09/10/2022 (2022-10-09)
Vacciner les jeunes contre le covid est inutile, inefficace et dangereux. De plus en plus d’agences sanitaires nationales le reconnaissent et retirent leur recommandation initiale basée sur les communiqués publicitaires mensongers des fabricants de vaccin.
Dès que les pseudo vaccins covid ont été mis sur le marché, nous avons dénoncé leur utilisation comme totalement inutile chez l’enfant (car ils ne risquent rien du covid) et potentiellement dangereuse (car ces injections totalement expérimentales n’avaient pas été entièrement testées.)
Malheureusement les agences sanitaires ont collaboré à la propagande sanitaire gouvernementale en prétendant contre toute évidence scientifique que la balance avantages/risques de ces injections expérimentales était positive entraînant de trop nombreuses injections d’enfants. Mais le retour à la raison de nombreuses agences sanitaires étrangères vient relancer un débat jusqu’ici occulté.
Les enfants souffrent exceptionnellement du Covid19 et seulement de formes bénignes. Ils ne peuvent donc espérer aucun bénéfice personnel des injections.
Weiyong Liu rapporte1 que le Covid19 n’est responsable que de 2 % des pneumopathies de l’enfant et précise :
« Tous les patients se sont rétablis après l’hospitalisation pendant une durée médiane de 7, 5 jours ».
Hao Hong2 confirme les moins de 18 ans ne représentent que 0,6 % des infectés à Covid19. Le Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies sur 73 414 cas estime que les moins de 19 ans constituent moins de 1 % des infectés3. Zhonghua Liu4 a remarqué que : « sur 44 672 cas confirmés en laboratoire seulement 416 cas (0,9 %) étaient âgés de 0 à 9 ans et 549 (1,2 %) étaient âgés de 10 à 19 ans ; le taux de mortalité dans le groupe des 0-19 était de 0,18 % ». Aucune forme sévère observée sur les 300 nourrissons polonais de moins de 1 an atteints de covid suivi par Małgorzata Sobolewska —5 ni parmi les 1749 enfants islandais infectés par le SARS-CoV-2 en 3 vagues d’infections6.
Aux États-Unis, les données des CDC 7confirment la rareté des infections à Covid chez l’enfant : « Parmi 149 082 cas signalés pour lesquels l’âge était connu, 2 572 (1. 7 %) concernaient des enfants de moins de 18 ans » et leur risque létal très faible : « trois décès ont été signalés parmi les cas pédiatriques inclus dans cette analyse », soit un risque de 0,12 %. La macroanalyse (revue systématique de la littérature) de Jonas F Ludvigsson 8 confirme ces constatations.
Au 7 juillet 2022, après deux ans et demi d’épidémie santé publique France recensait 94 décès chez les moins de 18 ans « avec infection SARSCoV2 ». Le « lien possible avec la Covid-19 » était établi dans 33 cas dont 29 présentaient des comorbidités très sévères.
Santé publique France précisait : « Lorsque les enfants présentaient des comorbidités sévères, le lien entre la Covid-19 et le décès était cependant difficile à établir », « dans certains cas, l’infection était de découverte fortuite et le décès était en lien avec un accident ou une autre pathologie », soit seulement 4 enfants sans comorbidité morts en 30 mois contre 7 à 10 décès d’enfants (essentiellement chez les moins de 1 an) par an, lors des épidémies de grippe d’avant le covid.
Cette revue de la littérature confirme que le Covid 19 est rare, presque toujours bénin chez l’enfant et que sa mortalité dans cette tranche d’âge est inférieure à celle de la grippe saisonnière.
Les enfants ne sont pas vecteurs de contamination9. Leur vaccination ne diminuerait donc pas la transmission de la maladie autour d’eux.
L’étude de Santé Publique France du cas de l’enfant infecté des Contamines10 est très démonstrative. Ayant été en contact, alors qu’il était malade, avec 172 personnes, dont 112 élèves et professeurs dans trois écoles et un ski-club, l’enfant n’a contaminé personne, pas même les deux autres enfants de sa fratrie.
Dans l’étude de l’institut Pasteur sur les écoles primaires de Crépy-en-Valois11, les scientifiques ont étudié 1340 personnes, dont 139 infectées (81 adultes et 58 enfants). Parmi 510 élèves de six écoles primaires, ils ont identifié trois enfants de trois établissements différents qui étaient infectés au moment où les écoles étaient encore ouvertes et qui n’ont contaminé personne, qu’il s’agisse d’autres élèves ou d’adultes.
L’étude Coville, du groupe Activ (Association clinique et thérapeutique infantile du Val-de-Marne) dirigé par le professeur Robert Cohen, vice-président de la Société française de pédiatrie, a porté sur 600 enfants, de la naissance à l’âge de 15 ans permet de conclure que :
« sans histoire de Covid parental, l’enfant n’a rien. »
Christèle Gras-Le Guen, vice-présidente de la société française de pédiatrie, a déclaré lors d’une interview :
« La Covid-19 n’est définitivement pas une maladie pédiatrique »12.
Aux Pays-Bas, dix patients COVID-19 âgés de moins de 18 ans ont eu 43 contacts étroits avec d’autres enfants et adultes et aucun d’entre eux n’est tombé malade13.
Une étude australienne a analysé des cas confirmés de COVID-19 chez 9 enfants et 9 employés des écoles qui ont été en contact étroit avec 735 enfants. Deux enfants pourraient avoir été infectés par l’un de ces 18 patients. Aucun autre enseignant ou membre du personnel n’a contracté le COVID-1914.
Une étude irlandaise 15 portant sur 924 enfants et 101 adultes qui avaient eu des contacts étroits avec un malade à l’école, aucun n’a eu le COVID-19.
En Suède16 la poursuite des activités scolaires n’a pas aggravé l’évolution de la pandémie pour les enfants en Suède, par rapport aux pays ayant des mesures de verrouillage strictes.
Comme le concluent B Lee et W V Raszka 17 dès août 2020 :
« dans la transmission du Covid19, l’enfant est innocent »..
La vaccination des enfants ne peut donc pas avoir d’intérêt altruiste, d’autant que les pseudo vaccins se sont révélés incapables d’empêcher les transmissions.
Comme le confirment les données officielles de l’OMS mises en graphique par l’université John Hopkins.
Inutiles chez l’enfant et inefficaces à tout âge, les injections ne sont pas sans risques
Trop d’enfants ont reçu ces injections expérimentales et certains ont souffert de complications sévères (en particulier des myocardites)18 dont le risque majoré par la seconde dose et estimé à 0,25 cas pour 100 000 doses du vaccin Comirnaty et 0,29 cas pour 100 000 doses du vaccin Spikevax.
D’autant que ces myocardites post-vaccinales se révèlent plus graves qu’annoncé : 25 % des myocardites post-vaccinales ont été hospitalisées en réanimation, 16,5 % des patients n’étaient pas guéris au bout de 90 jours, environ 50 % des patients présentaient des IRM anormales et 25 % des patients considérés « guéris » étaient encore sous traitement médicamenteux19.
Il ne faut pas « vacciner » les enfants contre le covid
Les faits établis montrent sans ambiguïté que la balance avantage/risques de la pseudo vaccination la contre-indique chez l’enfant. C’est l’opinion de Gérald Kierzek 20 ou de Martin Blachier.
De plus de nombreuses agences sanitaires européennes ne recommandent plus l’injection
Le 1er juillet 2022, les autorités sanitaires du Danemark ont émis de nouvelles directives recommandant aux moins de 18 ans de ne pas être vaccinés21 :
« Les enfants et les adolescents tombent très rarement gravement malades avec Covid-19 avec la variante Omicron. Ainsi, à compter du 1er juillet 2022, il ne sera plus possible pour les enfants et adolescents de moins de 18 ans de recevoir la 1re injection. À partir du 1er septembre 2022, recevoir la deuxième injection ne sera plus possible. Un petit nombre d’enfants présentant un risque particulièrement accru de progression grave de la maladie continueront d’avoir la possibilité de se faire vacciner après évaluation individuelle par un médecin. »
Le 3 septembre 2022, le Royaume-Uni a levé sa recommandation pour les moins de 11 ans en bonne santé22.
Et aussi les autorités sanitaires belges qui ne recommandent plus les injections pour les moins de 50 ans.
Le vendredi 30 septembre 2022, l’autorité de santé suédoise a annoncé qu’elle ne recommanderait plus la vaccination contre le Covid-19 pour les adolescents âgés de 12 à 17 ans en bonne santé, en raison du « risque très faible » de développer une forme grave de la maladie à cet âge.
Les agences sanitaires françaises seront-elles les dernières à reconnaître l’évidence ?
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