JO de Paris : le spectacle de la fin des temps, et celui de la honte pour la France

28/07/2024 (2024-07-28)

[Source : Nice-Provence Info]

Par Pierre-Émile Blairon — 27 juillet 2024

L’Âge de fer

Comme à l’accoutumée, le Prince de ce monde, Satan, dont beaucoup ne perçoivent pas la réalité, et ses suppôts (qui, eux, s’en réclament ouvertement), ne cachent rien de leurs intentions maléfiques. Mais les humains, confortablement installés dans leur déni, n’en veulent rien savoir.

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« À ceux qui disent qu’il faut vivre avec son temps, répondez que ce n’est pas leur temps, mais celui de Satan. Et ses jours sont comptés, ainsi que les âmes qu’il capture. »

François Deschamps, alias Joseph Stroberg

Le clou (sic) du spectacle préparé pour les Jeux Olympiques de Paris 2024 fut la chevauchée du cavalier de l’Apocalypse monté sur un cheval de fer (le fer, métal symbolique du dernier âge de notre cycle, le Kali-Yuga), galopant dans les eaux souillées du Styx, le fleuve des Enfers, la Seine en l’occurrence.

Dans le Nouveau Testament, ce cavalier est accompagné de trois de ses semblables qui ont pour mission de représenter, en guise d’avertissement au monde, le début de la fin des temps, « la bête de l’événement », dont parlait Macron sur le ton du secret avec son petit sourire narquois.

« Et je regardai, et je vis paraître un cheval de couleur pâle ; et celui qui était monté dessus se nommait la Mort, et l’Enfer le suivait ; et le pouvoir leur fut donné sur la quatrième partie de la terre, pour faire mourir les hommes par l’épée, par la famine, par la mortalité, et par les bêtes sauvages de la terre. »

— (Apocalypse 6, 1–8)

Quelques épisodes de ce spectacle abject

La chanteuse (?) Gna Gna Kacamura a pris 700 000 euros pour transformer la Garde Républicaine en danseuses transgenres.
Céline Dion, qui était à l’article de la mort, s’est réveillée brusquement sur son lit d’agonie quand elle a entendu le chiffre de 2 millions d’euros pour pousser une chansonnette ; du coup, elle a troqué ce lit de misère pour celui, plus accueillant, du Royal-Monceau, un palace 5 étoiles parisien. Cette brusque guérison tient du miracle !

La scène de la Cène a travesti, c’est le cas de le dire, en ignominie malsaine et vulgaire un symbole de la religion chrétienne : c’est un blasphème.
Lors du lever de drapeau et de l’hymne des Jeux Olympiques, on nous montre une représentation à peine adoucie — une tête de bœuf — du dieu carthaginois Moloch-Baal considéré comme un démon dans la Bible, sans doute à cause des sacrifices qu’il réclamait.