Pour quelles raisons la virologie est-elle complètement non scientifique ?

01/01/2024 (2023-12-31)

[Source : Why-is-so-called-virology-completely-unscientific.pdf (usercontent.one)]

Traduction Jean Bitterlin 27.12.2023

« En raison de ce qui s’est passé ces deux dernières années, jamais auparavant autant de personnes n’avaient remis en question les fondements de la virologie, car les données scientifiques avancées sont tout sauf crédibles. Il est temps que la virologie soit analysée à la loupe », déclare John Blaid, chercheur indépendant.

Par John Blaid

Afin d’éclairer les problèmes de la virologie, il est utile de faire d’abord un survol historique pour comprendre où tout a commencé. Au 19e siècle, de nombreuses expériences ont été menées avec des bactéries pour tenter de trouver la cause de diverses maladies, mais lorsque plusieurs de ces expériences ont échoué, l’idée est née qu’il devait y avoir quelque chose de plus petit que les bactéries qui était à l’origine des maladies. Cette chose a été appelée un virus. Ce qu’il est important de noter ici c’est que la définition d’un virus à l’époque était différente de celle d’aujourd’hui. Une recherche rapide sur l’origine du mot nous conduit au mot latin virus, qui signifie poison ou substance nocive.

Les chercheurs ont également travaillé sur la base d’une hypothèse non confirmée selon laquelle il y avait un virus dans les échantillons qu’ils ont utilisés dans diverses expériences. Pourquoi dis-je qu’il s’agissait d’une hypothèse non confirmée ? Parce que la technologie permettant de voir des particules plus petites que des bactéries n’était pas disponible avant le début des années 1930, lorsque le microscope électronique a été inventé. Grâce à cette technologie, les scientifiques ont pu voir pour la première fois des particules beaucoup plus petites que les bactéries, telles que les bactériophages, que nous appelons aujourd’hui à tort « mauvaises bactéries » — mais c’est là un autre sujet. Parallèlement, l’idée que l’on se faisait d’un virus a également changé. D’un poison ou d’une substance nocive, il est devenu une protéine toxique qui se reproduit d’elle-même.

Cette idée a perduré jusqu’en 1952, selon Stefan Lanka, virologue et microbiologiste marin allemand.(([1] NdT : Stefan Lanka se considère aujourd’hui comme « ex-virologue »)). Selon Lanka, la médecine et la science ont abandonné cette idée parce qu’elles ne pouvaient pas trouver ces prétendus virus au microscope électronique. Ce qu’ils ont d’abord pris pour des virus était en fait des restes de cellules mortes après un processus normal de décomposition. Il convient également d’ajouter que, jusqu’à cette découverte, aucune expérience de contrôle n’avait été réalisée dans les règles de l’art, ce qui est de la plus haute importance lorsqu’il s’agit de recherche scientifique. Sans expériences de contrôle correctement réalisées, la recherche ne peut être considérée comme scientifique.

Après 1953 et la découverte de l’ADN, les virologues ont eu une nouvelle idée de ce que pouvait être un virus. Ils ont choisi un modèle basé sur la recherche sur les bactéries et les bactériophages, où l’idée d’un virus est devenue une séquence de gènes nocifs encapsulée dans une enveloppe protéique, modèle qu’ils utilisent encore aujourd’hui. Jusqu’en 1949, dans ce que l’on appelle l’ancienne virologie, les virologues cultivaient de prétendus virus en plaçant du matériel génétique prétendument infecté sur des tissus sains du même type. Cela augmentait la dégradation, qui se propageait aux tissus sains. Ce phénomène a été interprété à tort comme une augmentation et une propagation d’un virus. Après avoir effectué des expériences de contrôle appropriées en 1951, ils ont découvert que ce qu’ils voyaient était des processus de dégradation normaux qui n’étaient pas causés par un prétendu virus.

L’étude d’Ender a été détournée

En 1949, un bactériologiste nommé John Franklin Enders a accidentellement découvert que différents types de tissus commençaient à se décomposer lorsqu’un morceau de cerveau d’une personne décédée de la polio était placé sur ces tissus. Cette découverte a valu à Enders le prix Nobel de médecine en décembre 1954. Après 1949, Enders a accusé l’inventeur du vaccin contre la polio, Jonas Salk, d’être à l’origine d’un grand nombre de décès et de blessures avec son vaccin contre la polio. Enders prétendait que ce vaccin était contaminé par des virus humains inconnus parce que Salk avait utilisé des tissus fœtaux humains, raison pour laquelle Enders lui-même avait choisi de travailler avec des reins de singes et du sérum fœtal de chevaux et de veaux en gestation.

Le 1er juin 1954, Enders a réalisé sa première expérience sur la rougeole, en prélevant différents échantillons sur des personnes atteintes de la rougeole et en les combinant avec différents types de matériel génétique, ainsi qu’avec différents types d’antibiotiques, dans des cultures cellulaires fabriquées à partir de tissu rénal de singe. Ce qui est intéressant ici, c’est que l’expérience de contrôle d’Ender a montré que l’effet cytopathique, c’est-à-dire la mort cellulaire, ne pouvait pas être distingué avec certitude de l’expérience avec le virus supposé de la rougeole.

Si je mentionne Enders, c’est parce que c’est sa méthode qui a jeté les bases de la virologie moderne, sur laquelle les virologues travaillent depuis 1954. Et ce, bien qu’Enders lui-même ait montré que sa méthode ne pouvait être assimilée à une quelconque preuve de l’existence d’un virus. Lorsque Enders a reçu le prix Nobel quelques mois plus tard pour son travail dans l’ancienne virologie, ses pures spéculations sur un prétendu virus sont également devenues la base de la nouvelle virologie.

La question que nous devons maintenant nous poser est la suivante : comment les virologues peuvent-ils aujourd’hui travailler selon cette méthode alors qu’Enders a explicitement déclaré dans sa propre étude qu’elle ne prouvait rien ? Ce qu’il convient de souligner à nouveau, c’est l’hypothèse non prouvée que les virologues font depuis le début, à savoir que les échantillons qu’ils utilisent contiennent des virus avant que les expériences n’aient lieu. Il est important de souligner ici la méthode scientifique.

Les fondements de la méthode scientifique

La méthode scientifique consiste d’abord à observer un phénomène naturel, puis à formuler une hypothèse sur ce que l’on pense être la cause du phénomène. Ensuite, l’hypothèse doit être testée en essayant de trouver et d’isoler ce que nous pensons être la cause du phénomène, puis en réalisant des expériences scientifiques, qui doivent inclure des expériences de contrôle correctement menées. Si l’hypothèse s’avère correcte, une théorie scientifique peut être élaborée à partir de celle-ci.

Malheureusement, la virologie se heurte à plusieurs problèmes fondamentaux. Tout d’abord, personne n’a observé un virus directement dans la nature, c’est-à-dire dans un échantillon prélevé sur un individu malade, sans que cet échantillon n’ait été préalablement associé à d’autres matériels génétiques, comme une culture cellulaire. Dès lors, comment créer une hypothèse à partir de quelque chose que l’on n’a pas trouvé directement dans la nature ?

Deuxièmement, la méthode scientifique exige que nous isolions ce que nous croyons être la cause du phénomène, c’est-à-dire que nous le séparions de tout le reste. C’est la seule façon d’être absolument sûr que le résultat que nous observons dans une expérience est causé par ce que nous croyons. Mais s’ils n’y parviennent pas, comment peuvent-ils réaliser des expériences scientifiques ?

Des milliers d’études prétendent isoler divers prétendus virus, mais lorsque l’on examine leurs méthodes, on s’aperçoit rapidement que ce qu’ils font est tout le contraire de l’isolement. Les virologues utilisent un échantillon non purifié, tel que du liquide pulmonaire, et supposent qu’il contient un virus. Cet échantillon non purifié est ensuite mélangé à du matériel génétique et à divers types d’antibiotiques.

Il convient également d’ajouter que toutes les prétendues images de virus proviennent d’échantillons prélevés après ces expériences et non d’échantillons purifiés prélevés directement sur des personnes malades. Stefan Lanka souligne que ces particules pourraient être soit des fragments de cellules mortes ou mourantes, soit de purs artefacts créés par la procédure de photographie au microscope électronique.

Demandes officielles et récusations des virus

À partir de 2020, diverses personnes, dont votre serviteur, ont obtenu des réponses à des demandes officielles adressées à quelque 205 institutions dans plus de 35 pays concernant le prétendu virus du SARS-CoV-2, et toutes ont répondu qu’elles ne disposaient pas de documents attestant d’un isolement correctement effectué.

Une Canadienne du nom de Christine Massey a lancé un projet visant à recueillir toutes ces réponses à des demandes de renseignements, et elle a également recueilli des demandes similaires concernant la plupart des prétendus virus. Les réponses ont été les mêmes et, à un moment donné, le CDC (Centers for Disease Control and Prevention), l’Institut National Américain de la Santé, a répondu que ce qui était demandé était impossible à satisfaire en virologie, ce qui veut tout dire.

Mais les problèmes de la virologie ne s’arrêtent pas là. Un événement historique s’est produit en 2016 lorsque le virologue (Rappel : ex-virologue) Stefan Lanka a gagné un procès, après un appel, pour manque de preuves de l’existence du virus de la rougeole. Lanka avait offert une récompense de cent mille euros à quiconque pourrait présenter une étude prouvant l’existence du virus de la rougeole. Au cours de ce procès, Lanka a été confronté à David Bardens(([2] NdT : Bardens représentait le Robert Koch Institut ou RKI, l’équivalent allemand de l’Institut Pasteur)), qui a présenté six études qui, selon Bardens, prouveraient l’existence du virus de la rougeole. Le tribunal a tranché en faveur de Lanka pour les six études.(([3] NdT : après un 1er jugement d’un tribunal de province — jugement rendu « sur le siège » c’est-à-dire que le juge n’a même pas écouté les arguments de Lanka — en faveur du RKI, Lanka a gagné devant la cour d’appel de Stuttgart puis, le RKI n’acceptant pas ce jugement en appel a à nouveau été débouté par la plus haute juridiction allemande, la cour fédérale de justice de Karlsruhe)).

Le procès est très intéressant, car l’une des six études présentées est l’étude de 1954 de John Franklin Enders.(([4] NdT : en fait sur les études présentées il y en avait 5 qui reprenaient les arguments de celle d’Enders)). Cette même étude, qui a jeté les bases de la virologie moderne malgré les avertissements d’Enders, a donc été déclarée non scientifique en raison d’un manque d’expériences de contrôle. Cette décision signifiait indirectement que l’ensemble de la virologie avait été déclarée non scientifique, puisque la base de la virologie avait été supprimée. En d’autres termes, Lanka a non seulement gagné et prouvé qu’il n’y avait aucune preuve scientifique de l’existence du virus de la rougeole, mais aussi que la virologie n’avait pas de base scientifique parce que la méthode établie par Ender en 1954 n’était pas scientifique.

L’expérience de contrôle révèle l’escroquerie

Ce que peu de gens savent, c’est qu’au cours de ce procès, Lanka a contacté deux laboratoires indépendants qui ont réalisé les expériences de contrôle que les virologues auraient dû effectuer depuis l’époque d’Enders. Le directeur de l’un de ces laboratoires a déclaré dans son rapport que les changements cellulaires observés lors de l’expérience de contrôle étaient identiques à ceux que les virologues attribuaient au virus de la rougeole.

Les virologues prétendent que le résultat de l’expérience serait propre au virus de la rougeole, mais il s’agit d’une interprétation erronée, car le résultat est dû à d’autres facteurs. Ces facteurs sont en fait la privation de nourriture des cellules combinée à l’utilisation d’antibiotiques. Ironiquement, l’antibiotique utilisé par les virologues est celui qui dégrade les reins, le tissu même qu’Enders privilégiait et ceci est aujourd’hui accepté en virologie.

Aujourd’hui, d’autres expériences de contrôle ont été menées par Lanka et d’autres. En 2021, il a de nouveau été prouvé que l’effet que les virologues ont interprété à tort comme étant induit par un virus est causé par la procédure elle-même ainsi que par l’utilisation d’antibiotiques en combinaison avec la privation de nourriture des cellules — et non par un prétendu virus. Cette fois, Lanka est allé plus loin. En utilisant la même méthode que les virologues, il a réussi à prouver, à l’aide d’une expérience de contrôle, que le prétendu génome du SARS-CoV-2 pouvait être construit à partir de l’ARN de la levure, sans aucun matériel prétendument infecté.

Le prétendu génome du virus

Toutefois, il convient ici de prendre du recul et de souligner les problèmes fondamentaux que posent les prétendus génomes de virus. Si nous voulons séquencer le génome d’un virus, nous devons d’abord trouver le virus dans la nature, c’est-à-dire directement à partir d’un échantillon prélevé sur un individu malade. Ensuite, nous devons isoler le virus, c’est-à-dire le séparer de tout le reste. Mais si les virologues et les institutions du monde entier admettent qu’il y a un manque de documentation sur l’isolement correct d’un virus, comment pouvons-nous séquencer son prétendu génome ? De toute façon, que sont tous ces prétendus génomes ?

Prenons l’exemple du SARS-CoV-2 pour illustrer la méthode non scientifique qui sous-tend le séquençage. Ce qu’ils ont fait en Chine, c’est qu’ils ont utilisé un seul échantillon prélevé sur un patient sur 44 souffrant d’une pneumonie atypique. À partir de cet échantillon non purifié contenant des séquences génétiques de toutes origines possibles, de courtes séquences de gènes d’environ 150 paires de bases ont été prélevées, supposées appartenir à un virus. Ces séquences ont ensuite été assemblées à l’aide des programmes informatiques Megahit et Trinity. Lors de l’assemblage de ces courtes séquences de gènes, les trous ont été bouchés et les chevauchements ont été lissés, le tout à l’aide de programmes informatiques (la procédure s’appelle l’alignement). Une fois ce processus terminé, la séquence la plus longue, de 30 474 paires de bases, a été sélectionnée dans Megahit parmi 384 096 génomes créés avec des longueurs allant de 200 paires de bases à 30 474 paires de bases. À Trinity, la longueur du génome allait de 201 paires de bases à 11 760 paires de bases. On peut se demander pourquoi ils ont choisi le génome le plus long de Megahit, car il n’y a pas d’explication à ce choix spécifique.

Cependant, ce génome SARS-CoV-2 créé ne peut pas être trouvé dans la nature dans son intégralité. Il ne peut être trouvé que dans des ordinateurs, d’où le terme de génome in silico, c’est-à-dire un génome créé dans un ordinateur. Les courtes séquences de gènes qui font partie du génome créé peuvent être trouvées dans la nature, mais le génome dans son ensemble ne l’est pas, car il ne s’agit que d’un génome fictif qui n’a aucun lien avec la réalité.

Pour faciliter ici la compréhension du problème, faisons une analogie. Imaginez que vous deviez séquencer le génome d’un être humain spécifique ! Vous commencez par prélever un échantillon dans un mélange de matériel génétique de toutes sortes de sources inconnues. Ensuite, vous supposez, sans le confirmer, que certaines des courtes séquences de ce mélange appartiennent à cet être humain et vous assemblez ces séquences à l’aide d’ordinateurs. Ensuite, vous choisissez le génome le plus long sans explication, même si vous n’avez aucune preuve directe de l’existence de cet être humain, ce qui signifie également que vous ne pouvez pas valider le génome créé.

La question qui se pose alors est la suivante : comment pouvez-vous savoir que les courtes séquences appartiennent à cet homme si vous n’avez pas été en mesure de prouver que l’homme existait avant que vous n’assembliez le génome ? Ne devriez-vous pas isoler cet être humain de tous les autres êtres humains, animaux et plantes et prélever un échantillon directement sur lui pour être sûr qu’il s’agit du bon génome ?

L’argument qui revient lorsque l’existence du virus est remise en question est le suivant : qu’est-ce qui rend les gens malades si ce n’est pas à cause du virus ? Mais il s’agit là d’un autre débat. Tout comme dans un procès pour meurtre où il n’y a pas de preuve permettant de relier l’auteur présumé au crime, le suspect est libéré, même s’il n’y a pas de nouveau suspect.

Expériences avec une infection présumée

Il existe également de nombreuses expériences différentes sur une prétendue contagion, qui montrent les problèmes qui se cachent derrière cette hypothèse. L’une des plus célèbres a été réalisée au cours de l’épidémie dite de grippe espagnole. Milton Joseph Rosenau a mené huit expériences différentes sur une centaine d’hommes volontaires sur une île de Boston. Dans ces expériences, ils ont pris différents brins de la bactérie bacille de Pfeiffer et ont créé un spray qu’ils ont utilisé dans leurs yeux et qu’ils ont tamponné dans leur gorge et leur nez. Le résultat c’est que personne n’est tombé malade. Des sujets ont également été inoculés avec du mucus prélevé dans la bouche, le nez, la gorge et les bronches de patients grippés, sans qu’aucun des volontaires ne tombe malade. Ensuite, on a injecté à certains volontaires du sang prélevé sur des patients grippés, sans qu’aucun d’entre eux ne tombe malade. Treize des volontaires ont également été admis dans le service de la grippe, où ils ont été exposés à dix patients grippés par personne. Il a été demandé à chaque volontaire de serrer la main des patients grippés, de s’approcher d’eux le plus possible, de leur parler pendant cinq minutes et de laisser les malades respirer et tousser directement sur leur visage. Ce processus a été répété cinq fois avec chaque patient grippé et aucun des sujets n’est tombé malade. À la fin de l’étude, Milton Joseph Rosenau a écrit :

« Nous pensions connaître la cause de l’épidémie et nous étions assez sûrs de la façon dont elle se propageait d’une personne à l’autre. S’il y a une chose que nous avons apprise, c’est que nous ne sommes pas tout à fait sûrs de ce que nous savons sur la maladie ».

La virologie examinée au microscope

La charge de la preuve de l’existence des virus incombe à ceux qui la revendiquent et non à ceux qui soulèvent ces problèmes fondamentaux, car il n’est pas possible de prouver scientifiquement que quelque chose n’existe pas.

Dans le cas des virus, il y a un manque de preuves scientifiques de leur existence en raison d’hypothèses non confirmées et d’un manque d’expériences de contrôle qui ont conduit à des interprétations erronées, où les virologues se sont involontairement trompés eux-mêmes et, à leur tour, ont trompé le reste de l’Humanité, malgré leurs bonnes intentions.

Nous ne pouvons pas prévenir les maladies et créer une population en meilleure santé si nous partons d’un postulat erroné. À mon avis, c’est la question la plus importante à laquelle il faut répondre aujourd’hui, car la réponse a d’énormes implications pour la médecine, la santé et la société dans son ensemble, en termes de politiques, de recommandations et de lois, par exemple. En raison de ces implications considérables, il est plus important que jamais de toujours remettre la science en question et de ne pas croire aveuglément ce que l’on prétend. En effet, la science d’aujourd’hui est tout sauf scientifique.

image_pdfPDF A4image_printImprimer

⚠ Les points de vue exprimés dans l’article ne sont pas nécessairement partagés par les (autres) auteurs et contributeurs du site Nouveau Monde.

(4 commentaires)

  1. A l’attention de l’auteur :
    « Parce que la technologie permettant de voir des particules plus petites que des bactéries n’était pas disponible avant le début des années 1930, lorsque le microscope électronique a été inventé. »

    Faux, je me permets de vous corriger, Antoine Béchamp avait déjà découvert les MICROZYMAS, bien plus petits que les bactéries, au cours de la 2ème moitié du 19ème siècle, avec un microscope optique grossissement x750.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *