrice.(([2] Le troublant Accord signé par la France en décembre 2019 confirme le pouvoir mondial de l’OMS. Fin probable de l’hôpital public…))

Ce message fait suite à celui publié mardi soir par le dirigeant français sur son compte Twitter officiel appelant à « construire, autour de l’OMS, une initiative forte sur les diagnostics, les traitements et les vaccins accessibles à tous ».(([3] https://www.20minutes.fr/monde/2762671-20200417-coronavirus-patron-oms-remercie-macron-leadership-reponse-internationale-pandemie))

Cependant, l’OMS est aussi le lieu du lobbying actif de tout ce que la terre compte comme « philanthropes » et lobbyistes. Pour faire simple, en d’autres temps, ces accointances publiques-privées auraient été qualifiées de corruptions et de conflits d’intérêt. D’autres temps, d’autres moeurs…(([4] Bill Gates: la philanthropie dans le circuit fermé du grand business. Le Média.
L’argent des Gates infiltre notre environnement.
La haute finance prend le contrôle de votre santé.))

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Dans les faits, plus les gouvernants des Etats sponsorisent et cautionnent l’OMS financiarisée, et plus les tenants du marché financier global sont renforcés et légitimés pour pénétrer la sphère publique et l’influencer. Dès le début de l’épidémie, la Fondation Bill & Melinda Gates a appelé mercredi 15 avril « à un effort mondial pour fabriquer un vaccin ».

« Il y a sept milliards de gens sur la planète et nous devrons vacciner pratiquement tout le monde, mais nous n’avons pas les capacités de production », a ajouté Mark Suzman, le directeur général de la fondation. Les gouvernements devraient selon lui « unifier leurs efforts et leur argent » pour que les vaccins soient accessibles au plus grand nombre, une campagne mondiale qui devrait coûter « plusieurs milliards de dollars »(([5] https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/coronavirus-l-oms-la-fondation-223461))

Et voici une dame qui siège simultanément chez Pfizer ET à la Fondation Gates. Ca vous pose problème?

Eh bien oui. Problème il y a. Nous ne parlons plus à ce stade de se faire piquer les avoirs bancaires ou de se faire refiler leurs casseroles. Là nous parlons de la conception que les financiers ont du corps humain de la masse de l’humanité qu’ils considèrent comme des inutiles. Les rapports multiples provenant de scientifiques honnêtes convergent vers des questionnements lourds et urgents quant à la nature et à l’ampleur des conséquences résultant des injections expérimentales imposées à l’humanité.

En ce moment, il est question entre autres de surmortalité « toutes causes confondues » qu’aucun politique ne cherche à étudier. Pire la censure continue de frapper ce genre d’informations.



Nous parlons de surmortalité. Cela signifie qu’une quantité importante de gens meurent sans qu’aucune enquête ne soit diligentée par les autorités des différents pays.

Et de me souvenir de cet échange entre Harari et un journaliste. Celui-ci demande:

Quelle sera l’utilité des humains dans un tel monde ? Que ferons-nous de milliards d’humain sans valeur économique ?

Nous ne savons pas. Nous n’avons pas de modèle économique pour une telle situation. Ce pourrait bien être la plus grande question économique et politique du XXIème siècle.

https://lilianeheldkhawam.com/2016/03/30/la-reorganisation-du-monde-confirmee-par-deux-entretiens-liliane-held-khawam/

Et si l’impensable était en train de se produire à l’instant même où j’écris ces quelques lignes? A-t-on autorisé/obligé les responsables de la Santé publique de fermer les yeux sur les chiffres de surmortalité? Se pourrait-il que cela soit la solution à la grande question économique qui ne trouvait pas de réponse.

Et pour les autres? Souvenez-vous que nous sommes très concernés sur ce site par la question du transhumanisme. Or, manifestement, les scientifiques honnêtes sont en train de mettre au jour de drôles de « choses » présentes dans les produits injectés et qu’ils ne savent nommer. Ces découvertes tournent autour de nos publications sur le sujet.(([6] Qu’y a-t-il d’autre que de l’ARN messager dans le vaccin? Les nanoparticules peuvent s’auto-assembler. L’argent anglo-saxon développe la technologie nécessaire au transhumanisme… en Chine.))

En voici une de plus dont les filaments ressemblent furieusement à ce que les scientifiques découvrent dans les produits dont on bombarde l’humanité.



Plongée dans mes interrogations, je me suis retrouvée très concernée par l’information qui titre: » Un candidat au prix Nobel de la paix accuse le chef de l’OMS, Tedros Ghebreyseus, d’avoir aidé au génocide en Éthiopie « . Fâcheux tout de même!

Je vous ai mis l’article en question avec la traduction automatique de google.Voir aussi la vidéo.

Dernière information et non des moindres: Tedros Ghebreyseus avait nommé à son arrivée à l’OMS… Robert Mugabe comme ambassadeur de bonne volonté! Grotesque!

Il dut le démettre quelques jours plus tard… Il faut dire que 2 ans avant qu’il ne le nomme, Mugabe faisait parler de lui au sujet d’un génocide. Le Guardian nous explique en 2015 que: A partir de janvier 1983, une campagne de terreur a été menée contre le peuple Ndebele au Matabeleland, dans l’ouest du Zimbabwe. Les soi-disant massacres de Gukurahundi restent la période la plus sombre de l’histoire post-indépendance du pays, lorsque plus de 20 000 civils ont été tués par la redoutable cinquième brigade de Robert Mugabe.(([9] https://www.theguardian.com/world/2015/may/19/mugabe-zimbabwe-gukurahundi-massacre-matabeleland))

Je vous laisse prendre connaissance de ce qui suit. Je me permets de rappeler qu’une rencontre aura lieu le 29 novembre (au lendemain de la votation suisse sur le pass) au cours de laquelle le monsieur mis en accusation pourrait devenir l’homme fort de la santé publique mondiale.

Un candidat au prix Nobel de la paix accuse le chef de l’OMS, Tedros Ghebreyseus, d’avoir aidé au génocide en Éthiopie

L’économiste américain David Steinman, qui a été nominé pour le prix Nobel de la paix en 2019, a déposé une plainte auprès de la CPI, exigeant des poursuites contre le chef de l’OMS.

Par Krishnendu Banerjee 15 décembre 2020(([11] https://www.ibtimes.sg/nobel-peace-prize-nominee-accuses-who-chief-tedros-ghebreyseus-aiding-genocide-ethiopia-54207))

Le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Tedros Adhanom Ghebreyesus, a connu une année difficile. Pendant ce temps, l’Éthiopien devait non seulement coordonner une riposte mondiale à la pandémie, mais était constamment sous les projecteurs des médias. Il a été accusé d’être une « marionnette » de la Chine tandis que son incapacité à accepter l’échec du pays asiatique à gérer les premiers jours de la pandémie de COVID-19 a également nui à son image. Aujourd’hui, un candidat au prix Nobel de la paix l’a accusé d’avoir aidé au génocide en Éthiopie et a exigé des poursuites.

Selon l’économiste américain David Steinman, nominé pour le prix Nobel de la paix en 2019, Ghebreyesus était l’un des trois responsables en charge des services de sécurité éthiopiens entre 2013 et 2015. Durant cette période, son parti Tigray People’s Liberation Front était le principal membre. de la coalition au pouvoir. Steinman a déclaré que Ghebreyesus était un « décideur crucial en ce qui concerne les actions des services de sécurité qui comprenaient le meurtre, la détention arbitraire et la torture d’Éthiopiens ».

Les revendications de Steinman

Avant de devenir le premier Africain à occuper le poste le plus élevé de l’OMS, Ghebreyesus a été ministre éthiopien de la Santé entre 2005 et 2012, puis ministre des Affaires étrangères entre 2012 et 2016. Pendant ce temps, des manifestations à grande échelle ont balayé les régions d’Oromia et d’Amhara.

Tedros Adhanom Ghebreyesus
Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS, a été accusé d’avoir aidé au génocide en Éthiopie Wikimedia Commons

Le gouvernement éthiopien a été accusé de ne pas maintenir le contrôle de ses forces de sécurité et de la police locale. Selon un rapport du gouvernement américain de 2016 sur les pratiques en matière de droits humains en Éthiopie, « les autorités civiles n’ont parfois pas maintenu le contrôle sur les forces de sécurité, et la police locale dans les zones rurales et les milices locales ont parfois agi de manière indépendante ».

Même un rapport de Human Rights Watch a accusé le gouvernement, dont Ghebreyesus faisait partie, d’avoir réprimé les manifestants pacifiques, entraînant plus de 500 morts. En dehors de cela, les deux rapports ont cité des crimes systémiques contre l’humanité et la corruption par le gouvernement. Steinman, se référant aux deux rapports, a déclaré que Ghebreyesus avait supervisé « tuer et causer des dommages corporels et mentaux graves aux membres des tribus Amhara, Konso, Oromo et Somali avec l’intention de détruire ces tribus en tout ou en partie », a rapporté le Times . .

Steinman a passé 27 ans en Éthiopie et a co-planifié la résistance civile du pays et la campagne électorale en 2005. Il a été le principal conseiller étranger du mouvement démocratique éthiopien jusqu’en 2018. Pendant son séjour, il a été témoin de la montée de Ghebreyesus en tant que personnalité politique. L’économiste a maintenant déposé une plainte auprès de la Cour pénale internationale (CPI) à La Haye, appelant à la poursuite du chef de l’OMS pour génocide. Dans sa plainte, Steinman a ajouté que Ghebreyesus était impliqué dans « l’intimidation des candidats et des partisans de l’opposition », qui comprenait « une arrestation arbitraire et une longue détention provisoire ».

Éthiopie proteste
Le gouvernement central éthiopien dont faisait partie le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus accusé d’une violente répression des manifestations pacifiques de 2015-16 ayant fait plus de 500 morts
(image représentative) Pixabay

La voix anti-Ghebreyesus grandit

Cependant, ce n’est pas la première fois que Ghebreyesus est critiqué. L’administration Trump l’avait précédemment accusé de se ranger du côté de Pékin et de réprimer l’échec de la Chine dans la gestion du coronavirus qui a fait plus de 1,5 million de morts et une récession mondiale en raison des blocages à l’échelle nationale.

Récemment, le chef de l’armée éthiopienne, le général Berhanu Jula, a également accusé Ghebreyesus de fournir des armes aux forces locales dans la région du Tigré, lui demandant de démissionner de son poste à l’OMS. Les accusations de Jula sont venues au milieu du conflit du Tigré. Depuis novembre 2020, les forces centrales éthiopiennes combattent les forces locales du Tigré fidèles au parti de Ghebreyesus, le Front populaire de libération du Tigré (TPLF). Le TPLF, qui faisait partie de la coalition du Front démocratique révolutionnaire du peuple éthiopien (EPRDF), s’est retiré de l’alliance en raison de divergences en 2018.

Quant à la plainte devant la CPI, l’affaire ne peut se poursuivre que si les procureurs de la CPI décident de la saisir. S’ils le font, ce sera la première fois qu’un haut responsable des Nations Unies sera poursuivi. Cependant, Ghebreyesus a nié les allégations dans un communiqué le mois dernier.

Vidéo Bonus






10 mesures urgentes pour en finir avec la crise COVID en 2022

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Vous êtes nombreux à demander comment sortir concrètement de la crise du COVID, notamment à l’occasion du prochain quinquennat. Je vous propose ici 10 idées de mesures urgents à prendre pour préparer un monde d’après humaniste et libre, et pour entamer le mouvement de recul dont nous avons besoin pour endiguer la domination de la caste. Il s’agit de dix idées urgents et immédiates, qui ne font évidemment pas un programme complet. N’hésitez pas à me dire ce que vous en pensez !

Par Éric Verhaeghe

Les mesures qui sont exposées ici sont des mesures “urgentes” et donc très sectorisées, qui visent, durant les cent premiers jours du prochain quinquennat à créer un “choc” sociétal permettant le réveil de la société française face aux libertés menacées par une caste en pleine réaction contre le suffrage universel et ses conséquences. 

On ne trouvera donc pas un problème complet, mais un simple guide des décisions immédiates et urgentes.

Volet sanitaire

1° Abolir la notion d’état d’urgence sanitaire et rétablir les fonctionnements démocratiques normaux : le système macronien de suspension du fonctionnement normal de la démocratie sous un prétexte sanitaire instrumentalisé doit s’arrêter. Le recours à des conseils de défense pour décider de mesures expéditives et liberticides doit être banni. 

2° Rétablir la liberté de prescrire et autoriser les traitements peu coûteux, abandonner la politique du tout-vaccin : la stratégie guidée par les laboratoires pharmaceutiques consistant à ne pas soigner le COVID de façon précoce pour contraindre les Français à recourir à un vaccin dont les effets secondaires sont minorés mène à une catastrophe sanitaire. Les médecins doivent retrouver la liberté de prescrire les traitements qu’ils jugent adaptés, y compris les traitements peu coûteux. 

3° Abolir le passe sanitaire et la politique de crédit social, abroger la loi du 5 août 2021 : l’abrogation de la loi doit être immédiate. Le renoncement à toute politique de crédit social doit devenir un principe général du droit. 

4° Mettre en place une Commission d’enquête spéciale sur l’influence des laboratoires pharmaceutiques durant la crise du COVID et sur la corruption parmi les médecins et chercheurs : sur le modèle du rapport rédigé par deux sénateurs en 2010, l’État doit enquêter sur les coulisses de la stratégie sanitaire menée depuis le début de l’année 2020. Une commission spéciale regroupant des parlementaires et des juges doit être mise en place, avec des pouvoirs d’investigation judiciaire exceptionnels, pour déterminer quels moyens les laboratoires pharmaceutiques ont déployé pendant la crise, y compris au niveau européen. Les personnalités corrompues doivent être durement sanctionnées. 

Volet politique

5° déconcentrer les pouvoirs de l’État et supprimer la bureaucratie : après un an et demi de captation du pouvoir par la bureaucratie, PLUS JAMAIS ÇA ! Démantèlement des ARS, réduction drastique des effectifs de l’administration préfectorale, de l’administration hospitalière, et de la caisse nationale d’assurance-maladie. 

6° dépolitiser la haute fonction publique en obligeant les fonctionnaires à démissionner en cas de passage en cabinet ministériel et en supprimant la garantie de l’emploi pour les 500 postes-clés de la haute fonction publique. Il faut couper le cordon ombilical entre la haute fonction publique et le pouvoir politique. Les postes-clés doivent être soumis à une obligation de réussite contrôlée par le Parlement. Les milliers de hauts fonctionnaires en situation de chômage déguisé et payés par le contribuable doivent être licenciés. 

7° supprimer les aides à la presse : la presse doit vivre de ses lecteurs, pas des faveurs d’un État qui achète son consentement. 

8° entamer un dialogue avec la Commission Européenne pour inverser les transferts de souveraineté : sans initier une réforme des traités, l’inversion de la logique de transfert de la souveraineté nationale vers la Commission européenne doit commencer le plus tôt possible. La logique initiale de subsidiarité européenne doit guider l’action des Etats-membres. 

Volet sociétal

9° desserrer la contrainte exercée par la caste sur la société, en rétablissant la liberté d’enseigner et de soigner : la liberté de l’école à la maison doit être rétablie. La liberté de prescrire et la liberté de rembourser les soins hors des déconventionnements forcés de l’assurance-maladie doivent également l’être. La solidarité spontanée entre les individus doit être restaurée. 

10° défiscalisation et désétatisation progressive de la société française, en plafonnant à terme les recettes publiques à 40% du PIB : la crise du COVID a montré l’emprise que l’État et sa bureaucratie ont tissé au fil des années, grâce à une pression fiscale supérieure à ce que connaissent les pays de l’Union Européenne. Il est temps de recentrer l’Etat sur ses missions régaliennes (police, armée, justice, fisc), et de le faire maigrir sur le reste. 




Une province canadienne publie de nouvelles règles COVID qui permettent au gouvernement de saisir des propriétés privées

[Source : resistance-mondiale.com]

[Photo : Scot Moe, Premier ministre de la Saskatchewan]

Par bertruxskydric

Les fonctionnaires de la Saskatchewan peuvent « autoriser l’entrée dans tout bâtiment ou sur tout terrain, sans mandat, par toute personne dans le cadre de la mise en œuvre d’un plan d’urgence ».

Un gouvernement provincial canadien a promulgué des pouvoirs d’urgence de type orwellien au nom de la lutte contre le COVID qui permettent aux autorités de détenir ou de renvoyer des personnes sans mandat et de saisir des biens personnels à volonté. 

En vertu des  nouvelles ordonnances sanitaires , le ministre de la Saskatchewan peut « autoriser l’entrée dans tout bâtiment ou sur tout terrain, sans mandat, par toute personne dans le cadre de la mise en œuvre d’un plan d’urgence ».

Le gouvernement a également le pouvoir de « provoquer l’évacuation de personnes et le retrait de personnes ou de bétail et de biens personnels de toute région de la Saskatchewan qui est ou pourrait être touchée par une situation d’urgence et de prendre des dispositions pour les soins et la protection adéquats de ces personnes ou du bétail et des biens personnels.

Le nouveau décret d’urgence provincial en vertu  de la Loi sur les plans d’urgence a  été signé le 13 septembre par le premier ministre Scott Moe. Les commandes ont été annoncées par le ministère de la Santé de la Saskatchewan.

Selon le ministère de la Santé, les nouvelles ordonnances sont nécessaires pour « assurer la mobilité de la main-d’œuvre du système de santé grâce à une plus grande flexibilité dans la planification et la réorientation des travailleurs de la santé vers les zones confrontées à des pressions de capacité et dans l’utilisation de ressources supplémentaires ».

Les nouveaux pouvoirs sanitaires d’urgence permettent au gouvernement « d’assumer la direction et le contrôle de l’intervention d’urgence d’une autorité locale ».

Ils donnent également au gouvernement le pouvoir « d’acquérir ou d’utiliser tout bien immobilier ou personnel que le ministre juge nécessaire pour prévenir, combattre ou atténuer les effets d’une situation d’urgence ».

Dans le cadre de cette ordonnance, le gouvernement a réactivé les termes d’une lettre d’entente avec la Saskatchewan Health Authority et un grand nombre de syndicats provinciaux, dont le Saskatchewan Union of Nurses et la Health Sciences Association of Saskatchewan.

La lettre d’entente explique comment le gouvernement peut forcer le « redéploiement temporaire des employés de la santé pour répondre à l’augmentation prévue des besoins en soins de santé liés à la COVID-19 ». 

Toute personne résidant en Saskatchewan est mandatée par la loi pour suivre les nouvelles ordonnances d’urgence ou faire face à des sanctions sévères ou à une peine d’emprisonnement.

Les nouvelles commandes sont intervenues après que le gouvernement a déclaré une « quatrième vague » de COVID-19 stimulée par la « variante Delta ».

La province, qui compte environ un million d’habitants, indique actuellement que 262 personnes sont hospitalisées en raison de COVID-19. 

Le 17 septembre, le Dr Saqub Shahab, médecin hygiéniste en chef de la province, a émis une ordonnance d’isolement provisoire obligatoire et de couverture faciale comme palliatif jusqu’à l’entrée en vigueur du passeport vaccinal de la province en octobre.

Moe a récemment déclaré que son gouvernement était “trop ​​patient” avec ceux qui n’avaient pas reçu les vaccins COVID lors de l’introduction d’ un passeport vaccinal.  

Les mots de Moe contre les non vaccinés comprenaient également une phrase selon laquelle, bien qu’il n’ait jamais voulu « mettre en œuvre » un passeport vaccinal, sa « patience a pris fin » avec les non-piqûres.

À partir du 1er octobre, il faut présenter une preuve de vaccination ou un test négatif pour manger à l’intérieur, se rendre dans des lieux de divertissement, assister à des conférences ou à de grands événements ou participer à des centres de fitness intérieurs.

Toutes les provinces canadiennes ont depuis longtemps le pouvoir d’édicter de telles règles draconiennes, qui limitent en fait les droits des personnes en cas d’urgence, mais utiliser une urgence « sanitaire » pour le faire est du jamais vu dans les temps modernes.

La province de l’Alberta a également récemment déclaré une urgence publique en vertu de sa  Public Health Act Comme en Saskatchewan, le gouvernement peut pénétrer dans des immeubles sans mandat ou saisir des biens personnels. 

Le premier ministre de l’Alberta, Jason Kenney, bien qu’il ait promis que sa province serait ouverte « pour de bon »,  a  récemment introduit un passeport vaccinal COVID-19. Il a également promulgué de nouvelles règles interdisant aux personnes «non vaccinées» de se rassembler dans leurs maisons privées.

John Carpay, président du Justice Center for Constitutional Freedoms (JCCF), a déclaré qu’en « vertu » du gouvernement Kenney limitant les interactions sociales à l’intérieur de pas plus de 10 personnes, le gouvernement « reconnaît que les personnes vaccinées sont propagateurs de virus.

« Sur quelles preuves le gouvernement s’appuie-t-il pour croire que les personnes non vaccinées sont de pires vecteurs de virus que les personnes vaccinées », a déclaré Carpay dans un communiqué envoyé à LifeSiteNews.

« Le premier ministre Kenney s’est joint au premier ministre Trudeau pour faire des boucs émissaires, diaboliser et vilipender la minorité d’individus non vaccinés.

Les injections de COVID-19 approuvées pour une utilisation d’urgence au Canada, y compris le vaccin Pfizer pour les 12 ans et plus, ont toutes des liens avec des cellules dérivées de bébés avortés.  

Tous les quatre ont également été associés à de possibles effets secondaires graves tels que des caillots sanguins, des éruptions cutanées, des fausses couches et même des crises cardiaques chez les hommes jeunes et en bonne santé. 

La liste des événements indésirables reconnus par la FDA est passée des réactions anaphylactiques graves aux événements thrombotiques mortels, à la myocardite inflammatoire  et aux maladies neurologiques invalidantes comme le syndrome de Guillain Barré. Pendant ce temps, le CDC a signalé un taux de survie à l’infection COVID-19 supérieur à 99,95 % pour les moins de 50 ans. 

Contact:

L’honorable Scott Moe
Premier ministre de la Saskatchewan
226 Édifice législatif
Regina, Saskatchewan
CANADA S4S 0B3

Téléphone : (306) 787-9433
Télécopieur : (306) 787-0885
Courriel :  premier@gov.sk.ca

Traduction de l’article Canadian province issues new COVID rules that let gov’t seize private property – LifeSite (lifesitenews.com)




Bientôt des « vaccins » à ARNm dans votre assiette ?

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Aujourd’hui, les scientifiques qui poussent à la vaccination veulent transformer votre épicerie en vaccins à ARNm

Par Lance Johnson

L’agenda mondial pour vacciner chaque homme, femme et enfant en voie d’aboutir directement dans votre assiette. Une équipe de scientifiques de l’Université de Californie à Riverside étudie des moyens de transformer vos ÉPICERIES en vaccins à ARNm. Afin de lutter contre « l’hésitation à la vaccination » chez la population, ces scientifiques veulent distribuer des protéines de pointe [protéine Spike] du coronavirus dans tous les aliments. Cette expérience pourrait donner naissance à un nouveau paradigme de vaccination qui donnerait à Big Pharma un contrôle total sur l’approvisionnement alimentaire, car ils tentent de modifier génétiquement les aliments pour inonder la population avec plus de protéines de pointe de coagulation sanguine.

Est-ce la raison pour laquelle Bill Gates, investisseur en OGM et en vaccins, achète des terres agricoles à travers les États-Unis ? Tous les vaccins actuels et les centaines de futures expériences vaccinales seront-ils réalisés par le biais de l’approvisionnement alimentaire ?

La modification génétique de l’approvisionnement alimentaire pourrait bientôt être utilisée pour vacciner la population

L’avenir de la guerre biologique et de l’expérimentation humaine sera probablement réalisé grâce à l’approvisionnement alimentaire et sera présenté comme sans danger. En modifiant le cytoplasme des plantes comestibles, les scientifiques espèrent introduire des toxines de protéine Spike, produite comme étrangère, dans vos aliments. Ces scientifiques qui cherchent à promouvoir les vaccins, font déjà des expériences sur les plants de laitue et d’épinards, afin de développer une nouvelle espèce de légumes verts qui peut vacciner les gens plus souvent et de manière moins invasive. Ces nouvelles variétés de légumes peuvent également être cultivées à la maison. Les scientifiques travaillent sur un moyen de quantifier le dosage exact  de protéines de pointe dans une plante tout en démontrant que la plante peut reproduire suffisamment d’ARNm pour surpasser l’approvisionnement actuel en vaccins.

 « Idéalement, une seule plante produirait suffisamment d’ARNm pour vacciner une seule personne », Juan Pablo Giraldo, chercheur principal et professeur agrégé au Département de botanique et des sciences végétales de l’UCR. « Nous testons cette approche avec des épinards et de la laitue et avons des objectifs à long terme de personnes qui la cultivent dans leurs propres jardins », a-t-il ajouté. « Les agriculteurs pourraient également éventuellement en faire pousser des champs entiers. »

Giraldo s’efforce de démontrer que les vaccins contenant de l’ADN mRNA peuvent être intégrés avec succès dans les cellules végétales. Pour ce faire, les chercheurs ont l’intention de modifier le chloroplaste de la cellule végétale. Le chloroplaste absorbe l’énergie du soleil et la convertit en sucre et en autres molécules dont la plante a besoin pour croître. Les scientifiques veulent interférer avec ce processus naturel et demander au cytoplasme de générer des protéines de pointe et d’autres molécules étrangères qui peuvent être introduites sous forme d’antigènes dans l’homme.

Giraldo et son équipe ont déjà démontré que le chloroplaste est capable d’exprimer des gènes étrangers qui ne font pas partie de la conception naturelle de la plante. Cette modification génétique a été réalisée en enfermant du matériel génétique étranger dans un boîtier protecteur, puis en l’insérant dans les cellules de la plante. L’objectif est d’introduire ces OGM chez l’homme afin que leur système immunitaire puisse être programmé pour lutter contre les antigènes et les séquences virales que les scientifiques ont présélectionnés et conçus.

Un nouveau paradigme de vaccins à base alimentaire est-il sur nous ?

À l’UC San DiegoNicole Steinmetz a déjà développé des nanotechnologies qui peuvent fournir du matériel génétique au chloroplaste des plantes. Steinmetz bricole des nanoparticules de virus végétal et les réutilise pour administrer des gènes étrangers dans les cellules de la plante.

Ce n’est pas la seule expérience de vaccin comestible actuellement en cours. Des scientifiques de l’Université d’Ottawa travaillent sur un vaccin comestible contre les coronavirus depuis plus d’un an.

L’Hôpital d’Ottawa teste déjà le premier prototype. Ce vaccin comestible exprime des antigènes viraux à l’intérieur des plants de laitue et d’épinards. Leur objectif est de délivrer les protéines de pointe au corps humain sans altérer la synthèse protéique des cellules humaines. L’approvisionnement actuel en vaccins doit être maintenu au réfrigérateur à des températures extrêmement basses. Si cet effort de recherche peut démontrer l’administration de protéines de pointe dans tout l’approvisionnement alimentaire, l’approvisionnement actuel en vaccins pourrait être supprimé au profit d’un nouveau paradigme de vaccination alimentaire. Cette expérience pourrait à jamais modifier l’approvisionnement alimentaire, transformant des aliments sains et curatifs en terrains de jeu de guerre biologique que les mondialistes peuvent utiliser pour exploiter la race humaine.

Lance Johnson

Les sources :

CTVNews.ca

NaturalNews.com

News.ecr.edu

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L’image en vedette provient de Natural News

Lien vers l’article original:

Now Vaccine-pushing Scientists Want to Turn Your Groceries into mRNA Vaccinesle 24 septembre 2021.

Traduit pas Maya pour Mondialisation.ca 

La source originale de cet article est Mondialisation.ca

Copyright © Lance Johnson, Mondialisation.ca, 2021




Nouvelle-Calédonie : « l’île va être un théâtre expérimental surprenant »

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Alors que l’obligation vaccinale a été votée début septembre en Nouvelle-Calédonie et que l’actualité s’y montre dense depuis, nous avons recueilli les propos de l’association ReinfoCovid sur place pour faire un point sur la situation sanitaire :

En Nouvelle-Calédonie, l’obligation vaccinale pour les majeurs à été votée au début du mois. Comment voyez-vous l’épidémie évoluer depuis ?

L’obligation vaccinale pour les majeurs a été votée le 03 septembre 2021 par le Congrès, quelques jours avant la détection d’un premier cas officiel de covid-19 en Nouvelle-Calédonie sur l’année 2021, jusque-là « Covid-free ». Depuis la détection de ce premier cas, de nombreux cas ont été détectés, avec, d’après les chiffres officiels au 25 septembre, 339 hospitalisations, 56 réanimations, 1 986 guérisons et 73 décès. Nous regrettons et dénonçons la décision de classer « covid » tout décès spontané sur le territoire, ce qui fausse les chiffres à la hausse et crée de la panique au sein de la population à l’annonce des décès dits « Covid » dans les médias locaux.

Pourtant, de nouvelles mesures de restrictions ont été remises en place juste après, et le gouvernement a annoncé renforcer ses aides économiques pour les entreprises calédoniennes. Comment la population réagit-elle face à cela ?

Le confinement strict a été annoncé le lendemain de la détection du premier cas covid-19, pour une durée de 15 jours, et a par la suite été prolongé jusqu’au 4 octobre (au moins). La population reste divisée sur la prolongation du confinement. Malgré les aides économiques, l’impact reste important, et d’autres secteurs comme l’éducation, avec la fermeture des établissements scolaires, sont fortement impactés. Une partie de la population est consciente qu’il n’a jamais été prouvé que le confinement réduisait la propagation de l’épidémie.

La population réagit très globalement dans la peur, celle d’attraper le virus et d’en mourir, comme cela est martelé quotidiennement dans les médias, avec désormais cette obligation à la vaccination pour les plus de 18 ans, qui est présentée comme la seule et unique solution pour éviter la mort.

Pour autant, le travail de ré-information de RéinfoCovid NC, depuis des mois maintenant, invite la population à la plus grande prudence face à l’injection expérimentale, avec le recul que l’on a des pays très majoritairement vaccinés. Ces derniers n’ont toujours pas « éradiqué » l’épidémie, bien au contraire, ils connaissent une recrudescence sans précédent de malades du covid parmi la population vaccinée et l’encombrement des hôpitaux.

La population du pays est de plus en plus consciente du besoin de traitements qui fonctionnent partout dans le monde, comme l’ivermectine, bien que les autorités locales ne permettent pas aux médecins de prescrire ces traitements précoces, ce que nous condamnons formellement. Depuis le vote de l’obligation vaccinale pour les plus de 18 ans, une partie de la population s’est jetée sur les « vaccinodromes » déployés en masse partout dans le pays. Après une quinzaine de jours, le rythme de vaccination a fortement diminué, ce que l’on explique par la réticence de la population non vaccinée à recevoir un produit expérimental, et du fait aussi de la survenue de nombreux effets indésirables, parmi lesquels plusieurs décès post-vaccinaux, qui n’ont pas fait la une des journaux locaux mais qui font l’objet de témoignages sur les réseaux sociaux.

D’un point de vue juridique, plusieurs recours en référé contre la délibération 44/CP ont été portés, notamment par une association locale et des citoyens.

Vous parliez d’un grand jour et d’un « ultimatum pour le gouvernement », pouvez-vous nous expliquer ?

Mercredi 22 septembre 2021, a été remis au gouvernement, au Congrès et au Haut-Commissariat de la République (représentant l’État français), un courrier commun signé par une quinzaine de collectifs, d’associations, de syndicats, de représentants du personnel, de professionnels et de citoyens, dans lequel nous demandons l’annulation pure et simple de la délibération 44/CP portant sur l’obligation vaccinale, pour laisser libre choix à chacun d’une liberté vaccinale avec une information claire, loyale, libre et appropriée.

Nous demandions également la mise en place de protocoles thérapeutiques préventifs et précoces pour la prise en charge du covid-19, en particulier l’ivermectine, l’hydroxychloroquine et certains antibiotiques (azytromicine et doxycycline). Nous réclamions également la libre prescription par les médecins de terrain.

Nous demandions enfin de cesser les discussions visant à l’instauration d’un « passe sanitaire » en Nouvelle-Calédonie, dispositif liberticide et discriminatoire qui ne sera pas accepté par la population.

Dans ce courrier, nous avions invité expressément les autorités à accueillir les représentants de chaque entité signataire sous 48h afin d’obtenir une réponse à nos demandes. Aucune réponse n’a été faite à l’heure actuelle.

En parallèle, un rassemblement pacifique citoyen a été organisé à Nouméa par les entités signataires le 25 septembre, rassemblant environ 8 000 personnes, pour la liberté vaccinale, pour l’annulation de la délibération 44/CP, pour la liberté de se soigner, pour la libre prescription des médecins et le refus du « passe sanitaire ».

Lien vers la vidéo du rassemblement

Non loin de chez vous, le Dr Théron, qui exerce sur l’île de Tahiti, a été placé en garde à vue au début du mois. Avez-vous eu vent des réactions en Polynésie ?


En effet, nous avons vu les réactions vives de la population, en soutien au Dr Théron, suite à cette mise en garde à vue. Les images de son « interpellation », où il a été trainé littéralement comme un terroriste par les forces de l’ordre ont profondément choqué les populations dans toute la zone pacifique.
 Nous adressons tout notre soutien au Dr Théron, ainsi qu’à la population de la Polynésie. En Nouvelle-Calédonie, la pétition de soutien au Dr Théron a été relayée massivement.

À la proue du monde, l’île va être un théâtre expérimental surprenant. Que le monde ouvre l’œil. Le peuple est éveillé. Témoignages et plaintes risquent de bouleverser l’épisode insulaire…

Auteur(s): FranceSoir




Connaissez-vous le Dolder Club ?

[Source : economiedistributive.fr via Geopolintel]

Le « DOLDER Club »

par B. BLAVETTE

Le Dolder Grand est un hôtel cinq étoiles situé dans la forêt, sur les hauteurs entourant la ville de Zurich. Avec ses tours, ses tourelles, ses colombages, le bâtiment semble sorti d’un film d’aventures ou d’espionnage.

C’est en ce lieu, à la fois ultra luxueux et discret, qu’en 1970 une trentaine de hauts dirigeants de l’industrie pharmaceutique mondiale choisissent de se réunir pour la première fois. Depuis cette date, la rencontre se déroule une ou deux fois par an dans divers pays du monde et a adopté en toute modestie le terme de « Dolder Club » qui dans divers patois allemands et en alsacien désigne « la cime la plus haute, qui domine toutes les autres ».

C’est tout à fait par hasard que j’ai appris, il y a quelques semaines, l’existence du Dolder Club par l’intermédiaire d’un site faisant la promotion de la santé naturelle par les plantes.(([1] Il s’agit de « La lettre directe santé ». Attention, la fiabilité générale de ce site me semble par ailleurs incertaine du fait de ses attaques sans nuance à l’encontre de la médecine allopathique.)) Car, plus encore que le « Groupe de Bidelberg », cette réunion est ultra confidentielle. Le Dolder Club ne possède pas de site internet, nulle mention n’en est faite sur le site de la Fédération Internationale des Fabricants Pharmaceutiques (IFPMA pour Inter­national Federation of Pharmaceutical Manufacturers) qui en est pourtant l’organisatrice, nulle mention non plus dans les agendas des divers participants.

La dernière réunion du Dolder Club s’est tenue à Paris les 7-8-9 juillet 2018. Mais cette fois l’anonymat intégral avait été brisé par une dépêche de l’AFP, reprise par différents organes de presse (La Croix, Le Point, Le Monde…), qui relate succinctement la rencontre et précise que le groupe a été reçu le 9 juillet au soir par Emmanuel Macron bien que ne figurant pas sur l’agenda officiel du Président. Le site internet de l’Elysée ne comporte pas non plus de compte rendu de ces discussions. L’AFP a pu se procurer la liste des participants au Dolder Clu : sans surprise on rencontre Jaquin Duato, le dirigeant de Johnson and Johnson, N°1 mondial (USA), Kenneth Frazier, PDG de Merck and Co (USA), Lars Fruergaard Jorgensen du laboratoire Navo Nordisk (Danemark), Pascal Soriot PDG de AstraZeneca (GB/Suède), Christophe Weber le directeur français de Tadeka (Japon)… La réunion est présidée par une vieille connaissance, Serge Weinberg, Président du Conseil d’Administration de Sanofi. Ce personnage s’est particulièrement illustré par son intransigeance dans le cadre du scandale de la Dépakine, cet anti épileptique produit par Sanofi qui, administré aux femmes enceintes, engendre des enfants mentalement handicapés. Selon un rapport de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) du 22/6/2018, entre 16.600 et 30.400 enfants exposés à la Dépakine avant la naissance seraient atteints de troubles du comportement. Mais le pire c’est que tout porte à croire que Sanofi connaissait les effets délétères de la Dépakine depuis au moins le milieu des années 80 grâce à un rapport de l’Inspection Générale des Affaires Sociales (IGAS).(([2] Voir l’excellent article du magazine Capital du 22/10/2018.)) Pourtant l’affaire de la Dépakine ne s’arrête pas ici. Le lundi 9 juillet 2018 l’association France Nature Environnement publiait une étude montrant que l’usine Sanofi de Mourenx dans les Pyrénées Atlantiques (qui fabrique notamment la Dépakine) procédait régulièrement et depuis plusieurs dizaines d’années à des rejets toxiques dans l’atmosphère dépassant… 90.000 à 190.000 fois, suivant les cas, les normes admises. À la suite de ces révélations l’usine a été fermée pendant deux mois, le temps pour Sanofi de procéder à « quelques ajustements ». Puis la production a repris, « business as usual ». France Nature Environ­nement a déposé une plainte qui, comme d’habitude, n’est pas suspensive… Il est vrai que l’année précédente (le 7/10/2017) Christophe Castaner avait déclaré lors d’une visite du site de Sanofi à Sisteron « On ne doit pas critiquer des entreprises qui réussissent comme Sanofi » et Édouard Philippe avait renchéri (le 17/10/2017) devant l’Assemblée Natio­nale à propos de Sanofi : « Il ne faut pas dénigrer une entreprise française qui fonctionne bien ». Le cynisme, allié à la bêtise, de ces deux perroquets atteint ici des sommets. Il faut ajouter aussi que Serge Weinberg doit se penser intouchable, lui qui est un ami proche d’Emmanuel Macron, lui qui a largement contribué à son élection. En effet les deux hommes se sont rencontrés dans le cadre de la « Commission Attali pour la libération de la croissance » mise en place par Nicolas Sarkozy et ont rapidement sympathisé. Serge Weinberg était alors Président du Conseil d’Administration du groupe Accor et PDG du fond d’Investissement Weinberg Capital Partner et Emmanuel Macron, Inspecteur des Finances et Rapporteur général adjoint de la Commission. Par la suite Weinberg introduira Macron dans la Banque Rothschild et le soutiendra pendant toute la campagne électorale. Selon le député de la France Insoumise François Ruffin, lors de la réception donnée à l’Elysées à la suite de son élection, Macron fendra la foule de manière très remarquée pour donner l’accolade à son ami Serge…

Il n’est guère étonnant dans ces conditions qu’Emmanuel Macron « soigne les industriels du médicament » comme le déclare France-Info du 10/7/2018.(([3] Remarquons que suivant Le Canard Enchaîné du 7/6/2017 et Wikipédia, l’actuelle Ministre de la santé, Agnès Buzyn, a tissé tout au long de sa carrière dans des organismes publics des liens très étroits avec plusieurs grands laboratoires pharmaceutiques, ce qui a donné lieu à de multiples conflits d’intérêts. Agnés Buzyn a notamment effectué de nombreuses missions rémunérées pour Novartis, Bristol-Myers Squibb et, entre 1998 et 2011, le laboratoire Genzyme, filiale étasunienne de… Sanofi !)) En fait, selon RFI, la date de la réunion ne doit rien au hasard, elle permet aux membres du Dolder Club de participer au Conseil Stratégique des Industries de Santé (CSIS) qui s’est tenu le 10 juillet à l’Hôtel Matignon sous l’égide du Premier Ministre. Cette rencontre, qui se déroule tous les deux ans depuis 2004, est sensée établir un dialogue qui peut apparaître utile entre l’État et l’industrie pharmaceutique. Cependant, au fil des années, le CSIS s’est transformé en opération de lobbying permettant aux grands groupes pharmaceutiques de présenter, on pourrait même dire imposer, leurs revendications. Et ces revendications sont nombreuses.

À l’issue de la réunion, Édouard Philippe a annoncé deux mesures phares auxquelles l’industrie pharmaceutique est très attachée :

  • La réduction à 180 jours des autorisations de mise sur le marché des nouveaux produits, au lieu de 300 jours actuellement. Ceci en dépit des multiples scandales qui secouent actuellement le secteur pharmaceutique : Médiator, Lévo­thy­rox, Dépakine, implants mammaires….
  • Un nouveau système de régulation du prix des médicaments : une garantie minimale annuelle de 0,5% de croissance du chiffre d’affaire pendant les trois ans à venir, garantie pouvant aller jusqu’à 3% pour les médicaments dits “innovants”. Mais qui décidera qu’une molécule est réellement innovante ? Mais comment est-il possible qu’une entreprise privée puisse se voir offrir par la collectivité une garantie de croissance ?

Parmi les revendications que les laboratoires espèrent pouvoir faire aboutir dans un futur rapproché on citera notamment l’obligation de la vaccination contre la grippe pour les plus de 65 ans (tout comme les fournisseurs d’eau, l’industrie pharmaceutique adore les consommateurs captifs), le déremboursement, voire, dans certains cas, l’interdiction des médecines alternatives : homéopathie, utilisation des huiles essentielles…

Le marché mondial du médicament avoisine les 830 milliards d’euros annuels, ce qui donne à ses acteurs une formidable force de frappe.

On peut considérer qu’aujourd’hui l’industrie du médicament est hors de tout contrôle, qu’elle impose sa loi aux États ainsi qu’aux instances internationales comme l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) par une généralisation de la corruption et du conflit d’intérêts. Il s’agit là d’une atteinte supplémentaire à nos processus démocratiques.

Ajoutons qu’il m’a été impossible de connaître le lieu et la date de la prochaine réunion du Dolder Club en 2019.

Ainsi une fois de plus notre avenir collectif se décide dans des instances illégitimes, dans la plus parfaite clandestinité, dans l’indifférence générale…

Note de la rédaction :

Nous aurions aimé, par une photo, faire admirer à nos lecteurs cet hôtel absolument extraordinaire. Il aurait fallu pour cela payer à cet hôtel des droits d’auteur, ce dont nous pensons qu’il n’a pas besoin.

Mais sur internet, à l’adresse : The Dodler Grand,
vous pouvez admirer l’hôtel et son site par une foule de très belles photos… et même retenir une chambre pour vos vacances, (entre 600 et 900 € la nuit).





Partenariats Public-Privé : de la Fondation Bill et Melinda Gates à Big Pharma

[Source : courriel]

Le graphique ci-dessus montre les liens entre la Fondation Gates, le Wellcome Trust, l’OMS, GAVI, d’autres ONG et Big Pharma… Il contient environ 6500 objets tels que des personnes, des ONG, des entreprises, des documents, etc. Il comprend également plus de 7200 liens entre eux.

Toutes les informations sont accessibles au public.

Les diapositives suivantes présentent quelques organisations sélectionnées dans ce graphique. En raison de sa complexité, il ne montre que le premier niveau de connexions.

Dans un premier temps, vous obtiendrez des informations générales sur les personnes des agences gouvernementales, des entreprises et des organisations non gouvernementales, ainsi que sur certains événements ou groupes importants. Plus loin dans ce document, vous trouverez une analyse des liens entre ces « parties prenantes ».

Les lignes rouges sont toujours des paiements, mais il se peut que certaines lignes noires soient également des paiements. Veuillez consulter la description du lien.

Faites-vous votre propre opinion et faites vos propres recherches !

2021-09-12


Le document complet est en anglais et seule la première page a été traduite (ci-dessus)


Quelques diagrammes et tableaux extraits du document

Total Grants by Bill & Melinda Gates Foundation (1994-2021) – Top 50 Rows

https://www.gatesfoundation.org/about/committed-grants

World Economic Forum (WEF) [Forum Économique Mondial]

GAVI




En Allemagne, enchaînement de perquisitions pour les adversaires des mesures sanitaires

[Source : francesoir.fr]

[Photo : Parlement allemand
John MACDOUGALL / AFP]

Le 17 juin 2021, le célèbre toxicologue et pharmacologue Stefan Hockertz, connu pour ses publications et entretiens dissidents, a fait l’objet d’une perquisition de la police et de saisie. La nouvelle a été rendue publique par Me Fuellmich lors des auditions Corona. Après des études de biologie à l’Université de Hannovre, le Pr Hockertz a obtenu son doctorat en toxicologie et pharmacologie à l’Université de Hambourg. Il a été professeur d’immunotoxicologie moléculaire à la clinique universitaire de Hamburg Eppendorf. Actuellement, il dirige tpi consult GmbH, l’un des principaux cabinets européens de conseil en toxicologie et pharmacologie. Aux côtés de nombreux scientifiques réputés, il s’est très tôt prononcé défavorable aux mesures prises par le gouvernement allemand en matière de la crise du Covid et a lancé des avertissements contre les injections à ARN messager en raison de l’insuffisance des études.

Voir aussi : « Ce n’est pas un accident : cette crise n’a toujours rien de sanitaire » Reiner Fuellmich

Ellèn Hölzer, candidate aux législatives pour le Parti dieBasis (fondé en mai 2020 pour la démocratie de base), a déclaré : « Dans son livre Generation Maske, paru il y a trois mois… le Pr Stefan Hockertz analyse les conséquences pour l’état psychique, mental et physique des enfants et des adolescents, qui découlent des mesures anti-Covid. Ses conclusions sont effarantes : tant les mesures du gouvernement que la couverture médiatique ont détruit cette institution d’importance capitale pour les enfants qu’est la famille. D’innombrables enfants se sont réfugiés dans un monde à eux, où ils restent seuls avec leurs angoisses. Il semblerait que ce soit précisément ce livre qui lui ait attiré les foudres des autorités. »

Une autre candidate aux législatives du parti dieBasis, Nathalie Sanchez Friedrich, a ajouté : « Déjà, la perquisition conduite chez un magistrat du tribunal des affaires familiales à Weimar (avril 2021, le juge Christian Dettmar), dont le jugement désavouant le port du masque dans les écoles avait déplu au gouvernement fédéral, représente la violation inouïe d’un tabou. Les mesures prises contre ce scientifique de renom, le Pr Hockertz, démontrent la dangerosité de notre éloignement de la démocratie et de l’État de droit. Cela signale que les avis dissidents ne sont ni souhaités, ni même permis, et qu’ils seront poursuivis avec dureté. Pour notre part, nous ne cesserons pas d’informer le public de tels faits et de combattre pour la liberté d’expression de chaque citoyen. »

Ces propos ont été recueillis puis traduits avec l’aimable autorisation du service de presse du Basisdemokratische Partei Deutschland.
 
Le 29 juin, le procureur de la ville de Erfurt a ordonné des raids de police avec saisies contre huit personnes, pour la plupart témoins-experts aux audiences ayant précédé le jugement prononcé en avril 2021 par le juge Christian Dettmar à Weimar. Pour motif de protection de l’enfance, le juge avait alors cassé des ordonnances imposant le port du masque, les tests et la distanciation sociale dans deux écoles de Weimar et avait exigé des cours en présentiel. Suite à quoi, ses bureaux au tribunal et ses appartements privés ont été perquisitionnés en avril, et maintenant de nouveau le 29 juin. Actuellement, l’objet d’une poursuite pour “perversion du cours de la justice”, le Juge Dettmar est défendu par le grand pénaliste Gerhard Strate qui, pour sa part, estime que “l’État de droit est en grand péril” en Allemagne et que l’on essaie d’intimider la magistrature.

Le même jour, plusieurs perquisitions simultanées ont eu lieu contre deux candidats du nouveau parti politique DieBasis, le Pr Ulrike Kämmer et Ulrich Masuth, contre le juge Matthias Guericke, contre la mère des enfants concernés et leur tuteur ad litem, et contre le Pr Christian Kuhbandner, ainsi que le Pr Ines Kappstein. Les téléphones portables, ordinateurs et de nombreux documents ont été saisis par la police, dont de la correspondance privée et l’original d’un important dossier juridique.

Voir aussi : interview de victimes par le Corona-Ausschuss

Auteur(s): FranceSoir




Nouvelle vague de mensonges: ils veulent faire croire que les bébés meurent de la Covid, que le vaccin protège de la contamination

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

Les stats de la DREES sur lesquelles s’appuient le gouvernement sont toutes biaisées, déconnectées de la réalité, donc de la vérité. Cela explique que rien ne corresponde avec ce qui est vécu en dehors de la France. Les lecteurs de ce blog  savent que les statistiques ne correspondent pas à celles de Santé Publique France. Les résultats sont débilissimes, un vacciné aurait huit fois moins de risques d’être contaminé qu’un non vacciné. Toutes les études ont prouvé  que la vaccination n’empêchait pas la contamination. En Israël, les taux de vaccinés contaminés sont identiques à leur part de la population par classe d’âge.

Le groupuscule  citizens4sciences  s’est distingué  par un activisme de dénonciation contre les médecins qui soignent et de scientifiques comme Laurent Mucchielli. Là il se livre à une propagation de fausses nouvelles avec Karine Lacombe .

Inquiétude de nombreux scientifiques très favorables à la vaccination, comme Dominique Costagliola. Avec de tels biais elle redoute que les mensonges déconsidèrent les vaccins.

un bébé serait mort de la Covid :

https://www.cnews.fr/france/2021-08-22/occitanie-un-nouveau-ne-atteint-du-covid-19-est-mort-1118150

Un bébé mort-né (il n’a pas respiré du tout) a été testé positif post-mortem. Sa mère (vaccinée ? Pas vaccinée ? On n’en sait rien) était positive au Covid aussi.

Au-delà de l’ignominie : évoquer ce cas comme une alerte alors qu’il n’est en rien représentatif, suggérer un lien entre la #COVID19 et ce décès sans le début d’un élément [de preuve]. Que dire des info manquantes ? Croyez que si la mère n’avait pas été vaccinée, ils l’auraient claironné.

Quand quelqu’un meurt après s’être fait vacciner, ce n’est pas le vaccin. Quand quelqu’un meurt et qu’il était positif au Covid, il est forcément mort du Covid. Est-ce que Véran va lancer une campagne de vaccination des bébés in utéro, du coup ? Quelqu’un sait ?




COVID : les députés votent pour un transfert de souveraineté à l’Europe

[Source : Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Éric Verhaeghe

Personne n’en a parlé, mais les députés français ont adopté sous le manteau une bien étrange résolution sur le COVID et les crises sanitaires la semaine dernière. Cette résolution appelle à une coordination européenne « renforcée » dans le domaine de la santé et des crises sanitaires. Il fallait donc comprendre que le retour à la souveraineté en matière sanitaire dont parlait Macron et son équipe l’an dernier était en fait un retour vers la souveraineté européenne, mais pas la souveraineté nationale. Et un mensonge de plus !


Résolution de l'Assemblée Nationale sur les crises sanitaires from Société Tripalio

Que cela soit dit : les députés français veulent plus d’Europe en matière de santé, démarchent qu’ils habillent notamment sous l’appellation en novlangue de “relocalisation des chaînes d’approvisionnement stratégiques dans le domaine sanitaire lorsque cela est possible”. Voilà, donc quand le gouvernement Philippe a parlé l’an dernier de “relocalisation” et de “souveraineté”, il s’agissait de relocaliser en Europe, mais pas forcément en France. 

Une résolution contre la souveraineté sanitaire

Le texte de la résolution mérite vraiment d’être lu. Il s’agit, pour le Parlement, d’exprimer aux instances européennes la volonté du peuple français sur tel ou tel sujet. En l’espèce, c’est la gestion des crises sanitaires qui est ici traitée. 

On retiendra du texte qu’il appelle : 

  • à une accélération de la campagne de vaccination en Europe “pour limiter la propagation du virus et des variants”
  • à soutenir “les propositions de la Commission européenne du 11 novembre dernier pour renforcer l’Europe de la santé qui pérennisent les mesures ad hoc ayant bien fonctionné pendant la crise”
  • à renforcer les “mandats des agences sanitaires qui doivent être les garantes de l’autonomie de réflexion et d’action de l’Union européenne et plaide pour un développement élargi de leur communication afin de rendre leurs activités plus lisibles et accessibles aux citoyens européens”
  • à “la création de la nouvelle agence sanitaire permanente, l’Autorité de préparation et de réaction en cas d’urgence sanitaire (HERA)”
  • à “la création d’un cloud de données sanitaires à l’échelle européenne pour faciliter le partage de l’information et des connaissances scientifiques, dans le respect du règlement général sur la protection des données (RGPD)”
  • à “une éventuelle modification des traités dans le cadre de la Conférence pour l’avenir de l’Union, afin de clarifier et de renforcer explicitement les compétences européennes en matière sanitaire qui sont actuellement disséminées dans les traités”

Bref, toujours plus de multilatéralisme européen, toujours plus de bureaucratie dominatrice cachée sous l’étiquette “agence indépendante”, et toujours moins de prise sur les politiques publiques offerte aux citoyens ordinaires. L’Assemblée Nationale ne pouvait pas mieux illustrer le naufrage de la démocratie…

Une Assemblée Nationale très Great Reset compatible

On notera que toutes ces propositions sont parfaitement en ligne avec les écrits de Klaus Schwab et de son Great Reset, ce qui pose une fois de plus la question du poids du gouvernement profond dans les grandes options publiques. 

Ainsi, la création d’un grand “Cloud” européen en matière de santé (bien entendu respectueux du règlement général sur la protection des données privées, qui pourrait imaginer le contraire ?) participe de cette idée que le contact tracking doit désormais être piloté en dehors des Etats-nations et de leurs vieilles libertés

On retrouve par ailleurs tous les mantra de Davos : échanges des bonnes pratiques entre pays, partenariats publics-privés renforcés pour financer une recherche dont les grands thèmes seraient décidés au niveau multilatéral et non national, création d’une sorte de fonction publique hospitalière supra-nationale qui échapperait aux décisions des Etats-membres. Tout est fait ici pour instrumentaliser la crise du COVID au profit d’une disparition des échelons nationaux et d’une concentration des pouvoirs entre les mains d’une bureaucratie incontrôlable, européenne, qui bloquera toute velléité d’autres sorties de l’Union que la Grande-Bretagne, et qui minorera le poids du suffrage universel dans les décisions.

Les chiens nationaux aboient, la caravane multilatérale passe. 




Les scientifiques ayant des avis divergents à propos de la vaccination des enfants doivent-ils se taire ?

[Source : lalibre.be]

Non. Prendre de bonnes décisions nécessite un débat public ouvert. Réaction à l’opinion de M. Heynen qui a écrit – merci à lui – ce que beaucoup pensent [Ndlr : pensent à tort, selon le point de vue exposé dans l’article.] sans oser le dire.

Les scientifiques ayant des avis divergents à propos de la vaccination des enfants doivent-ils se taire ?

Une carte blanche de Vincent Laborderie (UCLouvain), Christine Dupont (UCLouvain), Irène Mathy (Université Saint-Louis), Elisabeth Paul (ULB), Bernard Rentier (ULiège), Erik Van den Haute (ULB), Nicolas Vermeulen (UCLouvain).

Dans une tribune libre, M. François-Xavier Heynen met en cause la légitimité des scientifiques à avancer des éléments scientifiques et à remettre en cause la doxa. Il y aurait beaucoup à dire sur les arguments avancés et leur légèreté, mais il nous apparaît plus utile d’aborder la thèse centrale qui consiste à intimer l’ordre de se taire aux scientifiques ayant des avis divergents. Cet élément est en effet bien plus essentiel que n’importe quel débat sur la question de savoir s’il faut ou non vacciner les enfants.

S’il ne s’agit pas de reprendre toutes les erreurs et raccourcis présents dans ce texte, pointons tout de même une phrase qui, à elle seule, en contient un certain nombre :

« Mobiliser des universitaires pour la remise en question des mesures sanitaires va immanquablement alimenter un discours antiscientifique et générer une récupération politique. »

Sujet : la vaccination des enfants

Il y a d’abord une globalisation du terme « mesures sanitaires » : on confond tout en assimilant la vaccination des enfants aux mesures de confinement. Si l’on suit le raisonnement, tout ce qui est labellisé (et par qui ?) comme « mesure sanitaire » devrait être accepté, sans remise en question et quelle que soit la nature de la mesure. On en arrive donc à accepter toutes les dérives, comme une discrimination assumée entre les citoyens telle que l’expérimentent aujourd’hui nos voisins Français.

Sous le terme « discours antiscientifique », on voit bien que c’est le discours « antivax » qui est visé. Or comment ne pas comprendre que si l’on écrit un argumentaire concernant la seule vaccination des enfants, c’est que l’on fait une distinction avec la vaccination des adultes ? Distinction que les antivax ne font évidemment pas. Au passage, on peut se demander si les plus grands promoteurs de ce discours anti-science ne sont pas ceux qui prônent la vaccination pour tous et pour tout, sans tenir compte des risques différenciés liés au Covid selon les classes d’âges. Différence de risque qui, au passage, constitue une vérité scientifique établie, mais trop souvent occultée. Enfin, concernant la « récupération politique », il s’agit là d’un pur fantasme. Quel parti belge s’est opposé aux « mesures sanitaires » ou, pour reprendre le cas précis, à la vaccination des enfants contre le Covid ?

Remettre en cause les idées

Puisque le doute est au centre de l’article et de la démarche scientifique, attardons-nous d’abord sur ce terme et la signification qu’en donne l’auteur. Il distingue le doute du soupçon, le premier serait légitime et le second condamnable. Mais le problème est que la distinction qu’il opère entre les deux ne repose sur rien. Surtout, rien n’indique que les positions dénoncées appartiennent à l’une ou l’autre catégorie.

Cette mise en cause du doute sert en réalité l’objectif central de l’article, qui consiste à faire l’éloge du consensus. On lit ainsi cette affirmation péremptoire : « la division est le contraire du véritable fondement de la démarche scientifique, le consensus ». On se demande où l’auteur est allé chercher cette idée selon laquelle la démarche scientifique nécessite le consensus. Si les savants avaient suivi ce précepte, il y a fort à parier que l’on croirait encore que la terre est plate et que le soleil lui tourne autour. Toute la démarche scientifique consiste au contraire à remettre en cause les idées établies en se basant – et ce qui la distingue de l’opinion – sur des faits ou des recherches scientifiques.

Mais là où l’opinion de M. Heynen est intéressante, c’est qu’elle nous révèle un attrait certain pour le consensus. Quel confort intellectuel de penser que tous les savants sont d’accord et que nos politiques agissent éclairés par la science infaillible ! On peut alors se dispenser de réfléchir et, tout doute écarté, accéder à un certain bonheur.

Quel consensus scientifique ?

Pour revenir au fond du problème, M. Heynen parle de consensus entre les pairs. Or le fait est qu’il n’existe aucun consensus scientifique autour de la nécessité, ni même de l’utilité, de vacciner les enfants pour enrayer l’épidémie de Covid-19. Le fait que les quelques scientifiques belges présents dans le comité chargé de conseiller nos gouvernants sur ce sujet aient rendu un avis favorable ne produit pas un consensus scientifique. Surtout quand cet avis est à la fois discutable sur le fond, mais apparemment impossible à discuter dans quelque enceinte que ce soit.

Pour justifier l’absence de débat scientifique, il est révélateur de voir l’auteur citer Descartes parlant d’un groupe perdu dans les bois. Serions-nous à ce point ignorants de ce qu’est le Covid-19 ? On pouvait encore le concevoir en mars-avril 2020 lorsqu’une maladie nouvelle a déferlé sur le monde. Mais croire qu’il en est de même 18 mois – et quelques dizaines de milliers d’articles scientifiques – plus tard en dit long sur l’obscurantisme dans lequel certains nous croient plongés.

Démocratie et nécessité du débat

L’auteur développe également une bien curieuse conception de la démocratie, qui serait menacée par le doute scientifique. Une fois que le gouvernement aurait pris une décision, il serait illégitime de la contester ni même de la questionner, en tout cas jusqu’à la prochaine campagne électorale. On se demande dès lors pourquoi les Parlements régionaux ou fédéraux siègent et débattent entre les élections. Ou même pourquoi les hommes politiques donnent des interviews hors campagne électorale, parfois pour oser critiquer les décisions prises. Ou bien faut-il comprendre que seuls les élus et professionnels de la politique ont droit à la parole ? Une telle conception correspond bien à un climat ambiant présent depuis le début de la pandémie, qui vise à proscrire les opinions divergentes ou à les renvoyer à des étiquettes comme « rassuriste » ou « complotiste ». Pour revenir à la vaccination des enfants, on attend toujours le moindre débat contradictoire sur le sujet, que ce soit dans un cadre universitaire, politique ou simplement médiatique. Celui-ci aurait l’avantage de convaincre de la nécessité de cette vaccination. Mais aucune parole n’a été accordée à la contradiction, ni avant ni après la prise de décision. Selon M. Heynen, le point de vue défendu par Bernard Rentier et nous-mêmes ne doit pas seulement être absent du débat public. Il ne doit même pas circuler sur Internet via son blog personnel. Une bien belle conception de la démocratie qui, rappelons-le, n’est pas la dictature de la majorité, mais nécessite un débat permanent, ouvert, et argumenté.

Merci à lui

S’il nous a paru utile de répondre à l’opinion de M. Heynen, c’est qu’il écrit ce que beaucoup pensent sans oser le dire. Qu’il soit donc remercié d’exprimer clairement une opinion largement répandue depuis le début de la crise sanitaire : les voix dissidentes doivent se taire. Pour le bien-être général.




La dangerosité des nouveaux vaccins anti-covid est un fait historique

[Source : REINFOCOVID]

Par : Laurent MUCCHIELLI, sociologue, directeur de recherche au CNRS Hélène BANOUN, pharmacien biologiste, PhD, ancienne chargée de recherches à l’INSERM Emmanuelle DARLES, maîtresse de conférences en informatique à Aix-Marseille Université Éric MENAT, docteur en médecine, médecin généraliste Vincent PAVAN, maître de conférences en mathématique à Aix-Marseille Université Amine ULMILE, pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier, unité de pharmacovigilance du Centre hospitalier de Cholet

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La vaccination anti-Covid, destinée à l’intégralité de la population, appliquée à marche forcée, ne fait l’objet d’aucun débat en France. Il s’agit en effet d’une idéologie politique (incarnée et promue activement par le président de la République en personne) et non d’une idée scientifique, ni d’une stratégie de santé publique. La science comme la santé publique sont des choses complexes, des séries de vérités partielles, adaptables et révisables en fonction des réalités de terrain ou d’expérience. Dans toutes les idéologies (politiques ou religieuses), le débat est au contraire posé en termes binaires et enfantins. On est pour ou contre, et le monde se divise entre amis (ici les pro-vax) et ennemis (ici les anti-vax). Que cette idéologie ait pris le pouvoir en France et qu’elle impose les termes mêmes du débat est une catastrophe à tous points de vue : intellectuel, démocratique et sanitaire.

Les influenceurs se déchaînent, certains journalistes les suivent

Dans un tel contexte, la mise en évidence d’une dangerosité vaccinale inédite associée aux quatre vaccins anti-covid anglo-saxons (Pfizer, Moderna, AstraZeneca et Janssen) constitue une dissonance cognitive telle que beaucoup ne peuvent tout simplement pas l’entendre. La réalité est pourtant que l’un de ces quatre vaccins (celui d’AstraZeneca) a déjà été suspendu en février-mars 2021 dans de très nombreux pays et définitivement retiré voire interdit dans certains d’entre eux (le Danemark, la Norvège, la Suisse, l’Afrique du Sud, le Venezuela ainsi que les Etats-Unis). De fait, nous avons montré dans notre précédent article que ce vaccin était manifestement responsable du niveau de déclarations de décès particulièrement élevé au Royaume-Uni, qui l’a utilisé massivement (s’agissant du produit d’une firme suédo-britannique). Pourtant, à la fin du mois d’avril, Emmanuel Macron continuait à le recommander et cherchait à « casser la défiance » des Français à son égard, nous expliquait alors Le Monde. Position idéologique et non scientifique ou médicale, avons-nous déjà dit. Et la plupart des commentateurs s’exprimant dans le débat public s’y enferment derrière le président. Toutes ces personnes qui, pour une raison ou une autre, se sont impliquées dans la campagne gouvernementale de vaccination générale (élus, hauts fonctionnaires, médecins, journalistes, etc.), ne peuvent pas discuter tranquillement du problème posé. Ils y voient une remise en cause insupportable de l’idéologie qu’ils ont adoptée. Dès lors, au lieu de contribuer à réfléchir au problème et à l’étayer de données ou d’arguments, ils cherchent le moyen de l’évacuer purement et simplement. Et, comme l’on sait, le meilleur moyen de faire disparaître un message est de tuer le messager.

Le journal Mediapart, sur lequel l’un d’entre nous publie toute son enquête sur la gestion politico-sanitaire de cette crise depuis la fin du mois de mars 2020, a ainsi censuré notre dernier épisode (republié toutefois ici et ici) et ce malgré notre appel préalable au dialogue. Sa décision – cocasse pour un journal qui prétendait jusque-là défendre la liberté d’expression et les lanceurs d’alerte – a donné des ailes à la meute des influenceurs et lobbyistes qui nous dénigrent de toutes les façons possibles sur les réseaux sociaux depuis un an et demi. Cette fois-ci, non contents de voir notre travail censuré, ils ont ensuite harcelé sur Twitter l’institution (le CNRS) du premier signataire de cet article, espérant ainsi lui nuire de façon personnelle et directe. D’autres journalistes se sont empressés de le répercuter dans des articles, comme ici au Figaro, avec quelques copier-coller.

Il semble que notre lancement d’alerte du 30 juillet n’a pourtant pas été inutile. Ainsi, la Direction générale de la santé a envoyé un message d’alerte (« DGS-Urgent, n°2021-75 ») à tous les professionnels de santé le 3 août, pour leur demander de « maintenir un suivi des échecs vaccinaux ». Le lendemain (4 août), la revue Prescrire a mis à jour « de façon anticipée » sa fiche relative aux « effets indésirables connus mi-2021 des vaccins covid-19 à ARN messager », reconnaissant notamment des complications cardiaques graves jugées toutefois « très rares ». On va voir que cette « rareté » se discute (voir note 1).

Mais revenons aux arguments employés pour justifier la censure. A lire un peu l’ensemble des commentaires suscités ici et là par notre précédent article, il apparaît que toutes les personnes qui prétendent avoir de vrais arguments intellectuels n’en ont en fin de compte que deux. Ces deux arguments sont de type méthodologique. Ils visent à contester l’usage des déclarations d’effets indésirables remontés par la pharmacovigilance, et ils concluent invariablement que nous avons alarmé à tort et qu’en réalité tout va bien. Le premier argument est l’« imputabilité », le second la « mortalité attendue » (voir par exemple les verbatims de médecins collectés dans la dépêche de l’AFP écrite contre notre article). Les deux notions sont, en soi, tout à fait intéressantes et importantes à discuter. Mais leur détournement à des fins rhétoriques de protection de l’idéologie vaccinale est facile à montrer.

Imputabilité et mortalité attendue : les vrais-faux arguments du déni

Sur le papier (ou plutôt devant un écran d’ordinateur), les choses peuvent être discutées sans fin et dans un confort intellectuel rassurant. Cela s’appelle la ratiocination. Dans la vraie vie, les choses sont à la fois plus simples et plus brutales pour les personnes directement concernées par les effets indésirables des médicaments. Pour les victimes, il s’agit de savoir comment affronter ces effets parfois graves dans un contexte général de déni. Pour les soignants, il s’agit de savoir comment catégoriser et enregistrer ces effets apparus très rapidement (le plus souvent dans les 48h) après la vaccination.

Concernant l’imputabilité, notre précédent article posait déjà explicitement le problème : il est évident qu’il est très difficile de déterminer la cause exacte d’un effet indésirable grave lorsque le malade présente (ou présentait s’il est décédé) des comorbidités importantes, ou lorsque son dossier médical est insuffisamment connu. Le raisonnement vaut d’ailleurs aussi pour les morts réputés causées par la covid. Et c’est aussi pour cette même raison que, quel que soit le médicament concerné (vaccin ou autre), il ne faut jamais l’administrer uniformément mais bien au cas par cas en fonction de l’état de santé général de la personne et des éventuelles spécificités de son histoire médicale. De plus, en matière de mortalité, la preuve ultime de l’imputabilité qu’est la répétition du même symptôme à la suite de la même médication ne peut par définition pas être fournie (on ne meurt qu’une fois…). Il n’en reste pas moins qu’il existe des faits (des effets indésirables graves sont constatés dans les heures et les jours qui suivent un acte médical) et qu’il n’est pas possible de s’en débarrasser d’un revers de la main au prétexte que la causalité directe (a fortiori unique) n’est pas établie. C’est un peu comme si on voulait contester l’existence d’un homicide au motif que l’on n’a pas encore trouvé le coupable. Les déclarations de pharmacovigilance relatives aux effets indésirables graves de la vaccination sont là, il faut les interpréter et non tenter de les cacher sous le tapis.

Concernant la « mortalité attendue », l’argument utilisé par nos savants critiques nous paraît tout aussi rhétorique. Il consiste à dire au fond qu’il est normal que des gens meurent à tout âge, vaccinés ou pas, et donc qu’il n’y a pas lieu de s’interroger plus avant sur les décès. Mais aucun des utilisateurs de cet argument n’est allé vérifier réellement si cette mortalité était attendue ou pas. Par ailleurs, en quoi le fait que des gens meurent tous les jours d’un cancer invalide-t-il l’interrogation sur la responsabilité de la vaccination quand le malade en question meurt dans les heures qui suivent l’injection ? Il nous semble que l’argument sert encore une fois à évacuer la question au lieu de la problématiser.

En fin de compte, ces deux arguments sont incapables d’aider à comprendre le réel que nous avons sous les yeux et qui peut se résumer le plus souvent ainsi : un médecin constate l’apparition d’effets indésirables plus ou moins graves dans les heures qui suivent un acte vaccinal, il fait donc un signalement de ce qui lui apparaît logiquement comme étant lié d’une façon ou d’une autre à cet acte vaccinal qui vient juste d’être pratiqué. Qu’y a-t-il de compliqué à comprendre dans cette situation très concrète de la vie quotidienne ? Rien en réalité.

Enfin, et de manière très révélatrice, nos critiques semblent n’avoir lu que la première partie d’un article qui en comportait deux. La première était consacrée aux données françaises de pharmacovigilance. La seconde fournissait des comparaisons avec la Grande-Bretagne, les Pays-Bas, les Etats-Unis et la communauté européenne. Et, dans le cas des Etats-Unis, nous avons montré que la preuve du caractère inédit de la mortalité liée aux nouveaux vaccins anti-covid est fournie par la comparaison temporelle. On va y revenir ici en détail. Puis on étudiera les données suisses, qui convergent elles aussi vers le constat d’une mortalité vaccinale inédite liée à ces nouveaux vaccins anti-covid.

La comparaison confirme que nous avons affaire à un événement historique

Que l’on pense que la comptabilité des effets indésirables par la pharmacovigilance les exagère ou au contraire les minimise (ce qui est communément admis en pharmacovigilance), le problème ne varie guère d’une année sur l’autre. Et les mêmes problèmes d’interprétation des déclarations se posent pour d’autres vaccins, ceux contre la grippe saisonnière par exemple. Or la mortalité associée en Occident à la vaccination anti-covid du fait des 4 vaccins ADN ou ARN fabriqués par des firmes anglo-saxonnes constitue un fait historique inédit. Mis en graphique, à partir ici des années américaines de pharmacovigilance (VAERS) qui recense les effets indésirables associés aux vaccins depuis 1990, cela donne ceci (Figure 1) :

Figure 1 : la mortalité associée aux vaccins aux Etats-Unis de 1990 à 2021

Que cela plaise ou non, nous avons bien affaire à un événement historique qu’il faut essayer de comprendre et non de cacher sous le tapis. Précisons qu’il ne s’agit pas là de vagues imputations déclarées des semaines voire des mois après la vaccination. Ce sont des effets qui ont été constatés principalement dans les 7 jours suivant immédiatement l’injection (Figure 2). Nous sommes donc bien dans la situation concrète résumée ci-dessus.

Figure 2 : les délais de survenue des morts associés aux vaccins anti-covid aux Etats-Unis

Comme nous l’avions indiqué dans notre précédent article, la base de données américaine recense les effets indésirables des médicaments depuis 1990. Il est donc possible de comparer cette mortalité des nouveaux vaccins anti-covid à celle de tous les autres vaccins administrés depuis 31 ans dans ce pays. La première analyse que nous en avions faite comporte une erreur de calcul qui nous avait amené à estimer que la campagne vaccinale anti-covid était responsable d’environ 36% du total des décès associés à la vaccination depuis 1990. Nous n’avions pas vu en effet qu’il existait des doubles comptages dans les résultats affichés. Nous avons donc refait le calcul et le résultat est plus impressionnant encore. Aux Etats-Unis, après l’actualisation du 30 juillet 2021, ce sont 10 672 décès qui sont remontés en pharmacovigilance comme associés à la vaccination depuis 1990, sur la totalité des vaccins utilisés. Parmi eux, 2 842 sont associés au vaccin anti-covid de Moderna, 2 768 à celui de Pfizer, 545 à celui de Janssen et 28 dont la marque de vaccin n’est pas connue. Le total des quatre donne un total de 6 183 décès, ce qui équivaut à près de 58% du total de la mortalité associée à un vaccin quel qu’il soit depuis 31 ans. Ceci est bien un événement historique inédit. L’interprétation est ouverte au débat. Mais le fait, lui, ne peut pas être évacué.

Le détail des décès, hospitalisations et incapacités permanentes aux Etats-Unis

Les décès associés à la nouvelle vaccination anti-covid sont évidemment les effets indésirables les plus graves. Mais, comme on le résume dans le tableau 1 ci-dessous, les données américaines donnent aussi à voir des invalidités graves (près de 7 000 fin juillet), des morts fœtales (près de 300) et des hospitalisations (près de 28 000).

Tableau 1 : effets indésirables les plus graves des vaccins anti-covid aux USA

Source : VAERS

Il est par ailleurs possible d’observer la répartition par tranches d’âges de ces effets indésirables graves associés à la vaccination anti-covid. Le tableau 2 ci-dessous en donne la répartition pour tous les cas où l’âge est connu. On y observe sans surprise que les effets les plus graves (décès et invalidités permanentes) sont logiquement concentrés aux âges les plus avancés, c’est-à-dire sur les personnes les plus fragiles. 63% des cas concernent ainsi les personnes âgées de plus de 60 ans. Toutefois, on note qu’un quart des cas concernent les personnes âgées de 40 à 59 ans, et que près de 12% des cas concernent même les jeunes adultes (18-39 ans).

Tableau 2 : répartition par classes d’âge des effets indésirables les plus graves des vaccins anti-covid aux USA

Source : VAERS

Mortalité, létalité : la comparaison prouve la dangerosité inédite de ces vaccins à ARN messager

Dans notre précédent article, nous indiquions que les données de la VAERS permettent de comparer la mortalité associée aux vaccins anti-covid à la mortalité vaccinale globale aux Etats-Unis depuis 30 ans. Nous venons de confirmer et même d’amplifier le constat : à elle seule et en seulement 6 mois, la vaccination anti-covid représente donc 58% de la totalité de la mortalité vaccinale depuis 31 ans. Nous avions également fait la comparaison avec les vaccins contre la grippe saisonnière (influenza seasonal) et constaté que, sur la même période, ces vaccins sont associés à 1 106 décès (soit 6,66% du total de la mortalité vaccinale globale). Il faut donc conclure que, aux Etats-Unis, en 6 mois, la vaccination anti-covid a contribué à tuer 9 fois plus de personnes que la vaccination anti-grippe en 31 ans.

Certains commentateurs honnêtes nous ont reproché à juste titre d’avoir discuté la mortalité mais pas la létalité, faute de fournir des données sur l’ampleur des vaccinations autres que covid ces dernières années. Nous avons donc cherché cette information qui est publiée sur le site du Center for Disease Control and Prevention. On y constate (sans surprise) que les Etats-Unis sont un pays qui vaccine énormément contre la grippe saisonnière ces dernières années. De 23,3 millions de doses injectées en 1990-1991, l’on est passé à 193,8 millions en 2020-2021. Au cours des 4 dernières années (2017-2020), près de 650 millions de vaccins contre la grippe ont été réalisés. Et 194 déclarations de décès ont été enregistrées dans la base. Cela donne donc une létalité potentielle extrêmement faible de 1 décès pour 3,3 millions d’injections. La vaccination anti-grippe saisonnière n’est donc pas dangereuse pour les populations.

Mais voici la comparaison avec les vaccins anti-covid : en 2021, en six mois, environ 165 millions de personnes ont été entièrement vaccinées aux Etats-Unis. Et nous avons vu que 6 183 décès ont été déclarés. Cela donne donc une létalité potentielle extrêmement forte de 1 décès pour 27 000 injections. En d’autres termes, la létalité potentielle des nouveaux vaccins anti-covid est environ 120 fois supérieure à celle des vaccins anti-grippe saisonnière.

Les données de la pharmacovigilance suisse confirment l’alerte

Alerté par un article publié par le pasteur Martin Hoegger sur le blog de l’économiste Liliane Held-Khawam, nous avons également exploré le site de l’agence suisse de pharmacovigilance (Swissmedic). Les données mises à disposition permettent de faire des calculs équivalents à ceux que nous avons fait pour les Etats-Unis. En voici les principaux résultats.
Du 1er janvier au 21 juillet 2021, plus de 4,5 millions de personnes ont reçu ces nouveaux vaccins en Suisse. Et la pharmacovigilance fait remonter 2 782 effets non graves (soit environ 1 cas sur 1 600), 1 537 effets graves (soit environ 1 cas sur 3 000) et 128 morts (soit environ 1 cas sur 35 000, ce qui est cohérent avec ce que nous avons constaté pour d’autres pays européens).

M. Hoegger a ensuite fait avec les données suisses le même raisonnement et le même type de calcul que nous. Il a comparé cette mortalité associée aux nouveaux vaccins anti-covid à celle des précédents vaccins contre la grippe saisonnière. Il a ainsi constaté que, en 9 ans (de 2011 à 2019), 99 événements indésirables graves ont été déclarés, ainsi que 2 décès. Partant du constat officiel qu’environ 14% de la population suisse a été vaccinée contre la grippe en 2018-2019, et en appliquant ce taux à toute la période, il estime donc qu’environ 10,5 millions de vaccinations anti-grippe ont été effectuées en Suisse en 9 ans. Cela donnerait donc un taux infime de 1 décès pour plus de 5 millions de vaccinations anti-grippe.

Par comparaison, la vaccination anti-covid a concerné environ 4,5 millions de personnes en Suisse au 21 juillet, pour 128 décès associés, ce qui donne un taux de 1 décès pour 35 000 vaccinations, soit une létalité potentielle environ 140 fois supérieure à celle des vaccins contre la grippe saisonnière. Voici à nouveau un constat, qu’il faut interpréter et non dissimuler.

Conclusions

Comme écrit à la toute fin de notre précédent article, la mortalité associée aux vaccins anti-covid est manifestement inédite dans l’histoire de la médecine moderne. Et toutes les ratiocinations autour de la question de l’imputabilité ou de la mortalité attendue ne sont que des diversions servant à masquer une réalité qui dérange l’ordre établi. Ceci n’est pas sans rappeler la controverse sur l’hydroxychloroquine où la discussion méthodologique des doctus cum libro (« Comment, vous n’avez pas randomisé en double aveugle ? mais ça ne vaut rien alors ! ») servait à éviter d’avoir à aller voir sur le terrain (médical) si ce traitement précoce permettait ou non de réduire le nombre et/ou la sévérité des maladies. La réalité de terrain est que ces nouveaux vaccins provoquent incroyablement plus d’effets indésirables plus ou moins graves que les autres vaccins destinés à la population générale, et qu’il faut une forte dose d’aveuglement idéologique ou d’hypocrisie pour ne pas le reconnaître. En Allemagne, le débat a au moins le mérite d’exister entre médecins et scientifiques (un exemple ici). En France, l’idéologie l’interdit et le pouvoir exécutif veille à ce qu’elle s’impose sans partage. Comme le disait déjà Roland Gori en 2019, dans le contexte du mouvement des Gilets jaunes, le président de la République ne gouverne pas les Français, il les soumet.

Voir et entendre tellement de journalistes et d’« experts » (ou supposés tels) disserter sur la méthodologie de la pharmacovigilance a quelque chose que l’on imagine difficilement supportable pour les personnes qui subissent ces effets indésirables. Cette population qui obéit au terrible chantage qui lui est fait (vaccine-toi sinon tu ne pourras plus travailler, tu ne pourras plus aller au restaurant, au cinéma, au musée, au concert ou au parc d’attractions, tu ne pourras plus voyager, etcetera), qui s’en soucie ? Qui la protège ? Personne. Elle doit s’auto-organiser. C’est ainsi que, parallèlement au Réseau des victimes d’accidents vaccinaux constitué en 2018 par des victimes du vaccin contre l’hépatite B, un groupe baptisé « Recensement effets indésirables vaccin Covid Officiel » s’est créé sur Facebook mi-juillet et a rassemblé 200 000 abonnés en à peine trois semaines. Mais qui sait s’il ne sera pas censuré par Facebook cette fois-ci ? Comme les innombrables témoignages qui se multiplient sur les réseaux sociaux. Rappelons aussi à tous que le portail officiel de signalement des « événements sanitaires indésirables », destiné aussi bien aux soignants aux malades, se trouve ici.

Concluons. L’examen des données disponibles suggère clairement qu’une mortalité vaccinale inédite est en train de se développer partout en Occident, en lien avec l’usage des nouveaux vaccins anti-covid. Le débat est ouvert sur l’interprétation, mais le fait est là, sous nos yeux. Et cette mortalité vaccinale n’est que la pointe émergée de l’iceberg des effets indésirables graves. Même réduite à ses plus élémentaires principes de déontologie (primum non nocere), l’approche de cette question en termes de santé publique devrait donc conduire à suspendre d’urgence la campagne vaccinale, à étudier beaucoup plus en détail les données de cette pharmacovigilance (en particulier selon les classes d’âge et en fonction des différents facteurs de risque) et, au terme d’une analyse bénéfices/risques méticuleuse, à déterminer à quelles catégories bien précises de la population il est possible de proposer la vaccination sans risque que les effets secondaires graves soient plus nombreux que les formes graves de la Covid dont elle est censée les protéger. Par cet article, comme par le précédent, nous appelons donc solennellement les gouvernements des pays occidentaux à suspendre immédiatement cette campagne vaccinale afin que, dans le cadre d’enquêtes parlementaires, des comités scientifiques et médicaux indépendants du pouvoir exécutif puissent analyser les données de pharmacovigilance dont nous disposons à l’échelle mondiale et les exposer à l’ensemble des citoyens en toute transparence.

Note :

(1) La « rareté » est une notion bien vague. Est-ce 1 pour 1 000 ? Un pour 10 000 ? S’agissant de la plus grande opération de vaccination de toute l’histoire, la question est importante aussi bien sur le plan scientifique que sur celui de la santé publique (et de son éthique). De ce dernier point de vue, nous avons vu (cet article et le précédent) que, dans les pays occidentaux, la mortalité vaccinale présumée des nouveaux vaccins anti-covid est probablement de l’ordre de 1 décès pour 30 000 vaccinations intégrales. Pour 30 millions de vaccinations, cela fait donc 1 000 décès. Pour 300 millions, 10 000 décès. Etcetera. Est-ce assumable éthiquement ? Par ailleurs, sur le plan scientifique, la question est également importante. En effet, indépendamment même de toute autre question méthodologique (transparence des protocoles, représentativité de l’échantillon, sincérité des analyses, etc.), les essais cliniques des industriels ont porté sur des populations de 30 000 (Moderna) à 44 000 personnes (Pfizer), ce qui peut paraître important vu de loin. En réalité, divisé en deux groupes (un groupe vacciné, un groupe placebo), cela donne des populations vaccinées d’environ 15 000 à 22 000 personnes. De sorte que des effets indésirables très graves (a fortiori mortels) survenant dans 1 cas sur 30 000 peuvent ne jamais y avoir été constatés.




Guide juridique pour la liberté vaccinale

[Source : Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations (infovaccin.fr)]

06.08.2021 – GUIDE JURIDIQUE LOI PASS SANITAIRE

Publication d’un Guide juridique pour la liberté vaccinale et contre le pass sanitaire

La Ligue nationale pour la liberté des vaccinations (LNPLV) vient de publier un « Guide juridique pour la liberté vaccinale » pour aider les Français à contrer par des moyens légaux une ségrégation sanitaire manifestement hors-la-loi. 

La nouvelle loi instaurant le pass sanitaire pour les activités du quotidien et l’obligation vaccinale, bien qu’adoptée par les deux assemblées le 25 juillet dernier , puis validée par le Conseil Constitutionnel le 5 août 2021, entre en totale contradiction avec tous les textes de Droit, qu’ils soient nationaux, européens ou internationaux. 

Conformément à sa mission et ses statuts, la Ligue entend contribuer à faire respecter les droits et libertés des citoyens, notamment leur intégrité physique.

Face au désarroi manifeste des Français confrontés à un Etat désormais sans foi ni loi, nous mettons à disposition un guide juridique de 40 pages qui rassemble : 

– les avis juridiques de plusieurs cabinets d’avocats
– des modèles de courrier à adresser aux employeurs ou aux institutions
– un « rappel à la loi » vis-à-vis de toute personne qui obligerait à la vaccination ou interdirait l’accès à un lieu, comme les hôpitaux
– un mémo récapitulatif à joindre à vos courriers, réalisé par Me de Araujo-Recchia

C’est un devoir citoyen urgent de se défendre par tous les moyens juridiques possibles contre cette nouvelle discrimination !
Nous appelons donc nos concitoyens à se saisir massivement de cette boîte à outils juridique en la partageant avec le plus grand nombre et en passant rapidement à l’action !

GUIDE JURIDIQUE pour la LIBERTE VACCINALE.V1.0.pdf




Une troisième dose de vaccin contre le coronavirus recommandée pour 300 à 400 000 personnes en Belgique: voici les groupes concernés

[Source : sudinfo.be]

Une troisième dose d’un vaccin à ARN-messager contre la Covid-19 semble appropriée pour certaines catégories de personnes immunodéprimées, selon un rapport du Centre fédéral d’expertise des soins de santé (KCE) et de la task-force vaccination publié mardi. Selon le ministre fédéral de la Santé, Frank Vandenbroucke, cela concerne de 300 à 400.000 personnes.

L’Allemagne, Israël et les États-Unis, notamment, ont déjà donné leur feu vert à une troisième dose, pour certaines catégories de personnes, des vaccins Pfizer ou Moderna. Chez nous, la question figure au menu de la conférence interministérielle Santé prévue ce mercredi.

Selon le rapport, une troisième dose est utile pour certaines catégories de personnes, comme celles souffrant de troubles de l’immunité innés, les patients en dialyse rénale chronique, certains patients VIH positifs, les patients ayant subi une transplantation ou encore ceux souffrant de maladies inflammatoires traitées par des immunosuppresseurs.

Lire aussi Vaccination obligatoire du personnel soignant: le ministre de la Santé Frank Vandenbroucke s’est exprimé, «il faut franchir une nouvelle étape»

Pour les personnes âgées, il n’y a pas encore de résultats d’études publiés sur l’administration d’une troisième dose, constate le rapport. La task-force vaccination conseille dès lors d’attendre les analyses prévues dans les prochaines semaines sur les infections dites de percée (qui touchent des personnes entièrement vaccinées) et les résultats d’études cliniques sur l’administration d’une troisième dose.

Une extension par étapes à d’autres groupes à risque est possible aux yeux de la task-force mais seulement sur la base de recherches nationales et internationales solides et de preuves scientifiques.

La task-force rappelle enfin l’importance de mesures « non-pharmacologiques » comme la ventilation, la distance physique et le port du masque buccal mais aussi l’importance de la vaccination de base des Belges de plus de 12 ans.




5G La nouvelle utopie

[Source : recit.be]

Par Miguel Coma

Table des matières

Introduction

  1. La technologie 5G en bref (version simplifiée)
  2. Arguments Sanitaires
    • Des milliers d’études scientifiques démontrant des impacts biologiques
      • National Toxicology Program (USA)
      • Institut Ramazzini (Italie)
      • BioInitiative (International)
    • Risques sanitaires posés par les caractéristiques des ondes de la 5G
      • Des fréquences encore inexploitées dans les réseaux mobiles
      • Des faisceaux concentrés ciblant directement les personnes
      • Une exposition permanente à de fortes puissances
      • Un échauffement supérieur de la peau mais plus encore
      • Des effets sanitaires mal connus dus aux ondes millimétriques et au massive MIMO
      • Mises en garde sur les ondes millimétriques
      • Conclusions sanitaires concernant les caractéristiques des ondes de la 5G
    • Problèmes posés par les “directives de sécurité”
    • Sensibilité du vivant aux caractéristiques des radiofréquences
      • Intensité du rayonnement
      • Fréquence porteuse du rayonnement
      • Modulation et pulsation du rayonnement
      • Polarisation du rayonnement
    • Effets des radiofréquences sur la santé à des niveaux non-thermiques
      • Cancer et tumeurs cancéreuses
      • Effets sur l’ADN cellulaire
      • Effets sur la fertilité
      • Maladies et malformations congénitales
      • Effets cognitifs, neurologiques et neuropsychiatriques
      • Apoptose ou mort cellulaire
      • Stress oxydant et dommages causés par les radicaux libres
      • Troubles cardiaques
      • Maladies dégénératives
      • Hypersensibilité Électromagnétique (HSEM ou EHS)
      • Effets sur le système endocrinien (hormonal)
      • Effets sur le système immunitaire
    • Mécanismes d’action des champs et rayonnements électromagnétiques
    • Conclusions sur les impacts sanitaires de la 5G
  3. Arguments environnementaux
    • Impacts significatifs de la 5G sur la consommation électrique
      • Consommation électrique du numérique et de la 4G en 2019
      • Facteurs d’évaluation du surplus de consommation électrique du réseau 5G
      • Efficacité énergétique du réseau 5G : des questions encore sans réponse
      • Estimation minimale du surplus de consommation électrique du réseau 5G
      • Inconnues sur la consommation électrique des terminaux 5G
    • Impacts énergétiques liés à la production de matériel 5G
    • Consommation énergétique de la 5G: synthèse
    • Impact de la 5G sur le changement climatique/span><
    • Pollutions intrinsèques aux équipements télécoms 5G
      • 5G, lithium et besoins en eau
      • Une exploitation minière extrêmement polluante et dénaturant le paysage
      • Une catastrophe écologique et sanitaire liée aux terres rares et à la délocalisation
      • Des décharges monumentales et un recyclage improbable voire impossible
      • Conclusions au sujet des pollutions intrinsèques de la 5G
    • Raréfaction des ressources naturelles et décroissance accélérée
    • Impacts sur la faune et la flore
    • Impact environnemental des ondes millimétriques
      • Effets thermiques sur les organismes et organes exposés de petite taille
      • Mise en résonance des organismes exposés de petite taille
      • Impact sur les bactéries et résistance aux antibiotiques
      • Abattage des arbres entravant la propagation des ondes millimétriques
      • Interférences avec les prévisions météo et le suivi du changement climatique
    • Vers un Internet plus durable
    • Conclusions sur les impacts environnementaux de la 5G
  4. Arguments économiques
    • Une industrie mobile en permanente mutation
    • Les promesses économiques de la 5G
    • Les failles du Plan d’Action 5G européen
    • Les intérêts économiques des acteurs de la 5G
      • Les intérêts des constructeurs de matériel 5G
      • Les intérêts des Etats
      • Les intérêts du monde académique
      • Les intérêts des opérateurs
    • Le dilemme des opérateurs de téléphonie mobile
      • Une industrie déjà en grande difficulté économique
      • Après l’échec économique de la 4G, le gouffre de la 5G
        • Les opérateurs critiques face à la 5G
        • Le dilemme de l’opérateur prisonnier de la 5G
        • La 5G implique une hausse spectaculaire des coûts pour les opérateurs
        • Des réductions des coûts aux impacts limités et incertains
        • Des revenus sans hausse significative attendue
        • Un retour sur investissement plus qu’incertain
      • Les opérateurs développent des stratégies de survie
    • Pertes économiques collatérales causées par la 5G
    • Conclusions sur les impacts économiques de la 5G
  5. Arguments légaux et régulatoires
    • Le déploiement mondial de la 5G est contraire aux Lois internationales
    • Les “limites de protection” sont définies sur des bases pseudo-scientifiques
    • La science biaisée par l’industrie
    • L’ICNIRP est sous le contrôle de l’industrie
    • Conclusions sur les problèmes légaux et régulatoires liés à la 5G
  6. Arguments démocratiques et sociétaux
    • Des appels internationaux alarmants
    • Les associations citoyennes en action
    • Opinion majoritaire contre la 5G et mobilisation
    • La place du vivant, des écosystèmes et des ressources dans notre société
    • Des conditions de vie inhumaines liées à l’extraction des minerais
    • Les objets connectés et la protection de la vie privée
    • La 5G : une menace à la sécurité des personnes, des données et des nations
      • Une cybercriminalité en hausse et de plus en plus organisée
      • La 5G pose de nouveaux risques pour les vies humaines
      • Des faiblesses de sécurité inhérentes à la conception de la 5G
      • La sécurité nationale et l’équilibre géopolitique mis à mal par la 5G
    • La 5G pose des questions d’ordre éthique
      • Le changement climatique mènera-t-il à la régression ou à l’évolution de la société ?
      • La 5G : expérimentation de masse
      • Des personnes hypersensibles bannies de la société
      • Des phénomènes d’addiction à la technologie
      • La 5G : nécessité, besoin, ou envie ?
      • La place de l’humain dans un monde tout-connecté
      • L’Intelligence Artificielle et le soulèvement des machines
      • La 5G ouvre la voie vers un monde hypermnésique
      • La place des mondes virtuels dans le monde réel
      • L’industrie aux manettes de l’OMS et du pouvoir ?
      • Les dérives du capitalisme de surveillance
      • Une hausse de la fracture numérique
      • La censure des anti-5G et l’absence d’un vrai débat citoyen
    • Conclusions sur les impacts sociétaux de la 5G
  7. Faux arguments sur la 5G
    • Faux arguments technologiques
      • Il n’y aurait pas d’alternative à la 5G pour le futur de la connectivité169 LE MYTHE DE LA 5G169 LE RÔLE DU CÂBLE ET DE LA FIBRE OPTIQUE
      • La 5G serait indispensable à l’innovation dans de nombreux secteurs
      • Les besoins futurs en vitesse ne seraient pas satisfaits sans la 5G
      • Les besoins futurs en latence ne seraient pas satisfaits sans la 5G
      • Les besoins futurs en capacité ne seraient pas satisfaits sans la 5G
      • La 5G est une vision déconnectée de la réalité
        • L’Internet des Objets aurait besoin de la 5G
        • La Réalité Virtuelle et Augmentée auraient besoin de la 5G
        • Le secteur de la santé tirerait profit de la 5G
        • Les véhicules autonomes auraient besoin de la 5G
        • Les drones auraient besoin de la 5G
        • Les réseaux intelligents auraient besoin de la 5G
        • L’accès mobile à large bande aurait besoin de la 5G
        • La mobilité accrue aurait besoin de la 5G
        • Les communications en temps réel auraient besoin de la 5G
        • Les services de secours auraient besoin de la 5G
        • La robotique industrielle aurait besoin de la 5G
        • Les prévisions météo seraient améliorées grâce à la 5G
    • Faux arguments sanitaires
      • La 5G remplacera les 2G et 3G et il n’y aurait donc pas plus de danger
      • La 5G nous exposerait à moins de danger que la 4G
      • Les antennes de la 5G seraient moins puissantes et donc moins nocives
      • Les effets des ondes millimétriques sur la santé seraient négligeables
      • Les ondes 5G n’auraient pas assez d’énergie pour endommager nos cellules
      • Les ondes de la 5G ne cibleraient que les appareils qui en ont besoin
      • La 5G nous exposerait moins par ses transferts de données plus courts
      • La portée réduite des ondes de la 5G réduirait le danger
      • Les bâtiments nous protégeraient des ondes de la 5G
      • La 5G serait moins nocive que les rayons du soleil
      • La 5G serait nécessaire pour sauver des vies
      • La toxicité cancéreuse des radiofréquences ne serait pas un problème
      • Il n’y aurait pas d’explication plausible à l’impact sanitaire des radiofréquences
      • Les études scientifiques indiquant un risque sanitaire seraient biaisées
    • Faux arguments environnementaux
      • La 5G serait plus efficace énergétiquement que les précédentes générations
      • La 5G soutiendrait les économies d’énergie dans d’autres secteurs
  8. La sonnette d’alarme avant le basculement ?
  9. L’alternative à la 5G
    • Un déploiement de la 5G ciblé à ses bénéficiaires
    • Des alternatives câblées et sans fil
    • L’heure des choix décisifs pour notre avenir connecté
    • Une vision alternative de la connectivité

Conclusions

Annexes

La technologie 5G en bref (pour les geeks)

Liste non exhaustive de substances nécessaires à la production de smartphones

Glossaire

Abréviations

Quelques extraits

« Les êtres humains sont des systèmes bioélectriques. Nos cœurs et nos cerveaux sont régulés par des signaux bioélectriques. L’exposition à des Champs Électro-Magnétiques artificiels (CEM) peut interagir avec les procédés fondamentaux du corps humain La corrélation entre l’exposition aux CEM et les cancers et maladies neurodégénératives est suffisamment forte pour mériter des actions préventives. Les normes actuelles sont loin d’être adéquates pour protéger la santé publique. »

En 2007, sur ces bases scientifiques, le groupe formule une recommandation d’intensité maximale d’exposition aux antennes mobiles, revue en 2012 suite à l’analyse des nouvelles études. L’intensité recommandée est 3 millions de fois inférieure à la limite internationale. En raison du manque d’études sur les expositions à long terme ou sur les populations plus sensibles comme les enfants, cette recommandation tient compte du principe de précaution. En effet, des effets biologiques ont été observés à partir de niveaux 300 000 fois inférieurs à la limite actuelle définie par l’ICNIRP depuis 1998.

Le Dr Agostino Di Ciaula, MD, de l’Azienda Sanitaria Locale Barletta-Andria-Trani (Italie), publie en février 2018 :

« Des observations préliminaires ont montré que les ondes millimétriques augmentent la température de la peau, modifient l’expression des gènes, favorisent la prolifération cellulaire et la synthèse des protéines liées au stress oxydant, aux processus inflammatoires et métaboliques, pourraient générer des dommages oculaires, affecter la dynamique neuromusculaire. » (notre traduction)

Conclusions concernant les limites d’exposition :

  • Une révision à la baisse des limites d’exposition est absolument nécessaire pour préserver la santé des citoyens. Ceci implique non seulement une diminution des normes en fonction des recommandations publiées par le monde médical et scientifique, conformément au principe ALARA50, en particulier dans les lieux où séjournent des enfants, des femmes enceintes, des malades, des personnes âgées, mais également une remise en cause complète des fondements mêmes des “directives de sécurité” afin de tenir compte des résultats des études scientifiques indépendantes et des connaissances accumulées en matière d’impact sanitaire des rayonnements.
  • Cette demande est appuyée par un grand nombre de scientifiques et de membres du corps médical
  • La révision à la baisse des normes d’exposition pour protéger la population demandera un courage politique certain.

Effets des radiofréquences sur la santé à des niveaux non-thermiques

Nous avons tenu à répertorier très sommairement les effets sanitaires déjà identifiées lors des expositions aux rayonnements de radiofréquences à ce jour. Chaque maladie ou trouble mériterait bien sûr un traitement bien plus détaillé et en profondeur, mais ce n’est pas le propos de ce rapport qui adopte une perspective large des problématiques.

Vu le nombre important d’études scientifiques disponibles sur le sujet, et afin d’éviter d’alourdir notre rapport, nous référons le lecteur aux listes bibliographiques en fin de dossier du rapport ondes.brussels de novembre 201888.

Lorsqu’un effet sanitaire est repris par le Conseil Supérieur de la Santé en Belgique en 2019, nous y référons le lecteur en bas de page.

Sans doute est-il utile de mentionner que toutes les conséquences sanitaires des technologies déjà en place n’ont pas encore été entièrement révélées. Des pathologies comme le cancer, par exemple, se développent sur le long terme. Ainsi se peut-il qu’il faille plusieurs décennies d’exposition avant que des augmentations significatives de cas ne soient rapportées.

Cancer et tumeurs cancéreuses

Le CIRC89 a classé en 2011 les émissions de hautes fréquences (radiofréquences / micro-ondes) parmi les substances cancérogènes possibles (classe 2B). Il est prévu que cette classification soit réévaluée avant 2024. Compte tenu des études les plus récentes sur le sujet et selon l’avis de nombreux scientifiques (dont ceux de l’institut Ramazzini de recherche en cancérologie environnementale), il est probable que les émissions de hautes fréquences soit classées au niveau cancérogène certain (classe 1).

Les nombreuses études réalisées sur cette catégorie ont identifié entre autres les effets suivants:

  • initiation, promotion et progression tumorale
  • invasion tissulaire
  • métastases

Les types de cancers et tumeurs aggravés et/ou causés par les radiofréquences selon ces études sont les suivants :

  • Tumeurs cérébrales malignes ou bénignes dont gliomes90 (tumeurs malignes des cellules gliales) et neurinome de l’acoustique (tumeur bénigne du nerf acoustique) :
    • En lien avec l’utilisation du téléphone mobile
    • Plausibilité d’une relation de cause à effet renforcée par l’apparition de tumeurs homolatérales, c’est-à-dire des tumeurs qui se développent du côté de la tête où le téléphone a été majoritairement utilisé. Une équipe de chercheurs s’est notamment intéressée à l’incidence du type le plus malin de tumeur cérébrale, le glioblastome multiforme, en Angleterre entre 1995 et 2015. Dans un article publié en juin 201891, les auteurs montrent une augmentation linéaire, importante et statistiquement très significative des tumeurs primaires de type glioblastome multiforme sur cette période de 21 ans, en particulier dans les lobes frontaux et temporaux du cerveau, à savoir les parties les plus exposées aux rayonnements provenant du téléphone portable sans fil.
  • Tumeur de la glande parotide
    • En lien avec l’utilisation du téléphone portable
  • Leucémie92
    • En lien avec l’exposition du corps entier (ex. dans le domaine militaire)
  • Lymphome (cancer du système lymphatique)
    • En lien avec l’exposition du corps entier (ex. dans le domaine militaire)
  • Cancer du sein

Concernant les effets cancérologiques encore à étudier, ils sont repris à la section Des effets sanitaires mal connus dus aux ondes millimétriques et au massive MIMO.

Certains types de tumeurs du cerveau pourraient être expliquées par une action néfaste (seule ou en combinaison avec d’autres facteurs) des rayonnements de radiofréquences sur la barrière hémato-encéphalique dont le rôle est de filtrer les agents toxiques présents dans le sang afin qu’ils ne pénètrent pas dans le cerveau.

Effets sur l’ADN cellulaire

Divers effets ont été constatés confirmant un effet sur l’ADN, qui est la molécule essentielle à toute forme de vie connue et contenant le code génétique.

On constate les effets suivants sur l’ADN suite à une exposition à des rayonnements non ionisants du type micro-ondes utilisé par les télécommunications mobiles :

  • ruptures simple brin et double brin
  • effets sur les bases oxydées dans l’ADN cellulaire
  • mutations chromosomiques produites par les ruptures double brin d’ADN

Des dommages à l’ADN peuvent apporter une explication plausible notamment à l’apparition de tumeurs cancéreuses, de problèmes de fertilité, de maladies congénitales ainsi que de malformations.

Les dommages causés à l’ADN par les rayonnements de radiofréquences sont aujourd’hui largement établis mais les conséquences génotoxiques et mutagènes des rayonnements électromagnétiques non ionisants sont encore controversées.

Le lien entre exposition aux rayonnements de radiofréquences et mutations semble pourtant bien observé, sur base d’expériences scientifiques. Voir également la section Maladies et malformations congénitales.

Effets sur la fertilité

Les rayonnements de radiofréquences utilisés par la téléphonie mobile et le sans-fil en général, peuvent avoir des conséquences multiples sur la fertilité féminine et masculine, observées dans la littérature scientifique :

  • Fertilité masculine
    • remodelage tissulaire au niveau des testicules
    • baisse du nombre de spermatozoïdes, de leur motilité et autres paramètres des spermatozoïdes
  • Fertilité féminine
    • remodelage ovarien
    • chute des ovocytes (follicules)
    • baisse des taux d’œstrogène, de progestérone et de testostérone (taux des hormones sexuelles)
    • augmentation du risque de fausse couche
    • baisse de libido

Maladies et malformations congénitales

Vu le caractère aléatoire des gènes endommagés, il serait vain de tenter de dénombrer de façon exhaustive les maladies congénitales et malformations potentielles liées à l’exposition aux radiofréquences. Nous ne citerons donc qu’une seule étude à ce sujet afin d’illustrer le potentiel de dommages sur le vivant. Ensuite, nous identifierons les mécanismes par lesquels des conséquences à long terme peuvent apparaître sur le génome et en particulier celui de l’humain.

Des malformations congénitales ont été observées chez les poulets suite à une exposition à la téléphonie mobile. Une étude93 de 2012 exposant les poulets de façon intermittente (quatre fois 15 minutes par jour), a observé notamment des embryons plus gros, des saignements sous- cutanés, des malformations cérébrales, une augmentation de la croissance des yeux, une augmentation significative de l’épaisseur de la rétine de l’œil ainsi que d’autres problèmes rétiniens.

Ainsi, bien qu’encore peu nombreuses, des études existent sur le sujet des dommages congénitaux en lien avec l’exposition aux rayonnements des technologies sans fil. Elles indiquent que des malformations et maladies congénitales peuvent apparaître dès la première génération exposée.

Plus inquiétant encore, certains dommages causés aujourd’hui à l’ADN et pouvant mener à des malformations ou maladies congénitales sont susceptibles d’être transmis aux générations suivantes.

Les conséquences peuvent ne pas apparaître directement mais seulement après plusieurs générations94 :

« Croyez-le ou non, la perte de fertilité induite électromagnétiquement est la bonne nouvelle puisque cela signifie que les embryons gravement endommagés sont moins susceptibles d’être conçus. La mauvaise nouvelle est que tout gène endommagé nécessaire au développement de l’embryon mais non nécessaire au fonctionnement normal de l’ovule ou du sperme, ne sera pas éliminé de cette manière. Ces gènes peuvent encore trouver leur chemin dans le fœtus et causer des dommages génétiques permanents. L’effet peut ne pas être apparent dans la première génération puisqu’un gène non fonctionnel d’un parent peut souvent être compensé si l’autre parent fournit une bonne version du même gène. En fait, de graves problèmes peuvent ne pas survenir pendant de nombreuses générations jusqu’à ce que par hasard deux versions défectueuses du même gène se retrouvent dans le même fœtus. Ce qui se passe alors dépend du gène concerné, mais il est peu susceptible d’être bénéfique et peut être mortel ». (notre traduction)

Barrie Trower, retraité de la Royal Navy britannique, expert de longue date en armement basé sur les micro-ondes, a ainsi développé une large connaissance liée à leurs effets sanitaires (volontaires dans ce cas précis). Il détient un profil rare combinant des connaissances en physique et en physiologie. Il nous met particulièrement en garde sur les risques de dommages irréparables aux cellules humaines les plus vulnérables : les ovules des jeunes filles.

Militant contre l’installation du Wi-Fi dans les écoles, voici un court extrait de son témoignage assermenté devant la Cour de Portland (Oregon, USA)95 :

« Le problème posé aux jeunes filles est que l’irradiation par micro-ondes endommagent la structure génétique dans leurs ovaires. Les filles naissent avec tous les ovules dont elles ont besoin dans leurs ovaires. Ce sont des œufs immatures, donc sensibles aux dommages pendant la croissance. Les micro- ondes sont génotoxiques (des expériences montrent qu’un rayonnement de téléphonie mobile de bas niveau sur des enfants perturbe la biochimie des cellules folliculaires dans l’ovaire), par conséquent, l’irradiation par micro-ondes pourrait affecter la structure génétique dans les ovules. Le problème est ici que l’ADN mitochondrial, les gènes à l’intérieur des ovaires, est irréparable. Si vous avez une petite fille chez qui il y a des dommages, par ce mécanisme, à la structure génétique de l’un de ses ovules et qu’elle a une fille, cette fille portera ce problème génétique. C’est irréparable. Et sa fille portera à son tour ce problème génétique, car il est irréparable. Et chaque femme pour toujours, dans cette lignée, portera ce problème à perpétuité, car il est irréparable. » (notre traduction)

Andrew Goldsworthy cité plus haut conclut son étude ainsi :

« La conclusion générale est que les dommages génétiques causés par l’exposition aux rayonnements électromagnétiques peuvent avoir un effet presque immédiat sur la fertilité, mais que les dommages à la progéniture peuvent prendre plusieurs générations à apparaître. Si nous ne faisons rien pour limiter notre exposition aux rayonnements électromagnétiques, nous pouvons anticiper un lent déclin de la viabilité du génome humain pour de nombreuses générations à venir. Il est ironique qu’ayant tout juste découvert le génome humain, nous nous sommes déjà mis à le détruire systématiquement. » (notre traduction)

Effets cognitifs, neurologiques et neuropsychiatriques

De nombreux effets cognitifs ou neurologiques étudiés dans la littérature scientifique, seraient en lien avec l’exposition aux rayonnements de radiofréquences artificiels :

  • troubles du sommeil/insomnie
  • fatigue/fatigabilité
  • maux de tête
  • dépression/symptômes dépressifs
  • manque de concentration/attention/déficience cognitive, TDAH
  • étourdissements/vertiges
  • troubles de la mémoire
  • nervosité, tension, anxiété/stress/agitation, irritabilité
  • troubles du comportement et du langage chez l’enfant96
  • démence, voir aussi maladie d’Alzheimer
  • différentes formes d’autisme
  • acouphènes
  • tremblements

L’humain est un être électromagnétique dont les fonctions sont régulées par des extrêmement basses fréquences, qui sont présentes naturellement sur Terre.

Notre nature électromagnétique est confirmée notamment dans une étude de 2018 qui indique que la fréquence de 10 Hz97 correspond à celle des ondes alpha du cerveau. Son utilisation dans les signaux pulsés du Wi-Fi, perturbe l’horloge biologique interne et l’électro-encéphalogramme des sujets même des heures après l’exposition aux ondes, et ce à des niveaux bien en-dessous des limites de sécurité.

Une action néfaste des radiofréquences sur la barrière hémato-encéphalique protégeant le cerveau d’agents toxiques présents dans le sang, pourrait également jouer un rôle dans l’apparition de troubles cognitifs, neurologiques et neuropsychiatriques.

Apoptose ou mort cellulaire

Le processus d’apoptose intervient dans l’apparition de maladies neurodégénératives ainsi que dans l’infertilité, explorées plus haut. Il est donc utile d’indiquer que cette mort cellulaire peut expliquer le lien entre une exposition aux rayonnements de radiofréquences et ces catégories de pathologies. Cependant, les mécanismes biologiques complexes impliqués dans l’apoptose dépassent le cadre de ce rapport.

Stress oxydant et dommages causés par les radicaux libres

Les radicaux libres interviennent dans des mécanismes importants causant un stress oxydant, impliqué dans les maladies chroniques, le vieillissement précoce, ainsi que les dommages à l’ADN cellulaire. Ce rapport n’a pas pour ambition de traiter ces processus complexes délétères. Il est néanmoins utile de garder à l’esprit le rôle néfaste que peut jouer le stress oxydant suite à une exposition aux ondes des télécommunications sans fil.

Troubles cardiaques

Divers troubles cardiaques parfois mortels ont été étudiés et identifiés dans le cadre d’études

sur l’exposition humaine aux rayonnements radiofréquences :

  • tachycardie
  • arythmie
  • bradycardie
  • arrêt cardiaque (infarctus)

Maladies dégénératives

Des études rapportent que les rayonnements de radiofréquences peuvent contribuer à l’apparition de :

  • maladie d’Alzheimer
    Cette maladie dégénérative apparaît à des âges de plus en plus précoces.
    Selon le Prof. Dominique Belpomme98, il existe une vingtaine d’études épidémiologiques indiquant un lien entre l’exposition aux champs électromagnétiques et la maladie d’Alzheimer.
  • sclérose latérale amyotrophique

Ces maladies sont énumérées dans une méta-étude de 202099 reprenant une vue très large couvrant 5400 études dans la littérature scientifique.

Hypersensibilité Electromagnétique (HSEM ou EHS)

Il existe une forte présomption de causalité entre la pollution électromagnétique toujours croissante liée aux technologies sans fil, et un véritable problème épidémique voire pandémique faisant de plus en plus de victimes parmi les personnes électro-hypersensibles (HSEM ou EHS).

L’OMS a bien identifié ce trouble mais n’admet pas l’existence d’un lien de cause à effet avec les champs et rayonnements électromagnétiques, prétextant le manque d’études scientifiques à ce jour100. Elle n’admet pas non plus qu’on puisse en faire un diagnostic médical. Elle se contente d’en énoncer les symptômes sans pouvoir établir un lien avec les causes : symptômes dermatologiques (rougeurs, picotements et sensations de brûlure), des symptômes neurasthéniques et végétatifs (fatigue, lassitude, difficultés de concentration, étourdissements, nausées, palpitations cardiaques et troubles digestifs). L’OMS n’a pas revu son opinion sur la question de l’EHS depuis 2014.

L’association belge francophone pour la reconnaissance de l’électrohypersensibilité, l’AREHS101 identifie d’autres symptômes non repris par l’OMS : maux de tête, troubles de sommeil, troubles de la mémoire, acouphènes, troubles de la vision, douleurs musculaires et articulaires, ou irritabilité.

Le corps médical se trouve encore démuni face à ce syndrome qui n’est pas abordé dans le cursus académique. La formation médicale semble donc un pilier fondamental encore à construire afin de limiter les conséquences sanitaires liées aux champs électromagnétiques artificiels. Des premières initiatives ont été lancées à Bruxelles et à Genève afin d’intégrer l’EHS dans le cursus universitaire102.

Les associations de défense des personnes électro-hypersensibles se multiplient à travers le monde et leurs rangs sont toujours plus nombreux. Pourtant, par manque de reconnaissance et donc de statistiques officielles, il est très difficile d’évaluer leur nombre parmi la population. Le Prof. Olle Johansson a rassemblé un ensemble d’études à travers le monde, et conclut en janvier 2020 à une incidence de l’EHS située entre 3,5 et 13,3% de la population. L’EHS semble frapper toutes les catégories sociales et toutes les classes d’âges, indépendamment du style de vie. Le nombre de cas d’hyper sensibilité électromagnétique serait plus élevé chez les femmes (65% des cas) d’après certaines études. Selon les associations et divers médecins, les victimes des champs électromagnétiques ne naissent pas EHS. Elles développent une hypersensibilité suite à une exposition relativement forte et/ou prolongée aux rayonnements électromagnétiques artificiels. La réaction biologique à l’exposition peut être immédiate et cesser tout aussi immédiatement suite à l’arrêt de l’exposition. Cependant la réaction biologique peut être également décalée dans le temps, survenir après le début de l’exposition ou suite à une accumulation de l’exposition, et se prolonger plus ou moins longtemps après l’exposition.

Les causes médicales encore controversées de l‘EHS ainsi que le manque de protection des populations, posent un problème sociétal et éthique, repris à la section Des personnes hypersensibles bannies de la société.

En complément à la lecture cette section, nous vous invitons à découvrir deux auditions enregistrées en vidéo103 au Sénat de Belgique. A la fin de la première vidéo, le Prof. Dominique Belpomme dénonce un « crime de santé publique » et une « pandémie électromagnétique ».

Effets sur le système endocrinien (hormonal)

Afin de rappeler le rôle, l’importance et la complexité du système hormonal, mais aussi du système immunitaire, nous reprendrons un extrait du site de Physicians for Safe Technology104 :

« Les systèmes immunitaire et endocrinien sont des systèmes organiques critiques qui sont également étroitement liés au système nerveux et peuvent avoir un impact profond sur la reproduction, le développement et la fonction du fœtus ainsi que sur la promotion / prévention du cancer, la défense contre les infections, la cicatrisation des plaies, la fonction neurologique, l’homéostasie métabolique et le vieillissement. Le système immunitaire peut également cibler les propres tissus sains du corps, qui se manifestent par diverses maladies auto-immunes telles que le diabète de type 1, le lupus, la polyarthrite rhumatoïde et le psoriasis. » (notre traduction).

Cette source indique l’observation d’effets néfastes sur la fonction thyroïdienne.

Des changements dans les hormones stéroïdiennes et non stéroïdiennes ont été observés suite à une exposition aux rayonnements de radiofréquences artificiels. Par exemple, le stress oxydant et l’inflammation provoqués par l’exposition peuvent mener à une diminution de la production de mélatonine (appelée parfois « hormone du sommeil »). A cela s’ajoute le fait que la mélatonine, un antioxydant puissant, est consommée par l’organisme pour pallier les effets du stress oxydant. A la longue, un déficit en mélatonine peut apparaître qui peut être à l’origine de plusieurs types de troubles, dont des troubles du sommeil.

Pour aller plus loin, Physicians for Safe Technology référence de nombreuses sources liées aux effets des rayonnements de radiofréquences sur le système endocrinien.

Effets sur le système immunitaire

Selon Physicians for Safe Technology, la recherche à ce stade n’est pas toujours cohérente dans ses méthodes ni ses résultats, au sujet du système immunitaire.

Les effets des rayonnements de radiofréquences sur le système immunitaire sont encore mal connus et parfois incohérents. Joel Moskowitz105 de l’Université Berkeley de Californie indique qu’il semblerait que des expositions de longue durée peuvent déprimer certaines fonctions immunitaires, alors que des expositions de courte durée semblent au contraire les stimuler.

Dans une brochure publiée en 2007219, le biologiste Ulrich Warnke rappelle que :

« C’est un fait avéré et les résultats de la recherche sont accessibles à tout un chacun depuis plusieurs dizaines d’années : les champs magnétiques et électriques naturels et leurs variations constituent des conditions essentielles à l’orientation et aux déplacements d’un grand nombre d’animaux. »

En avril 2020, une centaine d’étudiants belges en biologie et médecine tiraient la sonnette d’alarme220 à l’encontre de la 5G et indiquaient que la survie de l’humanité dépend des écosystèmes. Parmi les observations corrélées à l’exposition aux radiofréquences, ils citent, entre autres, l’effondrement des colonies d’abeilles (80% des abeilles ont disparu en Europe) et l’endommagement de la capacité des insectes à s’orienter à l’aide du champ magnétique terrestre (magnétoréception), la production de protéines de stress, une baisse de moitié de la fécondité, une atteinte aux facultés cognitives, de locomotion, d’apprentissage, et la perte totale de mémoire avec certains effets irréversibles.

L’effondrement des populations d’insectes impacte les populations d’animaux qui s’en nourrissent : oiseaux,

amphibiens et mammifères insectivores par exemple. Le déclin des pollinisateurs a des conséquences sur la chaîne alimentaire.

Les végétaux subissent également les impacts négatifs des radiofréquences. Ils présentent par exemple des anomalies morphologiques et de croissance, une chute prématurée ou un changement de couleur des feuilles, ou la mort de branches221. Or la végétation joue un rôle capital dans l’absorption du gaz carbonique et la régulation de l’effet de serre, mais aussi dans l’alimentation humaine et du bétail.

En mars 2020, le WWF publiait un plaidoyer222 mettant en garde l’humanité sur le risque accru de pandémies (zoonoses) lié à la dégradation de la biodiversité.

En bref, avec une explosion dramatique des niveaux d’exposition aux rayonnements de radiofréquences (en ce compris les ondes millimétriques), la 5G fait peser une lourde menace sur la biodiversité, sur la survie des écosystèmes, et donc sur la survie de l’espèce humaine.




Pass sanitaire et injection obligatoire : les conseils de « guerre » de Me de Araujo-Recchia et Me di Vizio

[Source : Anthropo-logiques]

Par Jean-Dominique Michel

Les fidèles lectrices et lecteurs de ce blog attesteront que, tel un Juvénal du temps présent, je souligne et regrette bruyamment ici depuis des mois l’effondrement éthique, sociétal et juridique auquel nous assistons sous la houlette toxique d’une médico-cratie en transe, entraînant dans son sillage des politiques qui ne le sont pas moins.

Ceci au détriment de toute logique et de toute souvenance qu’il existe quelque part un vague bidule appelé le « réel ».

Les mêmes professeurs azimutés (mais aussi instrumentalisés et à vrai dire assujettis – directement ou indirectement – à des intérêts privés) qui hurlaient au loup quant à la stratégie suédoise – consistant à n’imposer à la population que des mesures « evidence-based » en prenant soin d’en ré-évaluer régulièrement la pertinence-  nous abreuvent maintenant de beuglements semi-articulés selon lesquels la seule voie possible désormais est celle conduisant au « passsanitaire » et à la remise au pas des récalcitrants.

Soit ceux qui viennent d’être appelés « les paresseux, les égoïstes et les hésitants » par le président de la « Commission d’éthique et de la recherche » (!) du canton de Genève, M. Bernard Hirschel…

Avec un tel éthicien, pas besoin de scientistes un peu déjantés et mal dégrossis à qui rappeler les normes de l’éthique et la réalité du droit !

(Sur ce sujet de l’effondrement de l’éthique, passée d’un arbitrage paragidmatique et circonstancié de valeurs à une « cosméthique » faisant office de protection juridique pour les pouvoirs en place, un lecteur a fort aimablement attiré mon attention sur les travaux du Pr Jean-François Malherbe. On peut aussi bien sûr se référer à l’oeuvre magistrale de l’anthropologue Raymond Massé, que j’avais invité à donner une conférence à Genève sur ce sujet fondamental.)

Alors donc que la Suède continue de DÉMONTRER qu’on peut se passer absolument sans danger des mesures ravageuses imposées depuis 18 mois par ces technocrates enragés, voilà-t’il pas qu’une pléthore de politiciens se piquent de se faire les porte-drapeaux de nouveaux diktats de plus en plus délirants.

On aura donc vu des « incentives » comme on dit en marketing pour les pseudo-vaccins (qui sont en fait des injections géniques expérimentales) à faire se retourner dans leurs tombes les générations de médecins qui nous ont précédé et frémir d’horreur tous ceux à qui il reste un semblant de conscience : fast-food gratuitcrème glacéegâteau OFSP sur la place fédérale, mais aussi désormais loterie et, pourquoi pas bientôt, selon un autre trait de génie éthique du président de commission déjà cité, « payer les gens pour les encourager à se faire vacciner » (il ne s’agit pas d’un vaccin). Ceci dans une grand débondage de mépris social, puisqu’on comprend qu’un professeur de médecine avec un salaire de 300’000.- ou 400’000.- francs suisses par an (nous ne parlons pas des mieux lotis) ne saurait guère pour sa part être sensible aux 20.- ou 50.-promis…

Et comment ne pas penser à Babylone, la Grande Prostituée, devant tout ce cirque, cette danse macabre et fête des fous tout à la fois qui voit nos élites se vautrer dans la fange des cabinets de consultants vendant du vaccin (ce n’en sont pas) comme du savon à barbe ou le dernier gadget numérique à la mode. Menaces et brutalités en plus, certes.

Ceci pour des vaccins (qui n’en sont pas) pour lesquels on nous avait promis monts et merveille et qui s’avèrent de jour en jours beaucoup beaucoup moins sûrs, efficaces et même utiles qu’on nous l’avait vanté dans une opération publicitaire très réussie… et scientifiquement calamiteuse.

Bref, accrochons-nous car s’il nous est déjà arrivé d’observer que nous étions bel et bien en pleine bouffée délirante collective, nous n’avons probablement encore rien vu !

Comme l’avaient magnifiquement annoncé de vrais beaux et grands esprits -tout le contraire des sbires du scientisme obscène qui mènent la danse- les élites en perdition sont désormais dans une sorte de furie destructrice et autodestructrice. Par son mépris et son autocratique morgue, Emmanuel Macron attise les braises des flambées de violence qui inévitablement apparaîtront. L’homme on le sait n’hésite pas à faire nasser, tabasser, mutiler et  comparaître en procédure judiciaire accélérée (= sans les garanties élémentaires de l’état de droit) même et peut-être surtout des manifestants pacifiques. C’est une petite jouissance de la perversité parmi de bien plus grandes.

Alors ? Alors, comme l’autocrate nous l’avait annoncé, nous sommes bel et bien en guerre. Non pas contre un virus, bien sûr : il est aussi stupide de faire la guerre à virus que de manifester contre lui… Une guerre se mène toujours contre une population et c’est bien contre le peuple qui l’a élu que Macron lâche ses bombes à fragmentation et piétine l’état de droit.

Alors ? Alors « à la guerre comme à la guerre » lance en retour Me Fabrice di Vizio dans une interpellation appelant à l’union des gens de biens refusant d’entrer dans la mascarade de la panique chronique, de l’attaque et de la persécution des dissidents (« nous allons leur pourrir la vie » a ainsi lancé un ministre plein d’un sens de l’état et d’une élégance d’âme qui forcent le respect…)

Je le dis depuis longtemps : nos dirigeants politiques et sanitaires se comportent désormais comme des petites frappes sans scrupules ni foi ni loi.

A nous de leur lancer au visage le seau d’eau qui les sortira de leur délire paranoïaque !Comme l’énonce l’avocat parisien : LA CONFIANCE DANS LES AUTORITÉS C’EST FINI !–

La peur du débat (maximale en Suisse) est un signe de profonde déliquescence sociétale, démocratique et scientifique qui montre la fourberie et la lâcheté de ces autoritaires dévoyées. Aucun d’entre eux ne tiendrait deux minutes face à un contradicteur maîtrisant son sujet. D’où les campagnes de médisance et de calomnies contre les « dissidents », fussent-ils les plus compétents dans leur domaine (Ioannidis, Battacharya, Kulldorf, Giesecke, Gupta et Toubiana, c’est tout autre chose dans le domaine de l’épidémiologie que Flahault, Blachier ou Pittet !)

D’où le monopole aussi sur les plateaux et dans les colonnes en Suisse romande de la bande des huit (Flahault-Kaiser-Trono-Diana-Siegrist-Hurst-Kiefer-Pittet) qui ânonnent en chœur ou en solo le même dogme éculé (dans lequel la Suède, la réalité observable, l’éthique comme les bonnes pratiques médicales n’existent plus…) au service des intérêts privés qui les ont financés tout au long de leurs carrières.

Me di Vizio adresse quant à lui un bel hommage aux dissidents et aux résistants dont j’ai l’honneur de faire modestement partie avec tant d’autres, qu’ils soient en vue ou non.

https://youtu.be/n22nw1jNLD8

Et le temps bien sûr finira par nous donner raison d’avoir tenu sur les principes de la rigueur et de la probité intellectuelles, éthiques et citoyennes. Sur notre humanité. Et oui, puisqu’ils ne nous en laissent pas le choix, ce sera la guerre.

Pour notre part, ce sera une guerre pacifique et sans violence. Nous y mobiliserons toutes les ressources de l’intelligence, de la sensibilité, de la tendresse et du courage, avec pour armes le droit, la pensée, la science intègre, l’action communautaire et citoyenne ainsi que les quelques moyens d’action démocratiques qu’il nous reste. Et nous y serons intraitables et souverains face à tant de compromissions, de brutalité et d’iniquité !

Recours introduit par Me di Vizio le 3 juin 2021 auprès de la Cour de Justice de l’Union européenne pour non-respect du droit communautaire au sujet des Autorisations conditionnelles de mise sur le marché pour les injections géniques (improprement appelées « vaccins ») : pour accéder au fichier pdf, cliquer ici.

Je reproduis ici le message adressé par Me Virginie de Araujo-Recchia suite aux décisions liberticides de ce qui fut un temps l’Assemblée nationale et semble ne plus être qu’un déserté lupanar entérinant au petit matin les décisions glauques et putrides refusées dans un ultime sursaut de lucidité le soir.

Mesdames, Messieurs,

Je suis désolée de ne pas pouvoir répondre à l’ensemble des demandes, que je reçois actuellement.

Je vous prie de bien vouloir trouver ci-dessous, un ensemble d’éléments juridiques non exhaustifs susceptibles de vous aider à résoudre les problématiques rencontrées personnellement ou professionnellement concernant le pass sanitaire ou l’injection qui ne pourra être rendue obligatoire que lorsque le projet de loi en cours de discussion sera définitivement voté par le Parlement, qu’il aura éventuellement été soumis au Conseil constitutionnel et qu’il aura été publié au J.O.R.F.

Ces éléments peuvent être transmis aux avocats qui défendront vos droits, si nécessaire et en toute humilité bien entendu.

DROIT DU TRAVAIL:

– Les salariés ou agents publics du domaine de la santé:

Leur conseiller de garder toutes les preuves du harcèlement exercé par leur hiérarchie dans le but de les forcer à se faire injecter.

Leur conseiller de ne pas démissionner.

Leur conseiller éventuellement de transmettre le mémo ci-joint à leur hiérarchie.

Points 34 et 35 de l’avis du Conseil d’Etat en date du 19 juillet 2021 (à mettre en rapport avec le texte de loi une fois adopté):

Ma compréhension en attendant le texte définitif:

En l’absence de saisine préalable des instances consultatives des agents publics par le gouvernement, le régime spécifique d’interdiction d’exercer et de suspension de la rémunération, du fait de la violation de l’obligation vaccinale, ne peut être retenu pour les agents publics.

Ce régime ne peut être retenu uniquement pour les salariés, cela serait contraire au principe constitutionnel d’égalité.

Par conséquent, ni les agents publics ni les salariés ne peuvent, en l’état du texte, être soumis à ce régime d’interdiction d’exercer et de suspension de la rémunération.

La violation de l’obligation vaccinale peut être sanctionnée dans le cadre des procédures disciplinaires de droit commun.

Le gouvernement doit compléter le texte afin de tenir compte de ces observations.

DROIT CIVIL ET DROIT PÉNAL:

Les motifs juridiques qui pourraient être avancés sont d’ordres civil et pénal:

– Harcèlement d’une personne en vue de l’inciter à commettre un acte de nature à mettre sa vie en danger,

– Extorsion de consentement de nature à mettre en danger la vie d’autrui,

– Abus de pouvoir et abus de faiblesse étant donné que la campagne de manipulation et d’atteinte à l’intégrité psychologique/psychique/mentale a été massive et qu’il suffit désormais de menacer de licenciement ou autre pour que la personne en position de faiblesse s’exécute et subisse l’injection.

– Complicité de tentative d’empoisonnement

– Les personnes qui mettent en oeuvre les inoculations forcées verront leur responsabilité civile ou pénale recherchée également.

DROIT DES PATIENTS:

– Les patients refoulés par les hôpitaux:Obtenir les preuves du refus par écrit ou par huissier, témoins etc et envoyer un courrier au directeur général de l’A.R.S afin de contester l’acte médical forcé (test ou injection, pass sanitaire), qui est indiqué comme étant un préalable à toute intervention, sur la base des textes rappelés dans le mémo.– Procédure spécifique prévue par la loi:L’article R. 1112-11 du Code de la santé publique édicte les conditions d’admission d’un patient à l’hôpital. L’article R. 1112-12 du Code de la santé publique dispose qu’ « En cas de refus d’admettre un malade qui remplit les conditions requises pour être admis, alors que les disponibilités en lits de l’établissement permettent de le recevoir, l’admission peut être prononcée par le directeur de l’agence régionale de santé ».Il existe ainsi une procédure permettant de pallier un refus de soins constitué par un refus d’admission.– Sur le plan pénal en cas de discrimination:Article L1110-3 du Code de la santé publique:Aucune personne ne peut faire l’objet de discriminations dans l’accès à la prévention ou aux soins.Un professionnel de santé ne peut refuser de soigner une personne pour l’un des motifs visés au premier alinéa de l’article 225-1 ou à l’article 225-1-1 du code pénal.Article 225-1 du code pénal:« Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les personnes physiques sur le fondement de leur origine, de leur sexe, de leur situation de famille, de leur grossesse, de leur apparence physique, de la particulière vulnérabilité résultant de leur situation économique, apparente ou connue de son auteur, de leur patronyme, de leur lieu de résidence, de leur état de santé, de leur perte d’autonomie, de leur handicap, de leurs caractéristiques génétiques, de leurs mœurs, de leur orientation sexuelle, de leur identité de genre, de leur âge, de leurs opinions politiques, de leurs activités syndicales, de leur capacité à s’exprimer dans une langue autre que le français, de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une Nation, une prétendue race ou une religion déterminée. (…)

DROIT ADMINISTRATIF:

Le référé liberté de notre confrère Me KRIKORIAN met le Conseil d’Etat fasse à ses contradictions (ordonnance du Conseil d’Etat du 6 juillet 2021, affaire Quadrature du Net comparé à l’avis du 19 juillet 2021).

Nous attendons désormais la décision du Conseil d’Etat.

Nous rappelons l’arrêt du Conseil d’Etat du 6 mai 2019, affaire LNPLV, suivant lequel un « vaccin » ne peut être rendu obligatoire que dans les conditions suivantes:

– maladie connue et particulièrement grave,

– vaccins connus et recul suffisant,

– balance bénéfices/risques concluante.

Avec les 4 injections litigieuses, nous ne remplissons tout simplement aucun de ces critères.

DROIT EUROPÉEN:

Une action est en cours devant la Cour de Justice de l’Union européenne depuis le 17 juin 2021 et concerne 232 professionnels de santé français, 35 professionnels de santé italiens et une centaine de professionnels de santé autrichiens notamment. 

Des avocats d’autres Etats membres se sont probablement joints à l’action entre temps.

Cette action est destinée à demander la suppression de l’obligation d’injection pour les professionnels de santé et le retrait des autorisations conditionnelles de mise sur le marché pour les injections C-19.

Cette action est en cours d’instruction devant la CJUE.

Par ailleurs, tous les dossiers portés devant les juridictions pourront faire référence au règlement européen du 14 juin 2021 car les considérants sont très clairs:

RÈGLEMENT (UE) 2021/953 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 14 juin 2021, relatif à un cadre pour la délivrance, la vérification et l’acceptation de certificats COVID-19 interopérables de vaccination, de test et de rétablissement (certificat COVID numérique de l’UE) afin de faciliter la libre circulation pendant la pandémie de COVID-19

Lien direct ici

« Considérant ce qui suit: (…)

(36) Il y a lieu d’empêcher toute discrimination directe ou indirecte à l’encontre des personnes qui ne sont pas vaccinées, par exemple pour des raisons médicales, parce qu’elles ne font pas partie du groupe cible auquel le vaccin contre la COVID-19 est actuellement administré ou pour lequel il est actuellement autorisé, comme les enfants, ou parce qu’elles n’ont pas encore eu la possibilité de se faire vacciner ou ne souhaitent pas le faire. Par conséquent, la possession d’un certificat de vaccina- tion, ou la possession d’un certificat de vaccination mentionnant un vaccin contre la COVID-19, ne devrait pas constituer une condition préalable à l’exercice du droit à la libre circulation ou à l’utilisa- tion de services de transport de voyageurs transfrontaliers tels que les avions, les trains, les autocars ou les transbordeurs ou tout autre moyen de transport. En outre, le présent règlement ne peut être interprété comme établissant un droit ou une obligation d’être vacciné. (…)

(62) Le présent règlement respecte les droits fondamentaux et observe les principes reconnus no- tamment par la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne (ci-après dénommée « Charte »), en particulier le droit au respect de la vie privée et familiale, le droit à la protection des données à caractère personnel, le droit à l’égalité devant la loi et le droit à la non-discrimination, la liberté de circulation et le droit à un recours effectif. Les États membres sont tenus de respecter la Charte lorsqu’ils mettent en œuvre le présent règlement. »

Article 1 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, 7 juin 2016.

« Dignité humaine

La dignité humaine est inviolable. Elle doit être respectée et protégée. »

Article 3 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, 7 juin 2016.

« Article 3

Droit à l’intégrité de la personne

  1. Toute personne a droit à son intégrité physique et mentale.
  2. Dans le cadre de la médecine et de la biologie, doivent notamment être respectés:
    • a) le consentement libre et éclairé de la personne concernée, selon les modalités définies par la loi;
    • b) l’interdiction des pratiques eugéniques, notamment celles qui ont pour but la sélection des personnes;
    • c) l’interdiction de faire du corps humain et de ses parties, en tant que tels, une source de profit;
    • d) l’interdiction du clonage reproductif des êtres humains. »

Article 21 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, 7 juin 2016.

« Non-discrimination

1. Est interdite toute discrimination fondée notamment sur le sexe, la race, la couleur, les ori- gines ethniques ou sociales, les caractéristiques génétiques, la langue, la religion ou les convic- tions, les opinions politiques ou toute autre opinion, l’appartenance à une minorité nationale, la fortune, la naissance, un handicap, l’âge ou l’orientation sexuelle. (…) »

II. Valeur normative des considérants d’un règlement européen:

Il est généralement admis quel les considérants n’édictent pas, en principe, des règles, mais ont néanmoins pour vocation d’expliciter le sens et la portée des règles édictées.

Dans un instrument juridique de l’UE, les considérants de l’exposé des motifs revêtent une grande importance parce qu’ils expliquent la raison d’être de chaque disposition. Bien qu’ils n’aient pas de valeur juridique en tant que tels, les considérants peuvent être utilisés lors de l’interprétation du champ d’application des dispositions de fond du texte. La Cour de justice de l’Union européenne a déclaré à plusieurs reprises que des considérants valables sont nécessaires pour que la Cour puisse exercer sa fonction d’interprétation du droit. Étant donné qu’ils expliquent la raison d’être de l’acte juridique, ils méritent un examen approfondi.


Article très instructif: 
https://www.eurojuris.fr/accueil/articles/pass-sanitaire-non-conformite-droit-union-europeenne-40559.htm

Mémo concernant le consentement: 
Lien direct ici




Chiffre d’affaires en hausse, Pfizer peut remercier l’Union Européenne

[Source : Sputnik France (sputniknews.com)]

Par Maxime Perrotin

Les recettes mondiales générées par le Comirnaty ne cessent de grimper pour Pfizer, premier laboratoire dont le vaccin anti-Covid a été homologué en Occident. Un succès commercial mérité, mais également boosté par la politique d’achats des Européens. En déléguant à Bruxelles cette mission, ils ont en effet facilité la tâche aux labos.

Pfizer dans les étoiles.

Mercredi 28 juillet, le groupe pharmaceutique américain a revu à la hausse les prévisions de revenus de son sérum anti-Covid pour cette année. 33,5 milliards de dollars, contre les 26 milliards sur lesquels il tablait en mai, c’est deux fois plus que les 15 milliards qu’il prévoyait en février. En tout, le laboratoire revendique pour 80 milliards de dollars de commandes.

Un début plus que prometteur, qui commence à faire de l’ombre à son précédent best-seller: le Lipitor (appelé Tahor en France). Jusqu’à l’expiration de ses brevets aux États-Unis et en Europe fin 2011 et début 2012, cet anti-cholestérol était considéré comme le médicament le plus vendu au monde. Lors de sa dernière année pleine d’exploitation, ses ventes avaient généré plus de 10 milliards de dollars de recettes, soient 15% des 67,8 milliards de chiffre d’affaires de la firme.

Bruxelles, meilleur client… et allié de Pfizer?

Un score qu’a donc battu à plate couture le Comirnaty, nom commercial du sérum anti-Covid développé par Pfizer et BioNTech. Un filon qui est loin d’être tari, tout particulièrement en Europe, où la Commission a passé mi-mai une nouvelle commande de 1,8 milliard de doses (900 millions fermes et autant en option) supplémentaires pour couvrir les besoins des 27 jusqu’en 2023. Face aux variants, les laboratoires, Pfizer en tête, préconisent une troisième injection. Bonne élève, la Commission s’aligne. D’ailleurs, l’organe exécutif européen est aujourd’hui considéré –et de loin– comme le meilleur client du laboratoire.

Il faut dire que ce dernier doit déjà une fière chandelle à Bruxelles. En 2004, c’est la Commission qui lui avait offert sur un plateau le médicament phare d’Aventis, alors racheté par Sanofi. Au nom des règles européennes de la concurrence, Bruxelles avait forcé le français à vendre son traitement-phare contre le cancer colorectal (Campto) à Pfizer, qui le commercialisait sous licence aux États-Unis. Dans ce qui semble être un cynique retour des choses, le labo new-yorkais impose aujourd’hui son écrasante domination sur le marché européen avec l’aval de cette même Commission. Elle a en effet «sécurisé» au total 2,4 milliards de doses de Comirnaty, soit près de 55% des 4,365 milliards d’unités négociées auprès de six laboratoires.

Pour cette fidèle cliente, Pfizer a rehaussé ses prix de 26 %: 19,5 euros pour les doses livrées en 2022, contre 15,5 euros précédemment. Tarif qui, au cœur de la crise, était plus avantageux que celui des Américains (16,3 euros) et des Israéliens (22,7 euros)… livrés les premiers.

Des conditions tarifaires régulièrement au cœur des polémiques sur l’opacité des contrats, motivée par le secret des affaires. Omerta, qui n’avait pas manqué de susciter l’indignation d’élus du Parlement européen. En effet, l’accès à ces contrats est jalousement gardé: seule une poignée d’eurodéputés triés sur le volet et soumis à des règles strictes de confidentialité ont eu droit de le consulter.

Contrats Pfizer: une omerta finalement levée?

Ainsi, l’eurodéputé LREM Pascal Canfin a-t-il expliqué début janvier 2021 à Mediapart qu’il avait eu accès aux documents dans une salle à l’entrée de laquelle il fallait laisser son téléphone et avec interdiction de prendre des notes ou de parler de ce qu’il pouvait lire. Pascal Canfin appelait alors à ce qu’au moins les informations d’intérêt général soient rendues publiques, afin notamment de lutter contre la défiance que ce silence générait dans la population.

Il faudra attendre fin avril pour que cette omerta soit partiellement levéeTF1 et LCI parviendront à mettre la main sur le tout premier contrat signé l’hiver dernier entre la Commissaire européenne à la santé, Stella Kyriakides, et la présidente de la branche vaccins de Pfizer, Nanette Cocero. Celui-ci portait alors sur 200 millions de doses, assorti d’une option pour 100 millions supplémentaires. Un «pari risqué», soulignaient les médias. En effet, lorsque l’UE signa ce premier chèque à Pfizer le 20 novembre, le laboratoire américain n’avait même pas déposé la demande d’homologation de son vaccin auprès de l’autorité de santé européenne.

Pfizer le fit dans la huitaine. Sous pression, l’Agence européenne du médicament (EMA) promit de fournir une réponse «au plus tard le 29 décembre.» Elle la donna finalement dès le 21 décembre, à peine plus d’une semaine après l’aval de l’agence américaine des médicaments (FDA) elle aussi sous pression, ouvrant la voie à un succès planétaire. Le vaccin de Pfizer-BioNTech est le deuxième plus répandu à travers le monde, administré dans 102 pays, derrière Astra-Zeneca-Oxford et son aire de distribution de 171 pays.

Accords avec les labos, des précédents fâcheux

Par ailleurs, la Commission avait à l’époque ratissé large afin d’assurer un approvisionnement rapide des Européens en vaccins dès que ceux-ci seraient disponibles. Si Pfizer a pris la concurrence de vitesse, début 2021 cinq autres laboratoires avaient un contrat d’achat anticipé signé avec Bruxelles pour leurs candidats-vaccins. Une précipitation européenne qui a eu un coût en termes d’image, en partie parce que Bruxelles a été plus lente à agir que des États membres et parce que certains contrats avaient jeté le discrédit sur la Commission, comme celui passé avec Gilead. Début octobre 2020, l’exécutif européen n’était pas peu fier de signer un chèque en blanc d’un milliard d’euros –au nom du contribuable européen– pour l’approvisionnement en remdesivir de tous les États membres de l’UE, de l’Islande, de la Norvège et des six pays candidats ou candidats potentiels des Balkans. Sauf qu’au moment de signer avec Bruxelles, Gilead savait que son traitement était considéré par l’OMS comme inefficace, mais n’avait pas jugé bon d’en informer la Commission. Interrogé sur cet épisode par la presse, le laboratoire a répondu ne reconnaître que la validité scientifique des tests des autorités américaines. Des tests auxquels il avait directement participé.

Pour en revenir au premier contrat de Pfizer, certaines de ses clauses avaient fuité dans la presse fin avril 2021. On avait alors découvert que la Commission avait payé une avance de frais afin de «sécuriser le volume commandé» de l’ordre de 700 millions d’euros et que les doses étaient légèrement plus chères que douze euros. Un tarif qu’avait laissé entendre en décembre des documents accidentellement révélés par la secrétaire d’État belge au Budget et à la Protection des consommateurs, Eva de Bleeker.

Dernière information révélée, et non des moindres, chaque État membre s’engage à «indemniser et dégager de toute responsabilité le laboratoire, ses filiales, sous-traitants, partenaires sous franchise, ainsi que ses dirigeants, directeurs, employés et autres agents et représentants de chacune de ces entités, en cas de plainte d’un tiers, relative aux dommages et préjudices […] qui surviendrait lors de l’utilisation ou du déploiement des vaccins.»

Les pots cassés pour les contribuables, les bénéfices pour les labos

Des clauses qui n’avaient pas particulièrement surpris. D’une part parce qu’en France, certains politiques de premier rang les dénonçaient depuis plusieurs mois, et d’autre part parce que celles-ci n’étaient pas inédites. Là encore, un précédent avait marqué les esprits: celui de la crise de la grippe H1N1 à la fin des années 2000. Déjà à l’époque, les laboratoires avaient exigé des États clients de les couvrir en cas de pépin occasionné par leurs traitements développés en urgence.

En 2010, le Sénat avait ainsi pointé du doigt les conditions de ces contrats signés dans l’urgence entre gouvernements et laboratoires pharmaceutiques. Contrats qui s’illustraient, aux yeux de la chambre haute du Parlement, par un «remarquable déséquilibre et par la légalité douteuse de certaines de leurs clauses».

Le rapport des sénateurs soulignait également la manière dont les labos avaient «insisté pour la signature très rapide de lettres d’intention», sur le respect d’une stricte procédure logistique qui de facto tenait à l’écart les médecins généralistes et pharmacies, ainsi que de recourir à une «vaccination à double injection, alors qu’une seule dose suffit en principe pour les vaccins antigrippaux.» Des éléments qui rappellent étrangement ceux observés ces sept derniers mois.

Toutefois, comme le notait le rapport, certains États européens avaient à l’époque tenu tête aux laboratoires. Ce fut notamment le cas de la Pologne. D’autres pays, comme la France, avaient pu également réduire les frais engagés au plus fort de la crise en résiliant les contrats d’approvisionnement signés avec les laboratoires pharmaceutiques.

Autant de potentiels obstacles et réticences nationales qui cette fois-ci ont été levés au nom de la «solidarité» européenne. En effet, si les exigences des laboratoires n’ont donc rien de nouveau en des temps de crise sanitaire, en revanche l’initiative d’Emmanuel Macron et d’Angela Merkel de concentrer dans les mains de la seule Commission européenne l’achat des vaccins pour l’ensemble des États membres a très clairement joué en faveur des laboratoires, en plus de retarder les premières livraisons. Bref, les enseignements de la «première pandémie du XXIe siècle» de la grippe A n’ont pas été retenus, du moins pas par les dirigeants politiques européens.




La liberté ne se négocie pas

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Alain Tranchant, pour FranceSoir

CHRONIQUE – Macron en rêvait pour son référendum « vert », aujourd’hui enterré. Le Sénat l’a fait pour ses mesures attentatoires aux libertés fondamentales, celle de travailler, celle d’aller et venir, celle de disposer de son propre corps. Voici que l’opposition de droite (à quelques exceptions près), majoritaire au Sénat, vient de se joindre à un pouvoir à bout de souffle pour asservir le peuple français. Et cela, au moment même où le président de la République, plus diviseur que jamais, stigmatisait « l’irresponsabilité et l’égoïsme des non vaccinés ».

Alors qu’à Pékin, tout de même ! le vaccin n’est pas obligatoire, alors qu’à Moscou, pas n’importe où ! on vient de renoncer au pass sanitaire, à Paris  – capitale du pays des droits de l’homme – l’opposition incapable de s’opposer, incapable d’assumer une idée simple : le soin, enfin ! de préférence à l’aventure vaccinale, l’opposition a mis le doigt dans un drôle d’engrenage, en permettant au gouvernement d’imposer une obligation vaccinale pour les soignants et le recours à un passeport sanitaire pour accéder à certains lieux de vie, de culture ou de sport.

Alors qu’un crime se commettait sous ses yeux, son devoir, son devoir sacré, était de résister et de s’opposer. De même que la confiance ne se décrète pas, la liberté ne se négocie pas, ne se divise pas, ne se découpe pas en rondelles. Pour ne pas l’avoir compris, et surtout parce qu’elle aussi gère son calendrier électoral, l’opposition au macronisme s’est perdue dans de médiocres calculs d’arrière-boutique qu’elle pourrait bien regretter un jour. Le pouvoir n’en demandait pas tant, et M. Véran put crier à l’union nationale retrouvée.

Alors que ces soi-disant « vaccins » n’offrent ni garantie de sécurité (mais personne, et surtout pas M. Macron, ne parle des morts du vaccin, ni des très graves effets secondaires qui sont beaucoup plus que de menus effets indésirables), ni garantie d’efficacité (ils n’empêchent pas d’être infecté, ou de transmettre le virus), c’est sur cette base aussi incroyable que fragile que la droite, majoritaire au Sénat, a apporté son soutien à une mesure inenvisageable en République : la différenciation entre les citoyens selon qu’ils acceptent ou qu’ils refusent une injection dangereuse et, en l’occurrence, nullement salvatrice.

« On n’est pas la République quand on n’a pas le peuple avec soi », disait le général de Gaulle. Eh bien, on n’est pas la République non plus quand on laisse tomber un de ses piliers fondamentaux : la liberté. L’heure est grave. Pour un virus qui est en train de perdre de sa virulence au fur et à mesure de ses mutations, pour un produit vaccinal qui n’est encore qu’en phase expérimentale à une échelle déraisonnable – et, jamais, un « projet de vaccin » n’a entraîné autant de décès – nos gouvernants et une partie de l’opposition ont fait cause commune pour organiser la division des Français et la ségrégation de toutes celles et de tous ceux qui refusent la manipulation d’un pouvoir qui n’a cessé de mentir et de renier sa parole depuis le début de la pandémie.

Pour vivre en liberté dans une France libre, c’est maintenant qu’il faut résister à une loi scélérate.

Auteur(s): Alain Tranchant, pour FranceSoir




PfizerLeak : les contrats Pfizer et leurs clauses surprenantes

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Extrêmement contraignants pour les États qui les ont signés, les contrats Pfizer semblent les avoir ligotés. Quelques explications qui s’appuient sur les tweets de Marceau qui a traduit et commenté ces révélations faites sur Twitter.

Bien que les documents qui ont fuité soient en réalité des « drafts » du laboratoire, soit un brouillon, une version non finale, il y a fort à parier que les contrats y ressemblent comme deux gouttes d’eau. Pfizer s’est montré plutôt agressif en essayant de protéger les détails de leurs accords internationaux sur le vaccin COVID-19. Mais en voici une copie. Le document qui est ici épluché a été rendu public par l’Albanie en janvier 2021.

Voir aussi : le document complet en anglais

Tout d’abord, on note que le coût de développement des contrats est très élevé et prend beaucoup de temps (cycles de relectures juridiques). Pfizer, comme toutes les entreprises, développe un modèle d’accord standardisé et utilise ces accords avec des ajustements relativement mineurs dans différents pays. Ces accords sont supposés être confidentiels… Mais comme vous êtes sur le point de le voir, il y a une bonne raison pour laquelle Pfizer se battait pour en cacher les détails.

Pour commencer, parlons du produit : l’accord couvre non seulement la fabrication des vaccins contre le Sars-COV-2 et ses mutations, mais également tout « dispositif, technologie ou produit utilisé pour l’administration ou pour améliorer l’utilisation ou l’effet d’un tel vaccin ».

Si vous vous demandiez pourquoi l’ivermectine a été empêchée, eh bien, c’est simplement parce que l’accord conclu avec Pfizer ne leur permet pas d’échapper à leur contrat, qui stipule que même si un médicament efficace était trouvé pour traiter le Covid-19, le contrat ne peut pas être annulé. Difficile donc, de jouer sur deux tableaux. Vous imaginez les millions de doses payées et vouées à la destruction si un traitement efficace et peu cher devait exister ?

Approvisionnement en vaccins :

« Pfizer n’assumera aucune responsabilité en cas de non-livraison des doses conformément aux dates de livraisons estimées. Et un tel manquement ne donnera à l’acheteur aucun droit d’annuler les commandes pour toute quantité de produit »
« Pfizer décidera des ajustements nécessaires du nombre de doses contractuelles et du calendrier de livraison dus à l’acheteur (…) sur la base de principes à déterminer par Pfizer (…) l’acheteur sera dans l’obligation d’accepter toute révision »

Pour être clair, « l’acheteur renonce à tous les droits et recours qu’il peut avoir en vertu de la loi », et donc subira les conséquences de produits deffectueux et/ou manquants si cela venait à arriver. La seule façon d’obtenir un rappel est de prouver un défaut de fabrication.
« Pour plus de clarté, l’acheteur n’aura pas le droit de rejeter un produit sur la base de réclamations de service à moins qu’un produit ne soit matériellement conforme aux spécifications ou aux standards de fabrication ». Notons toutefois que c’est une preuve difficile à apporter puisque le procédé de fabrication n’est même pas encore stabilisé.

« Cet accord est au-dessus de toute loi locale de l’État ».

Étudions maintenant ce qui pourrait intéresser les avocats

« L’acheteur reconnaît que les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont actuellement pas connus et qu’il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont actuellement pas connus ».

Par ailleurs, il existe des clauses concernant la possibilité de résiliation, mais en tout état de cause, l’acheteur n’a presque rien qui puisse être considéré comme une violation substantielle (même en cas d’inefficacité des vaccins ou en cas d’effets secondaires grave/mortels), tandis que Pfizer peut facilement le faire s’il n’obtient pas son argent ou s’il le juge nécessaire. En d’autres termes, ça marche dans un sens mais pas dans l’autre…

L’acheteur accepte par la présente d’indemniser, de défendre et d’assumer toutes responsabilités incombants à Pfizer et ses filiales (…) suite à des poursuites, réclamations, actions en justices, pertes, dommages, responsabilité, pénalités, amendes, coûts et dépenses… Le monde à l’envers, vous dites ?

L’État acheteur doit défendre Pfizer :

« Pfizer informera l’acheteur des pertes pour lesquelles il demande une indemnisation. Dès cette notification, l’acheteur assumera rapidement la conduite et la défense de ces réclamations indemnisables au nom de « Pfizer ». Cependant, Pfizer aura le droit d’assurer sa défense et l’acheteur devra payer toutes pertes, y compris et sans limitation, les honoraires d’avocat et d’autres dépenses encourues.

Pfizer s’assure que le pays en question paiera pour tout :

« Les frais et dépenses, y compris les honoraires et décaissements des avocats, encourus lors d’une plainte pouvant donner droit à indemnisation, seront remboursés sur une base trimestrielle par l’acheteur. »

Le pays acheteur est presque entièrement responsable et renonce à tout droit d’immunité. Il doit fournir à Pfizer une immunité totale contre toutes les réclamations et toutes les pertes, doit la mettre en œuvre conformément aux exigences légales ou réglementaires, et seul Pfizer peut décider du niveau de protection qu’il juge suffisant.

Par ailleurs, à l’heure où les données de santé de l’individu s’apprêtent à être de plus en plus divulguées et étudiées, la confidentialité du côté des laboratoires ne perd pas de sa valeur. Ainsi, chaque destinataire est tenu de protéger les données et les contrats avec Pfizer, et « ne divulguera les informations confidentielles qu’à ceux de ses représentants qui ont besoin de connaître ces informations confidentielles pour remplir ses obligations en vertu du présent accord ». Le contrat doit théoriquement rester confidentiel pendant 10 ans. Ce qui laisse en théorie du temps pour voir venir les effets secondaires et pour s’en prémunir.

Commentaires de l’auteur : ce contrat est simplement terrifiant et met les États à la merci de Pfizer. Des milliards de doses commandées vont être livrées sans aucun moyen pour les États de stopper l’approvisionnement. Le seul moyen de rompre le contrat est de prouver le défaut de fabrication, ce qui est virtuellement impossible. Le processus de fabrication n’est pas stabilisé donc il est impossible de démontrer que les vaccins ne seraient pas conformes. Pfizer a une immunité totale et n’est même pas responsable pour la non-efficacité de ses vaccins ou de la survenue d’effets secondaires, à court ou long terme. Les montants en jeu sont tels et les risques pour les États tellement démesurés qu’il est à présent aisé de comprendre pourquoi il n’y a pas de pharmacovigilance. Mener d’importantes études sur les effets secondaires des vaccins reviendrait, pour les États, à se tirer une balle dans le pied, puisqu’ils devraient en payer toutes les conséquences.

L’État fera donc tout pour minimiser, cacher, nier tout effet secondaire afin d’éviter les poursuites et devoir payer pour Pfizer. Les États se sont clairement mis au service du laboratoire au détriment de la santé de leurs populations.

Deux questions subsistent :

  • Le gouvernement français, après avoir signé un tel contrat avec Pfizer, peut-il nous imposer la vaccination obligatoire pour écouler des livraisons continues de vaccins ?
  • Pourquoi les États acceptent-ils de signer de tels contrats ?

Le fil Twitter en français :

https://twitter.com/2020Marceau/status/1420017526977749004?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1420017526977749004%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.francesoir.fr%2Fsociete-sante%2Fpfizerleak-les-contrats-surprenants-vaccins-pfizer

Le récapitulatif en un lien : 
https://threadreaderapp.com/thread/1420017526977749004.html

Auteur(s): FranceSoir




Le monde de Xi Jinping | ARTE

[Source : ARTE]

Derrière son apparente bonhomie se cache un chef redoutable, prêt à tout pour faire de la Chine la première puissance mondiale, d’ici au centenaire de la République populaire, en 2049. Ce portrait très documenté du leader chinois donne un aperçu inédit de sa politique et montre comment l’itinéraire de Xi Jinping a façonné ses choix.

En mars 2018, à l’issue de vastes purges, Xi Jinping modifie la Constitution et s’intronise « président à vie ». Une concentration des pouvoirs sans précédent depuis la fin de l’ère maoïste. Né en 1953, ce fils d’un proche de Mao Zedong révoqué pour « complot antiparti » choisit à l’adolescence, en pleine tourmente de la révolution culturelle, un exil volontaire à la campagne, comme pour racheter la déchéance paternelle. Revendiquant une fidélité aveugle au Parti, il gravira en apparatchik « plus rouge que rouge » tous les degrés du pouvoir. Depuis son accession au secrétariat général du Parti en 2012, puis à la présidence l’année suivante, les autocritiques d’opposants ont réapparu, par le biais de confessions télévisées. Et on met à l’essai un système de surveillance généralisée censé faire le tri entre les bons et les mauvais citoyens. Inflexible sur le plan intérieur, Xi Jinping s’est donné comme objectif de supplanter l’Occident à la tête d’un nouvel ordre mondial. Son projet des « routes de la soie » a ainsi considérablement étendu le réseau des infrastructures chinoises à l’échelle planétaire. Cet expansionnisme stratégique, jusque-là développé en silence, inquiète de plus en plus l’Europe et les États-Unis. Son pouvoir et ses ambitions sont d’autant plus renforcés qu’il apparaît comme le grand gagnant de la crise du coronavirus. Entre contre-feux et dissimulation, il poursuit à vitesse grand V son agenda politique et diplomatique afin d’intégrer les minorités au géant chinois, quitte à recourir à la violence. Génocide des Ouïghours, Hongkong, Taïwan : par sa politique, Xi Jinping revendique, plus que jamais, la force de l’hégémonie du régime chinois aussi bien dans les domaines économique et militaire que diplomatique. Avec un seul but : faire de la Chine la première puissance mondiale.

Impériale revanche. Dans ce portrait très documenté du leader chinois, Sophie Lepault et Romain Franklin donnent un aperçu inédit de sa politique et montrent comment l’itinéraire de Xi Jinping a façonné ses choix. De Pékin à Djibouti — l’ancienne colonie française est depuis 2017 la première base militaire chinoise à l’étranger — en passant par la mer de Chine méridionale et l’Australie, les réalisateurs passent au crible les projets et les stratégies d’influence du nouvel homme fort de la planète. Nourrie d’images d’archives et de témoignages (de nombreux experts et de dissidents, mais aussi d’un haut gradé proche du pouvoir), leur enquête montre comment Xi Jinping a donné à la reconquête nationaliste de la grandeur impériale chinoise, projet nourri dès l’origine par la République populaire, une spectaculaire ampleur. Elle jette aussi une lumière éloquente sur le système de fichage numérique de la population mis en place sous l’égide du « président à vie », qui a montré, avec la crise du coronavirus, sa redoutable efficacité.

Documentaire de Sophie Lepault (France, 2021, 1 h 30 min)

Disponible jusqu’au 12/08/2021

https://youtu.be/Jm-RKyY6UY0



Manifestation devant les grands médias : la défiance règne

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Romain Pauc

« Il ne peut y avoir de liberté sans vérité », témoigne Marc, un des citoyens protestant ce samedi 3 juillet pour demander un traitement de l’information plus honnête, et des journalistes davantage indépendants.



Une centaine de personnes non-encartées dans un parti se sont rassemblées et ont ainsi marché dans Paris : leur objectif était de s’arrêter devant les sièges des « grands médias », les médias « mainstream », dont ils trouvent le journalisme « arriéré ».

Sylvain Baron faisait partie des déclarants de cet évènement : il était notre invité d’un « Entretien essentiel » il y a quelques semaines pour nous faire part de son analyse de la souffrance du peuple, et de sa déconnexion avec les élites.

Marchant devant Radio France et France Télévision, ils ont choisi de commencer par manifester devant BFM TV, la chaîne dont l’éditorialiste Emmanuel Lechypre avait appelé à une vaccination « de force », au mépris du droit de choisir des Français, et à l’encontre de toute déontologie médicale.

Ces manifestations sont organisées tous les premiers samedis de chaque mois, le prochain rassemblement se tiendra donc le samedi 7 août. Organisé par des Gilets jaunes, ils appellent chacun à venir, tous les citoyens désireux d’une nouvelle information, et d’un nouveau système médiatique en France.

Auteur(s): Romain Pauc




Dr YEADON : Nous allons nous interposer entre ces criminels et nos enfants

[Source : Quantum Leap]

« J’en veux à tous les médecins du NHS qui ont été stupides au point de croire tout ce qu’on leur a dit, qui n’ont pas traité leurs patients, qui ne leur ont pas permis de se voir, qui ont prétendu que les masques les protégeaient, qui ont prétendu que le test PCR fonctionnait, qui les ont vaccinés alors que la plupart d’entre eux n’en avaient pas besoin… »




Source anglaise complète :






“Un plan simple pour éradiquer le nouveau coronavirus de Belgique ” (Marc Wathelet)

[Source : Le Spécialiste (lespecialiste.be)]

par Marc Wathelet, docteur en sciences

Dans un courrier envoyé au Premier Ministre et au Ministre de la Santé publique, Marc Wathelet, le virologue bien connu comme lanceur d’alerte, propose “un plan simple qui éradiquerait le nouveau coronavirus de Belgique en moins de six semaines” Il recommande la prescription de l’Ivermectine en mode prophylactique et comme traitement du COVID-19.


Monsieur le Premier Ministre, 

Monsieur le Ministre de la Santé publique,

Tout d’abord, je voudrais vous remercier d’avoir maintenu les mesures sanitaires nécessaires et de ne pas avoir succombé aux diverses pressions pour rouvrir prématurément.

Deuxièmement, je voudrais vous remercier de m’avoir mis en contact avec M. Frank Hulstaert du KCE. Cet excellent homme m’a invité à participer à une réunion avec d’autres chercheurs et cliniciens ayant pour objet la sélection des molécules à tester prochainement pour évaluer leur efficacité contre le SARS-CoV-2 chez les patients souffrant de la COVID-19.

Lors de cette réunion, j’ai présenté le cas de l’Ivermectine, le médicament que j’ai porté à votre attention le 16 novembre, et une décision sera prise lors de la prochaine réunion à l’initiative du KCE. Si l’Ivermectine devait être sélectionné pour le prochain lot d’essais commençant au début de 2021, nous pourrions obtenir des résultats peut-être déjà fin février. La réutilisation des médicaments existants est une stratégie intéressante car le profil d’innocuité de ces médicaments est déjà bien établi. Bien que le KCE soit l’organe approprié pour évaluer les médicaments repositionnables, il manque de financement, de temps et d’autorité en cette période de crise.

Éradiquons le virus de Belgique.

J’appartiens à un groupe de scientifiques et de médecins comptant plus de 7.000 membres dans le monde, demandant simplement aux autorités sanitaires de chaque pays d’examiner les données existantes indiquant que l’Ivermectine est efficace à la fois en mode prophylactique, pour prévenir la transmission du virus, et comme traitement curatif pour les patients COVID-19.

Je propose donc un plan simple qui éradiquerait le nouveau coronavirus de Belgique en moins de six semaines, ce qui serait extrêmement bénéfique à tous les niveaux: sanitaire, économique, social, psychologique et politique! Nous pourrions reprendre toutes les activités économiques et scolaires trois semaines après son initiation et le port du masque deviendrait inutile dans la plupart des contextes dès la sixième semaine.

Ce plan nécessite de voir l’opportunité que présente l’Ivermectine, et la volonté politique de prendre les décisions nécessaires pour transformer cette opportunité en réalité pour la Belgique. Il faudra, pour ce faire, un “leadership” sans faille au plus haut niveau.

Les preuves en faveur de l’efficacité de l’Ivermectine pour prévenir la transmission et l’apparition de symptômes de la COVID-19 ainsi que pour en traiter les formes modérées et sévères ne cessent de s’accumuler, toutes les études sont uniformément positives et la réalité de la situation sanitaire a dépassé le stade où serait raisonnable d’attendre davantage de données encore avant d’agir, alors même que de trop nombreuses personnes continuent jour après jour à mourir de cette maladie en Belgique.

L’Ivermectine est très différente de l’hydroxychloroquine : c’est une molécule beaucoup plus efficace et, par ailleurs, déjà utilisée dans certains pays à la fois à titre préventif et comme norme de soins pour les formes modérées et graves de la maladie.

Aux États-Unis, le Dr Pierre Kory a récemment témoigné devant le Comité sénatorial de la sécurité intérieure, au nom d’un groupe de médecins de grand renom, de l’efficacité de l’Ivermectine pour prévenir et traiter la COVID-19 https://tinyurl.com/y6ah7u5d. Ils sont les auteurs d’un manuscrit passant en revue tous les essais cliniques terminés https://tinyurl.com/yyqbq8gw et d’une méta-analyse de toutes les études sur l’Ivermectine https://ivmmeta.com.

Je recommande dès lors, la conduite d’un essai clinique de toute urgence portant sur l’Ivermectine, à la fois comme méthode prophylactique et pour le traitement des formes sévères de la COVID-19. Indéniablement, ce médicament représente une opportunité exceptionnelle de délivrer la Belgique et le monde du SARS-CoV-2. Ne la gaspillons pas ; ne manquons pas cette opportunité offerte par une molécule présentant un profil de sécurité aussi exemplaire. Et puis même s’il devait s’avérer que ce médicament est inefficace contre la COVID-19, ce qui paraît extrêmement improbable compte tenu des preuves existantes, aucun préjudice significatif n’aura été occasionné.

Le rapport bénéfices / risques de l’utilisation de l’Ivermectine en mode prophylactique et comme traitement du COVID-19 est largement supérieur à celui de tout autre candidat médicament.

Le Ministre de la Santé publique a le pouvoir de mobiliser et de fédérer tous les acteurs concernés autour du plan ici proposé afin de lever tous les obstacles à sa mise en œuvre rapide. Ayons l’intelligence de reconnaître que parier sur l’Ivermectine est de loin l’option la meilleure et la plus sûre. Ayons le courage de notre conviction. Ne manquons pas cette occasion de montrer comment la Belgique peut s’unir pour le plus grand bien de chacun et, à travers les études proposées, ouvrir la voie à l’utilisation généralisée et rationnelle de l’Ivermectine, en Europe et dans le reste du monde, pour l’éradication du SARS-CoV-2.

Le plan d’action que je recommande et sa justification sont détaillés ci-dessous. En voici le résumé :

1) Le médicament lui-même doit être largement disponible dans toutes nos pharmacies et toute entrave administrative qui retarderait la distribution rapide de l’Ivermectine sous sa forme pour administration orale doit être supprimée sans délai.

2) Les autorités compétentes de tous les hôpitaux du pays doivent être impliquées pour l’organisation rapide de l’essai clinique de prophylaxie parmi leur personnel soignant et de l’essai thérapeutique pour les cas graves. Les critères de randomisation, incluant notamment les activités spécifiques de ces travailleurs, doivent être définis et la distribution randomisée des médicaments doivent être mise en œuvre sans délai. Plus vite nous agirons, plus vite nous pourrons mener une vie libérée de ce virus.

3) Un registre doit être ouvert pour collecter des données sur l’utilisation de l’Ivermectine par les médecins généralistes.

4) Le nombre de tests doit être augmenté pour parvenir à un taux de positivité inférieur à 3%. Les foyers d’infection doivent être retracés rapidement et l’Ivermectine doit être administrée sans tarder aux personnes infectées et à leurs contacts quotidiens. Des équipes dédiées doivent être prêtes pour ce faire.

Indépendamment de l’Ivermectine, les groupes d’individus les plus à risque de développer une forme sévère, en raison de leur âge ou de leurs comorbidités, auraient intérêt à compléter leur alimentation par un apport de vitamine D (2000 à 5000 UI par jour), de vitamine C (500 mg par jour) et de zinc (50 mg par jour). Cette recommandation devrait faire l’objet d’une communication claire et répétée à destination des personnes concernées et de ceux qui les soignent.

Je reste à votre disposition pour répondre à toutes vos demandes d’informations complémentaires et, le cas échéant, pour prendre part activement à la mise en œuvre de ce plan.

Veuillez agréer, Monsieur le Premier Ministre, Monsieur le Ministre de la Santé publique, l’expression de mes salutations distinguées.

Marc Wathelet, docteur en sciences

Annexes

Plan spécifique pour éradiquer le SARS-CoV-2 de Belgique en 6 semaines.