Un professeur de Harvard déclare sous serment que le vaccin anticovid sert d’arme biologique

03/09/2024 (2024-09-03)

[réf. https://law.illinois.edu/faculty-research/faculty-profiles/francis-boyle/]
image_pdfPDF A4image_printImprimer

⚠ Les points de vue exprimés dans l’article ne sont pas nécessairement partagés par les (autres) auteurs et contributeurs du site Nouveau Monde.

(7 commentaires)

  1. Néanmoins, l’idée d’ARN ne semble être qu’un écran de fumée, car diverses analyses indépendantes n’ont pas trouvé trace d’éléments biologiques dans ces vaccins (contrairement à ce qui a été affirmé par de très probables faux opposants au NOM), mais de graphène et de divers métaux, et le DARPA a travaillé sur l’hydrogel permettant d’accueillir de la nanotechnologie ainsi que sur d’autres réalisations dans ce domaine.

    La déduction qu’il s’agit automatiquement d’une arme biologique est également hâtive, car cette nanotechnologie peut très bien avoir pour but premier le contrôle des vaccinés ainsi transformés en transhumains sans âme.

    1. – En 2015, Pfizer annonçait son partenariat avec l’Université Bar-Ilan pour évaluer l’injection de médicaments via des nanorobots à ADN.
      https://www.guyboulianne.info/2024/04/15/en-2015-pfizer-annoncait-son-partenariat-avec-luniversite-bar-ilan-pour-evaluer-linjection-de-medicaments-via-des-nanorobots-a-adn/
      Guy Boulianne, le 15 avril 2024.

      – Bar Ilan University to work with Pfizer Inc. to evaluate drug delivery via DNA Nanorobots.
      https://www.pfizer.com/news/press-release/press-release-detail/bar-ilan-university-work-pfizer-inc-evaluate-drug-delivery
      Pfizer. Thursday, May 14, 2015.

      – Pfizer and Bar-Ilan Prof. Bachelet to Collaborate on DNA Robots that Deliver Medical Proteins to Designated Tissue.
      https://afbiu.org/news/dna-robots
      Bar-Ilan University. May 2015.

      – Ido Bachelet – Moonshot Thinking.
      Google Israel event, October 10, 2013. Vidéo sous-titrée en anglais de 06:35
      https://www.youtube.com/watch?v=MzLTWU2EqP4

  2. J’ose l’humour noir :
    Par quelle arme est-il préférable d’être anéanti : biologique ou nanotechnologique ?

  3. J’ose l’humour noir :
    Par quelle arme est-il préférable d’être anéanti : biologique ou nanotechnologique ?

    1. Le problème est qu’il est bien possible qu’aucune des deux hypothèses ne corresponde à la réalité, sauf accessoirement en ce qui concerne la seconde (si son but premier est le contrôle des êtres humains). Dans les deux cas, il s’agit de porno de peur, pour reprendre une expression américaine.
      Le concept d’arme biologique s’est construit autour de l’idée jamais scientifiquement démontrée (mais au contraire réfutée de nombreuses façons) que les maladies dites bactériennes et que d’autres dites virales puissent être contagieuses et dues respectivement à des bactéries et des prétendus virus pathogènes.
      Tout ce que font les apprentis sorciers pseudoscientiques dans leurs labos P4 repose très probablement sur de puissantes illusions et se trouve n’être que des mixtures empoisonnées injectées directement dans le corps des animaux cobayes. Ceci a déjà été largement exposé sur le site et peut être retrouvé en partie dans le dossier Vaccins et virus.
      Les vrais vaccins au sens pasteurien représentent bien de telles mixtures empoisonnées directement injectées dans le corps des vaccinés. Et on pourrait le dire aussi des pseudovaccins s’ils étaient effectivement à ARN. Mais les problèmes de santé induits ne sont pas contagieux et pourraient être contrés par une désintoxication adéquate.
      Si les vaxins dits à ARNm sont par contre à base de graphène et de divers métaux constitutifs de nanotechnologie, il se trouve que l’on peut également contrer leurs effets biologiques. Voir notamment https://nouveau-monde.ca/sources-danti-oxydants-pour-detruire-la-couronne-necro-moleculaire-doxyde-de-graphene/. Et le corps se débarrasse naturellement du graphène, raison pour laquelle Big Pharma pousse à des rappels au minimum tous les six mois et dans l’idéal tous les trois mois.
      Si le but premier avait été de nous tuer, il aurait suffi d’introduire dans tous les vaxins la dose létale de graphène. Et à l’heure actuelle plus aucun vacciné ne serait vivant. Si le but est au contraire le contrôle des êtres humains, il fallait tester le dosage idéal de graphène par le biais de lots différemment dosés pour trouver celui qui permet à la nanotechnologie de se déployer dans le corps sans induire d’effets biologiques mortels. Et il se trouve qu’effectivement différents lots ont été testés, certains s’étant révélés mortels, mais la grande majorité non, même s’ils raccourcissent probablement l’espérance de vie.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *