02/10/2023 (2023-10-02)
[Source : https://drsambailey.com/wp-content/uploads/2023/09/A-FAREWELL-TO-VIROLOGY-Expert-Edition-English.pdf]
Par le Dr Mark Bailey
Sommaire
Résumé
PREMIÈRE PARTIE
- SARS-CoV-2 introuvable
- Dr Siouxsie Wiles, l’acolyte de la virologie en matière d’isolement
- L’importance de l’isolement
- Qu’est-ce que la virologie ?
- L’absence de contrôles en virologie signifie qu’il ne s’agit pas d’une recherche scientifique
- Maltraitance animale et études sur les « anticorps »
- Le paradoxe de la quantité de virus
DEUXIÈME PARTIE
- Fan Wu et coll. Deus ex Machina
- Des tortues sur toute la ligne
- Les affirmations du CDC sur le SRAS-CoV-2
- Les révélations de Peng Zhou et coll.
- Une nouvelle tromperie de Wuhan ?
- L’amorce d’une pandémie de PCR par le professeur Stephen Bustin
TROISIÈME PARTIE
- Le « petit chien de montagne » — Naïveté ou éclairage au gaz ?
- La distraction de la « fuite de laboratoire »
- La virologie et la société fermée
- Séquençage métagénomique — Le dernier soupir de la virologie ?
- Pourquoi remettre en question l’existence d’un virus pendant une guerre ?
POSTSCRIPT
- À propos de l’auteur
Copyright © 2022 Mark Bailey
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Résumé
La virologie a inventé le modèle du virus, mais n’a jamais réussi à satisfaire à ses propres exigences. On prétend que les virus provoquent des maladies après s’être transmis entre des hôtes tels que l’homme, mais les preuves scientifiques de ces affirmations font défaut. L’un des plus grands échecs de la virologie a été l’incapacité d’obtenir des particules virales directement à partir des tissus des organismes dits atteints de maladies « virales ». Afin d’obscurcir cet état de fait, les virologues ont eu recours à la création de leurs propres méthodes pseudo-scientifiques pour remplacer la méthode scientifique de longue date, ainsi qu’à la modification du sens des mots dans le dictionnaire afin d’étayer leurs pratiques anti-scientifiques. Par exemple, un isolat « isolé » ne nécessite pas [pour les virologues] l’existence physique des particules pour obtenir le statut d’« isolat ».
Une particule virale doit remplir des propriétés physiques et biologiques définies, notamment être un parasite intracellulaire capable de se répliquer et de provoquer une maladie chez un hôte tel que l’homme. Cependant, les « virus » tels que le SRAS-CoV-2 ne sont rien d’autre que des constructions fantômes, qui n’existent que dans l’imagination et les simulations informatiques. Dans ce paradigme, les cas de maladies inventées comme le COVID-19 ne sont rien d’autre que la détection de séquences génétiques et de protéines sélectionnées censées être « virales ». L’existence d’un virus n’est pas nécessaire dans cette boucle de raisonnement circulaire et des « pandémies » entières peuvent donc être construites sur la base de créations numériques et faussement soutenues par des réactions moléculaires in vitro (« en éprouvette »). Cet essai comporte trois parties.
La première partie retrace l’histoire de la virologie et l’incapacité des virologues à suivre la méthode scientifique. Les nombreuses et vastes affirmations des virologues peuvent toutes être démontrées comme étant erronées pour les raisons suivantes : (a) l’absence de preuves directes et (b) l’invalidation des « preuves » indirectes en raison de la nature incontrôlée des expériences [c’est-à-dire l’absence de contre-expériences ou expériences de contrôle]. Les exemples fournis couvrent tous les principaux aspects de la fraude virologique, y compris le prétendu isolement, les effets cytopathiques, la génomique, les anticorps et les études de pathogénicité animale.
La deuxième partie examine la fraude utilisée pour propager la « pandémie » de COVID-19. Une analyse de la méthodologie utilisée par les inventeurs originaux, Fan Wu et coll., montre comment le SARS-CoV-2 fictif a été « créé » par des méthodes anti-scientifiques et des tours de passe-passe linguistiques. Cela fait partie d’une tromperie permanente où l’on prétend que les virus existent en les calquant sur des modèles de « virus » antérieurs. Si l’on prend l’exemple du SRAS-CoV-2, la piste des modèles génomiques de « coronavirus » remontant aux années 1980 révèle qu’il n’a jamais été démontré qu’aucune de ces séquences génétiques ne provenait de l’intérieur d’une particule virale — les arbres phylogénétiques sont des fantaisies. L’application erronée de la réaction en chaîne de la polymérase [PCR] a propagé cet aspect de la fraude virologique et créé les « cas » permettant de maintenir l’illusion d’une pandémie.
La troisième partie analyse la manière dont certains participants clés, les institutions « sanitaires » et les médias grand public entretiennent l’illusion du virus par le contrôle de l’information et des récits qui reprennent les affirmations de la virologie. Par le plus grand des hasards, la fraude virologique se retrouve aujourd’hui au cœur de la fraude COVID-19. À partir de là, cependant, elle peut être évaluée de manière critique par des personnes extérieures à la virologie et le paradigme pseudo-scientifique que la virologie a construit autour d’elle-même peut enfin être démantelé et mis au rancart. L’objectif de cet essai est de réfuter les différentes affirmations selon lesquelles les virus pathogènes existent et provoquent des maladies. Le SARS-CoV-2 a été utilisé comme principal exemple, mais les principes s’appliquent à tous les prétendus virus. Ce qui suit aborde la littérature souvent obscure de la virologie dans ses propres termes, ce qui, il faut le dire, peut rendre certaines parties de cet essai un peu lourdes à lire. Cependant, nous espérons que cette contribution comblera une lacune pour le lecteur qui recherche une compréhension plus technique de l’hypothèse du virus, car elle cherche à exposer le fondement même des prétendues pandémies et des pratiques médicales frauduleuses. La menace que représente la virologie pour l’humanité ne cesse de croître. Il est donc temps de dire adieu à ces pratiques pseudo-scientifiques destructrices et de nous libérer de nos peurs inutiles.
[Voir aussi :
L’homme et la science moderne ont-ils évolué depuis le Moyen-Âge ?
La théorie virale relève-t-elle de la science ou de la Foi ?
Du temps de l’inquisition, la « Vérité » avec son grand « V », donc incontestable, était uniquement basée sur la Foi et sur des dogmes.
Disons-le franchement, c’était quand même beaucoup plus pratique et bien moins source de controverses.
Le consensus était l’unique voie (ou voix), et quiconque s’en éloignait risquait de terminer brûlé comme hérétique.
Il ne saurait y avoir de « Vérité » avec un grand « V » en science. La vérité relevant uniquement du dogme ou de la foi, qu’elle soit religieuse ou pas.
Une vérité scientifique ne peut exister qu’à la condition qu’elle puisse être fausse (ou réfutée).
À l’inverse, une fausse « science » n’aura jamais tort et toutes les expériences prétendument « scientifiques » n’auront pour seul objet que de confirmer le dogme.
C’est notamment ce qui se vérifie depuis la crise du Covid ou le changement climatique.
Les folies de Peter McCullough
Le Dr Peter McCullough est un héros pour de nombreux membres de la communauté de la liberté médicale et a été l’une des voix les plus importantes dans la lutte contre les vaccins COVID.
Cependant, le Dr Mark Bailey et le Dr Kevin Corbett, vétéran de la lutte contre les virus, commentent et réfutent en détail les affirmations du Dr McCullough relatives aux « virus ». Il s’agit d’une question vitale, car ces affirmations maintiennent les gens dans le piège non seulement de l’illusion virale, mais aussi du paradigme allopathique au sens large.
(Vidéo 1 h 5)
Dossier
Vaccins et virus
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