Trump a bien été envoyé à la mort par l’équipe Biden

16/07/2024 (2024-07-16)

[Source : ripostelaique.com]

Par Bernard Bayle

Voici des révélations explosives de Susan Crabtree sur le manque de sécurité au meeting de Trump, le samedi 13 juillet.

Susan Crabtree (@susancrabtree sur X) est correspondante à la Maison-Blanche de RealClearPolitics et journaliste pour The Hill et pour le Washington Examiner. Elle a de nombreux contacts au sein du Secret Service, qui lui ont fourni les informations suivantes :

1) les ressources du Secret Service avaient été réduites pour Trump le 13 juillet, et détournées au profit de Jill Biden, la femme de Biden, qui tenait au même moment une réunion dans un restaurant italien de Pittsburgh, non loin de la ville de Butler où Trump tenait son meeting de campagne.

2) le Secret Service a « appliqué le protocole » et traité Trump comme un ex-président, sans prendre en compte le fait qu’il est le candidat en tête pour l’élection présidentielle et qu’il est l’homme le plus menacé du monde.

Donc, pour protéger Jill Biden, qui n’est menacée par personne, les meilleurs agents ont été envoyés à l’intérieur du petit restaurant où ne se trouvait qu’une vingtaine de Démocrates. Mais pour protéger Trump, qui est l’homme le plus menacé du monde, en raison des tombereaux de calomnies et de diabolisations déversés sur lui par les Démocrates depuis 2015, et qui tenait un meeting en plein air (donc bien plus exposé) devant 18 000 personnes, une équipe réduite avait été mise en place.

3) l’équipe qui protège habituellement Trump était au repos, sauf l’agent principal, car ils étaient épuisés, ayant travaillé 7 jours sur 7 sans repos depuis des mois, en raison des refus répétés de Mayorkas (secrétaire américain [ministre] de la Sécurité intérieure) d’augmenter les effectifs du Secret Service protégeant Trump.

4) les agents temporaires assignés le 13 juillet à la protection de Trump avaient été puisés dans divers services, et n’étaient pas habitués à protéger Trump ni à travailler ensemble. La majorité des ressources disponibles dans la région dépendant de Pittsburgh (où se trouve Butler) avaient été attribuées à Jill Biden.

5) une seule équipe de 2 contre-snipers avait été approuvée par le bureau de Pittsburgh, et cela seulement la veille du meeting, ce qui ne laissait pas assez de temps à ces deux agents pour repérer correctement les lieux et mettre en place une sécurité adéquate. Selon une des sources de Crabtree, pour un événement en plein air de cette taille, il faut au moins 3 équipes de 2 contre-snipers pour couvrir les menaces potentielles.

Toutes ces informations sont ici :

Shocking Report: Secret Service Resources Diverted From PA Trump Rally to Jill Biden, More Troubling Info
https://redstate.com/nick-arama/2024/07/15/report-secret-service-resources-were-diverted-from-pa-trump-rally-to-jill-biden-visit-n2176871

De plus :

6) depuis que Biden squatte la Maison-Blanche, il a mis en place une politique d’extrême gauche dans tous les services de l’État fédéral, consistant en l’embauche de femmes plutôt que d’hommes, et de personnes de couleur plutôt que de Blancs, politique appelée DEI (Diversity, Equity and Inclusion) qui est en réalité sexiste et raciste. À cause de cette politique, la nouvelle dirigeante du Secret Service, Kimberly Cheatle, nommée en 2022, est l’ancienne directrice de la sécurité de Pepsi Cola… ce qui a conduit Elon Musk à twitter : « Elle s’occupait de garder des canettes de soda, et maintenant elle doit protéger Trump ? »

7) cette directrice a décidé que le Secret Service doit recruter au moins 30 % de femmes, sans se soucier de savoir si une femme est aussi efficace qu’un homme pour les missions de cette agence. Le site du Secret Service déclare que « notre mission est d’embaucher plus de femmes », et non d’embaucher des personnes compétentes.

8) le résultat, c’est que, sur la vidéo de la tentative d’assassinat de Trump, on voit trois femmes du Secret Service qui tentent de protéger Trump en plus de 4 ou 5 hommes. Comment une femme de 1 m 65 (taille moyenne) peut-elle faire écran avec son corps pour protéger un homme de 1 m 88 comme Trump, alors que c’est l’une des obligations de son métier ? Comment une femme de 55 kg (poids moyen), ou même trois femmes de 55 kg peuvent-elles porter un homme de 100 kg au pas de course pour l’extraire en cas de besoin, alors que c’est une obligation de leur métier ?

9) à la fin de la vidéo, on voit ces trois femmes devant la voiture blindée dans laquelle Trump est entré : elles ont l’air désorientées, l’une d’elles n’arrive même pas à remettre son arme dans son holster (preuve de manque d’entraînement ou d’incompétence).

Ces remarques proviennent de la chaîne de télévision Sky News Australia, ici :

Fury unleashed on secret service after “catastrophic failure” to protect Donald Trump (Sky News Australia) 15-07-2024.

CONCLUSION :

1) Biden a donné l’ordre à Mayorkas de refuser toute protection supplémentaire à Trump ;

2) le Secret Service néglige de protéger correctement Trump (en raison des décision de Biden) ;

3) la politique sexiste (et raciste) de Biden (DEI) entraîne une baisse massive de l’efficacité des agents du Secret Service.

Bref, une fois de plus :

Biden et les Démocrates sont coupables !

Bernard Bayle

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(2 commentaires)

  1. Hum, p’t’ête ben qu’oui, p’t’ê ben qu’non.
    lorsqu’on observe la vidéo au ralenti image par image, on voit Trump qui porte sa main à son oreille et qui ensuite la retire, elle ne semble pas ensanglantée, certes les images ne sont guère nettes.
    Et après, que font-ils pendant ce temps là derrière le pupitre, personne ne regarde de ce côté là, comme si chacun en partie arrière jouait un rôle de paraître plus ou moins désorienté mais sans que cela ne soit panique générale.
    C’est assez étonnant.

    1. « on voit Trump qui porte sa main à son oreille et qui ensuite la retire, elle ne semble pas ensanglantée ». Bien observé. La joue non plus. Ce n’est que quand Trump se relève de derrière le pupitre qu’on voit sa joue ensanglantée…

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