12/03/2021 (2021-03-12)
[Source : medias-presse.info]
[Par Alain Escada]
J’avais signalé ici les révélations du Canard enchaîné sur un dîner dans un restaurant ouvert clandestinement dans le quartier du siège parisien de BFMTV et réunissant une vingtaine de convives : journalistes de la télévision, “experts” médicaux pour la télévision ainsi qu’un officier des sapeurs-pompiers, lui aussi “expert” pour la télévision.
Ceux-là même qui cherchent à conserver la population dans la crainte du Covid-19 faisaient un bon gueuleton, bien au-delà du couvre-feu, sans bien évidemment respecter les fameux gestes barrières qu’ils nous recommandent de respecter scrupuleusement.
Depuis lors, le nom de l’un des vingt convives a été dévoilé : pas moins que Christophe Barbier, chroniqueur sur BFMTV et directeur de la rédaction du magazine L’Express. Voilà qui ne manque pas de sel.
On se souviendra en effet que cette petite graine de Pol Pot ne manque pas une occasion de pointer du doigt les “complotistes” et tous les mauvais Français qui rechignent à suivre bien sagement les recommandations de Big Pharma et les diverses restrictions sanitaires. Christophe Barbier répète en boucle que ceux qui refusent le vaccin anti-Covid devront être privés de la possibilité de se rendre au restaurant, au théâtre, etc.
Le Canard enchaîné en remet une couche cette semaine, avec un nouvel article. Cette fois, c’est Marc-Olivier Fogiel, directeur général de BFMTV, qui a été surpris en train de déjeuner dans un restaurant ouvert clandestinement.
Je répète ce que j’écrivais la semaine dernière : tout ceci est la démonstration que ces gens-là ne croient pas à ce qu’ils disent à la télévision ou écrivent dans la presse sur la gravité de l’épidémie de Covid et sur l’impérieuse nécessité d’obéir aux consignes gouvernementales.
En complices du système, ils cherchent simplement à nous manipuler et nous conditionner. Et en privilégiés du système, ils s’arrogent le droit de faire tout ce qui est interdit au Français moyen.
Maintenant qu’ils ont été pris la main dans le sac, ces gens-là devraient démissionner et se terrer honteusement.
Quant aux Français, preuve est faite qu’ils ne doivent plus accorder la moindre confiance à ce que disent les médias du système. Ni craindre une épidémie qui n’est pas plus dangereuse que la grippe.
Alain Escada, président de Civitas
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