(5 commentaires)

  1. Enfin tout éclate soi disant partout, Macron est dans la tourmente pour reprendre les expressions de faux espoirs de Philippot mais je ne vois qu’une chose : les élites avancent à grands pas et nous, nous sommes encore plus dans la mouise sans qu’aucune action concrète ne soit engagée ! Heu…hein ?

    1. Idem. L’espoir fait vivre certes mais les forces en présence redoutables. Un soulèvement global des peuples ? Je n’entrevois guère autre chose et là aussi la victoire n’est pas sûre !

  2. Le covid-19 existe belle et bien. J’ai 24 ans et je suis énormément malade, positif au test covid depuis 17 semaine . Dans un monde individualiste qui ne crois en rien a part ça propre petite personne .
    Honte au gens qui prône les complots . Je dirai même que les confinement n’ont pas été assez sévère .
    La covid-19 est en train de détruire mon système immunitaire.Mon cœur mes poumon sont endommager .
    Vous les complotisme vous pouvez bien aller brûler en enfer!!!!!!!!

    1. Les symptômes de la prétendue « Covid longue » font comme par hasard partie des effets connus des ondes électromagnétiques, surtout lorsque comme le Wi-Fi, la 4G et la 5G ces ondes sont de forme pulsée.
      Vous avez bien sûr le choix de continuer de croire que la cause est un minuscule virus censé se multiplier dramatiquement chez les individus soi-disant affectés par sa virulente nocivité, mais que dans le même temps les virologues ne savent pas trouver directement dans le matériel biologique supposé être complètement infecté (comme la morve recueillie dans le nez). Pour l’avoir en quantité suffisante ils font une cuisine particulière (appelée culture de virus) avec des cellules biologiques animales (souvent de singe) préparées avec des antibiotiques pour éviter la présence de bactéries et avec des substances toxiques particulières censées favorisées la multiplication du virus dans ces cellules.

      Problème : des contre-expériences réalisées par le virologue Stefan Lanka (le seul au monde à s’être donné la peine d’aborder le sujet de manière rigoureusement scientifique et de vérifier les fondements de la théorie virale) ont montré que pour détruire les cellules supposées nourricières du supposé virus, il n’est pas du tout besoin d’y inclure un tissu biologique supposé infecté par ce virus. Ce sont en fait les conditions expérimentales elles-mêmes qui tuent les cellules de culture et font apparaître ce que trois prix Nobel récents ont démontré être en réalité des « exosomes », des dégradations naturelles de cellules qui se trouvent agressées par la malnutrition et/ou par des substances toxiques ou autres facteurs agressants. Or, la préparation de culture virale contient des cellules de singe qui se trouvent agressées par les substances toxiques, par les antibiotiques et par une mauvaise nutrition (puisqu’elles sont séparées du singe sur lequel elles ont été prélevées et maintenues artificiellement en mode survie). Ce virologue a eu tellement honte de ce qu’il a découvert (à savoir la preuve que la virologie ne relève pas de science, mais de scientisme, puisque cela fait 70 ans qu’elle poursuit la même erreur de procédure) qu’il ne veut plus qu’on le considère ainsi. D’autre part, il a gagné son procès en cour suprême allemande après son défi lancé mondialement aux virologues qui consistait à démontrer scientifiquement l’existence du virus de la rougeole. Il offrait 100 000 euros à celui qui pouvait apporter la preuve de cette existence. Un seul a relevé le défi et croyait avoir gagné lorsqu’il a sorti une vieille étude qui lui semblait démontrer l’existence de ce virus, étude qui a été depuis lors invariablement reprise (directement ou non) par les virologues (sans se poser de questions) pour prétendre démontrer l’existence d’autres virus, quels qu’ils soient. Mais en cour suprême, Stefan Lanka a fait réaliser la contre-expérience mentionnée plus haut et comme le résultat sur les cellules de culture était rigoureusement le même sans la présence de virus, cela démontrait que le prétendu virus de la rougeole n’était nullement la cause de la mort des cellules de culture et par conséquent ne pouvait pas être la cause de la maladie qu’on lui attribuait (la rougeole).

      Depuis lors, Stefan Lanka a réalisé bien d’autres expériences et contre-expériences et a démoli la suite des étapes pratiquées par les virologues notamment celle du séquençage génétique qui n’est rien d’autre qu’une cuisine mathématique par logiciel incapable de démontrer effectivement l’existence d’un virus pathogène. Les prétendus virus maléfiques ne sont pas la cause de maladies, mais en sont la conséquence et ils ont été alors nommés « endosomes » lorsqu’ils sont créés par une cellule agressée, notamment comme déchets génétiques à éjecter de la cellule (brins d’ARN ou d’ADN, selon le cas). Et « exosomes » lorsque la cellule les expulse.

      Est-ce que parce que vous voyez des mouches ou des vers sur des cadavres vous dites que ce sont elles qui sont responsables de la mort ? Non, bien sûr. Ils ne sont là que pour le nettoyage. Eh bien, pour les prétendus virus pathogènes qui sont en fait les exosomes, c’est le même genre de situation. Ils sont là comme conséquence de la maladie, parfois mortelle, d’une cellule, mais ne sont pas du tout la cause de cette maladie.

      Alors maintenant, vous avez le choix : ou bien vous continuez à croire des virologues et autres experts formés par Big Pharma depuis que Rockefeller a prix le contrôle de la médecine aux États-Unis il y a plus d’un siècle pour imposer son approche très lucrative basée sur la pétrochimie et la chirurgie, approche qui s’est largement mondialisée depuis ; ou bien vous explorez le dossier Vaccins et virus sans a priori négatifs, mais avec ouverture d’esprit et curiosité, pour y lire les nombreux articles qui tendent largement à démontrer à eux tous (et parfois même individuellement) le caractère fallacieux et au moins partiellement frauduleux de la théorie virale. Vous en avez pour des heures, et même des jours de lecture et d’exploration.

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