«Bouche masquée » – Les dentistes préviennent que les maladies des gencives et les caries dentaires ont augmenté de 50% depuis le début du port obligatoire du masque

20/09/2020 (2020-09-20)

[Source : Ciel voilé]

« Bouche masquée » – Les dentistes préviennent que les maladies des gencives et les caries dentaires ont augmenté de 50% depuis le début du port obligatoire du masque

Par Phillip Schneider le 2 septembre 2020

À la lumière des obligations nationales et mondiales de porter des masques à l’intérieur, les dentistes ont découvert que les patients revenant pour des examens de santé connaissent une augmentation de 50% des maladies des gencives et des caries dentaires.

Les dentistes l’ont appelé le symptôme « bouche masquée » après la fameuse «bouche de méthamphétamine» qui tend à affliger les utilisateurs de méthamphétamine. Elle affecte même ceux qui n’ont jamais eu de problèmes auparavant et on pense qu’elle est causée par une accumulation de bactéries dans un environnement sec riche en Co2 et pauvre en oxygène.

«Nous constatons une inflammation des gencives chez des patients qui sont en bonne santé depuis toujours et des caries chez des personnes qui n’en ont jamais eu auparavant»,

déclare le Dr Rob Raimondi, copropriétaire de One Manhattan Dental à New York.

Le partenaire du cabinet dentaire de Raimondi, le Dr Marc Scalfani, prévient que l’augmentation du port du masque n’entraîne pas seulement une détérioration des gencives et des dents, mais qu’elle «entraînera éventuellement des accidents vasculaires cérébraux et un risque accru de crise cardiaque» sur toute la ligne.

«La respiration par la bouche provoque la sécheresse de la bouche, ce qui entraîne une diminution de la salive – et la salive est ce qui combat les bactéries et nettoie vos dents. La salive est également ce qui neutralise l’acide dans la bouche et aide à prévenir la carie dentaire et les maladies des gencives.» 

Dr Marc Sclafani [SOURCE]

Les médecins préviennent depuis des mois que le port d’un masque peut exacerber les affections respiratoires existantes telles que l’asthme, mais il semble maintenant que les dommages ne s’étendent pas seulement aux poumons, mais également à la bouche.

« Les patients viennent nous voir en disant : « Oh ! Mon haleine sent, j’ai besoin d’un nettoyage » »,

déclare le Dr Sclafini.

« Lorsque vous avez mauvaise haleine, soit vous avez déjà une maladie parodontale, soit vous avez beaucoup de bactéries qui sont présentes sur votre langue à cause de la sécheresse de la bouche. »

Pour cette raison, Sclafini recommande à ceux qui doivent porter des masques de boire beaucoup d’eau, de se brosser les dents régulièrement et d’éviter de respirer par la bouche tout en en portant un, à tout le moins, pour éviter d’autres complications.

Alors que des centaines de médecins ont déclaré publiquement que les mesures draconiennes prises par les gouvernements du monde entier pour lutter contre les infections à coronavirus étaient «  disproportionnées  » par rapport au problème, il devient clair que forcer les individus à fermer leurs entreprises, à s’isoler et à porter les masques où qu’ils aillent causent également des dommages et coûtent en fait des vies.

Le confinement et l’obligation du port du masque ont non seulement provoqué une flambée des taux de suicide et de la toxicomanie, mais une augmentation des maladies des gencives signifie une augmentation inévitable des accidents vasculaires cérébraux et des crises cardiaques, provoquant des décès qui ne se seraient jamais produits sans le port obligatoire du masque.

Des données récentes des Centers for Disease Control (CDC) montrent que seulement 6 % des décès par coronavirus sont attribués au Covid-19 seul, tandis que les 94% restants ont été associés à une moyenne de 2,6 comorbidités, ajoutant à l’idée que l’isolement des personnes en bonne santé au lieu des malades et des vulnérables, cela ne fera qu’aggraver le problème.

Après avoir effectué un examen de l’efficacité des masques chirurgicaux, l’Agence canadienne des médicaments et des technologies de la santé (ACMTS) a conclu qu ‘« aucune preuve n’a été trouvée en faveur de l’utilisation de masques chirurgicaux pour réduire la fréquence des infections sur le site opératoire » et « aucune preuve n’a été trouvée de l’efficacité du port de masques chirurgicaux pour protéger le personnel des matières infectieuses dans la salle d’opération. »

Pendant ce temps, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande de renoncer aux travaux dentaires jusqu’à ce que nous en sachions davantage sur le virus ou jusqu’à ce que davantage d’équipement soit disponible pour protéger les travailleurs de la santé contre les aérosols.

«La probabilité que le COVID-19 soit transmis par des aérosols, des microparticules ou des particules en suspension… aujourd’hui, je pense est inconnue, elle est au moins sujette à caution. Cela signifie que des recherches supplémentaires sont nécessaires. » 

Benoit Varenne, dentiste de l’OMS [SOURCE]

Même l’Organisation mondiale de la santé admet dans un rapport du 5 juin que la science concernant l’utilisation actuelle à grande échelle des masques fait défaut.

« À l’heure actuelle, l’utilisation généralisée des masques par des personnes en bonne santé dans le cadre de la communauté n’est pas encore étayée par des preuves scientifiques directes de haute qualité et il y a des avantages et des inconvénients potentiels à prendre en compte. » 

OMS, Directives provisoires, p. 6

Il est peut-être temps de discuter de l’aptitude des individus à prendre leurs propres décisions pour lutter contre la pandémie, plutôt que d’obligations générales émanant de gouvernements et de bureaucrates qui semblent nous causer du tort.

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