27/03/2021 (2021-02-19)
Par Alain Nicolaï
La Métaphysique ou l’Éternel Retour du même
« L’heure a sonné, quelque chose d’énorme avance vers nous, un puissant orage se prépare, il est proche, et bientôt la paresse, l’indifférence, les préjugés contre le travail, l’ennui morbide de notre société, tout sera balayé. »
Le baron Touzenbakh dans Les Trois Sœurs d’Anton Tchekhov.
Première séquence : la métaphysique
Remarque : Vous avez peur de ne pas comprendre, rassurez-vous, vous allez vite comprendre.
Métaphysique, étymologie (XIIIe siècle) : mot savant emprunté au latin scolastique metaphysica, tiré des premiers mots du traité de métaphysique d’Aristote, méta ta phusika « après les choses de la nature », qui fait suite à son traité sur la nature. Le sens de « réflexion philosophique qui va au-delà de la nature et qui cherche à rendre compte par une théorie générale des principes fondamentaux de l’être » apparaît dès l’origine [source : Dictionnaire étymologique et historique de la langue française, Baumgartner et Ménard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 495].
Métaphysique : analyse systématique de la réalité afin de connaître sa nature profonde. Sa méthode est basée sur l’algèbre de Boole :
0 – 1 = Fermé – Ouvert = Non – Oui = Faux – Vrai.
L’algèbre de Boole est la base de la logique combinatoire et de la logique séquentielle. Elle est la base ses systèmes informatisés.
Métaphysique : son point de départ et d’arrivée est la connaissance absolue par la mise sous les yeux des lecteurs des choses significatives, des faits significatifs…
La seule métaphysique valable est donc celle qui apporte des preuves irréfutables qui peuvent être vérifiées par tous les sujets de ce monde. Elle met sous les yeux du public ce que tout un chacun doit savoir. Elle explique la réalité et dévoile ce qui est caché, mais elle prend en compte la réflexion de Ludwig Wittgenstein :
« Ce dont on ne peut parler, il faut le taire. »
(Tractacus logico-philosophicus, Ludwig Wittgenstein Tel Gallimard, Paris, 1961, page 107).
Deuxième séquence : la démocratie
Remarque : N’oubliez jamais que le citoyen détient un énorme pouvoir qu’il faut savoir utiliser à bon escient.
Démocratie, étymologie (XIVe siècle), du grec démokratia « gouvernement exercé par le peuple » [Dictionnaire étymologique et historique de la langue française, Emmanuèle Baumgartner et Philippe Ménard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 230].
Troisième séquence : la république
Remarque : Au point de vue de la société, avec la paix, la république est un de nos biens le plus précieux.
République, étymologie (XVIe siècle), emprunté au latin res publica « la chose publique, l’État, l’administration de l’État », est d’abord employée au sens de « État, communauté, société organisée » puis se spécialise à partir du XVII s au sens de « État dont la forme de gouvernement est fondée sur la souveraineté des citoyens. [Dictionnaire étymologique et historique de la langue française, Emmanuèle Baumgartner et Philippe Ménard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 682].
Il en découle impérativement que le Président d’une véritable République doit être au service de ses concitoyens.
La devise de la République française « Liberté — Égalité — Fraternité » a pour origine la Révolution française. Elle donne le modèle de ce qu’est une véritable république dans l’absolu. Cette devise a été reprise sous diverses formes à travers le monde.
Il est bien évident que pour l’humanité son approche ne peut-être que relative.
À ce jour, toutes les républiques se rapprochent plus ou moins de cet idéal, mais malheureusement nombreuses sont les républiques bananières, celles-ci ne sont que des leurres pour les gogos.
Quatrième séquence : Les leçons de la crise et ce qui va advenir
Dans un précédent article publié le 30 octobre 2020 il a été démontré que les parlementaires ne savent pas pourquoi les citoyens les ont élus https://michelledastier.com/lassemblee-nationale-face-a-ses-responsabilites-par-alain/ (Article publié, entre autres, aussi sur profession gendarme.)
Depuis, jour après jour, les députés ont fait preuve d’une profonde incompréhension de la crise covidienne. Cette totale incapacité à l’appréhender dans tous ses aspects a culminé le 9 février 2021, jour, où la vaillante Martine Wonner, a voulu jeter quelques lumières à la face des députés sur une crise « qui vous dépassent », en montrant, qu’ils existent d’autres voies que le soi-disant « vaccin »[1] pour traiter les malades et en finir avec le covid. Des paroles de simple bon sens, que même un ahuri peut comprendre ! Les réponses aberrantes et à côté de la plaque du sinistre Véran auraient dû révolter l’ensemble de l’Assemblée, lui qui ne cherche avec ses complices qu’à « vacciner » la population avec sa saloperie. La non-réponse de Véran aurait dû provoquer un tollé dans l’hémicycle, au lieu de cela, quelques protestations courtoises !
Honte à Véran qui à répondu à Martine Wonner qu’il ne prenait pas en compte ceci : https://nouveau-monde.ca/fr/30-000-medecins-francais-sorganisent-reclamant-le-retour-a-la-normale-2e-conference-du-collectif-coordination-sante-libre-suite-de-lappel-du-9-janvier-2021/ !
La quasi non-réaction des présents, leur apathie, montre bien le niveau intellectuel lamentable de cette assemblée censée veiller à la bonne gouvernance et à la gestion correcte du pays. Ce comportement consternant fait comprendre pourquoi ils sont si faciles à manipuler. Martine Wonner a parfaitement raison, c’est bien une crise « qui vous dépassent », alors que de nombreux citoyens ont compris depuis longtemps que l’incompréhensible gestion de cette crise par l’exécutif doit bien avoir des motifs cachés…
Dans leur ensemble, les députés ont montré ainsi, avec cette crise, les limites manifestes de leurs capacités cérébrales. Nous n’allons pas citer tous les noms, mais certains ont presque atteint le sublime dans leur rôle d’idiot utile. Ils se reconnaîtront…
Des idiots utiles, surtout attachés, non pas au bien commun, mais au pouvoir et à ses multiples avantages. Oui, ce sont bien des idiots utiles, qui n’ont pas du tout compris les enjeux de la crise covidienne, simulacre servant à masquer le plan diabolique des mondialistes et de la finance.
Le point de départ étant à l’automne 2019 l’émergence d’une crise financière colossale, crise, bien plus importante que celle de 2008, totalement cachée à la population, subite, non prévue, par le cartel des financiers, et qui allaient sûrement les ruiner ! C’est alors que par « magie » apparu : Le bon virus au bon moment. À cette occasion, les mondialistes qui manœuvraient et complotaient en coulisse depuis de nombreuses années pour prendre le pouvoir absolu en ont profité pour lancer avec précipitation l’Agenda 2030 des Nations Unies, https://lilianeheldkhawam.com/2020/09/25/une-constitution-universelle-pour-un-etat-global-et-financiarise-sous-les-couleurs-de-lagenda-2030/#more-51763. Ceci est la version complète et commentée par Liliane Held-Khawam et non pas celles, expurgées, mises en place sur les différents sites officiels de l’ONU et ses comparses. Rappelons ici que l’OMS dépend de l’ONU et est financée en grande partie par des fonds privés, dont le principal donateur est la Fondation Bill et Melinda Gates.
Pour ne pas manquer leur coup, cette mafia a de très nombreux comparses comme le Forum de Davos, le FMI, la Banque centrale européenne… L’asservissement par la dette est leur arme principale suivie de près par leur soi-disant vaccin. En prenant le contrôle des républiques, des états, des populations, cette élite autoproclamée veut recréer le système des castes[2] et ainsi avoir de multiples larbins à son service.
Les députés l’ont-ils compris ? Aussi, que conclure de cette débâcle parlementaire ?
Notes
[1] https://nouveau-monde.ca/fr/celui-qui-ne-fait-pas-la-difference-entre-le-bien-et-le-mal-nest-pas-un-homme/
[2] https://nouveau-monde.ca/fr/proprietaires-et-proletaires-meme-combat/
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