Une fois trans, pas de retour en arrière !

13/03/2024 (2024-03-13)

La réalité derrière l’engouement pour les transgenres

[Source : kla.tv]

Sur les médias sociaux et dans les médias grand public, de plus en plus de personnes parlent de leur changement de sexe. Chaque étape de cette transition est expliquée et partagée avec enthousiasme. Mais si on regarde au-delà des apparences attirantes de ce mouvement à la mode, on découvre la cruelle réalité.

[Voir aussi :
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Transcription

Mise en garde : Cette émission n’est pas destinée aux enfants ou aux personnes sensibles. Mais le sujet concerne surtout les jeunes et devrait être vu en particulier par les parents et les responsables.

Chloé Cole :

« Ma voix sera à jamais plus basse, ma mâchoire plus acérée et mon nez plus long. Mon ossature sera durablement masculine. Ma pomme d’Adam ressort davantage, ma fertilité est inconnue. Parfois, je me regarde dans le miroir et je me sens comme un monstre. »

Ritchie :

« Et c’était la première fois que je me tenais devant un miroir et que je le voyais : on aurait dit qu’on m’avait attaqué. C’était vraiment brutal. Je me suis senti abattu et j’ai eu l’impression de m’être trahi de la pire des manières. Et c’était le cas, vous savez. »

« C’est irréversible. L’expérience est terminée pour moi. Impossible de revenir en arrière. »

Le 23 août 2023, le gouvernement allemand a adopté le projet de loi dit d’autodétermination. Les personnes majeures doivent pouvoir modifier leur inscription de sexe et leurs prénoms par une simple déclaration auprès de l’état civil. Les mineurs à partir de 14 ans doivent pouvoir faire eux-mêmes la déclaration nécessaire. Si les détenteurs de l’autorité parentale ne sont pas d’accord, ce consentement peut être remplacé par le tribunal des affaires familiales. La loi sur l’autodétermination devrait entrer en vigueur en novembre 2024.

Nombreux sont ceux qui, dans la population, ne se rendent pas compte de ce que cela signifie dans la pratique. Ici, les jeunes obtiennent, à un stade de développement très vulnérable, des libertés de décision qui ont des conséquences importantes pour toute leur vie. Une modification de la mention du sexe s’accompagne dans la plupart des cas d’un changement de sexe hormonal et chirurgical. Ce changement de sexe est appelé transition. Il est prouvé que le nombre de transitions a rapidement augmenté ces dernières années.

Le sujet est très répandu sur les médias sociaux, et omniprésent pour de nombreux jeunes. De plus, le mainstream rapporte presque sans exception des informations très positives, non critiques et favorables. Les dangers, les effets secondaires et les conséquences négatives des interventions sont à peine évoqués. Pourtant, le nombre de personnes qui regrettent leur transition ne cesse d’augmenter. Elles sont cependant censurées, exclues ou leurs expériences passées sous silence.

Cette émission donne une voix à ces personnes. À l’aide de quelques exemples, les risques et les problèmes d’une transition sont mis en évidence, tout en jetant un coup d’œil en coulisses sur l’idéologie du genre.

Source Nele :

Detrans — Wenn die Geschlechtsangleichung nicht glücklich macht, 30.04.2023, ZDF, https://www.zdf.de/dokumentation/37-grad-leben/detrans-wenn-die-trans-op-nicht-gluecklich-macht-100.html (Abrufdatum: 02.02.2024)

Nele — Avant la transition

Nele :

« Oui, comment ça s’est passé. J’y ai passé seulement une heure. Il m’a demandé pourquoi j’étais là. Il a beaucoup parlé lui-même. Je n’ai pas tant parlé que ça. Et ce qui m’a un peu dérangé, c’est que… on pourrait presque dire qu’il a presque un peu insisté pour que je commence la thérapie tout de suite et que je ne cherche pas d’autres thérapeutes. Il a aussi dit qu’en théorie il fallait un an ou six mois pour obtenir des hormones, mais que dans la pratique, ça pouvait être plus rapide. Ça veut dire qu’il était également ouvert à ce que cela puisse aller plus vite. » […]

« Peut-être que j’ai en fait un tout autre problème et que j’ai essayé de le fuir. J’ai juste peur de faire tout cela et finalement ne pas être heureuse. Ou que, dans le pire des cas, je puisse même le regretter. » […]

Nele — Après la prise d’hormones

Nele :

« Ensuite, j’ai commencé assez rapidement à prendre des hormones — de la testostérone — dans le cadre de cette thérapie. Le thérapeute doit justifier ça devant les caisses d’assurance maladie, c’est en fait la seule directive en Allemagne concernant la rapidité avec laquelle on peut faire une transition, ce sont en fait les caisses d’assurance maladie qui déterminent quand elles payent quelque chose et quand elles ne le font pas. Et il a argumenté qu’il s’agissait d’une urgence particulière et d’un cas de transsexualisme très sûr ou prononcé. En conséquence, ça a été approuvé assez rapidement. Ensuite, il m’a recommandé un de ses collègues, un gynécologue, où on obtient rapidement des rendez-vous ». […]

Source Cat C.:

Identity Crisis: Detransitioner Loses Natural Singing Voice After ‘Gender Affirming Care’, 06.10.22, IWF, https://www.youtube.com/watch?v=yPxt2X_mXsE (Abrufdatum: 02.02.2024)

Cat Cattinson — L’entretien préliminaire

« Je pensais que je devais passer par un processus quelconque pour obtenir la testostérone, une évaluation psychologique ou un certain nombre de visites chez le psychiatre, etc., mais au lieu de cela, j’ai eu une conversation téléphonique de 30 minutes avec un médecin que je n’avais jamais rencontré en personne auparavant, et on m’a prescrit la testostérone par téléphone. »

Source Helena :

A Story Of Detransitioning | Michael Knowles, 25.03.22, Mike’s Tom MacDonald Reviews, https://www.youtube.com/watch?v=5HbPzJy9gkY (Abrufdatum: 02.02.2024)

Helena — Entretien avec le planning familial

Interviewer : Donc tu es allé au planning familial et tu as dit, je m’identifie comme garçon, je crois que je suis un garçon, et là ils ont dit : « Ok, tu dois parler à quelques thérapeutes pendant quelques mois ou quelques années », ou ils ont dit : « Voilà les pilules, madame — euh monsieur — voilà les pilules, prenez soin de vous, bonne journée… ? »

Helena:

« Oui, à peu près, ce n’était même pas des pilules, ce sont des injections. Voilà les injections, monsieur. — Alors, oui, mon rendez-vous a duré à peu près une heure. Les vingt premières minutes environ c’était un bref échange avec l’assistante sociale que j’avais rencontrée au planning familial. Et si vous lisez mon article Substack — j’ai écrit un article Substack sur mon expérience — j’y cite les questions que m’a posées l’assistante sociale, et le moins qu’on puisse dire, c’est que ce n’est pas un travail psychologique approfondi. J’ai donc eu ce bref entretien d’admission avec l’assistante sociale, puis elle est revenue et m’a dit : “Vous êtes le candidat idéal pour la testostérone, nous pouvons commencer tout de suite.” Je suis donc allée voir l’infirmière, qui a passé en revue avec moi une liste très courte de risques, qui étaient très sous-estimés. C’était des choses comme “vous pourriez avoir des sautes d’humeur” (ce n’est pas vraiment une bonne façon de faire comprendre les conséquences d’un traitement hormonal) mais peu importe, j’ai regardé la courte liste, et ensuite nous avons parlé du dosage […]. »

Source Chloe :

Chloe Cole: ‘I’m Still Recovering’ From Hormones, Surgery at 15, 07.02.23, IWF,

https://www.youtube.com/watch?v=DtItMuCW0vI (Abrufdatum: 02.02.2024)

Chloe Cole — Pas d’autre option

Chloé Cole :

« […] l’équipe de professionnels de la santé qui m’a aidée, m’a en fait poussée vers la transition, ils ne m’ont montré aucune autre option. Ils m’ont dit que le taux de ceux qui regrettent une telle décision était inférieur à un ou deux pour cent. Ils ont même menti à mes parents en leur disant que je risquais de me suicider si je n’étais pas autorisée à faire la transition. Ma transition médicale a duré environ trois ans et demi. Pendant cette période, il n’y avait en fait qu’un seul médecin qui s’y opposait, c’était le premier endocrinologue que j’ai vu pour obtenir des hormones. Il a dit à ma mère et à moi qu’il y aurait des risques pour le développement de mon cerveau. Mais juste après, j’ai vu un autre endocrinologue, et seulement 6 mois après avoir été diagnostiquée avec une dysphorie [dysphorie de genre = sentiment d’inéquation entre le sexe biologique d’une personne et celui qu’elle ressent], on m’a donné des bloqueurs de puberté. Puis de la testostérone, environ un mois plus tard. »

Source Janine :

Detrans — Wenn die Geschlechtsangleichung nicht glücklich macht, 30.04.2023, ZDF, https://www.zdf.de/dokumentation/37-grad-leben/detrans-wenn-die-trans-op-nicht-gluecklich-macht-100.html (Abrufdatum: 02.02.2024)

Janine — Changement de sexe en homme

Janine :

« À 21 ans, j’ai subi une mastectomie [ablation de la glande mammaire/des seins]. Ensuite, à 25 ans, j’ai subi une phalloplastie [intervention chirurgicale dont le but est de former ou de fabriquer un pénis], la construction d’un pénoïde, pour laquelle on a prélevé de la peau sur le bras et on l’a ensuite greffée entre les jambes. Et c’est à partir de là que le pénis artificiel devait être formé. J’ai encore subi une dizaine d’opérations par la suite. Où on a aussi fait le raccordement à l’urètre. Les médecins vous disent qu’il faut vider le pénis, mais je trouve que c’est une mauvaise description. Je n’avais vraiment aucune idée de ce que c’était. En réalité, dans ce pénoïde artificiel, l’urine s’écoule comme dans un prolongement. On ne peut pas vraiment tout vider, c’est-à-dire qu’il y a toujours des fuites. Et du coup, on a des infections urinaires à répétition. Et maintenant, cette année, je dois être opérée pour inverser tout ça. C’est vraiment dur, surtout parce que ça m’a pris beaucoup de temps dans ma vie d’être constamment à l’hôpital. C’est ce que je trouve le plus dur en fait. Tout ce temps perdu. Et bien sûr aussi les aspects liés à la santé. »

Sources Chloe:

‘My Childhood Was RUINED:’ Detransitioner Chloe Cole Talks About Trans Procedures, 27.07.23, The Daily Signal, https://www.youtube.com/watch?v=DSGgR3W_jjg (Abrufdatum: 02.02.2024)

Chloe Cole — D’énormes cicatrices

Chloé Cole :

« Ma voix sera à jamais plus grave, ma mâchoire plus acérée et mon nez plus long. Mon ossature sera durablement masculine. Ma pomme d’Adam ressort davantage, ma fertilité est inconnue. Parfois, je me regarde dans le miroir et je me sens comme un monstre ».

« Après avoir été amputée de mes seins, le tissu a été brûlé. Avant d’avoir l’âge de passer le permis de conduire, j’étais privée d’une grande partie de ma future féminité. Je ne pourrai jamais allaiter un enfant. J’ai parfois du mal à me regarder dans le miroir et je lutte encore aujourd’hui contre un dysfonctionnement sexuel. Et j’ai d’énormes cicatrices en travers de la poitrine. Et les greffes de peau qu’ils m’ont prélevées au niveau des mamelons suintent encore aujourd’hui, elles ont été greffées dans une position plus masculine, ont-ils dit. Après l’opération, mes notes à l’école se sont détériorées. Tout ce que j’ai vécu n’a pas contribué à résoudre les problèmes psychologiques sous-jacents que j’avais. Et mes médecins, avec leurs théories sur le genre, pensaient que tous mes problèmes disparaîtraient une fois que je serais chirurgicalement transformée en quelque chose ressemblant vaguement à un garçon. Leurs théories se sont révélées fausses, les médicaments et les opérations ont modifié mon corps, mais ils n’ont pas pu changer le fait fondamental que je suis et serai toujours une femme. »

Source Soren :

Soren’s Story: How One Detransitioner Found Peace Outside of Medicalization, 19.05.23, IWF, https://www.youtube.com/watch?v=FD_brjpAk2c (Abrufdatum: 02.02.2024)

Soren — Complications

Soren :

« Je n’aurais jamais pu imaginer ce que cela ferait s’ils ouvraient à nouveau mes cicatrices pour nettoyer manuellement ma cavité thoracique des caillots de sang, jusqu’à ce que cela m’arrive, jusqu’à ce que je sois dans cet hôpital et que je le vive. À ce moment-là, j’ai cru que j’allais mourir. La plaie s’est infectée et personne ne semblait vraiment s’en soucier. Je pense que personne ne comprend les complications qui accompagnent ces procédures et ces traitements tant qu’on ne l’a pas vécu soi-même. »

« Children are being seriously harmed by this! — No turning back“, Film de David Icke (Ickonic), https://www.youtube.com/watch?v=v_aKAHRIBq8 (Vidéo censurée, sauvegardée par Kla.TV)

Ritchie — Chirurgie génitale

Ritchie:

« Le processus de chirurgie génitale est extrêmement brutal. Tout d’abord, ils pratiquent ce qu’on appelle une orchidectomie, c’est-à-dire qu’ils enlèvent les testicules. Ensuite, ils rasent la peau du pénis pour qu’elle puisse être réutilisée. Ensuite, ils enlèvent les tissus du pénis et les corps caverneux. Chaque personne, quelle qu’elle soit, aura toujours un peu de corps caverneux. Si vous imaginez que vous perdez votre doigt à partir de cet endroit, vous avez toujours le reste de l’articulation du doigt, vous pouvez toujours le bouger. Malheureusement, on a donc toujours cette sensation de membre fantôme. En plus de tout cela, ils déplacent l’urètre et le recourbent, ce qui entraîne une complication très fréquente, qui m’arrive aussi, à savoir un rétrécissement de l’urètre qui empêche d’uriner correctement. L’urine arrive soit lentement, soit douloureusement, soit, dans certains cas, pas du tout. Certaines personnes doivent porter un cathéter pour le reste de leur vie. Chez certaines personnes, cela entraîne des complications vraiment terribles. Personnellement, j’ai perdu beaucoup de sang pendant l’opération parce que la perceuse passe directement par le bassin. Concernant les infections qu’on attrape ensuite, ils disent : c’est tout à fait normal. On a tout simplement des infections. Certaines personnes ont des tissus nécrosés, c’est-à-dire que les tissus se nécrosent à l’intérieur ou sont rejetés. Il y a un risque de prolapsus [sortie d’un organe interne ou d’une de ses parties par un orifice du corps]. Et puis il y a les problèmes psychologiques, dont personne ne veut parler. Les problèmes mentaux après une opération sont durs, même si on veut l’opération, même si on est content de l’opération, c’est dur. On perd de l’énergie. On devient extrêmement épuisé et, d’une certaine manière, vulnérable, parce qu’on se rend compte qu’on n’a pas cette force. Dans un sens, c’est un sentiment très étrange. Oui, c’est assez brutal. »

« Je ne me souviens pas exactement du jour où j’ai repris conscience après l’opération. Mais c’était le moment où je me suis levé de mon lit et où le pansement a disparu. Cela devait donc être vers le quatrième ou le cinquième jour. C’était la première fois que je me tenais devant un miroir et que je le voyais : on aurait dit qu’on m’avait attaqué. C’était vraiment brutal. Je me suis senti abattu et j’ai eu l’impression de m’être trahi de la pire des manières. Et c’était le cas, vous savez. »

« C’est irréversible. L’expérience est terminée pour moi. Il n’y a vraiment pas de retour en arrière. »

C’est bien là le problème. L’idéologie du genre et la transition sont certes présentées à l’humanité comme respectueuses de l’être humain, mais elles se révèlent exactement le contraire dans la réalité. L’idéologie du genre et la transition qui en découle font partie de l’Agenda 2030 du Forum économique mondial et de l’ONU. Cet agenda vise à une transformation complète de toutes les structures existantes et de tous les domaines de la vie. Prétendument au bénéfice de tous, l’humanité est cependant privée de toutes les beautés et de tous les avantages naturels.

L’émission « Agenda 2030 : Étiquetage frauduleux. Comment l’ONU entraîne le monde dans l’abîme » [https://www.kla.tv/19023] revient en détail sur cette tromperie désastreuse.

C’est pourquoi presque tous les gouvernements occidentaux s’empressent d’implanter l’idéologie du genre chez les plus jeunes. Accessoirement et comme appât, la médecine du genre est une immense source d’argent. Des dizaines de milliers de cliniques du genre ont été créées de toutes pièces ces dernières années dans le monde occidental. Une seule opération de changement de sexe rapporte plusieurs milliers d’euros à ces cliniques. À cela s’ajoute la prise d’hormones à vie, payée dans la plupart des cas par la caisse de maladie, ainsi que les thérapies associées. En fonction de la complexité, de la durée et des mesures prises, il peut en résulter des montants à cinq chiffres dans la fourchette supérieure. Les opérations de changement de sexe représentent donc une source de revenus extrêmement lucrative.

Une autre conséquence de la transition est que ces personnes deviennent souvent stériles, conformément à l’agenda 2030 hostile à l’être humain. Cela sert à son tour au contrôle de la population, que des stratèges mondiaux de premier plan recherchent ouvertement depuis des décennies. [Bill Gates et le réseau de contrôle démographique, https://www.kla.tv/17389]

Mais l’Agenda 2030 va encore plus loin : avec la technologie transhumaniste, l’homme doit être transformé en biorobot en le reliant à l’intelligence artificielle. Prétendument pour le doter de capacités surhumaines. Mais en réalité, il se produit une mutilation semblable à celle de la transition ; l’homme est dégradé en une machine pilotable, comme l’expliquent clairement les émissions qui s’affichent. [https://www.kla.tv/18322 , https://www.kla.tv/24066]. Il y a quelques jours, la start-up « Neuralink » d’Elon Musk a utilisé pour la première fois un implant cérébral sur un être humain, comme il l’a annoncé le 29 janvier 2024 sur sa plateforme « X » anciennement Twitter.

Conclusion

Le fait que l’être humain devienne à ce point la cible de mutilations et de contrôles étrangers montre clairement que seuls des êtres humains dotés de leurs capacités divines redécouvertes et géniales peuvent arrêter cet Agenda 2030 destructif et ses tireurs de ficelles. Et c’est précisément ce qu’il faut faire de toute urgence.

Vous aussi, vous pouvez y contribuer en diffusant cette émission auprès de vos amis et de vos connaissances, afin que les effets et les dessous de ces agissements soient révélés !

Écrivez à votre député au Bundestag ou appelez-le. Exprimez votre désaccord avec la loi sur l’autodétermination et citez les faits mentionnés dans cette émission. Regardez également l’émission suivante en allemand, à ce sujet. [La « loi sur l’automutilation » crée le chaos dans la tête des enfants ! https://www.kla.tv/27007]

Ne laissons pas nos enfants, et donc notre société, être détruits par ces expériences humaines abominables.

Source Chloe:

‘My Childhood Was RUINED:’ Detransitioner Chloe Cole Talks About Trans Procedures, 27.07.23, The Daily Signal, https://www.youtube.com/watch?v=DSGgR3W_jjg (Abrufdatum: 02.02.2024)

Chloé Cole :

« Mon enfance a été ruinée, en même temps que des milliers de personnes en détransition [inversement — dans la mesure du possible — du changement de sexe] que je connais par nos réseaux. Cela doit cesser ! Vous seul pouvez l’arrêter ! Assez d’enfants ont été victimes de cette pseudo-science barbare. S’il vous plaît, laissez-moi être votre dernier avertissement ! Merci. »

de je.

Sources/Liens :

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