L’Humanité vampirisée

[Source : lilianeheldkhawam.com]

Par Liliane Held-Khawam

Chers amis,

Après moult cyberpéripéties, nous nous sommes décidés quand même à diffuser cet ouvrage qui déchaîne la fureur du système. Ne me demandez pas pourquoi. Je ne saurais vous répondre.

Ce que je peux supposer, c’est que dans un monde régi par les systèmes de l’Information, que j’ai baptisés système d’info-bit, les discours contrariants ne sont pas les bienvenus. Si vous ajoutez de surcroît le fait que cet ouvrage est le 3e d’une trilogie qui tente de « déplomber » le concept qui a servi à construire le Nouveau Monde, on commence à comprendre que le coup de projecteur pourrait être considéré comme trop cru, en cette veille de finalisation de l’Accord de l’OMS en matière de futures pandémies.

Ce Traité est vital pour les modélisateurs de la nouvelle société. L’enjeu final, selon les technologies étudiées dans cet ouvrage (NBIC), serait le transhumanisme, et partant la cyborgisation [transformation en cyborg — NDLR] de l’humanité.

À l’issue de l’étude des deux premiers tomes, nous avions conclu que le modèle du Nouveau Monde relevait de la mutation de la planète en une corporation unique, de structure complexe, systémique et transversale, traversée par des myriades de processus et d’interactions.

En 2019, avec Coup d’État planétaire, nous avions annoncé avant l’heure un RESET qui devait révolutionner la société.

Avec le 3e tome, je me suis rendu compte avec stupéfaction que l’organisation unique s’appuyait sur des croyances spirituelles. L’athéisme avait servi à se débarrasser des grandes religions monothéistes. Il s’est avéré que le projet des architectes du nouveau monde était fortement cadré par une techno-religion.

Les cyberprophètes, qui défilent depuis plus d’un siècle, font référence à des croyances qui vont du Christ cosmique ou universel à la Singularité technologique. Si les mots changent, l’idée directrice reste sensiblement la même. Ces personnages croient dans la convergence de l’Humanité avec la technologie jusqu’à une fusion totale des entités. À ce moment-là devrait émerger une superpuissance divinisée qui devrait régler les problèmes « techniques » de la mort, et offrir la vie éternelle…

Cette convergence devrait s’appuyer sur un concept babélien, dont la technologie appelée blockchain promet un chaînage des blocs. Or l’humain, selon le concept, ne pourrait plus agir hors de ce système. Connecté jour et nuit, le Vivant deviendrait élément constitutif de la structure elle-même. Un redoutable techno-esclavage serait alors incontournable.

Tout ce qui précède a fait poindre l’image d’une CyberBabel… Extrait :

Nous avons, par exemple, découvert une référence à Babel faite par l’historien Michel Faucheux quand il traite de la Conférence de Macy lors de laquelle la cybernétique de Norbert Wiener aurait vu le jour :

« Ainsi, la machine cybernétique marie le mythe du rachat à celui de la langue originelle d’avant Babel, lorsqu’elle promeut l’avènement d’un nouveau langage nommé communication qui permettra de refonder le savoir, de forger un nouveau Verbe (ce qui est un nouvel emprunt mythique), car sera franchi “le golfe séparant les sciences naturelles et les sciences sociales” ».

En schématisant, nous pourrions dire que nous avons dans ce tome une double structure qui s’enchevêtre pour créer une œuvre babélienne d’un genre techno-scientifique. Il est question de la construction d’une machine informationnelle cybernétique et numérique, qui tend à prendre en charge l’ensemble des données issues des interactions, des échanges et autres activités qui ont lieu n’importe où sur la terre,
provenant de n’importe quel vivant ou objet. Toutes les informations ayant vocation à être captées dans le but d’arriver à terme à anticiper et prédire les événements tel que Dieu pourrait le faire. Nous imaginons que pour y arriver, il faudrait modifier l’environnement de la terre, de la biosphère, voire plus. Comment ? En artificialisant le tout pour le connecter aux serveurs de Planète finance.

In fine, la machine devrait s’humaniser et l’humain se mécaniser…

Avec l’achèvement de cet ouvrage, j’aurais tenté de vous offrir, si possible avec anticipation, quelques contours du techno-monde en cours de finalisation. (Par chance, nous démontrons dans le livre que tout n’est pas si idyllique que ce qui est présenté par TF1/RTS).

Au vu des ennuis qui se sont présentés, dès lors que j’ai dû travailler sur des appareils connectés, je mets en accès libre le manuscrit. Je vous laisse le soin, si vous le souhaitez, de faire bon usage de toutes ces informations.

De mon côté, je vais prendre un peu de recul, car une personne de ma famille a été mise en danger, il y a quelques jours, via une cyberattaque (y compris menaces de mort, référence à son enfant, etc.) émise depuis mon compte Telegram, en pleine nuit (entre minuit et 2 heures du matin ! Trace laissée sur ma page, autrement je n’aurais pas cru la personne). Soit au moment où mon ordi était déconnecté et débranché. Le personnage avait même poussé le vice jusqu’à reprendre ma voix.

Voilà, j’ai tenu ma promesse de mener cet ouvrage à son terme. Ma mission et ma responsabilité s’arrêtent là. La suite appartient au public.

Avec mes chaleureuses pensées.

LHK

Pour l’instant, il est disponible en version papier ici :

Manuscrit à disposition. Les règles de respect de la propriété intellectuelle restent requises.

Cliquer pour accéder à l_humanite_vampirisee-Fichier-internet.pdf

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