16/07/2023 (2023-07-15)
[Source : RL]
Par Victor Hallidée
Si on veut comprendre le monde dans lequel on vit, il faut savoir ceci. Le but des fascisto-mondialistes est d’exterminer les 4/5 des habitants de la planète. À commencer par les populations occidentales, européennes et tout particulièrement française.
Après la piquouzerie généralisée, première phase du camp de concentration à ciel ouvert, dont le piquouzé paye l’entrée (ce faisant, les jouisseurs soixante-huitards ont fait plus fort qu’Adolf…), après les préparations de pénuries alimentaires (détruire le fin maillage économique, détruire notre production bon marché d’énergie nucléaire, zigouiller les vaches, brûler les fermes aux USA, supprimer les fermes hollandaises…). Ajoutez à cela le régime répugnant réservé aux gueux, pollué par des farines d’insectes. Mais il va sans dire que le plus efficace pour réduire drastiquement les populations a toujours été la guerre.
The Economist avait dit ça il y a 20 ans déjà, c’était dans l’air. Réduire la population qui prolifère comme vermine, menace inutilement l’espace vital des oligarchies, consume la nature et consomme l’énergie qui conditionne leur confort.
Ravis et sans complexe, les journaleux de The Economist faisaient un « éloge écologiste » de la guerre qui détruit les populations femmes, enfants et vieillards compris : « C’est fou comme la faune et la flore se portent mieux quand on exclut l’humain de l’équation », disaient-ils.
C’était prévu dès le covid, le Choupinet de l’Élysée a pilonné le cerveau des téléspectateurs aux heures de grande écoute pour les habituer à cette idée : « Nous sommes en guerre, nous sommes en guerre… ».
Un refrain étudié pour que « ça rentre », ça imprime.
Les oligarchies criminelles de la gouvernance Davos étaient en effet vraiment en guerre, non pas contre un pseudo-virus, mais contre nous, la population.
Ils ont dû bien rigoler de nous cracher le morceau dans le pif, via leur petit valet pestilentiel, au beau milieu de l’écran télé, mine de rien !
Et maintenant qu’ils ont testé avec succès la soumission des populations autochtones — comme les Juifs autrefois, celles-ci ne peuvent croire que le projet des dirigeants est de les sacrifier comme on le fait d’un troupeau de bestiaux — ils vont faire ce qu’il faut pour susciter contre la France la riposte des Russes, exactement comme ils l’ont fait en Ukraine.
Comme nous pouvons le constater, par les entretiens d’humoristes avec Attali et Hollande, les oligarchies fascisto-mondialistes ne veulent en aucun cas faire la paix avec les Russes. Au contraire, ils veulent approfondir, accentuer, accélérer les processus de guerre… jusqu’à l’emploi du nucléaire. Pousser les Russes à la riposte, pour qu’ils en endossent les responsabilités, qu’ils portent le chapeau si ça devait tourner mal.
Ces ordures mondialistes n’attendent que ça, la guerre, pour détruire les nations européennes. Comme ils l’ont fait pour la Yougoslavie. La guerre ethnique fait aussi partie du tableau. Sauf qu’en Europe il fallait la submersion migratoire pour obtenir ce poison propice à la guerre civile.
Diviser pour régner… il est facile d’imaginer l’opportunisme meurtrier et pillard des migrants et autres « racisés » si éclate une guerre de la France avec la Russie.
C’est précisément le moyen d’extermination des populations autochtones choisi par ces infâmes oligarchies. Celles-ci aiment tant l’argent, le pouvoir et le cul des petits enfants, s’approprier leurs organes et cellules souches, qu’il leur importe peu de vendre la corde pour pendre leurs propres père et mère, leurs enfants, leur civilisation.
Des ordures, des nuls, mais des criminels d’envergure. La seule chose qu’ils ont fait progresser, c’est le génocide. Leur ambition sur ce plan est mondiale. À côté d’eux, Hitler est une petite pointure.
Et ils sont pressés de passer à la phase suivante : la solution finale !
Celle qui leur permettra de jouir de leur statut de Maîtres du monde qui leur donnera tous les droits sans s’encombrer de faux-semblants.
Le problème est qu’ils sont très pressés, car le temps passe et nombre d’entre eux, vieux ou vieillissants, rêvent d’autant plus fort de devenir des Dieux grâce au transhumanisme qu’ils ne sont pas sûrs d’accéder assez vite à l’éternité.
L’ambition, l’avidité démesurées et la hâte, la précipitation inquiète sont mauvaises conseillères… La folie les guette au coin du bois.
Saisissons cette chance, nous savons ce qu’ils veulent faire, et ils savent que nous le savons.
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