Antidote possible contre la propagande covid qui recommence…

08/05/2022 (2022-05-07)

Par Jean Happel

Dans une visio-conférence tenue depuis l’Élysée en juin 2020  avec les dirigeants du WEF, de l’ONU, de l’UE, de l’OMS etc.,  Macron  se pose  très clairement en  leader de la vaccination mondiale.

Les parlementaires sont très probablement tous au courant de ce qui se trame  même s’ils font semblant de ne pas comprendre lorsqu’on leur envoie des documents.

Pour intensifier la résistance à la propagande covidiste par une information directe de la population, un contre-poison, parmi d’autres :

1- Le livre de Toubiana « Covid19 Une autre vision de l’épidémie »

Les vérités d’un épidémiologiste
covid 19 - Une autre vision de l'épidémie, Les vérités d'un épidémiologiste

Épidémiologiste depuis plus de trente ans, Laurent Toubiana est un
scientifique expérimenté qui a suivi et analysé un grand nombre de phénomènes
épidémiques en France et à l’étranger.

Au tout début de la crise du Covid, entre janvier et mars 2020, il a étudié,
avec plusieurs confrères, les données préliminaires qui ont été très
rapidement disponibles. Il a annoncé dès le 11 mars 2020, soit une semaine
avant le confinement, que l’épidémie atteindrait probablement son pic fin
mars, que la phase épidémique elle-même devrait s’achever fin avril et qu’elle
ne serait pas particulièrement sévère. Or, quand on regarde les chiffres deux
ans plus tard, c’est exactement ce qui s’est passé : cette épidémie a causé
des morts, certes, mais pas plus qu’une épidémie de grippe saisonnière. Au
regard des images et des discours apocalyptiques délivrés depuis deux ans,
cela semble difficile à croire mais c’est pourtant la réalité, confirmée dans
ce livre par une étude rigoureuse des chiffres officiels.

Au cours de cette longue crise, à plusieurs reprises et avec prudence, Laurent
Toubiana, a apporté des éclaircissements pour corriger les perspectives. Il a
tenté d’expliquer très tôt en quoi cette nouvelle épidémie ne correspondait
pas aux descriptions dramatiques qui en était faites. Par expérience, il avait
aussi averti d’un éventuel risque de panique, risque qui pouvait être amplifié
par un mécanisme de mimétisme international.

Mais les autorités ont choisi de ne pas écouter, et même de mépriser, les
centaines de scientifiques qui, comme lui, avait averti que cette épidémie ne
serait probablement pas aussi grave qu’annoncé. Nos dirigeants ont massivement
cédé à la panique et préféré s’abriter derrière les modélisations absurdes qui
prédisaient des centaines de milliers de morts, pour faire accepter aux
populations des mesures liberticides sans aucune validité scientifique.

La peur de la maladie et de la mort est profonde. Au cours de cette crise, les
autorités sanitaires ont écouté les habituelles sirènes alarmistes et opté
pour des mesures extravagantes. Elles ont exploité la peur et parfois l’ont
engendrée et maintenue par une communication anxiogène, pour faire accepter
leurs choix. Rares sont les pays qui ont fait confiance à leurs
épidémiologistes. Chiffres définitifs à l’appui, Laurent Toubiana montre ici
que ces pays, par exemple la Suède, ont incontestablement mieux géré cette
crise à tous les niveaux.

Saturation des hôpitaux, campagnes de test massives, obligation vaccinale,
mortalité, le récit médiatique de cette épidémie est tout simplement
mensonger. Laurent Toubiana propose d’adopter une autre vision, au plus près
de la réalité.

Docteur en physique, épidémiologiste et chercheur à l’Institut National de la
Santé et de la Recherche Médicale (INSERM), Laurent Toubiana est un
spécialiste du recueil et de l’analyse des données de santé.

2- Son entretien avec Bercoff

⚠ Les points de vue exprimés dans l’article ne sont pas nécessairement partagés par les (autres) auteurs et contributeurs du site Nouveau Monde.