21/01/2023 (2023-01-21)
[Source : Jeanne Traduction via RI]
« L’illusion scientifique est la croyance que la science comprend déjà la nature de la réalité, en principe, ne laissant que des détails à compléter. Il s’agit d’une croyance très répandue dans notre société. C’est le genre de système de croyance des gens qui disent : “Je ne crois pas en Dieu, je crois en la science”. C’est un système de croyances, qui s’est répandu dans le monde entier. Mais il y a un conflit au cœur de la science entre la science en tant que méthode d’investigation basée sur la raison, les preuves, les hypothèses et l’investigation collective, et la science en tant que système de croyances ou vision du monde. Et malheureusement, la vision du monde de la science en est venue à inhiber et à restreindre le libre examen, qui est l’élément vital de la démarche scientifique. Depuis la fin du 19e siècle, la science a été menée sous l’aspect d’un système de croyances ou d’une vision du monde, qui est essentiellement celui du matérialisme, du matérialisme philosophique. Les sciences sont maintenant des filiales à part entière de la vision matérialiste du monde. »
Rupert Sheldrake
[Voir aussi :
Âme génétique et résonance morphique]
⚠ Les points de vue exprimés dans l’article ne sont pas nécessairement partagés par les (autres) auteurs et contributeurs du site Nouveau Monde.
C’est dommage de relayer le new âge de JeanneTrad. ;o(
» Qui est consciente ou conscient et se souvient en permanence qu’elle/il ne saura jamais
que très peu de ce qu’elle/il devrait savoir pour être à juste titre qualifiée ou qualifié
de « femme ou d’homme de science » ou de « sachante » ou « sachant » sait l’essentiel
de ce qu’il lui est indispensable de savoir … et restera donc modeste, ce qui devrait être la première vertu à attendre d’une vraie « savante » ou d’un vrai « savant » et il/elle pourra poursuivre ses recherches , de préférence en altruiste, au profit de la collectivité avec probablement plus de chances d’efficacité. »
Votre manière d’écrire est illisible, je fatigue dès la première ligne, le premier trait .
De la part d’une femme chasseresse qui n’a aucunement peur quand le masculin pluriel l’emporte .Parce que les femmes et les hommes et les entre-deux n’ont aucune raison valable de se concurrencer. ON S’EN BRANLE !!!