14/07/2021 (2021-07-14)
Par Lucien Samir Oulahbib
[Tératologie : science qui a pour objet d’étudier les malformations congénitales (ou « monstrueuses »). Cependant, les monstres ici relèvent plutôt de psychopathie.]
Ce sont donc des monstres. La preuve vient d’en être faite alors que l’Institut Pasteur admet enfin que l’Ivermectine est efficace et que le nombre de morts se résume journellement à une poignée comparée au nombre quotidien de décès toutes causes confondues. Nous sommes bien dans le mensonge.
Comme caractériser un monstre paranoïaque ? Lorsque le moindre chuchotement (voire la moindre discussion, et ce même lorsqu’il ne peut pas l’entendre étant trop loin) est considéré comme une menace. Pareil ici. La moindre question est considérée comme complotiste, ne parlons pas des critiques dont le bien-fondé va être vérifié dès centaines de fois à la façon de ces gens qui vont vérifier dix fois s’ils ont bien fermé leur porte, le monstre vous demandant d’aller le faire également, mais des centaines de fois tout en vous menaçant de vous contrôler, contraindre, punir, par chantage, puis mise à mort (ici médiatique, culturelle, sportive…) si vous n’acceptez pas de vous faire marquer au fer médicalisé encore en phase 3.
Les monstres ayant un tel degré de paranoïa sont très dangereux. Voyez Staline, Hitler, Saddam Hussein, la famille Kim en Corée du Nord, les démocrates américains et le PCC [Parti Communiste Chinois]. Tous inventent des absences de solutions à de réels problèmes afin d’imposer les leurs, tel aussi Néron proposant de désigner les chrétiens comme incendiaires d’un feu destructeur qu’il avait lui-même fait allumer…
Idem, ici : les monstres vont accuser les réfractaires de propager un variant dont tous les vrais spécialistes admettent qu’il n’est guère mortel, même s’il est plus contagieux. Et en plus nous avons les traitements qu’il faut.
Mais les monstres de cette sorte sont des tueurs en série, donc ils ne peuvent pas s’arrêter au sens littéral : ils ne peuvent plus s’en empêcher tant ils jouissent de cette situation.
À nous de les stopper avant que leur comportement ne devienne fatal pour la Démocratie. C’est une question de plus en plus vitale. Même si les monstres peuvent se montrer parfois sous leur meilleur jour, mais l’on voit de mieux en mieux, à la façon dont leurs chiens de garde bavent de rage médiatique, qu’ils sont prêts à quitter ce visage d’ange pour celui de la Bête que leurs prophètes divinisent parfois au nom de « La Science », nom que les marxistes et les hitleristes donnaient eux aussi à la Science prolétarienne et à la Science de la Race, aujourd’hui d’ailleurs fusionnées pour servir de paravent thermique à ces monstres dont j’ai étudié le comportement dans La philosophie cannibale et Éthique et épistémologie du nihilisme.
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