14/04/2022 (2022-04-14)
[Source : leslignesbougent.org]
Par Thibaut de Santé Non Censurée
Pétition
Adressé à : Mesdames et Messieurs de l’Assemblée nationale, Mesdames et Messieurs les Sénateurs
Chers amis,
Est-il possible que les Français de moins de 45 ans aient connu plus de décès en 2021 que les années précédentes ? Et que cette mortalité :
- n’ait rien à voir avec le Covid…
- Et ait tout à voir avec la gestion de l’épidémie, en particulier les campagnes de vaccination de masse ?
C’est la question archi-brûlante que se posent plus de 900 chercheurs, universitaires, professionnels de santé et de droit à la suite du Dr Laurent Toubiana.
Ce dernier, épidémiologiste désormais bien connu, s’est vu refusé par le Sénat l’accès aux données des décès toutes causes confondues en lien avec le statut vaccinal…[1]
Seules ces données permettraient de faire la lumière complète sur la mortalité anormale enregistrée chez les moins de 45 ans en France et dans de nombreux pays européens.
Ces informations permettraient d’écarter ou de confirmer l’hypothèse d’un vaccin dangereux.
En effet, sachant que la moyenne des décès du Covid s’établit à 82 ans[2], il n’est guère possible d’attribuer un quelconque effet significatif du Covid sur la mortalité des moins de 45 ans…
Or c’est bien ce qu’enregistre le site Euromomo[3], qui surveille la mortalité européenne : une surmortalité anormale chez les 15-44 ans en 2021…
-> Ces décès supplémentaires sont-ils dus aux injections ARN ?
-> Ou faut-il aller chercher une explication ailleurs ?
Il est impossible de tirer des conclusions tant que le Sénat refuse de révéler cette information pourtant disponible dans le Système National des Données de Santé (SNDS)[4].
En ouvrant les données des décès toutes causes confondues en lien avec le statut vaccinal, les chercheurs pourront dire si les 15-44 ans vaccinés ont connu une mortalité supérieure ou inférieure à celle des 15-44 ans non-vaccinés.
Il est fondamental que ces données puissent être ouvertes avant le premier tour de l’élection présidentielle.
Comment juger le bilan du Président sortant si une telle information n’est pas analysée, discutée et révélée aux électeurs ?
Le Gouvernement et les Parlementaires ont rendu la vaccination quasi obligatoire en France, en affirmant que les vaccins étaient sûrs et efficaces. Qu’ont-ils à craindre ?
N’est-ce pas là l’occasion rêvée de faire taire les “complotistes” et les vaccino-sceptiques ?
Devant ce manque de transparence de nos autorités, j’ai décidé de soutenir la demande de Laurent Toubiana et des 900 chercheurs, et je vous demande, cher lecteur, de la soutenir avec moi, afin que ces données soient révélées aux citoyens français AVANT les élections présidentielles.
Seule une mobilisation populaire de grande ampleur peut les convaincre de revenir sur leur refus d’ouvrir ces accès !
POUR UNE TRANSPARENCE TOTALE SUR LA MORTALITÉ DES MOINS DE 45 ANS EN FONCTION DU STATUT VACCINAL
Les rapports qui suggèrent un lien entre surmortalité et vaccination de plus en plus nombreux
Ce refus du Sénat de publier ces informations n’est peut-être pas anodin.
Il intervient en pleine campagne présidentielle et au moment où l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament), Eudravigilance (base de données européenne de rapports d’effets indésirables au niveau européen) ou encore VAERS (base de données des effets secondaires des vaccins aux Etats-Unis) émettent des rapports alarmants.
Les chiffres officiels sur les effets indésirables des vaccins sont inquiétants[5,6,7,8] :
- L’ANSM met en avant plus de 137 000 effets indésirables à la suite de la vaccination en France, dont plus de 30 000 considérés comme graves ;
- Eudravigilance rapporte 1 327 876 signalements d’effets indésirables et 36 267 décès ;
- VAERS rapporte 21 000 décès confirmés et plus d’un million d’effets secondaires.
Ces organismes, bien sûr, refusent à ce jour d’établir un lien de causalité entre la vaccination et les décès.
Aucune enquête n’est diligentée.
On se contente d’accuser les citoyens ou scientifiques qui s’interrogent d’être des « complotistes » ou “d’extrême-droite”.
Les candidats à la présidence française font tout pour évacuer le sujet ne sachant trop s’ils sauront en profiter électoralement…
C’est donc à nous simples citoyens de faire le travail ! Nous devons faire pression pour que toute la lumière soit faite sur les chiffres de surmortalité chez les jeunes.
POUR UNE TRANSPARENCE TOTALE SUR LA MORTALITÉ DES MOINS DE 45 ANS EN FONCTION DU STATUT VACCINAL
Je rappelle que les chiffres de surmortalité chez les jeunes sont issus d’un institut indépendant[9] et proviennent de sources fiables.
Ils sont incontestables. Nos voisins enregistrent d’ailleurs la même chose !
EUROPE
Sur ces graphiques, on visualise nettement que la courbe bleu foncé des décès des 15-44 ans entre 2018 et 2022, augmente nettement à partir de 2021, et finit par dépasser le taux moyen de mortalité des années précédentes (en gris).
N’est-il pas urgent de faire toute la lumière sur ce phénomène ?
Des Français, des Anglais, des Allemands de 45 ans ou moins sont-ils morts en cherchant à se protéger d’une maladie qui ne les menaçaient pas ? Nous devons en avoir le cœur net !
POUR UNE TRANSPARENCE TOTALE SUR LA MORTALITÉ DES MOINS DE 45 ANS EN FONCTION DU STATUT VACCINAL
Faire la lumière sur le lien entre surmortalité et vaccination
Nous, citoyens français, sommes en droit de savoir si oui ou non il y a un lien entre les décès de nos jeunes et la vaccination.
Ce n’est pas question d’être pro-vax ou anti-vax.
Ce n’est pas non plus une question politique.
Nous avons besoin de faire la lumière et commencer à établir un premier bilan de la politique vaccinale.
En donnant un accès aux données de mortalité toutes causes confondues, à des chercheurs indépendants, sans lien avec le Gouvernement qui a trop à perdre dans cette histoire, et encore moins avec les fabricants de vaccins, il sera possible :
- d’établir ou non un lien entre les décès et les injections ;
- de vérifier si les personnes non vaccinées meurent plus que les personnes vaccinées, à âge égal ;
- de vérifier s’il existe un lien ou non entre la date de vaccination et la date de décès.
Nous avons le droit de savoir, et nous sommes tous concernés.
Pour rappel, il y a eu en France 140 millions de doses administrées, et 94% des plus de 12 ans en ont reçu au moins une.
Ce n’était jamais arrivé dans l’Histoire de la France.
N’oublions pas que les vaccins ont été mis au point en quelques mois seulement alors qu’il faut normalement plusieurs années et de nombreux essais thérapeutiques avant la mise sur le marché.
N’oublions pas que les campagnes de vaccination successives n’ont pas empêché d’attraper le virus et de se retrouver à l’hôpital. Selon la Drees, 70% des personnes à l’hôpital en février étaient vaccinées.[10]
Nous avons le droit de savoir.
Sources
Auteur : Thibaut de Santé Non Censurée
⚠ Les points de vue exprimés dans l’article ne sont pas nécessairement partagés par les (autres) auteurs et contributeurs du site Nouveau Monde.