03/09/2023 (2023-09-03)
[Source : editions-tredaniel.com]
QUE SERAIENT UNE OPINION, UNE SCIENCE, UN SAVOIR, UNE CONSCIENCE, SANS LE QUESTIONNEMENT, LA REMISE EN CAUSE ET LE DOUTE ? AINSI QUE L’ÉCRIVAIT ALDOUS HUXLEY :
« La philosophie nous enseigne à douter de ce qui nous paraît évident. La propagande, au contraire, nous enseigne à accepter pour évident ce dont il serait raisonnable de douter. »
Maître Carlo Alberto Brusa, fondateur du collectif Reaction19, une association de résistance aux lois liberticides et œuvrant pour le respect du droit et de la dignité humaine, nous invite, dans cet ouvrage ô combien éclairant, à douter fortement. De la bonne gestion de la crise sanitaire, des « vaccins » protecteurs contre la Covid, de la bonne foi des industries pharmaceutiques, de la parole de nos gouvernants…
Carlo Alberto Brusa est un homme de cœur, profondément. Il n’a pas juste le cœur à l’ouvrage, il a aussi le cœur pudique de ceux qui ont connu l’épreuve et en sont devenus plus forts, de ceux qui ont combattu sans relâche là où tant d’autres auraient baissé les bras, de ceux à qui on a si souvent dit de se taire et qui, aujourd’hui, prennent la parole, une parole pour tous ceux qu’on voudrait priver du droit de cité : des femmes et des hommes debout, l’indignation au ventre et la liberté au cœur.
Quant à ceux qui n’ont jamais été dupes de ce qu’il s’est tramé durant la pandémie de la Covid-19, ne doutez jamais qu’une minorité de citoyens réfractaires et lucides puisse changer le monde. En vérité, il en a toujours été ainsi.
Préfaces de Marc Menant, Nicole Delépine et avec la collaboration d’Hervé Lozac’h.
Avant-propos du Dr Martine Wonner.
Avant-propos du livre de Carlo Brusa : pour un lendemain sans libertés volées
Par Nicole Delépine
Quel bonheur, quelle joie, quelle fierté, quel honneur de participer, un tant soit peu, à cet ouvrage d’utilité publique à tous égards, et d’abord pour le moral des résistants et la survie en milieu pré totalitaire.
Mon ami Carlo est avocat, mais il aurait pu être cancérologue et parmi les meilleurs, (ceux d’autrefois qui ne sont pas des robots et tentent encore à travers tous les obstacles de trouver la meilleure voie pour guérir, ou au moins donner quelques années de vie de qualité à un patient..) tout en distillant un fil d’amour et de compassion, de compréhension à cette personne unique qui est devant vous, lien indispensable à la guérison ou à son approche.
Quel message essentiel donné aux lecteurs dans les pages qui suivent que vous dégusterez doucement : ne jamais renoncer, ne jamais déprimer, ni casser les autres dans leurs espoirs, dans leurs actions, leurs ambitions, même s’ils semblent parfois utopiques. Aucun combat n’est perdu d’avance tant qu’on le livre, comme nous le disions dès notre premier livre « Neuf petits lits au fond du couloir » en l’an 20001.
« Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent ; ce sontCeux dont un dessein ferme emplit l’âme et le front,Ceux qui d’un haut destin gravissent l’âpre cime,Ceux qui marchent pensifs, épris d’un but sublime,Ayant devant les yeux sans cesse, nuit et jour,Ou quelque saint labeur ou quelque grand amour. » 2….
Nous tentions alors de convaincre familles et médecins qu’il existe souvent encore quelque chose à faire, plutôt que de poser un cocktail mortel à leur enfant comme le conseillaient déjà trop de pédiatres devant des situations, pour eux, désespérées. Qui sommes-nous pour juger, pour asséner des probabilités de tant de mois de vie, alors que pour bon nombre d’enfants recueillis à Herold puis Robert Debré, et jusqu’à Garches, ce fut finalement et heureusement très différent.
Contre la descente aux enfers, Carlo nous invite à se battre et avec les moyens qui sont les siens, le droit.
« Le seul rappel, ici, sera celui du droit, l’esprit du droit, fondamental et inaliénable, dire haut et fort comment il a été – et sera toujours – à la portée de chacun, l’arme la plus sûre et ultimement pacifique pour soutenir, au jour le jour, chacun de nos combats contre le totalitarisme ».
« Car le plus lourd fardeau, c’est d’exister sans vivre. »3
Le chemin est difficile, mais nous n’avons pas le droit de trahir les futures générations. Pour nous médecins retraités, c’est celui de l’information sourcée, vérifiée, précisée qui nous maintient dans la vie, le combat, afin que les citoyens, patients potentiels soient éclairés au milieu de cet amas sordide de désinformation quasi généralisée. Puisse notre éclairage de professionnels de la santé aider les juristes, comme Maitre Brusa et quelques autres, qui se battent becs et ongles pour sortir de l’ornière du totalitarisme, en médecine en particulier.
Une société mortifère, perverse et sadique
La propagande pour une société de la mort a commencé dès le début de ce siècle et n’a fait que s’aggraver. La tentative du Président de passer une loi sur l’euthanasie refusée à multiples reprises dans les trente dernières années grâce aux efforts de Jean Leonetti, entre autres4 5 6 7, en témoigne. De quel droit imposer cette nouvelle « religion » mortifère par une loi ? Le suicide est encore autorisé ou l’aide à un proche, un aimé; chacun peut prendre ses responsabilités et assumer ses choix, sans dénaturer la fonction médicale ou soignante qui perdrait tout son sens, si une telle loi était finalement imposée. Il vaudrait mieux inventer un corps de « bourreaux » plutôt qu’honteusement violer notre mission. Quel regard le patient peut-il porter sur son médecin s’il sait que celui-ci a le droit de le tuer ?
Cette société du désespoir, de la mort, de l’indifférence entre générations n’est pas celle de Carlo, de Tmpx, de Riccardo, ni de tous les bénévoles qu’ils réunissent autour d’eux. Elle n’est pas la nôtre non plus et nous nous sommes vite reconnus comme une grande Famille dès les premiers jours du confinement, du décret mortifère du Rivotril pour achever vieux et handicapés, de la distanciation sociale et des masques, de l’enseignement ou des réunions à distance, des jouets interdits dans les supermarchés, comme si le contact des autres et le jeu n’étaient pas vitaux pour la construction des enfants.
Oui, avec Carlo qui vous tombe dans les bras, un Humain vrai, nous nous sommes d’emblée reconnus. Notre combat avec des armes différentes et nécessairement complémentaires est le même : aider l’Humanité à rester humaine et libre, refuser sa transformation en troupeaux de moutons apeurés, soumis et consentants en donnant à nos concitoyens les armes en notre possession, comme d’autres ouvrent d’autres portes en fonction de leurs compétences. Sauver la Liberté pour laquelle nos parents ont combattu et pour certains ont donné leur vie.
Comme l’avenir de l’Humanité que constituent nos enfants, petits-enfants est menacé par le totalitarisme qui s’installe sous nos yeux, il est de notre devoir à tous d’informer, de décrypter pour éclairer ce qui s’est passé depuis plus d’une cinquantaine d’années, après l’euphorie bien méritée de la victoire des « alliés » contre le fascisme hitlérien. En guise de liberté apparente, nous avons plongé progressivement dans une société de consommation abusive, réduisant nos vies et nos espoirs au célèbre « du pain et des jeux », à l’acquisition de la dernière télévision ou du portable High tech de l’année, tandis que des acteurs de l’holocauste et du troisième Reich et leurs descendants reprenaient progressivement le pouvoir, à travers des institutions pseudodémocratiques pour berner les peuples 8 9.
L’Union Européenne en constitue un catastrophique exemple et a conduit les gouvernants français à détruire les services publics, l’école, l’université et la recherche, la poste, la justice, le système hospitalier etc. Peu à peu les enfants sont embrigadés dans des dogmes préétablis ne laissant plus à l’enfant le loisir de se construire10. Ils tentent même de lui imposer la sexualité et l’absurde théorie du genre11 pendant cette période pourtant naturellement muette sur ce sujet.
Ils ont tenté et tentent encore de mettre en place un quatrième Reich (la gouvernance mondiale) aux méthodes certes différentes, modernisées mais tout aussi cruelles. Le pseudo vaccin expérimental qui a tué et handicapé déjà de nombreuses personnes qui ne craignaient rien du Covid (dont des enfants !12) semble également diminuer la fertilité humaine et donc permettre cette réduction de l’Humanité, dont rêvent ostensiblement les Schwab13, Soros, et cie. Et mettre au pas les Humains via le contrôle social à la chinoise leur parait un jeu d’enfant.
Mais ils se trompent, car toutes les dictatures tombent un jour ou l’autre.. Question de temps et donc malheureusement de nombre de victimes ..
L’épisode Covid19 fut la cerise sur le gâteau que ceux qui, comme Carlo, avaient vécu des épisodes douloureux à une période de leur vie, reconnurent vite comme l’installation insidieuse de la dictature. Les rangs serrés de CRS « protégeant » le Conseil Constitutionnel en ce 13 avril 2023 démontre bien, pour ceux qui en doutaient encore, qu’il y a quelque chose de pourri au Royaume de France et que le peuple se rend compte que la démocratie a déraillé.
Ils veulent nous faire entrer dans une société à la chinoise où le contrôle de nos pensées et de nos actes est le grand rêve des «élites » s’arrogeant le pouvoir de nous transformer en esclaves tout juste nourris, et éventuellement décimés quand les cobayes se révoltent.
Allons-nous les laisser faire ?
« Qu’avons-nous fait de notre lucidité, de notre discernement, de notre liberté de penser ? »
Cette phrase essentielle du livre nous ramène à notre pratique médicale des trente dernières années que nous vécûmes comme jeunes, puis moins jeunes médecins, comme un déchirement solitaire (entre collègues, et encore) et dans l’indifférence générale, malgré des alertes multiples de pratiquants de la médecine d’Hippocrate14 15 16 17,multipliant les livres dans le silence intersidéral des médias, mais aussi des associations de patients, des syndicats médicaux etc…
La destruction du système de santé, dont on fait mine de déplorer l’état actuel, ne fut pas brutale, mais bien organisée, bien étalée. Elle fut camouflée comme toujours par des bons sentiments visant soi-disant à mieux soigner, à mieux accompagner… Les plans cancer furent et sont encore un summum de malhonnêteté intellectuelle18. Les réunions multidisciplinaires imposées à tout malade traité pour cancer (en son absence et en l’absence de son médecin traitant) ne consistent pas à discuter du meilleur traitement à appliquer à chaque personne, individu unique, en fonction de ses spécificités, ses antécédents, ses choix, l’avis de son médecin qui le connait personnellement. Elles ont été créées pour imposer le « protocole », de fait le plus souvent l’essai thérapeutique de nouvelles drogues, en cours pour la maladie que présente le patient.
Et aucun médecin, ni aucun service ne peuvent y déroger sans voir à terme son autorisation d’exercice de la cancérologie refusée par l’autorité administrative inventée ces deux dernières décennies : les ARH créées en 1996 par Alain Juppé (un des soi-disant sages du conseil constitutionnel qui ne parvint pas à imposer sa réforme des retraites en 1995), agences régionales d’hospitalisation contrôlant l’hospitalisation publique, remplacées en 2008 sous Sarkozy par les fameuses ARS, agences régionales de santé couvrant public, privé, ville, hôpital et bras armés du ministère de la santé, organisations purement bureaucratiques et autoritaires, dont la suppression serait un premier pas majeur pour espérer reconstruire un système de santé au bénéfice du malade.
Dès le virage Thatcher en 1984 fut modifié le statut des médecins des Hôpitaux qui devinrent « PH » c’est-à-dire praticien hospitalier, titre non spécifique dédié à des « docteurs » au sens d’autrefois, le médecin qui vous examine, vous touche, vous console, mais aussi aux pharmaciens, ingénieurs ou autres. Bref une catégorie bureaucratique qui augurait bien de ce qui allait advenir avec la mise aux ordres des chefs de service, bientôt eux-mêmes sous la coupe des directeurs non-médecins issus de l’ENA ou de la sous ENA l’école de Rennes qui firent entrer les tableaux Excel et l’argent à tous niveaux dans les hôpitaux. Le malade devint un « traceur », et le nombre de couches, de compresses utilisées plus important que le confort de celui qui deviendra de plus en plus un « patient » voire une « charge » ..
Et progressivement le « droit » inaliénable de prescrire le meilleur traitement en fonction des données acquises de la science, comme le prescrivait l’arrêt Mercier de 1936, disparut, victime du droit flou (?) 19 qui s’immisça en médecine depuis les années 80. Les cancérologues, premières « victimes » (consentantes ?), avec les patients, se turent pour la plupart, laissant nos métiers se vider de leur sens. L’interdiction qui nous fut faite dans les années 2000 de tenter de sauver des petits cancéreux condamnés par les grands centres, n’était pas un hasard lié à de méchants chefs de service tout puissants des centres anticancéreux hégémoniques, mais bien une orientation politique qui allait se généraliser progressivement dans d’autres domaines. Les internes des hôpitaux surent bientôt que devant une infection chez un patient reçu aux urgences pendant leur garde, ils n’avaient plus le choix de l’antibiothérapie et devaient appliquer l’association d’antibiotiques décidée par leurs grands chefs, dans une réunion loin du malade, et indépendamment de leurs études médicales qui semblent n’être plus qu’une peau de chagrin inutile. Les « protocoles » prérédigés et Chat gpt vont pourvoir aux besoins sans blouses blanches20.
Pour les médecins de ville, les « références médicales opposables représentèrent la fin du « docteur ». Elles virent le jour dans le début des années 90, privant les praticiens au lit du malade de leur libre arbitre et du choix du traitement préféré en fonction de leur expérience, leurs habitudes et du désir de leur patient. Choix du malade ? Quelle idée bizarre en 2023, après tant de restrictions sur plus de vingt ans aux droits et devoirs de chaque médecin de respecter son serment d’Hippocrate.
Le pire est que ces amputations successives aux devoirs des médecins de choisir le meilleur traitement connu pour son malade furent acceptées dans le silence médical (et général) expliquant probablement l’absence de réaction (sauf quelques nobles exceptions) aux décisions mortifères de mars 20 déconseillant aux malades de consulter leur généraliste, de n’appeler le 15 qu’en cas d’asphyxie et d’avaler du doliprane à gogo. Nous ne rappellerons pas la suite comme l’interdiction des antibiotiques et des autres traitements précoces dont chaque médecin savait en 2020 l’innocuité et l’efficacité21.
La soumission médicale a donc été préparée doucement et progressivement, habituant les patients à la notion de « protocole », tous le même, et finalement à l’absence de besoin de médecin au sens propre, une bonne télécabine pouvant faire l’affaire pour beaucoup. On ne soigne plus un malade, mais une maladie. La diminution du nombre de médecins disponibles ne résulte pas non plus du hasard, mais du sabotage imposé par le numérus clausus (dès 1971) et toutes les mesures dégradantes qui ont suivi et détourné les jeunes de ce métier formidable, mais seulement si on peut l’exercer librement.
Les réponses judiciaires aux familles de patients depuis de nombreuses années furent négatives, toutes les plaintes de nature médicale étant classées sans suite (sur ordre venu d’en-haut semble-t-il)… Et le grand silence médiatique et populaire les enterrant permit de poursuivre vers le néant. Rappelons par exemple que l’association Ametist 22qui se bat depuis 1990 pour l’accès aux enfants et jeunes atteints de cancer au libre choix de refuser un essai thérapeutique pour bénéficier des traitements éprouvés, a déposé une vingtaine de plaintes et référés au moment de la fermeture de la seule unité indépendante d’oncologie pédiatrique qui perdurait en 2014 à Garches. Ces plaintes furent regroupées en une seule et rejetées en bloc.23 24
Il y eut dans ces décennies tout de même de petites victoires comme ce jeune homme soigné au Mans, auquel un jugement avait imposé une « greffe de moelle » et un transfert à Angers, et dont le recours fut finalement accepté. Mais le parcours du combattant opposé aux décisions des grands manitous chefs, dits médecins, l’avait usé. Il ne s’en remit pas, pas plus que sa famille ..
Actuellement le monopole de soins en cancérologie est imposé par décision administrative interdisant à certains chirurgiens de qualité internationale d’opérer des patients atteints de tumeur maligne, pour réserver ces opérations à des centres choisis par les ARS. Ainsi les malades sont -ils privés de compétences pointues25… Est-ce acceptable ?
L’année dernière, nous avons dû adresser un enfant en Espagne pour lui éviter l’amputation proposée en France comme la seule solution possible. Et actuellement nous devons trouver un chirurgien à l’étranger pour pratiquer l’ablation d’une tumeur thoraco abdominale qui pouvait être parfaitement opérée en France, avant que l’ARS n’interdise à des chirurgiens français compétents de traiter certains cancers26. Pendant trente ans nous avons accueilli en France des malades venus de nombreux pays pour leur offrir des traitements qu’ils ne pouvaient pas obtenir dans leurs pays d’origine. Aujourd’hui les malades français doivent aller à l’étranger pour bénéficier des traitements auxquels la dictature des ARS les empêchent d’accéder !
Comme le dit Hervé Lozac’h , « le problème n’est pas seulement médical et ou pénal, mais bien philosophique et humaniste » . Il est de fait celui de retrouver la liberté de penser, de soigner, d’éduquer, d’enseigner27 28, de rêver, d’exister…Bref de retrouver, reconstruire une société libre, adulte, mature, ne demandant pas à chaque pas à l’administration ce qui est ou non autorisé.
Ne plus être considéré comme des objets ou des esclaves, mais comme des citoyens adultes libres de leurs choix. Et comment ne pas évoquer ici l’indicible situation de soignants, médecins, infirmiers, aides-soignants mais aussi administratifs des services de soin, pompiers, qui sont suspendus depuis plus de dix-huit mois pour avoir eu l’honnêteté et le courage de refuser ouvertement l’injection expérimentale d’un produit ARNm, tant pour se protéger, que pour informer les citoyens par leur attitude, et qui ont été traités de manière inhumaine pour leur refus d’obéir au bon plaisir du roi.
Et le pouvoir n’a pas hésité à violer toutes les lois, celle consacrant le consentement libre et éclairé mais aussi le droit du travail en les privant de toute compensation par chômage, RSA etc. L’ensemble des scientifiques internationaux ont reconnu l’absence de légitimité médicale de ces « punitions » « humiliations » doublées de mépris et diffamations, calomnies… Tous les pays du monde sauf le nôtre et la Hongrie ont renoncé à cette discrimination scientifiquement infondée, scandaleuse et inhumaine. Alors participons à toutes les manifestations, pétitions etc.. pour obtenir la possibilité de réintégration (s’ils le souhaitent encore) et les compensations financières ainsi qu’une reconnaissance de leur courage, de leur détermination et des excuses pour les décisions infâmes qu’ils ont subies, en poussant certains à la rue, voire au suicide. Ne les oublions pas !29 30 31
Le pseudo-vaccin ne protège ni du Covid19, ni de la transmission aux contacts, ni des formes graves contrairement au dernier mensonge des covidistes pour tenter de sauver leur attitude. En revanche, il est suivi par des multiples complications dont certaines graves et parfois mortelles. Souvenons-nous de la longue liste des sportifs de haut niveau morts sur le terrain, plus rapidement de problèmes cardiaques que la population générale en raison des efforts extrêmes. Malheureusement la surmortalité (par coïncidence, ou inexpliquée) qui se confirme dans le monde fait craindre une multiplication de ces effets secondaires niés jusqu’à aujourd’hui par nos dirigeants qui prêchent encore l’injection des enfants et des femmes enceintes. « Nous savons, ils savent, et ils savent que nous savons qu’ils mentent. »32 Que cherchent-ils ?
Maitre Brusa souligne à juste titre que notre civilisation perd ses repères…La médecine se meurt à la suite des infâmes lois de 1984, des plans cancer, des lois Bachelot, Touraine et des innombrables décrets récents.
« La loi et le droit ne peuvent pas se confondre. Le droit peut dire à la loi: «Ce que tu fais n’est pas juste. » La loi n’est pas, en tant que telle, la source du bonheur. La loi, dans les mains d’un dictateur, d’un fou, d’une technocratie ou d’une oligarchie peut être extrêmement dangereuse. Une loi peut donc être illégitime; simplement parce qu’il y a la loi, et qu’il y a le droit. »33
Et pour nous médecins, il faut revenir aux fondamentaux, apprendre notre métier, continuer à progresser, à transmettre, et refuser totalement que des administratifs (même parfois dotés d’un diplôme de docteur en médecine) nous dictent, sans voir les malades (!) nos schémas de traitement nos autorisations d’opérer, les durées d’hospitalisation des patients ou le nombre de couches autorisé pour les vieillards etc. La médecine ne peut s’exercer que librement, armée de sa liberté d’expression34 35 36 37. Les juristes peuvent nous aider à faire respecter cet impératif pour des soins les meilleurs possibles.
Ensemble, reconstruisons une société humaine dans tous les domaines de la vie. Merci à Maitre Carlo Brusa et aux quelques autres juristes découverts depuis les années 2000, et singulièrement dans ces trois dernières années (hélas trop peu nombreux) d’être avec nous pour sauver notre démocratie et avec elle, nos professions médicales, et donc nos patients.
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