25/11/2021 (2021-11-25)
Par les Gilets Jaunes de la Victoire
[Illustration : Montre molle au moment de la première explosion, peinture de Salvador Dali, 1954]
Le mensonge
Le secret
Petit rappel
À l’origine de la création du « secret défense » y étaient classées principalement :
- les attaques venant d’une puissance ou de plusieurs puissances étrangères ;
- les attaques intérieures venant de groupes installés sur notre territoire ;
- les attaques venant de l’extérieur et de l’intérieur, par exemple la cinquième colonne dans les années quarante.
La Direction du renseignement et de la sécurité de la défense.
Depuis près de 150 ans, la DRSD, Direction du renseignement et de la sécurité de la Défense, travaille à protéger notre pays.
Quelles étaient ses missions jusqu’à il y a peu :
« La mission de contre-ingérence de la DRSD comporte deux volets : “renseigner” (identifier les vulnérabilités et renseigner sur les menaces) et “protéger” (contribuer aux mesures de protection et d’entrave). Elle se décline en trois domaines :
La contre-ingérence des forces : il s’agit de prévenir et rechercher les atteintes aux forces armées, par des mesures de contre-ingérence, pour s’opposer à toute menace pouvant prendre la forme d’activités de terrorisme, d’espionnage, de subversion, de sabotage ou de crime organisé. Dans ce cadre-là, la DRSD contribue à assurer la protection des personnes habilitées au secret Défense ou à des zones, des matériels ou des installations sensibles. Ainsi, elle met en œuvre la procédure d’habilitation aux différents niveaux de classification des informations sensibles (“confidentiel Défense”, “secret Défense”, ou “très secret Défense”). Le service participe aussi à la répression du commerce illicite des matériels de guerre, armes et munitions.
La contre-ingérence économique : l’action de la DRSD, s’applique aux industries en lien avec la Défense nationale ou présentant un intérêt pour celle-ci, ainsi qu’aux instituts de formation et de recherche en lien avec la Défense. Elle consiste à déceler et neutraliser toute menace contraire aux intérêts nationaux et à la souveraineté nationale, résultant de l’activité, légale ou non, d’États, de services de renseignement ou de concurrents étrangers au profit d’intérêts extérieurs pouvant affecter le secret de la Défense nationale, le potentiel scientifique et technique de la Nation, les intérêts ou le patrimoine matériel et immatériel des entreprises ou organismes liés à la Défense.
La contre-ingérence cyber : la DRSD cherche à identifier, dans le cyberespace, les vulnérabilités et menaces susceptibles de porter atteinte aux personnes, matériels et informations sensibles du ministère. Elle privilégie l’anticipation et s’appuie sur ses moyens propres (recherche humaine et technique, sources ouvertes et investigations numériques) et sur ceux des partenaires que sont l’ANSSI, le COM CYBER (CALID) 7 ou les autres acteurs du renseignement (DGSE, DRM). Par ailleurs, la DRSD contribue à la lutte informatique défensive du ministère en protégeant les systèmes d’information et ceux de l’industrie de Défense. Ces actions peuvent revêtir un caractère préventif (sensibilisation, inspections, alerte) voire curatif (analyse des cyberattaques, encadrement de la reprise d’activité).
La DRSD est présente sur tous les théâtres d’opérations extérieures (OPEX) où les forces françaises sont engagées. En amont d’une opération, elle évalue les vulnérabilités des installations avec des audits de sécurité et conseille le commandement sur les mesures de prévention à prendre pour les diminuer. Durant l’opération, la DRSD poursuit son action avec des entretiens de recrutés locaux ou encore des investigations sur des faits de sécurité. L’objectif est d’établir les mesures nécessaires d’entrave aux menaces pour la protection des capacités opérationnelles des forces armées. Plus de 100 militaires de la DRSD ont été projetés en 2013, dans le cadre de la protection des forces françaises déployées en OPEX. »
Wikipédia 1
Site officiel :
https://www.drsd.defense.gouv.fr/la-direction/
Qui décide de classifier des documents en Secret Défense ?
https://www.defense.gouv.fr/sga/le-sga-en-action/droit-et-defense/secret-defense/secret-defense
Modifications récentes.
Récemment et très curieusement, le gouvernement a procédé à de nombreuses modifications dans les articles concernant le Secret Défense comme le démontre incontestablement le lien suivant
http://www.sgdsn.gouv.fr/missions/proteger-le-secret-de-la-defense-nationale/
Communiqué de Presse très inquiétant publié le jeudi 3 juin 2021 par l’Association des archivistes français.
https://www.archivistes.org/Communique-de-presse-nuit-noire-sur-les-archives
Commentaire : il n’y probablement pas de fumée sans feu, malgré ce que peut dire les soi-disant débunkers
https://fr.style.yahoo.com/coronavirus-emmanuel-macron-n-class%C3%A9-090502944.html
Le classement en Secret Défense de la gestion de l’épidémie de Coronavirus pose de très graves problèmes.
1) Si le virus est d’origine naturelle, et s’est propagé sur l’ensemble de la planète, il n’y a rien à cacher, au contraire il est nécessaire de tout publier pour que les chercheurs puissent à la fois mieux connaître le virus, comprendre sa propagation et travaillent, ainsi, dès maintenant, à la prévention de la prochaine crise sanitaire.
2) Si le virus n’est pas naturel, et a été fabriqué en laboratoire, comme le pense le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine, Henrion-Caude, ancienne de l’INSERM, le professeur Fourtillan et plusieurs autres scientifiques de haut niveau, qu’il provient d’une fuite accidentelle de laboratoire, ou provoqué sciemment, c’est du pareil au même. Il est indispensable de tout publier.
3) Ce classement est inédit dans l’histoire. À ce jour, c’est le premier virus et la gestion de la crise sanitaire qui en résulte qui sont classés Secret Défense par l’état français. Si ce classement a été réalisé par le pouvoir c’est obligatoirement que celui-ci a des choses inavouables et très importantes pour sa sécurité à dissimuler.
4) C’est une épine mortelle dans le pied du gouvernement Macron et de ses complices. Tant que la vérité sur ce virus et sa gestion n’aura pas été révélée au peuple, à qui ils la doivent, ils seront accusés de falsification et de manipulation.
Conclusion
Depuis près de deux ans, la population a souffert dans sa chair, physiquement et psychologiquement. Elle a subi des contraintes et des privations de liberté. Pendant le confinement des parents, des amis sont morts sans que l’on puisse leur rendre un dernier hommage. Les enfants doivent encore obligatoirement porter un masque pour aller à l’école, et depuis l’éducation nationale et les responsables de cette situation, ne se posent toujours pas la question de sa nocivité à long terme. Quant aux « vaccins », ils ont été proposés au public sans que toutes les phases d’essais soient terminées, ils sont donc expérimentaux :
https://nouveau-monde.ca/oui-les-vaccins-sont-experimentaux-contrairement-a-ce-que-lafp-et-j-mansour-affirment-dans-leur-fast-check/
et de plus extrêmement dangereux :
https://nouveau-monde.ca/vaccins-covid-19-effets-secondaires-alarmants-decouverte-de-constituants-non-declares/.
Qui peut faire confiance à une telle engeance ?
Maintenant un conseil pour ceux qui n’ont pas encore compris ce qui se trame derrière leur dos, il serait bon qu’ils méditent cette phrase :
Les gogos et les imbéciles n’apprennent pas de leurs erreurs, mais au contraire ils les répètent.
⚠ Les points de vue exprimés dans l’article ne sont pas nécessairement partagés par les (autres) auteurs et contributeurs du site Nouveau Monde.