25/08/2021 (2021-08-25)
[Source : REINFOCOVID]
Par Alain MANET
Dans un contexte dominé par la terreur, la peur, lorsque le vaccin est apparu, inondé par les informations toutes plus alarmistes les unes que les autres, j’ai vu du soleil, même si je me disais « comment est-ce possible, si simple, si vite ? ». Mais comme 100 % des médias disaient c’est formidable et qu’« il n’existe que cela »…
Ma mère, 87 ans, était inquiète, impossible d’avoir un rendez-vous par téléphone pour avoir « son vaccin ». Je prends rendez-vous pour elle par internet. Elle est rassurée. Elle prend sa 1re dose, puis la deuxième… qui la fatigue beaucoup quelques jours…
Puis elle appelle : elle est chez elle, essaie de colmater une hémorragie nasale sans succès. Appel des pompiers. Le médecin présent lui demande ce qui se passe :
« Je crois que c’est un vaccin, en 87 ans je n’ai jamais saigné du nez.
— C’est lequel ?
— Cominarrty, répond-elle.
— Ah, oui, ça ne m’étonne pas ».
Aux urgences, une grosse mèche dans le nez, très douloureuse. Ramenée chez elle, une heure plus tard, 2e hémorragie, sa petite fille arrive, une flaque de sang par terre, tout se déverse par l’autre narine : pompiers, retour à l’hôpital où l’on met une deuxième mèche en expliquant que cela aurait dû être fait avant… ?
Sa petite fille la récupère debout, accolée à un mur dans le couloir d’entrée. Il y a le COVID, faut pas rester là… Je la récupère, car j’habite loin pour la surveiller le week-end, le sang coule, elle prie, elle pense qu’elle va mourir.
J’essaie de refaire des mèches… ça ne tient pas, trop de sang et dès qu’elle touche, ça part. Je vais dans le plus grand hôpital du département. D’abord aux vaccinations. Un monsieur est en train de rassurer les futurs vaccinés :
« vous verrez, c’est sûr à 99 % ».
« Bonjour, je suis les 1 %
— Pardon ?
— Oui ma mère est assise là et elle fait des hémorragies depuis sa vaccination, que fait-on ? »
Le médecin m’attrape vite le bras devant les futurs vaccinés inquiets…
« Mais monsieur, il faut aller aux urgences, ici on ne s’occupe pas de cela ».
À l’autre bout de l’hôpital, les urgences, il faut attendre pour faire l’admission. J’explique. La personne qui fait l’admission lève les bras au ciel :
« Et encore une de plus, ça n’arrête pas, et dire qu’ils veulent que nous, on se vaccine ! Ça ne risque pas !!! ».
Et il donne un coup de coude à sa collègue :
« Tu as vu ? Encore une Pfizer ! ».
Les mèches sont refaites, 18 de tension. On donne donc un médicament pour faire tomber la tension, l’hémorragie se calme.
Je réclame un bilan sanguin, il faut insister, mais il est fait et on repart. Finalement, qu’est-ce que cela veut dire ? J’appelle la pharmacovigilance, il faut saisir un formulaire compliqué.
« Vous ne l’avez pas dans vos données ?
— Non, il faut le saisir vous-même ».
Je fais le dossier sur internet et rappelle :
« Pourriez-vous me dire si vous avez eu beaucoup de cas et si vous avez une solution ?
— Non, le cas de votre maman, on n’a pas vu et il faut qu’elle voie son médecin ».
Mais alors ces fameux centres de pharmacovigilances qui alimentent l’ANSM des cas graves, si l’hôpital ne fournit pas les données, si l’interne dit qu’il ne voit passer que cela alors que le centre de pharmacovigilance n’est qu’à 300 mètres dans le même hôpital….Qu’est-ce que cela veut dire sur la validité des données que l’on communique ? Qu’arrive-t-il aux personnes qui ont des effets graves, vu qu’on leur dit : « circulez ! Allez voir votre médecin » ????
Son médecin :
« Oh ! À votre âge, il faut prendre ces médicaments toute votre vie. C’est plus sûr.
— Mais je n’en ai jamais eu besoin avant. Je ne peux pas arrêter au bout d’un mois ou 2 ?
— Non, c’est dangereux ».
………?????
Nous avons effectivement basculé dans un autre monde, le monde du vaccin incontestable, celui qui ne doit pas poser de problèmes. S’il en pose, il faut cacher les victimes, ne pas les comptabiliser, si elles meurent en silence c’est même mieux. De toute façon, elles gênent le « progrès », celui qui est « en marche ». Si on ne répond pas bien au vaccin, si on le conteste on ne marche pas.
Depuis c’est un combat, car même avec ce témoignage, on peine à convaincre de la dangerosité. Je ne suis même pas arrivé à convaincre mes enfants. L’un est allé, angoissé, dans un centre, car il avait peur qu’on lui interdise d’aller enseigner aux enfants à la rentrée et faire sa première année de professeur… Dans le centre on demande :
« Pour quelle raison venez-vous ?
— Pour le PASS.
— Ah, oui, c’est le cas de tous ceux que j’ai vus aujourd’hui ».
Il était le 1000e piqué de la journée.
« Il faut remplir et signer le formulaire de consentement ».
Consentement de quoi, pour quoi et pour qui ? Pour dire que l’on accepte ce que l’on nous impose ? Quelle est cette mascarade ? Pour que l’État se décharge de toute responsabilité ?
Il ne soigne déjà plus les malades du vaccin, il ne les reconnaît même pas. Il dit qu’ils n’existent pas ! Et que dire des dizaines de millions pour payer les vigiles des hôpitaux payés pour empêcher des malades d’entrer à l’hôpital.
Nous avons en quelque mois inventé le PASS de la HONTE.
Alors, résistons à ce monde dirigé par toute cette cruauté, pour nous, pour nos enfants, pour l’avenir de l’humanité, pour rester libre et pouvoir avoir des choix.
Alain MANET
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