La transhumanisation de l’Homme

29/02/2024 (2024-02-29)

Louis nous écrit du sérieux : « Si nous n’étions que cela, que ce que l’on veut bien nous faire croire, des grands singes évolués alors pourquoi tout cela ? Pourquoi cet acharnement ? À quoi bon ?! Mais si au demeurant nous sommes des créatures d’un Dieu bon et relationnel qui nous modelé à Son image, S’est révélé à nous, S’est Incarné et fait siéger notre nature transfigurée unie, mais non confondue en la personne du Christ à la droite du Père éternel, alors le jeu en vaut la chandelle, et son éclairage est tout autre. »

Nicolas Bonnal

Par Louis

Macron se plaignait récemment devant les caméras de la difficulté de « réinventer quand tout n’a pas été détruit », phrase anodine de prime abord, mais qui est un leitmotiv chez cet interlope en costume de gendre-idéal pour boomer soixante-huitard forcément attardé. Serge de Beketch disait qu’en raison du Libre Arbitre, le diable était obligé de se dévoiler d’une manière ou d’une autre : un sabot ou une queue fourchue qui dépasse, etc.

Tout est dans le détail, toujours.

Vous citez adéquatement Tocqueville sur la « nécessité » du recours à la guerre pour en finir avec la résistance et la liberté… Il reste une dernière chose eschatologique à nous ôter, définitivement, c’est bien la vie. La Vie dans toute sa dimension spirituelle et religieuse, chrétienne.

Quand il reste selon (https://covidtracker.fr/vaccintracker/) (le nom du site est édifiant ; nous sommes traqués) 18,9 pour cent des gens à traiter, à savoir de personnes dont le gêne-home ou le gène-homme (tiens, ça sonne plus biblique !) n’a pas été trafiqué par vous savez quoi ; le but non avoué de tout cela n’est pas que la liberté, pour quoi faire comme disait l’autre, mais bien la Vie humaine dans son rapport à la création à la vie et donc au salut. Quand on s’attaque à un tel point à la création dans le détail des détails : l’ADN, la génétique, la volonté de saboter est plus qu’évidente.

Ainsi, le monde moderne, malmené par des idées chrétiennes devenues folles avec des gens qui croient en n’importe quoi sauf à Dieu (merci Chesterton), est agité par une mystique du mal, ou plutôt du malin.

Baudelaire disait que la plus belle des ruses du diable était de nous faire croire qu’il n’existait pas, depuis il est passé à la vitesse supérieure celle de nous faire croire que Dieu lui-même n’existait pas.

Cela étant fait, il pourra apparaître le moment venu et tenter de rafler les brebis égarées devenues proies du loup.

Rien n’est gratuit dans cette Psychomachie dont le champ de bataille se trouve être l’âme de l’homme, et tout est bon pour nous détourner du Créateur, comme la farce et l’origine simiesque de l’homme, la science-fiction avec le big badaboum, le pain et les jeux avec le foot et les émissions de bagnoles le dimanche matin, etc., c’est un inventaire à la Prévert.

Si nous n’étions que cela, que ce que l’on veut bien nous faire croire, des grands singes évolués alors pourquoi tout cela ? Pourquoi cet acharnement ? À quoi bon ?!

Mais si au demeurant nous sommes des créatures d’un Dieu bon et relationnel qui nous modelé à Son image, S’est révélé à nous, S’est Incarné et fait siéger notre nature transfigurée unie, mais non confondue en la personne du Christ à la droite du Père éternel, alors le jeu en vaut la chandelle, et son éclairage est tout autre.

Il faut donc éteindre cette chandelle fébrile, étincelle divine dans le tréfonds de l’homme pour l’annihiler, le condamner et donc empêcher de saboter le plan divin.

Tout le reste est accessoire et ne concerne que la mise en scène, les décors, le script, les personnages… Deus absconditus avant le Deus ex machina.

image_pdfPDF A4image_printImprimer

⚠ Les points de vue exprimés dans l’article ne sont pas nécessairement partagés par les (autres) auteurs et contributeurs du site Nouveau Monde.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *