La régression morale, politique et intellectuelle s’accentue

08/01/2022 (2022-01-08)

Par Lucien Oulahbib

Au fur et à mesure que la campagne hygiéniste échoue, elle dévoile, peut-être sans le vouloir et sous les coups de boutoir des variants fabriqués par l’injection, qu’il s’agit à la fois d’une mascarade affairiste (avec quatre shoots annuels et bientôt six…). Mais aussi, et surtout, un voile sans doute se déchire, celui d’une stratégie cynique (monstrueuse) de manipulation plastique des chairs humaines singulières pour en faire de la chair à canon expérimentale afin de calibrer la fabrication meccano de corps industriels standards : interchangeables, sans (cent) identité, nationalité, âme ni conscience.

Alors, le fait que la cohorte des non injectés devienne un groupe témoin gênant et doive donc être éliminée « quoiqu’il en coûte », comme l’analyse le Courrier des Stratèges, n’est pas à prendre à la légère. De même que cette volonté affichée par l’OMS de vouloir injecter la planète entière, puisque selon la même antienne portée par les éléments « français » VS (Vigilance Sécuritaire) ce serait aussi « à cause » des nations non injectées, en particulier les moins « développées », que « LE » virus prospérerait, se rechargerait, avant de foncer sur les contrées pourtant hyper injectées.

Ainsi, de même que les belles âmes léninistes excusaient la faillite du « socialisme réel » parce qu’il n’avait pas pu s’étendre sur la planète entière (Deleuze racontait cette curiosité théorique), de même les seconds couteaux de la Vulgate scientiste hygiéniste avalent — surtout lorsqu’ils sont de « gauche » — leur aversion originelle pour l’affairisme affiché afin de participer (tout en se pinçant le nez pour certains) à l’effacement feutré, ici brutal, là du réel antinomique. Le tout est réalisé au profit d’un trompe-l’œil digne des miniatures moyenâgeuses qui mettent minutieusement en scène la place de Grève sur laquelle divers instruments de torture étaient instruits au vu de tous qui les admiraient (sous injonction paradoxale) : mise au pilori, roue, écartèlement, chaux, décapitation, pendaison. Ceci se fait dans leurs versions « modernes », bien sûr, que sont le passage à tabac médiatique et la mort sociale, en amorce du stade supérieur déjà là en nuées de moins en moins lointaines : amendes, incarcérations (mentales, fiscales, sanitaires), en attendant pis…

Tout s’accélère. Et de plus en plus, alors que les chiffres montrent bien plus les dégâts des injections que le contraire, en particulier pour les plus jeunes, tandis que pour les anciens nombre d’exemples montrent que les traitements précoces et préventifs marchent de mieux en mieux.

Ce qui fait que les prothèses chargées de la propagande restent « sans voix » lors de « débats » ou tentent des plaisanteries de corps de garde ou de piliers de comptoir (« j’ai envie d’emmerder jusqu’au bout »), des propos de « tapettes » qui autrefois se faisait écrabouiller à la récré ou dans les guinguettes tant ils suintent le vice des tordus façon scorpion piquant tout de même la grenouille qui avait pourtant accepté de le sauver de la noyade, car telle est sa « nature ». Une tapette est cet entre-deux mauvais qui, petit, massacrait les fourmis ou arrachait les fleurs (mets un kleenex ou un chewing-gum dans les pissotières) et qui aujourd’hui veut piquer tout vivant afin de lui montrer « la Voie »…

Il s’agit de la plus grande expérimentation de manipulation génétique, mentale, morale, politique, économique qui n’ait jamais existé puisqu’il n’y a même plus un monde « libre » pour s’y opposer.

D’où la nécessité non seulement de se hisser à hauteur de jeu, mais d’être en avance de plusieurs coups façon échec et go réunis face à cette régression morale, politique, et intellectuelle inédite…

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