25/06/2023 (2023-05-13)
[Initialement publié sur ozlecarolo.com]
Par Özler ATALAY YÜKSELOĞLU – Journaliste citoyen victime de harcèlement électromagnétique
Depuis quelques années, les risques sur la santé des ondes électromagnétiques alimentent craintes et débats. Ce fut le cas notamment avec la polémique sur les compteurs communiquant Linky et plus récemment avec le réseau 5G.
Un grand nombre d’activistes nous a donc alertés sur les dangers d’une exposition « passive » à ces ondes qui forment un « electrosmog » (brouillard électromagnétique).
Néanmoins une certaine part de la population est victime d’une exposition « active », à comprendre qu’elle est victime d’agressions électromagnétiques délibérées depuis des décennies que nous nommerons harcèlement électromagnétique.
[Voir aussi :
►Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?
►DU HARCÈLEMENT ÉLECTROMAGNÉTIQUE DES POPULATIONS À LA NEURO-POLITIQUE DU NOUVEL ORDRE
►Les armes électromagnétiques ne sont pas de la science fiction
►Opération Crimson Mist
►Une intervenante du Forum Économique Mondial vante une technologie qui va permettre à votre patron de lire dans vos pensées
►Des armes gouvernementales silencieuses pour mener une guerre secrète contre vous
►Le contrôle des émotions et des pensées par la technologie
►Actionner un interrupteur dans la tête]
Elle se regroupe sous l’appellation d’individus ciblés (anglais : targeted individuals). Le gouvernement est directement incriminé par des officiels devenus lanceurs d’alerte.
Cela est le cas pour Barrie Trower, ancien spécialiste des micro-ondes ayant travaillé pour le MI-5 (renseignement militaire britannique). Dans la vidéo ci-bas, il explique qu’il est possible de cibler des individus pour leur induire des pathologies et des symptômes psychiatriques.
Nous y voyons également le scientifique et chercheur américain Nick Begich expliquer les technologies de contrôle mental. En effet, il cite la DARPA (Agence pour les projets de recherche avancée de défense) américaine pour avoir mis au point ce qu’ils ont baptisé la « télépathie électronique » ou « télépathie synthétique » qui est capable de lire dans les pensées de la cible et d’interférer avec son comportement sans électrodes. Il y a dédié un livre nommé « techniques de contrôle mental » et est aujourd’hui l’un de ses plus fermes opposants.
Les infrastructures de communication (satellites, antennes relais et boxs wi-fi) constituent le socle du harcèlement électromagnétique, les smartphones et PC complètent le tableau. En effet, le scientifique américain Richard Lighthouse ayant travaillé avec la NASA, nous livre un diagramme de ce crime d’État.
Nous y voyons que les civils sont traqués par des satellites GPS qui en combinaison avec des superordinateurs et les antennes relais nous livrent des « microwave bullets » (balles à micro-ondes) à fréquence élevée (2,3 à 3,7 GHz). C’est faisable, car elles sont équipées d’armes à énergie dirigée, ce type de technologies a été utilisé pour agresser des diplomates US et canadiens à La Havane, Cuba. Elles peuvent également émettre des signaux subliminaux et des voix implantées par la technologie V2K (Voice to Skull ou voix au crâne), n° de brevet : US4.877.027A. La seconde technologie pour exercer du contrôle mental est appelée RNM (Remote Neural Monitoring ou Monitoring neuronal à distance), n° de brevet US3.951.134A.
Des armes à énergie dirigée portables sont également à portée de mafias en collusion avec le gouvernement, elles sont plus efficaces et dangereuses encore.
Dans cette vidéo en anglais, Richard Lighthouse livre des informations très précises sur le fonctionnement du harcèlement EM :
Une large gamme de pathologies comme des problèmes neurologiques (perte de mémoire et de concentration, migraines, fatigue, insomnies, réveils nocturnes, douleurs confondues avec de la fibromyalgie, spasmes, entente d’infrasons, acouphènes, apnées du sommeil, électrochocs, troubles de la vision…), cardiaques, à différents organes, des pertes de libido, des apnées du sommeil, un vieillissement prématuré et des brûlures peuvent survenir. Il est donc possible d’exercer de la torture et de tuer une cible à petit feu.
Pour ce qui est des pathologies psychiatriques (psychotroniques) cela peut produire des hallucinations, de l’anxiété, de la paranoïa, des cauchemars, des psychoses et des voix implantées.
Le nombre de victimes augmente de jour en jour, d’après une enquête sur mon canal Telegram, une part non négligeable a commencé à être ciblée après la survenue de la crise covid. Les motifs de ce ciblage sont variés et peuvent aller de la répression des lanceurs d’alerte et des personnes éveillées à « la prévention », le sadisme, la revanche et les expérimentations, car les travaux sur le contrôle mental servent à mettre en place des intelligences artificielles, cela avait été documenté par le praticien américain John Hall.
Dans cette vidéo, des moyens de protections sont proposés :
J’y ai également dédié un article.
Les victimes se retrouvent isolées et impuissantes face à une machine de guerre bien huilée, leurs plaintes sont classées sans suite et peuvent les mener à l’internement psychiatrique.
Nous espérons que cet article ait conscientisé un maximum de personnes sur ce phénomène frappé par l’omerta, car en effet, ces technologies sont classées top secret. Nous estimons que 0,1 % de la population des états de l’OTAN en est victime à divers degrés, mais cela représente près de 10 % des personnes éveillées qui militent ou pas. Nous devons donc agir vite pour éviter un avenir dystopique et exiger la fin de ce programme inhumain même s’il est à prévoir que les autorités nieront leur existence.
Pour conclure l’article, voici une vidéo de témoignage de victimes :
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