26/10/2022 (2022-10-26)
C’est de plus ne plus une évidence désormais. Guerre « globaliste » (des « sans frontièristes ») contre les peuples en général, contre certaines nations jetées les unes contres les autres en particulier, contre les mots aussi afin d’ajouter de la confusion entre citoyens, humains, sexes, le tout en vue précisément de gagner cette guerre non plus seulement « totale », mais absolue, et ainsi régner précisément comme ce Nouvel Absolu SHA (scientiste, hygiéniste, affairiste) non plus seulement sur « soixante siècles », mais bien des millénaires vous contemplant du haut de ces nouvelles pyramides techno-bio-logiques bâties par des « peuples » fragmentés, mais transis, cyborgs en devenir, à l’avantage, toujours, des Puissants (étymologie de riche), les trans-humanistes au sens littéral.
Aussi faudrait-il traduire autrement les termes communs que les pourvoyeurs de cette guerre absolutiste trahissent, détournent, violent. Ainsi, dès qu’ils parlent il ne faudrait plus entendre :
- économie (oikos nomos), mais affairisme ;
- écologie (oikos logos), mais aventurisme millénariste délirant ;
- finance, mais chrématistique affairiste ou alors blanchiment légal ;
- instruction publique et laïque, mais ingénierie mentale à vocation totalitaire ;
- santé, mais industries restauratrices de la maladie en particulier syndémique qui touche bien plus l’Occident désormais ;
- journalisme, mais instruments propagandistes pourchassant les faits pour les dénaturer, les étouffer ;
- politique constitutionnelle (politeia), mais technostructure globalisée enrégimentant les peuples ;
- guerre comme politique continuée par d’autres moyens, mais effacement d’autrui, tout en lui colmatant une façade institutionnelle « démocratique » (façon soviétique).
Le tout avec un bémol cependant, en ce sens où par exemple la plus puissante concentration mondialisée (le techno-globalisme) de tous les temps croisant de plus en plus les plus fortes des FTN (leurs sections chrématistiques exigeant au moins 15 % de rentabilité annuelle) et des États profonds (la Haute Administration bureaucratisée du fait d’un personnel politique inférieur intellectuellement) ne veut pas dire que toutes ces firmes avaient, dès leur naissance, une volonté a priori de détourner les notions ci-dessus en direction de ce que l’on peut appeler une dérive sectaire globale (standardisée) à propension totalitaire accélérée comme on le voit dans la quadruple crise de part en part artificielle, mais officiellement dite sanitaire (virus fabriqué), climatique (CO2 faussement incriminé), géopolitique (accords de Minsk 2 violés par les marionnettes en place) et énergétique (sabordage de l’industrie nucléaire au profit de la mafia de l’éolien couplé au gaz…).
C’est là le défaut des théories aprioristes qui systématisent trop vite en amont des tendances et des confréries (les « illuminati ») qui souvent apparaissent plutôt après, lorsque la puissance atteinte est telle que sans contre-pouvoir effectif, elle bascule en effet dans la corruption absolue tant l’hybris secrétée déploie un narcissisme exacerbé par la technologie globale (vrombissement de la Jet Set) qui ne souffre plus d’aucune altérité contradiction opposition, mais c’est (peut-être) là son talon d’Achille.
C’est en fait un système fonctionnant par cliquets : passé un certain stade, qui peut être même drapé de bons sentiments telle l’allocation optimum de tel fonds de pension agissant pour des millions de retraités ou encore telle action « pour la paix dans le monde » de telle fondation, il s’avère que celles-ci pourront œuvrer en « même temps » dans des investissements en apparence salvateurs, mais en réalité destructeurs comme, par exemple, l’éolien, les injections Covid-19, les industries GPA de bébés sur catalogue, que les faibles efforts en capitalisation « éthique » (refusant d’investir dans les « industries carbonisées ») non seulement ne compensent pas, mais s’avèrent bien hypocrites tant il n’est pas dit du tout que les industries dites « fossiles » (aux matières premières issues de « composts » naturels…) surtout avec les progrès techniques d’aujourd’hui, soient si « sales » que cela, alors que les nouveaux investissements dans ladite « santé » et la « transition écologique » (fabrication des batteries par exemple, obsolescence des pales d’éoliennes et des panneaux solaires) s’avèrent être bien plus destructeurs de l’environnement (ne parlons pas de ces milliers de portes-containers géants quadrillant les océans), ils œuvrent en réalité bien peu en faveur du bonheur humain, ce but ultime des sociétés constitutionnelles pourtant (du moins selon Aristote).
Ce qui fait que, bon gré mal gré, et donc par effet de cliquet (dont les économies d’échelle), les tendances chrématistiques prennent peu à peu le pas sur les bons sentiments, et ce même pour ceux qui ne le veulent pas (tel le patron de Tesla ou des gens sincères dans telle ou telle institution) : ils sont pourtant en effet imbriqués, à leur corps défendant parfois, dans une sorte de réseau global pyramidal (façon Tour Eiffel) dont les mailles les enserrent, surtout s’ils (se) débattent, amplifiés par tel biais d’interdépendance ou par tel autre (sinon c’est la mort sociale, la marginalité) avec, à la tête de chaque maille, un « nœud » (au sens également de Soljenitsyne) qui surveille les aiguillages, c’est-à-dire une intersection de courants d’affairisme, de scientisme et d’hygiénisme (y compris au sein de l’intersectionnalité néo-léniniste servant en Occident de gardes-chiourmes idéologiques) qui supervisent chaque sous-ensemble de la Treille Globale.
Ces « nœuds » ont en effet cette fonction « organique » (ou Althusser lisant Gramsci lisant Comte et Durkheim), celle de préserver la consistance négativiste de l’Appareil (du Comité Central de l’Internationale…) et dont tout en haut la Secte SHA est le B.E (Bureau Exécutif ou The Board) qui normalise par exemple les événements, surtout imprévus, en « faits » adoubés et donc médiatisables afin d’être dispatchés comme points perceptifs nécessaires et suffisants que des pré-cyborgs ou pré-images de synthèse iront calibrer, commenter, mâcher et enfin ventiler dans les mangeoires mentales différenciées afin que les peuples fragmentés en cibles segmentées puissent (é)mouvoir leurs mandibules et autres particules encore autonomes, mais de plus en plus sous poumon (pneuma) artificiel.
Et maintenant que les mailles de la Treille (du Treillis) de la troisième guerre mondiale sont tissées, celle-ci peut s’accélérer, déjà en tentant de détruire les opposants, tel ce serveur slave s’étant reconstitué grâce à la « sauvegarde » orthodoxe, et aussi ce qui restait encore de pensée libre occidentale qu’il s’agit désormais de pasteuriser au sens de transformer ses taureaux (et surtout aurochs) en bœufs sacrificiels.
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